Par une journée plutôt calme, durant laquelle le soleil ne fut pas aussi présent qu’à son habitude, je vint au monde au sein du village de Suna. Peu de chose à dire sur ma famille. Mes parents sont tous les deux de bon éléments du village. Tous les deux également de grade jonin, ce qui n’est pas rien non plus. Enfin, ceux de mon clan ont bien une particularité. Ils maitrisent l’art du Bukijutsu à grand niveau, tout en couplant parfois avec du ninjutsu, ce qui donne un résultat plutôt sympathique, sauf pour l’adversaire bien sur. Enfin bref, revenons à moi. Les premières années de ma vie n’ont rien de bien passionnant à dire. Ma formation ninja débuta à l’age de neuf ans, ou du moins, à l’académie, car avant cela, depuis deux ans, mon père m’entraine chaque soir au maniement des outils ninja. Autant dire que j’ai un peu d’avance sur mes amis et camarade de l’école, mais je ne suis pas du genre à m’en vanté, bien au contraire, je suis plutôt l’élève calme, qui ne participe que si le prof le demande, préférant me faire oublié quand c’est possible.

Je n’ai pas à rougir de mes résultats d’ailleurs. Deux ans plus tard, après avoir réussit avec brio l’examen genin, j’obtient ce grade et mon propre bandeau de Suna. Commence alors pour moi une longue série d’aventure, de découverte, d’apprentissage, mais aussi et surtout le plus important dans la vie du ninja, les missions. Oh bien entendu, à ce stade là, elles ne sont pas réellement palpitante, ni très dangereuse et on ne peut pas dire que l’action soit omniprésente, mais c’est la base, que tout ninja dois faire, avant de pouvoir avoir plus. Deux années passent. C’est alors qu’un beau jour, maitre Kyo, nous annonce à notre équipe, que nous pouvons, si on le souhaite, participé à l’examen de sélection des chuunins. Oh la majorité des genins, qui entendent ça, sont tous heureux, content de pouvoir avoir une chance de promotion. Ce n’est pas mon cas, pas que je ne sois pas ravi de voir la confiance de sensei, mais je préfère avoir bien plus d’expérience pour devenir moyenne classe. Voilà pourquoi, en ce qui me concerne, j’ai refusé.

Qui plus est, à quoi bon devenir un chuunin, si nous n’avons pas le talents, l’expérience et les techniques, qui nous permettrons d’en être un bon. Il faut savoir être patient dans la vie. Un jour, moi aussi je compte faire le fameux examen de sélection, mais pas avant quelque temps. De toute façon, ce n’est pas uniquement sur le grade que l’on peut jugé de la valeur d’un shinobi. Un ninja est autre chose que genin, chuunin ou jonin, voir plus. Il faut voir au delà de ce détail. La valeur d’un shinobi est aussi présente dans son cœur, dans la voie qu’il suis, dans sa façon d’agire, pour le bien ou le mal des autres. Personne ne ce moqua de moi suite à ma décision. Je passe alors le plus clair de mon temps en entrainement avec ceux de mon clan, ou bien en mission avec des équipes parfois différente. Je prend toujours soin de garder en mémoire les conseils que je reçois de mes senpai, ainsi j’évolue, non pas uniquement sur le plan physique et guerrier, mais aussi sur le plan mental. La sagesse est une arme.

Voilà maintenant qu’un grand nombre d’années sont passées. Il est surprenant de me savoir encore genin, mais c’est un choix personnel. Bien qu’à présent, je me sent bien prés pour réussir sans faute l’examen de sélection des chuunins. J’ai confiance en moi, sans tombé dans l’arrogance. Bien qu’étant encore au petit grade, j’ai pu faire certaine mission de rang B, en étant en compagnie de mon ancienne équipe. Ce qui m’a encore renforcé, lorsque j’ai du par exemple, m’occupé de retenir une troupe de brigands des grands chemins, à l’aide de pièges en grand nombre. Heureusement, le Bukijutsu permet de pouvoir facilement retenir un grand nombre de ninja faible à la fois, voir de les tués. Bien que ce ne soit pas une chose qui m’a plu, devoir prendre la vie, pour protégé celle de mes amis, ne m’a nullement posé un quelconque soucis avec ma conscience. Maintenant que je suis revenu de cette mission, j’attends avec une certaine impatience, mêlé à une envie certaine, que le prochain examen des ninjas de moyenne classe ai lieu.

Il est grand temps de décrire mon mental. Pour ce faire, je vais vous donner mes rapports avec les sept péchés capitaux :

L’avarice : Je suis bien loin d’être une personne avare. Certes je tiens aux ryos que je gagne avec mes missions, mais je sais partager quand cela est nécessaire. Il m’arrive aussi de donner aux pauvres, car je fait preuve de compassion et de bienveillance, à l’égard des personnes qui n’ont pas de chance.

La colère : Jamais je ne me laisse envahir par ce sentiments destructeur. Quel utilité peut être trouvé, au fait d’exploser au sens littéral, lorsque l’on est poussé à bout. Un ninja dois pouvoir garder le contrôle de ses émotions et ne pas se laisser submerger, qu’importe la situation dans laquelle il ce trouve.

L’envie : Oui, je dois vous l’avouez, l’envie est une chose que je ressent parfois. Non pas uniquement pour une éventuelle charmante demoiselle ! Bien pour ce qui est tout autre. A savoir par exemple, le talents de camarades ninjas de Suna, ou encore d’adversaire. Car il arrive malgré tout, qu’un ennemi, m’impressionne et me donne l’envie de me surpasser.

L’orgueil : Tout comme la colère, ce n’est pas une chose que je ressent en particulier. Je suis bien conscient de mes forces, mais aussi de mes faiblesses. Jamais je ne sous-estime une personne qui me fait face, qu’importe son grade ou son rang, y compris même si je l’ai déjà battu par le passé. Tous nous évoluons, il ne faut donc jamais que je me repose sur d’éventuel laurier et me laisser atteindre par l’orgueil comme certains.

La gourmande : Bon, là il s’agit d’une chose sur quoi je ne peut mentir. Je suis un vrai gourmand. Tout ce qui contient du sucre, est menacé d’être manger par moi. J’emporte toujours d’ailleurs, que je parte en mission ou simplement en promenade, un sachet remplis de diverses sucreries.

La paresse : Assez répandu, je dois dire que pour celui-là, je reste partager. Car j’ai comme tous le monde, mes périodes. Par moment je ne prend aucune pause, aucun repos bien long ou bien aucune sieste. Alors que la semaine suivante, je peut ne pas vouloir, ou bien difficilement quitter mon lit, ou bien parcourir de longues distances.

Étape suivante de ma mentalité :

L’amour : Oh quel sentiment qu’est l’amour. Des plus complexe a assumé, expliqué pour certains. Nous le ressentons tous, de façon parfois différente. Dans mon cas, je n’ai pas encore connu l’amour au sens premier. Je ressent une forme d’amour pour des personnes, comme ma meilleure amie, ou encore ma famille par exemple. C’est une chose que je compte bien défendre, qu’importe le prix.

La haine : Tout le contraire du sentiment du dessus. Pour la haine, nous parlons davantage de ressentiment. A mes yeux, c’est une chose que je ne ressent pas en particulier. J’espère d’ailleurs ne jamais faire de rencontre, qui aboutissent sur la naissance d’une haine profonde, car cela peut conduire à de trop mauvaise choses. Comme les grande guerre ninjas. Je prend sur moi pour éviter d’en ressentir et jusqu’à présent, ça fonctionne.

Pour en finir, il y a aussi un tas de sentiments bien répandu, que nous abordons tous à notre façon. L’amitié par exemple, ou comme dit plus haut, l’amour amicale. C’est l’une des choses que je défend avec toute ma conviction, car c’est aussi l’une de mes raisons d’être. Je ne pourrai jamais être à mon niveau actuel, sans tous les gens pour qui je ressent une profonde et sincère amitié

Ici, nous parlons de ce qui est moi, du moins ce qui me décris physiquement. Commençons par mon visage. Tel l’océan avant la tempête, mes yeux sont d’un bleu magnifique, presque royal. Quant à mon regard en lui-même, il est du genre doux, qui analyse ce sur quoi il pose son attention. Étape suivante, ma bouche, bien que pour elle, une description courte sera suffisante. Disons simplement, que vous elle est fermée, car que dire d’autre ? Une forme des plus normal, les lèvres pareil. Rien de superflus, pas de piercing ou autre décoration. Ah, presque oublié mon nez. Il n’est ni imposant, ni long à la Cyrano de Bergerac. Pour ce qui est des oreilles, tout comme ma bouche, leurs forme est des plus répandu. On ne les voit pas, dissimulé par mes cheveux, mais aussi par mon bandeau. D’ailleurs, détaillons un peu ma belle chevelure. Oui, je lui donne une certaine beauté, car elle l’est. D’une une agréable couleur blonde, ils sont toujours un minimum coiffée et j’en prend soin. Non pas avec des heures en salle de bain, mais le minimum. La majeur partit de mes cheveux est dissimulée par mon bandeau, mais ce qui est visible, semble comme flotter au gré du vent lorsque je marche.

Nous avons finis avec mon visage; passons maintenant au reste de mon anatomie.

Nous allons abordé le sujet de mon buste, partit du corps aisément visible et dont on comprend les formes à travers les vêtements que je porte. Je ne peut le nié, j’ai une silhouette musclé, sans forcément plus, mais je ne suis ni maigre, ni gras, une touche de musculature, du au fait que je voyage beaucoup et fait attention à mon corps. Qui plus est, avec les nombreuses missions que j’accomplis, il est normal d’y voir deux trois cicatrices qui traine. Mes deux bras, long membres qui souvent, sont en mouvement, bougeant doucement à chacun de mes pas, tel l’herbe de la plaine sous l’effet d’une petite brise matinale. Mes jambes. Dans une lignée parfaite avec mes bras cité plus haut, elles sont longues et fines, mais reste somme toute, normale et non pas comme ces jeunes filles qui sont pareil à une brindille.

Pour conclure sur mon physique, il ne manque plus que les vêtements que voici. En premier lieu, un bandeau noir, couvrant le haut de mon crane et donc, de ce fait une bonne partit de ma chevelure. Il est bien rare de me voir sans, car je le tiens de mon père. Je porte tout aussi souvent, un assez long manteau, qui m’arrive juste au niveau des mollets. D’un blanc pur comme la neige, rappelant ainsi le milieu dans lequel je compte aller n jour. Pour ce qui est de mon pantalon, il est d’une couleur un peu plus foncé, alors que mon haut, est d’un blanc différent du manteau. Je met des gants qui contraste avec la couleur générale, car il ne sont pas blanc, mais bien noir.