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Une journée pas comme les autres...

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MessageSujet: Une journée pas comme les autres... Une journée pas comme les autres... Icon_minitimeSam 24 Avr 2010 - 12:01

Cela faisait un moment que j'étais à Konoha. J'avais grandis ici et j'avais fini par me faire accepter comme un vrai ninja de Konoha. Il faut dire que mon histoire est longue pour une fille de dix ans. Seulement, j'avais juré devant le haut-Conseil que jamais je ne révèlerais mon identité... Du moins tant que je suis pas capable de me défendre suffisamment seule. Allongée dans mon lit, je tourne le regard vers la fenêtre. Celle-ci étant ouverte, j'entends les oiseaux chanter et le soleil me recouvrait de toute sa lumière. Je manifeste un sourire. J'avais fait le duel de mes parents mais je n'avais pas oublier ce jour... Le jour où mon oncle m'avoue la vérité sur mes vrais parents que je n'ai pas vraiment connu. Mon oncle, c'est le Kazekage. Depuis la mort de ma mère, il l'a remplace et j'avais hâte de me rendre là-bas pour aller le voir.

Aujourd'hui, je devais aller en entrainement avec Kakashi, mon père adoptif, mais j'en avais pas envie. J'avais envie de sortir un peu. Cela fait depuis le début de l'hiver que nous ne sommes pas sorti. En même temps, une pause parmi ces multiples entraînements. Je sais, je dois m'entraîner beaucoup pour atteindre un excellent niveau. Cependant, il s'avère que je suis une Gennin possédant une très grande puissance. D'ailleurs, on me reproche de ne pas l'exploiter suffisamment. Mais je ne suis pas presser. Je ne veux pas aller trop vite. Mon dernier échec à l'examen Chuunin m'a bien fait réfléchir et je sais que la prochaine fois, ce sera bon. Je ne perds pas espoir. J'avoue ne pas avoir digérer la dernière fois mais je devais faire avec et tant que je ne serais pas chuunin, cela ne passera pas. Fixant un point fixe dans l'environnement, je libère un soupir.

Puis, je me décide à me lever. Je savais pas encore quelle heure il est mais je ne cherche pas à savoir. Je lève ma couverture et j'attrape ma robe de chambre pour ensuite la mettre sur moi. Depuis que je vis avec Kakashi, j'ai une vie agréable lors des problèmes du à mon rang de fille de Kazekage. En même temps, Konoha s'est arrangé pour cacher mon identité et si je devais faire un souhait, c'est bien celui de garder cette vie simple et calme. Je ne dis pas qu'être ninja est simple mais disons que personne ne cherche à me mettre dessus sous cette identité. Je priais pour cela ne change pas. Je me dirige vers mon armoire pour prendre une tenue simpliste et légère. Je compte bien profiter du soleil. Je disparais dans la salle de bains pour aller me laver. Ce qui pris moins de dix minutes. De là, je m'habille.

Attachant mes longs cheveux rougeâtre, je souris et je m'étire. J'étais prête, je n'avais plus qu'à descendre. Pour une fois, c'est moi qui suis en retard. Sortant de ma chambre en chaussette, je regarde partout autour de moi. Tient, Papa n'est pas là ? Ne me dites pas qu'il va encore me foutre la trouille ? Le cherchant dans toutes les pièces de notre habitat provisoire, je marche dans toutes les pièces.


« - Papa ? Tu es là ? »

Je n'aime pas jouer au chat et à la souris avec lui mais il me répète sans cesse qu'il faut que je sois sur mes gardes en permanence. Que voulez-vous... C'est pour mon bien... Mais je commence à le connaître et je sais qu'il finira par rentrer s'il est de sortie. Après tout, il avait quitter son poste d'Hokage pour s'occuper de moi. Je ne pouvais pas lui en vouloir. Mais il devrait penser un peu plus à lui.


Dernière édition par Akari Hatake le Sam 24 Avr 2010 - 14:44, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Une journée pas comme les autres... Une journée pas comme les autres... Icon_minitimeSam 24 Avr 2010 - 12:58

Une nouvelle journée se levait sur le village de Konoha. Les choses étaient à présent bien plus calmes depuis que j’avais quitté mon poste de Hokage. J’avais bien plus de temps pour rêvasser, je pouvais de nouveau arriver en retard sans me faire réprimandé par le haut conseil, je pouvais passer des heures devant la tombe d’Obito, et surtout lire les livres de maître Jiraya. C’était des choses simples mais qui me tenaient à cœur car j’aimais faire ces choses, elles étaient mes loisirs, mes passions. Sans ça je n’étais rien et pendant que j’étais Hokage j’avais dus négliger un petit peu mes principes car la sûreté du village en dépendait. Aujourd’hui, j’ai refilé mon poste à la princesse des limaces et je pouvais m’occuper d’Akari tranquillement. Je n’avais pas d’autre élève pour l’instant, Naruto et Sakura étaient grand maintenant, ils n’avaient plus besoin de moi, je devais donc me concentrer sur les personnes qui avaient encore besoin de moi.

Je m’étais levé de bonne heure ce jour-là. J’avais décidé d’aller chercher un bon petit-déjeuner pour Akari, elle méritait un petit festin après tout ce qu’elle avait endurer. Cela faisait 4 ans que sa mère et son père étaient morts. Cela fait également 4 ans que je m’occupe d’elle et de son entraînement, malgré son échec à l’examen de sélection des Chuunin, je savais qu’elle avait de grande capacité caché, je savais également que depuis la mort du Seigneur Hadès son envie de gagner en puissance à nettement diminuer. L’idée de vengeance ne pourra donc jamais être exaucer de ses mains et peut être que c’est une des raisons qui fait qu’elle est moins enthousiaste qu’avant. Elle avait beau être une fille très mature pour son âge, les idées de vengeances devaient quand même lui hantaient l’esprit. Malheureusement je ne savais pas ce à quoi elle pensait, peut être que ces idées de haine étaient loin de son esprit et que c’était autre chose qui la démotivé. Je ne pouvais pas répondre à sa place mais malgré tout, plus les jours passent et mieux je la comprends et j’espère qu’un jour je serai capable de lire dans ses pensées sans qu’elle ait besoin de me parler.

J’étais donc sorti, j’étais parti à l’épicerie du coin. Je ne mettais pas pressé, je savais que j’avais encore le temps, Akari n’était pas encore debout et elle n’était pas encore prête de toute façon. Le commerçant me mit plusieurs traditions japonaise dans une boite qu’il me donna. Je le payai avant de quitter la fameuse boutique. Il était encore tôt. J’avais le temps d’aller devant la tombe d’Obito me recueillir. Je pris donc le chemin inverse de la route que j’aurais dû prendre. Je me diriger vers le fameux air d’entraînement où j’avais jadis entraîné Naruto, Sasuke et Sakura. J’avais même attaché Naruto au poteau pendant que les deux autres mangeaient. C’était la bonne époque il n’y avait rien à dire de plus. Je me dirigeai vers la fameuse stèle des ninjas mort pour la réussite de la mission. Je posai le petit-déjeuner à mes pieds puis d’un regard vide je contemplais le morceau de caillou. Si seulement j’avais été un meilleur chef d’équipe ce jour-là Obito ne serait pas mort. Il avait beau être le plus faible de nous trois, celui qui avait le mieux gérer cette mission c’était bien lui. Je m’en voulais chaque jour de ne pas avoir été meilleur. Malheureusement tel était la vie et je ne pouvais pas revenir en arrière.

Je ne me rendis pas compte mais le temps passait très vite quand j’étais ici. L’heure tournait et Akari devait probablement être debout à l’heure qu’il est. Je sortis le livre « Tactique de batifolage » de ma poche, j’ouvris le livre et j’entamai la lecture de ce livre une nouvelle fois. De l’autre j’attrapai le petit-déjeuner puis je commençai à marcher pour me diriger vers ma maison. Une maison sympathique et peut être même trop grande pour deux. Quand j’entrai dans l’allée je compris tout de suite qu’Akari était dans le salon. Depuis combien de temps est-ce qu’elle était ici, je n’en avais pas la moindre idée mais j’avais une idée, Voyons voir si elle avait retenu la leçon. J’entrai par une des fenêtres de l’habitat très discrètement. Puis soudain j’apparu derrière la jeune fille avant de prendre la parole :

- Le petit-déjeuner est le repas le plus important. Tiens !

Je lui tendis la boite en passant mon bas au dessus de son épaule pour ensuite la lâcher dans ses mains. Je m’assis ensuite près de la jeune fille, je n’avais pas besoin de lui répéter qu’un ninja devait être en permanence sur ses gardes, Elle le savait, elle devait juste pratiquer un petit peu.
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MessageSujet: Re: Une journée pas comme les autres... Une journée pas comme les autres... Icon_minitimeSam 24 Avr 2010 - 15:30

Trouvant le silence trop calme, je reste sur mes gardes. Il devait encore me faire un sale coup. Il faut dire que je n'ai pas été discrète en me levant ce matin. Je soupire et je secoue la tête. Tant pis, il doit être sorti. Je me mets à marcher vers la cuisine où je m'attrape un verre d'eau. Fermant les yeux, je bois mon verre d'eau. Vous savez que le corps est composé à 70% d'eau ? Bah maintenant, vous le savez. N'ayant pas descendu mon sac, j'avais laisser ma bouteille au frais. Je ne la prends que pour les entrainements en extérieur. Avec la chaleur qu'il fait, il faut toujours penser à s'hydrater. Après ce bon verre d'eau, j'attrape un fruit et je croque dedans. Un fruit, cela réveille bien et cela ne peut faire que du bien. Il faut dire que je m'arrange pour manger équilibré. C'est une chose que ma mère m'a apprise alors que j'étais très jeune. Depuis, cela n'a jamais quitter mes principes. C'est alors que je me remis à la recherche de papa. Je me demande s'il continue à jouer au chat et à la souris où s'il est sorti. Arrivant au salon, je laisse mes yeux voler dans toute la pièce et j'attrape deux kunai qui se trouvait dans la poche situé sur ma jambe. Puis, je fis volte face pour les lancer en direction de mon père en lui lançant un

« - Haha ! Je te tiens, papa ! »

Puis je me mets à rire de bonne humeur. Puis il passe son bras par dessus mon épaule avec le petit déjeuner. J'avais le sourire et oui, j'avais retenu la leçon et je me demandais comment j'avais fais pour le sentir venir. Peut-être que je commence à trop le connaître. Je tends mes mains devant moi pour réceptionner le petit déjeuner. Je regarde mon père avec un sourire et j'espérais qu'il me laisse un peu manger tranquille. Pour une fois, c'est possible ? Peut-être, c'est à lui de voir. Il m'entraînait après tout. Il m'arrive souvent de penser que parfois aussi il devrait penser à faire une pause. Allez lui dire ça en sachant que c'est un ancien membre des ANBU... Je souris à cette pensée et je le vis s'assoir. Je pose la boite non loin de là et je m'approche de mon père adoptif pour lui déposer un baiser sur la joue. Aux yeux du village, il était mon père et c'est un peu mon cas aussi. Il m'a un peu éduqué aussi donc il a le droit à une place dans mon cœur frêle de petite fille. Puis je viens m'assoir à ces côtés. Ouvrant la boite, je souris en voyant tout ça. J'allais devoir en garder pour demain, je ne pourrais pas tout manger.

« - Merci, tu en veux ? Je n'arriverais pas à tout manger toute seule ! »

Autant en manger avec lui. Il avait bien le droit d'en avoir. C'est lui qui s'était déplacé pour aller chercher mon petit déjeuner. Mais il avait raison, c'était le repas le plus important de la journée. Même ma mère me l'avait appris très jeune. Puis je me lève pour aller chercher mes kunai que j'avais planté dans le bois. J'avais raté Kakashi mais comment réussir à le toucher ? Il prévoit toujours les coups des autres. Pratique non ? Mais il est en train de m'apprendre comment. Et puis, c'est aussi grâce à lui si je suis calée en genjutsu. J'ai eu le droit à un cours complet sur comment agissent les illusions sur les organismes. C'est passionnant. Sacré papa. Le retirant du mur, je les replace dans la sacoche que j'ai à la cuisse droite. Enfin, je reviens m'installer à côté. Attrapant ce qu'il m'a rapporté, je croque dedans. Je mâche normalement puis après avaler mon morceau, je finis par lui demander.

« - Je suppose qu'on va aller s'entraîner après le petit déjeuner ? »

Question banale pour une journée presque banale. Depuis que j'ai su que l'assassin de ma mère n'était plus, je ne voulais plus me vanter mais il me restais une once de déception. Je ne pourrais jamais venger ma mère. A Suna, on disait que la vengeance est un plat qui se mange froid et bien que je ne sois pas rancunière, il m'arrivais bien souvent de me dire que j'aurais sa peau un jour. Et j'étais en bonne voie de réussir. Au jour d'aujourd'hui, ma puissance en tant que gennin est craint parmi mes camarades. Mais je me fiche de ce qui peut se dire, je ne suis pas là pour ça. Mon époque à l'académie est révolue et depuis longtemps. Cependant, même si ma peine s'est dissipée, il me reste l'Akatsuki. Viendra un jour où je pourrais me venger... Seulement, je ne suis pas démotivée mais disons que je ne suis pas pressée. Je préfère être bien préparer que d'aller trop vite... Merci Papa.
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MessageSujet: Re: Une journée pas comme les autres... Une journée pas comme les autres... Icon_minitimeDim 25 Avr 2010 - 12:46

Le Kunai de ma fille adoptive était passé près. Heureusement que j’avais de bon réflexe, un mouvement de tête m’avais permit d’esquiver le projectile. Elle m’avait donc repéré et en plus elle avait eut le temps de préparer une offensive, je reconnais que je n’avais pas été très discret à cause de la boite que je portais et aussi parce que j’étais dans ma maison et pas à l’extérieur. Enfin je n’ai pas d’excuse, elle a fait beaucoup de progrès et c’était remarquable de voir à quel point elle s’améliorait de jour en jour. J’étais vraiment content d’entraîner cette jeune fille, avec elle j’avais non seulement une élève remarquable mais aussi une fille formidable. Je savais que je n’avais aucun lien de sang avec elle, pourtant je l’aimais comme ma propre fille. Je m’étais attaché à elle et je n’hésiterai pas une seule seconde à sacrifier ma vie pour elle si il le fallait. Cela allait au-delà de la promesse faîte à sa mère, même si je n’avais pas fais la promesse de protéger cette petite j’aurai quand même aimé cette petite.

Je m’étais ensuite assise à table près de ma jeune fille. Quand soudain elle s’approcha de moi pour me faire un doux et délicat baiser. Sur le coup je rougis et je mis ma main sur l’endroit où elle m’avait embrassé. Je n’avais pas l’habitude de ce genre de chose et c’était assez étrange comme sensation. Plus le temps passé et plus Akari semblait m’apprécier pourtant moi-même si je l’aimais énormément je n’arrivai pas à le lui montrer par des petits signe comme celui qu’elle vient de me faire. C’était ma personnalité qui m’en empêchait. Enfin qu’importe peut être qu’avec le temps je serai capable de l’embrasser et de la câliner comme un père le ferait avec sa fille. Akari vint ensuite s’asseoir à côté de moi avant de commencer à manger son festin. Puis elle me proposa ensuite d’en prendre un peu car selon elle ne serait pas capable de tout manger. Sous mon masque je fis un sourire, cette petite était vraiment adorable.

- C’est demandé si gentiment

Je pris alors une des nombreuses choses présente dans le paquet, puis avec ma rapidité légendaire je baissai mon masque pour ensuite manger l’aliment et tout de suite après remettre mon masque. Personne n’avait jamais vu mon visage sauf moi-même et ma mère et mon père qui m’avait vu à la naissance. Je n’étais pas née avec un masque après tout. J’ignorai si Akari avait suffisamment de réflexe pour m’avoir vu manger ou bien elle était comme mon ancienne team, incapable de voir quoi que ce soit. Venant d’elle je m’attendais un peu à tout, car je savais qu’elle n’avait pas encore fini de me surprendre. Soudain, ma fille adoptive se leva pour aller chercher le kunai qui s’était planté dans le bois tout à l’heure. Elle le rangea puis revint s’installait à côté de moi. Puis elle me posa une question presque banale mais pourtant elle avait bien raison de la poser.

- Oui, mais cette fois ce sera particulier et difficile. Voilà pourquoi je te laisse la matinée tranquille. Tu devrais en profiter pour voir tes amis et t’amuser un peu.

Je me levai, elle avait aussi le droit à du repos. Elle ne s’amusait pas souvent et pourtant pour une enfant c’était important. Elle avait beau être une génie, elle avait elle aussi le droit de souffler un peu. Puis quand on sait l’entraînement que je lui réserve, un peu de repos est bien nécessaire quand toute une journée serait vraiment trop épuisante. Il était temps pour elle de passer à un niveau supérieur de son entraînement. C’était fini le temps où je me retenais. J’allais évidemment encore me retenir mais cette fois-ci moins que d’habitude et allait devoir être encore plus maligne que d’habitude et utiliser tout ce qu’elle a apprit depuis le début de son apprentissage de ninja.

- Rejoins-moi à 14 heures au terrain d’entraînement n°14. A toute à l’heure.

Je me levai, je lui fis un signe de main. Je sortis mon livre de ma poche, je l’ouvris et je commençais à lire avant de quitter la maison pour aller vaguer à mes occupations personnelle.
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MessageSujet: Re: Une journée pas comme les autres... Une journée pas comme les autres... Icon_minitimeDim 25 Avr 2010 - 13:58

Cela ressemble à une journée banale et l'idée d'aller m'entraîner ne me réjouissait pas trop. Je voulais un peu profiter d'un peu de temps libre. Enfin, tant pis. C'est lui qui décide après tout. Je sais qu'il fait ça pour moi. Lorsque je lui fais un bisou sur la joue, je le vis changer de blanc fantôme à rouge pivoine... Je montre un sourire avant de me rassoir. Je mange tranquillement et il accepte ma proposition. C'est vrai que parfois, je n'ai pas très faim mais cela veut dire que le repas de la veille au soir m'avait rassasié. Ce qui est le cas aujourd'hui. Mais je n'allais pas rechigné l'attention de mon papa. Jamais de la vie. Puis je le vis manger à la vitesse de l'éclair avant de d'éclater de rire. Décidément, il ne se sépare jamais de son masque. A chaque fois que l'on mange, il refait la même scène et à chaque fois, je ris de ça. Je n'avais le temps de rien voir du tout. Il était bien trop rapide pour moi. Néanmoins, je me dis qu'un jour, il finira par tomber. Gardant mon sourire, je mange de manière plus calme et surtout moins vite. Je suis peut-être un bourrin mais je sais prendre mon temps lorsque cela est nécessaire. Et puis, comme il le dit si bien, le petit déjeuner est le repas le plus important.

Revenant m'assoir, je lui avais poser une question et sa réponse attisa ma curiosité. Qu'est ce qu'il me préparait cette fois-ci ? Rhhhhhoo, moi qui voulait ma journée, voilà qu'il trouve le moyen de m'intéresser. Grrr, c'est pas juste. A chaque fois, c'est pareil. Je montre un petit sourire lorsqu'il me dit qu'il me laisse ma matinée. C'est toujours mieux que rien et je ne vais pas me plaindre. Il était au alentour de neuf heures. Terminant mon repas, je l'écoute où il me dit d'être à 14 heures au terrain 14. Hochant la tête, il disparu aussi rapidement qu'il était arrivé tout à l'heure. Je voulais dire quelque chose mais il ne m'en laisse pas le temps. Je soupire et je ferme les yeux en tournant la tête de droite à gauche. Enfin, je n'ai plus qu'à nettoyer la table et à sortir pour sortir un peu. Soleil et Konoha me voilà.


L'heure était déjà là et je n'avais pas vu le temps passé. J'avais passé la matinée à jouer et rire avec mes amis. On en a fait des bêtises mais elles ne sont pas vilaines. C'est entre nous et j'avais d'ailleurs fini dans l'eau. Mais peu importe, il faisait chaud avec un très beau soleil dans le ciel. Mais bon, j'avais passé un bon moment et je me rends seule au terrain quatorze comme me l'avait indiqué mon père. J'avais encore dix minutes devant moi mais même si je savais que mon père allait probablement arrivé en retard, j'étais toujours patiente. Laissant la brise faire voler mes mèches libres, je détache mes longs cheveux afin de les laisser prendre l'air. Je me disais que même si mes parents étaient des ninjas grands de cœur et puissant, j'avais peur de ne pas leur arriver à la cheville. Beaucoup de gens avait miser de l'espoir sur moi et je ne suis pas à la fois sur Konoha et sur Suna pour rien. Et puis, il fallait bien que j'aille voir tonton de temps à autre. Entre Kakashi et Ryo, j'avais un emploi du temps de ministre mais heureusement, j'avais le droit de m'amuser de temps à autre. Puis je regarde autour de moi pour remarquer un poteau. Et bien, il est temps de reprendre les choses sérieuses. Attrapant deux kunai , un dans chaque main, je saute sur le poteau en atterrissant sur un pied. Il n'y a pas suffisamment de place pour les deux. C'est un bon exercice d'équilibre dans le cas où je venais à être surprise. Il ne faut jamais rien sous estimer. Puis je ferme les yeux et je laisse mes mains le long de mon corps. En fermant les yeux, je pouvais me concentrer sur ce qui se passait dans mon environnement proche. Maintenant, je n'attendais qu'une seule personne... Mon père.
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MessageSujet: Re: Une journée pas comme les autres... Une journée pas comme les autres... Icon_minitimeDim 25 Avr 2010 - 14:50

Une matinée de libre. Combien de temps cela faisait-il que je n’aie eu ce privilège ? Je ne m’en souviens même plus. Je passais toutes mes journées à entraîner Akari ou bien à faire des missions pour le compte du village. Malgré que mon travail était moins conséquent depuis que je n’étais plus Hokage, je restais tout de même surchargé. Au fond, cela ne me dérangeait pas plus que ça, cela permettait de m’occuper d’une manière différente et puis ce n’était vraiment pas la mort ce qu’on me demandé. Le village était calme et paisible. Les missions n’étaient pas bien compliquées et m’occuper d’Akari était plus un plaisir qu’une corvée. Malgré tout, une matinée à rien faire n’était pas de trop. Je marchai dans le village. Le village avait retrouvé la joie de vivre depuis quelque temps et cela me rendait heureux. Je préférais ça à la tête d’enterrement que j’ai pus voir par le passé. Cela faisait du bien de marcher tout en lisant les bons livres de Jiraya. Il avait un don indéniable pour l’écriture, son style était très recherché, l’histoire était plus que passionnante, ces livres avaient tout pour plaire aux lecteurs qui devaient probablement se compter par millier.

Je marchai en direction du terrain d’entraînement n°14. Oui je sais très bien que j’allais être en avance ne vous inquiétez pas. Si j’y allai ce n’était pas pour être l’avance mais plutôt pour me rendre devant la stèle des ninjas mort pour la réussite d’une mission. Les héros oublié du village. Être devant cette stèle était pour moi bien plus important que de lire n’importe quel bouquin. Quand je me retrouvais face à face avec la mémoire d’Obito, de tas de souvenir remonte dans mon esprit et je ne vois pas le temps passé. D’ailleurs si aujourd’hui j’arrivais toujours en retard ce n’était pas parce que je ne voyais pas le temps passé mais parce que c’était pour moi un moyen de rendre hommage à mon ami mort au combat car comme moi aujourd’hui, Obito arrivait toujours en retard et il était le plus maladroit de tous les ninja mais pourtant il m’a montré qu’être un ninja ce n’était pas obéir en permanence à des règles. C’est grâce à lui que je ne suis plus le crétin que j’étais et c’est pourquoi il méritait cet hommage que je lui faisais chaque fois que j’avais rendez-vous. Dans un sens il me rappelait un peu Naruto. Lui aussi avait décidé d’être un ninja à sa façon et pas un ninja agissant tel une arme. Le jour où Naruto m’avait confié cette chose, j’avais l’impression de revoir Obito ne serait-ce que quelques secondes.

Soudain je sentis une présence. Ma fille était arrivée. Il était déjà l’heure. Non, la connaissant elle devait être à l’avance. Pourtant, depuis le temps elle devait savoir que j’étais toujours en retard, pourtant elle, elle a toujours était ponctuelle. Je me demandai comme elle faisait pour supporter une telle chose. Elle avait du courage et c’était une bonne chose car de toute façon si elle arrivait en retard, j’arriverai encore plus en retard. Je tournai la tête, la vis s’installer sur un poteau et sur un pied. Elle avait trouvé le moyen de s’occuper en m’attendant. Après tout, ce qu’elle faisait là, n’était rien comparé à ce qui l’attendait. J’allais lui faire connaître le désespoir mais c’était une étape obligatoire pour la faire progresser. Aujourd’hui elle allait se trouvait dans une situation où elle sera incapable de prendre le dessus, enfin j’espère. En tout cas, cela sera bien plus dur que tout ce qu’elle a connu jusqu’à aujourd’hui.

Soudain, au bout d’un quart d’heure je me décidai à enfin aller la voir. Je sortis mon livre. Je commençai à le lire tout en marchant. Cette fois-ci je n’avais pas l’intention de lui faire peur ou quoi que ce soit. Elle avait suffisamment à faire. Je marchai donc tranquillement jusqu’à arriver devant ma fille adoptive. D’un coup je fermai mon livre et je rangeai dans ma sacoche. Je pris un air sérieux car tel était la situation. Je mis alors la main dans ma poche et je sortis une clochette avant de prendre la parole :

- Tu te souviens de cette clochette ? Les règles sont les mêmes que la dernière fois. Tu as le droit d’utiliser n’importe quels projectiles pour arriver à tes fins, tu dois te battre comme si tu avais l’intention de me tuer sinon tu n’y arriveras pas. On commencera à mon top.

Jusque là il n’y avait rien de nouveau pour la jeune fille. Je lui avais déjà fais subir cet entraînement il y a quelque temps mais cette fois-ci il y avait un nouveau facteur qui allait obliger la jeune fille à se donner bien plus à fond. J’attachai la clochette à ma veste en bas à droite. Cette fois-ci il n’y aura pas de vieux piège comme la dernière fois. C’était du sérieux. Ma main se leva doucement jusqu’à mon visage. Puis elle leva doucement mon bandeau frontal pour le mettre horizontalement. J’ouvris ensuite mon œil fermé. L’œil où se trouvait la pupille d’Obito : Le sharingan. Voilà la différence par rapport à la dernière fois. J’espère pour elle qu’elle était dans un bon jour, car j’attendais le meilleur d’elle.

- Prêtes ? Alors c’est parti !!!

Je restai immobile prêt à n’importe quel offensive de sa part.
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MessageSujet: Re: Une journée pas comme les autres... Une journée pas comme les autres... Icon_minitimeDim 25 Avr 2010 - 15:43

Pour être honnête, je m'attends à devoir m'occuper pendant un certain moment. Je ne l'avais pas vu mais je ne cherche pas à le voir. C'est comme si j'étais venu pour moi-même pour m'entraîner en solitaire. Ce n'est pas le cas car je n'aime pas m'entraîner en solitaire. Pourtant c'est un passage que j'ai du passer lors de mon passage à l'académie. Enfin, ce n'est plus pareil maintenant, j'avais évolué et même si j'avais échoué à l'examen Chunnin, je savais que cela ne m'arrêtera pas. Ayant une respiration stable, je finis par ranger mes kunai de manière rapide, histoire de m'ajouter du travail supplémentaire. Je restais immobile pendant plusieurs minutes et j'alternais mes pieds pour ne pas qu'ils se fatiguent trop. Plus tard, je sautillerais sur ce poteau. Attention, les pots cassés. Mais je savais qu'il fallait que je travaille mon équilibre. Je savais par Rock Lee que l'équilibre était très important lorsqu'on maitrise une spécialité comme le taijutsu. C'est d'ailleurs lui qui m'a conseillé cet exercice. Simple mais efficace.

Mais après cet temps d'attente, j'entends des bruits de pas. De là, je descends de mon poteau et je plie mes jambes pour éviter les crampes. Et oui, cela se fatigue aussi. Même si je reçois un entraînement en béton, je devais admettre que j'ai aussi mes limites comme n'importe qui. Je suis qu'une simple gennin qui s'entraîne dur pour pouvoir évoluer dans un monde qui vois en moi un espoir. De quoi, je ne sais pas encore mais il viendra un jour où je le saurais. Mais je suis encore au début et j'ai à peine une dizaine d'années. Je suis encore en proie à une évolution. Mon père venait donc d'arriver et je mets mes gants. Si je dois encore faire appel au taijutsu, je préfère protéger mes mains avant de les retrouver en sang. Ces gants sont noirs et beaucoup moins salissant que le blanc. Puis Kakashi ferme son livre. Bon et bien, c'est l'heure. Mettant les mains le long de ma taille. Je vis son air sérieux et j'entends un bruit de clochette. Je tourne les yeux vers celle qu'il tenait dans sa main. Je connaissais cet exercice. Mon visage s'affichait neutre tandis que je l'écoutais.


« - Oui, je m'en souviens. »

C'est alors que je réfléchis sur une solution. La première fois, je n'étais pas parvenu à la récupérer mais cette fois, ce ne sera pas la même rengaine. Je pense qu'il cherche à me tester et à évaluer ma progression. Ce qui est en somme logique. Mais je le vis alors montrer son sharingan et cette fois, mon visage parait surpris. Effectivement, je suis surprise qu'il est décider de faire appel à lui maintenant. Serrant les poings, je reste à ma place. Maintenant que son sharingan est actif, il va anticiper la grande totalité de mes coups. Comment lutter contre quelqu'un qui possède un tel outil ?Après la surprise, la volonté de réussir. C'est qu'affichait mon visage. Cela commence à mal tourner contre moi mais je peux toujours retourner la balance. Enfin, je l'espère. Mais je devais trouver rapidement une stratégie. J'attendis quelques secondes avant qu'il ne donne le signal de départ. Une fois lancé, cela devait être à moi de jouer. D'un coup dirigé vers le sol, je creuse un trou sous les pieds de mon père. C'était ma première action mais elle avant aucun sens. Par ailleurs, je ne sais même pas pourquoi je l'ai fait. Finalement, l'action faite n'est pas si inutile. Concentrant rapidement mon chakra à mes pieds, je disparais de là où je me trouve pour réapparaître derrière lui mais suffisamment proche afin de tenter un balayage et d'enchainer directement sur un coup de pied. Le problème, c'est que je ne peux pas faire appel au genjutsu vu qu'il dispose de son sharingan. Il ne me reste que ça. Mais j'y mets suffisamment de force et je me bats comme s'il s'agissait d'une mission du genre quelque chose à récupérer pour la survie du village. Puis je me mets en garde dès fois qu'il réplique en taijutsu. Tant que c'est ça, ca va encore. Puis je recommence un second assaut. Cette fois, je savais que ce ne serait pas une partie de plaisir. Conditions réelles de combat, il était temps pour moi de faire attention à mes forces, mon énergie vitale ainsi que mon chakra. Ce n'était plus un jeu.
Me rapprochant de la même manière que précédemment, je tente de lui assener un bon coup de pied dans le menton mais dans un bus précis. Suis de multiples coup de pied et de poings... Cela allait mal se finir pour moi...
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MessageSujet: Re: Une journée pas comme les autres... Une journée pas comme les autres... Icon_minitimeDim 25 Avr 2010 - 19:02

Je venais de révéler l’atout qui avait fait de moi un ninja mondialement connu. Grâce à ce trait héréditaire, j’avais dompté des jutsus que jamais je n’aurai pu imaginer maîtriser. Cet atout était le pire cauchemar de mes adversaires et principalement quand il s’agit de genin sans grande expérience et sans technique de niveau supérieur. Il allait être très difficile pour la jeune Hatake de me tenir tête avec cet œil. Elle avait beau avoir un talent surpassant quel autre genin de ce village, elle reste quand même une genin. La question était de savoir comment elle allait s’adapter à une telle situation ? Puis, avec ce combat d’entraînement j’allais lui montrer la puissance des adversaires qu’elle allait affronter dans le futur. Hadès étant mort, il ne lui restait plus que l’Akatsuki, nous savons tous que cette organisation s’intéresse à Naruto mais il est possible que les bijjus qui ont attaqué le village il y a quelques semaines soit également des cibles pour eux. Si c’est le cas, Konoha et même Suna auront affaire à l’Akatsuki et cette petite sera des notre lors de ce combat. A moi de faire en sortes qu’elle soit prête pour ce combat. Le temps presse, il était temps de commencer un entraînement bien plus rigoureux que celui qu’elle vient de subir. Les choses sérieuses ne faisaient que commencer.

Le vent se mit à souffler. Mes cheveux se mélangèrent au vent. Le calme régnait. J’observais le visage de ma fille, tout d’abord, elle fut visiblement surprise de voir ma pupille rouge. C’était normal, en tant normale seul l’élite des ninjas voit cette pupille mais là c’était une situation particulière. Son visage changea alors subitement d’expression. Son envie de vaincre prenait le dessus sur son intimidation. Elle avait l’esprit de combat de ses parents et elle n’avait pas peur de l’inconnu. C’était une qualité indéniable mais est-ce que ceci allait lui suffire ? Avoir des tripes ne suffit pas face au sharingan. En revanche c’était une certitude que cette volonté allait l’aider car douter n’était pas vraiment un sentiment utile en combat, au contraire. Elle avait mit ses gants noirs. Elle me rappelait Sakura quand elle enfilait ses gants. Je suis sûre qu’elle s’entendrait très bien toute les deux. Enfin ce n’était pas le moment de penser à ça.

Je venais de donner le signale de départ. Il y eut un moment d’hésitation. Moment où elle devait probablement penser à comment contrer cette pupille extraordinaire. Malheureusement pour elle, avant aujourd’hui elle n’avait pas vu cet œil en action et elle n’en sait que des rumeurs. Elle ne pourra établir un plan qu’en me voyant combattre et en voyant comment réagit mon sharingan. Connaissant Akari je savais qu’elle y avait déjà pensé. Elle avait déjà du penser aux rumeurs et à comment elle pourrait contrer mon attaque. Soudain, elle décida enfin d’attaquer. Si j’avais vraiment été méchant je ne lui aurais pas laissé le temps de réfléchir mais bon c’était mon jour de bonté. Sa première offensive avait pour but de creuser un trou sous mes pieds. Tout ceci me paraissait lent grâce au sharingan. D’un mouvement de jambe je reculai d’un petit mètre pour éviter la première attaque. C’est alors qu’elle disparu. J’avais presque oublié à quels point elle était rapide, heureusement grâce à mon sharingan cela était un jeu d’enfant de la voir se déplacer. Elle apparut de nouveau derrière moi et tenta le coup de la balayette. A peine mon déplacement terminé, je sautai en l’air mais seulement de quelques centimètres afin d’éviter le coup et vite me retrouver sur mes appuis. Je reposai mes pieds au sol et elle tenta une attaque avec son pied. Tout se passais si vite qu’un simple genin aurait déjà flanché face à elle. Ma main droite vint frapper son tibia afin de changer la trajectoire de son coup pied pour ne pas me faire toucher. Profitant de ce moment de déséquilibre de mon adversaire je fis un balayage avec ma jambe. Puis ensuite j’enchaînai avec un coup de pied. J’avais copié l’offensive d’Akari grâce au sharingan et maintenant je pouvais la réutiliser et c’était ce que je venais de faire. Notre premier échange avait eut lieu. Je souris puis je pris la parole.

- Art d’être un ninja leçon numéro 1 : Le taijutsu

Son deuxième assaut commençait. Elle s’approcha de moi de la même façon que la première sauf que cette fois-ci son pied avait pour objectif mon menton. Elle était souple et agile, de grandes qualités pour une ninja. Je reculai de quelques centimètres afin d’éviter le coup et le voir passer à quelques centimètres de mon menton. Elle était rapide mais elle avait encore des progrès à faire. Ensuite, elle enchaîna avec des coups de poing et de pied tous aussi bien exécuter les uns que les autres. Sans mon sharingan je pense que je ne pourrai pas lui tenir tête au corps à corps et que j’aurais été obliger de battre en retraite. Heureusement, cette pupille était là pour m’aider à voir les mouvements d’Akari ce qui me donnait un avantage certains. Je pouvais ainsi esquiver tous les coups, que ce soit en les esquivant ou en les bloquant. Cela devait être assez rangeant pour quelque d’aussi doué qu’elle au Taijutsu de ne pas arriver à me toucher avec sa spécialité. Je me reculai ensuite de quelques mètres. Il fallait souffler un peu sinon on ne tiendrait pas très longtemps, que ce soit elle ou moi. Je décidai qu’il était temps pour moi de battre en retraite. Je sortis un fumigène que je fis explosé à mes pieds pour pouvoir me cacher. Je m’étais caché dans la forêt. Il était temps de voir à quel point cette jeune fille était intelligente. Je fis deux mudras puis je me transformai en… Yuka Hasegawa. La mère biologique d’Akari. Cela ne me plaisait pas trop d’utiliser ce genre de ruse mais je devais voir comment elle réagissait face aux illusions et j’avais que ça en stock. Je cherchai de nouveau la jeune fille. J’ignorai ce qu’elle avait fait entre-temps. Un piège contre moi n’était pas à exclure. Je la retrouvai au bout de quelques longues minutes. J’approchai à découvert vers la jeune fille. Puis quand je fus suffisamment près je pris la parole.

- Akari… Ma fille, viens dans mes bras.

J’ouvris alors mes bras en attendant de voir si elle allait mordre à l’hameçon.
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MessageSujet: Re: Une journée pas comme les autres... Une journée pas comme les autres... Icon_minitimeDim 25 Avr 2010 - 22:16

Qui l'aura crû ? Je n'aurais jamais imaginer avoir à faire au célèbre sharingan. Ce dojutsu maudit du clan Uchiha. Je n'avais jamais eu à faire à lui mais il fallait un début à tout. J'avais lu beaucoup de choses sur le sharingan mais tout semblait basé sur des rumeurs. Rumeurs que je me devais de vérifier. On dit toujours qu'il ne faut jamais faire confiance aux rumeurs. Moi, je fais mieux, je les vérifie. Je n'avais que trop tarder et il aurait pu me lancer le premier assaut. En vrai, mon adversaire m'aurait déjà mise au sol. Je vais devoir réagir de manière différente la prochaine fois et ne jamais faire attendre mon adversaire. Sinon c'est lui qui m'aura. Là, il a été plutôt gentil avec moi, il aura très bien pu me mettre à terre. Le signal fut donné et les coups partirent.

Comme je le pensais initialement, le coup fut éviter. Mais pas un... TOUS. Tout mes coups furent parés. Même ma rapidité n'était pas suffisante. Cependant, je ne sais toujours pas comment réussir alors que je ne connais pas grand chose de ce pupille... Je vais devoir approfondir mes confirmations sur le sharingan. A première vue, le sharingan permet d'éviter des coups ou plutôt de prévoir. C'est alors qu'au cours d'une de mes manœuvres, il vient frapper mon tibia pour modifier la trajectoire. Encore une fois, je suis surprise. Sentant le contact entre sa main et le tibia, je suis contrainte de baisser la jambe. Il était parvenu à devenir un obstacle sur la trajectoire de ma jambe. Fait chier... Voyant que je suis en déséquilibre, je me doutais qu'il allait en profiter. Sans prévenir et à la dernière minute, je plie ma jambe pour me propulser en l'air. Ce n'est pas pour rien si je m'entraîne sur l'équilibre de mes jambes. Ainsi je pus éviter de près le balayage de mon père. Effectuant une sorte de roue en arrière, je me retrouve les mains sur le sol avant de me propulser sur mes deux pieds. Seulement, je mets mes bras devant moi pour me mettre en grade. Le contact entre ma défense et son coup de pied m'avait fait reculer. Libérant ainsi mon visage, je sentais une légère douleur au niveau du bras. J'avais bien vu qu'il avait reproduit mes gestes. Ainsi le Sharingan permet aussi la reproduction du mouvement ? Intéressant mais qui dit reproduction dit lenteur... Je venais de trouver l'une des particularités du sharingan en peu de temps.

Vérifiant l'étendu des dégâts, je bouge la totalité de mon bras droit. Ce n'était rien de grave sinon je ne pourrais plus le bouger. Néanmoins, une grimace s'échappe de mon visage. Il y avait quelque chose mais je devais y faire abstraction. Puis il lance une phrase qui me fut légèrement sourire. C'est moi la spécialiste du taijutsu qu'entre nous deux, kakashi. C'est alors que je lance un deuxième assaut. Mais il bloque le restant de mes assauts. Rhhha, je ne sais pas comment faire. J'étais un peu essoufflée, je n'avais pas pour habitude d'enchaîner autant de coups les uns derrière les autres et surtout qu'en encaisser. Mais c'est le dernier coup reçu m'a coupé le souffle. Je n'en suis pas encore au point où je n'en peux plus mais quand même. Je regardais Kakashi tandis qu'on s'apercevait que ma respiration était plus haletante. Je ne suis pas Sakura, je ne suis pas encore à son niveau... Et je suis loin de l'avoir. C'est alors que Kakashi recule et je me mets en garde. Je dois être méfiante. Puis il disparait derrière une diversion.

Ayant disparu de mon champ de vision, je libère un soupir. Il était quelque part par là. Mais avant tout, je devais protéger mon bras. Attrapant une bande ,que j'avais acheter ce matin, j'entoure l'endroit de la douleur en serrant fortement pour avoir mal mais pas de manière à bloquer le sang. Serrant les dents, je me dépêche de la fixer avant de grimacer. J'allais avoir mal pendant un moment mais il fallait que je pense à augmenter mon seuil de saturation du à la douleur. Gardant ma grimace, je me mis à la recherche de Kakashi. Où pouvait bien-t-il être ? Je me mets à marcher en direction de la forêt entourant le terrain. Je me disais que j'aillais en avoir pour des heures mais peu importe. Mais je devais trouver quelque chose à préparer pendant ce temps là. Mais que faire ? J'avoue être dépourvu d'idées sur le moment. Je soupire et je me mets à rechercher une idée. Où pouvait bien-t-il être ? Devais-je préparer un piège ? Si oui, comment ? On ne peut pas dire que je sois doué dans ce domaine. Je ne vois pas comment je peux faire. Restant fixe, je me mets à réfléchir. Je venais d'avoir une idée mais j'allais devoir être rapide. Je me rappelle qu'on m'avait dit que les parchemins explosifs pouvait être utile. Souriante, je les attrape et je les compte. Un... Deux... Trois... bref, cela ne fait pas beaucoup...

Tant pis, je vais devoir faire attention avec le stock. Les mettant en contact avec mon chakra, je les dissimule près de ma position actuelle. Je devais être vigilante car il était aussi possible qu'il se rende compte qu'un piège. Je dois être attentive. Une fois terminée, je devais maintenant le forcer à venir ici. Je n'eus guère à attendre longtemps car j'avais à peine fait plusieurs dizaines de pas. Je vois quelqu'un approche et je sors deux kunai que je garde en main. Je laisse la personne s'approcher. Une fois que je l'ai vu la personne, je baisse les armes. Puis j'entends la voix... un murmure...


« - Ma...man... »

Non, cela n'est pas possible. Elle est morte il y a quatre ans. Je l'ai vu mourir et il est impossible qu'elle soit là... Des larmes coulait sur mon visage d'enfant et j'étais restée immobile pendant un peu près une minute. Reculant devant les gestes de celle-ci, je finis par lancer mes deux kunai. De là, je disparais de la surface pour apparaître sur des branches. De là, je déclenche l'explosion. Je m'étais arrangé pour faire effondrer des arbres sur la personne à qui était destiné ce piège. Restant dans les hauteurs, je restais vigilante à ce qui se passait plus bas. Il s'était joué de moi, il allait le payer. Je serrais les poings depuis mes hauteurs. Faisant craquer mes doigts, je l'attends avec grande impatience.
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MessageSujet: Re: Une journée pas comme les autres... Une journée pas comme les autres... Icon_minitimeLun 26 Avr 2010 - 10:43

Quelle petite étonnante. Je devais l’avouer. J’étais obligé d’utiliser mon sharingan à un haut niveau pour pouvoir esquiver toutes ses attaques et les contrer. Cela avait été une dépense d’énergie assez conséquente mais cela en valait la peine. Car grâce à ça je venais de montrer que mon taijutsu pouvait être supérieur aux siens. Être face à quelqu’un qui maîtrise l’art du combat au corps à corps mieux qu’elle ne devait pas lui arriver souvent. J’imaginai déjà le doute dans son esprit quand à ses chances de réussir à me prendre cette clochette. A vrai dire, même moi qui connais parfaitement mon sharingan, j’aurai énormément de mal à réussir à prendre cette clochette. A vrai dire, connaissant toutes ses techniques je ne voyais qu’une seule faiblesse qu’elle pouvait exploiter, mais malheureusement pour elle cette faiblesse toute seule n’était pas efficace. Elle devait mettre un plan infaillible derrière. Tout dépendant de sa capacité à trouver cette faiblesse et à l’exploiter. Honnêtement même moi je ne saurais comment l’exploiter mais connaissant cette petite, elle pourrait y arriver. De toute façon, c’était sa seule chance d’espérer de me prendre cette clochette.

Nos rythmes respiratoires avaient fortement augmenté après ce premier affrontement. Heureusement, nous étions habitué à ce genre de situation et il nous en faudra plus pour être à bout de souffle. Visiblement, ma fille semblait avoir une douleur au bras. Cela ne semblait pas trop grave, nous pouvions continuer notre entraînement. Je disparus donc de la surface de combat après une petite ruse pour me cacher dans la forêt le temps de préparer ma seconde ruse. La probabilité qu’Akari me prépare un piège était élevée, mais je comptais sur mes réflexes pour m’en sortir. Puis je me transformai en Yuka. Il était temps pour moi de retrouver la demoiselle. J’avançai à découvert sans crainte. J’espérai ne pas être démasqué trop rapidement. Soudain je la retrouvai. Je baissai pour être à sa hauteur. Je lui murmurai de venir mes bras tout en les ouvrant. Elle semblait hésité, pourtant il n’y avait pas de quoi, je ne lui ferai pas de mal. J’étais sa mère pour quelques minutes. Visiblement elle n’allait pas mordre à l’hameçon. Cela faisait plus d’une minute que nous étions dans cette position. Je devais me préparer à sa réaction. Elle me lança deux kunai. Une fumée blanche se dégagea de mon corps, je venais de récupérer mon apparence normale. Dans ma sacoche j’attrapais deux shuriken que je lançai pour contrer ses projectiles à elle. L’un des projectiles de ma fille eut une trajectoire étrange et mon shuriken ne pu le toucher. D’un réflexe je tentai une esquive mais le projectile me blessa quand même. Je saignai légèrement à la jambe. Je n’avais pas trop compris ce qui c’était passé. Le vent ? Ou bien un lancé spéciale de la part d’Akari avait donné cette trajectoire à cette objet. Toujours est-il que voulant économiser mon chakra, je n’avais pas utilisé mon sharingan pour analyser son attaque et cela a faillit me coûter chère. Soudain je remarquai que j’avais oublié de sortir ma phrase culte. Je me redressai et prit la parole.

- Art d’être un ninja leçon numéro 2 : Le genjutsu.

Je savais qu’elle était trop intelligente pour se faire avoir par un piège aussi stupide. Je devais quand même lui faire affronter tous les cas de figure pour que plus tard rien ne la surprenne. Soudain j’entendis un bruit d’explosion. Les kunai n’étaient qu’une diversion. Des arbres me tombaient dessus. Je ne pouvais pas les esquiver. Au moins, elle a comprit le sens de la phrase « tu dois avoir envie de me tuer sinon tu n’y arriveras pas ». Je me mis alors à composer quelques mudras. Si je ne pouvais pas m’échapper par la voie des airs, alors je m’échapperai par le sol.

- Doton : Dochuu Eigo

Une journée pas comme les autres... Dochuu10

Je m’enfonçai alors dans la terre et j’évitai ainsi les arbres tombant. Je remontai à la surface derrière un arbre. L’expression d’Akari avait changé. Voulait-elle passer aux choses sérieuses. Cela tombe plutôt puis-ce que c’est ce que je comptais faire. Je composai de nouveau mudras. Et je murmurai.

- Doton, Yomi Yuma

Une journée pas comme les autres... Yomi_n10

Cette technique permet de créer un véritable marécage. Je l’avais crée sous l’arbre sur lequel était perché ma fille. Mon but était de faire disparaître son arbre et de la forcer à se mettre à découvert. Si elle restait sur cet arbre, elle n’aurait pas d’autre choix que de disparaître dans les marécages. Donc elle allait forcément bouger. Je composai de nouveau mudra. Dès que je pourrai la viser, j’utiliserai mon Kaihodan pour l’attaquer. J’espérai juste que j’en aurai l’occasion.


Citation :
Résumé : - Esquive d’un kunai par mes shuriken + un qui me blesse à la jambe
- je me cache dans le sol pour éviter les arbres.
- J’utilise un Doton pour faire disparaître l’arbre sur lequel tu es pour te forcer à te mettre à découvert.
- Je prépare un Suiton pour que dès que tu sois à découvert je t’attaque avec.
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MessageSujet: Re: Une journée pas comme les autres... Une journée pas comme les autres... Icon_minitimeMar 27 Avr 2010 - 22:45