C'est l'Histoire d'une fin

• Il n'y a d'autre frustration que celle des méandres de ses complexes. Berçé par le venin de la honte Kyohei Hateru à cette fois-ci perdu la raison. Tourmenté incessement par les blessures béantes du mieux, ou du insuffisant il ne sait faire qu'attirer pitié et compassion sur ces travers dont souvent l'on se moque avec grosse gaïeté. On rit de sa petitesse, on lui fait des remarques pour s'élever plus que l'on est. Autour de nous, nous avons toujours une eprsonne qui est plus faible que nous et dont l'on ce moque avec plaisance. Dans l'entourage de ces proches c'est ce jeune adolescent qui est l'allégorie de cette personne. De faible constitution il n'attire que rire et sarcasme, garçon maladroit il déclenche ce qui le tranche les remarques acariatres. Lapidé par la vie, il s'y laisse prendre sans fanfaronner. Incapable, idiot, boulet du clan Hateru. Ce surnom l'a achevé depuis longtemps. Comme marqué au fer rouge il ne se voit que dans l'ombre de son mentor mais aussi cousin. Ces épaules écrasées par le poid du scuccès grandissant de son clan il ne connait que défaite et échec. Berçé par le rythme cadencé du malheur il ne saurait se rebeller et préfère subir en silence. Il n'a de talent que dans l'art de la balourdise et brille de ses éclats dans le domaine de la poltronerie. Un jour, un jour de trop dans son existence il perdu définitivement l'envie de vivre. Une fois encore son visage recouvert de larme il ne pouvait que subir. Sa petitesse arrivée à son apogée c'est dans l'apesanteur de la connerie qu'il se fonda en prenant une décision des plus débiles refletabt d'avantage sa faiblesse que le contraire. Jamais aucun membre du clan Hateru n'avait entaché leurs nom. Jamais ils n'avaient fait honte à leurs clan.. non jamais. Et lui à treize ans allez faire l'irréparable. C'est ce jour-ci qu'il allait changer son destin définitivement. Le boulet des Hateru, ce surnom tant de fois maudit n'allait plus jamais lui être attribué. Plus jamais puisqu'il allait fuir son destin. Persuadé de la qualité de cette idée il comptait berçé par ses illusions vivre dans un autre village peut-être. Ce jour-ci il prit un sac de voyage qu'il bourra d'objet de survie et partit définitivement. Il tournait le dos définitivement à son chez lui et disait adieux à ces plus horribles souvenirs. Le jeune chuunin fit le tour de la ville, il se renda même devant la forêt interdite ou il avait passé son examen chuunin. Dans un sanglot étouffer par des rires de quelques gamins au loin il disait adieux à sa seul réussite et encore ce n'était pas par lui même. Il ragea en entendant ses rires avant de repartir tête baissée. Il s'essuya les yeux en se dirigeant vers la vallée de la fin. Ce lieux il l'aimait particulièrement, il y aimait l'ambiance calme et la vue y était belle. Il vit devant ses yeux les deux statues commémoratives d'un lieu culte. Intinctivement il leva la tête vers le sommet, il voulait y monter et c'est ce qu'il fit avec difficulté. Une fois en haut il observa le paysage du haut, il se sentait puissant. Il s'y assit et maintenant il n'attendait que plus que les autres arrivent. Qui ? Ses bourreaux, sa famille.

[rp de petit nombre de ligne pour la mort de mon personnage]

C'est l'Histoire d'une fin Il y a des fous dans tous les coins de cette terre infâme et vile. L'infamie n'a qu'une effluve tellement putride qu'elle rends les hommes aigris. Cette odeure si avilissante a dans toute la splendeure de cette exaction enfumée les narines du genre humain jusqu'à leur réduire leurs odorat à l'état de végétations creuses et stériles incapable de faire sentir à ce morceaux de chaire imbibé de sang les effluves si agréable de leurs sainte mère la vie. C'est de cette manière qu'ils passent aux cotés des plus gironds événements de leurs vie en restant insatidfait du résultat et pourtant forcé de constater qu'ils ont déjà beaucoup, ils ont la vie. Ils la voyent d'un oeil si négatif qu'ils la dénature jusqu'à la réduire à l'état de simplet fleuve tranquille. Ces créatures apogé du chef d'oeuvre de Dieu n'en tirent aucune leçon et cela leurs serait pourtant bénéfique. Les hommes comprendraient peut-être alors la fortune qu'ils possèdent de partager avec une poignée d'netre eux cette longue et réjouissante qu'est la vie. Eux ils préfèrent se l'arraché, ils se plaisent ensemble à la baignée de sang et de larme, les hommes en font une série de coup d'épée dans la douleur et la hargne dont ils peuvent faire preuve. C'est un démon avide de sang, de larme de malheur, il rit de ces compagnons mourant sous son joug et pleure son hypocrisie lorsqu'il perd un "être cher". Monstre de crauté et d'hypocrisie c'est une chef d'oeuvre empourpré de boue. C'est ce qui pousse les hommes, les membres du clan Hateru à ça. Aujourd'hui, aujourd'hui est un jour distinct pour moi. A présent je pourrais glorifié mon expérience d'un événement innacoutumé que moi Satoshi Hateru j'allais vivre. Cette expérience ne ce déroula qu'une fois par le passé, une seule et unique fois. Et pourtant ce jour là ce passé si lointain et spécial allait se reproduire. Je n'avais jamais pensé que ça ce reproduirer et surtout avec cette personne. En effet le chef de notre clan m'avais contacté moi et trois autres hommes qui étaient mes cousins en faite. Il nous indiquait qu'un membre déserté notre clan, notre prestigieux clan. Un membre ne voulait de nitre succès, ne voulait de nitre gloire. Une question posait alors à nous, qui ? Nous ne restions pas très longtemps dans l'interrogation car un nom fut lancé grossièrement : "Kyohei"Ce fut à la stupéfaction générale de notre petit groupuscule que nous reçûmes alors l'ordre de le faire disparaître de façon subtile et discrète.Nous savions ce que cela signifiait, il fallait faire comme par le passé et maquillé cela en suicide. Je reconnais que j'eut un pincement au coeur en apprenant cela mais ... Avais-je le choix ? Non on ne désobéissait pas au chef du clan. Une question d'honneur tout simplement. Autant dire que Kyohei ne fut pas compliqué à trouver. Il s'était fait voire par beaucoup de gens dans Konoha qui peu à peu reconstituait l'ittinéraire de ce dernier. D'une course véloce notre groupe progressait à grande vitesse vers la vallée de la fin. Qu'elle ironie du sort il allait s'éteindre dans un vallée au nom très causasse qui aillait aprticulièrement coller à la situation présnete. Plus nous avancions et plus devant nous se dressait majestueusement les deux statues mythiques et reconnues de tous. D'un signe de main je dressai ma main à la verticale pour exprimer de manière explicite que je voualis que l'on stoppe notre allure. Nous arrêtions face au bas de la tête d'Uchiwa. Mon regard parcourrait l'étendue à escalader avant d'utiliser un konobori et de grimper avec aisance la statue. Une fois à sa fin c'est dans un saut que j'atteris au sol. Je me redressai en lançant un regard autoritaire aux autres. Nous avançions vers lui mes acolytes vinrent aux cotés de Kyohei en les prenants par les bras. Je trouvais cela incroyablement attristant comme spectacle je m'étais attaché à ce dernier et je croyais comprendre ce qu'il le poussait à faire cela. D'une voix galcial et à la fois moraliste je dit alors: "Kyohei, cela est probablement la plus grossière de tes béduves et sans aucun doute celle qui te coûtera le plus chère." Puisqu'il fallait maquillé cela en suicide nous savions ce qu'il fallaut faire et premièrement pas de taijutsu ou de ninjutsu. Je reprit alors : ' Tu sais ce qu'il t'attends et j'admet que ton sort sera mérité." Je marquai une apuse dans laquelle je me rapprochais de lui en portant ma main à son visage. Je lui caressa cette dernière avec un regard presque tendre avant de la frapper violement. J'avais mal de faire cela mais il le fallait. Je fit quelques pas de recul en le regardant droit dans les yeux et ajoutai. " Kyohei Hateru, membre de notre prestigieux clan tu as souillé ces travers de ton impureté et pour cela tu ne mérite qu'un châtiment ..." Un long silence s'installait les trois hommes le lachèrent avec mépris puis je reprit en m'approchant : "La mort" Ce fut ke dernier mot qu'il entendra de son existence. J'accompagnais mes dires en le poussant avec violence vers l'arrière.

[Bon t'aurais put au moins te défendre è_é flemmard]

C'est l'Histoire d'une fin Je regardais avec asthénie cette fin de tragédie. Ses mains se refermèrent sur le vide qui l'entourait, aucun soutien, personne n'était là pour lui. Il était facheux de faire un tel constat mais ajmais Kyohei Hateru n'avait eu de soutien dans sa vie, toujours rabaissé et humilié sa vie était rythmé par les instant de honte et de sarcasme. Quand je vis des larmes jaillirent de ses yeux et son corps basculé dans le gouffre de sa fin je ne cache pas que j'eu mal. Une lourde entaille me fut porté au coeur je me sentais assassin et infame. Avais-je eut le choix ? On a toujours le choix. J'avais obéit tous bonnement et cela faisait de moi une personne de confiance au sein de mon clan. Certes mais j'avais sacrifié une vie pour si peu de reconnaissance, oui. Dans un mouvement lent et confus je croisais les bras en observant son corps tomber sans espoir de retour. Il tombait dans l'évidence de son sort, c'était son destin et nul n'échappe à son destin. Si je l'avais fait c'est que je le devais. Il n'y avait nul échappatoire face à ses responsabilités, face à sa vie et ceux qui tenter utopiquement de fuir terminer comme Kyohei.Notre clan n'est pas tendre envers les lâches et aime à glorifier ce qui porte leurs nom avec fièreté. Dans un sens j'avais du mal à me mettre à la place de Kyo'. Il avait le nom et de grande capacité qu'il n'avait plus qu'à dévelloper. Je fut sortie de mes songes quand il se mit dans un étendue hurlement à crier mon prénom. Mon regard fixait son corps devenant de plus en plus petit j'étais obligé de plisser mes yeux pour le voir encore.La chute lui serait fatal et en cas de survie je devrais l'achever sans utilisé le ninjutsu soit en le noyant de mes mains. Je sentis une boule se créer en mon estomac, des sensations de remords m'envahirent dans une nostalgie du passé. De ces entraînement de sa timidté. Dans une grimace insatisfaite je baissai la tête, l'équipe allait être incomplète maintenant. Mes paupières close un bruit sourd vint jusqu'à mes oreilles , il venait de finir sa chute. "Ainsi soit-il" murmurai-je en m'approchant du bord. J'apperçut son corp remonter à la surface dans un biotope rouge. Sa face avait dut s'écraser conter l'eau suite à cette chute d'une centaine de mètres peut-être voir même plus je ne saurais dire. Je me détournais de ce spectacle macabre en abandonnant ce cadavre voguant au grès du courant. L'un de mes accolites me fit signe me pointant du doigt un sac de voyage et un bandeau accroché à l'une des ances. Je les prirent en ma main en m'approchant du vide. Mon regard s'accrocha au corps qui ne laissait voire que le dos de Kyohei, le courant d'eau rouge s'était dissipé. Dans un long soupire je tendais mon bras au dessus du gouffre avant de laisser tomber le sac qui sous la pression libérait son contenue. Quand au bandeau de Konoha je le regardais impassible en me détournant d'un mouvement vif de la cascade et en y laissant tomber le bandeau. Maintenant tous était finit. Sa vie aussi était finit.

Fin