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Reiya Datsoke

InvitéInvité
MessageSujet: Reiya Datsoke Reiya Datsoke Icon_minitimeLun 27 Juin 2011 - 19:22

Présentation de [ PRENOM - NOM ] .
Citation ?

Prénom et Nom : Reiya Datsoke
Âge :15 ans
Village / organisation désirée :Kumo


MON PERSONNAGE


Description physique :

Chaque être en ce monde possède sa part de mystère, d’insouciance, d’envie. Mais surtout, nous avons tous en nous ce petit quelque chose qui nous pousse à avancer, à toujours suivre ce sentier fermé qu’est le destin, la fatalité. Mais qu’est-ce que le destin ? Est-ce simplement une suite d’événements incontrôlables dont l’enchaînement fut décidé avant même toute chose ? Avant la naissance même de cet univers impitoyable ne laissant aucune place aux remords, et à l’interrogation sur ce dit destin ?

L’apparence physique d’un homme est essentiel pour le présenter, en effet celons son habillement sa taille son visage ; la façon dont il marche ; son sourire ; vous aurez une perception toute différente de cette personne ; et vous serez plus ou moins disposés à lui accorder votre confiance ou non. L’homme expié dans les mystères sacrés, quand il voit un beau visage décoré d’une forme divine, ou bien quelque espèce incorporelle, sent d’abord un frémissement secret, et je ne sais quelle crainte respectueuse ; il regarde cette figure comme une divinité… quand l’influence de la beauté entre dans son âme par les yeux, il s’échauffe : les ailes de son âme sont arrosées ; elles perdent leur dureté qui retenait leur germe ; elles se liquéfient ; ces germes enflés dans les racines de ses ailes s’efforcent de sortir par toute l’espèce de l’âme. Toute impression simple s'accompagne d'une idée correspondante et toute idée simple d'une impression correspondante. De cette conjonction constante des perceptions semblables, on conclut immédiatement qu'il y a une grande connexion entre nos impressions et nos idées correspondantes et que l'existence des unes exerce une influence considérable sur l'existence des autres. Une telle conjonction constante, dans un nombre aussi illimité de cas, ne peut jamais naître du hasard ; mais elle montre clairement qu'il y a une dépendance des impressions par rapport aux idées ou des idées par rapport aux impressions. Pour savoir de quel côté se trouve cette dépendance, on envisage l'ordre de première apparition ; et on trouve, par expérience constante, que les impressions simples précèdent toujours les idées correspondantes et que l'ordre inverse ne se produit jamais.

Pour donner à un enfant l'idée de l'écarlate ou de l'orange, du doux ou de l'amer, on lui présente les objets, ou, en d'autres termes, on² lui communique ces impressions ; mais pn ne procède pas assez absurdement pour tenter de produire les impressions en éveillant les idées.
Nos idées, à leur apparition, ne produisent pas les impressions correspondantes et nous ne percevons aucune couleur, ni ne ressentons aucune sensation à seulement y penser. D'autre part nous trouverons qu'une impression, qu'elle soit de l'esprit ou du corps, est constamment suivie d'une idée qui lui ressemble et qui en diffère seulement par le degré de force et de vivacité. La constante conjonction de nos perceptions semblables est une preuve convaincante que les unes sont causes des autres ; et la priorité des impressions est une preuve tout aussi grande que nos impressions sont les causes de nos idées et non nos idées les causes de nos impressions. Pousuivons ;

Il ne prend pas extrêmement soin de lui et bien que comme tout les hommes il adorait les compliments qu’on lui faisait n’accorde pas tant d’importance à son physique que cela. Pour lui le vrai moyen de charme passe par autre chose plus encore, et il aime à penser qu’il ne c’est pas fait lui-même ; et que tout espèce d’Artefact pour essayer de s’embellir serait une hypocrisie non seulement envers lui-même ; mais en plus envers les personnes qui le regardent. Ainsi il est extrêmement rare de le voir se coiffer; ne parlons même pas de manucure ; bien qu’il ne manque pas de respect envers ces congénères il aime à ce dire : « Je me suffis à moi-même ; c’est bien assez »


Du haut de son mètre 80 ; Reiya est sans doute l’archétype parfait du ninja, son ossature n’a pas été déformé par ces muscles et on a en le voyant un respect instinctif. Il est très étrange concernant son habillement, effectivement contrairement à la tendance populaire qui demande à ce que les ninjas portent des tenus assez discrètes pour les missions ; il est tout vêtu de rouge de la tête en passant par les yeux ; et pour terminer avec ces chaussures ; et porte son bandeau attaché au bras droit est lui aussi coloré avec une teinte rouge. Même si il n’accorde pas d’importance à son physique il est peut-être utile de savoir que sa couleur rouge n’est pas une couleur naturelle ; il se teint régulièrement les cheveux, et ceux car il trouve que c’est la couleur qui le correspond le mieux.

Ces pupilles sont elles rouge écarlate naturellement, ce qui fait que lorsqu’on le voit ; la première chose qu’on remarque est souvent son regard ; quand il était jeune, il s’amusait même à prétendre que c’était un Sharingan, bien évidemment maintenant les choses sont tout autres ; l’époque des jeux est révolu.

Description morale : L'homme est obscur en lui-même; cela est à savoir. Seulement il faut éviter ici plusieurs erreurs que fonde le terme d'inconscient. La plus grave de ces erreurs est de croire que l'inconscient est un autre Moi; un Moi qui a ses préjugés, ses passions et ses ruses, une sorte de mauvais ange, diabolique conseiller. Contre quoi il faut comprendre qu'il n'y a point de pensées sinon par l'unique sujet, JE. Cette remarque est d'ordre moral. Il ne faut point se dire qu'en rêvant on se met à penser. Il faut savoir que la pensée est volontaire... On dissoudrait ces fantômes en se disant simplement que tout ce qui n'est point pensée est mécanisme ou, encore mieux, que ce qui n'est point pensée est corps, c'est à dire chose soumise à ma volonté, chose dont je réponds. Tel est le principe du scrupule...L'inconscient est donc une manière de donner dignité à son propre corps, de le traiter comme un semblable; comme un esclave reçu en héritage et dont il faut s'arranger. L'inconscient est une méprise sur le Moi, c'est une idolâtrie du corps. On a peur de son inconscient; là se trouve logée la faute capitale. Un autre Moi me conduit qui me connaît et que je connais mal. L'hérédité est un fantôme du même genre."Voilà mon père qui se réveille; voilà celui qui me conduit. Je suis par lui possédé... En somme, il n'y a pas d'inconvénient à employer couramment le terme d'inconscient: c'est un abrégé du mécanisme. Mais, si on le grossit, alors commence l'erreur; et bien pis, c'est une faute

L’âme est souvent utilisé pour décrire un homme ; mais Quesque que l’âme ?

L'âme c'est ce qui refuse le corps. Par exemple, ce qui refuse de fuir quand le corps tremble, ce qui refuse de frapper quand le corps s'irrite, ce qui refuse de boire quand le corps à soif, ce qui refuse de prendre quand le corps désire, ce qui refuse d'abandonner quand le corps a horreur. Ces refus sont des faits de l'homme. Le total refus est la sainteté ; l'examen avant de suivre est la sagesse ; et cette force de refus, c'est l'âme. Le fou n'a aucune force de refus; il n'a plus d'âme. On dit aussi qu'il n'a plus de conscience, et c'est vrai. Qui cède absolument à son corps, soit pour frapper, soit pour fuir, soit seulement pour parler, ne sait plus ce qu'il fait ni ce qu'il dit. On ne prend conscience que par opposition de soi à soi. Alexandre à la traversée d'un désert reçoit un casque plein d'eau ; il remercie le verse par terre devant toute l'armée. Magnanimité ; âme, c'est-à-dire grande âme. Ce beau mot ne désigne nullement un être, mais toujours une action.

Il est maintenant ; plus facile de comprendre Reiya, son plus grand trait de caractère est la franchise, et une générosité presque stupide, n’ayant quasiment rien eu lors de son enfance, il tente de faire en sorte que ces proches eux puisse bénéficier du maximum ; même si ce n’est pas forcément le moment. Sa nature enjoué est néanmoins un atout non négligeable pour le groupe ; son charisme et sa capacité à motiver les troupes font de lui un être exceptionnel ; il n’est pas forcément très intelligent mais il sait ce qu’il veut ; et est bien évidemment comme toute les grandes personne de ce monde, têtu comme un âne.


Mis à part cela, la personnalité de Reiya est parfois pas aussi simple à cerner que les apparences le laisse présager… En effet, bien qu’ étant naturellement humble ;, il essai en plus de manière général à camoufler ses sentiments lorsqu’il ne se sent pas bien de telles façon que son visage reste désespérément lisse. Il semble parfois même blasé de toute choses, mais il en reste un homme, qu’il le veuille ou non, et il saura se montrer courtois ou chaleureux quand la situation l’exige et ainsi se faire hypocrite.






Son histoire : Je m’appelle Reiya Datsoke. Je suis né il y a de cela 15 ans. J’ai huit frères et sœurs et nous avons été élevé ensemble à l’orphelinat. Dans notre enfance, nous habitions prés de Kiri, une petite ville régie par les lois du Mizukage, à l’abord du fleuve. Je me souviens qu’étant petit garçon, je me regardais souvent dans le miroir et je maudissais ce visage d’orphelin qui était le mien. Mais à l’époque on ne nous appelait pas « Orphelin », on ne parlait que de minorité… de défavoriser. On nous faisait vivre dans une ferme qui appartenait à l’orphelinat, il y avait beaucoup d’hectares et on y faisait pousser beaucoup de choses : maïs, tabac, coton, luzerne, blé et parfois même du canne à sucre. Je me souviens que quand nous travaillions pour l’orphelinat, nous habitions une vieille baraque dans les bois, derrière ce que nous appelions la « grande maison ». Il y avait trois ou quatre « famille » d’au moins 8 personnes chacune ; ça ressemblait à une plantation. Et dire qu’en 10 de travailles là bas ; je n’ai jamais réussis à remplir mon ventre …

On ne vivait pas à coté de la route qui menait à Kiri ; on vivait derrière la grande maison ; comme des résidus qu’on voulait cacher à la face du monde pour qu’ils se sentent mieux … La plupart de nos maisons était en bois ; nous n’avions pas l’eau courante, ni l’électricité, et la nuit il fallait compter sur nos aînés maîtrisant l’art du feu pour allumer nos torches. Nous n’avions pas de salle de bains, rien que des toilettes à l’extérieur de la maison. Nous avions cinq pièges : une cuisine, un garde-manger où l’on rangeait les casseroles et les poêles, une chambre pour les filles et une chambre pour les garçons. Il y avait un poêle à bois à côté duquel on pouvait poser de l’eau. Quand le poêle chauffait, l’eau chauffait aussi. Parfois nous cuisinions des petites choses dans la cheminée. Saori ; ma petite sœur cuisinait souvent pour l’orphelinat, elle préparait le dîner. Voilà maintenant quelque chose d’amusant : le jus qui provenait de la cuisson des choux et des pois et que nous appelions jus-du-pot, les chefs de l’orphelinat le donnait à Saori ; alors en arrivant elle faisait du pain de maïs des boulettes de pâte ; et transformait le jus-du-pot en une soupe. Le plus étonnant, c’était qu’ils ne comprenaient pas pourquoi on était bien plus robustes que leurs gosses. Plus tard, j’ai découvert que quand on fait bouiller et qu’on cuisine les légumes verts, les vitamines vont dans le jus. Résultat : on avait le meilleur !

Ils étaient très stricts, nous étions beaucoup de garçons, et tout le monde sait comment sont les garçons… Mais ils ne toléraient pas de bagarres entre les enfants, un autre truc sur lequel ils étaient très stricts : le respect. Ce n’était pas une question de personne ou de rang, on disait toujours : « Oui Madame » ou « Oui Monsieur ». On était tous très unie, la plupart étaient profondément religieux, et je me rappelle qu’avant d’aller manger, nous devions dire une bénédicité que je ne connais toujours pas… Le jour de l’adoption était un jour pieux : ce jour-là on nous prêtait des habits, et le sérieux était de mise : c’est le lendemain qu’on s’amusait ; si on avait été choisi.


Chercher un travail pour le gain, c’est maintenant un souci commun à presque tous les habitants des pays de civilisation ; le travail leur est un moyen, il a cessé d’être un but en lui-même ; aussi sont-ils peu difficiles dans leur choix pourvu qu’ils aient gros bénéfice. Mais il est des natures plus rares qui aiment mieux périr que travailler sans joie ; des difficiles, des gens qui ne se contentent pas de peu et qu’un gain abondant ne satisfera pas s’ils ne voient pas le gain des gains dans le travail même. Les artistes et les contemplatifs de toute espèce font partie de cette rare catégorie humaine, mais aussi ces oisifs qui passent leur existence à chasser ou à voyager, à s’occuper de galants commerces ou à courir les aventures. Ils cherchent tous le travail et la peine dans la mesure où travail et peine peuvent être liés au plaisir, et, s’il le faut, le plus dur travail, la pire peine. Mais, sortis de là, ils sont d’une paresse décidée, même si cette paresse doit entraîner la ruine, le déshonneur, les dangers de mort ou de maladie. Ils craignent moins l’ennui qu’un travail sans plaisir : il faut même qu’ils s’ennuient beaucoup pour que leur travail réussisse. Pour le penseur et l’esprit inventif l’ennui est ce « calme plat » de l’âme, ce désagréable « calme plat » qui précède la croisière heureuse, les vents joyeux ; il faut qu’il supporte ce calme, en attende l’effet à part lui. C’est là précisément ce que les moindres natures ne peuvent pas obtenir d’elles ! Chasser l’ennui à tout prix est vulgaire, comme de travailler sans plaisir. Voilà peut-être ce qui distingue un ninja de Kumo de Kiri : il est capable d’un repos plus long et plus profond ; ses narcotiques eux-mêmes n’agissent que lentement et réclament de la patience, au contraire du poison de Kiri, l’alcool, d’une soudaineté répugnante.

Tout le monde avait quelque chose à faire à la ferme ; les garçons comme les filles, et après l’académie ( car nous y étions obligés d’après le gouvernement) nous avions aussi des tâches à remplir. Pendant l’été, je partais tôt le matin avec mes amis pour travailler à la ferme. Nous n’étions pas payés, mais en échange du coup de main, nous recevions des Kunaï ou des trucs comme ça. Par contre si l’on faisait quelque chose à la ferme affilié à Kiri ; il nous donnait environ 5 ryos et nous étions très heureux. Ils disaient : « Je veux que ces jeunes ninjas aillent en ville faire ceci ». Nous aimions le faire. C’était la seule façon d’obtenir un peu d’argent et alors on pouvait reprendre notre entrainement de plus belle ; je ne vais pas vous le cacher ; on rêvait tous de devenir Kage, un jour ou l’autre. En ce temps là, l’école se terminait vers deux heures de l’après midi, nous filions directement vers l’orphelinat car nous avions des choses à faire. Il nous fallait aller couper du bois et puiser de l’eau pour la nuit. Personne ne nous disait de faire tout cela, on le faisait c’est tout : Notre survis en dépendait.

Alors que nous travaillions dans la chaleur de l’été, nous nous demandions pourquoi les gosses des directeurs, eux, ne travaillaient jamais. Ses enfants avaient à peu près notre âge, peut-être un peu plus. Ils restaient sous le pacanier à boire du jeu pendant que tout les autres gamins travaillaient ou s’entraient en plein soleil. Et nous, on ne comprenait pas pourquoi on travaillait tout le temps alors qu’on n’avait rien à la fin de l’année. On ne nous payait même pas des habits décents ni rien de tout cela. Nous les mômes nous voulions savoir pourquoi il nous fallait vivre dans une vieille maison délabrée, pourquoi nous garions toujours nos vieilles chaussures, pourquoi nous ne pouvions pas avoir une jolie voiture comme celle des directeurs. Une fois en allant chez eux, j’ai vu la chambre de son fils, il avait mon âge. J’ai regardé tout ces beaux meubles et vu à quel point tout était beau dans cette maison. Je n’arrivais pas à comprendre pourquoi nous n’avions aucune de ces belles choses. Nous savions que quelque part quelque chose clochait mais nous n’imaginions même pas pouvoir y changer quoi que ce soit. Pourquoi au pays de l’eau nous devions être moins que les autres ? A cette question les directeurs me répondaient « Et bien ! ç’a été voulu comme ça. C’est comme ça que ça doit être ; vous n’obtiendrez jamais d’être égaux avec certaines personnes. »

J’ai commencé l’école à six ans. On allait à l’école quand on pouvait parce qu’on avait des choses à faire à l’orphelinat avant de partir le matin. Au printemps, on n’y allait pas trop souvent car il fallait aider à prendre soin des semences. L’instruction signifiait peu aux yeux du directeur ; lui, comme ses semblables, considérait que, comme nous étions orphelin, tout ce qu’il fallait apprendre c’était à lire son nom ; ou des truc comme ça. Alors pourquoi aller inutilement à l’école ? L’opinion de nos sœurs était légèrement différente. Elles voulaient que nous sachions lire. Mon frère Jabu et moi étions toujours les premiers de la classe… C’était notre revanche sur la vie. Ma première academie de ninja s’appelait « Providence ». C’était un grand bâtiment dont les murs intérieurs avaient été abattus pour qu’il n’y ait plus que trois pièces ? Il n’y avait qu’un seul niveau. On allait juste à l’école pour apprendre le nécessaire ; le maniement de certaines armes, et les modalités de déplacement dans les différents milieux. Nous vivions à une dizaine de kilomètre de Providence, on y allait tous les jours à pied. Certains gosses habitaient encore plus loin que nous et, eux aussi, devaient venir à pied .Les enfants de Kiri avaient un bus. Quand nous avions école le matin, nous devions d’abord sortir dans l’air glacé pour aller couper du bois. Nous ramenions, ensuite, les bûches dans l’école pour allumer un feu dans le vieux poêle, gros et ventru. Puis nous devions ressortir pour tirer de l’eau au puits. Il fallait aussi mettre des morceaux de carton sur quelques-unes des fenêtres car, la plupart du temps, les vitres étaient cassées. La maîtresse avait une énorme marmite qu’elle posait sur le poêle ventru, et elle mélangeait toutes nos provisions. A leur grand étonnement, parfois, je ne pouvais rien à apporter, ni moi ni mes frères ; mais la maîtresse s’arrangeait toujours pour que l’on puisse manger. Souvent, et cela vous montre la cruauté des enfants, ils nous tourmentaient, nous qui n’avions rien apporté. Plus d’une fois, je me suis battu. Nous déjeunions ainsi, parce qu’a l’école nous n’avions ni cuisine ni rien de ce genre. Les Quand nous quittions l’école pour rentrer chez nous, nous guettions derrière nous le passage du bus scolaire des enfants fortunés. Chaque fois qu’on voyait le bus arriver, on déguerpissait, cherchant un endroit où se cacher. Si le chauffeur arrêtait le bus à notre niveau, on savait qu’on allait avoir de sacrés ennuis. Les enfants les plus grands descendaient et se mettaient à nous insulter. Ils utilisaient des jutsu costauds et nous les lançait. Les plus costauds de la bande dont moi et Jabu, faisaient diversion et prenaient les coups pour protéger les petits. On protégeait sa petite sœur ou son petit frère ou n’importe quel petit môme. Ca n’avait pas d’importance ; qu’on soit parents ou non, on ne voulait pas qu’ils soient blessés. Les enfants se moquaient bien de savoir qui ils touchaient du moment qu’ils touchaient quelqu’un. Alors ils se mettaient à crier et à se vanter en disant : « Hé, t’as vu comme je l’ai eu celui-là ! Mon vieux, j’l’ai bien eu ! » Puis ils se pressaient pour remonter dans le bus et repartaient. Mais je me souviens aussi d’un ninja ; il avait une grande épée blanche, et il venait à la sortie ; et il nous protégeait, souvent et menaçait ces garnements. Ça ? C’était mon enfance ; et c’est pour ça que chaque jour lorsque je me lève ; je suis prêt à faire tout les sacrifices pour un monde meilleur.

Enfin le destin m’a souris ; mais il me semble que ce soit plus nos acte qui font de nous ce que nous sommes ; plus que le destin. Et ça, je vous le prouverai.



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Dernière édition par Reiya Datsoke le Mar 28 Juin 2011 - 8:13, édité 1 fois
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Reiya Datsoke Reiya Datsoke Icon_minitimeLun 27 Juin 2011 - 19:30

Rang C ? Bienvenue, au passage.
Grimmjow
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MessageSujet: Re: Reiya Datsoke Reiya Datsoke Icon_minitimeLun 27 Juin 2011 - 21:32

A non pas rang C pour moi c'est rang B minimum, rang B lvl pour ma part.
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Reiya Datsoke Reiya Datsoke Icon_minitimeMar 28 Juin 2011 - 8:13

Bonjour

Voilà; excuse moi mais Grimmjow; je ne vois pas le Lvl que tu proposes.
Vijay Jagdish
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MessageSujet: Re: Reiya Datsoke Reiya Datsoke Icon_minitimeMar 28 Juin 2011 - 10:58

Bienvenue dans la famille ! Okay

Ninja de rang B level 12 / Chuunin ! =)
Tu peux aller faire ta fiche jutsu.

Hunk Moroshi
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Hunk Moroshi~ Chef Anbu de Kumo ~
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MessageSujet: Re: Reiya Datsoke Reiya Datsoke Icon_minitimeJeu 27 Oct 2011 - 18:30

Bonjour/Bonsoir.

|- Direction corbeille.

Hunk.
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MessageSujet: Re: Reiya Datsoke Reiya Datsoke Icon_minitime


Reiya Datsoke

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