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Carnet de Bord d'Hisoka Satori

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InvitéInvité
MessageSujet: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeSam 16 Avr 2011 - 8:45

Carnet de Bord d'Hisoka Satori Ahah11

Nom : Satori

Prénom : Hisoka

Âge : 18 Ans

Village : Suna Gakuro No Sato

Grade : Jounin

Rang : S

Level :25

Affinités Basique : Suiton - Fuuton - Raiton

Kekkai Genkai : Hyoton

Spécialités : Ninjutsu - FuuinJutsu - Genjutsu - IrouJutsu

Réputation : 30


Histoire :
Spoiler:


Le soleil semblait se levé sur les imposantes dunes de sables qui composaient le désert qui entourait le village caché de Suna, les rayons chauds, enivrant, libérateur de l’obscurité, des nuits si froides dans ce désert implacable. Toutes les rudesses d’une vie, toutes les épreuves que l’on pouvait rencontré en marchant sur le sentier de l’existence pouvaient se résumer en un seul mot : Désert. Tellement de points communs entre les deux. Nous sommes tous destinés à faire quelques choses de particulier sur cette terre, que d’autres personnes jugeront comme bonne, d’autres comme mauvaise. Eux même réaliseront un actes qui les définiras, eux, leurs envies, leurs projets dans le mouvement perpétuel qu’est l’histoire. Cela serait fabuleux, n’est-ce pas ? Oui, mais voilà, toutes vies n’apporte pas forcément sa pierre à l’édifice, certaines en enlève, d’autre l’effrite, mais la majorité ne seront rien d’autres qu’un bref passage, sans importance, sans cohérence, une trace de pas sur une plage abandonnée, ou en quelques secondes, l’eau qui viendra s’abattre sur le sable détruira tout passage, remettant tout à sa place.

Je pense que réfléchir à ce propos m’a ouvert les yeux sur bien des choses, ce qui manque à ce monde, ce qu’il y a en trop, ou tout ce qui a été et devrait encore être ou ce qui est, mais ne devrais pus. Nous, générations qui allons-nous élever, ne pouvons rien faire, notre destin est d’hériter d’un monde corrompu, violent, qui a perdu son âme. Nous sommes les dignitaires d’une existence en faillite, voilà tout ce qui nous compose, tout ce qui nous définis. Peut-être est-ce mieux ainsi après tout ? Beaucoup se suffise à eux même, vivant leurs vies, oisivement, ne pensant qu’a eu, voir dans le meilleur des cas à leurs familles, mais qui se soucies d’une personne qu’il ne connaît ni d’Eve ni d’Adam ? Qui serait prêt à mettre ces acquis en péril pour sauver un homme se faisant agresser au détour du village ? Qui tendrait la main sans aucun arrière pensé à une femme dans le besoin ? Qui prendrait sous son aile, un enfant en le considérant comme sa propre chair et son propre sang ? Oh bien sur tant de personnes sont enclin à crier haut et fort qu’ils ne laisseraient jamais quelqu’un dans le besoin, que la misère autour d’eux les affectes, mais la vérité, la triste vérité, c’est que les mots ne sont que des mots, si ils étaient empreint d’une véritable force, alors le monde actuel ne croupirait pas ainsi sous l’injustice, la démence et la guerre. Vous vous direz certainement en lisant ces lignes, qui et cet homme pour juger du haut de son jeune âge un monde auquel il ne connaît rien, de quel droit peut-il juger des hommes alors que dans leurs cas il ferait certainement la même chose. Vous en avez le droit, a cela je vous répondrais, que je ne cherche que la rédemption et que dans ce cas, le repentir et un jugement que l’on porte sur soi-même. Vous me direz qu’il est facile de parler, c’est justement pour cette raison que j’écris, cet histoire, mon histoire, ma vie, mes échecs, mes désirs, mes plaintes. Un homme que j’ai croisé dans ma jeunesse m’a dit qu’on ne pouvait juger quelqu’un qu’en se mettant a sa place est que dès lors on ne pourrait jamais le juger, car il nous était justement impossibles d’être à la place d’une autre personne. Je n’ai jamais connu pareil sagesse, une seul peur me ronge, qu’à ma mort on ne puisse me comprendre, pour me juger, pour se dire que j’avais vu juste, ou que j’étais juste un inadapté. C’est pour cette raison, que j’ai écrit ce livre, qu’en poursuivant ces lignes, vous apprendrez à me connaître. Ce que vous y verrez-vous paraîtra peut être fou, peut être me prendrez-vous pour un illuminé, mais souvenez-vous, qu’il n’existe aucune normalité.


Un homme apparut alors en plein désert, marchant rapidement, il semblait savoir parfaitement où il se dirigeait, en effet, quelques minutes plus tard, une sorte d’imposante grotte taillé au flanc d’une colline recouverte de sable apparut devant lui. Aussi vite qu’il était apparu, il s’engouffra à l’intérieur, derrière lui ces traces de pas disparaissaient rapidement recouverte par une tempête qui se préparait et qui commençait déjà à soulever plusieurs milliers de grains de sables en les envoyant bien plus loin au gré du vent.
La caverne était sombre, cependant quelques mètres après l’entrée se trouvait un foyer qui semblait avoir accueillis déjà bien des feu, l’homme habillé d’une imposante cape brune recouvrant la totalité de son corps se dirigea vers celui-ci, tapant du pied dans un restant de buche noir, il se dirigea un peu plus loin et revint rapidement avec un imposant morceau de bois qu’il posa au centre du foyer, juste à côté, devant, se trouvait une sorte de rondins desséché, qui devait certainement servir de banc de fortune. D’un geste habile des deux mains, il enchaîna quelques sceaux rapides, avant de s’agenouiller, posant a quelques centimètres sa main du dessus de la buche, celle-ci crépita immédiatement avant de se transformer en un magnifique feu. Se frottant les mains, l’homme finit par s’asseoir, regardant l’entrée de la grotte, d’où l’on pouvait voir à présent à l’extérieur une tempête de sable d’une violence inimaginable pour qui ne vivaient pas dans le désert depuis sa plus tendre enfance. Il y en avait certainement pour plusieurs heures dans ce coin reculé, peu importe, l’homme était à l’abri, faisant tomber sa capuche qui recouvrait son visage, il toussa légèrement, avant de porter sa main droite sous sa cape, ouvrant une sacoche en cuir délavé, il en tira un imposant ouvrage, un livre a reliure ou sur la couverture était dessiner plusieurs symboles, sans doute religieux, ou juste symbolique. Mais qui semblait avoir de l’importance pour lui, caressant le dessus avec la paume de sa main, les yeux fermé, un long soupire s’échappa de sa bouche avant d’ouvrir le livre, a la première page. Sur celle-ci, on pouvait lire.


Ma vie, par Hisoka Satori.

Souriant légèrement en observant les défauts de son écriture lorsqu’il n’était encore qu’un enfant. Il se souvint du moment où il avait tenu cette amas de feuille pour la première fois, puis le moment où il avait pris sa plume pour y écrire d’une main tremblante ces quelques mots qui pour lui à l’époque était tel une délivrance. Au fil du temps son écriture avait changé, au fur et à mesure qu’il grandissait, un œil expert pourrait certainement décrire l’état dans lequel se trouvait Hisoka à chaque nouvelle phase de sa vie qu’il retranscrivait dans ce livre. Levant de nouveau un œil vers l’entrée de la grotte, la tempête s’était encore accentuée. Une voix s’éleva, comme pour se parler a lui-même.

" J’en ai pour plusieurs heures à ce rythme-là… "

Tournant la seconde page, plusieurs centaines de mots, le début de son histoire, là où tout avais commencé, Hisoka se surpris à relire les premières lignes, à voix haute.

" A ceux qui liront ce livre, je me présente : Hisoka Satori, dix ans, je ne suis pas très grand, ni très fort, j’ai beaucoup d’espoir, beaucoup de peur, je ne suis qu’un enfant. Est aujourd’hui, ma famille n’est plus, je…"


Hisoka s’arrêta à cette phrase, l’écriture qui composait ces mots avait été faite par une main tremblante, l’encre sur cette page à certains endroits semblait s’être quelques peu dilués, il se revoyait encore pleurer en écrivant ceci, mais petit à petit, il s’était arrêter, sa main ne voulait plus s’arrêter d’écrire. Souriant légèrement, il reposa son regard sur la suite de la phrase, prononça la fin de la phrase à voix hautes, puis se mit à lire le reste dans sa tête.

" Je suis le dernier de ma lignée. Et voici mon histoire. "


Je vivais dans un petit village, situé dans le désert qui entourait le village de Suna, nous n’étions que très peu à vivre ici, une dizaine de famille tout au plus, nous vivions de troc avec les marchands itinérants qui se rendait à Suna. Notre village était à côté d’un oasis, de loin nous pouvions passer pour de simple caravanes, tel était le cas, a l’exception que nous restions tout le temps au même endroit. Nous n’étions pas une organisation militaire surpuissante, peu de nos ninjas étaient reconnus, voir aucun. De temps en temps, certains jeunes partaient pour le village caché de Suna, dans l’espoir de devenir des légendes, de faire connaître notre nom, notre village. Le peu de nouvelles que nous avions d’eux revenaient sous forme d’un petit colis empaqueté. A l’intérieur, du moins le plus souvent se trouvait poser sur un petit couffin en soie le bandeau du jeune homme. Terrible, n’est-ce pas ? C’était salutaire pour les familles de savoir qu’au moins leurs petits ou petites étaient morts en se battant et en défendant quelques choses. Parfois lorsque l’on mangeait j’écoutais mon père parler du système politique et militaire dont nous souffrions, pour lui le fait que notre village ne donne pas des combattants d’envergure était la cause de notre abandon par Suna. J’étais jeune et je ne comprenais pas vraiment, nous étions abandonnées ?
Il m’a fallu plusieurs années pour comprendre ce qu’il voulait dire, en effet il est possible que notre faiblesse militaire et le faible don que nous apportions au armées du sable ne jouais pas en notre faveur. Peu importe, je ne comptais pas devenir un Ninja, ni même un combattant, je voulais rester dans mon village, grandir, m’épanouir, rencontrer une femme, me marier avec, avoir des enfants puis vieillir, raconter des histoires sans fin à des jeunes au coin d’un feu de camp le soir, puis partir, avant ma femme. Oui cette vie m’aurait convenue, sans aucun doute. Mais parfois, il semblerait que nous n’ayons pas le choix, car cette vie-là, cette utopie dont je rêvais, m’échappa très vite. Certainement êtes-vous en train de vous dire que j’ai des particularités physiques, mentales exceptionnels, qui m’auraient valu d’être entrainer par un vieil ermite et qui m’aurait confié la tâche de sauver le monde ?

A cela je vous répondrais que vous êtes naïf, je n’ai jamais eu rien de spécial, j’étais un enfant comme tous les autres, personnes ne m’a jamais pris sous son aile en m’inculquant des notions philosophique qui aurait pu me faire changer d’avis. Que s’est-il passé alors ? La maladie, voilà ce qu’il s’est passé. Mais avant d’y arriver, peut être devrais-je écrire ce qu’il s’est passé avant ? Rien d’exubérant, mon père était un forgeron, il créait quelques armes, mais la plupart du temps c’était surtout des objets de la vie courante, ou des objets qui permettaient de simplifier la vie au camp ou d’augmenter simplement la résistance de nos protections contre les tempêtes de sables. Un homme relativement fort, imposant par sa carrure, sa barbe d’une semaine trônais toujours sur son visage, ces cheveux grisonnant pas trop long ni trop court. Je me souviens qu’un jour ou je le regardais travailler, je m’étais moquer de ces étranges rides sur son visages, en effet mon père avait cette particularité, ou tout simplement ce signe de fatigue. D’imposantes rides creusait les traits de son visages, il n’était pas si vieux, mais son métier l’avait fatigué, jamais il ne rechignait a la tâche est parfois lorsqu’il avait finis il allait aider les autres hommes du village dans leurs tâches. Malgré son apparence dur, c’était un homme bon, je n’ai pas souvenir qu’il n’ait jamais levé la main sur moi ni même n’ait haussé le ton de sa voix.

Ma mère était un sacré bout de femme, plutôt mince, portait toujours de longues robes, toujours ces cheveux blonds attaché en queue de cheval. Elle s’occupait d’instruire les enfants du village, une sorte d’institutrice si vous voulez. Pour l’avoir eu comme professeur je peux vous dire que ce n’était pas tous les jours rigolos, elle était dur avec elle-même, en attendais autant de ces élèves. Etant son fils, elle s’attendait à ce que je sois encore plus travailleur que les autres. En rentrant de l’école je devais continuer à étudier plusieurs heures durant. Cela peut paraître dur, mais je comprends aujourd’hui l’importance de connaître certaines choses. La vie que j’ai actuellement je leurs doit à tout deux.

Voilà ma famille, ni frères ni sœurs, juste moi et mes parents. J’ai passé plusieurs années dans ce village, jusqu’à mes dix ans, ce fut cette année que nous connûmes la maladie qui décima mon village. Nous n’avons jamais su d’où elle était arrivée, mais un matin une jeune femme du village était tombé malade dans la nuit, gravement, son corps, ces fonctions vitales, tout semblait ronger par cette choses. En un peu moins d’une semaine elle perdit la vie. Ce n’était pas la première fois que quelqu’un mourrait cela dis, maladie ou pas, nous ne pouvions nous arrêter de vivre, les hommes du village la mire en terre puis continuèrent à vaquer à leurs occupations. Seulement en un peu moins d’un mois, la moitié de la population avais connu le même sort qu’elle. Un conseil fut ériger pour prendre des décisions, je ne peux pas écrire sur ce qu’il s’est dit, je n’ai fait que subir leur entêtements, malgré le nombre de pertes phénoménal, les anciens et les plus sages ne voulaient s’abaisser à demander de l’aide aux villages avoisinants. « La fierté de notre peuple fait sa force », ce sont ces mots, cette notion de base de l’homme de se croire plus fort qu’il ne l’est qui scella l’histoire de ma famille. Quelques jours plus tard, mon père sombra lui aussi, déjà affaiblis par le travail, il ne mis guère longtemps à partir. Je n’ai jamais pu lui dire au revoir, ma mère m’avais interdit l’accès à la chambre ou il relâcha son dernier soupir. Car selon elle je devais garder une image forte de l’homme qui m’avait élevé. Un autre mois s’écoula, les jours tous plus long les uns que les autres, chacun semblait attendre la fin, ne sortant plus de chez eux, les gens vivaient dans la crainte, dans l’attente de la mort. Le soir, le désert était glacial, bien plus que tout ce que vous pouvez imaginer, entendre, les cris d’enfants perdant leurs parents, entendre la toux grasse d’hommes et de femmes rendant leurs derniers soupirs. Je déteste le désert…

Quelques semaines passèrent de nouveau, nous étions si peu de survivants que nous pouvions tenir dans deux maisons, ma mère portait la maladie en elle, sentant la fin arrivée elle me demanda à son chevet. Je me souviendrai toujours de ce moment. J’étais habiller d’un morceau de tissu brun recouvrant la totalité de mon corps, le froid me tenaillais. Je m’étais diriger lentement vers la porte de sa chambre, entrant sans toquer, je surpris ma mère, le visage plongé dans un sceau en métal, crachant ce qui semblait être du sang. En m’entendant entrer, elle releva la tête puis essuya rapidement le sang qui coulait de sa bouche. Elle se laissa retomber lourdement dans son lit, les draps étaient humides, elle transpirait a grosse goutte, je m’étais approché lentement, comme si la mort m’attendais. Elle me tendit sa main que j’attrapai avec fermeté. Il n’y a pas si longtemps je vivais une vie tout à fait normale, je n’avais pas plus de but dans la vie, je n’en avais pas besoin, mais en voyant là ma mère, ces forces qui partaient, son regard emplis de peur… Elle cherchait ces mots pendant plusieurs minutes, lorsqu’elle semblait les avoirs trouvée une quinte de toux venait la perturber. Pour lui faire économiser ces forces je me souviens m’être approché, posant mon visage contre le sien. Son autre main vint derrière mon crâne, me caressant avec le peu de force qu’elle pouvait, elle lâcha quelques mots dans un dernier soupir avant de partir à un endroit où je ne pouvais la suivre. Mes yeux écarquillés parce qu’elle venait de prononcer, je me redressais lentement, observant le corps sans vie de cette femme qui m’avais tant apporté. Je ne pus retenir les larmes, pas plus que les cris, mes jambes tanguèrent comme si elles n’avaient plus la force de me soutenir. M’effondrant sur le sol de la chambre, je plaçai ma tête dans la paume de mes mains. Il me fallut plusieurs minutes pour me calmer, me relevant j’observais les yeux de ma mère qui me fixait, reniflant encore une fois, je me souvins de ce qu’elle m’avait dit avant de partir. Titubant vers le lit, je lui fermais les yeux avant de lui porter le drap sur le visage. Boitant jusqu’à la porte, j’attrapai la poignée avec ma main droite avant d’ouvrir la porte en jetant une dernière fois un regard vers elle. Refermant la porte derrière moi, je m’adossais à elle. J’étais épuiser, je ne pouvais comprendre comment on avait pu en arriver a là. Nous avions survécu a tellement de guerre, les champs de batailles avaient été légions dans l’histoire, jamais notre village n’avait subis de dommages aussi important, seulement en quelques mois… Tout avait changé du tout au tout. C’est alors que j’entendis un cri provenir d’une chambre voisine, essuyant les dernières larmes qui coulaient de mes yeux rouges, je soupirai avant de marcher vers l’endroit d’où provenait le bruit. La porte était entrouverte, je pus assister à une scène semblable à celle que je venais de vivre, une fille, de mon âge était dans les bras de son grand père, a l’expression de son visage je compris qu’il venait également de partir. Je m’adossais sur le coin de la porte, observant la scène. Tant de morts auraient pu être évité, si le conseil avait décidé de partir… Aujourd’hui, la majorité de ces personnes étaient mortes, mais nous, nous qui n’attendions que le feu vert étions massacré par une chose contre laquelle nous ne pouvions rien. Nous ne pouvions rien !

J’ignore à quel moment, ou quel a été a le déclic, mais le nous ne pouvions rien, se transforma immédiatement en nous pouvions choisir. Oui nous pouvions choisir de partir, malgré ce que le conseil avait ordonné, il n’aurait pu nous retenir, il n’en avait pas les moyens, nous avions décidé de suivre l’avis général car au moins nous étions tous dans le même bateau, nous n’étions pas seul. Idiotie que tout cela, j’avais diabolisé l’avis général, je l’avais qualifié d’idiot, mais je faisais une partie intégrante de cet avis. J’avais été un idiot, un mouton, plus jamais ça ne serait le cas !


La liberté coûte très cher et il faut, ou se résigner à vivre sans elle, où en payer le prix.

C’est à ce moment que ce changement opéra en moi, un changement qui marqua mon monde, qui fut le commencement de ce que j’allais accomplir. Je ne venais de nulle part, je n’étais rien de plus qu’un misérable bout de ce monde parmi tant d’autres, mais j’avais décidé par moi-même, que j’allais apporter autre chose, j’avais décidé par mes propres moyens, par mes propres souffrances, de tout mettre de côté, pour enfin payer le prix de ma liberté. Et l’offrir aux autres.
Je me souviens être rentré dans la chambre ou la fille pleurait, je m’étais approché d’elle, avait posé ma main sur son épaule, ces yeux étaient bouffis, ces cheveux complétement ébouriffer, son regard trahissait l’incompréhension, quand je lui tirai le bras vers moi, l’obligeant à se séparer de son grand père, elle hurla, me gifla, une fois. La seconde fois j’attrapai sa main avant qu’elle ne me touche, elle hurla, si fort que je crus que mes tympans allaient explosés, je lui mis mon autre main sur la bouche, avant de la regarder dans les yeux.

" Tu as deux choix, ou vivre pour lui, ou mourir seul, si tu veux te battre viens avec moi."


Je la relâchai, car elle semblait s’être calmer, sans lui laisser le temps de réfléchir, je me dirigeai vers la porte, d’un pas assuré, remettant l’épais tissu qui me servait d’habit, je sortis dans le couloir, avant de descendre les escaliers en trottinant, en bas se trouvait tellement de personnes qui m’observèrent, d’un coup d’œil je saisis l’état de chacun et chacune. Ils allaient tous mourir, ceux qui n’étaient pas encore malades avaient le même regard que les mourants, je ne pourrai rien changer pour eux. Je me souviens avoir éprouvé beaucoup de dégoûts pour ces personnes, qui ne se rendaient pas compte de leurs chances de pouvoir encore se battre. Passant la porte, je couru jusqu'à l’endroit où mon père forgeait toutes ces choses, en pénétrant dans ce lieu je fus saisi d’un moment de nostalgie que j’effaçai rapidement de ma mémoire. Je me dirigeai vers les étagères, récupérant une sacoche à sangle, je la vidai par terre dans un raffut de tous les diables avant de tourner sur moi-même en regardant tout ce qui pourrait me servir. Je fus immédiatement attirer vers l’endroit où était rangé les armes, regardant d’un coup d’œil je saisis une sorte de dague, l’enfourna à ma ceinture. Il ne me fallait pas quelque chose d’encombrant, traverser le désert ne serait pas une mince affaire, m’alléger serait me facilité la vie. Je ressortis finalement de là avant de me diriger vers mon ancienne maison. Prenant bandes, une tunique plus chaude que j’enfilai immédiatement, un pantalon en lin très rêche, je me recouvris de l’ancienne cape de mon père, qui était tellement grande que je pus faire deux fois le tour de mon corps et me recouvrir la tête. Après avoir pris trois gourdes dans ma sacoche que j’avais remplie et une boussole très vieille, je finis par en ressortir. Puis me retournant une dernière fois vers le peu de maison qui étaient encore allumer, je fis mes adieux à cet endroit. En partant j’entendis des bruits de pas derrière moi, la fille de toute à l’heure semblait vouloir venir avec moi, ainsi qu’un autre garçon, plus petit, qu’elle présenta comme son cousin. Leur faisant un signe de tête après qu’ils se soient préparés, nous quittâmes ce village maudit qui allait bientôt disparaître.

Hisota se redressa lentement, observant le feu qui se trouvait devant lui, il se souvenait parfaitement de cette nuit où tout bascula, passant sa main droite dans ces cheveux, il repensa a ces deux camarades d’infortunes, qu’il avait entraîné avec lui. Était-ce une mauvaise chose ? Avait-il était imprudent de les amener ? Avec le recul il était clair que non, ils étaient condamnés s’ils restaient là-bas. Partir pour Suna, en pleine nuit, avec un désert à traverser était totalement fou cela dis, il leur avait empêché la mort cette nuit-là, mais ne leur avais pas promis la vie. Heureusement, car il aurait mentis. Tournant plusieurs pages de l’imposant ouvrage, il tomba sur une page annoté, il y avait très peu d’écriture, quelques phrases, une date, le reste de la page était blanche. Portant ces yeux au centre, on pouvait lire.


Attaque d’animaux sauvages, à présent je suis seul.

Il se laissa enivrer par ces quelques mots, malheureusement, le voyage n’avait pas été aisé, les nuits étaient dangereuses, le froid, les bandits, les animaux sauvages… Ce fut cette dernière qui décima le groupe d’Hisoka. La seule chose qui lui sauva la vie était l’arme qu’il avait prise à son père, également cette étrange sensation, plus tard il découvrit ce qui l’avait sauvé. Son état d’alerte avait éveillé son besoin d’utiliser le chakra, ce fut la première fois qu’il l’utilisa, la première fois qu’il découvrit en quoi cela consistait. Ce qu’il apprendrait a utilisé bien plus tard venait de le sauver, ce fut dans un état d’incompréhension total, qu’il enterra ces deux compagnons. Les recouvrant simplement de sables, il attrapa le reste de leurs affaires, avant de partir. Le sentiment d’acharnement qu’il vivait à ce moment était terrible, autour de lui, du sable, rien que du sable, ni âme qui vive a des lieux a la rondes. Cependant si il devait mourir, il perdrait la vie en s’étant battu, cet optique le gonfla à bloc malgré sa solitude, puis repris sa route en suivant tant bien que mal la boussole, en tentant de se souvenir du mieux qu’il pouvait les leçons que sa mère lui donnait. Il savait dans quelle direction se trouvait Suna, il ignorait combien de temps il mettrait à le rejoindre, mais s’il parvenait à survivre en marchant dans cette direction, il tomberait foncièrement dessus. C’était logique, cette idée lui paraissait tellement bonne qu’a aucun moment il ne douta de son choix. Les journées pourtant étaient longues, marchant sous un soleil de plombs, se reposant pendant plusieurs jours dès qu’il trouvait une oasis, gérant du mieux qu’il pouvait ces réserves d’eau. Il faisait preuve d’une étrange maturité. Bien que parfois reprendre la route était trop difficile pour lui, il s’accordait un autre jour de repos au près des sources du désert. Les semaines passèrent. Ces forces diminuèrent, petit à petit, lentement il se voyait dépérir, ce fut en début de soirée, qu’il s’effondra finalement. Sa volonté était forte, mais il n’était qu’un adolescent, il était incapable d’aller plus loin. La chaleur lui faisait voir ces parents devant lui, ces deux compagnons, le conseil qui avait condamné ces idiots, il frappait devant lui comme pour les chasser, avant de finalement tomber à genoux, puis son visage heurta le sol, il se laissa finalement aller. S’il était temps qu’il parte, tant mieux ! Il était épuiser de se battre, qu’avait-il voulu prouver au juste ? La vie ne valait rien, c’était ainsi. C’était en colère contre lui-même, contre sa faiblesse qu’il partit, pour ne plus jamais revenir.

Pour ne plus jamais revenir ? Pas tout à fait, il se réveilla dans une sorte de grotte, à l’abri du sable, un foyer au centre, une sorte de tronc était posé face à celui-ci. Il était couché sur une sorte de couche de paille, il regarda autour de lui en s’habituant a l’obscurité, il vit alors un sceau plein d’eau, il y plongea le visage à l’intérieur, s’abreuvant pendant de longue minutes. Une fois sa soif étanché, il se redressa, c’est à ce moment qu’il se rendit compte qu’il ne portait que son pantalon. Il était bandé à bien des endroits. En touchant son torse cela le brûla comme si on venait de lui lancer un sceau d’eau brulante. Il avait dû rester longtemps sous le soleil, ces habits avaient dû laisser passer les rayons et cela l’avais brulé. C’était la meilleure explication. Il tenta de bouger ces jambes, elles l’écoutaient, il prit quelques temps secondes pour se lever puis exerça la poussé. Une fois debout il tituba sur quelques pas et se stabilisa en posant sa main sur les parois de la grotte. Il commençait finalement à se demander qui l’avaient amené ici. Mais à part le feu crépitant, il n’y avait rien. Il fut tenté de partir immédiatement, cependant en s’approchant du feu il se rendit compte que de la nourriture était posé juste à côté. Passant sa langue sur ces lèvres il ne résista pas à l’appel de la faim, se jetant sur les fruits et les pousses comme si il mangeait pour la première fois de sa vie. S’installant sur le tronc qui servait de banc, il mangea en quelques minutes une quantité de nourriture qu’il n’avait pas vue depuis si longtemps. Rassasié, il se rendit compte qu’il avait tout mangé, que malgré que quelqu’un l’avait sauvé, il n’était peut-être pas prêt à se laisser voler sa nourriture surtout par les temps qui couraient. Soupirant il se décida de partir avant qu’il ne lui arrive quelques choses. Rassemblant ces affaires, il remit la cape autour de lui après s’être habillé. Grimaçant en ayant fait un geste trop brusque, il se tint les côtes, laissant passer la douleur, il tituba jusqu'à la sortie. Au moment où il allait partir en pleine tempête, quelque chose attira son attention. Des dessins, sur un mur à sa gauche. S’approchant, il passa sa main dessus, cela avait été gravé dans la roche, avec une telle précision, s’en était époustouflant. Plusieurs dizaines de scènes étaient gravés là. Des dessins représentants des hommes en train de se battre, des femmes pleurants, des hommes les frappants, un village qui se mourrait… Ce fut cette gravure qui attira son attention, il détailla le dessin. Des dizaines de silhouettes à terre, mortes, les autres a cotés à genoux en train de prier, alors que dans le fond le village était en feu. Cette gravure aurait pu être n’importe quoi, mais il était clair qu’elle représentait le village natal d’Hisoka, pour quel raison ? Cette ombre noir, qui recouvrait les gens et le village en flamme, des yeux terrifiants avaient été donnés à l’ombre, elle engouffrait toujours un peu plus chaque personnes, sa bouche semblait avaler les âmes des morts. Rapprochant son visage estomaquer, il tenta de détailler quelque chose, dans le fond de la gravure, trois silhouettes semblaient s’éloigner du village, elle n’était pas atteinte par l’ombre, l’une de ces silhouettes la seul de toutes ces gravures, étaient peintes d’un rouge éclatant.

Reculant d’un pas, Hisoka se demandait où il était tombé, car quoi que ce soit qui l’ait sauvé, il semblait avoir assisté à bien des choses, ces connaissances en histoires lui permettaient de faire le rapprochement entre certaines gravures et des batailles célèbres qui avaient eu lieu plusieurs dizaines d’années avant. La plus vieille remontait à plus de deux cents ans. En reculant il finit par toucher quelque chose qu’il prit comme l’autre mur de la grotte, mais il comprit bien vite que cela n’était pas le cas, en se retournant, il vit une silhouette qui le surplombait, encapuchonner dans une longue robe noir, son souffle était calme, pesant. Refaisant quelques pas en arrière, Hisoka ne parvint qu’à emmètre quelques sons de sa bouche sans leur donner la forme de mots.

" Alors ça y est tu es réveillé ? Sa fait plusieurs jours que tu vacille entre vie et mort. Tu as vu mes dessins ? Qu’en penses-tu ? "


La silhouette parlait d’une voix calme, presque inexistante, cela l’intrigua fortement, penchant sa tête sur le côté, il ne put s’empêcher de se croire dans un rêve. L’homme se dirigea vers le banc, s’asseyant près de son feu, il porta son regard sur l’assiette vide, alors qu’Hisoka s’attendait à recevoir une correction, il se mit à rire de bon cœur avant de signaler qu’il devait avoir très faim pour engloutir autant de nourriture. Il lui fit alors signe de venir s’asseoir à côté de lui. Il ignore pourquoi mais le jeune homme n’hésita pas un instant, s’installant, il avala sa salive lentement avant de répondre à l’homme, d’une voix roque. Il ne s’était pas entendu parler depuis des jours, cela avait dû endormir ces cordes vocales, ou un truc dans le genre se dit-il.

" Ils sont très bien réalisés. Ce sont des scènes connu, j’en ai vu beaucoup dans les livres d’histoires. "

" C’est exact, mais les plus importants ne sont pas tout le temps recensés dans les livres. Certains événements, qui semble anodin ont pour conséquence de changer de manière bien plus radical qu’une guerre la face du monde."

" J’ai vu, un monde clair s’assombrir, j’ai vu l’homme devenir bête, j’ai vu la vie devenir mort. Tu sais ce qui est enrageant ? "


Hisoka fit un simple signe de tête pour signaler qu’il ignorait la réponse, il était comme hypnotiser par l’élocution de cet être étrange. Celui-ci ricana légèrement avant d’encourager le jeune garçon à réfléchir un peu mieux à ce qu’il avait déjà vécu, ces quelques dernières semaines. Fronçant les yeux, il se mit à réfléchir, sans pour autant trouver de quoi il voulait parler, puis sans prévenir, sans savoir pourquoi sa bouche se mit à articuler une réponse, comme si elle était là depuis le début, qu’elle ne demandait qu’à sortir.

" De ne rien pouvoir y faire ? "

" Encore juste, l’homme se complémente dans sa destruction, s’y engouffre avec une tel force, que personne ne saura l’y extirper. Mais l’homme est séduisant par nature, il est faible en disposant également d’une force sans équivalent. J’existe pour voir, quel sera la fin de cette histoire ? "

" Tu sais ce que je ferais si j’étais toi ?"


" Non quoi ? "

" Rien. Je ne suis pas toi, personnes ne peut se mettre à la place d’une autre sans véritablement le connaître est même dès lors tout ceci est impossible."

" Je ne comprends pas…"

" Tu comprendras, tu choisiras, tu façonneras, l’être en rouge c’est toi après tout."


Ces derniers mots avaient été prononcé alors qu’il s’esclaffait, le jeune homme observait la silhouette avec insistance, il ne comprenait pas un traitre mot de ce qu’il disait, cependant il semblait dégager quelque chose de diffèrent que tous les autres. Il n’arrivait pas à identifier quoi. Alors qu’il allait lui demander comment il pouvait être au courant pour son village et sa fuite de là-bas, l’homme observa l’entrée de la caverne, la tempête de sable venait de s’arrêter, coupant l’herbe sous le pied à Hisoka, il se tourna vers lui en lui faisant signe qu’il était temps de partir. Se levant également, il tapa du pied dans son feu qui finit par s’éteindre, avant de se diriger vers l’entrée de la caverne, le garçon n’avais pas eu le temps de lui poser la question qui lui brûlait les lèvres, alors que l’homme se retourna pour partir dans le désert, il s’écria.

" Comment savez-vous d’où je viens ? Comment savez-vous mon histoire ? "

" Je l’ai lu gamin, je l’ai lu. "

Le vent termina la phrase de l’homme alors qu’il venait de disparaître, Hisoka se retrouvais seul dans cette grotte sombre, regardant autour de lui, il sembla frissonner, qui était cet homme ? Que voulait-il dire par « je l’ai lu » ? Pourquoi l’avait-il qualifié d’être en rouge ? Secouant sa tête pour se sortir ces idées de sa tête, il s’avança vers la sortie, il le reverrait certainement un jour. En s’avançant vers la lumière du jour, il se demandait comment savoir dans quelle direction il était, laquelle devait-il suivre pour tomber sur Suna ? Cependant à peine avait-il fait quelque pas qu’il tomba nez à nez sur une énorme cité. Il était en haut d’une dune, en contre bas se trouvait le village imposant de Suna. Ces yeux s’écarquillèrent, il souffla de soulagement avant de courir pour sauter de la dune. Le geste rapide de la course lui fit tellement mal, mais enfin il était tiré d’affaire. Se laissant glisser dans la descente, il tituba en arrivant en contre bas et manqua de tomber. Reprenant son souffle, il s’élança vers les portes, où se trouvait plusieurs gardes. Il lui fallut plusieurs heures pour expliquer d’où il venait et tous les événements qu’il avait traversés avant d’arriver ici. Ce fut aussi à ce moment qu’il apprit que jamais personnes ne venait dans la grotte dont il avait parlé. Des gardes partirent la visité pour valider son histoire, jamais aucun dessin sur les murs n’avaient été retrouvé, ni aucun foyer de feu. Une simple paillasse très vieille et mité s’y trouvais. Désappointer, Hisoka ne sut dire ce qui clochait dans son histoire, il eut soudainement peur de ne pas être pris au sérieux, cependant contre toutes attentes, les gardes le crurent, le soulageant en lui disant qu’après avoir erré dans le désert aussi longtemps il n’était pas rare d’avoir des imaginations. Qu’il était fort possible qu’il ait réussi à aller lui-même dans cette caverne ou il eut une crise de délire. C’est ainsi qu’après plusieurs jours de repos, le survivant de ce petit village allait commencer sa nouvelle vie dans ce village. Il avait plusieurs buts, il voulait apprendre à maîtriser cette chose qui lui avait sauvé la vie, étendre ces connaissances sur le monde, puis, comprendre.

La plume d’Hisoka finit alors de gratter le papier, la retirant délicatement, il souffla sur l’encre pour la faire sécher, passant la main sur la page, il referma le livre avant de regarder dehors, la tempête de sable s’était calmer, un sourire traversa son visage, il rangea sa plume à l’intérieur d’un étui en cuir, qu’il glissa dans une sacoche brune, ou y suivit son livre. La passant en bandoulière autour de son cou, il tapa plusieurs coups de pieds dans le feu pour le faire s’éteindre, puis se retourna vers la paillasse qui était presque complétement désagréger. Il se retourna finalement, remettant la capuche de sa cape sur son visage, ces pieds firent quelques pas, puis sa main gauche se posa sur l’une des façades de la grotte. Un sourire se dessina sur ces lèvres, son regard se tourna vers la paroi. Immense, une roche claire, comme dans ces souvenirs, retirant sa main elle laissa alors à découvert une gravure non entretenue qui s’était effacé avec le temps et l’érosion. On devinait encore plusieurs silhouettes sur tout le pan de mur, plusieurs récits dessiner a même la roche, là ou avais posé sa main, on devinait un village, une ombre, des silhouettes a moitiés effacés, seul détails qui ressortait de la fresque géante, un enfant, peint d’un rouge éclatant. Comme épargner par le temps. Le bruit de ces sandales se répercutant sur le sol de la grotte alors qu’il la quittait, on put entendre une simple remarque de la silhouette du ninja qui s’éloignait de l’obscurité ambiante vers la lumière du désert.


" Tu comprendras, tu choisiras, tu façonneras… "


Description Physique :

Spoiler:

Description Moral :

Spoiler:

Changements Suite au Rp :

Spoiler:



Dernière édition par Hisoka Satori le Dim 6 Nov 2011 - 18:58, édité 21 fois
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeMer 18 Mai 2011 - 16:08

Voila, première mission de Rang A donner par Ryu Datenshi :

http://www.naruto-ninja-rpg.com/t7413-a-vos-ordres-mission-solo-rang-a

Est comme m'a dis Vijay je signale les points Nnr que j'ai eu en m'inscrivant a Suna, qui était de 50. Plus les deux personnes que j'ai parrainer : Sojiro et Anima.

InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeMar 31 Mai 2011 - 18:24

Petit up =)
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeJeu 2 Juin 2011 - 9:55

Notation du Rp :

1er post : 28 / 30 ( j'ai repéré deux trois fautes, dommage cela aurait pu être parfait. )

2e post : 27 / 30

3e post : 27 / 30

4e post : 28 / 30

Tu parles d'une suite mais tu donnes pas de lien donc je m'arrête là

Mission rang A : 45 points NNr

Total : 110 + 45 = 155 NNr

50 points NNr d'entré = 50 Nnnr

En attente de confirmation du parrainage, en attendant cela te fait 205 Nnr


InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeJeu 2 Juin 2011 - 16:45

Merci Kanna.
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeVen 10 Juin 2011 - 18:38

J'ai été intégré a la fin de mission d'Akimoto est de Thrys. Donc voila le lien =)

http://www.naruto-ninja-rpg.com/t6891-mission-rang-s-une-bataille-a-gagner-pv-akimoto-thrys
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeLun 13 Juin 2011 - 18:00

mission de rang S

1eme post 29 pts
2eme post 28 pts

mission de rang S + invasion = 100pts

TOTAL de points à ajouter 157 pts
Fujita Kodo
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MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeLun 13 Juin 2011 - 20:38

157+50=207 points nnr

MAJ effectuée
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeMar 12 Juil 2011 - 15:49

Voila, un rp relationnelle fait avec Moeko, sans combat. Juste de la discussion a noter s'il vous plait ^^.

Rien n'est plus lent que la véritable naissance d'un homme.
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeJeu 14 Juil 2011 - 18:35

Hé voila la fin d'une mission de rang B.

Mission Rang B : Prise d'Otage
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MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeJeu 21 Juil 2011 - 16:44

Voila encore une mission que je viens de terminer, c'est une de rang B.

Mission de rang B : Comme cousu par le destin
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MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeVen 22 Juil 2011 - 19:01

150 + 150 + 220 = 520. Ajout de ces pts dans ta fiche Nnr.

Je tiens à te féliciter pour les RPs magnifiques que tu postes sur le forum, bravo !
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeVen 22 Juil 2011 - 19:09

Hé bien merci Vijay. Sa fait plaisir.

Par contre est ce que je pourrai savoir a combien est ce que j'en suis en tout ? Vu que dans les notations d'avant y a plusieurs truc contradictoire. D'une je sais pas si mes parrainages ont été pris en compte, ensuite pour la seconde notation y a un + 50 qui apparaît alors qu'il ne devrait pas y être ^^.
Vijay Jagdish
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MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeVen 22 Juil 2011 - 19:15

205 + 157 + 520 + 30 (pts de parrainage pour Sojiro) = 912 pts Nnr.

Je prend pas en compte Anima car il n'est pas validé du moins pas actif.

Mise à jour de ta fiche Nnr ! Bravo.
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MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeSam 23 Juil 2011 - 8:46

Ok, bon bah je vais un peu dépenser tout sa moi ^^. Par contre je viens de recompter pour la mission en coopération avec Sojiro (comme cousu par le destin) tu as oubliés 30 points sur le total. Normalement je devrais être à 250 est non 220.

Du coup ça me fait un total de 942 points, merci pour le total Vijay je sais où j'en suis maintenant.

J'aimerais en utiliser 900, si je me suis pas planté dans mon calcul, pour passer Rang S est ainsi avoir accès a une affinité en plus. De ce fait j'aimerais savoir si le Hyoton m'est accessible, vu que j'ai déjà le Suiton est le Fuuton en affinité de base. Sur le topic des affinités combinées il est marqué qu'il reste 4 place, mais est-ce que c'est toujours bon ? Si oui, j'aimerais donc sacrifier la troisième affinité pour prendre l'élément glace.

Autre question, il est noté que lorsqu'on acquiert un Kekkei genkai, on a accès à 150 points NNR gratuit pour faire des techniques avec le Kekkei, est ce que sa marche aussi pour les affinités combinées ?
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MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeSam 30 Juil 2011 - 16:23

J'ai édité ta fiche shinobi, te voilà désormais Juunin de rang S et de niveau 20 !

A ce stade, tu peux donc obtenir l'affinité "Hyoton", à savoir la Maîtrise de la Glace ! Et, en plus de cela, tu possède en ta possession un budget de 150 points NNr' pour acheter des techniques liées à cette affinité !

Donc, bien que je n'édite pas une nouvelle fois ta fiche shinobi pour te rajouter ce montant, tu possèdes temporairement un total de 192 points NNr' !

Voilà ! Félicitations pour la promotion ! ^_^
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeSam 30 Juil 2011 - 19:02

Merci de ta réponse Thrys. Donc voila, j'ai travailler sur quelques techniques donc je vais utilisé 180 points de ce qu'il me reste en tout, donc me restera 12 points, pour prendre quelques techniques histoire de déverrouiller ma nouvelle affinité.


Rang D :


Citation :
Nom : Hyoton – Tsumetai No Jutsu

Description : Tout utilisateur du Hyoton doit forcément avoir de la glace à proximité de lui pour l’utilisé. Cependant tous les pays, tous les champs de batailles n’ont pas forcément cet élément. La technique basique de nombreux utilisateurs du Hyoton est de directement se donner de la substance en transformant de l’eau en glace. En concentrant le chakra de Type Fuuton est Suiton dans son corps, l’utilisateur expulse de manière imperceptible le chakra Hyoton, ce qui a pour effet de congeler l’eau présente. Ensuite utilisable pour les autres techniques de glace.
Citation :

Nom : Hyoton – Tsumetai Jishaku No Jutsu

Description : Cette technique repose sur la première version du Tsumetai, une fois la glace créer, ou bien lorsque de la glace est à proximité, l’utilisateur peut en insufflant son chakra à l’intérieur en prendre le contrôle. Ainsi il est capable d’amener de la glace près de lui pour l’utiliser pour ses attaques ou ses défenses. Il faut comprendre que par prendre le contrôle, il ne peut pas les modelés, ou bien faire n’importe quoi avec, il agît simplement comme un aimant avec, repoussant ou attirant ce qui est parcouru de son chakra. Cette technique requiert peu de chakra.
Citation :
Nom : Hyoton – Tsumetai Torikesu No Jutsu

Description : On dit que seul celui qui est capable de détruire une chose la contrôle vraiment. De ce fait, un véritable utilisateur du Hyoton est capable de créer la glace mais également de la briser ou de lui rendre son aspect aqueux. Technique ayant l’effet inverse que le Tsumetai de base, avec celle-ci il peut faire retourner la glace à un état liquide pour s’en servir avec son type Suiton. Ainsi il est capable de jongler habilement entre Suiton est Hyoton.



Rang C :


Citation :
Nom : Hyoton – Shimiru No Jutsu

Description : L’utilisateur concentre ses deux types de chakra pour les fusionner dans son corps, il expulse alors par les pores de sa peau le chakra Hyoton. Allant se fixer dans l’humidité ambiante, l’air s’alourdit est devient plus froid, plus mordant. Cette technique n’est ni offensive, ni défensive, elle permet simplement de brider les capacités de combat d’un adversaire. Il ne subit aucun dommage, cependant la chute de température peut faire diversion puis finalement l’empêcher de se battre a plein potentiel.

Durée : 2 Tours.


Citation :
Nom : Hyoton – Bunshin Koori No Jutsu

Description : Chaque ninja sait utiliser la technique du clonage, véritable fondement de l’art Shinobi. Cependant, chaque ninja par la suite lors de son évolution améliore la technique du clonage en la mettant à sa « sauce ». L’élément glace comme bien d’autre permet la création de clone fait de cette matière. Comparé au célèbre Kage Bunshin, le Bunshin Koori n’est qu’une pâle copie, bien moins puissante, les clones ne pouvant utilisés de Jutsus, ne pouvant faire que des attaques au corps à corps. Ils servent surtout à créer des diversions, dès qu’ils reçoivent un coup ils explosent en débris de glace. Au Rang C, l’utilisateur ne peut créer que deux clones simultanément.
Citation :
Nom : Hyoton – Keiyou No Jutsu

Description : L’utilisateur est capable, si son chakra était déjà insuffler dans la glace, de reformer sous une nouvelle forme. Rassemblant les débris, il peut leur donner n’importe quel forme du moment que la taille des débris permet la création de l’objet. Ainsi si un bloc de glace taille moyenne s’écrase est se détruit, il est impossible d’en reformer un plus gros. L’équivalence, de la taille est du poids devra rester exactement la même. Il peut cependant faire un objet de taille plus petite, cependant la glace non utilisé ne sera pas incorporé à la formation.



Rang B :


Citation :
Nom : Hyoton – Kan’pa No Jutsu

Description : Nécessite de la glace sous l’utilisateur. En mêlant du chakra de Type Fuuton est Suiton dans ses mains, l’utilisateur les poses sur la glace sous lui. Celle-ci réagira, le chakra dégager va alors faire s’élever une vague de glace de sous le ninja qui plongera devant lui sur une surface de 90 degré. L’extrémité prend la forme de plusieurs pics de glace acérés. La portée de la vague est de 2 mètre 50. Cette attaque peut servir pour attaquer un ennemi, ou bien pour repousser un adversaire trop proche ou trop insistant.
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MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeSam 30 Juil 2011 - 20:38

Ces techniques ne me semblent ni trop faibles, ni trop puissantes, je les accepte pour ma part. Si un membre du staff souhaite rajouter quelque chose, qu'il le fasse, sinon, je valide les techniques ! ^_^

PS : Pour la technique rendant l'environnement plus froid, cela dure deux tours, certes, mais j'ai une question : Un ninja assez malin peut-il changer les choses avec une technique Katon, histoire de réchauffer l'ambiance ? ^^
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MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeSam 30 Juil 2011 - 20:42

Pour la technique Katon bien entendu cela réchauffera l'air pendant quelques temps, la moitié d'un tour, voir un tour complet si c'est la belle technique, mais vu que le froid est constant sur 2 tour la chaleur va s'évanouir petit a petit. Sa rendra juste le truc plus supportable, a moins bien sur d'enflammer quelque chose pour maintenir le feu sur le champ de bataille par exemple.

Donc en gros pour un Jutsu oui mais de manière brève selon la force de la technique, sinon en se servant d'un Katon pour faire un feu assez puissant pour contrer l'atmosphère de glace, oui bien entendu sa marchera.
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MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeSam 30 Juil 2011 - 20:44

D'accord, je vois, cela me semble correct tout ça. Reste à attendre l'avis d'un autre membre du Staff ! Wink
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeMar 9 Aoû 2011 - 14:15

Petit up pour avoir un second avis ^^
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeSam 20 Aoû 2011 - 12:03

Up
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeJeu 25 Aoû 2011 - 14:21

En tant qu'utilisatrice de Hyoton, je ne peux que valider. Toutes ses techniques me semblent plus que raisonnable.
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeJeu 25 Aoû 2011 - 18:36

Merci Akari
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitimeMar 13 Sep 2011 - 17:15

Ajout de 120 nnrs pour le test d'Ichibi en compensation
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MessageSujet: Re: Carnet de Bord d'Hisoka Satori Carnet de Bord d'Hisoka Satori Icon_minitime


Carnet de Bord d'Hisoka Satori

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