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InvitéInvité
MessageSujet: Repost de ma présentation << Repost de ma présentation << Icon_minitimeSam 21 Aoû 2010 - 20:45

[ Ma présentation ayant été supprimée tout comme ma fiche technique, je la reposte ici]

Prénom et Nom: Masako Soen (actuellement)
(Ancien prénom et nom : Yumi Kinochi).
Age : Vingt cinq ans
Village : Anciennement Iwa mais maintenant Suna Wink
Anti plagiat: Je me permets de mettre mon Msn pour preuve que je suis bien l'auteur de la présentation si je dois reposter cette présentation sur un autre forum. Moon__Light@live.fr

Sa description Morale (en 5 lignes):

Masako est quelqu’un de perspicace qui peut faire preuve de beaucoup d’intelligence uniquement quand elle le veut mais sinon, elle reste une personne ordinaire. La jeune femme pense qu’elle a autre chose à faire que de se soucier de l’intelligence même si celle-ci peut assurer sa survie. A l’instar de tant d’autre elle déteste se seriner ; une fois qu’elle converse ou affirme quelque chose, son interlocuteur se doit d’avoir tout entendu car le fait de tout répéter l’horripilerait. Si l’ennui la gagne, elle peut se montrer très prolixe au point de taper sur les nerfs mais habituellement, on peut dire qu’elle ne l’est pas trop. La belle connaît une activité lorsqu’elle possède du temps libre devant elle ; les clabauderies. En effet, c’est une vraie pince-sans-rire ! Quand il s’agit de critiquer, persifler des amis ou bien des opposants, elle en est partante. Qui ne s’est jamais moqué de quelqu’un ? Bien sur, ses quolibets ne sont pas à prendre au sérieux sinon vous pourriez être sur de vous rendre burlesque. Si la belle est devenue comme cela, c’est tout simplement parce qu’en étant auparavant une petite fille, les garçons n’avaient cessé de la réprouver. A présent, elle s’est décidée à faire la même chose sur les autres et pouvait aller jusqu’à vexer sans s’en apercevoir. Par contre, elle ne supporte pas de recevoir la moindre invective sinon elle risque de s’excéder. Elle a beau être volubile quand elle le veut, cependant elle n’apprécie pas vraiment débiter ce qu’elle a vu même si elle est forcée de le faire dans les rapports de missions. En dehors des rapports, Masako détaille juste les fariboles (vu qu’elle s’intéresse beaucoup aux vétilles) qu’elle trouve cocasse, divertissant. Quand elle est en pleine turpitude ou bien triste, elle devient aussi taciturne qu’une tombe. Cela peut paraître invraisemblable ce changement de caractère qu’elle peut avoir en fonction de son humeur et c’est cela qui fait d’elle quelqu’un de lunatique. Un jour, elle trouvera que la vie est soporifique alors qu’un autre elle corrobora à tous que la vie est belle. Une fois énervée, la brunette évite de s’en prendre à tout le monde comme elle le faisait avant. Effectivement, auparavant elle récriminait tout ceux qu’elle voyait quand elle était furieuse mais maintenant, elle tente de se calmer et de s’en prendre uniquement à la source de son courroux car cela pourrait lui créer des anicroches par la suite. Justement, lors des complications, elle est du genre à chercher un peu trop loin et à s’inquiéter avec excès. Par contre, lorsqu’il s’agit d’un allié blessé, elle parvient à dissimuler sa peur car elle pense que c’est une honte de montrer qu’elle est submergée par ses émotions.

Tantôt calme et froide, tantôt excitée et d’humeur folâtre, tout le monde se méfie de son côté lunatique. En temps normal, elle est allègre et on le voit très bien quand la jovialité ou l’angoisse s’empare d’elle mais il y a des jours où elle ne laisse rien paraître. Toutefois, quand elle est en face d’une personne inexpressif, elle ne peut s’empêcher d’essayer de lire en lui, de le comprendre parce qu’elle déteste les Hommes mystérieux qui cachent des choses. La curiosité peut devenir un défaut chez elle puisqu’elle a tendance à trop vouloir en savoir plus (elle adore épier les gens). Elle déteste être ignorante même si elle ne néglige pas le fait qu’il y a des choses dont on ne devrait pas savoir. Tout comme ce que pense les gens d’elle ; jamais elle ne voudrait entendre les avis des personnes qui l’entourent sauf s’ils sont positifs. La jeune femme préfère ne jamais connaître les médisances de certains sinon il est probable qu’elle fasse preuve d’animosité. La belle a toujours essayé de ressortir une certaine sagesse mais il se trouve qu’elle est encore jeune pour rester calme trop longtemps. Mais on sait tous que la sagesse vient avec l’âge tout comme la pondération. Quand elle était petite, le mot ‘courage’ ne lui serait pas attribuée ; elle fuyait des myriades de choses que ce soit des arachnides ou bien des monstres d’une taille incommensurable. La jeune a toujours été arachnophobe et le restera pendant longtemps. Ses parents ombrageux –surtout son père- ne l’aidait pas beaucoup pour affronter ses peurs. A présent, elle a regagné au fur et à mesure de la bravoure et c’est cela qui fait d’elle une très bonne ninja. Néanmoins, elle s’est toujours dite que c’est la connaissance qui fait d’une personne, quelqu’un de fort en combat vu que celle-ci est presque égale à la puissance. ‘Le savoir fait le pouvoir’, c’est ce qu’on lui a apprit depuis son plus jeune âge. Plus la connaissance est étendue, plus on peut assimiler les situations et réagir en conséquence mais c’est aussi cela qui permet de créer ou de détruire. Bref, on lui a enseigné des myriades de choses comme celles-ci. Bien sur, elle y croit vu que ses parents ont eu la malignité de lui faire une sorte de lavage de cerveau quand elle n’était qu’une gamine. Il est plus simple de persuader quelque chose à une enfant plutôt qu’un adulte. Il y a donc aujourd’hui, des choses, faits ou même des fadaises auxquels elle y croit encore.

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, la brune n’est pas une amatrice de Sake ; elle trouve peut être cette boisson délicieuse cependant, elle n’aime pas les effets que cela peut avoir (il y a aussi l’haleine fétide que cela donne). Quand elle est sous l’influence de l’alcool, il est fort possible qu’elle devienne légèrement parano ou cinglée durant quelques heures. C’est pour cela que la demoiselle opte pour une limonade ou tout simplement un verre d’eau excepté lors d’une soirée entre amis où elle se sent obligée de faire à l’instar des autres. D’ailleurs, cela l’écoeure fortement d’être contrainte de passer par des ruelles sombres où l’on peut tomber sur tout un troupeau d’hommes bourrés. En parlant des hommes, Masako ne leur accorde point facilement sa confiance étant donné le grand nombre de déceptions amoureuses qu’elle a. Toutefois, elle refuse d’assumer qu’elle était le plus souvent fautive dans ses histoires. Dans la plupart des querelles (et même dans les bisbilles les plus ridicules), elle accable les autres d’accusations et de reproches. Elle n’a jamais pu supporter les séducteurs dotés d’une grande fatuité et qui osent se croire supérieur à tous. Si, par hasard, elle venait à en rencontrer un seul, elle serait bien capable de tout tenter pour avoir le dernier mot et fermer le clapet de l’inconnu. Effectivement, la belle déteste se voir rabaissée, il est aberrant pour elle de savoir que certaines personnes se laisse submerger par un sentiment d’infériorité. Elle aurait toujours honte de perdre dans un débat ou bien un jeu. Si c’était le cas, la fureur l’a gagnerait et elle aurait du mal à ne pas se montrer dédaigneuse. Peut être qu’elle tenterait de cacher son courroux en repartant d’un air hautain. Lors des combats, en revanche ce n’est pas exactement la même chose car on lui a apprit que l’expérience ne venait pas uniquement des victoires remportées mais éventuellement des défaites et c’est grâce à cela que l’on retient et apprend de nouvelles choses. Durant les affrontements, elle se montre frénétique, habile et retorse ce qui lui donne un certain avantage mais elle reste une personne sans capacité spéciale comme Sasuke ou tant d’autres. Néanmoins, elle se contente de ce qu’elle a pour réussir parce que depuis toujours, ses proches n’ont cessé de lui mettre la pression pour ne pas qu’elle échoue. On lui avait dit qu’il ne fallait pas en faire beaucoup pour obtenir un avenir lamentable, c’est pour cela qu’elle s’est forcée à tout accomplir sous la satisfaction de sa famille. Enfant, elle n’était pas non plus la meilleure des élèves, n’était pas la première mais avait un bon classement qui lui assurait entre soixante dix et quatre vingt cinq pourcents de réussite pour la suite.

En ce qui concerne la nourriture, elle est plutôt difficile et n’aime que les bonnes friandises que mangent les enfants. Même étant adulte, elle se permet quelques fois de se comporter comme une gamine et ne peut s’empêcher de l’exprimer. Masako serait bien capable de se quereller avec une autre personne pour obtenir ce qu’elle veut de la même façon que deux filles se chamaillant pour une poupée. Prenons un second exemple : Ses cheveux. Si un malheureux s’aviserait de toucher sa chevelure, sa fureur serait si grande qu’il risquerait de recevoir une suite de coups de poing. Sa coiffure fait partie des choses auxquels elle tient énormément (plus que son propre visage) et elle n’a jamais aimé attendre que ses cheveux repoussent. Cependant, quand elle le veut, elle peut se montrer patiente pourtant il vaut mieux ne pas tarder trop longtemps. Voyons maintenant les bons côtés de la brune. Comme tout le monde, elle possède ses propres défauts mais aussi une petite liste de qualités. Masako est quelqu’un de loyale, qui sait se conduire avec déférence envers ses proches et sur qui on peut compter en permanence bien qu’on ne pourrait pas en dire autant lorsqu’elle était jeune. En effet, la fillette qu’elle était, n’était pas très gentille et révélait tout ce qu’elle savait à tout le monde. Les secrets ne le restaient pas bien longtemps si ses oreilles les entendaient. Mais encore une fois, les années qu’elle a prit lui ont fait changé une bonne partie de sa mentalité. Celle-ci s’ouvre presque à tout le monde et ne manque aucune occasion de se faire de bonnes connaissances et peut être devenir bons amis avec eux. C’est sûrement ce qu’il y a de plus important dans la vie après la connaissance ; l’amitié.

Sa description Physique (en 5 lignes):

Sa chevelure est brune et la plupart du temps attachée en queue de cheval ou bien en chignon. La raison en est simple ; il est beaucoup plus facile de travailler la tête penchée dans des papiers sans ces myriades de cheveux traînants qui gênent sa vue. Seules quelques mèches de devant ne sont pas éconduites parce qu’elles ne sont pas encombrantes et font parties du charme de Masako. Celle-ci tient beaucoup à ses cheveux qu’elle entretient avec beaucoup de soin. Même son visage et son style de vêtements passent après ceux-ci. Ils sont si importants à ses yeux et elle veille à les garder doux au toucher et lisse. Accompagnés de bons shampooings dont elle varie chaque jour, ils émanent une odeur suave et délicate. Si, lors d’un affrontement, quelqu’un s’aviserait à lui toucher le moindre cheveu, ses yeux se mettraient à fulgurer sous la colère et elles ne retiendraient pas ses coups. Il est rare qu’elle passe une journée sans s’être coiffée mais ce n’est pas impossible lorsqu’elle est en mission. Quand elle trouve sa chevelure trop longue, elle n’hésite pas à aller se les faire couper car elle n’aime pas les cheveux longs contrairement à lorsqu’elle était petite. Oui, à l’époque, les gamines de son âge voulaient ressembler à toutes ces poupées que l’on achète et qui ont une belle longue coupe bouclette.

Le regard des personnes est généralement guidé par son regard infranchissable mis en valeur par un léger coup d'eye-liner discret. Ses yeux marron semblent avoir une adorable forme et font partis d’une de ses clés de séduction bien que cela lui soit complètement égal. Ses yeux traduisent souvent ce qu’elle ressent. Généralement, il n’est pas nécessaire de chercher plus loin, de vouloir entendre ses battements de cœur pour connaître ses émotions sauf quand ils sont dissimulés volontairement. Un peu en haut, de fins sourcils agrémentent le tout. Au soleil, la couleur de ses yeux s’éclaircit alors que sa pupille se rétrécit. Quelques reflets jaunes peuvent apparaître. Enfant, ses iris étaient beaucoup plus foncés mais avec l’âge, cela a changé. Quand elle n’était qu’une fillette, on aurait eut envie de lui pincer les joues tellement qu’elles étaient joufflues. C’était très certainement parce que ses parents lui faisait manger tout à un tas de choses pour qu’elle grossisse car ils l’a jugèrent trop maigre. Mais à présent, ces joues ne sont plus les mêmes qu’auparavant, elles ont amincies. Quelques fois, une trace rouge fait apparition quand Masako se sent flattée, quand elle a chaud, ou bien amoureuse. Elle déteste rougir car cela trahit ses émotions. Son visage assez pointu se termine par un nez suffisamment discret et de délicieuses fines lèvres de teinte rouge. La brunette a d’ailleurs l’habitude de se pincer la lèvre quand elle réfléchit ou pour se retenir de rire.

Descendons un peu plus bas…On peut dire que la belle possède une poitrine assez imposante et cela ne passe pas facilement inaperçue. Même si elle tente de ne pas porter de décolletés trop souvent (elle déteste les regards rivés vers elle), il y a des fois où elle ne peut pas s’en empêcher à cause de la couleur du haut ou bien de son tissu. Du moment qu’elle trouve quelque chose de beau, le reste lui est égal. On verra plus constamment ses avant bras car la plupart des manches de ses vêtements ne descendent pas jusqu’au poignet. Ni sur son cou, ni sur ses bras il n’y a présence de bijoux car elle ne voit pas l’intérêt de s’encombrer avec tous ces accessoires. Par contre, dans de grandes occasions (soirées par exemple), elle se sent obligée d’en mettre quelques-uns juste pour enjoliver. Ses bras se terminent par deux mains et des ongles de taille moyenne. Quand elle en a le temps, elle se permet de les limer pour ne pas qu’ils ne deviennent trop longs sinon cela donne l’effet ‘sorcière’. Dès l’âge de six ans, elle s’était mise à les ronger quand le stress s’emparait d’elle ou bien quand elle se languissait. Bien sur, ce n’était pas splendide à voir…sa mère la grondait quand elle voyait ses doigts. C’est pour cela qu’elle posa une sorte de citronnade écoeurante sur ses doigts et lorsque l’envie de les passer dans la bouche vient en elle, Masako s’arrêtait car le goût était répugnant. Le vernis, mais qui a donc inventé cette bêtise à odeur forte, asphyxiante et nauséabonde quand on ouvre le flacon ? En tout cas, seule la couleur rose pâle plait à la brune pour ses ongles. Mesurant un mètre soixante et onze pour soixante kilos, elle a un poids normal et cela la rassure car elle était bien trop maigre quand elle était petite. Son style penche vers la sensualité mais elle fait son possible pour que cela ne soit pas vulgaire. En matière de vêtements, elle aime juste ce qui est joli et confortable pour toute situation (donc pas de jupes). Les couleurs qu’elle aime beaucoup sont le vert pâle et le bleu azur.




Son Histoire (en 20 lignes) :

C’est depuis de nombreuses années que la famille Kinochi désirait devenir la plus noble de tous même si les membres n’étaient en rien des bourgeois. Ils n’étaient que de simples personnes que l’on pouvait croiser chaque jour à Iwa. Pourtant, ils ne cessaient de copier le comportement des gens aisés, de converser de la même façon qu’eux. L’un des descendants de cette famille aussi beau qu’un Dieu, mettait en avant sa beauté qu’il définissait ‘suprême’. Étant l’aîné de sa génération, une grande partie de l’argent accumulée si difficilement pendant longtemps lui revint. Ce n’était pas une forte somme mais largement suffisant pour bien vivre. Mais un jour, il misa le tiers de son argent dans un jeu qu’il perdit. A ce moment-là, il décida d’aller séduire des jeunes filles issues de bonne famille et les ruiner de leurs ressources le moment voulu. Son plan était parfaitement bien prémédité et en quelques mois, il parvint à réunir la somme qu’il avait perdue à des jeux. Et pour être sur de ne pas avoir de problèmes de plaintes, il allait chercher ses victimes dans des lieux bien lointains pour être certain qu’elles ne le retrouveraient jamais. Alors qu’il se croyait en toute sécurité, il ne s’était pas douté qu’une femme connaissait l’histoire et le menaçait de le dénoncer. Elle n’avait pas pu supporté ce qu’il avait fait aux autres dames mais le charme de l’homme la séduisait tellement qu’elle négocia avec lui. S’il acceptait de se marier avec elle, celle-ci ne dirait rien. L’homme hésita durant plusieurs jours car il fallait l’avouer ; cette femme n’avait pas un physique très avantageux. Personne n’aurait accepté d’être dans le même lit qu’elle vu le laideron qu’elle était. Seuls ses magnifiques cheveux pouvaient séduire mais pas le reste. Deux ans plus tard, ils décidèrent de faire un enfant. Ainsi naquit leur premier nouveau-né un dix-huit février. Le bel homme voulait par-dessus tout un garçon qui porterait son nom. A son plus grand malheur, son enfant était une fille et durant deux semaines, il entra dans une humeur très morose. Il se mit à boire et à boire jusqu’à revenir à la maison à trois heures du matin, complètement ivre. Son passe temps favori ? Aller bander chaque jour devant une horde de jeunes demoiselles. Il continuait toujours ses escroqueries mais il faisait tout pour ne pas mettre sa dame au courant. Pendant qu’il était dehors, sa femme souffrait. En effet, son mari ne lui apportait pas l’affection qu’elle voulait et les caractères sexuels qu’il évoquait étaient dans son seul plaisir personnel et dans le but de procréer. Celui-ci semblait même avoir abandonné sa fille car il ne jouait et ne parlait jamais avec elle. D’ailleurs, il oubliait toujours son prénom car c’était sa femme qui avait choisi comment elle se nommerait vu que cela lui était égal. Yumi…c’était son prénom.

Fort heureusement, elle avait hérité de la beauté de son père et des élégants cheveux de sa mère. Peu d’entre nous aurait cru que cette femme laide était la mère de ce trésor. Ce bébé ne cessait de pleurer chaque jour quand il avait faim ou qu’il avait fait dans ses couches. Sa mère dut faire tout son possible pour prendre soin d’elle puisqu’elle ne pouvait compter sur son partenaire. L’humeur de ce dernier empirait chaque jour ; rien que de voir sa fille, le dégoûtait tellement qu’il souhaitait avoir un garçon. Mais sa détermination ne s’était pas éteinte pour autant ; il força sa femme à refaire un gosse dans l’espoir de faire naître un bébé de sexe masculin. Neuf mois plus tard, son souhait fut exaucé ; un mignon petit bout de chou était là. Il était mignon mais pas pour longtemps car contrairement à Yumi, il ressemblait plus à sa mère qu’à son père. Bref, quelques années passaient et les deux enfants eurent respectivement quatre et cinq ans. Le père avait cessé d’être en permanence à l’extérieur vu qu’il prenait son temps avec son fils mais cela ne l’empêchait pas de sortir boire ou draguer. Sa femme quant à elle, chouchoutait l’aînée vu qu’elle n’avait pas le droit de toucher à son garçon. Son mari lui avait interdit ; si elle s’occupait de lui ne serait-ce qu’une journée, elle serait punie. Yumi était devenue encore plus mignonne que lorsqu’elle n’était qu’un nourrisson. De longs cheveux presque bouclés tombaient en cascade derrière son dos et ses yeux marron mettaient en valeur son charme. Une partie du budget de la famille allait dans ses vêtements convenables et de haute qualité vu qu’il fallait à tout prix se faire passer pour des nobles. Néanmoins, les membres de la famille avaient appris à modérer leurs dépenses mais ce n’était pas le cas pour le père. Il ne faisait pas attention et avait donc tendance à devoir payer une grosse facture à la fin du mois. En dehors de cela, Yumi aimait les promenades qu’elle faisait avec sa mère et elle avait apprit à cueillir les fleurs et en faire un beau bouquet. Elle jouait aussi avec ses cousines et aidait ses parents au ménage. Par contre, elle ne s’était pas beaucoup rapprochée du cadet pour la simple raison qu’il était protégé par le père. Ce dernier devait être malheureux vu qu’il n’était pas autorisé à faire ce qu’il voulait comme sa sœur. Celle-ci le voyait régulièrement entrain de pleurer et quand elle voulait l’aider, il hocha la tête négativement, pensant qu’il pouvait régler cela tout seul. Cela lui faisait mal au cœur de le laisser comme cela mais elle ne voulait pas être punie si elle insistait trop.

Un jour, alors que ses parents étaient absents pour quelques heures, elle eut l’idée d’aller s’aventurer toute seule dans Iwa à la recherche de quelque chose qui pourrait la divertir. Elle en avait assez de sa vie trop répétitive et ennuyante ; les jeux commençaient à la lasser. Elle voulait quelque chose de plus distrayant. C’est alors qu’elle heurta une bande de Genins qui revenaient de mission. Elle tomba à terre et l’un d’eux l’aida à se relever. Au début, elle leur avait jeté à la figure tous les jurons qui lui passaient par la tête car elle n’avait pas apprécier être couchée contre le sol mais les gamins parvinrent à la calmer. C’est alors qu’une discussion s’engagea et au fur et à mesure qu’ils jaspinaient, la petite Yumi se sentait attirée par le monde des ninjas. Elle n’avait cessé, durant au moins trente minutes, de leur poser des questions à propos de leurs armes, des missions qu’ils recevaient et de leurs techniques. Elle eut même droit à une démonstration de l’une d’entre elle. Ses yeux n’avaient jamais été aussi émerveillés que ce jour-là. La gamine aimait beaucoup les couleurs flash comme celle de la technique d’un des Genins. Ainsi commença l’éveil de sa vocation. A son sixième anniversaire, Yumi demanda à ses parents s’ils pouvaient l’inscrire dans une académie de ninjas. Malheureusement, son père fut le premier à refuser car il voulait qu’elle reste une simple fille de bonne famille, rien de plus. Sa mère n’avait pas d’autre choix que de suivre le même avis que son mari vu qu’elle était soumise à lui. Tout ce que Yumi pouvait faire était de regarder les autres élèves de l’académie s’exercer dehors à ce qu’il avait appris grâce à des enseignants. On la voyait souvent agrippée e à des grillages, les yeux rivés vers les écoliers. Elle savait que jamais elle ne parviendrait à devenir comme eux et tout ce qu’elle pouvait faire était de regarder.

Trois mois plus tard, la vie de la petite allait être chamboulée. Son père était devenu encore plus fou qu’avant et désirait la marier à son plus jeune frère, comme dans les autres familles nobles. Il prévoyait déjà de tout organiser d’avance, que ses enfants soient d’accord ou pas. Sa mère ne put le supporter ; durant toutes ces années, elle n’avait pas eu son mot à dire, elle n’a jamais pu imposer ses pensées. Pourtant, elle avait un plan en tête. C’est alors qu’un soir, alors que son homme dormait encore, elle partit de son lit en douce, prit ses enfants et quitta la maison. Elle ne prit même pas le temps de prendre son manteau alors que la froideur de dehors était glaciale. Elle voulait emmener ses enfants, le plus loin possible de cette maison et elle songea à passer par la forêt du pays. Son fils n’était pas encore réveillé et il était calmement endormi dans ses bras tandis que Yumi courrait le plus vite qu’elle pouvait. Néanmoins, elle devait économiser son énergie vu la faible endurance de fille qu’elle avait. Il était dur d’être guidé dans ce noir car la lune était absente. On ne pouvait se fier qu’aux lumières du village. Quelques minutes plus tard, les trois fuyants furent poursuivis par trois deux shinobis. La mère, ne sachant plus quoi faire s’arrêta et ordonna à ses petits de continuer à courir jusqu’à ce qu’ils n’en peuvent plus. Ce qu’elle espérait était qu’ils trouvent de l’aide mais ce souhait ne paraissait pas avoir beaucoup de chance de se réaliser. La gamine tapa son frère pour le réveiller et ils continuèrent de galoper parmi les arbres. Au fur et à mesure que leur mère s’éloignait de son champ de vision, la fillette était effrayée ; elle se demandait si elle allait la revoir un jour ou si elle allait mourir à cause des méchants hommes qui voulaient les rattraper. Quelqu’un de têtu aurait fait demi-tour pour la sauver mais Yumi savait qu’elle n’aurait rien pu faire d’autre. Il fallait juste protéger son petit frère pour le moment et ensuite, elle irait chercher pitance et demander de l’aide à la première personne qu’elle verrait. Elle jetait souvent des regards brefs derrière elle pour se rassurer qu’ils étaient bien seuls mais elle ne fit pas attention à ce qui se passait devant elle. C’est alors qu’elle trébucha contre une racine et tomba au sol, les cailloux pénétrant dans sa peau. Une gamine comme elle n’aurait pas pu se retenir d’hurler de douleur. Son cri perçant aurait très bien pu réveiller tous les animaux de cette forêt. La pauvre avait tellement mal à ses petites jambes qu’elle ne voulait plus avancer. Elle dit à son frère de continuer sans elle et qu’elle le rattraperait plus tard. Celui-ci ne semblait pas d’accord au début, mais il finit par l’écouter et à disparaître de son champ de vision. Maintenant qu’elle était toute seule, elle avait une grande envie de pleurer car elle avait peur du noir et des bruits étranges aux alentours. Ce n’était encore qu’une gamine donc des tas d’images de monstres apparaissaient dans son esprit. Elle rampa tel un serpent au sol puisqu’elle ne pouvait plus se lever. Elle percevait le bruit des cailloux qui déchiraient petit à petit ses vêtements mais le plus important était de se sauver. Il lui fallut dix minutes pour faire une distance de cinquante mètres. Mais au fur et à mesure qu’elle avançait, elle ne se rendit pas compte qu’elle approchait dangereusement des bords d’une falaise. A vrai dire, l’obscurité ne l’aidait et l’eau qui coulait en cascade ne faisait que peu de bruits. Le sol devenait plus glissant et c’est pour cela que la petite tomba de la falaise en poussant un hurlement d’horreur.

La mort l’avait-elle prit avec elle ? Non. Quand Yumi ouvrit les yeux, elle était couchée dans les bras de quelqu’un. C’était une femme ayant sans doute la trentaine. Elle donna du pain à la gamine pour qu’elle reprenne des forces et de l’eau. La dame lui expliqua qu’elle avait failli perdre la vie durant sa chute car elle s’était brusquement cognée la tête et que si elle n’était pas intervenue, elle en serait morte. Mais ce que Yumi ignorait était que par le passé, cette dame avait été séduite par le charme de celui-ci mais il l’avait abandonnée en emportant une bonne partie de son argent. C’était donc pour cela qu’elle avait sauvé l’enfant ; juste pour se venger de cet homme. Toutefois, quelque chose surprit la femme ; la fillette ne se souvenait de rien. Sans doute à cause de ce qu’il lui était arrivée. Quand elle lui demanda son prénom, la pauvre ne savait que répondre. Elle ne semblait plus savoir qui était sa famille…les seules choses qu’elle connaissait toujours était son âge, ses goûts et ses capacités à faire les choses. Cependant, il était possible que quelqu’un parvienne à lui faire rappeler son passé donc la trentenaire décida de lui jeter un Jutsu assez puissant pour qu’elle oublie ses six premières années définitivement. Sa vengeance envers le père de la petite était terminée. Néanmoins, elle était trop gentille pour la laisser toute seule donc elle envisagea de lui trouver une famille adoptive. La dame, qui avait une influence suffisante sur le village, prévit également de faire croire à tout le village que Yumi Kinochi et son frère étaient morts. De cette façon, personne ne croirait que cette fillette était un membre de cette famille. Peut être qu’ils feront le rapprochement physique mais sans plus. D’ailleurs, elle lui donna un nouveau prénom : Masako. Les jours passèrent et un père et une mère ne pouvant pas donner d’enfant (l’un d’eux était stérile) acceptèrent avec joie d’adopter ce bout de chou.

Ainsi, notre héroïne prit le nom de famille de ‘Soen’ et put reprendre une vie normale. Elle n’avait pas de frère et sœur mais vivait mieux ainsi. Comme la belle était fille unique, elle pouvait se permettre de se promener dans les rues d’Iwa tranquillement. Ce qui la différenciait de sa vie d’avant était les vêtements qu’elle portait ; le fait qu’elle en ait des normaux sans autres accessoires Pouvait éloigner les soupçons. Au début, il était plutôt dure pour elle de s’incruster un peu partout vu qu’elle ne se souvenait de rien. Elle décida même de s’inventer un passé car les garçons du village n’arrêtait pas de la réprouver à cause de son trou de mémoire. Elle mit deux jours à peaufiner quelque chose de crédible. Quelques semaines plus tard, elle put enfin entrer à l’école et rattraper son retard. Ce n’était pas bien facile car elle ne comprenait pas la moitié de ce qu’on lui apprenait mais elle tenta de devenir amie avec le premier de sa classe uniquement pour se faire aider. Il n’était pas beau, mais vraiment intelligent. En dehors de l’école, Masako ne pouvait s’empêcher de se moquer de lui et de médire dans son dos. Petit à petit, ses notes devinrent meilleures et elle était prête à tout pour battre son camarade. Hélas, ce fut impossible car il était beaucoup plus doué qu’elle. Et quand il apprit que l’amitié de la fillette n’était pas sincère, il entra dans une grande dépression, dégoûté d’avoir été mené en bateau de cette façon. Il décida de se rebeller contre elle mais comme il n’était pas beau, personne ne voulait être avec lui. La brunette quant à elle, continuait ses études comme ci de rien était en profitant quelques fois des occasions de se moquer des gens. Cela la faisait tellement rire qu’elle ne parvenait plus à s’arrêter. Au troisième trimestre, ses notes chutaient d’un point. C’était toujours comme cela chez elle ; au premier bulletin, sa note était très bien puis après elle retombait à une moyenne moins bien. Mais elle dut se forcer à se ressaisir car ses parents adoptifs ne supportaient pas de la voir ramener de mauvaises notes parce qu’ils disaient que son avenir serait tracé en fonction de son travail. Donc, elle était punie si elle ne bossait ou pas ou bien elle avait le droit à des fessées. Cependant, si elle faisait de son mieux, son petit porte-monnaie pouvait être remplie d’une petite somme suffisante pour une fille comme elle.

Les années passaient tranquillement dans la bonne humeur de la brunette qui était heureuse avec les Soen. Elle ne cherchait pas à comprendre son vrai passé car il ne semblait pas important à ses yeux. Ses parents biologiques… elle ne songeait même pas à les retrouver ou en savoir un peu plus sur eux. La dernière année à l’académie fut très importante pour elle parce qu’elle avait un examen à passer et durant des semaines, elle ne sortait que très rarement de chez elle. Sa mère lui mettait la pression comme quoi elle devait à tout prix réussir. Les parents de la petite étaient très gentils et attachants mais ils pouvaient se montrer agaçant en ce qui concerne les études. Le jour de l’examen, tout se passa plutôt bien et malgré que le stress avait failli tout gâcher ses démonstrations, Masako reçut son bandeau qui certifiait qu’elle était prête à devenir Genin. Les équipes de trois furent choisies et notre héroïne n’était pas satisfaite de ses camarades : il y’avait le garçon surdoué avec qui elle était amie avant et qu’elle avait abandonné. L’autre personne était une fille banale qui ne se faisait jamais remarquer. Au début, la brunette et son ancien ami ne cessèrent de se disputer, de se provoquer tout cela à cause d’une histoire ancienne. Ils n’arrivaient pas à travailler ensemble et l’autre fille ne parvenait pas à les calmer. Ces deux là en arrivaient même à se battre avec ce qu’ils savaient faire. Malheureusement, Masako avait sous-estimé son adversaire et s’était retrouvée propulsée sur un arbre sous le rire moqueur du gamin. Il disait que c’était bien fait pour elle et qu’il lui avait rendu la pareille de ce qu’elle lui avait fait. La fillette eut du mal à digérer cette défaite et devint colérique quand ce garçon était proche d’elle. Même le Juunin qui s’occupait de cette équipe n’avait pas réussi à les réconcilier. La petite Soen était surtout irritée d’avoir perdue contre ce laideron car elle voulait toujours gagner. Ce fut une honte pour elle quand elle raconta ce qu’il s’est passé à ses parents. Mais à sa plus grande surprise, elle ne s’était pas faite enguirlander. Ses parents étaient restés sereins et lui avaient expliqué que dans la vie, il n’y a pas que les victoires qui apportent l’expérience et la puissance. Bref, ils mirent une heure à lui faire la morale mais Masako n’était toujours pas prête à faire ses excuses auprès de son camarade. Elle voulait que ce soit lui qui fasse le premier pas. Evidemment, ce surdoué ne voyait pas pourquoi il devrait se faire pardonner étant donné que ce n’était pas lui qui a commencé à faire des histoires. Au fur et à mesure du temps, leurs relations se sont rapprochées un peu plus mais ils restaient toujours rivaux jusqu’à ce que ce garçon ne déserte le village avec sa famille pour des problèmes d’argent. Ce fut un grand soulagement pour notre héroïne toutefois, elle était un peu triste au fond d’elle-même.

Les années filaient rapidement entre entraînements, rigolades avec les amis, missions, fêtes etc. Il lui fallut du temps pour arriver à ce qu’elle espérait mais elle était parvenue à devenir plus forte et à monter les échelons jusqu’à maintenant.

Test Rp :

Aujourd’hui, l’ambiance de la plupart des rues d’Iwa était abasourdissante puisque un groupe de jeunes garçons facétieux ne cessait d’importuner les quartiers les plus abondants. Ils profitaient de cette journée au maximum car ils n’avaient pas d’école. Leurs parents n’avaient pas le temps de les surveiller c’est pour cela qu’ils les laissaient se promener dans le village sans se soucier des bévues qu’ils provoquaient. Ces jeunes gens n’avaient rien d’autre à faire dans ce monde soporifique ; ils enviaient les adultes qui pouvaient faire ce qu’ils désiraient quand ils le voulaient. Derrière ce troupeau de diablotins, une fille âgée de quatorze ans cherchait désespérément un moyen de traverser la rue sans se faire voir par ces mômes. Ils avaient le même âge qu’elle et si elle se faisait repérer, ils n’hésiteraient pas à l’arrêter et à lui poser des questions du genre : ‘Que fais-tu ici ?’ ou bien ‘Où vas-tu ?’. Quoi qu’elle dise, ils trouveraient un moyen de l’embêter durant des heures, l’empêchant de se rendre à destination. Masako n’aimait pas ce genre de personnes et elle n’était pas assez forte pour les battre en un coup. Non…elle n’était encore qu’une simple Genin. Et puis, en ce moment son humeur était morose bien qu’elle se demande pourquoi. C’était la première fois qu’elle avait perdu une personne pour toujours. Jamais elle n’avait ressentie cela. Elle trouvait même son comportement aberrant vu. Comment pouvait-elle être accablée par le chagrin pour une personne qu’elle abhorrait ? Depuis longtemps, elle l’avait exécré et elle n’avait pas cherché à faire la paix avec lui. En effet, la personne dont l’image était apparue dans son esprit n’était qu’autre qu’un garçon de son âge. Il était perspicace, bien élevé et pas très loquace mais il était crédule. Il croyait à tout ce qu’on lui disait et tombait souvent dans les pièges. Masako lui avait joué un mauvais tour par le passé en se créant une fausse amitié avec lui. C’est sans doute à partir de là que leurs relations se sont dégradées par la suite. Ce garçon pensait réellement s’être trouvée une vraie amie jusqu’à ce qu’il apprenne la vérité qui le sombra dans la turpitude. A cause d’elle, il en était tombé malade et avait manqué une bonne partie des cours. Sa vie n’avait sans doute jamais été allègre à l’école imputable à son physique peu avantageux. Aucune fille n’aurait été hébétée pour lui échanger un bécot. Durant des années, notre héroïne n’avait cessé de le persifler, de l’accabler de quolibets. Sa nature de fillette malicieuse et peste s’évanouissait difficilement. Il n’était point facile de ne pas se laisser aller dans les moqueries enfantines. Malheureusement, ces deux rivaux s’étaient retrouvés dans la même team, le jour où les équipes Genin ont été faites. Ce n’était qu’une simple coïncidence et pourtant, la jeune fille avait soupçonné que quelqu’un ait été dans le coup. Ils ont enchaîné disputes et conflits jusqu’à ce que le garçon ne parte définitivement du village d’Iwa. Quand il annonça son départ, Masako n’avait put s’empêcher de rire aux éclats ; enfin, elle serait débarrassée de ce morveux insignifiant et dédaigneux. Mais ce serait-elle doutée qu’il lui manquerait une semaine plus tard et qu’elle serait désappointée de son comportement ? Non, et pourtant c’est ce qu’il s’était passé. Les litiges et les petits affrontements…elle les regrettait.

La belle avait honte de ces remords et elle ne les avait partagé à personne car jusque maintenant, tout le monde pensait que ce n’était pas elle qui avait commencé cette guerre avec ce garçon. Non, elle était parvenue à faire croire à ses camarades de classe une version fausse des choses. Il était trop tard pour leur avouer la vérité et si tout le monde était au courant, sa réputation en subirait les conséquences. Elle se demandait même pourquoi elle était en pleine sollicitude pour cela. Il lui suffisait simplement de l’oublier, ce n’était pas bien compliqué. Un petit zéphyr fit voleter ses doux cheveux bruns dont les reflets éclataient sous le soleil. Aujourd’hui, il n’y avait pas des myriades de cumulus ce qui apportait un mirifique firmament bleu azur. Ce temps ne pouvait que satisfaire les villageois. La semaine dernière, la pluie ne s’était pas arrêtée de tomber au plus grand bonheur des jardiniers mais éventuellement au plus grand malheur des touristes. La Genin traversa une ruelle en veillant à ce que personne ne la suive ; elle voulait s’en aller toute seule, comme une grande. En main, elle tenait un petit paquet de bonbons qu’elle avait acheté ce matin. Même en ayant la frugalité, elle se permettait quelques fois de grignoter. Manger les plats de résistance et le dîner en famille n’était qu’une corvée pour elle ; Masako ne voulait que du chocolat, des bonbons et les gâteaux exquis de la boulangère du village. Cela coûtait moins cher que d’acheter les ingrédients nécessaires à des repas. De l’autre côté de la ruelle, deux chemins s’offrirent à elle ; un tournant à gauche et menant à une petite fontaine à l’eau cristalline et l’autre tout droit. La fille eut une prédilection pour le chemin droit qui lui permettrait de quitter rapidement le village pour quelques heures. Durant sa petite promenade, elle perçut deux personnes âgées qui marchaient lentement tout en controversant à voix basse. La brunette les salua mais ils ne semblaient pas l’avoir entendu. Elle tourna alors la tête, les yeux qui fulguraient sous la colère ; elle pensait qu’ils l’avaient fait exprès.

Ce n’était pas bien dur de sortir d’ici sous le nez des gardes qui passaient leur temps à boire et à halluciner. Quand on est aussi petite que notre héroïne, il suffisait juste de se dissimuler derrière les arbres et de se hâter de rejoindre un autre arbuste pendant que les deux Juunins regardent ailleurs. Si elle tenait tant à ne pas se faire voir, c’était parce les adultes ne laissaient pas facilement les jeunes sortir sans raison. Masako n’avait d’ailleurs pas de raison précise de sortir du village si ce n’est que humer l’air fraîche de la nature. Le parfum des fleurs qui en émanait était si délicieux à sentir. On se demandait qui s’était chargé de les entretenir. Il lui fallut cinq minutes pour parvenir à quitter Iwa car aujourd’hui, ce n’était pas les mêmes gardes que journellement. Ils étaient tenaces et observateurs. La shinobi crut même s’être faite repérée durant une fraction de seconde. A présent, la Soen pouvait s’aventurer où elle le voulait sans se faire arrêter. Toutes les deux minutes, elle vérifiait qu’il n’y avait personne aux alentours. Elle se demandait où elle pourrait bien aller. Aucune idée de destination ne lui venait en tête alors elle conclut qu’elle devait aller droit devant elle sans se soucier de ce qu’elle pourrait apercevoir. Quand elle n’était qu’une fillette de dix ans, elle craignait les monstres et les bêtes affreuses que l’on pouvait trouver ici mais maintenant qu’elle entrait en période d’adolescence, peu de choses l’effrayaient. Elle avait beau avoir quatorze ans, certaines personnes l’ont toujours considéré comme une gamine et cela l’énervait. Le pire était sans doute le comportement assez protecteur de ses parents ; ils avaient beau ne pas être ses vrais parents, ils se comportaient comme tel. Au moins, Masako est aimée mais elle n’apprécie pas vraiment qu’ils soient dans son dos constamment. Une petite forêt se dressait devant et la fille aux cheveux bruns s’empressa d’y pénétrer. Pendant qu’elle marchait paisiblement, sa main sortit un bonbon orangé de sa poche et le leva en direction du soleil. Elle tentait de faire de ce bonbon, le noyau du soleil avant de le laisser tomber dans sa bouche et de le croquer. Son estomac gargouilla ; elle avait faim mais elle s’était dite qu’elle ne devrait pas manger le sachet en entier avant une bonne heure.

Enfin, le chemin qu’elle empruntait se séparait en quatre et l’un d’eux menait à un coin dégagé et ensoleillé. C’est cette route que prit donc notre Genin adorée. Arrivée au bout de cette forêt, ses yeux s’écarquillèrent ; qui se serait attendu à apercevoir un magnifique et incommensurable champ derrière une forêt comme celle-ci ? Interloquée, la jeune fille s’avança lentement comme ci elle craignait que tout cela ne soit que le fruit de son imagination. En temps normal, elle n’hallucinait pas mais cette vue splendide lui semblait irréelle. Comment se faisait-il qu’en quatorze ans, elle n’ait jamais posé le pied ici alors que ses parents l’emmenaient souvent vadrouiller à l’extérieur d’Iwa ? Ce champ était empli de blés, d’orge et de coquelicots. Toute cette nature paraissait vivante grâce aux petites brises qui passaient par-ci, par-là. Les coquelicots chatouillaient les chevilles de la brunette quand elle se déplaçait. Le lieu était si démesuré qu’elle eut une soudaine envie de courir à toute vitesse en plein milieu du champ. Elle reprit un bonbon, cette fois de couleur bleu avant de prendre une course folle. Celle-ci adorait la sensation d’être frôlée par des alizés qui soufflaient d’Est en Ouest. Dès que la forêt n’était presque plus dans son champ de vision, Masako freina son allure avant de s’asseoir par terre. Elle se sentait tellement bien ici et si elle le pouvait, elle construirait une cabane pour s’y réfugier lorsque l’ennui la gagne. Quelques nuages blancs s’étaient installés mais ils n’étaient pas assez proches du soleil pour cacher toute cette lumière qui réchauffait la peau de la shinobi. Elle avait besoin de bronzer mais elle n’aimait pas avoir le teint mâte. Même si les garçons ne sont pas attirés par des filles trop pâlottes, cela lui était égal. D’ailleurs, tous les mâles de son village se montraient impudents et horripilants en permanence, que ce soit à l’école ou dans les rues. Lentement, Masako se laissa tomber contre le sol dont l’odeur de l’herbe ne pouvait que l’aider à se sentir bien. Ses mains étaient délicatement posées sur sa poitrine La dernière chose que ses yeux scrutaient encore étaient ces nuages blancs en formes de tortue et ce ciel remarquable. Les rayons de soleil accentuaient encore plus la blancheur de son petit et fragile visage. On aurait dit une poupée de porcelaine. Les yeux bruns aux légers reflets jaunes de la gamine se refermaient doucement et la belle ne voyait plus le radieux paysage de ce champ. Elle ne percevait que du noir avec d’excentriques tâches rouges dues à la luminosité intense du soleil qui étaient restées gravées dans ses yeux. La Genin eut une soudaine envie de dormir pour un petit moment car galoper à toute allure n’était pas une action qui ne dépensait que peu d’énergie. Elle reprit un bonbon et prit le temps de le faire fondre dans la bouche.

Les tâches rouges qu’elle percevait les yeux fermés viraient à une teinte violette puis bleu marine. Il ne lui fallut pas plus de cinq minutes pour quitter le monde réel et accéder aux pays des songes. Il est tellement étrange que ce pays soit beaucoup plus flou que la réalité et aussi mystérieux. Même la plupart des rêves peuvent être inexplicables, incompréhensibles et pourtant, ils occupent une grande place dans la vie quotidienne. On peut passer d’un rêve à un cauchemar, l’inverse ou tout simplement ne pas cauchemarder. Masako venait à présent d’entrer dans ce monde extraordinaire. Elle était dans son propre univers où personne ne pourrait entrer. Tout commença avec sa propre apparition sur un pont en acier. Autour d’elle, il n’y avait rien si ce n’est que du noir, du vide. Aux extrémités, deux portes empêchaient la petite de sortir de ce pont. Comment allait-elle faire pour s’en sortir ? L’angoisse et l’effroi l’envahissaient progressivement tellement qu’elle ne se sentait pas rassurée. Ses membres étaient paralysés par cette peur de ce néant. Pourtant, le pont était visible nettement alors qu’il aurait dû être caché dans l’ombre. Son instinct la força à sauter de ce pont mais elle hésitait, se demandant où elle allait atterrir. Subitement, un bruit sonore de casseroles la fit sursauter et une force invisible la poussa hors de ce viaduc. La petite ouvrit la bouche pour laisser échapper son hurlement le plus perçant mais aucun son n’en sortait. La chute semblait être sans fin. La brunette sentait de grandes bouffées d’air pénétrer dans ses poumons et sa chevelure presque bouclée volait sous la pression. Elle avait beau ouvrir grand les yeux, elle n’apercevait aucun sol qui lui indiquait qu’elle n’allait pas tarder à atterrir. Il lui semblait que cela faisait dix minutes qu’elle tombait et pourtant, cela ne faisait qu’une minute. Enfin, le vide d’en dessous d’elle s’ouvrait lentement en laissant place à une lumière aveuglante. Masako fermait les yeux afin de ne pas avoir mal au crâne.

Puis, pour une raison inconnue, sa chute se faisait lentement comme si qu’une personne voulait ralentir le temps. Lorsqu’elle tomba dans la puissante lumière, la belle ouvrit les yeux et ouvrit la bouche en formant un grand ‘O’. Elle se trouvait dans une grande pièce où une trentaine de personnes jouaient aux cartes. Ils devaient être âgés de trente à cinquante ans et ils ignoraient la présence de la petite. On aurait dit qu’elle n’existait pas, ou bien qu’elle n’était qu’un fantôme. La jeune fille ignorait si elle devait aller leur parler ou pas ; il se pouvait qu’ils la chassent de ce lieu. Le plafond beige était joliment décoré de six lustres ornés de cristaux qui éclairaient chaque table de six personnes. Une tapisserie verte feuille embellissaient les murs. On se demandait à quoi servait les lustres et lampes ouvertes vu que les fenêtres laissaient passer l’éclairage du soleil. L’adolescente se mit à trembler ; elle ne connaissait personne et avait peur de se faire remarquer. Peut être qu’ils n’aimaient pas les filles comme elle ? Étaient-ils méchants ou bien malveillants ? Son regard s’arrêta sur un homme d’une quarantaine d’année qui possédait une grande moustache soigneusement bien faite. Les yeux noirs de cet inconnu s’étaient posés sur ceux de notre héroïne qui s’immobilisa, tétanisée. Elle n’avait même pas remarqué qu’elle venait de poser la main gauche sur une table, à proximité d’un vieillard qui buvait de l’alcool. Le regard noir de l’homme changea de direction ce qui eut conséquence de libérer la petite de sa terreur. Celle-ci prit son temps pour se rapprocher d’une des fenêtres en veillant à ce que personne ne l’aperçoive. Dehors, il n’y avait rien d’autre qu’une mer. Le bleu turquoise de son eau pouvait attirer tous les regards mais seule la brunette avait l’air de s’y intéresser. Elle en conclut que cette mer n’en était pas vraiment une vu que la profondeur de l’eau n’était pas grande…sûrement deux mètres sans plus.

Alors qu’elle se penchait de plus en plus pour observer les cailloux de différentes couleurs qu’elle voyait, elle ne sentit pas la main de quelqu’un se poser sur son épaule. Cette même main la poussa en avant ce qui eut effet de faire tomber notre jeune amie dans l’eau. Mais pourquoi ne cessait-elle de tomber ? La pauvre remonta à la surface puis recracha en toussant fort la tasse d’eau qu’elle avait bu. Avec aversion, elle regardait la personne qui l’avait poussée ; il lui tournait le dos et fumait une pipe. La brune jura dans sa tête et espéra qu’il mourrait le plus vite possible. Toutefois, elle n’eut pas le temps de continuer ses clabauderies : le bâtiment où elle était située toute à l’heure n’était pas une habitation. En effet, il s’agissait d’un bateau qui avançait assez lentement. Lorsque Masako tenta de s’agripper à la fenêtre, ce même bateau accéléra la cadence pour échapper aux mains de l’adolescente. Sa vitesse produisit de grandes vagues d’eau qui inondèrent brusquement la fille. Encore une fois, notre héroïne but des tasses et toussait tout ce qu’elle avait dans les poumons. A force, cela lui faisait mal donc elle s’arrêta cependant, il restait toujours des traces d’eau salée dans son organisme. Elle nagea quelques mètres pour essayer de rattraper le navire mais elle savait au fond d’elle que c’était impossible car le rythme de l’engin était bien trop élevé. Affolée du fait qu’elle se retrouvait désormais toute seule dans cette grande étendue d’eau, elle tournait la tête de droite à gauche à la recherche d’une terre ou bien d’une île qui lui servirait de refuge. Hélas, il n’y avait rien…juste de l’eau. La Genin se sentit soudain attirée par le fond de cette mer. Ses pieds bougeaient tout seul et l’incitait à descendre au fond. Bien sur, elle pensait qu’elle allait mourir noyée vu qu’elle n’est pas un poisson. Elle ignorait aussi qu’elle n’était que dans un rêve et qu’elle finirait pas se réveiller. Dans tous les cas, elle ne périrait pas. Car il faut l’avouer ; il est difficile de mourir durant un songe. Avant d’être complètement sous l’eau, la jolie fermait les yeux pour éviter d’observer ce qui va suivre. Elle était effrayée de ce qui pourrait se trouver sous l’eau. Un monstre aquatique, peut être ? Ou bien des piranhas ? Tout était possible. Elle espérait du fond du cœur qu’elle parviendrait à s’en sortir vivante et si possible, indemne. Quand elle ouvrit les yeux, les cailloux qu’elle avait perçu tout à l’heure avait disparut et avait laissé place à des fleurs.

Des roses rouges plus exactement. La brunette se posait plusieurs questions à propos de l’apparition de ces végétaux. Ce monde biscornu pouvait donc être en liesse quand il le voulait. Mystérieusement, elle parvenait à respirer sous cette eau et elle se dirigeait vers l’une de ces fleurs pour en cueillir. Elle ne pensait pas que c’était un piège et de toute façon, elle était déjà tombée dans le leurre de ce vieux déchet. Son visage était maintenant à vingt centimètre d’une rose. Celle-ci ne contenait aucune épine sur sa tige ce qui était une occasion parfaite de l’arracher du sol sableux. D’ailleurs, il était assez déroutant que des roses puissent pousser dans ce genre de milieu. La main droite de l’adolescente s’avança vers le végétal et l’arracha sèchement. On ne sait comment l’odeur de celle-ci se faisait sentir par les narines de Masako. Normalement, on ne sentait rien sous l’eau…Mais encore une fois, les rêves sont très insolites. Quand la Genin voulut coller la fleur à son nez, celle-ci s’agrandit jusqu’à prendre la même taille qu’un palmier. Ses énormes pétales d’un rouge éclatant renfermaient la fillette qui se retrouva à nouveau dans le noir totale. Encore un piège ? Sans doute. Pourtant, ce fut la seule façon de la réveiller de ce songe. Effectivement, c’est dans un petit sursaut que la jeune fille se leva brusquement du sol pour se retrouver en position assise. Des gouttes de sueurs perlaient son visage pâle d’enfant et ses mains moites serraient le paquet de bonbon. Le regard de la shinobi tomba sur ce paquet et elle ne put s’empêcher d’avaler deux bonbons à la fois. Elle eut du mal à croire qu’elle venait de rêver même si l’image de ce monde marin était beaucoup plus floue que le paysage d’un champ rempli de coquelicots et d’orges. Depuis combien de temps sommeillait-elle ici ? La question demeura inextricable. En tout cas, c’est en regardant le soleil que l’on peut estimer de l’heure qu’il était et celui-ci était beaucoup plus proche de l’Ouest que de l’Est.

Question à répondre qui prouve que vous avez lu le règlement* :

- Quel est la différence entre le grade et le rang en puissance d'un membre ?

Le grade permet d'obtenir des avantages dans le monde des Shinobis en fonction de son niveau. Plus le niveau du grade est élevé, plus on inspire le respect des grades inférieurs. Cela permet également d'effectuer des missions de plus hauts niveaux et le droit d'aller de villages en villages sans être accompagnés par un grade supérieur. Pour terminer, les grades les plus élevés permettent d'obtenir des responsabilités plus importantes comme celui de Sensei ou bien de bras droit par exemple.

Le rang signifie la puissance du Ninja. C'est à dire que plus ce rang est élevé, plus le Ninja aura droit à de techniques puissantes et plus de techniques qu'un rang bas. Le rang donne une certaine estimation de la force de ses jutsus. Ainsi, un rang A aura forcément le dessus s'il se bat contre un rang E ou D.

- Comment passe-t-on d'un rang à a un rang suivant, par exemple de rang E à rang D ?

Le secret de l'augmentation du rang E à D est : Les points NNR.

C'est grâce à cela que l'on peut se permettre de monter en grade. Pour les gagner, rien de plus simple que de Rp, effectuer des entraînements et missions. La qualité et la longueur de ceux-ci font varier les points obtenus à la fin du topic.

- Comment fais-t-on pour faire sa fiche justu ?

Si l'on décide de faire sa fiche Jutsu avant de Rp, nous devons la créer à partir des points NNR attribués lors de la validation de notre présentation. Si nous voulons la modifier pour y ajouter une technique par exemple, il faudra accumuler les points nécessaires en faisant des sujets de Rp.


Dernière édition par Masako Soen le Mer 25 Aoû 2010 - 11:05, édité 1 fois
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Repost de ma présentation << Repost de ma présentation << Icon_minitimeSam 21 Aoû 2010 - 22:19

Donc, Juunin de rang A. Tu peux aller faire ta Fiche jutsu, si personne n'a rien d'autre a ajouter.
Hunk Moroshi
~ Chef Anbu de Kumo ~
Hunk Moroshi~ Chef Anbu de Kumo ~
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MessageSujet: Re: Repost de ma présentation << Repost de ma présentation << Icon_minitimeSam 24 Sep 2011 - 13:21

Bonjour/Bonsoir.

|- Direction corbeille.

Hunk.
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MessageSujet: Re: Repost de ma présentation << Repost de ma présentation << Icon_minitime


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