Aaaaah ! Morphé comme tu es puissant et influent. Tu n'as pas allégorie de l'emprise divine que tu possède sur l'homme. L'homme cela ne te dit rien ? Enfin si ! Voyons l'être humain, celui à qui tous les soirs, quand l'obscurité fond macabrement sur le monde et ses joies tu dérobes vilement d'une main de fer ce qu'ils nomment utopiquement l'éveil. Tu te convies impunément en leurs chétifs esprits et là tu y répends ton essence, le sommeil. Morphé vous avez crée cet étrange et inexpliqué événement. Vous séduisez ou alors prenez de force ou de grès ce qu'ils définissent comme énergie et dès cet instant ils sont à votre mercie. Vous leurs octroyez ce qu'ils nomment communément les rêves, ces choses qui chaque nuitée se produisent en leurs intérieurs à tous. Soit il se matérialise en leurs crâne quelques bons événements, soit leurs pires hantises flirtes avec eux pour la nuit. C'est un réalité cruelle mais peut-être necessaire pour ces êtres si certains de leurs supériorité. Qui pourrait répondre à une telle question. Demandant top ample réflexion, une trop importante remise en question portant atteinte à leurs égo, c'est évident que probablement cette interrogation demeura sans aucune réponse, honnête, sincère. Morphé. Ô grand maitre des songes et du sommeil , vou semblez avoir séduit cet homme. Lequel ? Celui là, allongé dans son lit. Il ressemble presque à une divinité, un petit angelot avec ses paupière fermées, ses cheveux en bataille et ce visage éteint, si beaux. Ce coté funeste, macabre et si appeurant de la nuit parraissait par instant quasiment agréable aux charmes laissant rêveurs. Le jeune homme, il était étendu de son corp, emmitoufflé dans draps blancs...Sa tête posée sur un oreillé assurément emplis de plumes. Contraste entre le noir de sa chevelure et la blancheur de cette sorte de coussin. Comparable au bien et au mal ? Trop forte comparaison...pour si peu de chose. Sa respiration régulière laissait conjecturer quelques agréables songes, il était paisible.Pas une ride d'expression, pas un mouvement si ce n'est celui du métabolisme de base. Le paisible jeune homme, il était chimérique d'oser imaginer cet être réveillé, agissant en homme qu'il est au quotidien.Tiens. Regardez à l'extérieur. Une douce brise de vent soulevant quelques feuilles gisant au sol, caressant brin d'herbe par brin d'herbe. Regardez ce ciel gagnant plus ample luminosité, regardez le réchauffait de sa lumière ce monde qui en a bien besoin. Quel fabuleux spectacle n'est-ce pas ? Les rayons de soleil envahissent maintenant la terre. Les plus irrespectueux d'entre eux s'invite chez les hommes, les oppotuns ! D'ailleurs l'un d'entre eux semble s'être faufilé chez ce même garçon. Il lui éclaire le nez et une partit de son oeil. Va-t il réagir ?

*Fait chier ...* pensais-je. C'était le cas de le dire. Sur ma peau... je sentais comme une chaleur mais sans que l'on me touche. Cela ne m'aurais pas déranger dans d'autre condition mais là, je dois bien admettre que je m'en serais bien passé. Peu à peu je sentais s'évanouir en moi ce quel'on appel le sommeil. Il fuyait vers d'autre contrées. Plus belles peut-être étaient-elles. Toujours était-il le sommeil était bel et bien parti. Je commençais alors à ouvrire une paupière, puis une seconde. Quelques clignements pas plus car le peu de lumière présent dans la pièce m'aveuglais. D'un geste certain je vain frotter mes yeux avec le dos de ma main tous en gromelant. Gromeler n'allait servire à rien. Deux solutions s'offraient donc à moi : rassembler son courage et se lever ou se rendormir dans excès de flegme. N'étant pas d'un naturel excessivement cossard je repoussais d'un geste se voulant vif mes draps et couvertures. J'avais chaud, trop chaud. Difficilement je me redressais observant d'ou provenait la lumière tant tôt si hautaine m'aveuglant de sa prétendue luminosité. C'est à cette occasion que je vis les èpais rideaux mal clos. C'était bien ma veinne. Un bref soupire sortis du fond de mon coeur se fit ouïr. Trop tard pour se réendormir, trop tôt pour profité du temps. J'allais donc vogué dans le flux de mes habituelles occupations. C'est donc dans un faux entrain mimé de toute part que je me levais. D'une démarche molle j'ouvrais comme timidement les rideaux dans un rictus de désapprobation. Le temps passait si vite quand on voulait qu'il dure longtemps. Je me laissais divaguer dans un accès à la rêveire avant d'en sortir rapidement d'un mouvement de tête de droute à gauche et de reprendre mon chemin. J'ouvrai maintenant une grande armoire de bois, gravée, vernie ... Elle était magnifique! Elle avait ce charme de la vielle époque. De quelques gestes brusque je fouinais dans mes vêtements. J'en possédais une masse inombrable et finalement optant pour une tenue simple majoritairement noire avec une once de blanc au niveau des mache et du col. Je prit une ceinture blanche elle aussi puis la serrais autour de ma taille dans un mouvement sec.

Une fois sortis de ce que j'appelais ma chambre, je pris la direction de droite. J'allais fait mon necessaire de toilette. Oui l'hygiène possède une place importante. Une fois dans la salle d'eau. J'enlevais ce qui cacher présentement mon corp, je fit couler de l'eau en ouvrant le robinet puis m'en mis sur le visage avec fougue et vivacité ! Pendant ce temps , petit à petit je me réveillais. Je fis couler de l'eau dans labaignoire dans le but de prendre ... un bain. Une fois dedans j'empoignais le savon et l'attelais à la tâche ! Pas de pitié contre la saleté ! Un quart était passé est une fois de plus j'avais faillit m'assoupir dans mon bain. Qu'elle plaie toute cette eau chaude, reposante, appaisante ...Arf passons sur cela. Je m'étais vêtu précedemment choisit et me dirigé maintenant vers le salon. Composé de quelques meubles hérités de ma famille, une table de verre et quelques autres riches décorations je dois bien admettre que ma résidence et son contenu sentait le luxe d'un clan connut et respecté. Les meubles et autre avait beau être magnifique et luxieux ... ça ne m'empêchais pas de me laisser tomber sur ma chaise de tous mon poid. Sur cette fameuse table reposait un bouteille d'eau ainsi qu'une sorte de corbeille de fruit. J'avais soif mais pas faim. Je me sentais comme balloné ainsi je n'allais pas insister. Je pris la bouteille ets une fois ouverte portais le gouleau à mes lèvres. Je fut interrompis par une sorte de crissement. Je reposais alors promptement la bouteille puis tendais l'oreille. On ne sait jamais, on n'est jamais trop prudent. Bouarf. Plus aucun bruit si ce n'est celui de la ville qui s'éveille. Ca m'avais coupé l'envie de boire. Je me relevais donc puis empoignais un petit sac à dos dans lequel se trouvait ma gourde, quelques aliments, kunais et autres armes rudimentaires.

A défaut d'avoir une mission, aujourd'hui allait être un jour propice à l'entraînement. Tentant désépéremment de me motiver, je mis par pure habitude mes mains dans mes poche en amrchant d'une démarche presque motivée. Je traversai les rues observant les marchants, les gens, les enfants.C'était agréable de voir la vie dans toute sa splendeur. Accélérant quelques peu ma marche j'alalsi droit vers les portes de Konoha. Un entrainement était plus util en extérieur c'était évident. Il me fallut peu de temps pour arriver. D'ailleurs la première chose que je vit était une escouade de 4 ninja apparraître. Je passais près d'eux quand l'un d'netre eux que je connaissai m'adressa un signe de main. Je lui répondit. Puis poursuivais. Je n'y pretta pas attention dans l'immédiat mais sur le coté à l'entrée de la porte se trouvait une femme et un garde. Le garde en question me fit signe de venir. ET bien j'avais du succès ce aujourd'hui. Je m'approchais donc de lui tout en me demandant pourquoi il m'appelait . Une fois rapproché je le reconnut ! Mais oui c'était Daite ! Un viel ami d'enfance. Avec empressement il se tournait vers moi et me murmura d'une voix presque pas audible:

"Dis toi qui est Juunin. Elle veut rentrer dans le villageà ton avis ?"

Mon regard se posa sur l'individu. Un petit moment de réflexion .... Je me retournais vers le garde puis lui répondis de cette voix autoritaire en apparence :

"Je m'en occupe va prévenir le seigneur Hokage au cas ou ..."

Bon j'allais m'occuper des formalités. Le garde partis d'un pas préssé prenant cela très au sérieux. Je m'avançais donc vers la demoiselle tantant de me faire acceuillant. Les formalités allaient repoussées l'entrainement et ça c'était intéréssant.Une fois à sa hauteur je tendais la main dans un geste ferme. Une bonne poignée de main pour partir sur de bonnes bases. J'avais peut-être l'air autoritaire mais je pouvais me montrer acceuillant.

"Enchanté."