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Le tonnerre gronde

InvitéInvité
MessageSujet: Le tonnerre gronde Le tonnerre gronde Icon_minitimeJeu 14 Juil 2011 - 17:48

Le lendemain on sera matin à Konoha ! Dans chaque immeuble étaient collées les affiches qui annonçaient la mobilisation générale. Je n’avais eu que peu de temps pour réagir ; et dès que j’eu reçut la lettre de mon unique supérieur ; j’avais fais en sorte que tout soit prêt. Il faudrait un professionnalisme et une efficacité chirurgicale. Les rues se remplissaient de recrues, qui allaient prendre leur service, des drapeaux flottaient, la musique résonnait, à Kumo je trouvais toute la ville en proie au délire. La première crainte qu’inspirait la guerre que personne n’avait voulue, ni les peuples, ni le gouvernement ; cette guerre qui avait glissé contre leur intention des mains maladroites des diplomates, qui en jouaient et bluffaient, s’étaient transformée en un subit enthousiasme. Des cortèges se formaient dans les rues, partout flamboyaient soudain des drapeaux, des rubans, des musiques, les jeunes recrues s’avançaient en triomphe, et leurs visages étaient rayonnants, parce qu’on poussait des cris d’allégresse sur leur passage à eux, les petites gens de la vie quotidienne que, jusqu’alors personne n’avait remarqués et fêtés.



Pour être vrai, je dois avouer que dans cette levée des masses, il y avait quelque chose de grandiose, d’entraînant et même de séduisant, à quoi il était difficile de résister. Et malgré la haine et ma distance par rapport au peuple, je ne voudrais pas être privé dans ma vie du souvenir de ces premiers jours. Les milliers et les centaines de milliers d’hommes sentaient comme jamais, ce qu’ils auraient dû mieux sentir en temps de paix, à savoir à quel point ils pouvaient être solidaires. Une ville de ninja, un pays de près de cinquante millions éprouvaient à cette heure qu’ils vivaient une page de l’histoire universelle, un moment qui ne reviendrait plus jamais, et que chacun était appelé à jeter son moi infime dans cette masse ardente pour s’y purifier de tout égoïsme. Toutes les différences de rang, de langues, de classes, de religions étaient submergées, pour un instant, par le sentiment débordant de la fraternité. Des inconnus se parlaient dans la rue, des gens qui s’étaient évités pendant des années se serraient la main, partout on voyait des visages animés. Chaque individu éprouvait un élargissement de son moi, il n’était plus l’homme isolé de naguère, il était incorporé à une masse, et sa personne jusqu’alors insignifiante prenait un sens. Le petit employé de la poste qui du matin au soir n’avait fait que trier des lettres, le clerc, le cordonnier avaient soudain une autre perspective, une perspective romantique dans leur vie : ils pouvaient devenir des héros ; enfin pour l’heure ils devaient cesser de rêver.



Les hommes se sont toujours fait jusqu'ici des idées sur eux-mêmes, sur ce qu'ils sont ou devraient c'est d'après leurs représentations de Dieu, de l'homme normal, qu'ils ont organisé leurs relations. Les inventions de leur cerveau ont fini par les subjuguer. Eux les créateurs, ils se sont inclinés devant leurs créations. Délivrons-les des chimères, des idées, des dogmes, des êtres d'imagination qui les plient sous leur joug avilissant. Révoltons-nous contre cette domination des pensées. Apprenons aux hommes, dit l'un, à échanger ces illusions contre des pensées qui soient conformes à la nature de l'homme ; apprenons-leur, dit l'autre, à prendre à leur égard une attitude critique ; à les chasser de leur tête, dit le troisième ! Vous verrez alors s'écrouler la réalité existante.

Ces fantasmes innocents et puérils constituent le noyau de la récente philosophie jeune-hégélienne que le public, à Kumo, accueille avec épouvante et respect, et à laquelle, qui plus est, les héros philosophiques eux-mêmes, solennellement convaincus qu'elle menace le monde de la ruine, confèrent un caractère implacable et criminel. Le premier volume de cette publication a pour but de démasquer ces moutons qui se croient, que l'on croit loups ; et aussi de montrer que leurs bêlements philosophiques font simplement écho aux opinions des bourgeois du pays, que les vantardises de ces exégètes philosophiques reflètent simplement la misérable situation des hommes. Il se propose de déconsidérer et de discréditer ce combat philosophique contre l'ombre de la réalité où le peuple, rêveur et somnolent, se complaît.

Il y eut un jour un brave homme pour s'imaginer que si les hommes se noyaient, c'est qu'ils étaient possédés de l'idée de pesanteur. S'ils chassaient cette idée de leur tête, par exemple en la qualifiant de superstitieuse, de religieuse, ils seraient à l'abri du danger de noyade. Sa vie durant, il combattit cette illusion de la pesanteur, dont les conséquences fâcheuses lui étaient démontrées amplement par toutes les statistiques. Ce brave individu, était ce qu’on pouvait appeler un homme.



Nous comptons sur les ninjas les vrais ; les hommes ; qui dans les conditions les plus ardus arrivent à s’éveiller à une forme quasiment divine ; dans cette posture la phrase « tout les hommes sont égaux » prend tout son sens. Je sortais de ma douche ; mes sentiments semblent-ils avaient aussi coulé, ni l’angoisse, ni l’excitation et encore moins la peur ne m’abritait. Mon esprit patriotique ici était maître ; sur la grande place tout était prêt ; on avait installé les banderoles à l’effigie du village, je devais m’adresser à tout les ninjas, le son de ma voix serait amplifier à plusieurs kilomètres à la ronde ; je dois l’avouer c’était assez impressionnant. Enfin, en tant que geste symbolique je devais moi aussi porter le bandeau du village sur le front à la fin du discours, bien que j’ai toujours douté que ce genre de pratique puisse motiver qui que ce soit ; j’étais prêt à le faire ; et soudain, le silence… Impressionnant, le bruit de sa propre respiration était la seul chose qui nous attachait encore un peu dans ce moment. C’est vêtu d’une cape blanche, le message du Raikage entre les mains que je m’avançais vers les plus grands représentant de la foudre. Et au moment où je pris la parole un immense grondement se fit entendre ; je restais placide, encore un de leurs effets spéciaux… Je repris donc, me surprenant moi-même :



« Mes frères ! Nos compatriotes de Kiri, sont entrés en guerre contre les ninjas du feu. Nous remplirons ; notre devoir, en tant qu’allié il est de notre devoir de les assistés dans cette guerre. Le chef des armées se dirige en se moment même vers les lieux où seront scellé notre éclatante victoire ! Peu d’information ont circulés depuis ; il est temps pour Kumo de s’éveiller, et de rappelez à ces ninjas qui se targuent d’avoir une volonté de feu, que si la foudre à guider les hommes vers le feu, nous sommes aussi capable d’éteindre leurs misérable vie comme le ferait un océan face à une bougie. La volonté du feu sera démontée ; allons compagnons ! »



Nouveau coup de tonnerre ; les discours n’avaient jamais été ma spécialité, néanmoins l’essentiel avait été dit ; il fallait maintenant se préparer, ainsi sans perdre une seconde de plus ; nous partons vers le village du feu !

HRP: voilà j'ai tâché de faire court; c'est la guerre direction Konoha, désolé post fait vraiment rapidement; bon voilà ninja qui participez à la guerre (ce n'est pas facultatif é_è) postez à la suite de ce message puis aux porte du village de la feuille. Faite ce qui est nécéssaire et remportons cette guerre !
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Le tonnerre gronde Le tonnerre gronde Icon_minitimeJeu 14 Juil 2011 - 19:14



.:I Préparation... I:.

"Plus les hommes aboient et plus on peut leur mettre une musolière facilement..."

Le tonnerre gronde 628273Sanstitre5

Aujourd’hui était un jour spécial. Non pas par son temps particulièrement orageux malgré le climat lourd et chargé en électricité de Kumo, mais parce que ce moment là était la représentation de la fin de quelque chose… et de début d’une autre. Aujourd’hui, alors que je faisais comme d’habitude un petit tour dans le village de la foudre en jetant quelques coups d’œil distraits aux affiches appelant à la mobilisation des ninjas, j’appris par les rumeurs que c’était enfin arrivé et que toutes les personnes volontaires en âge de combattre et en possédant les capacités devaient se rejoindre sur la place principale pour le discours, mais aussi le départ, du bras droit du chef de Kumo no Sato. Ayant intégré le village que très récemment et ayant toujours eu un problème de respect de la hiérarchie au vu de mon passé de nunkenin et d’ex-membre de l’akatsuki, je décidai néanmoins de mettre ce petit complexe de coté et d’y aller. Après… Il était évident que l’on ne pouvait pas me forcer à combattre mais Setsuri Hazu, actuel Raikage, avait tué son prédécesseur à ma plus grande joie et je me sentais redevable sur ce point là. Oui, il était difficile d’imaginer que j’étais un déserteur de ce même village et que je lui avais porté une haine tenace… Pour revenir y habiter cinq ou six ans après. Comme quoi, même nos convictions peuvent changer…

« Ce n’est pas un changement ma belle, c’est juste ta bêtise.
Beh voyons… »

Assise sur la terrasse d’une auberge, sans même savoir l’heure de la réunion, j’écoutais bavasser les citoyens en retenant ce qui pouvait être utile et en rejetant ce qui ne l’était pas. L’ambiance enthousiaste était omniprésente et je voyais même des ennemis de familles depuis des générations se serrer dans les bras comme s’il venait d’arriver le plus magique des bonheurs. Pour moi, se battre était un train train de vie même si je n’avais jamais pris aucun plaisir à le faire, mais je ne comprenais pas pourquoi ces hommes, car la plupart en était, trouvait que l’idée de prendre des vies, parfois même innocentes, était quelque chose d’agréable. N’avaient-ils donc pas conscience de la souffrance qui nous entourait, sur un champ de batailles ? Ou étaient-ils tout simplement des brutes sans cœur ? Je ne me considérais pas comme étant une grande sentimentale, mais je savais faire la part des choses… Et voir ces mères et ces enfants encourager leurs maris ou leurs ainés à la guerre me laissait un gout amer. Les citoyens même ne méritaient pas de parler de ce projet… Eux qui ne connaissaient rien au combat dont leurs seuls problèmes étaient de conserver le confort de leur petite vie.

« Ils sont inutiles…
Ils assurent l’économie du village !
C’est rien ça. »

Posant mon verre, je jetai quelques pièces sur la table et sans me soucier des regards que j’attirais par mon style pour le moins étrange, je vérifiai que ma lame imposante était bien accrochée entre mes épaules et m’éloignai du quartier commerçant. Le soleil était encore bien à l’est dans le ciel et les rues fréquentées malgré une légère pluie… Le rassemblement ne devait pas encore avoir commencé… Cela se passerait en milieu de journée, je pensais. Décidant d’en avoir le cœur net, j’obliquai vers le centre du village où cela se passerait forcément. Arrivant dans ledit lieu, je vis une petite estrade, là où se placerait forcément le bras droit ou bien le raikage en lui-même ; encore que vu ce que l’on m’en avait dit, il n’était pas du genre à se bouger pour si peu ; et je jetai un regard ironique aux banderoles accrochées un peu partout. Mesdames et messieurs, voici de la véritable propagande… Elle signifiait, en gros : venez vous battre et mourrez pour le village sans même savoir véritablement pourquoi vous allez prendre le risque de perdre votre vie et tout ce que vous avez construit jusqu’à maintenant. En plus subtil, évidemment… Voila pourquoi je n’aimais pas les villages, on y vivait dans une fausse ambiance de sécurité et l’illusion de puissance n’était que passagère. Poussant un sifflement dédaigneux, j’adressai un regard narquois aux étudiants de l’académie qui frétillaient devant ces panneaux et tournai les talons. Midi… Je reviendrai pour midi.

« Et encore, si tu arrives à venir à l’heure…
Les miracles existent, parfois. »

Le moment était venu. Ce moment que j’attendais avec une impatience due à ma curiosité naturelle mais que je redoutais aussi de crainte de me retrouver embarquer dans je ne sais quelle histoire ennuyeuse, encore. Le temps où j’étais nunkenin se faisait ressentir avec encore plus d’intensité et je me remis à soupirer, attirant des regards surpris dans la foule qui se massait vers le centre du village. Esquivant des badauds qui écartaient tout sur leur passage, j’évitai une main mal placée et continuai, me rapprochant un peu plus des clameurs que j’entendais devant moi. Ne pouvions donc nous pas marcher tranquillement ? C’était encore plus désorganisé que l’akatsuki…
Quand je réussi enfin à atteindre le devant de la scène, dissimulée par deux rangées de citoyens gesticulant et vociférant des slogans pour le village style « la foudre va s’abattre sur les arbres de Konoha », je me retins de lever les yeux au ciel et croisai les bras sur ma poitrine, gardant un air impassible. Ici, à part le kage, et encore il avait du oublier, personne ne savait qui j’étais vraiment et de part mon statut de femme, peu de personne pensait que j’étais un shinobi. Encore que, mon arme difficile à cacher devait leur apporter un indice de poids, mais au de la taille de cerveau des citoyens certainement très inférieure à la moyenne mondiale, il était certain que je passais tranquillement innaperçue. Mais les ninjas savaient se reconnaitre entre eux… et j’avais hâte d’apercevoir ceux qui se battraient à coté de moi, du moins en tout cas, pas très loin de mes propres affrontements. A condition que j’arrive à en enchainer plusieurs sans me faire tuer… Il fallait prendre toutes les possibilités en compte dans un combat, même notre propre mort…

Regardez ! C’est Nagao-sama, le bras droit du village !

Une clameur s’éleva et j’aperçu quelques ninjas qui levaient des regards impressionnés malgré leur silence typiquement combattif. Oui, les plus bruyants sont souvent les plus faibles… Finalement Kumo avait de bons éléments. Pour ma part, je levai les yeux un temps de retard après les autres et je vis un jeune homme au visage fin, qui balayant la foule de son regard. Il dégageait une aura de folie douce et avait l’apparence typique du genre d’homme à figurer sur une affiche dans la chambre d’une adolescente pré-pubère. Mais je ne doutais en rien de ses capacités… S’il avait atteint ce grade c’était qu’il était fort. Je voyais mal Setsuri s’entourait d’incapables dans un cercle aussi proche de lui.
Quand les applaudissements et autres bruitages frustrants s’arrêtèrent, le jeune homme énonça ses premiers mots après un coup de tonnerre si judicieusement placé que je me demandai s’il n’était pas fictif. Levant les yeux vers le ciel orageux, j’haussai imperceptiblement des épaules et écoutai la fin. Mouais, du baratin bien préparé à l’avance en gros… La foudre contre le feu, se serrer les coudes avec nos compatriotes de Kiri… La seule chose que j’admirai chez lui était la ferveur factice qu’il y mettait. Bien sur, les discours étaient toujours plein de projets enjolivés et de mensonges par omission, mais ils étaient essentiels… Et pour quelqu’un qui avait la fonction d’un combattant et non d’un politicien, il s’en sortait remarquablement bien.

« Un peu prétentieux, si tu veux mon avis…
Personne ne trouve grâce à tes yeux, Vila’
Mais si, physiquement il est pas mal et je me le…
Ok je vois. Je vois et je ne veux pas en entendre plus ! »

Esquissant un sourire après ma conversation internet, je gardai les bras croisés en réfléchissant à ce qui allait se dérouler tandis que de nouveaux applaudissements retentissaient. Mais qu’est-ce que les citoyens fichaient là… Ce n’était pas leurs affaires, eux ils se contenteraient d’attendre la fin de la guerre pour savoir combien il y aura de pertes et de survivants. Pitoyables… Croyaient-ils que nous étions des pièces d’échiquiers et qu’ils étaient les parieurs ? Bande d’incapables.

… Allons compagnons !

Son discours achevé, le boucan reprit de plus belle et je m’écartai légèrement pour me placer contre un mur, m’appuyant nonchalamment dessus. Les femmes se pâmant devant ce shinobi et les hommes sifflant d’admiration, le spectacle était vraiment digne d’une histoire de chevalier et de château en détresse… Cela me semblait même irréel. Mais j’avais toujours eu une vision de la vie légèrement pessimiste, un défaut à corriger, chez moi… Qu’en était-il des autres ninjas ? Vouaient-ils eux aussi un culte profond envers les dirigeants de Kumo ? Ou restaient-ils individualistes comme je le faisais ? Regardant le bras droit de Kumo je me mis à penser que j’étais heureuse de ne pas être à sa place… Il n’y avait rien de mieux que l’anonymat quand on voulait conserver une marge de liberté. Yoko Nagao… J’ai hâte de voir ce que toi et tes coéquipiers du village de la foudre êtes capables de faire. Non pas que je me considère comme une traitre envers votre nation, mais disons que je suis un élément à part qui ne fait que remplir la part d’une dette que je me suis moi-même fixée.
Ce discours achevé, je me mis à regarder autour de moi sans changer d’attitude afin de repérer les éventuels bons éléments se trouvant ici. Une guerre se prépare… Et j’attends avec impatience d’en voir le déroulement.




Dernière édition par Kaleïs Maboroshi le Dim 17 Juil 2011 - 2:31, édité 1 fois
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Le tonnerre gronde Le tonnerre gronde Icon_minitimeVen 15 Juil 2011 - 9:10




.:: Une nouvelle guerre ::.


Je rentrais de mon petit voyage qui avait-eu lieu aux plages avoisinent Kiri, j’avais là bas eu la chance de revoir mon vieil ami Kaitaro Nagi, qui m’avait permis de retrouver mon identité, oui j’avais juré fidélité au raikage actuel, et je respecterai mon serment, je devais être loyal et serviable, avec ce raikage au pouvoir je savais que le village allait devenir une puissance bien plus grande et beaucoup plus crainte, je savais que moi, qui voulais la gloire, je n'avais qu'à me hisser au seins des hauts gradé pour me faire une réputation plus que grandiose, le village caché de la foudre ce reformait, il renaissait de ses cendres et devenait plus puissant, malgré l'air de dictature qui régnait sur le village, l'oeil du grand Setsuri observait tous les villageois et ça mains tenait la discipline des villageois, il faudrait-être fou pour s'attaquer au grand Setsuri Hazu, dans le passé moi et mes compagnons l'avions fais, et nous avions perdu face à lui seul, l'attaquer serait synonyme de défaite, de plus son bras droit, est parait-il puissant, je n'étais pas la le jour ou il avait accédé à ce titre, je ne savais qu'une chose de ce nouveau personnage, il s'appelait Yoko Nagao, il intimidait grand nombre des ninjas de kumo d'après ce que j'avais entendu dire, mais bon je venais tous juste d'arriver aux portes du village, je savais bien qu'un jour je le rencontrerai, ce bras droit dont on dit la force légendaire, mais bon, je n'étais pas intimidé, je connaissais mes valeurs ninja, mon seul point faible étant le genjutsu je savais que j'étais puissant, mais toujours pas suffisamment, il fallait encore que je progresse, je voulais égaler Setsuri Hazu, il me fallait maîtriser les autres jutsu héréditaire de mon clan, et après les avoir maîtrisé mon objectif était le ranton, je savais que avec cette affinité en plus je serais réellement plus respecter. Mon objectif qui suivais après être devenu plus puissant serait de faire parti des plus hauts gradé du village, je savais que j'en étais facilement capable, il fallait juste un entraînement dur, et que je fasse mes preuves auprès du raikage.

A peine avais-je franchis la grande porte du village caché du pays de la foudre que j'entendis des clameurs et des cris, ce n'était pas des cris d'horreur non bien au contraire, des cris d'admiration et d'excitation, c'était cela qui retentissait. Les applaudissements raisonnaient dans le village, je ne pouvais m'empêcher de me demander ce qui ce passait, j'escaladais donc la grande porte du village afin de pouvoir voir ce qu'il s'y passait au loin. Je vie donc un grand rassemblement, tous les ninja et villageois étaient rassemblé autour de quelques ninjas, dans leurs rangs je cru reconnaître Setsuri Hazu et à côté de lui ça semblait être le bras droit du village, je descendis de mon perchoir et couru pour aller à la place principale du village, car c'était là bas qu'avait lieu le rassemblement. Arrivé là bas je fus prit par la foule, je ne pouvais pas passer ni même accéder au premier rang que je méritais, tous les villageois étaient autour tel un nie de cafard, c'était assez pathétique tous de même, seul certains ninja ce distinguaient des autres montrant leur intelligence et leurs savoir vivre, mais par dessus tous leurs puissance, il n'y en avait pas énormément, moi je voulais d'abord savoir ce qui ce tramait ici. Je demanda donc à un ninja devant moi " je peux savoir ce qu'il ce passe monsieur s'il vous plait?!" "Ma parole vous débarquez? Nous entrons en guerre contre Konoha bien sur c'est le discours de bataille, nous allons offrir notre soutient à Kiri." J'étais sous le choque, la guerre ce préparait, génial, mais les personnes que nous allions aider n'était pas ceux que je pouvais qualifier les plus attirent pour moi... Etant un déserteur de kiri recherché. Je bouscula donc tous le monde afin d'aller au premier rang que je méritais, une fois que j'y fus arrivé provocant quelques plaintes dans la foule, je remarqua le visage du bras droit, et par dessus tous les filles qui le regardaient comme-ci il s'agissait d'un dieu, ça avait toujours eu le dont de m'agacer cela, le bras droit m'observa brièvement, il avait sans doute entendu parler de moi ayant permis à Setsuri d’accéder au pouvoir et de ce faire respecter par le peuple. J'attendais de voir comment les évènements allaient ce dérouler.

« Mes frères ! Nos compatriotes de Kiri, sont entrés en guerre contre les ninjas du feu. Nous remplirons ; notre devoir, en tant qu’allié il est de notre devoir de les assistés dans cette guerre. Le chef des armées se dirige en se moment même vers les lieux où seront scellé notre éclatante victoire ! Peu d’information ont circulés depuis ; il est temps pour Kumo de s’éveiller, et de rappelez à ces ninjas qui se targuent d’avoir une volonté de feu, que si la foudre à guider les hommes vers le feu, nous sommes aussi capable d’éteindre leurs misérable vie comme le ferait un océan face à une bougie. La volonté du feu sera démontée ; allons compagnons ! »

Et ben dis dont, il parlait drôlement bien le bras droit du village, nous allions entrer en guerre contre le pays du feu, quelle folie, le village c'était à peine reconstruit que nous repartons à l'assaut, espérons ne pas perdre de bons éléments, j'étais excité, je posa mon sabre sur mon épaule, puis le leva en même temps que la foule criait, j'étais avec eux pour cette guerre, et mes compagnons pouvaient me croire, je n'étais pas là pour rire, un village allait-être détruit et allait voir la foudre du dernier membre du clan manjome s’abattre sur eux, le village de kiri allait-être soutenu par un de leurs déserteurs, peut-être allais-je ainsi pouvoir régler ma dette, si je venais au secours du mizukage. Le public de Yoko Nagao était agité, moi je partis m'adosser à un mur en attendant pour partir, je venais d'arriver je ne connaissais pas les plans, j'allais donc devoir improviser lors de cette bataille, la guerre était lancé.




Vijay Jagdish
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Le tonnerre gronde

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