Spoiler:

Prénom et Nom (pas le votre, celui de votre perso):
-Comme une ombre qui s’approche, éclairée par une
lune ronde et blanchâtre, la bête ailée se pose gracieusement sur le sol
sablonneux soufflant un infime nuage de poussière. Tatsuki, évoquant le
dragon lunaire, c’est ainsi qu’on le nomme.
-C’est un nom de comptes et de rumeurs, un nom tiré des
dires du monde, un nom qui laisse place à la puissance et à la crainte.
Un nom remplit de mythes et de légendes, qui a marqué son temps pour ne
plus jamais le quitter. Se nom est Ryû, le dragon.

Age : Cela fait déjà 25 ans que le monde ninja voit notre jeune homme fouler
son seuil.

Sa description Morale (en 5 lignes):


Ryû, en grandissant comme tout enfant du clan
Tatsuki, a développer un mentale hors paire et pratiquement sans faille.
Je dis bien pratiquement, car l’homme, même s’il a été façonné à
l’image de Dieu, comporte toujours des instincts ou pulsions qui le
poussent à agir dans le sens inverse de son raisonnement.

Enfant,
héritier d’un haut conseiller et noble aristocrate, Ryû c’est vus
enseigné depuis son plus jeune âge les modalités sociales et de tenus
d’une classe de rang supérieur. La politesse et la courtoisie font alors
partie courante de son quotidien. Toujours bien habillé, mais avec une
tenue tout de même modéré pour que celle-ci n’axe pas sur la provocation
ou sur l’arrogance de sa classe sociale vis-à-vis des autres. Être
courtois avec les dames et leur offrir notre bras au moindre obstacle
qui se dressera sur leur route. Savoir se tenir correctement à table et
ne pas manger comme un goinfre, mais apprécié boucher par boucher le
plat qui nous a été servit. Faire preuve de recule et de raison par
rapport aux différents termes abordés lors des longues discussions après
le dîner. Savoir choisir ce qu’il y a de meilleur sans pour autant
dépensé toute sa bourse. Utiliser un jargon des plus respectables en
présence d’autrui et surtout quand il s’agit d’autres nobles. Puis
surtout savoir retenir sa langue ou décliné une offre de manière à ne
pas outré la personne qui vous la faite.

Voici tout un panel de
connerie que dus apprendre notre jeune Ryû, alors qu’il n’était qu’un
enfant de bas âge. Certes il était différent des autres, mais cette
éducation à marquer son être jusqu’au plus profond de son âme.

Mais
pourquoi un tel nom, alors qu’il fait partit d’une famille de noble ?
Le nom Ryû évoque toutes les caractéristiques que son père désir
insufflé à son fils. Il veut que son fils soit fort, sage et qu’on le
respecte comme les créatures légendaires du monde antique. Il veut que
celui-ci sache faire naitre la peur dans le cœur de ses adversaires
avant même que leur regard ne se croise, il désir que son fils soit le
meilleur dans toutes les disciplines afin qu’il puisse louer son nom de
famille avec honneur et dignité. Il ne veut pas d’échec ! Ce mot
n’existe pas pour lui. Ryû doit devenir l’être parfait, même s’il va
créer un monstre.

Oui il va créer un monstre capable d’ôter la
vie sans un soupçon de tristesse, de remord ou autre. Cet être sera
l’assassin parfait pouvant passer du blanc au noir en une fraction de
seconde. Capable de flirté avec sa proie pour la tuer dans la
demi-seconde qui suit. Pouvoir éprouvé des sentiments et sans débarrassé
d’un revaire de main. Ryû va devenir un être aux faux semblants, un
être à l’image changeante, un être sans une réelle apparence.

Pourtant
c’est au fil du temps que sa véritable nature va finir par resurgir et à
prendre possession de ce qui était sienne au départ. Avec les années
qui passent, Ryû va stabiliser son apparence physique et ses habitudes,
ainsi que sa façon de penser. Ryû est de nature calme et poser. Il
comporte en lui toutes les façons d’agir de la bourgeoisie dont il est
issu. Il est donc une personne agréable et une bonne compagnie, enfin sa
dépend se qu’on entend par « bonne ». Dialogué fait partit courante de
sa personnalité, pourtant on le voit rarement discuté comme il le
faisait auparavant pendant des heures avec quelqu’un. Pourquoi ? Tout
simplement parce qu’il n’éprouve plus le besoin de faire de beaux
discours pour louangé une simple robe ou un tour de passe-passe qu’il
nommait, bien avant, de la magie. On peut aisément parler avec Ryû, mais
on peut difficilement lui soutiré des informations sur un fait passé ou
future qu’il n’a pas envie d’énoncé. L’une des grandes caractéristiques
de Ryû c’est que s’il n’a pas envie de faire quelque chose et bien tout
simplement il ne le fera pas ou fera semblant. Se trait de caractère
peut s’avéré utile ou une vraie plaie. Par exemple si vous voulez avoir
des informations qu’il détient en sa possession et qu’il n’a pas envie
de vous les divulguer il ne dira tout simplement rien, et qu’importe la
douleur infligé. Mais l’inconvénient est que par exemple si un
adversaire se dresse sur son chemin et qu’il n’a pas envie de combattre,
il ne fera rien. Bien sur il ne se laissera pas tuer sur place, mais
s’amusera simplement à éviter les coups qui sont portés vers sa
personne.

De toute façon il n’a pas un esprit bagarreur, il
préfère admirer plus tôt que de se salir les mains ou voir sa tunique du
moment. Mais après ses quelques inconvénients vient le positif d’un tel
trait psychologique. Car admettons que Ryû a maintenant envie de faire
quelque chose, alors vous êtes sur qu’il mettra jusqu’à sa vie en péril
pour réussir son but. Donc oui Ryû est facilement maniable tel un pion,
c’est peut être pour cela qu’il fait partie de l’Akatsuki. Car il suffit
de lui donner envie de faire quelque chose que précédemment il ne
voulait pas exécuté de ses mains pour que celle-ci devienne sa
principale cible et soit surement une réussite. Oui se trait de
caractère proviens d’une enfance pourris gâter ou tout ce qu’il voulait
faire ou non lui était accordé. Donc voici un bout de sa socialisation
enfantine.

De nature calme et poser, Ryû est aussi sage dans le
sens de sagesse. Il fait preuve d’une grande sagesse à travers ses
actes. Il n’agit jamais sans réfléchir, toujours à poser le pour et le
contre avant de passer à l’action. C’est un reste de son ancienne vie
d’Anbu qui fait encore partie de lui. En temps qu’Anbu et assassin il
devait se débrouiller seul et la moindre faute pouvait lui couter la
vie. Donc il n’a pas un grand sens du terme coéquipier vus qu’il
agissait et travaillait toujours seul. Pourtant avec le temps il sait
accoutumer à la notion de binôme et c’est parfaitement faire preuve de
retenus et d’aide envers une autre personne de son envergure.

Bien
sur en temps qu’homme il aime aussi se battre et testé sa force de
temps à autre, pour savoir s’il a progressé ou non. Mais il ne se
donnera jamais à fond dans de tel exercice, il préfère garder quelques
technique sous le coude pour faire preuve d’originalité devant ses
adversaire et impressionné son collègue. Ceci est un esprit de
concurrence et d’arrogance qu’il a toujours connus en vivant dans la
classe noble. Il aime aussi apprendre et acquérir du savoir, sa plus
grande passion demeure dans la lecture d’anciens ouvrages ou dans la
recherche. Il sera toujours en quête de nouveautés et chaque nouveaux
adversaires lui permet de combler se vide. Il cherchera d’abord à
connaitre son adversaire lors d’un combat puis ensuite quand il aura
accumulé assez de données il passera aux choses sérieuses.

Nous
pouvons aussi évoquer les caractères psychologiques qui fond de lui un
homme. Ryû aime les belles femmes aux belles formes et qui on tous ce
qui faut là où il faut. Il ne se battra donc jamais contre une femme, ou
pas vraiment, et surtout il ne supporte pas la vision d’une quelconque
maltraitance de l’une d’elle. Donc shinobis, collègues vous êtes
prévenus ! Oui Ryû est un charmeur et galant gentleman jusqu’à la
moelle, il préfère se faire frapper, voir presque mourir, face à une
telle beauté que ne serais ce lever la main sur l’une d’elle.

Puis
il a aussi des mauvais côtés qui pour la plus part ont déjà été cité
plus haut, mais moins explicitement. Ryû ne frappera jamais une femme,
donc par exemple il ne se battra jamais contre la Kazekage, mais
attention si vous l’énervé il pourrait rapidement changer d’avis. Il est
facilement maniable, tel un pion, car il suffit qu’il est envie de
faire la chose demandé pour qu’il si investis à fond (peut mettre sa vie
en péril pour la réussite de la tâche). De plus il a souvent l’esprit,
comment dire, occupé. Vous pouvez lui parlé durant quelques minutes,
s’il est entrain de penser à autre chose il ne retiendra quasiment rien
de vos dire. Mais un jour il se prit une si grande claque que je pense
que maintenant il devrait être capable d’allier les deux, enfin on
verra.

Sa description Physique (en 5 lignes):
Ryû est un humain de sexe masculin avec des attributs génétiques qui
peuvent le prouvé et que je ne me donnerai pas l’effort de cité dans
cette partie de la présentation de notre jeune héro. Comme tout être
humain, normalement constitué, notre jeune Ryû comporte une tête, un
abdomen, deux bras et deux jambes. Deux jambes sur lesquelles il se
tient pour marcher, grimper, courir …

Commençons par le début,
je propose donc une approche basique et banale de son physique. Nous
allons commencer par le haut pour finir en bas. Le début de son physique
se tient tout d’abord d’une taille des plus convenable, car du haut de
son mètre quatre-vingt dix il peut plus aisément saisir des choses qui
se trouvent en hauteur qu’une personne inférieur à lui. Son poids est
proportionnel avec sa taille, ni trop lourd, ni trop maigre, juste ce
qu’il faut pour garnir assez aisément les bouts de tissus qui lui font
office de vêtements.

Le haut du crâne, les cheveux : de couleurs
brunes. Ils forment une coupe banale en forme lisse et normale. Ils
sont longs et tombent juste après ses épaules. Des mèches lui tombent du
côté du visage et certaines d’entre elles viennent de temps à autres se
placer devant ses yeux. Ryû soigne ses cheveux dans un terme
hygiénique, mais pas esthétique car il préfère les laisser libre et
bougeant au fil du va et vient du vent. Sur son front on aperçoit
presque tout le temps un bandeau frontal rayé à l’effigie de Konoha le
village de la feuille. C’est une sorte de moyen afin que son adversaire
aperçoive son lieu d’origine et qu’il puisse déjà se faire une petite
idée des capacités de son adversaire.

Puis vient de beaux yeux
noirs aussi sombres que les cheveux précédents. Plongé son regard à
l’intérieur de ceux-ci serai comme regardé dans le fond d’un trou noir
et apercevoir en son fond le néant, l’antimatière. Mais depuis un triste
ou heureux accident notre jeune héro perdit son œil droit et ainsi
l’efficacité de son œil gauche. Il était presque aveugle lorsqu’il
sortit vainqueur d’un combat qui marqua sa vie à jamais. Comme
récompense il put se servir sur le cadavre de son adversaire et grâce à
une connaissance, voir sa maitresse il put permuter ses yeux avec ceux
du défunt. Ses yeux devinrent donc rouge et teint parfois blanchâtre,
oui il a saisit les yeux d’un défunt hyûga qui plus est était son
adversaire. Grâce à ses yeux il put développer de nouvelles techniques
et capacités, car le byakugan ne fut pas sceller. Hélas cette capacité
ne lui permit tout de même pas d’utilisé leur art secret, le Juken.
Surtout que cette grêffe ne donna pas naissance au Byakugan, car les
êtres qui se sont charger de cette transmutation se sont tromper. Ryû ne
le sais pas, mais les yeux qu'il a emprunter ont été détruit lors de
l'opération, ils lui ont donc insérer des yeux d'un être qui venait tout
juste de mourrir son nom était Ranmaru. Ses yeux avaient un potentiel
spéciale et Ryû crus tout d'abord que s'était à cause de sa différence
d'appartenance. Il développa alors un byakugan inversé mêler au célèbre
sharingan. Se dôjutsu était capable d'éffectuer des illusions beaucoup
moi puissante que celles du sharingan, mais sa particularité résider
dans le fait qu'il était capable de masquer le chakra. Un byakugan ou un
être expert en pistage ne pourrait le découvrir l'individu cacher, ce
qui était un atout hors du commun. Sous ses yeux loges en permanence
deux grandes cernes qui sont les vestiges d’une maladie rare à laquelle
notre jeune héro eut la chose de survivre à l’âge de trois ans.

Puis
vient de belle joue, bien formée qui peuvent prendre de tendance
rougeâtre en fonction de certaines circonstances. Au milieu du visage se
trouve un nez, ni trop allongé ni trop gros, juste bien comme il faut
pour donné un peu de charme à se visage. En dessous se trouve des lèvres
rosâtres fine et douce. Permettant à Ryû de faire fondre d’un sourire
radieux et plein de charisme quelques belles femmes du monde ninja. Bien
sur en dessous de celle-ci se trouvent une dentition quasiment droite
et aligné, blanche comme la neige. Pourquoi une telle hygiène ? Vous
avez déjà vus une femme embrassé un chacal ! Puis pour finir un petit
menton permettant de finir de se beau visage bien formé qui pourrait
faire des jaloux et des jalouses.

Le reste du corps de Ryû est
une œuvre qui c’est façonner au fil de nombreux entrainement et d’heures
de musculation. Ses épaules sont larges, ses biceps développés, ses
abdominaux forment une tablette de chocolat, ses cuisses sont biens
musclées, ses fesses bien ferme et son … censuré … Bref Ryû à défaut
d’avoir un visage charmant, il comporte aussi un corps d’athlète ce qui
est semblable à la plus part des shinobis du monde ninja.

Son Histoire (en 20 lignes) :


La naissance.




Le clan Tatsuki
surnommé « les nobles guerriers », était un clan issu de la haute
noblesse et qui formait en son sein les meilleurs shinobis du village se
trouvant dans le pays du feu. Les enfants issu de se clan était
majoritairement des filles. Oui il est dit dans la légende de ce clan
qu’un jour l’ancien chef Kagami-dono avait offensé la déesse de l’amour
en repoussant son offre de mariage avec celle-ci. Kagami l’avait ignoré
car son cœur était déjà pris par l’illustre Katsumi, une prêtresse des
plus magnifiques et l’une des plus belles femmes du monde à l’époque. La
déesse fut si offensé qu’elle maudit le clan à jamais et fit en sorte
de bafouer et tromper la nature. Tous les enfants qui naquirent après
cet événement furent à chaque fois des filles. Ce qui embarrassait au
plus haut point le clan, car une fille était certes fertile, mais elle
ne pouvait pas transmettre son nom à ses descendants, de plus une fille
n’était pas acceptable à la succession du clan. La continuité du clan
était en déclin et la moyenne d’âge des successeurs fut de plus en plus
grande. Puis un jour un petit nourrisson vu le jour et l’espoir demeura.
Années après années le sortilège de la déesse perdait de son efficacité
jusqu’à ne plus demeuré, mais comme si le clan était damné une nouvelle
génération fut dépourvus d’enfant mâle et ainsi de suite durant cinq
ans jusqu’à qu’un nouveau né arriva au monde. Un petit être tout fripé
sortit du ventre de sa mère, en pleure et tremblant de tout ses petits
membres. Le petit nourrisson était doté d’attributs masculins qui
donnèrent encore plus de bonheur à ses parents et qui ravivèrent les
cœurs des autres familles. Se petit nourrisson fut appelé Ryû Tatsuki.

Puis
on établit des recherches sur les capacités de fertilité du clan et
surtout comment obtenir une génération de mâle capable de faire perdurer
le clan Tatsuki et de procréer à leur tour des enfants mâle. Puis
plusieurs découvertes virent le jour après plusieurs années de testes.
On trouva que pour avoir un héritier mâle, le père devait attendre la
maturité, qu’ils avaient dis, c'est-à-dire il devait attendre d’avoir
trente ans pour pouvoir procréer un héritier mâle. Mais hélas cela ne
fonctionna point, les chercheurs s’étaient trompé. Puis enfin au bout de
plusieurs années de plus et avec la naissance du petit Ryû, ils
savaient que pour procréer un héritier mâle, les pères ne pouvait qu’en
avoir un tout les cinq ans et devait attendre d’avoir un âge se trouvant
dans un tranche de cinq (15, 20, 25…). Les filles avaient certes des
contraintes à l’intérieur du clan, mais leur vie serait plus tranquille
que celle d’un garçon. Les filles étaient vouées à être courtisane,
accompagnatrice, secrétaire, dans les branches de la médecine et
prêtresse. Alors que les garçons eux étaient tout simplement guerrier.


Le commencement.




Ryû est
maintenant âgé de un an, son père et sa mère s’occupe bien de lui et ils
ont commencé à l’éduquer pour un avenir prometteur. Son père se nomme
Minato Tatsuki, il était un grand guerrier qui avait tiré sa révérence
depuis déjà quelques années. Il était à la charge du Daimyo en temps que
premier conseiller. Sa mère se nomme Rukia Tatsuki, elle était la
responsable de la section chirurgie dans l’hôpital du village. Ryû était
enfant unique et son père ne voulait tout d’abord aucun enfant, mais
quand il vit que son enfant était du sexe masculin il changea
directement d’avis vu qu’il serait un des rares à avoir un héritier
mâle. C’est très égoïste de sa part car il ne porte aucun intérêt à son
enfant, mais juste aux possibilités qu’il lui offre à sa naissance pour
augmenter le respect qui lui est accordé. Ryû fut donc directement
éduquer dans le but de satisfaire les demandes de son père et surtout
l’exigence qui pose sur ses épaules. Etant l’un des rares garçons de sa
génération, Ryû n’avait pas le droit à l’erreur et surtout à l’échec. Il
devait être le meilleur dès son plus jeune âge, ainsi à un an le jeune
garçon savait déjà marcher sur ses deux jambes sans l’aide de ses
parents et arrivait à prononcer quelques mots.

Le petit Ryû fut
tout de suite prit en considération par le Daimyo qui pouvait pour la
première fois admiré un nourrisson masculin du clan Tatsuki. Rukia quant
à elle vouait à son enfant toute l’amour qu’elle pouvait lui apporté en
essayant de combler le vide du côté paternel. Son père était à mainte
fois absent du fait de son post au côté du Daimyo et toutes les
responsabilités qui lui avaient été confiées. Puis se fut le va et vient
des autres nobles du clan afin de pouvoir voir le jeune nourrisson,
plusieurs mères parlaient déjà de mariages arrangés entre les deux
familles en échange de bourses digne de se nom. Le père avait l’aire
ravis quand il vit la plus riche des femmes s’avancer pour présenter sa
fille au père du jeune garçon. Mais sa mère était contre cet usage et ne
se gêna pas pour le faire savoir à son mari qui demanda d’attendre
quelques années afin que Ryû soit plus grand et mature. Ryû était au
centre de toutes les discussions, de tous les discours, toutes les
pensées. Il était le centre du monde d’une génération au sein d’un clan
en déclin à cause de problème génétique. Une telle pression repose déjà
sur le jeune garçon, alors qu’il est âgé seulement de un an.


La maladie.




Ryû est âgé de
trois ans, il c’est courir tout seul, lancer des kunaïs ou shurikens,
marché sur l’eau, … Minato a affrété les meilleurs shinobis du village
pour faire d’eux le senseï de son fils unique. Ryû avait un entraineur
pour chaque domaine de prédilection. Ryû n’était pourtant pas très âgé,
mais son père l’avait déjà entré dans un quotidien d’entrainement et
d’exercice à répétition. Rukia était contre, mais l’avis d’une femme
n’était pas d’une très grande importance quand il s’agit de former des
guerriers. Mais de l’autre côté de la barrière, Rukia avait son mot à
dire sur tout ce qui concernait la médecin ou d’autre spécialisation.
Mais pour l’instant le jeune Ryû était beaucoup trop jeune pour se
préoccuper de se côté de l’art du ninjutsu. Ses entrainements étaient
plus tôt axés sur l’étude, la culture, le sport et surtout la façon de
se tenir. Ryû quant à lui n’avait pas le droit à la parole surtout pas
quand il s’agissait de son entrainement de ninja. Mais avec sa mère il
pouvait s’exprimer librement et surtout exprimé ses sentiments envers
ses proches. Même s’il n’avait que 3 ans, il demandait déjà à sa mère
pourquoi son père le force à une éducation aussi stricte.

Puis
après un jour d’entrainement en forêt à essayer de grimper, de marcher
sur une surface Ryû fut ramené inconscient par son senseï. Rukia crut
d’abord d’une mauvaise chute, mais une petite fléchette se trouvait dans
le bas de sa nuque. Le shinobis expérimenté était au bord de la folie,
il n’était pas expert en iroujutsu, donc incapable de le soigner. Il
courut rapidement au palace qui servait d’habitation à la famille
Tatsuki et le petit Ryû. Rukia ne perdit pas son sang-froid et commença
directement à administrer les premiers soins à son fils. La fléchette
fut directement mise à disposition de l’hôpital pour son étude. Un
poison fut immédiatement détecté et le jeune Ryû fut emmené d’urgence en
chirurgie. Sa mère et son équipe allait le prendre en charge. Minato
quant à lui interrogea directement le shinobis qui était à sa charge
lors de l’entrainement, mais le shinobis ne put rien dire de plus que ce
qu’il avait vus. Un danger reposerait-il sur le clan Tatsuki ? Nul ne
pourrait l’affirmer pour le moment. Mais ce qui était certain c’est que
la santé de Ryû le rare garçon de sa génération est entre la vie et la
mort.


Le miracle.




Pourtant
après quelques jours de coma et de grande fièvre notre jeune héro ouvrit
à nouveau les yeux. Les médecins se seraient-ils tromper ? Leur compte
rendus était pourtant sans appelle, le jeune Ryû devait décéder dans les
jours à venir et ils ne pouvaient rien faire contre cette fatalité.
Rukia était en larme quant elle apprit la nouvelle, des larmes de
tristesse et de joie réunis en une union dévastatrice. Minato quant à
lui était sous le choc, heureux et en colère. Heureux d’avoir retrouvé
son héritier qui fera encore plus parlé de lui grâce à se miracle et en
colère contre ses imbéciles de médecins qui ne savent même pas
diagnostiquer correctement un être en pleine démence. Puis la vie prit à
nouveau son train quotidien, la mère à l’hôpital, le père au conseil et
le fils à l’entrainement. Durant plusieurs semaines tout reprit comme
avant, mais un doute persistait dans l’esprit de Minato, comment son
fils qu’ils jugeaient tous condamné avait pu survivre ? Il alla donc
faire appelle à des ninjas cette fois-ci qui étaient plus expérimenté
dans le domaine du fuinjutsu et du kinjutsu pour ausculter son fils. Le
bilan fut plus que prometteur et une capacité secrète du jeune shinobis
fut trouver. La morphologie du petit Ryû était différente de celle d’un
être humain dit « normale », mais elle n’était pas différente en termes
d’apparence mais en terme moléculaire. Ryû avait en lui une force
capable de défier la nature comme l’avais fait dans des temps mythiques
la déesse de l’amour en maudissant le clan pour l’éternité. Ryû était
capable de contrôler les éléments de con corps, alors lorsque son
organisme se sent en danger son corps est capable de se défendre
instinctivement. Mais à défaut d’être assez mature Ryû ne la contrôle
pas et n’est pas capable de l’utiliser à une plus grande échelle. Mais
se don lui a permis de survivre face au poison qui se trouvait dans son
corps. Le flux d’énergie est comme une seconde forme organique se
trouvant dans le corps du petit, elle était déjà présente à sa naissance
mais dans une taille si infime qu’elle aurait été indétectable. Cette
énergie a donc ciblé les corps qui étaient étrangers au sein pour
l’attaquer et l’anéantir. C’est une sorte de guérison instantanée par la
destruction des cellules. Mais elle ne guérit pas vraiment, elle
détruit par exemple une plaie ne peut se refermer mais un poison peut
être annihilé. Ryû fut alors présenté au Daimyo qui le prit en charge
durant un an cette capacité fut déclarer secrète et son père ne fut
jamais au courant. Rukia sa mère fut écartée et il ne put plus la voir
durant tout le temps de cet entrainement spécialisé.


L’ascension.




Durant cette
année Ryû passa genin de sa promotion et il entra dans l’optique d’une
autre promotion en temps que chunin, mais il devait attendre encore
quelques mois le temps que l’examen ainsi que le tournoi se prépare. Son
père quant à lui succéda avec honneur au Daimyo qui décéda durant
l’année d’entrainement. Ryû ne le connaissait pas personnellement et ne
le vue que rarement durant son entrainement. Sa mort ne le toucha
aucunement, même pas un étonnement. Minato avait pu être nommé à se
poste comme il l’avait envisagé des années auparavant en gardant son
unique enfant. Le Daimyo devait forcément avoir un héritier et celui-ci
devait être de sexe masculin ainsi qu’être capable de lui succéder. Le
temps passa et Ryû continua son évolution, Rukia prit à nouveau soin de
son petit protégé et Minato lui augmenta le fossé entre lui et son fils.
Il était de moins en moins présent à ses côtés et les peu de fois où
celui-ci venait le voir s’était pour lui assigner de nouveaux
entrainements. Ryû était âge de onze ans lorsqu’il commença enfin à
prendre conscience de sa vie et à grandir. Il rencontra une jeune fille,
qui par chance était issue d’une des familles les plus riches du
village. Elle s’appelait Akemi, s’était une charmante jeune femme âge de
douze ans, cheveux brun aux yeux verts. Une belle petite fille qui sera
encore plus magnifique avec le temps. Ryû tomba directement sous le
charme de la jeune femme et ne gêna pas dans discuter avec sa mère.
Rukia approuva les sentiments de son fils, mais lui demanda d’attendre
que son entrainement soit terminé pour ne pas contrarier son père et
perdre sa liberté. Ryû fit alors simplement sa connaissance sans jamais
lui dévoiler ses véritables sentiments. Les deux jeunes shinobis ne se
quittèrent plus depuis cette rencontre, car comme on put l’imaginer
Akemi fut aussi attiré par Ryû. Dès que le jeune homme avait du temps
libre, il le passait avec Akemi. De ce faite il ne vit pas le mal qui
rongeait sa mère et son père. Puis vint le moment de l’examen, une étape
qui marqua le jeune Ryû car se fut son premier combat. Son adversaire
était un jeune shinobis, tout comme lui, il était également un genin
mais lui était différent de Ryû. D’un part par son physique puis d’autre
part par sa façon de se comporter et ses capacités. Le jeune genin
devait être issu d’une classe populaire dans laquelle être ninja est une
profession noble et valorisante. Le jeune genin maitrisait l’affinité
Suiton, alors que Ryû lui maitrisait le Ranton, mais il ne l'utilisa
point. L’issu du combat était déjà déterminée l’avance, Ryû n’eut pas de
mal à contrer les attaques de son adversaire et à s’en défaire d’une
technique de rang supérieur à son grade actuel. Ryû fut nommé chunin et
ainsi la fierté de son père en temps que Daimyo et de sa mère. Le jeune
Ryû avait tout pour lui à seulement onze ans, pourtant certains
événements marquerons à jamais sa vie et surtout le mènerons sur un
chemin beaucoup plus obscur.


La rencontre.




S’était un beau matin ensoleiller dans le village,
plusieurs ombres se déplaçaient en direction du conseil où siégeait
Minato en temps que Daimyo. Ryû fut appeler de si rendre afin de servir
d’escorte à son père suite à une visite des plus déconcertante. Ryû ne
prit même pas le temps de saluer sa mère qu’il était déjà parti en
direction du conseil. Un groupe d’individus étaient entré dans le seuil
du village, ils étaient un petit nombre pourtant en y regardant
rapidement ils ne faisaient pas tous partie de la même famille. Ryû
entra par la porte de derrière, les gardes le connaissait parfaitement
et le laissèrent passé en lui faisant un simple signe de la tête en gage
de salutation. Minato se trouvait au milieu de la salle avec en face de
lui le groupuscule d’individus. Ryû était encore assez jeune, il
n’avait que treize ans lors de cette rencontre, mais sa culture était
assez grande pour décortiquer la plus part des clans qui formait se
groupe. Il y avait des Hyûga avec leur Byakugan, les Nara les
manipulateurs d’ombres, et d’autres. Mais son regard s’arrêta sur deux
personnes, ils ne savaient pas à quel clan il appartenait, il voulut
tout de suite en savoir plus. Son père se retourna, tous les individus
du groupe regardèrent dans sa direction.

Approche mon enfant. Il se retourna vers
le groupe d’individus. Voici le seul garçon
de notre génération, vous avez la chance de pouvoir l’apercevoir et j’ai
aussi l’illustre privilège de l’appeler mon fils.

Les
invités écarquillèrent les yeux, un héritier mâle au sein du clan
Tatsuki était quelque chose des plus rares. La réunion reprit son cour,
avec Ryû comme témoin qui s’était mis aux côtés de son père. Une fois la
requête des individus promulguée ils prirent congés dans leurs
quartiers. Ils avaient fait la demande de considérer par écrit leur
alliance et leur donné une terre pour s’épanouir, en échange ils
protégeraient le pays du feu ainsi que le Daimyo. Le Daimyo ne s’était
pas encore prononcé, mais cela devait surement être un test pour savoir
s’ils sont dignes de confiance ou non.

Qui était ce père ?

Se sont les illustres survivants du clan Arane, Tôshiro et
Kyôshiro. Ils sont issus d’un des plus anciens clans du monde ninja,
leur force réside dans la manipulation du Mokuton. Ils seront l’exemple à
suivre, car je désir un jour que tu puisses être à leur hauteur en
temps que digne représentant de notre famille.

Bien père, je me mets immédiatement à la tâche afin de
vous satisfaire le plus rapidement possible.

Bonne initiative mon fils, va maintenant j’ai du travail.

Ryû
s’inclina et disparut dans l’ombre de la pièce pour ne plus apparaitre.
L’engrenage était en route, le destin de Ryû était déjà tracer. Les
années passèrent et Ryû continua son entrainement afin d’acquérir encore
plus de puissances, de connaissances et de charismes pour satisfaire
les désirs de son père. Durant ses longues années d’entrainement il
passa au grade d’Anbu, avec les honneurs. Akemi était devenue une
chirurgienne hors paire et une superbe jeune fille qui comblait tout les
désirs de son jeune amant Ryû. Rukia quant à elle continua d’exercé
tout en apprenant aux nouvelles générations ce qu’il fallait savoir dans
le domaine qu’elle représentait. Puis le soir elle se rendait chez son
fils qui avait choisit comme voie au détriment et de l’avis de son père:
le fuinjutsu. Mais certaines techniques étaient plus du Kinjutsu que du
Fuinjutsu, il leurs fallait être très prudent quand ils s’exerçaient.


L’Anbu.



Ryû continua
mission après mission, meurtre après meurtre, sang après sang. Il
n’arrêta pas et pourtant son physique ou son mentale ne semblait pas en
souffrir. Il était toujours en pleine forme près à exécuter de nouvelles
missions et satisfaire le désir de son père. La mission qui se vit
confier était plus importante, il devait assassiner un survivant de la
guerre civile qui venait tout juste de se terminer. Ryû ne broncha pas
et exécuta les ordres sans un soupçon sur ceux-ci. Puis après se fut le
tour d’un autre, puis d’un autre, puis le dernier fut le déclencheur
d’un raisonnement plus pousser. Le premier était un ancien membre du
clan Akimichi, l’autre était un membre du clan Nara et le dernier était
issu du clan Aburame. Le doute s’immisça dans l’esprit du jeune Ryû qui
était à l’heure actuelle âgé de dix-huit ans. Ryû commençait à douter
des paroles de son informateur, puis vint la dernière mission. Ryû
devait anéantir un membre déserteur du clan Hyûga. La chose n’allait pas
être de tout repos, car l’infiltration face à un détenteur du Byakugan
serait un échec très rapidement. Il devrait s’en approché le plus
rapidement et le mettre hors d’état de nuire en une fraction de
secondes. Ryû se rendit sur les lieux de la quête ainsi que les lieux de
l’assassinat. Mais à sa grande surprise, sa cible se trouvait là, seul
au milieu de la clairière. Il se retourna vers Ryû qui était masqué.

Alors c’est toi le tueur de l’alliance.

Ryû
ne fit pas mine de comprendre, et pourtant s’était le cas.

Je me nomme Kira, je suis le digne représentant du clan
Hyûga et illustre membre de la branche principale. Décline ton identité
avant de mourir !!!

*Kira ? Je
crois connaitre son visage. Mince souviens toi imbécile !!!*

Pendant
que Ryû pensait, le Hyûga pris les devants en fonça sur lui à une
allure folle. Le shuriken qu’il tenant dans sa main visait le cœur de
l’Anbu, mais alors que celui-ci allait toucher sa cible de l’électricité
émana du corps de celui-ci. La décharge arrêta l’attaque et envoya
valser celui qui l’avait crée quelques mètres plus loin.

Tu ne peux rien contre moi Hyûga. Rend les armes et je te
promets une mort rapide.

Plus tôt aller en enfer que d’accepter ton offre.

Le
Hyûga se releva, un grimace sur le visage et le bras droit qui avait
servis pour l’attaque était partiellement brûler. Il activa alors son
kekkei genkai : le Byakugan et se mit en position pour exécuter une de
leur attaque de taïjutsu spéciale appeler Juken. Ryû ne connaissait rien
dans se domaine, il était heureux de pouvoir le combattre afin
d’acquérir de nouvelles connaissances et surtout cette fois-ci il avait
surement un adversaire qui lui permettrai de le faire progresser. Le
Hyûga s’élança rapidement, Ryû fit un saut en arrière, mais sa rapidité
était moindre. L’homme était déjà sur lui quand l’un de ses doigts vint
toucher son ventre puis un autre sa jambe. Ryû tomba au sol, le Hyûga
utilisa la paume de sa main. Ryû l’évita de peu, le sol se morcela sous
l’impacte de la force de l’homme. Sa jambe le faisait souffrir, il avait
du mal à se déplacer.

Alors tueur
de l’alliance, je vois que tu ne t’attendais pas à autant de résistance
de ma part. Et pourtant cela ne fait que commencer. Je vais venger les
frères que tu as tués de ta main.

Le Hyûga
repartit en direction de Ryû. Ryû ne pouvait sa mouvoir assez rapidement
pour l’éviter voir contre attaqué, mais une idée lui vint. Le combat
touchait bientôt à sa fin. Le Hyûga s’avança et déclencha sa terrifiante
attaque, les coups du Hakke. Ryû se fit toucher par le premier puis
l’attaqua s’arrêta net, mais le deuxième doigt toucha un endroit assez
sensible. Le masque de Ryû tomba morceler au sol, du sang coulait
abondement de son œil droit. Puis la vue du second commença à baisser.
Le choc avait été si violent quand le Hyûga toucha son crâne que le
jeune Anbu venait de perdre presque la totalité da sa vue.

Aahhh !!! Ryû hurlait au sol. La haine
commença à se faire entendre dans le fin fond de son esprit.

Que m’as-tu fait misérable ? Dit le
Hyûga.

Je t’es appliqué un sceau
invisible capable d’immobilisé un être. J’ai peut être perdus quasiment
la vue, mais celle-ci reste encore assez net pour te tuer. Meurt enfoiré
! Et comme cadeau j’emporterai avec moi tes yeux.

Non tu ne peux le faire ! Les Hyûga on un sceau qui
scelle le Byakugan à leur mort.

Certes mais pas ceux de la branche principale.

Le
Hyûga resta sans voix, s’était par sa faute que le jeune Anbu pourrait
prendre ses yeux comme récompense. Puis plusieurs piques jaillirent du
sol, une marre de sang s’était former à leur impacte. L’homme avait été
annihilé par la puissance de l'ombre rouge.

Ryû rentra du mieux
qu’il put chez soit, mais il ne trouvait plus l’entré de son habitation
sa seule chance était Akemi. Heureusement pour lui était toujours là
quand il l’appelait. La jeune femme sortie rapidement de chez elle, des
larmes perlèrent quant elle vit le visage ensanglanté de Ryû tenant dans
sa main fermement une boite avec deux yeux à l’intérieur. Elle avait
déjà compris de quoi il en retournait, mais l’opération était trop
délicate et elle fit appelle à Rukia qui était plus doué dans se domaine
grâce à son expérience et son ancienneté. L’opération dura des heures,
durant lesquels Ryû perdit connaissance. A son réveil, un bandeau se
trouvait sur ses yeux encore trop sensible. Le jeune Ryû du attendre
plusieurs mois, caché de tous avant de pouvoir retrouvé la vue.


La vérité.




Ryû est
maintenant âgé de vingt ans et est toujours aux services de son père qui
lui est encore le Daimyo. Il vit avec Akemi dans sa propre résidence
qu’ils ont acheté avec leur argent il y a de cela seulement quelques
mois. Sa mère quant à elle continue d’exercé son métier de médecin dans
l’hôpital principale du nouveau village fondé par l’alliance des clans
qui se nomme Konoha. L’Hokage se nomme Kyôshiro Arane, l’illustre
personnage dont Ryû devait ressembler et qui fut presque une réussite.
Bien sûr Ryû était moins puissant que lui, mais son charisme était tel
qu’il pouvait lui tenir tête. Pourtant cette nuit là, la paisible vie
que menait Ryû fut anéantie en quelques secondes. Minato accompagné
d’une garde rapproché pris position dans leur quartier ou était avant
leur village. Sa mère, Rukia, se trouvait sur la place ainsi que sa bien
aimée Akemi. Elles étaient toutes les deux complices d’avoir utilisé
des kinjutsu et permit à son fils Ryû de revenir des morts. Oui
l’histoire était montée de toute pièce, Minato voulait étouffer la
vérité et par cet acte il venait de signer son arrêt de mort. Rukia fut
la première à être exécuté sur la place publique dans le quartier du
clan Tatsuki. Ryû voulut empêcher tout cela mais les gardes le mirent
directement hors d’état, surtout qu’il ne s’était pas encore tout à fait
rétabli et qu’il ne maitrisait pas parfaitement ses yeux.

Puis
quand se fut venu le tour d’Akemi, la rage l’emporta. Il utilisa une
technique secrète qu’il créa pour simplement se défaire de la prise des
gardes, puis il utilisa sa plus puissante technique. Une technique
Meiton des plus meurtrières. Ryû créa une immense sphère de ténèbre
qu'il lança sur ses assaillants, à son moindre toucher elle explosera
dans une terrifiante déflagration. L’attaque fut dévastatrice, la plus
part des personnes qui s’opposèrent à lui furent anéantis. Son père
était encore sous le choc de la subite attaque, quand il vit son fils
dénouer les liens qui retenaient sa femme prisonnière. Sa seule chance
était de se rendre dans Konoha et surtout à la tour du Kage. Mais qui
pourrait croire les dires d’un individu qui vient de détruire la moitié
du quartier de son clan en une attaque. Ryû était terriblement épuisé et
il ne tiendra plus très longtemps. Puis la garde ce lança à sa
poursuite, alors que tout espoir était perdus d’avance Akemi commis
l’irréparable. Elle et lui se trouvait à proximité d’un puits, Akemi
poussa son bien aimé à l’intérieur afin de le protéger de l’attaque.
Puis elle utilisa une technique de fuinjutsu qui résulte d’un sacrifice
de soi même. Le corps de la jeune femme explosa en des millions de
gouttelettes de sang puis le sceau s’activa, toutes les personnes aux
alentours qui furent touchées par son sang serai scellé à jamais. Tous
les gardes furent scellés pour l’éternité mais seule une personne
survécue, Minato. Il connaissait la technique et si était préparer. Ryû
émergea alors à nouveau du puits, un terrifiant sanglot le prit quand il
aperçut la scène de précédent massacre, avec le corps d’Akemi mutilé
par la technique en son centre. La folie le prit, puis la rage, puis une
terrifiante envie de meurtre. La moitié du clan Tatsuki fut massacré
cette nuit là, ainsi que la plus part des hommes et surtout son père le
Daimyo. Les shinobis de Konoha furent avertis et Ryû du fuir le village
en pleure. Il n’y remettra surement plus jamais les pieds, ayant tout
perdus il continua une vie de désolation dans les contrées avoisinantes.


Une nouvelle ère.




Mais avant cette
nuit Ryû savait que leurs vies étaient en danger, s’était normalement
se soir là qu’ils devaient tout les trois fuirent le clan et se réfugier
dans Konoha. Mais le destin en fit autrement, pourtant Ryû avait pris
l’initiative d’envoyer une lettre à l’Hokage.

« Cher Hokage,
mes salutations je me nomme Ryû Tatsuki et voici ma missive ; j’ai enfin
pus rapporté les preuves nécessaires si jointe, pour vous apportez la
vérité. Votre alliance a été la proie d’un chasseur il y a des années de
cela. Les ordres qui lui ont été fournis émanaient tous de la même
personne, le Daimyo. Se chasseur s’était moi et je tiens à faire éclaté
la vérité que je n’ai su entrevoir auparavant. Mes jours sont dès à
présent en danger, mais sachez que si justice doit être faite je serai
prêt à expier ma faute. »

Puis les années passèrent et Ryû
n’entendit plus jamais parler de cette affaire. Il n’avait aucun endroit
où séjourné, ni aucune personne pour l’accompagner jusqu’au jour où il
croisa le chemin d’une personne portant une tunique noir avec des nuages
rouges dessus. Il eut un combat entre les deux protagonistes et à la
fin de celui-ci cette dite personne lui offrit sa place au sein de cette
organisation. C’est alors que Ryû se dirigea vers le seuil d’entré de
cette nouvelle organisation criminel appelée Akatsuki.


Village / Organisation désirée : Akatsuki ou Nukenin

Question à répondre qui prouve que vous avez lu le règlement* :
- Quel est la différence entre le grade et le rang en puissance d'un membre ? Les grades c'est le niveau auquel se trouve le personnage par rapport à une hiérarchie. Le rang lui correspond à la puissance et aux capacités du personnage grâce aux points NNR.

- Comment passe-t-on d'un rang à a un rang suivant, par exemple de rang E à rang D ? On doit passer un examen et avoir un nombre équivalent de points NNR pour pouvoir espérer y participer.

- Comment fais-t-on pour faire sa fiche justu ? Il faut aller dans le topic ou réside cette partie de la présentation du personnage, copier le modèle et le remplir en suivant ce qui est demander et les capacités que nous avons choisis d'incarner.

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