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La Ire Tumultueuse de Suijin. (Achevé)

InvitéInvité
MessageSujet: La Ire Tumultueuse de Suijin. (Achevé) La Ire Tumultueuse de Suijin. (Achevé) Icon_minitimeLun 21 Nov 2011 - 21:10



¤ En Route vers le Firmament ! ¤


********** ********** **********


L’obscurité ne tarda pas à prendre l’ascendant sur le jour en cette froide journée d’Hiver, plongeant ainsi le mont Sumiyama et ses alentours dans une atmosphère lugubre. Il y régnait un silence oppressant, trop prononcé pour être normal. Pas un glapissement, pas un croassement. Seul le vent semblait porter quelque murmure lointain, mais ce genre de chuchotement imaginaire ne saurait rassurer qui que ce soit. Aussi téméraire soit-il.

Dans une telle atmosphère, la lumière hésitante d’une lampe à pétrole était un prompt réconfort. Ce mineur trentenaire plutôt audacieux, se sentait ainsi plus en confiance tandis qu’il approchait les tunnels qui constituaient son lieu de travail quotidien. L’activité de la mine de fer locale avait été suspendue pour d’obscures raisons, privant la ville voisine de précieux débouchés commerciales. Ce travailleur commençait à manquer de revenu suite à cette fermeture temporaire. Les rumeurs absurdes qui courraient au village l’importait peu, il était déterminé à découvrir la cause de toutes ces restrictions. Il s’avança prudemment jusqu’à l’entrée de l’excavation, la lampe tendue en avant. Les ténèbres opaques de la cave ne semblait pas dissimuler grand mystère, seul ce silence intérieur avait quelque chose d’angoissant. Bien entendu, l’homme eut pendant un bref instant l’envie de rebrousser chemin. Mais la curiosité était une pernicieuse conseillère chez lui, elle savait se montrer persuasif. Suffisamment pour le pousser à creuver davantage le mystère des mines de Sumiyama. Ainsi, le trentenaire poursuivit son exploration interdite dans cette ouverture dans les entrailles de la terre. Une quinzaine de minutes plus tard, on put entendre son cri d’épouvante raisonner depuis la sortie. Son attrait pour le mystère lui coûta cher en cette nuit où les curieux ont tout à gagner à rester au lit, et à explorer leurs rêves...


********** ********** **********


Une semaine s’était écoulée depuis l’aventure Kin Monozuki dans les intrigantes mines de Sumiyama. Cela faisait un moment que le Conseil de la ville adjacente de Hoeruchi hésitait à prendre des mesures pour régler ce problème. Jusqu’ici, les membres avaient espéré contenir la population assez longtemps pour que la situation se résolve d’elle-même. Mais à leur dernière réunion, ils avaient été unanimes : Ils devaient mettre la main à la poche et confier cette affaire à des professionnels.

Le Conseil voulait éviter toute mauvaise publicité. Ainsi, contacter le Seigneur du Pays de l’Eau aurait été peu judicieux. Ils décidèrent d’opter pour des mercenaires fiables et silencieux, ceux que l’on emploie quand veut éviter de faire vent de ses problèmes. Ils sollicitèrent ainsi le village de Kiri.

Et Kiri ne tarda pas à donner réponse à leur requête. Il s’agissait d’une mission à priori peu risquée dans le sens où le contrat se présentait comme une simple «demande d’enquête». En vérité, le Conseil était conscient que cela de bonnes chances de déboucher sur quelque chose de plus grave, de plus gros. Mais se montrer sincère sur le papier les aurait amener à débourser une plus grande somme d’argent, une option qu’ils refusaient catégoriquement d’envisager.

C’est ainsi que Nori se retrouvait dans une pièce close, à discuter en tête à tête avec le fameux Monozuki Kin, mineur de renom ayant osé s’aventurer dans les fameuses mines, à une heure peu recommandable. Il en était revenu méconnaissable, sa peau était désormais blême et il émanait de ses yeux un éclat dément surnaturel. Comme si sa vue sur le monde s’était alternée en un cauchemar en perpétuel mouvement. Tous deux étaient là, assis face à face dans une pièce vide fortement éclairé. Il régna un silence pesant pendant lequel Nori ne put que contempler le visage livide de son interlocuteur.

    - Monozuki-San.Commença Nori sur un ton conciliant. Pourriez vous me parler de ce que vous avez vu, dans les mines ?

Le trentenaire poussa un gémissement plaintif dès l’instant où Nori eut prononcé le mot «mine». Il se recroquevilla aussitôt sur sa chaise et se couvrit la tête de ses mains, comme pour se protéger de quelque chose que nul ne pouvait appréhender.

    - Des ombres... des ombres vivantes. Des bêtes immondes ! Elles semblaient partout... PARTOUT JE VOUS DIS ! Dans tous les coins... à me scruter... à attendre que je me mette dos à elles...

Nori ne put s’empêcher de ciller face à ce spectacle déroutant. Le dénommé Kin se contorsionnait fiévreusement à mesure qu’il déroulait son récit de sa voix cahotante. Comme s’il la revivait encore et encore, toujours en proie à cette même terreur compulsive.

    - Monozuki-San... que vous voulez ces ombres ?

Kin demeura figé l’espace d’un instant, comme si la question qu’on venait de lui posait n’avait aucun sens. En vérité, c’est plutôt la réponse qu’il voulut donner qui ne sut prendre une forme concrète dans son esprit.

    - Justement je... je ne sais pas ! Ou plus ! Je crois qu’ils m’ont rattrapé... ou peut être pas. Tout est flou dans ma tête ! Et dès que j’essaie de me souvenir je..... j’ai peur ! PEUR VOUS ENTENDEZ ?!!

Nori n’eut pas besoin d’en entendre davantage pour comprendre que son interlocuteur ne pourrait pas lui fournir plus d’information. Il transpirait abondamment et semblait prêt à céder à tout instant à une furieuse crise de délire. La kunoichi se contenta donc de le remercier poliment avant de quitter la pièce, laissant le mineur désaxé dans ce qu’il considérait comme une reposante solitude, au coeur de cette pièce baignée de lumière. Le médecin qui attendait à la sortie de la salle capitonnée, adressa un regard entendu à Nori qui ne respirait pas l’optimisme pour une fois. Il était évident que Kin Monozuki s’était retrouvé nez à nez avec une chose que le commun des mortels ne sauraient supporter que dans ses pires cauchemars. Le docteur redressa ses fines lunettes et dégagea les cheveux noirs qui voilaient son sinistre visage pour faire part à Nori de ses propres constations. Son patient ne dormait presque plus depuis son retour des mines. Et se réveillait toujours avec d’incontrôlables accès de panique. Selon lui, ce mal était au delà de l’ordre du traumatisme, et il avait remarqué de temps à autre l’apparition d’un étrange sceau à la base du dos de la victime.

Ce détail en particulier rendait les interprétations méphistophéliques moins envisageables. N’importe qui d’un tant soit peu doué dans l’apposition des mains pouvait être capable de projeter ce genre de malédiction. Pour sa part, Nori n’était pas une experte dans ce domaine, mais elle s’estimait en mesure de découvrir le fin fond de cette histoire. Chose qu’elle entreprit dès la nuit tombée.

Si l’obscurité n’est qu’oppression pour le commun des mortels, il n’en est rien pour un ninja habitué à s’y complaire. C’est donc sans peur que Nori s’engagea dans l’entrée des fameuses galeries. Il y régnait un silence plat, perturbée de tant à autre par l’écoulement de goutte d’humidité ou les couinements d’un petit rongeur tapi dans un angle mort. Nori progressa à tâtons, illuminant de temps à autre le bout de son doit pour détailler son environnement. Les premières cavités du réseau souterrain ne présentèrent rien de particulier. Mais à mesure qu’elle s’enfonçait un peu plus dans les profondeurs de la montagne, Nori commença à déceler dans l’air une vague odeur peu ordinaire dans ce genre d’exploitation minière. Une odeur ferreuse et insistante, une odeur malheureusement familière aux narines de Nori... celle du sang. Cette effluve se faisait discrète, mais ces lieux confinés en gardaient une indélébile trace olfactive. Elle fit naître une nouvelle luminescence au bout de son index, et descendit plus profondément dans la gorge rocailleuse. L’odeur de sang de fit de plus en plus présente, si bien que Nori ne fut pas surprise de ce qu’elle découvrit plus bas.

Elle découvrit une partie de la mine aménagée pour permettre aux mineurs de se reposer de temps à autre. On avait creusé ce qui s’apparentait à une salle circulaire, au milieu de laquelle se trouvait une grande table rectangulaire ainsi qu’une bonne douzaine de chaises. Le problème, c’est que cet endroit avait clairement changé de vocation depuis quelques temps. La table était recouverte d’une nappe blanche sur laquelle on avait tracé en rouge plusieurs symboles étranges, probablement religieux. Bien entendu, cette couleur rouge et la forte concentration de l’odeur précédemment sentie dans cette pièce laissait clairement entendre qu’on avait utilisé du sang pour dessiner ces signes. Par ailleurs, on distinguait divers ouvrages à la couverture sombre sur la table. Nori fut d’abord réticente à l’idée de les consulter, en se remémorant quelques sombres histoires que lui avaient lues ses précepteurs dans son enfance. Mais elle préféra mettre de coté ses poncifs personnels de coté, et feuilleta le premier livre à sa portée. Le livre était rédigé dans la langue nationale et prônait la prépondérance d’une entité dénommée "Suijin", Maître de la terre et des flots. Cette déité était supposée renaître pour « purifier le monde », afin que la vie jaillisse à l'aube d'un « nouvel âge d'or ». Ne préférant pas poursuivre sa lecture, Nori reposa le livre. C'est alors qu'elle se sentit happée par un sentiment de malaise aussi soudain qu'insupportable. Ses pupilles s'écarquillèrent, les murs autour d'elle se teignaient d'un rouge jaunâtre, avant de commencer à se contracter et se dilater à un rythme régulier, tel une forge grondante. La jeune fille fut frappé de hauts-le-coeur à cette seule vision, elle savait bien ce que faisait ces murs : Ils prenaient vie, se mettaient à respirer. Mais Nori avait appris à faire la part des choses, si sa vue et son ouï la trompaient, son audorat demeurait fiable. L'odeur environnante avait gardé sa teneur confinée, et était toujours imprégnée de ce relent sanguin. Ce n'est pas le genre d'émanation que peut l'on peut humer dans une cavité organique fermée. Il n'y avait qu'une explication possible : Elle était victime d'une illusion. La kunoichi ferma les yeux, joignit les mains, et composa calmement une série de signes bien défini tandis que son chakra déferlait en elle, purgeant son être de toute corruption psychosomatique. Ce même chakra détonna au sein de ses nerfs sensoriels, les yeux de Nori se rouvrirent alors sur des murs rouges factices qui s'effritèrent en un petit tas de poussière, s'inclinant face à la réalité qu'elle était en droit de percevoir. Le monde avait recouvert sa véritable nature, l'illusion c'était dissipée.

Cependant, tout danger était encore loin d'être écarté. Nori entendit des pas précipités qui résonnèrent dans la salle de repos. Ça semblait absurde compte tenu du fait que cette mine était supposée être désertée. Et pourtant, la présence de ces ouvrages singuliers semblaient prouver que des sectateurs avaient élu domicile ici. On entendit un passage (probablement secret) s'ouvrir plus haut dans la mine. Nori écouta son instinct et remonta rapidement la galerie, le manque de luminosité ne la dérangea pas en raison de la trajectoire strictement rectiligne que suivait le tunnel, il lui suffit de foncer tout droit pour retrouver la sortie. Mais la jeune kunoichi avait idée de ce risquait de lui tomber dessus dès l'instant où elle aurait mis le nez dehors. Quand Nori sentit les premières bouffées d'air lui fouetter le visage, elle composa une série de mudras qui détendit sa gorge dont il remonta une substance gluante, elle la cracha aussitôt sous la forme d'une boule gluante qui fendit l'air jusqu'à l'entrée de l'excavation. D'un geste de main, Nori en fit alors émerger deux lances qui frappèrent dans les deux angles mort de la sortie avant de retomber sur le sol sous forme visqueuse, accompagnée des corps percés de deux sectateurs, violemment percés à l'épaule.

    - Un piège...

Marmonna Nori en poursuivant sa vive échappée des mines. Elle sauta au dessus des deux blessés inertes et roula en faisant volte-face, quatre silhouettes se distinguèrent des ténèbres de par leur toge couleur cobalt, prêtes à passer à l'assaut. Ils semblèrent s'armer de poignards, mais Nori avait un train d'avance sur eux. La masse visqueuse sous le corps des deux premiers sectateurs neutralisés se mua en quatre bras qui vinrent les saisir au mollet droit avant de se durcir. Les sectateurs essayèrent de briser la pâte de leur arme blanche, mais en vain, la substance était devenue plus solide que la roche.

    - Rendez-vous !

Leur enjoignit Nori avec autorité, sans pour autant calmer les sectateurs qui redoublèrent d'ardeur pour essayer de se libérer. Malheureusement, ils ne purent insister bien longtemps. Ils furent vite frappés d'une vive affliction qui leur préleva toute leur énergie vitale. Un ultime sectateur, dont la toge se distinguait des autres par un étrange symbole doré brillant à la lumière de la Lune, sortit de l'ombre de l'entrée de la mine. Les mains en avant, il aspirait l'énergie de ses frères en prononçant de sombres incantations.

    - Que le courroux de Suijin t'emporte dans la pire agonie qui soit !

L'énergie accumulée se libéra en une impressionnante déferlante d'eau qui rua vers Nori à toute vitesse. Cette dernière, surprise n'eut qu'une réaction de l'ordre de l'inespérée. Les signes qu'elle composa spontanément étaient ceux de Ekijouheki (Voir FT), mais la technique qui en résultat fut différente. Elle était plus puissante, plus concentrée !

    - Denpun : Kuyishinboukabe !

Loin de se contenter de protéger Nori, la pâte protectrice forma une haute cavité en entonnoir jusqu'à l'entrée de la mine, bloquant l'évasion des flots. Le sectateur voulut stopper son assaut, mais c'était déjà trop tard. La vague monstrueuse remonta le long du mur, et par effet de reflux, vint engloutir celui qui l'avait invoqué. L'envoyant, lui et ses défunts frères, se noyer dans la mine qu'ils avaient investis au nom de leur pseudo-Déité. C'était fini, tous les adeptes de Suijin avait été vaincus. Nori poussa un soupir de soulagement en aspirant les restes de pâte au creux de sa main, récupérant ainsi en partie de son chakra utilisé. Un sourire vint égayer son visage tandis qu'elle scruta un instant sa main, une fois la zone nettoyée. Finalement, son entraînement sur le maniement du Denpun avait porté ses fruits.

Sa tâche terminée, elle retourna dans la ville de Hoeruchi où elle passa une nuit paisible. Le lendemain, elle convoqua le Conseil, et lui fit part de la réussite de sa mission. Assurant ainsi la rémunération de Kiri, et par extension, de la sienne. Elle insista toutefois sur le caractère sous-évaluée de la difficulté du contrat et parvint, non pas sans menace, à extorquer un peu plus d'argent aux magistrats. Puis, une fois hors de leur grande bâtisse. Elle fut surprise de revoir Kin Monozuki qui l'attendait à l'extérieur. Ce dernier la remercia avec beaucoup de cérémonie pour l'avoir libéré de son mal, chose que Nori n'avait pas vraiment fait en connaissance de cause. Ça n'empêcha pas un sourire fier de se greffer à son visage. On pouvait en dire ce qu'on voulait, les villages ninjas n'apportaient pas que sang et chaos autour d'eux. Tout dépend de la nature de leur employeur... et des ninjas embauchés. C'est le coeur empli d'allégresse qu'elle retourna à Kiri, ravi d'avoir redoré le sombre blason des shinobis.

Spoiler:
Hijikata Toshizo
 ~ Chef des A.N.B.U de Kiri ~ /~ Kyudaime Mizukage ~ / ~ Admin ~
Hijikata Toshizo ~ Chef des A.N.B.U de Kiri ~ /~ Kyudaime Mizukage ~ / ~ Admin ~
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La Ire Tumultueuse de Suijin. (Achevé) Left_bar_bleue294/1000La Ire Tumultueuse de Suijin. (Achevé) Empty_bar_bleue  (294/1000)
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MessageSujet: Re: La Ire Tumultueuse de Suijin. (Achevé) La Ire Tumultueuse de Suijin. (Achevé) Icon_minitimeJeu 21 Juin 2012 - 23:05

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Cordialement Hijikata Toshizo.

La Ire Tumultueuse de Suijin. (Achevé)

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