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Tu souhaites incarner un ninja et le faire évoluer au sein de différentes missions, quêtes et autre afin de le modeler selon ton unique choix ?
Alors n'hésites pas à nous rejoindre, plusieurs villages t'attendent afin de livrer bataille ! L'esprit de loyauté t'attire, et tu souhaites appartenir à un village caché ? Ou bien la voie de la débauche et du crime te séduit plus que tout ? Dans tous les cas, tu es le seul maître de tes actions ici, et tes actes, qu'ils soient bons ou mauvais, auront une influence sur le Monde tout entier !

Tu pourras ainsi rentrer dans la famille NNr' et découvrir la folie des membres sur le forum ! ^^

A bientôt.

L'équipe du Staff.
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Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné.

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MessageSujet: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Icon_minitimeDim 26 Sep 2010 - 20:53

La folie humaine ne possède aucune limite… Folie, un mot qui résonne comme une épée à double tranchant, un bouclier d’usure et de sang qui transforme l’être le plus délicat et pur, le plus intelligent et calme en monstre ignare et craint de tous, un esprit rejeté et impur et corrompu par sa propre désillusion. Le cœur de l’homme n’est que tromperie, désillusion et innocence camouflée derrière un rideau de mauvaises intentions, toute chose que l’homme peut ressentir en s’extirpant de ses propres songes n’est que la folie de son existence la plus brute qui soit, une vie damnée et condamnée à l’errance dans les limbes de son insouciance la plus stupide et inconsciente qui soit, une forme d’existence qui ne peut qu’engendrer la répulsion de sois même, se renier afin de ne plus jamais pouvoir ressortir des mares putrides des ténèbres qui bouillonnent paresseusement au fond de nos êtres. Démon aux multiples visages, le mal qui sévit dans nos cœurs et nos esprits est comme un monstre insondable, immense et terrifiant, une hydre infernale hurlante et malveillante dont les ténèbres qui exhalent de ses écailles grisâtres ne sont que les reflets des pensées ironiquement destructrice que le genre humain peut prétendre porter en lui que ce soit pour sa quête de lumière ou son intérêt le plus souillé, une hydre d’une puissance inimaginable pour le commun des mortels, un monstre d’une telle force que le combattre ne serait plus du courage, mais du suicide, tenter de combattre ses propres ténèbres et ceux de l’humanité, c’est donc affronter ce qui est mouvant, indestructible, une bête hideuse aux multiples visages qui dès qu’elle voit une de ses têtes vaincus par l’esprit humain et la volonté elle-même, en voit une autre repousser, plus hideuse, puissante et maléfique encore que la précédente. Savoir reconnaître ses propres douleurs, parvenir à combattre ou du moins réussir à repousser le plus possible ses propres vomissures incestueuses et malfaisante, c’était parvenir en partie à tenir tête à cette redoutable créature qui siégeait en chacun de nous, alimentant nos rêves, espoirs, mais aussi terreur, haine et malfaisance.

La guerre est une de ces nombreuses folies qui caractérisent les pensées de l’homme, se battre encore et toujours pour assouvir un idéal personnel, cupidité et mauvaise pensée, destruction gratuite qui n’engendre que douleur et colère, tragédie malfaisante et hurlement déchirant les cœurs de la volupté cireuse de la mort elle-même. Les pensées nauséabondes de la déchéance la plus pure persiste encore et toujours, faisant trembler le fondement même de nos esprits et cœur, nous faisant nous enfoncer plus profondément dans les abysses de la décadence, les démons infernaux et hurlant et réclamant que vienne le sang de notre folie entre leurs gueules déments. Perdu dans sa déchéance, l’homme prit alors encore et toujours pour déchirer le voile de sa cupidité et de transcender son existence même afin de pouvoir voler dans le ciel et de pouvoir alors comprendre jusqu’où son désire réel peut aller, jusqu'à même déchirer le ciel en lui-même pour le percer et en faire pleuvoir ses richesses depuis trop longtemps perdus. Nous avançons encore et toujours en foulant les corps de nos ancêtres de nos pieds et de tout ceux qui dans la quête d’ne absurde folie sont morts en quête d’une chose qu’ils ne pouvaient espérer pourtant en tout logique obtenir, sombrant encore et toujours plus profondément dans le cratère de leur ambition, déchirant encore plus leurs cœurs et âmes, hurlant et maudissant leur condition exécrable. Ils se lancent toujours dans des quêtes absurdes, espérant pouvoir saisir d’une main frivole et gantelée les larmes enflammées du soleil afin de s’en repaître et de briller eux aussi tels des astres sacrés, mais la seule chose qu’ils parvenaient à faire étaient de se brûler leurs ailes de cire et de s’échouer lamentable sur les pans d’une falaise isolée… C’était le cas de la folie humaine lors de ces guerres absurdes qui déchiraient les terres et continents, gagnant ou perdant, tous y perdaient une part de leur cœur.

Mais grandeur et désir frivole sont les armes du maître conquérant, de celui qui s’amuse à défier les idéaux et les esprits pour s’assurer une place de choix dans la hiérarchie sacrée. Je faisais partis de ce genre de personnes qui avaient choisis de défier les dieux afin de les détrôner de leur place monarchique usurpée, voulant çà tout prix brisé les chaînes de leur vorace cupidité, folie noire et ténébreuse qui ne parvenait qu’à amener le monde au bord du gouffre, enchainement de conflits et de tragédies sans nom… Mais moi l’élu qu’ils avaient agressé dans leurs jeux stupides allait probablement un jour devenir lame de l’épée qui viendrait les déchirer et leur faire comprendre le sens du mot souffrir, de la douleur elle-même. Eux confortablement assis dans leurs trônes d’or et d’argent n’avaient qu’une chose à faire de leur longue et insipide existence, celle de miroiter le monde qu’ils avaient créé et afin de noyer leur coupable ennuis, celui de s’amuser à défier le cours des évènements et jouant avec le destin et sentiments de ceux qu’ils avaient au début de leur longue et pénible existence promit de chérir et protéger.

Une nouvelle bataille venait de commencer, je laissais ainsi pénétrer deux de ces êtres singuliers, des êtres aussi étranges et potentiellement dangereux que moi, pénétrer dans ce village, sous le couvert de vulgaires marchands ayant des réclamations à porter au Raikage sur le taux d’échanges imposés par la politique marchande du village sur les produits de valeurs et les objets confectionnés à partir de matières précieuses tels l’or, l’argent, les diamants, les saphirs, émeraudes et autres rubis… L’un des deux, Kisame Hoshigaki, une créature forte étrange, une véritable erreur de la nature possédant un visage affable, raide d’un bleu criard tel la peau éclatante des créatures marines, une peau à l’apparence écailleuse, semblant ressembler à un requin humanoïde coiffé d’une perruque bleu azure, un animal aquatique que l’on aurait grossièrement humanisé et déguisé pitoyablement en une esquisse humaine, voila ce qu’était cet homme, cet animal, ou cet hybride, peu importait réellement. Il dégageait toutefois une certaine carrure qui couplée à son apparence étonnamment hideuse, ne pouvait que susciter dégouts, répulsion et horreur envers ses potentiels adversaires, des proies qu’il allait probablement déchiqueter goulument de ses crocs acérés. Quant à l’autre, frêle d’apparence, une jeune femme aux airs doucereux et à la parure capillaire flamboyante, comme si la rougeur des flammes y avait été enfermés pour y resplendir quand ceux-ci dansaient reflétant les larmes de chaleur du soleil ardent. Toutefois, elle dégageait une aura de folie douce, pure même, quelque chose de peu rassurant dont je m’en fichais tout aussi royalement. Ils venaient de passer, j’allais devoir entrer en action…

Traversant le village à toute allure après avoir laissé un autre ninja prendre ma relève, je me dirigeais vers ma demeure actuelle, petite baraque perdue dans un des quartiers riches du village, y pénétrant par la fenêtre après une course endiablée dans les rues bondés, pour venir y déposer ma tenue actuelle et en adopter une de circonstance… Je sortais un large kimono noir cousu de fils d’or éclatant, un kimono toutefois fort étrange car le buste n’était pas du tissus, mais une espèce de plaque d’acier légère reliée à la tenue, offrant ainsi une protection au niveau de la poitrine. Toutefois, cette plaque ne jurait pas du tout avec le la toile noire du tissu, lui donnant un aspect militaire noble. Puis, rapidement mais avec précaution, j’enroulais autour de mon visage et de mes bras des bandages afin de les camoufler totalement, ne laissant que les mains dépasser des bandages, ainsi qu’une ouverture pour ma bouche, le bout de mes narines, et mes yeux. A noter que par un habile procédé, mes cheveux n’étaient nullement touchés par les bandages qui tenaient au visage via des bandes collantes à leurs extrémités. Quant à mes cheveux, je les attachais en une longue queue de cheval, coiffure que je n’avais jamais adoptée encore en ce village. Et enfin, j’attachais un masque par-dessus mon visage couvert de bandages…
J’étais enfin prêt… Je venais de réussir ceci avec une vitesse folle, les deux intrus n’étant probablement pas encore arrivés à destination.

Reprenant ma course dans le village en ayant au passage bien pris attention de ne point être repéré en sortant du bâtiment, je sautais de toit en toit pour finalement arriver devant la tour du kage au moment où le juunin corrompu venait de les laisser entrer. Mon tour d’agir était venu, me jetant sur lui après l’avoir au préalable assommé, je me tenais devant les portes du batiment, prêt à endécoudre avec la piétaille ninja du village afin de laisser les exécuteurs se charger du jinchuuriki.




HRP : Aucun ninja de Kumo ne peut me reconnaître, étant déguisé, seul Ayako et Kisame pouvant savoir que c'est moi. A noter que n'ayant jamais vu mes techniques en rp, vous ne pourrez pas me démasquer en les voyant ici.


Dernière édition par Setsuri Hazu le Dim 26 Sep 2010 - 21:48, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Icon_minitimeLun 27 Sep 2010 - 16:01

La rivière coulait lentement entre les montagnes, au bord de celle-çi, on pouvait apercevoir la silhouette d'un ninja, il était assis sur un rocher, son épée massive plantée dans le sol comme les dents d'un tigre planté dans sa proie. Le ninja regardait la rivière couler lentement, quelques poissons effectuaient un léger saut hors de celle-çi pour se nourrir. Yamamoto se leva lentement, le soleil était au plus haut dans le ciel, ses rayons reflétaient sur l'eau avec splendeur. Takeshi Yamamoto s'étirait légèrement avant de s'emparer de son épée planté dans le sol caillouteux, son poids était important mais cela ne semblait pas gêner le shinobi qui s'empara de celle-çi comme d'un vulgaire bâton, ses bras musclés lui permettaient une tel prouesse.

Il était temps de rentrer au village, de ca pas il se mit en route vers Kumo No Kuni, montant les marches qui menaient vers les portes de Kumo, son épée désormais bien rangé dans son dos. Arrivé devant les portes Yamamoto aperçus un kunaï planté dans la roche, puis un shuriken, soudain il vit le corps d'un ninja de Kumo No Kuni transpercer par de multiples projectiles, puis plus loin un autre, puis un autre ! Que c'était-il passé ! Un moment d'affolement vint secouer le shinobi de Kumo, en quelques secondes il changea complètement d'attitude ! Il était beaucoup plus concentré; sur ceux il partit à vitesse folle en direction du bureau du Raikage ! Si des ninja étaient entré dans Kumo il devait déjà être d'un bon niveau car il avait tué tout les gardes ! Puis deuxièmement il devait surement en avoir après notre maître ! Sautant de toit en toit à une vitesse folle, le suspens était intenable.

Yamamoto venait d'arriver devant le temple du Raikage, là devant la porte se tenait un homme étrange, il portait une tunique noir avec des rayures or et un masque bizarre, ces cheveux était en queue de cheval, il se tenait à l'entré laissant dégager un orra meurtrier. Yamamoto s'avançait lentement vers le shinobi ai visage caché, à environ 5 mètres de ce mystérieux personnages la main gauche de Yamamoto se leva pour aller empoigner avec force et poigne, il sortit l'épée de son fourreau avec délicatesse et posa la lame contre le sol et s'accouda dessus, et tout en regardant le ninja bizarre il lui lança un regard vengeur et exclama :

- Laisse moi passer sinon je vais rapidement passer sur ton corps mutilé ! -
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MessageSujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Icon_minitimeMer 29 Sep 2010 - 15:15

C'était un matin ensoleillé.Notre jeune chunin Gargonith Manjome ce leva d'une humeur fracassante mais qui hélas ne tenait qu'à un fil.Ils sortit de sa maisonnette bien décidé a avoir une nouvelle mission il décida donc d'aller stimuler son raikage.

J'alla en courant au temple du raikage.J'avais un mauvais préssentiment.La nuit avait été agité je le savais bien.Peut-être même y avait-il eu des morts...

Je courus sans regarder autour de moi et m'apprêta à ouvrir la porte du temple.Quand je fus repoussé par une force qui n'avait point l'air amical.

Je me releva et vis un junin de kumo que je connaissais à peu prêt...Je savais qu'il était aussi puissant que mon sensei peut-être même plus ce qui me parraissait surprenant.

En face de lui un ninja camouflé dont je ne connaissais le village.

-C'est donc toi qui m'a repoussé?Qui es-tu?

Il ne me répondit pas.Je sentais qu'un combat avait lieu entre le kage et quelqu'un d'autre car le chakra de Killer-bee ce faisait ressentir.

Ainsi donc une bataille allait s'engager.Qui pouvait bien attaquer kumo...Si il s'agissait d'un village énemi ils seraient venu à plus nombreux.

Une pensée me traversa soudain l'esprit."AKATSUKI"

On m'avait mit en garde quand j'étais passé chunin.Ils veulent le Hachibi qui ce trouve dans le corp de notre kage.

Quoi qu'il en soit il ne sera pas facil pour eux de vaincre Killer-bee.

Je dois me battre.

-Yamamoto senpai...Je couvre vos arrières vous pouvez y aller!

Dis-je en sortant mon sabre et deux kunais.kunai dans la main gauche l'autre dans la bouche et le sabre dans la main droite.

C'EST PARTIT!


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MessageSujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Icon_minitimeMer 6 Oct 2010 - 12:50

Vraiment! Quel temps pourris. Ce matin un soleil fou renvoyait sa chaleur sur tout le village de Kumo. Une chaleur à rendre fou, et a cuire n'importe quoi. Miyako se leva péniblement de son lit. Sa chambre était sombre, comme d'habitude. Il n'y avait aucun bruit dans la demeure principale. Même pas un bruit provenant des cuisines. Miyako se leva et s'habilla de sa tenue traditionnelle, donc pas la tenue que porte normalement un chuunin. Puis elle attacha son bandeau à son bras droit et prit la porte.

Au début tout semblait calme, si calme. Trop calme. Le bonheur pour cette demoiselle. Mais c'était quand même suspect. Personnes dans les rues, les commerçants semblait avoir fermé leur boutique pour raison inconnue. Miyako avança tranquillement dans les rues désertes de Kumo lorsqu'une vision vint la frapper. Vision ou bien réalité?

Là un ninja à terre couvert de blessure. Comment? Pourquoi? Miyako aurais voulue le soigner mais quand elle vit la rue remplis de ninja dans le même cas, elle comprit que cela ne servirait à rien.

Mais? Qui a bien put faire cela? Et puis où sont-ils? Et surtout dans quel but auraient-ils attaqué Kumo?


*Ah! Le Raikage!*

Miyako senti le chakra de cet homme et aussi d'un personnage. Monstrueux. Un tel chakra! Même Miyakon'en était pourvue. Elle se dirigea alors vers la tour du Raikage lorsqu'elle vue trois personnes. Elle reconnue les deux premier qui lui tourné le dos: Gargonith Manjome, tout comme Miyako c'est un chuunin, et à ces côté se tenait Yamamoto Takeshi, un juunin. Il avait planté son épée dans le sol et prit une posture "cool" pour intimider leur adversaire. D'ailleurs qui était-il?

Miyako se rapprocha pour venir aux côtés des deux hommes. Elle le vit. Cette personne affublé d'une façon grotesque et portant un masque. Ces cheveux furent réunie une queue de cheval.

Pourquoi cacher son visage? Quel était le but de cette manœuvre? Tant de questions sans réponses possible torturait l'esprit aux aguets de Miyako. Etaient-ils que tous les deux, en parlant de l'homme combattant le Raikage, ou bien y avait-il d'autre ninja dans le coup?

Elle remarqua par la suite la position de Manjome. Kunais et son sabre en main. Il était sur le point de se battre:


Miyako: "Attends. N'engage pas le combat! C'est peut être un piège. Il y a surement d'autres ninjas caché dans les environs, prêt à intervenir dés que nous aurons épuisé la moitié de notre chakra."

Miyako observa le terrain de la futur bataille. La tour du Raikage n'était pas propice à un tel combat mais il allait falloir faire avec. Surtout si d'autres ninjas se tapissaient dans l'ombre, attendant le bon moment pour intervenir.


Miyako: "Par contre, une question me turlupine à laquelle vous pourrez surement me répondre: pourquoi attaquent-ils le village?"

Miyako ne c'était jamais soucié de savoir qui commandé le village et donc elle n'était pas vraiment au courant que son Raikage soit un Jinchuurikis.
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MessageSujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Icon_minitimeMer 6 Oct 2010 - 14:05

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Dernière édition par Manji Uzumaki le Mer 6 Oct 2010 - 15:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Icon_minitimeMer 6 Oct 2010 - 14:15

Manji avait mal dormis cette nuit là, le soleil flamboyant lançait ces rayons brûlants sur les montagnes de Kumo, et en quelques instants il avait fait monté la températures sur les rues silencieuses du village shinobi. Le jeune Génin avait fais d’horrible cauchemars revoyant la mort de son père adoptif, la chaleur l’avait extirpée de ces démons, et de ces mauvais rêves. Lorsqu’il se leva, il était en sueur, et les gouttes de transpiration perlées sur son front. Il quitta ses draps mouillés, ouvrit la fenêtre de sa chambre, et alla se passer de l’eau sur le visage. Il alluma sa cafetière et se dirigea sur son balcon, personne dans les rues, les magasins étaient fermés, et même le chat qui avait l’habitude de venir dorer son dos a ses pieds était absent, Pourquoi ? Que se passait-il aujourd’hui de bien différent que les autres jours ?

Le jeune Uzumaki sorti une cigarette, la porta à sa bouche et l’alluma. Il inhala la fumée, et continua d’observer la rue du haut de son balcon, derrière lui l’eau chantée dans la cafetière et une odeur de café emplissait à présent la maison du génin. Il balaya la rue minutieusement lorsque son regard tomba sur le corps inerte d’un chunin à l’intersection d’une ruelle. Manji sans plus tarder, sauta du balcon et ce dirigea hâtivement vers le ninja au sol. Lorsqu’il arriva prêt de celui-ci il remarqua de nombreuses blessures, il s’accroupit à la tête du chunnin blessé, essayant de comprendre ce qui pouvait bien l’avoir mis dans cet état. Le corps inerte s’anima alors, il ouvrit les yeux, et eux seulement le temps de dire :

- Raikage.... En danger.... Il faut le protéger...

Puis referma les yeux et ne bougea plus. Manji eut soudain la certitude que ce silence, n’était pas de bon augure, il ce releva, retourna chez lui en courant, pris ses kunais, ces shuriken, mis son bandeau au couleurs de Kumo, et sans même avoir eu le temps de prendre son café, il était déjà sur les toits du village cachée et ce dirigeait à grand pas vers la tour où siégeait le chef, et le plus puissant ninja du village le Raikage.

- Qu’est ce qui se passe ? Putain...

Lorsqu’il arriva au porte de la tour, il vit un attroupement de ninja de Kumo, prêt à croiser le fer, il reconnut 2 chunins qu’il avait croisait peu de jours auparavant dans les couloirs de l’académie, alors qu’il revenait d’une mission de routine de Rang E, le troisième était un junin, qui avait un long cimeterre, Manji en avait entendu parler, mais ne l’avait jamais vue. En face d’eux un quatrième personnage, masqué, les cheveux en queue de cheval, qui libèrait une aura monstrueuse, le shinobi au cheveux rouge n’en avait jamais vue de semblable. La menace devait venir de celui-ci. Il quitta son perchoir et sorti son kunaï, son niveau était trop faible pour ce mesurer à l’inconnue, mais s’il devait mourir aujourd’hui au moins il allait mourir dignement.


Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Z_los19


- Que ce passe t-il ici ? Qui êtes vous ?

La mort était une partie importante de la vie d’un ninja, le ciel était clair, le soleil était large et chaud, c’était une belle journée pour mourir. Il reprit une cigarette et l'alluma.


Dernière édition par Manji Uzumaki le Mer 6 Oct 2010 - 15:58, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Icon_minitimeMer 6 Oct 2010 - 15:35

Assise sur le rebord d'un toit, elle portait un regard vaguement intéressé sur les arbres et la rocaille qui s'étendaient hors du village. Alors que d'habitude la pluie semblait une constante, aujourd'hui la montagne était inondée de soleil, et elle pesait le pour et le contre: pouvait-elle faire quelques pas hors du village sans avoir l'air de défier l'autorité ? Peut-être qu'en expliquant aux gardiens de la porte que l'hôpital avait besoin qu'on lui rapporte de l'écorce de saule en bonne quantité, elle pourrait...

Ses yeux se portèrent automatiquement vers les portes du village, tandis qu'elle réfléchissait à ça. Elle cilla, puis murmura à voix basse:

"Allons bon. Les gardes ne sont pas là pour m'écouter..."

Intriguée par ce détail inhabituel, elle resta un long moment à se demander pourquoi les gardes, qui de par leur vigilance et leur discipline s'étaient pratiquement intégrés au paysage de Kumo, avaient désertés leur poste. Une brise souffla à travers ses cheveux, qui ne lui apporta que le silence des rues. Le silence... Les gardes absents... Personne pour surveiller la porte... elle resta de longs instants à la fixer, cette porte, jusqu'à ce que le vent fasse imperceptiblement grincer un de ses battants. Que les sentinelles soient absentes, passe encore, mais que la porte soit ouverte aux quatre vents... c'était un peu trop de négligence.

Ce n'est pas normal, réalisa-t-elle enfin, et elle se redressa vivement. Sa tête se tourna de tous côtés. Volets clos, portes fermées des maisons civiles, les gardes qui paraissaient dormir à même le sol, voilà ce qu'enregistra son cerveau. Un mouvement au-dessus des toits attira à son tour son attention. De loin, elle reconnut la chevelure rousse d'un autre ninja de Kumo, qui filait vers... elle jeta un coup d'oeil plus loin.

Vers la tour du Raikage. Ni une ni deux, elle se laissa glisser le long d'une gouttière jusque dans l'allée en contrebas, et partit à fond de train dans cette direction, en une foulée rapide et silencieuse. Après tout, si quelque chose ne tournait pas rond, c'était le premier endroit où se renseigner.

Finalement, débouchant d'une rue transversale, Tzimara parvint là où se dressait la tour. Elle s'immobilisa, les yeux fixés sur le petit attroupement de ninjas qui s'était assemblé là. La plupart ne lui étaient que vaguement familier... A vrai dire, elle ne s'était jamais tant approchée d'eux, et pourquoi l'aurait-elle fait ? C'étaient des hommes de guerre, qu'elle croiserait bien assez tôt sur les litières de l'hôpital. En revanche, la chuunin - quel était son nom, déjà ? - elle l'avait déjà vue dans ces couloirs, soit couverte de contusions, soit aidant aux soins. Impossible de s'en souvenir très exactement.
Et puis, bien sûr, il y avait le ninja avec un masque. Un ninja avec un masque, mais qui n'avait rien d'un anbu... d'ailleurs, où étaient-ils, ceux-là ? Bref, un ninja avec un masque qui semblait barrer l'accès à la tour.
Elle resta là où elle se trouvait, encore dans l'ombre d'un mur, neutre d'attitude et d'expression, pas du tout sûre de la raison de cette mise en scène, mais attentive aux échanges de paroles ou d'actes qui allaient, elle n'en doutait pas, mettre de la lumière sur l'étrangeté de cette matinée.
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MessageSujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Icon_minitimeVen 8 Oct 2010 - 15:37

Suspendu par le temps, j’attendais, sentant couler en moi les longues secondes, voir minutes d’une impatience sordide dans une situation mauvaise et dangereuse, enivrante mais pourtant si repoussante à la fois. La folie sanguinaire était comme le doux alcool s’écoulant dans une fontaine clairvoyante de l’amphore de l’allégresse, sang délicat et rougis par les vapeurs nauséeuses de la désolation tandis que les fluides les plus incestueux se répandaient en une vague de sentiments perdus et embués de détresse. C’était comme si l’harmonie bouillonnante d’un être vulgaire et sanguinaire venait de se réveiller, brulant d’impatience tel le loup garou vautré dans les ténèbres de son existence, attendant avec une sombre et folle impatience le temps de plonger ses crocs jaunies et putrides, odeur ferreuse et repoussante, dans la chaire des victimes qui allaient accompagner sa sombre destinée, vie de misère et de batailles avilissante. J’exultais à l’idée d’être le marteau de guerre d’une tragédie que je pensais être capable de contrôler, tel ces dieux misérables jouant avec le destin lumineux des vies, j’étais à mon tour celui qui tenait entre ses doigts vaporeux les lames grotesques des destins de ceux que je déchirais de la lame malfaisante de mon ardent désire d’existence. Je ne pouvais m’empêcher de laisser retentir en moi comme le carillon discordant d’un chant innommable tout droit sortie de la bouche aux lèvres noircies par les ténèbres de la reine des enfers, les jubilations mauvaise d’une trépignation qui tremblait à moi à l’idée d’être une lame destructrice, comme si j’allais pouvoir reporter ma propre peine, ma propre souffrance sur d’autres êtres afin de me délester de ces poids redoutables qui flottaient à mes chevilles, matérialisation solide de souvenirs trop lointains et miséreux, comme si ils étaient insultant ou grossier devant mes yeux brûlants d’envie. J’étais en ce moment même le démon ardent d’une irrépressible envie de destruction, celui qui se laissait aller à la contemplation d’une vague de sentiments mauvais et répugnants, attendant avec jubilation proche de l’indécence le moment où les ailes d’or du salut s’élargiraient dans mon dos afin de voler haut dans le ciel et ne plus être un aigle aux ailes brisés, et de pouvoir dès lors tendre les serres aiguisés qui étaient miennes vers le ciel pour le déchirer en deux et défier les sombres démences qui s’y étaient blottis en attendant le jugement dernier. Mais en ce jour encore, j’étais à terre, aiguisant mes larmes de guerre afin de les rendre plus tranchantes et puissante encore, me baignant avec joie dans une effluve aussi dégoutante qu’incestueuse afin de réprimer la souffrance inaudible de mon cœur qui battait en rythme avec les larmes de glaces quant à elle de mon être brisé dans sa propre existence. Je savais bien sur au fond de moi-même que probablement une grande partie de cette tragédie qui se mettait-en place dans ce village caché de la foudre, Kumo, était due en majorité à l’action malfaisante des dieux qui s’amusaient de voir des vies se rompre entre leurs doigts grotesques, riant et jubilant face à la détresse de leurs sujets, se moquant éperdument qu’un électron libre se trouve dans cette pièce qui devait rendre le jeu de ce théâtre grotesque plus amusant encore à leurs yeux dégoutés par l’existence rompue de leurs êtres face à l’infinité du temps. Mais qu’importait ce moment, car vite la jubilation et la frustration qui se mêlaient en moi comme un fruit véreux dont le ver nauséabond et gluant de l’ambition mauvaise semblait gigote de bonheur dans la chaire putride de cette chose, furent remplacés par une certaine forme d’appréhension, car cette bataille allait être mon premier véritable combat depuis près de plusieurs années, le dernier en date ayant eu pour résultat la mort de ce monstre qui m’avait recueillit et fais de moi son élève afin que je ne devienne qu’une banale épée entre ses doigts, mais qui aujourd’hui pourrissait avec son ambition dans les ruines branlantes d’un vieux temple qui depuis cette époque avait du s’écrouler sur ses propres fondations aux murs lézardés par les souvenirs anciens. Me rappelant avec délice cette époque où j’affrontais pour la dernière fois cet homme avant de le tuer et de lui voler cet étrange parchemin d’invocation que depuis je n’avais pas déroulé ni tenter de comprendre quels étaient ces choses en lesquels il avait placés tout ses espoirs, je fus tirer de mes songes par le bruit rapides de pas venant dans cette direction, une autre vague d’ennemi allait donc apparaître après j’eusse abattu sans effort manifeste les quelques gardes dénués de talents qui s’étaient réfugiés en ces lieux en tant que bouclier fragile et branlant de leur si bien aimé kage. La première personne qui ainsi se lança à corps perdu dans la gueule malfaisante du loup infernal que j’étais était un homme d’envergure respectable, à la carrure plus impressionnante que la mienne physiquement, une chevelure nacrée et courte miroitant sur le sommet de son visage renfrogné, une épée d’une taille imposante entre ses mains… C’était probablement le genre d’hommes à privilégier la force pure à l’intellect, une chose bien regrettable et stupide, c’était ce que cette apparence de gorille humain me faisait ressentir, un gorille idiot tenant entre ses pattes velues un gros bâton qu’il brandissait comme une arme. Une certaine lueur de colère passa dans ses yeux aux airs de crétins avant de lancer d’une voix toute aussi minable que son apparence :

- Laisses moi passer sinon je vais rapidement passer sur ton corps mutilé !

Je souriais derrière mon masque… Je venais de reconnaître un des juunin de Kumo qui répondait à l’ignoble nom de Yamamoto Takeshi… Ainsi donc cet imbécile pensait pouvoir me passer sur le corps ? Il était bien idiot, j’étais probablement le ninja le plus puissant du village si l’on exceptait le Raikage lui-même qui tirait son pouvoir d’une bête hideuse enfermée en lui comme dans une cage de chaire sanglante. Battre un énergumène aussi pathétique que lui serait une partie de plaisir d’une facilité déconcertante, j’en riais d’aisance intérieurement. Alors que je m’apprêtais à lui répondre pour le répondre bien évidemment à sa place, un autre idiot que je pus quant à lui, reconnaître au premier coup d’œil, vint se planter derrière le gorille, lui rentrant dedans avec un choc sourd, bien que ce stupide primate n’ait probablement pas ressentit le choc, ou bien que le fait qu’il y ai eu un choc mettent une éternité à atteindre son cerveau dégénéré. Le nouvel arrivant était un petit déchet incapable de se battre réellement contre des adversaires plus fort que lui, qu’il vienne aider dans cette bataille était comme venir pisser dans un violon, cela ne servait fichtrement à rien. Lorsque je le vis sortir un kunai et le tendre vers moi avant de dire que lui aussi allait se battre, je fus subis à une lourde pression, celle d’être capable de ne pas exploser d’un rire moqueur et sadique face à ceux deux idiots incapable de sentir le danger d’un adversaire éminemment plus puissant qu’eux. De plus je connaissais parfaitement le niveau de cet incapable qui se prénommait Gargonith Manjome, un enfant stupide qui ne possédait pas la moindre once de talent véritable et qui ne deviendrai probablement jamais un guerrier reconnu, tout juste une esquisse grotesque bonne à être placardée dans l’ombre de ses aînés et de n’être qu’un vulgaire appât, de la chaire à pâté. Tendant l’oreille, je savais que d’autres étaient sur le point d’arriver, c’est pourquoi je retenais sur mes lèvres les mots que je bouillais de dire à ces deux primates. Mais c’est lorsque la troisième personne arriva que la foudre tomba avec violence. Venait d’arriver ainsi sur ce champ de bataille la seule personne dans ce village pour laquelle je vouais un certain attachement, une brave fille dans laquelle je me revoyais moi-même autrefois, faible et humilié, mais qui pourtant désirait s’en sortir par tout les moyens, même si pour ma part, j’avais fini par me jeter en larmes dans les bras froids et tendre dans la mort, la suppliant de m’amener dans son royaume où la souffrance ne serait plus, ce qu’elle me refusa… Il s’agissait de la petite Miyako, une enfant turbulente mais ravissante quand on perçait à jour sa vraie mentalité, ou du moins était-ce ainsi que je la percevais, me voyant en elle. Bien qu’une certaine pointe de répulsion et de colère montait en moi à l’idée de devoir la combattre, une autre source d’agacements germa en moi car elle connaissait bien évidemment mes capacités spéciales vue que j’étais en quelque sorte un tuteur pour elle, l’aidant à évoluer pour ne peut être pas sombré dans le même chemin ardent que le mien, préférant la laisser dans un écrin de soie pour ne pas voir d’autres âmes aussi torturés par le destin que moi. Je savais pertinemment que je n’étais probablement pas le seul à connaître cet élément terrible et déroutant qu’était le Meiton, mon propre père l’ayant utilisé autrefois, ainsi que ma mère… Je soupçonnais que peut être d’autres clans ou personnes en avaient la capacité ou l’utilisaient, mais ce n’était guère une certitude… Je priais ainsi au fond de moi pour qu’elle ne fasse pas directement un rapprochement entre cet élément et moi, ou qu’elle s’abstienne dans le cas contraire de tout commentaire. Je me trouvais donc dans l’obligation d’affronter cette jeune fille que j’aurai préféré sauvegarder de sa condition… Une autre personne qui venait d’arriver ne me tira de mes pensées, bien qu’elle ne m’intéresse guère, je ne remarquais ainsi que ses cheveux d’un rouge flamboyant et le kunai qu’il tenait à la main… Je connaissais aussi cette personne vu que j’avais pris la peine d’empruntait au raikage sans sa permission, piles de dossiers sur les ninjas du village. Celui-ci demanda alors d’une voix qui semblait furieuse que se passait-il, et qui étais-je… En voila un qui allait droit au but. Un nouveau sourire s’afficha derrière mon masque. Je savais qu’une autre personne était dans les alentours, mais elle ne daigna apparemment pas se montre, qu’importait réellement ceci… Cette fois, je pus décemment prendre la parole, la voilant d’une once de mystère neutre d’apparence, mais pleine de menace et de moqueries :

-Allons allons, ne connaissez vous donc pas l’art des bonnes manières messieurs dames ? Bien qu’une telle grossièreté vous siée à merveille à vous autres les gorilles stupides, n’est-il pas, Yamamoto Takeshi, Gargonith Manjome… Vous devriez apprendre à tenir une place plus digne de la votre et comprendre à quel point cette attitude est risible, les vers tels que vous ne sont point digne de s’adresser à une étoile ténébreuse telle que moi. Vous ridiculiser sera un véritable plaisir croyez moi. Quant à toi, petit homme à la chevelure flamboyante, Manji Uzumaki si je ne m’abuse, bien que ta politesse soit tout aussi dégradante, tu es plus concis que ces deux idiots. Que se passe-t-il ? Je vais vous le dire. Akatsuki est venue cueillir votre cher et tendre Raikage, après tout, il porte en lui le Hachibi, vous comprendrez donc que nous venions faire notre marché dans ce village, soyez sans crainte, nous venons juste emporter l’article qui nous intéresse, et nous partirons ensuite, si vous êtes bien sage, aucun mal ne vous sera réellement fait, contentez vous de faire les morts, et tout ira à merveille. Quant à qui je suis, je ne suis hélas pas en position de répondre, mon identité ne vous regardant nullement. Et si vous vous interrogez sur le comment du fait que je connaisse vos noms, je dois bien avouer que nos espions sont des êtres bien utiles quand il s’agit de voler nombre de dossiers afin de nous fournir tout les noms composant la force militaire d’un village… Quant à vous, jeune Miyako, je crois aussi avoir répondu à la question que vous vous posiez. Et pour ce qui est de l’invitée mystère, je l’invite à s’arme de courage et de sortir de l’endroit où il ou elle est dissimulée, il ne faudrait pas qu’elle rate le spectacle voyons. Bien, assez de paroles… Passons à l’acte, qu’en dites-vous ? Meiton, Teikokushugi !

A peine eu-je terminé mes palabres, que je composais rapidement une série de signe avant de poser mes mains à terre, libérant une dose de chakra dans le sol, un chakra imprégné de malfaisance, l’art des ténèbres allait être réveillé en ces lieux pour faire sonner le tambour de la destruction. Les ténèbres envahirent la zone, créant un certain poids plus ou moins palpables, obscurcissant la lumière elle-même, la teintant d’ombre mauvaise…. Un grognement sourd retentit, une ombre noir et luisante tressaillit à une faible distance devant moi. Une forme circulaire se dessinait rapidement au sol, laissant échapper des effluves violacées de l’ombre naissante… Puis, une main luisante, brillante même d’une aura violette malfaisante surgie de l’ombre, accompagnée du bras, et d’une tête repoussante au regard écarlate… Sortit en suite un buste musculeux et affolant, des jambes et le dernier bras… Le démon de l’ombre de l’impérialisme venait de renaître des enfers elles mêmes, brandissant dans le ciel son poing rageur, et ses cornes diaboliques.


-Voici l’impérialisme même, saurez vous combattre vos propres démons mes enfants ? Et à présent, Meiton, Haishi !


Je venais de recomposer une rapide série de signes, puis tendant les mains devant moi, je fis jaillir de mes paumes de sombres qui s’étalèrent en l’air mais retombant rapidement au sol tout en s’étirant de plus en plus jusqu'à qu’une hordes de dragons miniatures à l’aura violette aussi meurtrières que le démon impérialiste surgissent… Une dizaine de dragons dotés d’une vitesse affolante qui surgirent de derrière le démon qui tendait son énorme bras avant de l’abattre là où se trouvait l’ennemi… Les dragons quant à eux, prêts à suivre l’ennemi dans leurs mouvements pour les abattre en cas d’esquive, ou même si ils n’avaient point esquivés… Je sautais alors en l’air, atterrissant sur le toit d’une bâtisse guère haute, attendant une réaction tandis que l’entrée de la tour du kage venait de s’écrouler suite aux précédents combats.
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MessageSujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Icon_minitimeDim 10 Oct 2010 - 11:20

Je réserve
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MessageSujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Icon_minitimeDim 10 Oct 2010 - 11:56

Le ninja était prêt son entrainement intensif avait un objectif, devenir le plus puissant ninja de sa génération, un rêve peut original mais pas facile pour autant.

Combattre à deux contre 1 était une chose qui le répulsait particuliérement mais bon, si son kage était attaqué et que ce ninja était l'allié de l'assaillant il devait avoir un certain niveau...


Une chunin de même niveau que lui même peut-être plus doué arriva...Il la connaissait car son chef d'équipe l'apréciait énormément...Ce qui était rare et avait crée une jalousie stupide envers le ninja."3 contre 1?Sa me tente pas je vais le finir moi même et aller aider le kage!"

Un ninja qui lui était que très peut familier arriva.La cheveulure rouge comme le clan Uzumaki... Manji le genin de kumo.

Un allié même si il n'était pas trop gradé ce ninja était prometteur..
.


"4 vs 1 de mieux en mieux!"

Le ninja masqué ne bougeait pas pourtant il n'avait point l'air accablé par le nombre...Cela créa un stresse car le chunin ne sembla pas être le seul à l'avoir ressenti!

Peu après il sentit une autre présence!"Un énemi peut-être! Voila pourquoi il n'est pas accablé!"

Mais avant que le ninja est eu le temps de vraiment réfléchir le ninja mystérieux ajouta:

-Allons allons, ne connaissez vous donc pas l’art des bonnes manières messieurs dames ? Bien qu’une telle grossièreté vous siée à merveille à vous autres les gorilles stupides, n’est-il pas, Yamamoto Takeshi, Gargonith Manjome… Vous devriez apprendre à tenir une place plus digne de la votre et comprendre à quel point cette attitude est risible, les vers tels que vous ne sont point digne de s’adresser à une étoile ténébreuse telle que moi. Vous ridiculiser sera un véritable plaisir croyez moi. Quant à toi, petit homme à la chevelure flamboyante, Manji Uzumaki si je ne m’abuse, bien que ta politesse soit tout aussi dégradante, tu es plus concis que ces deux idiots. Que se passe-t-il ? Je vais vous le dire. Akatsuki est venue cueillir votre cher et tendre Raikage, après tout, il porte en lui le Hachibi, vous comprendrez donc que nous venions faire notre marché dans ce village, soyez sans crainte, nous venons juste emporter l’article qui nous intéresse, et nous partirons ensuite, si vous êtes bien sage, aucun mal ne vous sera réellement fait, contentez vous de faire les morts, et tout ira à merveille. Quant à qui je suis, je ne suis hélas pas en position de répondre, mon identité ne vous regardant nullement. Et si vous vous interrogez sur le comment du fait que je connaisse vos noms, je dois bien avouer que nos espions sont des êtres bien utiles quand il s’agit de voler nombre de dossiers afin de nous fournir tout les noms composant la force militaire d’un village… Quant à vous, jeune Miyako, je crois aussi avoir répondu à la question que vous vous posiez. Et pour ce qui est de l’invitée mystère, je l’invite à s’arme de courage et de sortir de l’endroit où il ou elle est dissimulée, il ne faudrait pas qu’elle rate le spectacle voyons. Bien, assez de paroles… Passons à l’acte, qu’en dites-vous ? Meiton, Teikokushugi !

Une grande forme arriva dans un courant d'air violet foncé!Un démon voilà comment on pouvait qualifier la créature qui venait d’apparaître!Le ninja oublia ce que son adversaire venait de dire mise à part son jutsu et le fait qu'il fasse partit de l'akatsuki!

Son sensei...Voilà la seul personne au monde qu'il connaissant comme utilisateur du meiton..."Ce n'est pas possible mon chef d'équipe n'est pas un traître!Il respecte le kage et les règles du village, il ne tardera pas à nous rejoindre!"

Mais bon l'heure n'était plus à réfléchir le nukenin venait d'invoquer une créature et de déclarer les hostilités!

Son démon levait le poing dans les airs!Il était horrible avec ces cornes de bouque sur la tête.


-Voici l’impérialisme même, saurez vous combattre vos propres démons mes enfants ? Et à présent, Meiton, Haishi !

Une dizaine de dragon arrivèrent alors!Le combat allait commencer!

Le ninja ce prépara:


Un dragon arriva sur lui le ninja ce baissa et essaya de le saisir par l’aile ce qui lui valut une brûlure.[color=orange]"Toi t'es un coriace"[/color]Il réessaya dans une mainte tentative et il ce fît encore brûlé."confirmation,mes muscles ne me serviront pas"Il sauta en faisant des saltauts pour éviter les attaques très rapide du petit dragon.

Soudain il ce mit à pleuvoir!"Une source d'eau!"

-Suiton, dragon aqueux!Voilà à quoi ressemble un vrai dragon!Tiens toi prêt et profites de ce combat car c'est ton dernier, utilisateur du meiton!


Le ninja monta sur la tête du dragon et pointa son adversaire avec son sabre.Pendant que ses alliés faisaient à leur tours un combat intensif.