Prénom et Nom : Basuru Akamoya
Âge : 16 ans
Village / organisation désirée : Suna

Description physique :

Basuru ne possède pas tellement les caractéristiques d’une personne qui a vécu dans le désert mais il en a au moins le caractère. Basuru a des cheveux bruns qui virent au roux au soleil. Il est, de par sa constitution physique, assez faible lorsqu’il s’agit de combat au corps-à-corps par contre il détient un grand savoir faire en terme de lancer de senbons et de kunaïs, c’est pour cela qu’il utilise une marionnette pour garder utilisé au maximum ses dons de précisions lors des combats rudes.

Basuru a une taille de 1m80 ce qui fait de lui une personne tout de même au-dessus de la moyenne de taille pour les hommes et il est donc plus facilement repérable à moins qu’il ne change sa taille grâce à un jutsu de type métamorphose. S’il a une grande taille, c’est qu’il a aussi de grandes jambes et c’est pour cela qu’il peut courir assez vite du fait de celle-ci et surtout car il est très léger (57 kg), souvent la fuite est préférable au combat frontal comme on dit…

Description morale :

Moralement, Basuru est une personne qui n’abandonne pas facilement mais qui n’est tout de même pas borné et qui sait quand l’ennemi est trop fort qu’il ne doit pas surpasser ses limites. Très stratège, il aime beaucoup mettre les ninjas adverses devant des choix sadiques tels que mourir par sa main ou celle du terrain où il se trouve avec son adversaire ou bien par le biais d’un des poisons qu’il sait concoté souvent des poisons à retardement qui ne font pas mal tout de suite mais qui devienne douloureux sous certaines conditions. Basuru, quoiqu’un peu sadique sur les bords, sait rester enclin à la discussion et à la diplomatie, il reste aussi un ami fidèle et loyal que se soit envers son village ou ses coéquipiers.

Par contre, Basuru est très curieux, il aime tout savoir ce qui est un avantage pour un ninja mais un inconvénient dans la vie de tous les jours. Il est aussi très bavard ce qui peut se révéler embêtant en combat car il lui arrive de révéler par fois une ou deux de ses techniques à ses adversaires.

Son Nindô est : « L’intelligence prime souvent sur le muscle même si mes adversaires ne s’en rendent compte que lorsqu’ils sont confrontés aux choix que je leurs offre. »

Son histoire :

Chapitre 1 : L’exil d’une famille.

Nous entrâmes dans la salle, apeuré ma femme tenait notre enfant serré dans ses bras. La cour de Konoha était là réunie autour du Sandaime Hokage : Sarutobi. Mon fils n’avait qu’un an lorsque cet évènement tragique est arrivé à notre famille :

- Nous allons rendre notre verdict sur la famille Akamoya, qui vit à Konoha depuis maintenant dix et qui sont reconnus pour leur talents d’apothicaire, indiqua Sarutobi.

Je regardai l’assemblée, les jurées nous jetait tous des regards en coin comme si nous n’étions pas la bienvenue alors que nous avions tant fait pour le village. L’Hokage et ses conseillers écoutèrent donc le verdict prononcé par les jurées :

- À l’unanimité, la famille Akamoya est reconnue coupable d’empoisonnement de la famille Shinzu qui est arrivé en même temps qu’eux à Konoha, ayant les même talents que la famille jugée et qui, d’après les rapports, commençait à faire de l’ombre à la famille Akamoya au niveau de leur commerce.

Ma femme ne pouvait plus retenir la tension résiduelle et la pression qui subsistait dans la salle et elle commença à pleurer à chaude larme. Je regardai dans la direction de Sarutobi pour voir s’il n’y avait pas une lueur d’espoir pour nous mais il avait l’air d’avoir d’autre plan pour la famille Akamoya :

- Mais en raison des services rendus par la famille Akamoya à Konoha depuis leur arrivé, la peine capitale ne sera pas appliqué mais ils devront s’exiler et ne plus jamais revenir à Konoha.

Je fus surpris de ce revirement de situation et ma femme l’était tout autant que je pouvais l’être. Nous remerciâmes de sa clémence le Sandaime Hokage puis nous attendîmes que toutes les personnes du conseilles du village, du jurés ainsi que le Sandaime lui-même sortent pour sortir à notre tour :

- C’est un coup monté, on nous a bien piégés. Je remercie le Sandaime de nous avoir sauvé la mise sans lui nous ne serions plus à l’heure qui l’est mais quelqu’un serait content de nous voir disparaître ici à Konoha, tu imagines !

- Je le sais Shiname, mais quelque chose m’échappe dans cette histoire : pourquoi nous ? Je me le demande.

Nous retournâmes chez nous pour nous préparé à un long et rude voyage. Je pris tout ce qui était nécessaire à notre survie : des bandages, des kunaïs, des fioles remplis de notre décoction spéciale longue route (ma préférée), ainsi que tout l’outillage nécessaire pour faire une tente et des lits camps qui nous serait bien utile. Pendant que je rangeais mes affaires, un détail me chiffonnait : ma femme avait raison pourquoi nous ? Un mystère de plus à éclaircir dans le cycle infernal de notre vie :

- Au fait, où allons-nous aller, demanda ma femme Sanobi.

- J’ai entendu dire qu’ils avaient besoin de personnes douées dans l’art des potions et remèdes en tous genres à Suna no Kuni. Je crois que c’est le seul choix qu’il nous reste en espérant qu’il nous accepte là-bas, lui répondis-je en terminant nos sacs de voyages.

Sanobi hocha affirmativement de la tête pour donner son accord. Ayant fini de ranger toutes nos affaires, nous sortîmes de la maison dans laquelle nous résidions près du mur d’enceinte de Konoha, la magnifique Konoha mais qui n’était désormais plus officiellement notre foyer.Nous rendîmes nos bandeaux de ninjas en sortant du village où nos noms furent rayés pour la dernière fois des registres de Konoha, l’ultime effacement de la ville venait de s’abattre sur notre famille. Mais l’exil que nous proposa Sarutobi fut salvateur car pendant notre voyage de plusieurs mois, lors de l’examen des Chuunins qui se déroulait à Konoha, le village fut attaqué par Orochimaru et Sarutobi mourut sous les coups de son adversaire auquel il avait infligé des dommages irréparables.

Chapitre 2 : Le mystère s’épaissi et s'éclairci.

J’avais toujours cru être né ici à Suna, moi Basuru Akamoya, mais mes parents m’ont raconté la triste histoire qui est arrivé le jour de mon anniversaire, notre départ précipité de Konoha et la longue traversé du désert faite par mes parents pour nous éviter des ennuis. Cependant, il ne faisait que commencer nos ennuis, notre arrivée c’était quasiment faite en fanfare mais nous avons réussi à nous faire une place de choix, nous, la famille Akamoya anciennement apothicaire de Konoha no Kuni. Mais là n’est pas la question, je repensais à cela pendant mon examen pour devenir enfin un vrai ninja de Suna, ce n’était pas le moment de penser à l’histoire de ma famille, je devais écrire à mon tour ma propre histoire, celle du ninja de Suna que je vais devenir :

- Bon, prochain candidat Akamoya Basuru.

Je m’approchai de Junda sensei, ayant un peu le trac je tremblais légèrement mais me ressaisissant je pris mon courage à deux mains et m’avança fièrement. D’après ce que m’avait dit Junda sensei j’étais l’élément le plus prometteur de cette promotion en tout cas c’est ce qu’il pensait :

- Eh bien, j’espère que tu es prêt car tu va nous exécuter une technique combiné : un Kawamiri ainsi qu’une technique de Bunshin avec qui tu feras ta substitution pour éviter le shuriken que je vais t’envoyer.

- D’accord, dis-je en hochant la tête pour confirmer que j’attendais le signal pour commencer.

- Attention… Maintenant !

Junda sensei envoya son shuriken à la vitesse de l’éclair, j’exécutai à la suite mes deux techniques coups sur coups pour avoir le temps de riposter car ce n’était pas Junda sensei qui était devant nous depuis quelques minutes et j’étais le seul à l’avoir remarqué. J’envoyai trois senbons pour plus de précision, un à chaque jambe pour paralyser mon adversaire et un autre au niveau de sa main valide qui pouvait encore m’envoyer un deuxième shuriken. Je ne touchai pas ses jambes mais sa main fut gravement blessée :

- Comment as-tu remarqué ?

- Votre shuriken était suintant de poison, et si je ne m’y connaissais pas je dirais qu’il était là pour simplement me tuer à la première éraflure.

Junda sensei se métamorphosa en une grande mante-religieuse de couleur grise qui émettait des cliquetis continus :

- Une technique de marionnettiste !

- Eh oui, beugla l’homme caché dans la ventilation de la salle.

Il sortit de son trou, mauvaise idée mais au moins je pouvais enfin voir le visage de mon adversaire même s’il n’était pas très beau :

*Pourquoi faut-il toujours que notre famille attire les ennuis en plus on enseigne que ces techniques à Suna, pourquoi quelqu’un de Suna ? On veut notre peau et c’est ici que le mystère va enfin s’éclaircir.*

- Tu te pose sans doute beaucoup de questions mais je vais t’éclaircir. C’est moi qui aie tout orchestré depuis 11 ans, votre exil de Konoha et l’empoisonnement de la famille Shinzu, c’était moi pour éviter que la prophétie des marionnettistes ne se réalise.

- Quoi ? Attends une minute tu veux dire que je serais le prochain grand marionnettiste de Suna.

- Eh ! Mais c’est que tu en connais des choses toi mais maintenant tu vas mourir en n’accomplissant pas ta destinée…

La mante-religieuse lança ses deux kamas vers moi, tout aussi suintant de poisons que le shuriken :

*Si je n’esquive pas je vais mourir surplace car si c’est bien le même poison que celui qui a tué la famille Shinzu, je sui mal barré.*

Soudain j’entendis l’entrechoquement du métal, puis le sifflement si singulier des shurikens lancés à tout allure et enfin un corps qui s’effondre, mon assaillant était mort sous les coups de Junda sensei, cette fois-ci l’original, qui avait arrêté l’attaque :

- On dirait qu’il n’avait pas la volonté de te tuer car il n’a pas utilisé tout son arsenal.

- C’est parce qu’il croyait s’être infiltré sans être remarqué, n’est-ce pas sensei ?

- Eh oui ! Ne jamais être trop sûr de soi, un plan parfait ne l’est quasiment jamais.

- Mais comment se fait-il que vous n’étiez pas ici lors de l’examen pour les autres élèves ?

- Eh bien c’est compliqué, normalement j’aurais dû me faire remplacer par Maidra mais il devait encore faire un petit somme et notre ami, l’un des nunkenins de Suna, a dû en profiter pour faire passer l’examen à tous les ninjas présents qui sont passés avant toi.

- Il devait avoir beaucoup d’informations sur nous tout de même mais ce n’est pas la question, au moins je sais pourquoi on s’est retrouvé ici mes parents et moi maintenant.

Je souris de plus belle à Junda sensei qui me rendit mon sourire. Il regarda l’assemblée des aspirants ninjas puis fit un tour de salle pour voir s’il n’y avait pas d’autre problème du genre humain ou bête monstrueuse qui rôde autour de la salle, il regarda le corps écrouler et le fit disparaître en mettant un parchemin sur son front par contre la marionnette resta là, complètement amorphe car n’ayant plus de maître. Junda sensei me regarda et alla déposer précautionneusement la marionnette près de la porte. Puis après cette rapide inspection, il décida de continuer lui-même le test des aspirants ninjas et il n’en restait que cinq :

- Bon nous pouvons continuer maintenant que l’incident est clos.

Je m’assis dans un coin de la salle pour continuer à regarder l’examen des aspirants. Deux personnes s’approchèrent de moi : c’était Rin et Pankaru.

- Je te félicite pour ta prestation, dit Rin, enthousiaste.

- Ouais, il s’est fait encore remarquer auprès de toute la classe, monsieur je suis nul en taijutsu.

- En tout cas, t’aurais pas fais la différence entre un crapaud et une colombe si on te les mettait sous le nez toi…

- Redit pour voir !

- Eh ! Stop les garçons, on se calme tout de suite sinon Junda sensei vous fera subir le même sort qu’au nunkenin.

Nous nous arrêtâmes de nous même et attendirent le verdict de Junda sensei qui, pendant notre altercation, avait terminé l’examen. Tous les aspirants ninjas de la salle étaient très stressés par l’idée de ne pas être pris :

- Bon, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle.

Il regarda d’un air consterné l’assemblée et il se mit d’un seul coup à tous nous sourire :

- Cette année… Il n’y a pas de recalé !

La tension baissa d’un cran et tous les aspirants ninjas exprimèrent leurs joies. Cependant je regardai Junda sensei droit dans les yeux car il n’avait toujours pas exprimé la « mauvaise nouvelle » :

- Ne vous réjouissez pas trop vite chers Genin de Suna car vous n’avez pas encore terminé votre entraînement et surtout vous ne savez pas qui va prendre en charge votre équipe.

Les genins de Suna se regardèrent, incrédules car personnes dans la salle ne comprenait ce que Junda sensei voulait dire.

*Mais qu’est-ce que cela veut-dire ?*

- Vous le devinerez bien assez tôt, dit-il comme s’il avait deviné nos pensées à tous.

Tous les aspirants ninjas sortirent de la salle mais Junda sensei me retint à part, qu’avait-il à me dire de si important ?

- Tu sais pourquoi j’ai gardé la marionnette que tu vois-là ?

- Non Sensei, répondis-je franchement.

- Eh bien, dorénavant, elle t’appartient !

- QUOI ?!

- Oui, car le nunkenin que tu as rencontré tout à l’heure avait raison, tu es le prochain grand marionnettiste de Suna.

- Mais c’est impossible…

- Et bien si. Car tu peux me dire le nom de cette marionnette sans l’avoir lu sur son abdomen même s’il n’est pas compliqué. Je t’en pris, tu peux me le dire, je la connais très bien cette marionnette.

Je réfléchis pendant un instant et soudain le nom de la marionnette apparu dans mon esprit aussi clair que de l’eau de roche :

- Kamakiri haiiro no Kumo, la mante-religieuse des nuages gris.

- Donc c’était vrai, l’un des pouvoirs des grands marionnettistes de Suna est de deviner le nom des marionnettes rien qu’en les regardant.

- J’en suis tout autant surpris que vous.

- Ne t’en fais pas tu apprendras à contrôler ta marionnette et ce nouveau don que tu as.

- Mais je voulais me spécialiser en tant que ninja médecin vous savez !

- Je le sais mais comme tu peux le voir, tu devras allier cette discipline à l’art du kugutsu.

- Je ferais de mon mieux sensei.

- Je l’espère, s’exclama-t-il.

Je le regardai encore une fois avant de prendre la marionnette et de sortir de la salle de classe :

*Mes parents, ne vont jamais vouloir y croire.*

Chapitre 3 : Une équipe assez spéciale.

- Oh, pourquoi faut que je me retrouve encore avec toi !

- Tu sais, ça ne m’enchante guère moi non plus.

- Bon je vois que vous vous connaissez tous déjà plus ou moins, dit Maidra sensei.

- Oui mais pas dans le bon sens, répondit Pankaru.

Il me jeta un regard noir que je lui rendis mais avec le sourire narquois dont j’ai le secret :

- Mis à part ça, ils sont très amis, dit Rin complètement confuse devant Maidra sensei.

- Je vois, bon nous allons commencer l’entraînement de chacun d’entre vous, il va être pour l’instant individuel pour chaque membre de l’équipe pendant une période qui sera plus ou moins longue selon votre avancement car je dois maintenant vous préparer pour l’examen des chuunins. Alors, commençons : Kage bunshin no jutsu !

Deux clones de Maidra sensei apparurent dans un nuage de fumée, l’entraînement allait pouvoir enfin commencer :

- Comme vous pouvez le voir, je serais avec chacun d’entre vous pour vos entraînements respectifs.

Nous fûmes surpris mais apaisés car on ne savait si nous allions devoir s’entraîner sous le regard des deux autres ninjas de notre équipe. Les clones et Maidra sensei s’avancèrent vers chacun de nous mais ne savions pas lequel des trois étaient l’original :

- Toute fois, vous ne serez pas trop éloignés les uns des autres car nous seront sur trois terrain d’entraînement adjacent que j’ai réservé spécialement pour vous.

Nous allâmes donc jusqu’au trois terrain d’entraînement tous les trois différents par bien des aspects mais je savais lequel m’était réservé celui avec les mannequins de bois et les cible planté en diverses recoins du terrain. Un des terrains d’entraînement était complètement vierge, je devinais que s’était pour Pankaru car il savait maîtriser le sable mais il ne possédait pas de jarre semblable à Gaara donc n’en avait pas à disponibilité, à moins qu’il aille le chercher sous la terre à l’aide de son chakra. Enfin le dernier terrain était quelque peu singulier : un labyrinthe ! Pourquoi Rin avait un labyrinthe ? Peut-être pour sa polyvalence et sa grande maîtrise de l’art du repérage du chakra, du camouflage et du pistage, c’était ce qu’il y avait de plus logique :

- C’est ici que vous vous séparé car comme vous pouvez le voir le labyrinthe ne permettant pas de voir d’un bout à l’autre les trois terrains sont complètement séparés et vous ne pourrais pas voir les progrès de vos camarades à moins qu’il ne vous en parle bien sûr.

*- Encore une façon de nous tester.*

J’entrai sur mon terrain d’entraînement en même temps que Rin et Pankaru et donc je ne savais pas quelles instructions Maidra sensei pourraient leur donner :

- Basuru, on va revoir les bases de taijutsu pour que tu puisses pallier à ce défaut et ensuite nous allons commencer un chapitre important sur la maîtrise du chakra.

- Très bien Maidra sensei.

L’entraînement de taijutsu fut long et rude mais revoir les bases sans avoir trente élèves derrière soi faisait du bien et je pouvais me relâcher complètement, j’enchaînai les attaques que je connaissais jusqu’à ce que le soleil soit au zénith et qu’il fasse rudement chaud même pour le désert où nous étions :

- Bon, tu as bien travaillé pour ce matin. Il faudra que l’on revoit quelques une de tes poses mais tu te débrouilles mieux que ce qu’on m’avait dit à l’académie, allons manger.

Nous sortîmes du terrain par la porte que j’avais emprunté le matin-même et nous retrouvâmes les autres membres de l’équipe, Maidra sensei rappela ses clones et je remarquai que l’original était avec moi pendant la matinée. Le repas se passa sans que personne ne pipent un mot et nous retournâmes à nos entraînement respectifs, Maidra sensei refit ses deux clones pour qu’il soit toujours avec nous tous :

- Cet après-midi, nous allons parler de la maîtrise du chakra et nous allons t’apporter un outil qui va te servir tout au long de cet après-midi.

Soudain Junda sensei apparut avec ma marionnette :

- Eh oui, c’est aujourd’hui ton premier entraînement à l’art du kugutsu car Maidra est un pratiquant lui aussi de cet art.

J’ouvris grand les yeux éberlués d’apprendre cela. Maintenant le destin qu’on m’avait tracé allait s’accomplir.

Chapitre 4 : L’examen tant attendu (1ère partie)

Je me levai à 8h00 car je devais arriver tôt au centre de Suna pour qu’on nous indique la salle où se déroulait la première partie de l’examen, en chemin je retrouvai mes deux équipiers même si je préférais Rin à Pankaru, je crois que pour l’examen, ils vont être d’une rare utilité. Quatre années à attendre d’être fin prêt pour l’examen, c’était certes long mais très probant car nous avons tous fait d’énormes progrès depuis nos premiers entraînements individuels, Rin était passée maître dans l’art du genjutsu, du ninjutsu, du camouflage et du pistage, Pankaru utilisait maintenant beaucoup moins de chakra pour récupérer le sable directement du sol et il le contrôlait avec beaucoup plus de précision et donc en ayant une moins grande perte de chakra lors des combats, quant à moi je connaissais parfaitement tous les mécanismes de ma marionnette Kamakiri hairii no Kumo car je l’avait démonté entièrement puis remonté complètement pour faire quelques modifications sur sa résistance et ses pièges, du plus petit senbon au plus grand câble métallique en passant par tous les poisons que j’avais spécialement créé pour l’examen et tous les antidotes qui allait avec bien sûr, je ne voulait pas tuer mes concurrents et j’avais aussi appris des techniques secrètes de ma famille que mon père avait bien voulu m’enseigner. Il était temps pour nous de savoir où nous allions passer nos examens car cette année nous étions réparties dans plusieurs salle par groupe de trois équipes, nous arrivâmes devant le bâtiment où nous devions passer cette fichue première partie de l’examen, les listes étaient là sur la table où se trouvait les examinateurs et arbitres de la première partie. Toutes les équipes étaient là, nous allions donc commencer l’examen :

- Bonjour à tous les genins, comme ceux de Suna peuvent le voir ce bâtiment, derrière moi sans fenêtre et grisâtre, doit leur être familier car il s’agit de la tour aux milles pièges, dit Sena sensei.

*- Aille, ça va pas être drôle pour tous le monde ici.*

Je regardai autour de moi pour voir d’où venaient les concurrents : il y avait trois équipes de Konoha à surveiller de très près, deux équipes de Kiri et quatre autres équipes de Suna qui riaient à l’idée de voir comment les équipes qui ne connaissait pas la tour des milles pièges allait s’en sortir :

- Bon nous allons donner à chaque équipe la liste des salles qu’il devra emprunter pour arriver en haut et réussir l’épreuve les six premières équipes qui arriveront en haut seront qualifiés pour la deuxième partie de l’épreuve.

- Euh, excusez-moi si l’on emprunte d’autre salle que celle qu’on nous indique sur la liste, que se passera-t-il, demanda un des ninjas de Konoha.

- C’est simple vous serez disqualifié. Ah et j’oubliais, plus vous monterez dans les étages plus il sera difficile et de repérer votre salle et d’en sortir indemne car les pièges seront de plus en plus retors. Sinon le premier couloir celui qui vous mènera jusqu’à votre escalier pour accéder aux salles du premier étage n’est pas piégé, rassurez vous. Mais surtout ne perdez pas cette liste car vous ne pourrais pas revenir en arrière.

Les équipes se mirent en lignes pour aller prendre leur liste de salle afin de pouvoir commencer. Nous avions le parcours 1 : salle n°5, salle n°2, salle n°8, salle n°1 et salle n°46.

*- Un cinquième étage ? Je croyais qu’il n’y en avait que quatre et on ne devrait avoir que des salles allait du numéro 1 à 10. C’est impossible d’avoir le numéro 46 !*

Les équipes entrèrent dans le couloir et allèrent chercher leur première salle :

- Cette épreuve dure seulement 24h, c’est-à-dire que toutes les équipes n’étant pas là demain à 10h00 précise seront disqualifiés et ne pourront pas participer à la deuxième épreuve. Une dernière précisions est à ajouter : pas de combat entre équipe de ninjas pendant cette épreuve car il y aura aussi disqualification des deux équipes qui se combattent. Vous êtes prêt ? Vous pouvez commencer il est 10h00.

Tous les ninjas montèrent dans leur salle. Lorsque nous entrâmes, au sol, nous vîmes des dalles de différentes couleurs et à côtés de nous une pancarte avec marqué dessus : "Suivez les couleurs préférés du Kazekage", la porte se referma :

- C’est quoi ce délire !

- Pankaru calme-toi, ce n’est pas comme ça qu’on va réussir, il faut réfléchir, invectiva Rin.

- En attendant le mur derrière nous se rapproche, nous pousse vers les dalles et si vous ne l’aviez pas remarqué, ils ont changés tous les pièges pour ne pas favoriser les genins de Suna, ce qui est normal.

Rin et Pankaru se retournèrent et virent le mur se rapprocher inexorablement de notre équipe :

- Rin peux-tu essayer de voir s’ils n’ont pas laisser des indices comme un chemin de Chakra pour nous indiquer par où passer sans activer les pièges.

- Je vais essayer, répondit Rin.

Elle se concentra et un sourire apparut sur son visage. Elle lança plusieurs shurikens pour nous indiquer le chemin. Nous courûmes jusqu’à la sortie en évitant les dalles piégés. J’envoyai un senbon pour voir ce qui se serait passé si l’on avait touché une des dalles piégé : le senbon fondit comme neige au soleil, si Rin n’avait pas été là, on aurait été carbonisé comme des poulets dans le désert sous le soleil de midi. En face de nous, en ouvrant la porte, se dressait un escalier pour monter à l’étage du dessus, nous le prîmes et montâmes jusqu’au deuxième étage où les indications au-dessus des portes étaient maintenant inversées, la salle n°2 ne se fit pas prier, nous entrâmes dedans pour voir de quoi il en retournait. Dans cette salle, les murs étaient criblés de trous sans aucun doute pour lancer des projectiles mais sinon il n’y avait rien dans cette salle, Pankaru s’avança, Rin et moi l’arrêtâmes avant qu’il n’entre :

- C’est trop facile, pourquoi y a-t-il des trous près à nous cribler de senbons sur tous les murs que ce soit en haut, à gauche ou à droite ?

- On va en avoir le cœur net, Ninpo : Gaidoku no Kumo.

Et là à notre grande surprise plusieurs fils, recouvert par mon nuage de poison, apparurent comme par enchantement. Près du sol, en plein milieu de la salle, partout pas un millimètre ou l’on pouvait se déplacer sans en toucher un seul. Nous entrâmes maintenant que le danger était identifié, j’utilisai alors Kamakiri pour couper tous les fils :

- La pluie de shurikens.

Tous les fils furent couper en même temps et tous les senbons des murs sortirent de leur cachette. Nous attendîmes plusieurs minutes avant que tous les senbons sortent des murs et que le poison ne se soit complètement volatiliser puis nous avançâmes jusqu’à ce que je sente que l’on s’était fait berné comme des bleus : sur la porte, il y avait aussi un énorme trou d’où sortir plusieurs kunaïs avec des notes explosives sur leurs manches, impossible de les évités mais Pankaru réussis à les arrêter de justesse alors que d’autre arriver à leur suite. Pankaru garda son bouclier de sable actif et réagit :

- Ninpo: Mitsudo no Takai Suna.

Une boule de sable alla se ficher dans le trou de la porte et le boucha définitivement. Nous pûmes enfin sortir de la salle pour continuer sauf que ce qui nous attendait dehors nous fit pâlir d’angoisse : il n’y avait pas un mais six escalier devant nous avec marqué au-dessus :

- L’un d’entre nous vous fera monter mais attention aux cinq autres qui ne seront là que pour vous ralentir.

Nous réfléchîmes longtemps même plusieurs heures car le temps filait et nous ne trouvâmes pas de solution :

- Je vais envoyer des clones en reconnaissance pour voir lequel de ces escaliers est le bon : Kage bunshin no jutsu.

Cinq clones apparurent et nous vîmes Rin vaciller mais elle tint bon, elle envoya ses clones dans cinq escaliers, plusieurs minutes plus tard, ils revinrent tous par le même escalier :

- C’est celui là que nous devons emprunter.

Nous courûmes à en perdre haleine jusqu’au troisième étage où l’on entendit diverses cris :

- J’espère que cela ne nous arrivera pas.

Pankaru et moi acquiescèrent car on voulait terminer cette épreuve en un seul morceau nous aussi. Cette fois si les informations étaient codées mais ce n’était pas un code bien compliqué car il fallait ajouté le chiffre auquel correspondait la lettre de chaque paragraphe pour obtenir le numéro de la salle :

- Bon entrons et voyons voir ce qui nous attends.

Nous pénétrâmes dans la salle puis la porte se referma derrière nous et disparu sous nous yeux et de l’autre côté la porte de sortie disparu aussi :

- Euh, on a un petit problème même un gros problème !

- On a remarqué…

- Euh, on en a un autre les gars, regardez le sol.

Je vis effectivement que depuis le mur, le sol commençait à disparaître et vu le gouffre en-dessous de nous, je ne donnais pas chère de notre peau :

- On fait quoi ?

- Bonne question, je ne veux pas mourir mais en même temps, on a plus de sortie.

- On va se laisser tomber dans le gouffre.

- QUOI ?!

- Attends, Basuru tu veux dire que le piège n’est pas en-dessous de nous mais au-dessus ?

- Tu as tout compris si on reste là on va perdre un temps précieux car cela fait, d’après mes calcules, dix heures que nous sommes à l’intérieur de la tour, donc on a que quatorze heures pour arriver avant les autres équipes car je vous rappelle que même si on termine l’épreuve, il n’est pas dit que nous soyons dans les six premières équipes.

- On va tomber !

Soudain le sol ne fut plus et nous tombèrent lourdement comme des pierres. Pendant de longues minutes, je me demandai si je n’avais pas fait une bêtise lorsque finalement le sol apparu sous notre équipe et notre chute fut ralenti par on ne sait quel miracle :

- Comment as-tu su ?

- La fluctuation de chakra, nous étions pris dans une illusion particulièrement réaliste qui a dû aussi distordre le temps pour nous faire perdre nos repères. Il va falloir aller vite maintenant car sinon on va être pris de court.

Nous quittâmes la salle pour arriver à l’escalier qui nous mena au quatrième étage et là il n’y avait aucune indication sur les portes et plusieurs équipes attendaient et réfléchissait à quelle porte emprunter :

- Tiens en voilà du monde, je ne vois que quatre équipe.

- Pankaru, concentre-toi ce n’est pas le moment. Il n’y a aucune indication dans quelle ordre était les portes pour accéder aux salles du 1ère étage ?

- Eh bien si je me rappelle bien à notre gauche on avait la 6 et à notre droite la 4.

- Donc le numéro 1 est la plus à droite !

- Non car après le 1ère étage, ils ont inversé à chaque fois l’ordre donc à cette étage c’est la plus à gauche qui le numéro 1.

- Et si on essayait pour voir.

Pankaru alla jusqu’à la porte la plus à gauche et regarda pour voir un grand 1 au dos de la porte de la salle, il nous fit signe de venir et de voir ce qui nous attendait :

- Il faut faire extrêmement attention car je crois que cette salle nous réserve bien des surprises.

En effet, au fond de la salle trois miroirs étaient suspendus au-dessus du sol et reflétais chacun d’entre nous :

- Encore une énigme ?!

- Ce n’est que ça dans la tour aux milles pièges de toute façon, il faut trouver la signification de ces trois miroirs.

Lorsque la porte se referma, à la place du 1, on vit apparaître en gros caractère :

« D’après vous qui allez vous devoir sacrifier pour que vos missions soit un franc succès et si vous détruisez le miroir de la bonne personne vous pourrez passer mais attention car cette personne ne pourra pas participer à la deuxième épreuve. »

- Encore un choix à la noix…

- Pas tellement car on va devoir réfléchir à qui est le plus apte à réussir la deuxième épreuve.

- Non, ça ne peut pas se terminer comme ça.

Je réfléchis intensément et si la réponse était qu’il n’y en avait pas normalement pour faire un bon chuunin, il faut savoir choisir entre la mission, la vie de ses coéquipiers et ne pas sacrifier de vie. Je sortis trois senbons de ma sacoche de projectiles en envoyant un sur chaque miroir, les caractères changèrent en :

« Bonne réponse. »

Rin et Pankaru me regardèrent effarés mais j’avais bien choisis, ils en restèrent muets d’admirations. La sortie était toute proche :

*- Plus qu’un étage.*

Nous nous avançâmes vers l’escalier pour monter au cinquième étage et nous entendîmes que des ninjas avaient pris la mauvaise salle à côté de la notre et qu’ils venaient d’être disqualifiés :

- Il y en a qui savent pas réfléchir…

- Ça venant de toi, ça ne m’étonne pas…

- Pas de querelles intestines, ici, considérez-vous comme étant en mission en terrain ennemi !

- Tu as raison, Rin.

Nous arrivâmes enfin au cinquième et dernier étage. Bizarrement les numérotations des portes étaient redevenues normales mais nous avions bien le numéro 46 :

- Bizarrement, ya encore un problème avec ces fichus numéros.

- Ce n’est pas faux, regarder il n’y a que deux autres équipes mise à part nous à cette étage.

- C’est rassurant à moins qu’ils aient déjà tous atteints le toit de la tour.

- Si on a bien entendu tout à l’heure deux autres équipes sont éliminés et nous serions alors plus que huit équipes en lice, en espérant que personne n’ait encore atteint le haut de la tour, nos chances sont très bonnes car, dans le cas où cinq équipes auraient réussi à monter, ça veut dire que nous devons terminer avant les deux autres équipes à côté de nous.

- C’est vrai et j’ai réfléchis à la question du 46 car si l’on considère que 4+6 font dix notre salle est la n°10 finalement.

- Tu vois quand tu veux, tu peux être très intelligent.

- Je le montre pas souvent mais faut pas non plus me prendre pour un abruti !

- Bon, on y va et on va réussir à contourner le piège de cette dernière salle.

Nous nous avançâmes devant la salle 10 sauf que le numéro changea en salle 5 et la salle dix c’était déplacé. Ce manège dura plusieurs minutes jusqu’à ce que nous arrivions enfin à la retrouver et à rentrer dedans. La salle ne ressemblait pas à une salle piégé mais à un terrain de combat :

- Ne me dites pas que…

- Si on va devoir se battre pour arriver en haut.

- Mais d’après Sena sensei…

- Oui, je sais mais je ne pense pas qu’on se batte contre une autre équipe même si ça ne me déplairai pas.

Soudain, sortant par les lattes du sol, des mannequins de combats apparurent kunaïs à la main, des centaines de mannequins composés d’eau :

- Rin, le combat de groupe, c’est ta spécialité mais tu as déjà utilisé beaucoup de chakra.

- Ne t’en fais pas Basuru, je crois que je peux me débarrasser d’eux.

Les mannequins de combats se jetèrent sur nous mais Rin fut plus rapide qu’eux :

- Fuuton : Daitoppa.

Une bourrasque violente souffla quand Rin rassembla ses mains l’une contre l’autre, par contre elle n'en pouvait plus et tomba à genoux après avoir utilisé tant de chakra, les mannequins de combats furent balayés mais ils étaient seulement amochés :

- Ninpo : Hari Bakuryu.

Les aiguilles de sables allèrent se ficher dans la moitié des mannequins de combats qui disparurent comme ils étaient apparus :

- Les senbons ravageurs.

Kamakiri élargi ses mandibules et ouvrit le compartiment à senbons pour tirer sur les mannequins et ce fut l’autre moitié qui fut décimé. Pourtant il en restait un qui était en retrait par rapport aux autres :

- Pas mal pour des genins, je ne savais pas que les ninjas de Suna étaient aussi fort que ça, bon passons aux choses sérieuses. Suiton : Takitsu no jutsu.

Le sol commença à se recouvrir d’eau car je sentais que mes sandales commençaient à s’imbiber d’eau :

- Faut qu’on riposte tout de suite.

- Les kamas volants nuageux.

Kamakiri envoya vers notre adversaire les kamas qui répandirent un nuage de poison du côté où leur adversaire était, réduisant sa visibilité et permettant de le tuer à n’importe quel moment car c’était un poison assez spéciale que je venais d’utiliser :

- Ninpo : Gaidoku no Bakuhatsu

À l’autre bout de la salle, on entendit un cri et un râle d’agonie, un corps qui s’effondre et un bruit d'eau qui dégouline :

- Encore un clone.

- Bravo, vous avez réussi la dernière salle !

Nous nous retournâmes pour voir qu’il s’agissait de Junda sensei :

- Mais que faites-vous ici ?

- Eh bien ! Je viens vous féliciter car vous venez de vaincre mon dernier clone aqueux, bravo car c’était un beau combat et vos réflexes étaient parfaits, aller vite là-haut.

Rin, Pankaru et moi ne se firent pas prier et nous montâmes les dernières marches pour voir que nous étions la troisième équipe à être arrivé :

- Bravo à l’équipe 1, vous arrivez quasiment en même temps que les deux autre équipes. Vous avez mis près de 18h à monter en haut de la tour. Cette année, il y en a des explosions de records car il était à 20h au départ pour vous genins de Suna, se réjouissais Sena sensei.

J’observai les deux autres équipes arriver en même temps que nous, l’une de Konoha et l’autre de Kiri :

- Deux équipes de Suna ont été disqualifiées, pour information et deux autres équipes ne devraient plus tarder.

En effet, car la deuxième équipe de Konoha et l’équipe de Suna arrivèrent en même temps. Ils eurent droits aux félicitations et au temps qu’ils avaient mis à monter en haut de la tour. Il ne restait plus qu’une équipe à attendre pour savoir qui allait participer à la deuxième et dernière partie de l’épreuve. Elle ne se fit pas attendre longtemps : c’était la deuxième équipe de Kiri qui arriva la première et les autres équipes, par exemple la troisième de Suna, qui restaient arrivèrent bien après l’heure prévue et furent donc disqualifiées :

- Cette année se sera équilibrer car on a deux équipes de chaque village. Bon comme vous l’avez sans doute remarqué, cette épreuve était destinée à tester votre capacité de survie, vos réflexes et les choix auxquels vous devriez être confronté en tant que Chuunins pendant une mission en terrain ennemi ainsi que votre capacité à garder la tête froide pour bien réfléchir en situation de crise. Je suis fière de voir que vous l’avez passé sans trop de blessures car la deuxième partie de l’épreuve est un tournoi en équipe qui commencera dans un mois.

Nous regardâmes tous les équipes qui étaient autour de nous pour voir contre qui nous serions confrontés mais on ne savait pas du tout quelles techniques ils utilisaient sauf que moi on voyait bien que j’utilisais une marionnette mais il ne savait pas comment je l’utilisais :

- Alors à dans un mois !

Chapitre 5 : Un mois plus tard, les résultats. (2ème partie)

*Enfin les résultats de ce satané examen, je vais enfin savoir si j’ai réussi à passer au grade de Chuunin.*

Je m’avança jusqu’à la liste des résultats et fut surpris lorsque je ne vis dans mon équipe que mon nom affiché :

- Eh bien ! Tu es le seul à être passé chuunin.

- Oui, je suis très fier de moi Sensei. Cependant je me demande encore pourquoi Pankaru ou Rin n’ont pas eu, eux aussi, leur nouveau grade.

- Dirons-nous qu’ils n’ont pas encore les qualités requises pour le devenir, c’est-à-dire que, Rin, bien que très forte pour contrôler son chakra n’a pas su se démarquer de vous deux dans les combats en arène. Tandis que Pankaru, quant à lui, est trop souvent tombé dans les pièges les plus basiques qui soient et donc les juges ne l’ont pas trouvé assez intelligent pour remplir son rôle de chuunin.

- C’est un jugement très dur que vous émettez en tant que notre sensei, pourtant je pensais que vous auriez donner votre propre avis sur la chose mais vous avez plus d’expérience que moi Sensei, je me plis à votre jugement.

- C’est très sage en effet tu verras cela plus tard car maintenant voici ta première mission de rang B, spécialement pour toi.

- Quoi ?

- Oui, tu dois partir tout de suite pour Konoha pour régler une légère bavure au niveau diplomatique car les duels à morts entre ninja surtout de la même alliance sont prohibés hors il y a eu deux morts lors d’un duel opposant deux Juunins de chacun des villages en questions.

- Ah, à situation épineuse, choix difficiles car cela ne va pas être simple de réconcilier les deux villages dans ce cas même si cela n’est pas une haute trahison ou une attaque envers le Hokage.

- Euh, en faite c’est un des fils du Hokage qui est mort dans le combat donc cela est quasiment une atteinte au Hokage en personne.

- Aïe… Bon je vais préparer mes affaires alors.

- Pendant cette mission tu seras sous les ordres de deux Juunins du village de Suna qui te protégerons et t’escorterons pour régler ce problème diplomatique.

- Merci Sensei, j’en prends bonne note, il faut que je sois près dans combien de temps.

- Une heure à peu près.

- Je le serais en trente minutes.

- Eh bien, j’espère que cette mission sera fructueuse.

- Moi aussi Sensei. Au revoir, en espérant vous revoir avec de bonne nouvelle.

- Au revoir Basuru.

Je m’en allai en courant jusqu’à ma maison pour préparer mon sac et mon voyage :

*Enfin, des responsabilités. Je m’en vais réussir cette mission avec brio.*

Je sortis de chez moi pour rencontrer les deux Juunins près de la porte de Suna et nous prîmes le chemin de la forêt luxuriante de Konoha dont je ne reviendrais pas sans quelques anecdotes croustillantes et sanglantes plusieurs mois plus tard.