Un beau jour s'annonçait aujourd'hui.. Un soleil resplendissait dans le ciel à peine pris à parti par quelque nuages annodins, jaloux de l'amour que les villageois portaient pour le dieu des cieux.. Chaque jours, c'est lui qui donnait rennaissance au petit village de la feuille en l'éclairant de ses rayons si purs, si lumineux. Tant de chose passaient par la tête de Wazabiki se jour là. Pour la premiere fois, il remarqua les nombreuse affiche postées aux quatre coins de la ville. La plupart étaient pour une jeune fille plutot charmante dont la tête était estimé à chère, très chère. Le vent soufflait.. Wazabiki était près de l'aire de jeux et comptemplait les enfants s'amuser avec vigueur. Ils étaient encore portés par la fleur du jeune âge. L'envie d'apprendre les rmontait à la surface, quand par malheur, leur vie sombrait, coulait.. Tout est dût à ce soleilqui nous donne la vie, l'envie de nous lever le matin. Cette astre divin qui nous donne un sens e qui donne un sens à tout ! Pourquoi ? Parce que la nuit n'est qu'une période néfaste de la journée. Le seul oment où les lus grande catastrophes arrivent. Comme des lâches, elles prennent en traître ce petit village caché de la feuille. Le feu était après tout le pays, c'était donc logique que le soleil y règne. Ce petit vent ramenait de nombreux souvenir de Suna au ninja qui se trouvait alors assit sur le banc, un jus de fruit en bouche.. Une soirée spécial lui revenait. Juste une banale soirée pour n'importe quel père et fils, mais pas pour le ninja aux cheveux blancs qui n'avait vécus que quelque rares moment avec son paternel. Une bin digne soirée passée à comptemplait des millier de petits astre , fils du soleil : les étoiles. C'est tant important pour le fiston de passer quelque minute avec son pett papounet, mais Wazabiki n'aait jamais eut cette chance là, il se contentait de quelque secondes.. En le regardant partir le matin, il pleurait en s'appitoyant sur son sort. Maintenant il sourit et comprend.. Comprendre quoi ? Ce qu'est être un mauvais père, indigne et inactif. Il se leva du petit bout de bois qi le maintenait assis e parti en direction de la petite forêt toute proche de lui. Un sentiment dérisoire le menait là-bas, comme emporté par le vent. Comme quand l'on se déplace involontairement, en rofitant de la personne proche de nous qui nous fais une petite conversation, on marche mais ne savons pas où nous allons. C'est un peux ce qui arrivait. Il était maintenant tout proche d'une petite chapelle, un lieu où seul les templiers du pays du feu pouvaient rentrer ! Ah, la cabane au fond du jardin =). U peu étouffé par cette chaleur puissante, il posa la main contre l'un des murs maître du batiment. Sous appuis, il se laissa pencher en avant pour ne pas tomber dans les pommes. Boarf, quelle température, en quelque minute, elle avait au moin doublée ! A l'été. Ce doux sentiment de désespoire, qui nous pousse à nous jeter d'une cascade pour y toucher l'eau si raffraichissante ! Ah.. Pourquoi doit on endurer de telle soufrance telle que la chaleur ? Juste par caprice de celui qui nous illumine. J'en parlais avant comme un dieux, maisntenant , je le déteste ! Accoudé au mur, il hésita avant de s'élancer vers un arbre pour s'y accrocher encore une fois. Il résidiva son action au moin cinq fois avant d'atteindre le bout de cette petite forêt. Un vaste champs l'attendait derrière avec une petite rivière le traversant. Un paysage arrosé par les goutte de cette dernière enmportées par le vent. Un doux parfum montait au nez du nija. Pas celui d'une fleur, mais plutôt d'une femme. Qui pouvait bien se balader dans un paysage situé après la forêt sombre et désagréable. Sur ce, il reprit ses esprits mais ne pensait à rien, sauf à cette vie qu'il parcourait de jour en jour.. D'un pas décidé, il parti en direction du petit point d'eau qui s'offrait à lui. Le soleil rougeoyait dans le ciel vus l'heure tardive, environs 18 heure 45. Les hostlité avec l'eau engagées, il se mouilla la nuque quand il releva la tête lentement. C'était le fait d'avoir l'impression d'être surveillé qui l'avais fait réagir. En effet, une jolie femme en face de lui se tenait accroupie. Il ne la connaissait pas, mais son village ne lui été pas inconnue.. Il tenta une approche amicale avec beaucoup d'hésitation. Il devait lui demander.

-J'peux savoir c'que vous fates ici à cette heure ? Non loin de me meler de vôtre vie privée, vous avez bien le droit de vous baladez, cest si agréable après tout .. disait-il avec une voix douce très douce et un immense sourire aux lèvres. Gardant un minimum de distance, il contemplait la jeune fille.




[C'est court désolé mais je peux pas approfondir vus que je veux pas te coincer avec se RP']

Bonjour/Bonsoir.

Direction corbeille.

Hunk.