| Examen chuunin de Jizo Kai et de Jin Kaza[ En cours - Pv Jin Kaza ] Jizo ~ Genin de Kumo ~ ▌Sanction : Aucune ▌Messages : 246 ▌Age : 24 ▌Inscription : 04/09/2012 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : | C / 10 | | Points Naruto Ninja RPG | : (17/2000) | Âge du personnage | : 14 ans Sujet: Examen chuunin de Jizo Kai et de Jin Kaza[ En cours - Pv Jin Kaza ] Sam 13 Oct 2012 - 17:59 | |
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Test rp: Après avoir brièvement expliqué comment vous avez réussi la première épreuve de triche, vous apprenez qu'une large portion des montagnes a été choisie pour servir de terrain de jeu pour la deuxième épreuve. Le but? Non seulement s'emparer du deuxième rouleau qui vous manque mais évitez la troupe de chuunins confirmés qui s'est infiltrée dans le périmètre pour vous faire du mal.
attention! - Vous êtes seuls, vous n'avez pas votre équipe - Il y a en tout une trentaine de genins qui participent - Impossible de sortir du périmètre - Vous avez deux jours pour rejoindre le pic rocheux avec le parchemin au centre. - Les chuunins envoyés possèdent tous les droits: méfiance car ils sont plus forts que vous. Enfin, après plusieurs années d'entraînements difficiles. Des semaines passées à approfondir mes connaissances en terme de jutsus en compagnie de mes amis. Du moins, un ami en particulier. Jin Kaza. Il est évident que c'est en grosse partie grâce à lui que j'ai atteint le niveau que j'ai actuellement. Je le remercie pour tout ce qu'il a fais, et ce qu'il continuera de faire pour m'aider à accroître mon niveau du terrible et puissant chakra. Une amitié que je ressens au plus profond de mon être, une amitié qui dure et qui durera jusqu’à la fin de notre existence, un duo qui se dissipera lors de notre dernier soupir, mais un couple qui resteras dans les mémoires... Aujourd'hui, c'était le début d'une nouvelle aire. Une aire qui ne changera pas le monde Shinobi, certes. Mais qui ne feras que augmentait de un mon niveau dans la hiérarchie ninja. Une étape rapide simple, mais importante. Celle-ci me rappelai des souvenirs. Un passé de joie, de bonne humeurs. Un passée de simple aspirant ninja, se tracassant pour obtenir le beau et brillant bandeau métallique, gravé du beau signe représentant sa patrie. Le sourire au lèvre, je repensais à tout ce qui ai maintenant très loin. Tout ce qui ai maintenant hors de portée, ce qui ai oublié... C'était le jour de l’examen chuunin. Depuis plusieurs mois déjà, je guettais cet évènement avec une impatience réelle et prononcée. Une impatience qui rongeais ma lucidité, qui me faisais sombrer dans des crises de nerfs... Je ne vivais pas biens ces moments de maladies, ces instants rares, certes, mais présents dans mon quotidien. A vrai dire, la flemmardise est le plus gros de mes défauts. Pour stopper ces crises des plus surprenantes parfois, je devais partir me promenais, vagabonder dans les hautes montagnes de mon villages, cherchant un nouvel air qui pourrait me permettre de changer mes idées. Mais dès lors, dès ce jour qui venait de se montrer, il ne met plus utile de criser de la sorte. En effet, aujourd'hui, mon impatience était sur le point de se rendormir pour de bon mois... Mais surement entrer en éruptions plus tard dans ma vie ! C'était une belle matinée au village de Kumo gakure no satô. Une matinée silencieuse, fraîche. Il devait être aux alentours de cinq heures du matin. Une brise fraîche faisaient flotter mes cheveux. Un vent agréable, me permettant de profité du soleil qui commençait à illuminait les habitations et autres constructions du village. Une sueur d'effort pure coulait de mon front. Je faisais glisser ma main sur celle-ci pour la retirer, et continuer mon entraînement. Un entraînement très matinale, certes, mais c'était pour moi, une sorte d’échauffement pour ce qu'il allait ce passer après. En y repensant, je me dis que je n'ai peut-être pas fait le bon choix de vie. Il est vrai que être un ninja n'est pas chose facile tous les jours.... Mission des plus périlleuse parfois, secret professionnel, responsabilité de ses amis et j'en passe ! Des obligations que je n'acceptais plus. Des règles qui me transperçaient l'esprit. Alors pourquoi en suis-je un ? Eh bien.... Je pense que c'est tout de même grâce à des futilités présente. En effet, malgré un monde shinobis des plus cruelles et arrogant, ma vie social prendrait un large coup si j’arrêtais ce job aussi répandu qu'un rhume en hiver. Mais c'est surtout sans compter mes incroyables envies de protéger les autres. Une envie qui persiste aux files des années. Un nindo qui continue de s’amplifier et de prendre place en moi. Il est vrai que cette vision que j'ai de la vie et des opinions. Cette vision des guerres et des ninjas ne me déplaît pas. Je continuais de m'entraîner sans trop user de mon chakra si précieux pendant une bonne heure. Des mouvements de plus en plus rapides, une détermination qui s’éveillait au fur et a mesure de mes enchaînements. Une course vers la volonté qui se terminait plutôt bien. Les mains rangeant mes outils ninjas, je récupérais l'épée présente sur le sol. Après l'avoir plaçais dans son fourreau accroché à mon dos. Soudain, un léger vent très froid parcourus le terrain d'entraînement de Kumo no kuni. Je rester là, cloué au sol, fixant l'objectif. L'académie ninja. C'était dans cet endroit rappelant tant de souvenirs, évoquant tant d'émotions et de sensations inqualifiables, qu'allais se dérouler la première épreuve de l'examen chuunin. Une épreuve que je redoutais malgré ma détermination et ma volonté qui pouvaient se voir sur mon visage. Une épreuve que, avec mon cerveau et le courage enfantin que j'avais, je ne pouvais que m'imaginais une terrible défaite. En effet, l'examen que j'avais réussi avec tant d'aisance, celui de genin, était simple comparer à celui qui m'attendait. Un examen difficile, un examen dangereux, du moins, d'après mon sensei. D'ailleurs, les regrets présent dans les paroles de celui-ci étaient prononcés. La septième heures sonnait. Une sensation étrange me percuta. Une sensation de peur, une sensation qui bouleverser mes sens. Une douleur au ventre surgit enfin. Une douleur méprisable, qui ne surgit vraiment pas au bon moment. Un mal de ventre qui décrivait ma timidité envers ce bâtiment important... Je courrais à lui. Montrant va volonté à travers ces enjambées de plus en plus rapide, à travers cette course effrénée direction le passé.. Un passé qui commençait à s'échapper de mes pensée, un passé que j'allait définitivement oublier. Je vais passer dans la cours der grands maintenant ![Hrp] Jin, donc pour l'examen, on ne peut pas faire comme on l'a dit. Etant donné que nous ne connaissons pas le déroulement de la première épreuve. Donc il faut trouver un autre moyen. Pour le rp, je t'autorise à me faire parler, je te dirais si il faut que tu changes certaines choses... Et pour finir, je suis rentré dans l'académie ninja à l'heure actuelle. Voila, à toi de jouer . A toi mon petit Jeans.
Dernière édition par Jizo le Mar 30 Oct 2012 - 8:57, édité 4 fois |
Jin Kaza~ Chuunin de Kumo ~ ▌Sanction : Aucune ▌Messages : 159 ▌Inscription : 11/06/2012 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : | C / 11 | | Points Naruto Ninja RPG | : (127/1000) | Âge du personnage | : 19 ans Sujet: Re: Examen chuunin de Jizo Kai et de Jin Kaza[ En cours - Pv Jin Kaza ] Sam 27 Oct 2012 - 16:54 | |
| Ma présentation pour mieux comprendre l'histoire - Spoiler:
Histoire de Jin Kaza Photo archive A-001 Il y'a 21ans, un matin aux seins du plus vieux temple des terres du nord, on pouvait trouver déposé auprès de la grande porte, un panier d'osier. En équilibre fragile sur les rocs de granite tranchants et gelés. Abandonné là aux soins des vieux résidents, un nourrissons drapé dans une étoffe sombre, un cuire écaillé par le froid et l'humidité des neiges éternelles du mont Miokishin. Le maître du temple ne pouvant se résoudre à laisser le froid et la faim s'emparaient des dernières forces de cette être fragile, ce résignât à accueillir le jeune enfant. Il fut décidé d'un nom et d'une tutrice. On s'accorda sur Jin et pour le Nom de clan on lui donna celui de la famille noble dirigeante. Certain Y virent un déshonneur, comment un « bâtard » laisser pour compte pouvais hérité dès son arrivée d'un tel privilège... Mais il est sûr que le maître de la citadelle, Onzu Kaza, fit cadeau de son nom à l'orphelin pour le protéger justement de la honte, des railleries et des humiliations que connaissent les êtres abandonné. La tutrice, nourrisses des enfants de la ligné Kaza, ce vit imposé l'éducation d'un troisième enfant, Jin Kaza. Obaza Kaza l'ainé , et sa petite soeur Rin furent donc les compagnons d'enfance, d'un orphelin présenté comme le neveu de leur père, Onzu Kaza ; un simple cousin en sommes. Malgré cela la tutrice des kaza une jeune femme instruite, attentionné mais néanmoins sévère, apporta à Jin autant d'attention qu'au autre kaza, si ce n'est peu être plus dans les premières années de sa vie. - Spoiler:
Photo archive S-003 La citadelle du mont Miokishin est une armurerie géante, spécialisé dans les fuinjutsus. Derrière ses murs on y forme des moines ninjas, aux compétences appréciaient. Des parchemins explosifs des scellements, des barrières défensives et bien d'autres sceau qui sont créés et vendus sur les marchés militaires. Le fort est d'ailleurs subdivisé en 13 blocs, chacun constituant une zone autonome. Chaque bloc à sa spécialité et est protégé par des barrières. Les portes massive de bois deviennent alors impénétrables sans la clé du bloc concerné. La circulation dans le monastère n'est pas simple, elle y est très réglementée. La citadelle est immense, creusé dans la montagne elle rassemble quatre mille résidents. Une petite communauté cacher qui vis reclus loin de tout, sans ce préoccupé du monde extérieur. C'est dans ce cadre, dans le bloc 3, dit de l'éducation, que Jin fait ses premières classes, s'accommodant des leçons sur le chakra et sur les concepts au combien fumant de cercle de transformation, de kanji d'invocation de sceau énergétique. Il s'avère que le jeune garçon ne soit pas très doué avec l'art subtile et au combien intellect du fuinjustu. Sont corps fort, fin, tracé et élancé sous entend plus une habilité corporelle qu'intellectuelle. C'est pourquoi son Oncle, le maître de la citadelle, décide de confier l'enseignement du jeune Kaza au Bloc 4 dit, de combats, fessant de son neveu le plus jeune résident du bloc. C'est ici que le jeune hommes c'est habilement épanouis, jamais dans l'histoire de la citadelle du mont Miokishin un enfant avait montré autant de compétences dans le combat. Jin s'avéra êtres un expert du sabres, le maître Kaza fit venir pour son éducation militaire un saumurais du nord, mais aussi un ninjas déserteurs des terres libres. Deux hommes aux compétences reconnus. Au yeux du maître Onzu, Jin est alors l'espoir qui réveille un sombre projet oublié...
Pour ses onze ans, le bloc 6 crée à la demande du maître Kaza une arme pour Jin. Un sabres qui produit son propre chakra, un Katana dans lequel on a sceller « la volonté de détruite » Ce genre d'armes impose que ses créateurs aient une maîtrise parfaite du fuinjutsu, en effet, le sabre est un Mugen, un katana qui ne s'émousse pas qui dispose d'une résistance d'un tranchant à toute épreuve et qui dégage un chakra poison, qui brûle et gangrène les chaires. Le sceau du Mugen est gravé dans l'acier du sabre avec le sang et le chakra de son Unique porteur. Jin est donc le maître d'un sabre aux capacités redoutables, ce sabres dévore littéralement la vie, l'âme... Pour maîtrisé l'arme le jeune guerrier a dû apprendre à résiste, aux émanations sombres quelle dégage. Apprendre à s'imposer comme maître, le sabre dispose en effet d'une volonté propre qu'il faut brider et soumettre. Le fourreau du sabre dispose lui aussi d'une capacité, celle d'éteindre le sabre de le plonger dans un profond sommeille jusqu'à la prochaine dégaine. Il a fallu deux ans d'entraînement, extrêmement douloureux et cruelle pour que le jeune Kaza maîtrise parfaitement l'artefact de la destruction. - Spoiler:
Photo archive S-011 Tous cet intérêt pour Jin, tous ces efforts et dépense pour faire de lui un guerrier fort, dénote sans conteste d'un projet cacher, mais quelles sont les véritables intentions du vieux maître de la citadelle ? L'héritier de sang, Obaza Kaza est un grand expert en Fuinjutsu, un homme très intelligent qui sera dirigé et protéger la cité, alors quelle avenir espère le maître Onzu Kaza pour Jin... c'est à sa quatorzième année que les véritables intentions de la famille kaza éclate au grand jour. Onzu kaza, ordonne à Jin d'éliminait sans vergogne, des opposants politiques aux seins même de la citadelle, en trois ans, Jin devient l'être le plus sombres qui soit, la volonté de détruire de son sabre l'envahie et il exécute les assassinas demandés avec un détachement effroyable. Jin devinent alors le « nettoyeur » il incarne le pouvoir despote qui s'impose à tous les citoyens de la citadelle du nord. Le jeune homme perd peu à peu le contrôle de lui même n'arrivant pas refusé les ordres de son oncle... à sa 17eme année ont l'enferme dans le bloc 9, dit de recherche, on lui grave alors le sceau de l'âme sur le coeur. Il devient alors un homme peu social et agressif, distant aussi. Le sceau de l'âme est un fuinjutsu que l'on pose sur les Kaza fort ! capable de le supporter... Le graver est une torture effroyable. Ce sceau donne à son utilisateur, force et résistance, il lui permet de récupérer de grande blessures. En contre partie il met la vie de son utilisateur en joug. A trop s'en servir on en perd la vie, le sceau ce nourris du chakra de son hôte et surtout il impose des contraintes mental insoutenable. Jin est enfermé jusqu'à sa 20eme années, ou l'on lui impose de terrible traitement... Aujourd'hui la citadelle à était complètement détruite, Jin est le dernier survivant, lui seul sait ce qui c'est exactement passer, mais beaucoup pense qu'il a tout détruits et c'est enfuit... pour un avenir meilleur.- Spoiler:
Photo archive S-031
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| L'examen Chunin ~ « Se remémorer le passé » ~
J'avance de bon matin vers l'académie, un lieu que je n'ai jamais fréquenté à Kumo. J'ai fait mes classes loin d'ici, dans la grande citadelle des Kaza. Un passé lointain qui remonte à la surface ce matin ou tout doit changer pour moi.. .
Flash-back : « Du temps ou j'étudiais dans le majestueux fort des Kaza, j'éprouvais déjà une répugnance tenace contre les salles de classes. Notre enseignante, Mademoiselle Aiko qui accessoirement était ma tante, mais aussi la sœur cadette du maître incontesté de la citadelle. Était aussi chargée de mon « redressement ». Elle essayait en vain de m'enseigner les rudiments du Fuinjutsu. Parchemin explosif, parchemin enflammée ou simple parchemin de stockage dans lesquels elle nous contraignait moi et toute la classe à sceller des dizaines de litres d'eau, des rochers d'une tonne et des rivières d'arme blanche. J'écoutais à demi-mots son charabia, ses mandras, et toutes ses formules et leçons barbantes. « Le fuinjustu est une matérialisation du chakra, là ou les mudras du ninja transforme son chakra, nos sceaux donnent forme à notre chakra. Quand vous serez des experts en la matière il vous sera simple de créer des boucliers, des espaces spacio-temporel ou ranger une immensité de composants bien réel, dans des notes minuscule. Le fuinjustu est un art souple ne l'oublier jamais »
Fripons attachant, mais surtout déjà enflé d'orgueil, j'étais souvent très impolie avec mon institutrice. Le bloc 3 de l'Éducation ne me convenais pas du tout. Ici chacun passe son temps dans des ouvrages, la bibliothèque ressemble plus à temple de la méditation qu'à un lieu de vie, ou l'on partage des idées et ou l'on discute de tout et de rien contre la volonté d'un bibliothécaire aux augets. Nan, dans le bloc 3 chacun est dans sa bulle, chacun avale les pages de son ouvrage comme on aval goulûment un repas succulent. Curiosité et soif d'apprendre sont le maître mots ici... Les barrières qui m'empêchent d'accéder aux 12 autres blocs, forment un étau qui m'enserre. Alors je fais le mur, je dors en cours et je prête le moins d'attention possible aux autres élèves.
Mon cousin Obaza Kaza, fils du maître de la citadelle, Onzu Kaza, est un étudiant modèle. Il survole les cours sans ce soucier de rien. Il est mon aîné de 5ans et c'est lui qui a créé pour moi une clé de fuinjutsu pour errer à mon aise dans la forteresse. Un cadeau magnifique ! Les 4000 résidents de la citadelle sont soumis à des règles très strict. Chacun est assigné à son bloc, seul les hauts gradés peuvent se déplacer librement dans l'immensité du fort. Chaque portes de bois, haute de 15 mètres qui séparent les blocs est protégé par un sceau ! Une barrière qui les rendent infranchissables, même par la force brute. Et les clés sont rares, j'ai longtemps essayer de voler, celle de mon enseignante et tante. Mais c'est un subterfuge trop risquer ! Souvent pour me punir de mon insolence en classe, elle apposait sur moi un sceau de restriction... me forçant à écouter son charabia. Elle m'a fait subir toute sorte d'humiliations, elle s'est même permise d'accolé un parchemin explosif sur mon dos ! « Si tu bouges de ta chaise pour faire le mur, je te fais grillé comme un petit beur bien cuit » Autant de méthode barbare qui mon contraint à l'assiduité. Mais maintenant, grâce à mon cousin et voisin de chambre je peux vagabonder dans l'immensité de la citadelle. « Jin malgré mes connaissances je t'ai créé une clé limitée qui t'ouvrira, je pense jusqu'au 5ème bloc. Ensuite cela nécessite des Kanjis et des compétences énergétiques et techniques qui me dépasse... » « c'est amplement suffisant merci !! » « Pas de soucis, reviens pour le couvre-feu et évite de te faire remarquer » Pendant de longs mois j'ai alors exploré les moindres recoins de la citadelle, du bloc 1 ou l'on entreposait les vivres et le matériel, au bloc 4 de combat. J'ai découvert la liberté. Tout mon temps libre je l'ai passé à espionnais les leçons du maître d'arme qui enseignait aux jeunes hommes du bloc 4. Une fois la leçon terminée... je m'empressais de singé ce qu'il faisait dans les grands dédale sombre du bloc de 2. Une pièce immense, unique, froide, qui s'étend sur des kilomètres. Un sous sol humide, une succession de piliers qui soutiennent la structure de notre fort. Ici je frappais les piliers, m'écorchais avec un bout d'acier rouillé, qui me servait de sabre. J'ai travaillé, travaillé sans relâche. Doucement les jours et les semaines on fait de moi quelqu'un de plus mure. Maintenant j'assistais aux cours de mademoiselle Aiko Kaza sans rechigner ou pester. J'épluchais même les registres de la bibliothèque à la recherche d'ouvrage de combat. Mon corps a changé très vite, j'étais déjà un mioche bien battis avant tout cela. Mais plus les mois passèrent, plus Mademoiselle Aiko remarquait que je n'étais pas fait pour le bloc 3. Ici les enfants avec qui je partage mon quotidien, transpirent la fragilités. A 10 ans on est frêle et sans hargne... ils ressemblaient plus à des rats de laboratoire en herbes qu'à autre chose. De cancre incontesté de la classe, je suis passé à numéro 1. Sans perdre une once de flemmardise et de dédain pour les réflexions de mademoiselle Aiko.
J'aurai espéré qu'avec cette progression fulgurante, que ma tante m'aurai « lâcher la grappe » et pourtant il n'en n'es rien, elle me fessait maintenant travailler avec la « famille » jugeant que j'en étais dorénavant digne. Je n'y ai vu aucun honneur, j'y ai vu surtout du travail en plus et moins de temps pour vagabonder, m'entraîner et espionner les leçons du maître d'arme. Mon temps libre je le passais donc avec mon cousin et sa petite sœur. Subissant notre diabolique tante... je n'ai jamais autant écrit et tracé de kanji énergétique, de transformation, de scellement et d'emprisonnement qu'avec elle. Tenir une barre de fer rouillé et la manié à sans faire saigné les mains, me semblais maintenant plus confortable que tenir un pinceau ou une plume en sa présence !
Malgré tout j'en appris beaucoup, Obaza, mon cousin, souvent me trouvait des ouvrages plus à mon goût... « L'art de la guerre » « Histoire d'un bretteur de l'ouset » « Le ninjustu et ses rudiments » « Histoire du monde militaire shinobi » « Politique du pays du feu, de l'eau et de la foudre » Il voyait en moi son futur ministre de la guerre. Lui qui était voué à succéder à son père ! Onzu Kaza... D'ailleurs ce projet un peu fou je vous l'accorte, de ministre de la guerre, est arrivé aux oreilles de notre enseignante et tante. Ne me demander pas comment ! Cette dame entend tout, voit tout, comprend tout et je rajouterai « et tout, et tout... ». Donc, un jour que je faisais le mur pour aller m'entraîner dans le bloc 2, ce lieu immense, vide froid ou j'aimais me retrouvé seul avec moi même ! Mademoiselle Aiko me suivie... je travaille depuis des heures m'acharnant sur un piler inflexible, l'acier tordus et rouillé dans mes mains poisseuses et sanguinolentes. Quand elle m'interpelle... « A qui as-tu volé cette clé ?! Pour franchir les barrières qui séparent les blocs » d'abord surpris, puis ensuite apeuré par l'idée de perdre ma liberté... je réponds sans trahir mon cousin. « je l'ai construite moi-même ! »
Elle me toise puis pose son index sur mon front avec une vitesse que je ne lui imaginai pas posséder ! « In'kan Kaifu, brisé le mensonge » Encore un Fuinjutsu de son pedigree. Les Kanjis dansent sur mon front pour venir s'infiltrer dans mes yeux, une douleur insupportable... avant qu'elle ne me libère de son emprise. « c'est Obaza qui t'a aidé ! Vous portez le nom des Kaza... tu as des responsabilités ! Et respecter le règlement en fait partis ! Donne moi cette clé » elle tend la main et je lui donne la tablette de bois gravé par le sceau ; qui fessait ma liberté ! « je te la rendrai quand ton oncle aura approuvé ton transfert dans le bloc 4 ! » Une joie immense gonfle mes poumons, j'aimerai lui crier « merci » sauter dans ses bras et l'étreindre de toutes mes forces, mais elle coupe court à mon élan « Ne crois pas que toi et Obaza n'allaient pas subir une correction digne de ce nom !» je la suit dans son ombre, la tête basse, redoutant la punition...
Un sceau douloureux posé sur l'abdomen qui donne l'impression d'être brûlé de l'intérieur !? Mon oncle et maître de la cité cachée m'avait fait subir cette torture 8h d'affilés, lorsque j'ai rossé méchamment un élevé du 3eme bloc. Obaza était alors partie pour une mission, laissant sa petite sœur sans défense. Bien-sûr porter un nom aussi prestigieux que celui des Kazas, la famille dirigeante, implique la convoitise et la haine. Même chez les plus jeunes. Personne n'ose affronté Obaza, il maîtrise des Fuinjutsu destructeur. Le genre qui en décourage plus d'un à s'approcher à moins de 10 mètres de sa sœur adorée. Quand il s'absente pour une mission beaucoup la martyrise. Plus fragile et moins aguerrie que lui ! Des grands étudiants, qui ont bien 5 ans de plus que moi, en profite pour l'affronter en duel. Elle ne refuse jamais... « c'est l'honneur de la famille qui est en jeu » Même si cela l'épuise, même si elle prend des risques et s'expose au coup bas de ces jaloux sans vergogne. Alors, un jour j'en ai coincé un et je les tellement battus à mort que ses comparses en ont vomis devant la vison d'horreur. « Un pour l'exemple, les prochains, je les tues !» Mon oncle a jugé, qu'en tant que Kaza et fille du maître de la citadelle elle était et devait être à même de se défendre seule ! Malgré tout j'ai eu droit au « merci » timide de ma cousine. Suffisant pour effacer dans l'instant les longues heures de souffrances subis. Je me retrouve donc dans le bureau spacieux, immense même, du bloc 13. Le regard inquisiteur de mon Oncle me sonde jusqu'au plus profond de mon âme. C'est un homme âgé, bérbe, grand, au regard ferme. Ma tante lui explique que j'ai des « aptitude pour le combat » « Elle m'espionne depuis quand sérieux ! » mon oncle ne semble pas surpris... « je le sais Aiko ce gamin dispose d'une force diabolique. Il a battu à mort un 7eme année, un garçon de la classe d'Obaza. Il lui a cassé toutes les cotes, le fémur et la mâchoire... l'effronté est encore dans le coma et je ne compte pas l'aider. Il l'a mérité. On ne touche pas à mon sang, à ma famille ! » Il se retourne vers moi et rajoute « je t'ai puni pour une seule raison... tu dois prévenir Aiko de ce qui se passe, ne pas agir de ta propre volonté. Tu es un Kaza. Contention, réflexion et pondération sont pour toi des devoirs. Tu dois te maîtriser ! » A cette époque je ne savais pas que je n'étais pas un kaza de sang, je ne savais pas toute l'histoire, toute mon histoire ce n'es que plus tard que l'apparente bonté de mon Oncle s'effrite. Ce n'est que plus loin, que j'ai compris l'homme que c'était !
3 semaines que je suis le cours de Kimura le mètre d'arme qui forme les futures soldat de la citadelle. Je suis le plus jeune de la promotion, le plus jeune à entrer dans le bloc 4 tout court d'ailleurs. 11 ans et je suis déjà le plus puissant combattant de la classe. A croire que mon corps n'est pas le même que celui des autres résidents. Au sabre je suis imprenable, à mains nues je suis imperméable au coups... Une résistance hors-norme qui m'a valus le surnom de « petit démon de la famille Noble » Mon oncle suit mon enseignement en personne. M'enseignant avec beaucoup de sérieux mon premier jutus. Le Gen'kotsu ! Un jutsu ancien, qui permet d'acquérir la maîtrise parfaite de son corps, d'augmenter sa synergie, sa force, ses réflexes et son contrôle. Un Justu rare et ancien autant que dur et complexe. Il m'aura fallu un an pour le maîtriser... Signant ainsi la fin de mon enfance éphémère. « Tu es un homme maintenant Jin, l'héritier digne de la force des kaza » Ainsi commence ma vie d'assassin, là ou mon cousin protégeait dans la lumière la citadelle des ennemies qui attaquaient le fort. Je protégeais l'emprise de la famille sur la citadelle en surinant les politiciens véreux. Le bloc 13 n'aura alors jamais eu autant peur de « l'ombre du démon » du « nettoyeur ». Jeune et innocent à l'époque je me suis laissais manipuler par mon oncle. Le Mugen entre mes mains, sabre démoniaque autant que puissant. Je m'étais alors perdus dans la violence et l'errance.
A ma 17ème années une dictature « parfaite » soumettait la cité cacher. Dorénavant devenus inutile, comme une arme obsolète aux yeux des Kaza. On m'a enfermé dans le bloc 9. Pour y subir des expérimentations et des améliorations. On finit par me poser le sceau de l'âme. Encore une pratique ancienne et rare réputé mortel et inhumaine tellement elle est horrible. 16 mois de torture sur une table de scellement, torturait par mon oncle lui-même. J'ai pleuré la souffrance, hais la vie jusqu'à en supplier la mort elle-même de venir me prendre. C'est comme si tous les jours on violait mon moi intérieur, mon jardin privé, mes pensées les plus profondes, mes sentiments les plus nobles. Chaque jour, le sceau s’enfonçait un peu plus, pour venir enserrer tout sur son passage... Mes chaires et mon âme ! J'ai été enfin laissé pour mort dans une prison de fuinjutsu... c'est ici que j'ai découvert ma véritable identité mon véritable passé, l'héritage de mon sang! [...]» J'arrive enfin devant l'académie, je peux lire dans les yeux des prétendants au titre de Chunin la même peur. Celle de l'échec ! Jizo me remarque au loin, je le rejoins. Aujourd'hui c'est le début d'une nouvelle page, d'une nouvelle histoire.
(Hrp: la suite plus tard à l'examen Junin Peut-être)
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