Tu souhaites incarner un ninja et le faire évoluer au sein de différentes missions, quêtes et autre afin de le modeler selon ton unique choix ?
Alors n'hésites pas à nous rejoindre, plusieurs villages t'attendent afin de livrer bataille ! L'esprit de loyauté t'attire, et tu souhaites appartenir à un village caché ? Ou bien la voie de la débauche et du crime te séduit plus que tout ? Dans tous les cas, tu es le seul maître de tes actions ici, et tes actes, qu'ils soient bons ou mauvais, auront une influence sur le Monde tout entier !
Tu pourras ainsi rentrer dans la famille NNr' et découvrir la folie des membres sur le forum ! ^^
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Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné.
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Sujet: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Dim 26 Sep 2010 - 20:53
La folie humaine ne possède aucune limite… Folie, un mot qui résonne comme une épée à double tranchant, un bouclier d’usure et de sang qui transforme l’être le plus délicat et pur, le plus intelligent et calme en monstre ignare et craint de tous, un esprit rejeté et impur et corrompu par sa propre désillusion. Le cœur de l’homme n’est que tromperie, désillusion et innocence camouflée derrière un rideau de mauvaises intentions, toute chose que l’homme peut ressentir en s’extirpant de ses propres songes n’est que la folie de son existence la plus brute qui soit, une vie damnée et condamnée à l’errance dans les limbes de son insouciance la plus stupide et inconsciente qui soit, une forme d’existence qui ne peut qu’engendrer la répulsion de sois même, se renier afin de ne plus jamais pouvoir ressortir des mares putrides des ténèbres qui bouillonnent paresseusement au fond de nos êtres. Démon aux multiples visages, le mal qui sévit dans nos cœurs et nos esprits est comme un monstre insondable, immense et terrifiant, une hydre infernale hurlante et malveillante dont les ténèbres qui exhalent de ses écailles grisâtres ne sont que les reflets des pensées ironiquement destructrice que le genre humain peut prétendre porter en lui que ce soit pour sa quête de lumière ou son intérêt le plus souillé, une hydre d’une puissance inimaginable pour le commun des mortels, un monstre d’une telle force que le combattre ne serait plus du courage, mais du suicide, tenter de combattre ses propres ténèbres et ceux de l’humanité, c’est donc affronter ce qui est mouvant, indestructible, une bête hideuse aux multiples visages qui dès qu’elle voit une de ses têtes vaincus par l’esprit humain et la volonté elle-même, en voit une autre repousser, plus hideuse, puissante et maléfique encore que la précédente. Savoir reconnaître ses propres douleurs, parvenir à combattre ou du moins réussir à repousser le plus possible ses propres vomissures incestueuses et malfaisante, c’était parvenir en partie à tenir tête à cette redoutable créature qui siégeait en chacun de nous, alimentant nos rêves, espoirs, mais aussi terreur, haine et malfaisance.
La guerre est une de ces nombreuses folies qui caractérisent les pensées de l’homme, se battre encore et toujours pour assouvir un idéal personnel, cupidité et mauvaise pensée, destruction gratuite qui n’engendre que douleur et colère, tragédie malfaisante et hurlement déchirant les cœurs de la volupté cireuse de la mort elle-même. Les pensées nauséabondes de la déchéance la plus pure persiste encore et toujours, faisant trembler le fondement même de nos esprits et cœur, nous faisant nous enfoncer plus profondément dans les abysses de la décadence, les démons infernaux et hurlant et réclamant que vienne le sang de notre folie entre leurs gueules déments. Perdu dans sa déchéance, l’homme prit alors encore et toujours pour déchirer le voile de sa cupidité et de transcender son existence même afin de pouvoir voler dans le ciel et de pouvoir alors comprendre jusqu’où son désire réel peut aller, jusqu'à même déchirer le ciel en lui-même pour le percer et en faire pleuvoir ses richesses depuis trop longtemps perdus. Nous avançons encore et toujours en foulant les corps de nos ancêtres de nos pieds et de tout ceux qui dans la quête d’ne absurde folie sont morts en quête d’une chose qu’ils ne pouvaient espérer pourtant en tout logique obtenir, sombrant encore et toujours plus profondément dans le cratère de leur ambition, déchirant encore plus leurs cœurs et âmes, hurlant et maudissant leur condition exécrable. Ils se lancent toujours dans des quêtes absurdes, espérant pouvoir saisir d’une main frivole et gantelée les larmes enflammées du soleil afin de s’en repaître et de briller eux aussi tels des astres sacrés, mais la seule chose qu’ils parvenaient à faire étaient de se brûler leurs ailes de cire et de s’échouer lamentable sur les pans d’une falaise isolée… C’était le cas de la folie humaine lors de ces guerres absurdes qui déchiraient les terres et continents, gagnant ou perdant, tous y perdaient une part de leur cœur.
Mais grandeur et désir frivole sont les armes du maître conquérant, de celui qui s’amuse à défier les idéaux et les esprits pour s’assurer une place de choix dans la hiérarchie sacrée. Je faisais partis de ce genre de personnes qui avaient choisis de défier les dieux afin de les détrôner de leur place monarchique usurpée, voulant çà tout prix brisé les chaînes de leur vorace cupidité, folie noire et ténébreuse qui ne parvenait qu’à amener le monde au bord du gouffre, enchainement de conflits et de tragédies sans nom… Mais moi l’élu qu’ils avaient agressé dans leurs jeux stupides allait probablement un jour devenir lame de l’épée qui viendrait les déchirer et leur faire comprendre le sens du mot souffrir, de la douleur elle-même. Eux confortablement assis dans leurs trônes d’or et d’argent n’avaient qu’une chose à faire de leur longue et insipide existence, celle de miroiter le monde qu’ils avaient créé et afin de noyer leur coupable ennuis, celui de s’amuser à défier le cours des évènements et jouant avec le destin et sentiments de ceux qu’ils avaient au début de leur longue et pénible existence promit de chérir et protéger.
Une nouvelle bataille venait de commencer, je laissais ainsi pénétrer deux de ces êtres singuliers, des êtres aussi étranges et potentiellement dangereux que moi, pénétrer dans ce village, sous le couvert de vulgaires marchands ayant des réclamations à porter au Raikage sur le taux d’échanges imposés par la politique marchande du village sur les produits de valeurs et les objets confectionnés à partir de matières précieuses tels l’or, l’argent, les diamants, les saphirs, émeraudes et autres rubis… L’un des deux, Kisame Hoshigaki, une créature forte étrange, une véritable erreur de la nature possédant un visage affable, raide d’un bleu criard tel la peau éclatante des créatures marines, une peau à l’apparence écailleuse, semblant ressembler à un requin humanoïde coiffé d’une perruque bleu azure, un animal aquatique que l’on aurait grossièrement humanisé et déguisé pitoyablement en une esquisse humaine, voila ce qu’était cet homme, cet animal, ou cet hybride, peu importait réellement. Il dégageait toutefois une certaine carrure qui couplée à son apparence étonnamment hideuse, ne pouvait que susciter dégouts, répulsion et horreur envers ses potentiels adversaires, des proies qu’il allait probablement déchiqueter goulument de ses crocs acérés. Quant à l’autre, frêle d’apparence, une jeune femme aux airs doucereux et à la parure capillaire flamboyante, comme si la rougeur des flammes y avait été enfermés pour y resplendir quand ceux-ci dansaient reflétant les larmes de chaleur du soleil ardent. Toutefois, elle dégageait une aura de folie douce, pure même, quelque chose de peu rassurant dont je m’en fichais tout aussi royalement. Ils venaient de passer, j’allais devoir entrer en action…
Traversant le village à toute allure après avoir laissé un autre ninja prendre ma relève, je me dirigeais vers ma demeure actuelle, petite baraque perdue dans un des quartiers riches du village, y pénétrant par la fenêtre après une course endiablée dans les rues bondés, pour venir y déposer ma tenue actuelle et en adopter une de circonstance… Je sortais un large kimono noir cousu de fils d’or éclatant, un kimono toutefois fort étrange car le buste n’était pas du tissus, mais une espèce de plaque d’acier légère reliée à la tenue, offrant ainsi une protection au niveau de la poitrine. Toutefois, cette plaque ne jurait pas du tout avec le la toile noire du tissu, lui donnant un aspect militaire noble. Puis, rapidement mais avec précaution, j’enroulais autour de mon visage et de mes bras des bandages afin de les camoufler totalement, ne laissant que les mains dépasser des bandages, ainsi qu’une ouverture pour ma bouche, le bout de mes narines, et mes yeux. A noter que par un habile procédé, mes cheveux n’étaient nullement touchés par les bandages qui tenaient au visage via des bandes collantes à leurs extrémités. Quant à mes cheveux, je les attachais en une longue queue de cheval, coiffure que je n’avais jamais adoptée encore en ce village. Et enfin, j’attachais un masque par-dessus mon visage couvert de bandages… J’étais enfin prêt… Je venais de réussir ceci avec une vitesse folle, les deux intrus n’étant probablement pas encore arrivés à destination.
Reprenant ma course dans le village en ayant au passage bien pris attention de ne point être repéré en sortant du bâtiment, je sautais de toit en toit pour finalement arriver devant la tour du kage au moment où le juunin corrompu venait de les laisser entrer. Mon tour d’agir était venu, me jetant sur lui après l’avoir au préalable assommé, je me tenais devant les portes du batiment, prêt à endécoudre avec la piétaille ninja du village afin de laisser les exécuteurs se charger du jinchuuriki.
HRP : Aucun ninja de Kumo ne peut me reconnaître, étant déguisé, seul Ayako et Kisame pouvant savoir que c'est moi. A noter que n'ayant jamais vu mes techniques en rp, vous ne pourrez pas me démasquer en les voyant ici.
Dernière édition par Setsuri Hazu le Dim 26 Sep 2010 - 21:48, édité 1 fois
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Lun 27 Sep 2010 - 16:01
La rivière coulait lentement entre les montagnes, au bord de celle-çi, on pouvait apercevoir la silhouette d'un ninja, il était assis sur un rocher, son épée massive plantée dans le sol comme les dents d'un tigre planté dans sa proie. Le ninja regardait la rivière couler lentement, quelques poissons effectuaient un léger saut hors de celle-çi pour se nourrir. Yamamoto se leva lentement, le soleil était au plus haut dans le ciel, ses rayons reflétaient sur l'eau avec splendeur. Takeshi Yamamoto s'étirait légèrement avant de s'emparer de son épée planté dans le sol caillouteux, son poids était important mais cela ne semblait pas gêner le shinobi qui s'empara de celle-çi comme d'un vulgaire bâton, ses bras musclés lui permettaient une tel prouesse.
Il était temps de rentrer au village, de ca pas il se mit en route vers Kumo No Kuni, montant les marches qui menaient vers les portes de Kumo, son épée désormais bien rangé dans son dos. Arrivé devant les portes Yamamoto aperçus un kunaï planté dans la roche, puis un shuriken, soudain il vit le corps d'un ninja de Kumo No Kuni transpercer par de multiples projectiles, puis plus loin un autre, puis un autre ! Que c'était-il passé ! Un moment d'affolement vint secouer le shinobi de Kumo, en quelques secondes il changea complètement d'attitude ! Il était beaucoup plus concentré; sur ceux il partit à vitesse folle en direction du bureau du Raikage ! Si des ninja étaient entré dans Kumo il devait déjà être d'un bon niveau car il avait tué tout les gardes ! Puis deuxièmement il devait surement en avoir après notre maître ! Sautant de toit en toit à une vitesse folle, le suspens était intenable.
Yamamoto venait d'arriver devant le temple du Raikage, là devant la porte se tenait un homme étrange, il portait une tunique noir avec des rayures or et un masque bizarre, ces cheveux était en queue de cheval, il se tenait à l'entré laissant dégager un orra meurtrier. Yamamoto s'avançait lentement vers le shinobi ai visage caché, à environ 5 mètres de ce mystérieux personnages la main gauche de Yamamoto se leva pour aller empoigner avec force et poigne, il sortit l'épée de son fourreau avec délicatesse et posa la lame contre le sol et s'accouda dessus, et tout en regardant le ninja bizarre il lui lança un regard vengeur et exclama :
- Laisse moi passer sinon je vais rapidement passer sur ton corps mutilé ! -
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Mer 29 Sep 2010 - 15:15
C'était un matin ensoleillé.Notre jeune chunin Gargonith Manjome ce leva d'une humeur fracassante mais qui hélas ne tenait qu'à un fil.Ils sortit de sa maisonnette bien décidé a avoir une nouvelle mission il décida donc d'aller stimuler son raikage.
J'alla en courant au temple du raikage.J'avais un mauvais préssentiment.La nuit avait été agité je le savais bien.Peut-être même y avait-il eu des morts...
Je courus sans regarder autour de moi et m'apprêta à ouvrir la porte du temple.Quand je fus repoussé par une force qui n'avait point l'air amical.
Je me releva et vis un junin de kumo que je connaissais à peu prêt...Je savais qu'il était aussi puissant que mon sensei peut-être même plus ce qui me parraissait surprenant.
En face de lui un ninja camouflé dont je ne connaissais le village.
-C'est donc toi qui m'a repoussé?Qui es-tu?
Il ne me répondit pas.Je sentais qu'un combat avait lieu entre le kage et quelqu'un d'autre car le chakra de Killer-bee ce faisait ressentir.
Ainsi donc une bataille allait s'engager.Qui pouvait bien attaquer kumo...Si il s'agissait d'un village énemi ils seraient venu à plus nombreux.
Une pensée me traversa soudain l'esprit."AKATSUKI"
On m'avait mit en garde quand j'étais passé chunin.Ils veulent le Hachibi qui ce trouve dans le corp de notre kage.
Quoi qu'il en soit il ne sera pas facil pour eux de vaincre Killer-bee.
Je dois me battre.
-Yamamoto senpai...Je couvre vos arrières vous pouvez y aller!
Dis-je en sortant mon sabre et deux kunais.kunai dans la main gauche l'autre dans la bouche et le sabre dans la main droite.
C'EST PARTIT!
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Mer 6 Oct 2010 - 12:50
Vraiment! Quel temps pourris. Ce matin un soleil fou renvoyait sa chaleur sur tout le village de Kumo. Une chaleur à rendre fou, et a cuire n'importe quoi. Miyako se leva péniblement de son lit. Sa chambre était sombre, comme d'habitude. Il n'y avait aucun bruit dans la demeure principale. Même pas un bruit provenant des cuisines. Miyako se leva et s'habilla de sa tenue traditionnelle, donc pas la tenue que porte normalement un chuunin. Puis elle attacha son bandeau à son bras droit et prit la porte.
Au début tout semblait calme, si calme. Trop calme. Le bonheur pour cette demoiselle. Mais c'était quand même suspect. Personnes dans les rues, les commerçants semblait avoir fermé leur boutique pour raison inconnue. Miyako avança tranquillement dans les rues désertes de Kumo lorsqu'une vision vint la frapper. Vision ou bien réalité?
Là un ninja à terre couvert de blessure. Comment? Pourquoi? Miyako aurais voulue le soigner mais quand elle vit la rue remplis de ninja dans le même cas, elle comprit que cela ne servirait à rien.
Mais? Qui a bien put faire cela? Et puis où sont-ils? Et surtout dans quel but auraient-ils attaqué Kumo?
*Ah! Le Raikage!*
Miyako senti le chakra de cet homme et aussi d'un personnage. Monstrueux. Un tel chakra! Même Miyakon'en était pourvue. Elle se dirigea alors vers la tour du Raikage lorsqu'elle vue trois personnes. Elle reconnue les deux premier qui lui tourné le dos: Gargonith Manjome, tout comme Miyako c'est un chuunin, et à ces côté se tenait Yamamoto Takeshi, un juunin. Il avait planté son épée dans le sol et prit une posture "cool" pour intimider leur adversaire. D'ailleurs qui était-il?
Miyako se rapprocha pour venir aux côtés des deux hommes. Elle le vit. Cette personne affublé d'une façon grotesque et portant un masque. Ces cheveux furent réunie une queue de cheval.
Pourquoi cacher son visage? Quel était le but de cette manœuvre? Tant de questions sans réponses possible torturait l'esprit aux aguets de Miyako. Etaient-ils que tous les deux, en parlant de l'homme combattant le Raikage, ou bien y avait-il d'autre ninja dans le coup?
Elle remarqua par la suite la position de Manjome. Kunais et son sabre en main. Il était sur le point de se battre:
Miyako: "Attends. N'engage pas le combat! C'est peut être un piège. Il y a surement d'autres ninjas caché dans les environs, prêt à intervenir dés que nous aurons épuisé la moitié de notre chakra." Miyako observa le terrain de la futur bataille. La tour du Raikage n'était pas propice à un tel combat mais il allait falloir faire avec. Surtout si d'autres ninjas se tapissaient dans l'ombre, attendant le bon moment pour intervenir.
Miyako: "Par contre, une question me turlupine à laquelle vous pourrez surement me répondre: pourquoi attaquent-ils le village?"
Miyako ne c'était jamais soucié de savoir qui commandé le village et donc elle n'était pas vraiment au courant que son Raikage soit un Jinchuurikis.
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Mer 6 Oct 2010 - 14:05
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Dernière édition par Manji Uzumaki le Mer 6 Oct 2010 - 15:47, édité 1 fois
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Mer 6 Oct 2010 - 14:15
Manji avait mal dormis cette nuit là, le soleil flamboyant lançait ces rayons brûlants sur les montagnes de Kumo, et en quelques instants il avait fait monté la températures sur les rues silencieuses du village shinobi. Le jeune Génin avait fais d’horrible cauchemars revoyant la mort de son père adoptif, la chaleur l’avait extirpée de ces démons, et de ces mauvais rêves. Lorsqu’il se leva, il était en sueur, et les gouttes de transpiration perlées sur son front. Il quitta ses draps mouillés, ouvrit la fenêtre de sa chambre, et alla se passer de l’eau sur le visage. Il alluma sa cafetière et se dirigea sur son balcon, personne dans les rues, les magasins étaient fermés, et même le chat qui avait l’habitude de venir dorer son dos a ses pieds était absent, Pourquoi ? Que se passait-il aujourd’hui de bien différent que les autres jours ?
Le jeune Uzumaki sorti une cigarette, la porta à sa bouche et l’alluma. Il inhala la fumée, et continua d’observer la rue du haut de son balcon, derrière lui l’eau chantée dans la cafetière et une odeur de café emplissait à présent la maison du génin. Il balaya la rue minutieusement lorsque son regard tomba sur le corps inerte d’un chunin à l’intersection d’une ruelle. Manji sans plus tarder, sauta du balcon et ce dirigea hâtivement vers le ninja au sol. Lorsqu’il arriva prêt de celui-ci il remarqua de nombreuses blessures, il s’accroupit à la tête du chunnin blessé, essayant de comprendre ce qui pouvait bien l’avoir mis dans cet état. Le corps inerte s’anima alors, il ouvrit les yeux, et eux seulement le temps de dire :
- Raikage.... En danger.... Il faut le protéger...
Puis referma les yeux et ne bougea plus. Manji eut soudain la certitude que ce silence, n’était pas de bon augure, il ce releva, retourna chez lui en courant, pris ses kunais, ces shuriken, mis son bandeau au couleurs de Kumo, et sans même avoir eu le temps de prendre son café, il était déjà sur les toits du village cachée et ce dirigeait à grand pas vers la tour où siégeait le chef, et le plus puissant ninja du village le Raikage.
- Qu’est ce qui se passe ? Putain...
Lorsqu’il arriva au porte de la tour, il vit un attroupement de ninja de Kumo, prêt à croiser le fer, il reconnut 2 chunins qu’il avait croisait peu de jours auparavant dans les couloirs de l’académie, alors qu’il revenait d’une mission de routine de Rang E, le troisième était un junin, qui avait un long cimeterre, Manji en avait entendu parler, mais ne l’avait jamais vue. En face d’eux un quatrième personnage, masqué, les cheveux en queue de cheval, qui libèrait une aura monstrueuse, le shinobi au cheveux rouge n’en avait jamais vue de semblable. La menace devait venir de celui-ci. Il quitta son perchoir et sorti son kunaï, son niveau était trop faible pour ce mesurer à l’inconnue, mais s’il devait mourir aujourd’hui au moins il allait mourir dignement.
- Que ce passe t-il ici ? Qui êtes vous ?
La mort était une partie importante de la vie d’un ninja, le ciel était clair, le soleil était large et chaud, c’était une belle journée pour mourir. Il reprit une cigarette et l'alluma.
Dernière édition par Manji Uzumaki le Mer 6 Oct 2010 - 15:58, édité 4 fois
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Mer 6 Oct 2010 - 15:35
Assise sur le rebord d'un toit, elle portait un regard vaguement intéressé sur les arbres et la rocaille qui s'étendaient hors du village. Alors que d'habitude la pluie semblait une constante, aujourd'hui la montagne était inondée de soleil, et elle pesait le pour et le contre: pouvait-elle faire quelques pas hors du village sans avoir l'air de défier l'autorité ? Peut-être qu'en expliquant aux gardiens de la porte que l'hôpital avait besoin qu'on lui rapporte de l'écorce de saule en bonne quantité, elle pourrait...
Ses yeux se portèrent automatiquement vers les portes du village, tandis qu'elle réfléchissait à ça. Elle cilla, puis murmura à voix basse:
"Allons bon. Les gardes ne sont pas là pour m'écouter..."
Intriguée par ce détail inhabituel, elle resta un long moment à se demander pourquoi les gardes, qui de par leur vigilance et leur discipline s'étaient pratiquement intégrés au paysage de Kumo, avaient désertés leur poste. Une brise souffla à travers ses cheveux, qui ne lui apporta que le silence des rues. Le silence... Les gardes absents... Personne pour surveiller la porte... elle resta de longs instants à la fixer, cette porte, jusqu'à ce que le vent fasse imperceptiblement grincer un de ses battants. Que les sentinelles soient absentes, passe encore, mais que la porte soit ouverte aux quatre vents... c'était un peu trop de négligence.
Ce n'est pas normal, réalisa-t-elle enfin, et elle se redressa vivement. Sa tête se tourna de tous côtés. Volets clos, portes fermées des maisons civiles, les gardes qui paraissaient dormir à même le sol, voilà ce qu'enregistra son cerveau. Un mouvement au-dessus des toits attira à son tour son attention. De loin, elle reconnut la chevelure rousse d'un autre ninja de Kumo, qui filait vers... elle jeta un coup d'oeil plus loin.
Vers la tour du Raikage. Ni une ni deux, elle se laissa glisser le long d'une gouttière jusque dans l'allée en contrebas, et partit à fond de train dans cette direction, en une foulée rapide et silencieuse. Après tout, si quelque chose ne tournait pas rond, c'était le premier endroit où se renseigner.
Finalement, débouchant d'une rue transversale, Tzimara parvint là où se dressait la tour. Elle s'immobilisa, les yeux fixés sur le petit attroupement de ninjas qui s'était assemblé là. La plupart ne lui étaient que vaguement familier... A vrai dire, elle ne s'était jamais tant approchée d'eux, et pourquoi l'aurait-elle fait ? C'étaient des hommes de guerre, qu'elle croiserait bien assez tôt sur les litières de l'hôpital. En revanche, la chuunin - quel était son nom, déjà ? - elle l'avait déjà vue dans ces couloirs, soit couverte de contusions, soit aidant aux soins. Impossible de s'en souvenir très exactement. Et puis, bien sûr, il y avait le ninja avec un masque. Un ninja avec un masque, mais qui n'avait rien d'un anbu... d'ailleurs, où étaient-ils, ceux-là ? Bref, un ninja avec un masque qui semblait barrer l'accès à la tour. Elle resta là où elle se trouvait, encore dans l'ombre d'un mur, neutre d'attitude et d'expression, pas du tout sûre de la raison de cette mise en scène, mais attentive aux échanges de paroles ou d'actes qui allaient, elle n'en doutait pas, mettre de la lumière sur l'étrangeté de cette matinée.
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Ven 8 Oct 2010 - 15:37
Suspendu par le temps, j’attendais, sentant couler en moi les longues secondes, voir minutes d’une impatience sordide dans une situation mauvaise et dangereuse, enivrante mais pourtant si repoussante à la fois. La folie sanguinaire était comme le doux alcool s’écoulant dans une fontaine clairvoyante de l’amphore de l’allégresse, sang délicat et rougis par les vapeurs nauséeuses de la désolation tandis que les fluides les plus incestueux se répandaient en une vague de sentiments perdus et embués de détresse. C’était comme si l’harmonie bouillonnante d’un être vulgaire et sanguinaire venait de se réveiller, brulant d’impatience tel le loup garou vautré dans les ténèbres de son existence, attendant avec une sombre et folle impatience le temps de plonger ses crocs jaunies et putrides, odeur ferreuse et repoussante, dans la chaire des victimes qui allaient accompagner sa sombre destinée, vie de misère et de batailles avilissante. J’exultais à l’idée d’être le marteau de guerre d’une tragédie que je pensais être capable de contrôler, tel ces dieux misérables jouant avec le destin lumineux des vies, j’étais à mon tour celui qui tenait entre ses doigts vaporeux les lames grotesques des destins de ceux que je déchirais de la lame malfaisante de mon ardent désire d’existence. Je ne pouvais m’empêcher de laisser retentir en moi comme le carillon discordant d’un chant innommable tout droit sortie de la bouche aux lèvres noircies par les ténèbres de la reine des enfers, les jubilations mauvaise d’une trépignation qui tremblait à moi à l’idée d’être une lame destructrice, comme si j’allais pouvoir reporter ma propre peine, ma propre souffrance sur d’autres êtres afin de me délester de ces poids redoutables qui flottaient à mes chevilles, matérialisation solide de souvenirs trop lointains et miséreux, comme si ils étaient insultant ou grossier devant mes yeux brûlants d’envie. J’étais en ce moment même le démon ardent d’une irrépressible envie de destruction, celui qui se laissait aller à la contemplation d’une vague de sentiments mauvais et répugnants, attendant avec jubilation proche de l’indécence le moment où les ailes d’or du salut s’élargiraient dans mon dos afin de voler haut dans le ciel et ne plus être un aigle aux ailes brisés, et de pouvoir dès lors tendre les serres aiguisés qui étaient miennes vers le ciel pour le déchirer en deux et défier les sombres démences qui s’y étaient blottis en attendant le jugement dernier. Mais en ce jour encore, j’étais à terre, aiguisant mes larmes de guerre afin de les rendre plus tranchantes et puissante encore, me baignant avec joie dans une effluve aussi dégoutante qu’incestueuse afin de réprimer la souffrance inaudible de mon cœur qui battait en rythme avec les larmes de glaces quant à elle de mon être brisé dans sa propre existence. Je savais bien sur au fond de moi-même que probablement une grande partie de cette tragédie qui se mettait-en place dans ce village caché de la foudre, Kumo, était due en majorité à l’action malfaisante des dieux qui s’amusaient de voir des vies se rompre entre leurs doigts grotesques, riant et jubilant face à la détresse de leurs sujets, se moquant éperdument qu’un électron libre se trouve dans cette pièce qui devait rendre le jeu de ce théâtre grotesque plus amusant encore à leurs yeux dégoutés par l’existence rompue de leurs êtres face à l’infinité du temps. Mais qu’importait ce moment, car vite la jubilation et la frustration qui se mêlaient en moi comme un fruit véreux dont le ver nauséabond et gluant de l’ambition mauvaise semblait gigote de bonheur dans la chaire putride de cette chose, furent remplacés par une certaine forme d’appréhension, car cette bataille allait être mon premier véritable combat depuis près de plusieurs années, le dernier en date ayant eu pour résultat la mort de ce monstre qui m’avait recueillit et fais de moi son élève afin que je ne devienne qu’une banale épée entre ses doigts, mais qui aujourd’hui pourrissait avec son ambition dans les ruines branlantes d’un vieux temple qui depuis cette époque avait du s’écrouler sur ses propres fondations aux murs lézardés par les souvenirs anciens. Me rappelant avec délice cette époque où j’affrontais pour la dernière fois cet homme avant de le tuer et de lui voler cet étrange parchemin d’invocation que depuis je n’avais pas déroulé ni tenter de comprendre quels étaient ces choses en lesquels il avait placés tout ses espoirs, je fus tirer de mes songes par le bruit rapides de pas venant dans cette direction, une autre vague d’ennemi allait donc apparaître après j’eusse abattu sans effort manifeste les quelques gardes dénués de talents qui s’étaient réfugiés en ces lieux en tant que bouclier fragile et branlant de leur si bien aimé kage. La première personne qui ainsi se lança à corps perdu dans la gueule malfaisante du loup infernal que j’étais était un homme d’envergure respectable, à la carrure plus impressionnante que la mienne physiquement, une chevelure nacrée et courte miroitant sur le sommet de son visage renfrogné, une épée d’une taille imposante entre ses mains… C’était probablement le genre d’hommes à privilégier la force pure à l’intellect, une chose bien regrettable et stupide, c’était ce que cette apparence de gorille humain me faisait ressentir, un gorille idiot tenant entre ses pattes velues un gros bâton qu’il brandissait comme une arme. Une certaine lueur de colère passa dans ses yeux aux airs de crétins avant de lancer d’une voix toute aussi minable que son apparence :
- Laisses moi passer sinon je vais rapidement passer sur ton corps mutilé !
Je souriais derrière mon masque… Je venais de reconnaître un des juunin de Kumo qui répondait à l’ignoble nom de Yamamoto Takeshi… Ainsi donc cet imbécile pensait pouvoir me passer sur le corps ? Il était bien idiot, j’étais probablement le ninja le plus puissant du village si l’on exceptait le Raikage lui-même qui tirait son pouvoir d’une bête hideuse enfermée en lui comme dans une cage de chaire sanglante. Battre un énergumène aussi pathétique que lui serait une partie de plaisir d’une facilité déconcertante, j’en riais d’aisance intérieurement. Alors que je m’apprêtais à lui répondre pour le répondre bien évidemment à sa place, un autre idiot que je pus quant à lui, reconnaître au premier coup d’œil, vint se planter derrière le gorille, lui rentrant dedans avec un choc sourd, bien que ce stupide primate n’ait probablement pas ressentit le choc, ou bien que le fait qu’il y ai eu un choc mettent une éternité à atteindre son cerveau dégénéré. Le nouvel arrivant était un petit déchet incapable de se battre réellement contre des adversaires plus fort que lui, qu’il vienne aider dans cette bataille était comme venir pisser dans un violon, cela ne servait fichtrement à rien. Lorsque je le vis sortir un kunai et le tendre vers moi avant de dire que lui aussi allait se battre, je fus subis à une lourde pression, celle d’être capable de ne pas exploser d’un rire moqueur et sadique face à ceux deux idiots incapable de sentir le danger d’un adversaire éminemment plus puissant qu’eux. De plus je connaissais parfaitement le niveau de cet incapable qui se prénommait Gargonith Manjome, un enfant stupide qui ne possédait pas la moindre once de talent véritable et qui ne deviendrai probablement jamais un guerrier reconnu, tout juste une esquisse grotesque bonne à être placardée dans l’ombre de ses aînés et de n’être qu’un vulgaire appât, de la chaire à pâté. Tendant l’oreille, je savais que d’autres étaient sur le point d’arriver, c’est pourquoi je retenais sur mes lèvres les mots que je bouillais de dire à ces deux primates. Mais c’est lorsque la troisième personne arriva que la foudre tomba avec violence. Venait d’arriver ainsi sur ce champ de bataille la seule personne dans ce village pour laquelle je vouais un certain attachement, une brave fille dans laquelle je me revoyais moi-même autrefois, faible et humilié, mais qui pourtant désirait s’en sortir par tout les moyens, même si pour ma part, j’avais fini par me jeter en larmes dans les bras froids et tendre dans la mort, la suppliant de m’amener dans son royaume où la souffrance ne serait plus, ce qu’elle me refusa… Il s’agissait de la petite Miyako, une enfant turbulente mais ravissante quand on perçait à jour sa vraie mentalité, ou du moins était-ce ainsi que je la percevais, me voyant en elle. Bien qu’une certaine pointe de répulsion et de colère montait en moi à l’idée de devoir la combattre, une autre source d’agacements germa en moi car elle connaissait bien évidemment mes capacités spéciales vue que j’étais en quelque sorte un tuteur pour elle, l’aidant à évoluer pour ne peut être pas sombré dans le même chemin ardent que le mien, préférant la laisser dans un écrin de soie pour ne pas voir d’autres âmes aussi torturés par le destin que moi. Je savais pertinemment que je n’étais probablement pas le seul à connaître cet élément terrible et déroutant qu’était le Meiton, mon propre père l’ayant utilisé autrefois, ainsi que ma mère… Je soupçonnais que peut être d’autres clans ou personnes en avaient la capacité ou l’utilisaient, mais ce n’était guère une certitude… Je priais ainsi au fond de moi pour qu’elle ne fasse pas directement un rapprochement entre cet élément et moi, ou qu’elle s’abstienne dans le cas contraire de tout commentaire. Je me trouvais donc dans l’obligation d’affronter cette jeune fille que j’aurai préféré sauvegarder de sa condition… Une autre personne qui venait d’arriver ne me tira de mes pensées, bien qu’elle ne m’intéresse guère, je ne remarquais ainsi que ses cheveux d’un rouge flamboyant et le kunai qu’il tenait à la main… Je connaissais aussi cette personne vu que j’avais pris la peine d’empruntait au raikage sans sa permission, piles de dossiers sur les ninjas du village. Celui-ci demanda alors d’une voix qui semblait furieuse que se passait-il, et qui étais-je… En voila un qui allait droit au but. Un nouveau sourire s’afficha derrière mon masque. Je savais qu’une autre personne était dans les alentours, mais elle ne daigna apparemment pas se montre, qu’importait réellement ceci… Cette fois, je pus décemment prendre la parole, la voilant d’une once de mystère neutre d’apparence, mais pleine de menace et de moqueries :
-Allons allons, ne connaissez vous donc pas l’art des bonnes manières messieurs dames ? Bien qu’une telle grossièreté vous siée à merveille à vous autres les gorilles stupides, n’est-il pas, Yamamoto Takeshi, Gargonith Manjome… Vous devriez apprendre à tenir une place plus digne de la votre et comprendre à quel point cette attitude est risible, les vers tels que vous ne sont point digne de s’adresser à une étoile ténébreuse telle que moi. Vous ridiculiser sera un véritable plaisir croyez moi. Quant à toi, petit homme à la chevelure flamboyante, Manji Uzumaki si je ne m’abuse, bien que ta politesse soit tout aussi dégradante, tu es plus concis que ces deux idiots. Que se passe-t-il ? Je vais vous le dire. Akatsuki est venue cueillir votre cher et tendre Raikage, après tout, il porte en lui le Hachibi, vous comprendrez donc que nous venions faire notre marché dans ce village, soyez sans crainte, nous venons juste emporter l’article qui nous intéresse, et nous partirons ensuite, si vous êtes bien sage, aucun mal ne vous sera réellement fait, contentez vous de faire les morts, et tout ira à merveille. Quant à qui je suis, je ne suis hélas pas en position de répondre, mon identité ne vous regardant nullement. Et si vous vous interrogez sur le comment du fait que je connaisse vos noms, je dois bien avouer que nos espions sont des êtres bien utiles quand il s’agit de voler nombre de dossiers afin de nous fournir tout les noms composant la force militaire d’un village… Quant à vous, jeune Miyako, je crois aussi avoir répondu à la question que vous vous posiez. Et pour ce qui est de l’invitée mystère, je l’invite à s’arme de courage et de sortir de l’endroit où il ou elle est dissimulée, il ne faudrait pas qu’elle rate le spectacle voyons. Bien, assez de paroles… Passons à l’acte, qu’en dites-vous ? Meiton, Teikokushugi !
A peine eu-je terminé mes palabres, que je composais rapidement une série de signe avant de poser mes mains à terre, libérant une dose de chakra dans le sol, un chakra imprégné de malfaisance, l’art des ténèbres allait être réveillé en ces lieux pour faire sonner le tambour de la destruction. Les ténèbres envahirent la zone, créant un certain poids plus ou moins palpables, obscurcissant la lumière elle-même, la teintant d’ombre mauvaise…. Un grognement sourd retentit, une ombre noir et luisante tressaillit à une faible distance devant moi. Une forme circulaire se dessinait rapidement au sol, laissant échapper des effluves violacées de l’ombre naissante… Puis, une main luisante, brillante même d’une aura violette malfaisante surgie de l’ombre, accompagnée du bras, et d’une tête repoussante au regard écarlate… Sortit en suite un buste musculeux et affolant, des jambes et le dernier bras… Le démon de l’ombre de l’impérialisme venait de renaître des enfers elles mêmes, brandissant dans le ciel son poing rageur, et ses cornes diaboliques.
-Voici l’impérialisme même, saurez vous combattre vos propres démons mes enfants ? Et à présent, Meiton, Haishi !
Je venais de recomposer une rapide série de signes, puis tendant les mains devant moi, je fis jaillir de mes paumes de sombres qui s’étalèrent en l’air mais retombant rapidement au sol tout en s’étirant de plus en plus jusqu'à qu’une hordes de dragons miniatures à l’aura violette aussi meurtrières que le démon impérialiste surgissent… Une dizaine de dragons dotés d’une vitesse affolante qui surgirent de derrière le démon qui tendait son énorme bras avant de l’abattre là où se trouvait l’ennemi… Les dragons quant à eux, prêts à suivre l’ennemi dans leurs mouvements pour les abattre en cas d’esquive, ou même si ils n’avaient point esquivés… Je sautais alors en l’air, atterrissant sur le toit d’une bâtisse guère haute, attendant une réaction tandis que l’entrée de la tour du kage venait de s’écrouler suite aux précédents combats.
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Dim 10 Oct 2010 - 11:20
Je réserve
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Dim 10 Oct 2010 - 11:56
Le ninja était prêt son entrainement intensif avait un objectif, devenir le plus puissant ninja de sa génération, un rêve peut original mais pas facile pour autant.
Combattre à deux contre 1 était une chose qui le répulsait particuliérement mais bon, si son kage était attaqué et que ce ninja était l'allié de l'assaillant il devait avoir un certain niveau...
Une chunin de même niveau que lui même peut-être plus doué arriva...Il la connaissait car son chef d'équipe l'apréciait énormément...Ce qui était rare et avait crée une jalousie stupide envers le ninja."3 contre 1?Sa me tente pas je vais le finir moi même et aller aider le kage!"
Un ninja qui lui était que très peut familier arriva.La cheveulure rouge comme le clan Uzumaki... Manji le genin de kumo.
Un allié même si il n'était pas trop gradé ce ninja était prometteur...
"4 vs 1 de mieux en mieux!"
Le ninja masqué ne bougeait pas pourtant il n'avait point l'air accablé par le nombre...Cela créa un stresse car le chunin ne sembla pas être le seul à l'avoir ressenti!
Peu après il sentit une autre présence!"Un énemi peut-être! Voila pourquoi il n'est pas accablé!"
Mais avant que le ninja est eu le temps de vraiment réfléchir le ninja mystérieux ajouta:
-Allons allons, ne connaissez vous donc pas l’art des bonnes manières messieurs dames ? Bien qu’une telle grossièreté vous siée à merveille à vous autres les gorilles stupides, n’est-il pas, Yamamoto Takeshi, Gargonith Manjome… Vous devriez apprendre à tenir une place plus digne de la votre et comprendre à quel point cette attitude est risible, les vers tels que vous ne sont point digne de s’adresser à une étoile ténébreuse telle que moi. Vous ridiculiser sera un véritable plaisir croyez moi. Quant à toi, petit homme à la chevelure flamboyante, Manji Uzumaki si je ne m’abuse, bien que ta politesse soit tout aussi dégradante, tu es plus concis que ces deux idiots. Que se passe-t-il ? Je vais vous le dire. Akatsuki est venue cueillir votre cher et tendre Raikage, après tout, il porte en lui le Hachibi, vous comprendrez donc que nous venions faire notre marché dans ce village, soyez sans crainte, nous venons juste emporter l’article qui nous intéresse, et nous partirons ensuite, si vous êtes bien sage, aucun mal ne vous sera réellement fait, contentez vous de faire les morts, et tout ira à merveille. Quant à qui je suis, je ne suis hélas pas en position de répondre, mon identité ne vous regardant nullement. Et si vous vous interrogez sur le comment du fait que je connaisse vos noms, je dois bien avouer que nos espions sont des êtres bien utiles quand il s’agit de voler nombre de dossiers afin de nous fournir tout les noms composant la force militaire d’un village… Quant à vous, jeune Miyako, je crois aussi avoir répondu à la question que vous vous posiez. Et pour ce qui est de l’invitée mystère, je l’invite à s’arme de courage et de sortir de l’endroit où il ou elle est dissimulée, il ne faudrait pas qu’elle rate le spectacle voyons. Bien, assez de paroles… Passons à l’acte, qu’en dites-vous ? Meiton, Teikokushugi !
Une grande forme arriva dans un courant d'air violet foncé!Un démon voilà comment on pouvait qualifier la créature qui venait d’apparaître!Le ninja oublia ce que son adversaire venait de dire mise à part son jutsu et le fait qu'il fasse partit de l'akatsuki!
Son sensei...Voilà la seul personne au monde qu'il connaissant comme utilisateur du meiton..."Ce n'est pas possible mon chef d'équipe n'est pas un traître!Il respecte le kage et les règles du village, il ne tardera pas à nous rejoindre!"
Mais bon l'heure n'était plus à réfléchir le nukenin venait d'invoquer une créature et de déclarer les hostilités!
Son démon levait le poing dans les airs!Il était horrible avec ces cornes de bouque sur la tête.
-Voici l’impérialisme même, saurez vous combattre vos propres démons mes enfants ? Et à présent, Meiton, Haishi !
Une dizaine de dragon arrivèrent alors!Le combat allait commencer!
Le ninja ce prépara:
Un dragon arriva sur lui le ninja ce baissa et essaya de le saisir par l’aile ce qui lui valut une brûlure.[color=orange]"Toi t'es un coriace"[/color]Il réessaya dans une mainte tentative et il ce fît encore brûlé."confirmation,mes muscles ne me serviront pas"Il sauta en faisant des saltauts pour éviter les attaques très rapide du petit dragon.
Soudain il ce mit à pleuvoir!"Une source d'eau!"
-Suiton, dragon aqueux!Voilà à quoi ressemble un vrai dragon!Tiens toi prêt et profites de ce combat car c'est ton dernier, utilisateur du meiton!
Le ninja monta sur la tête du dragon et pointa son adversaire avec son sabre.Pendant que ses alliés faisaient à leur tours un combat intensif.
Musique de fond
Dernière édition par Gargonith Manjome le Mer 27 Oct 2010 - 16:31, édité 3 fois
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Dim 10 Oct 2010 - 17:47
S'entendre donner une leçon de courage par un homme masqué... Quoiqu'elle ignore tout de l'ironie, Tzimara détermina sans l'ombre d'un doute que se dévoiler était précisément ce que l'adversaire attendait d'elle. Et évidemment, elle ne voyait pas l'intérêt d'agir de la sorte... pas tout de suite, du moins. Brièvement, elle regarda vers la tour elle-même. Maintenant elle savait ce qui se tramait là-dedans. Un affrontement fatal qui impliquait le Raikage, un assaut qui ne visait, si on omettait la mention d'Akatsuki et d'un Jinchuriki, qu'à trancher la tête du village qui l'avait adoptée. Que le Raikage soit lui-même un démon à l'apparence humaine, ce n'était qu'un détail dans les circonstances actuelles. Les lois de l'hospitalité sont claires, on doit toujours défendre l'hôte qui vous a ouvert sa porte.
"Fortune et courage à toi, Raikage-sama." dit-elle tout bas, tandis qu'une bête immense et obscure se dressait hors du néant pour lui occulter la vue de la tour. Ainsi, ce combat pourrait s'avérer mortel ? La pensée tournoya un moment dans sa psyché, à la recherche d'un écho émotionnel, pour finalement s'avérer aussi insipide qu'une poignée de neige. Mais qu'est-ce que serait la mort, sinon la fin du véhicule de chair qui lui permettrait d'accomplir le dessein de sa Déesse ? Inacceptable fatalité, qu'elle ferait en sorte de contrer. Tandis que la pluie, subite et inattendue, dégringolait d'un ciel qui était ardent l'instant précédent, une dizaine de dragons noirs se déployèrent dans la zone de combat, et s'abattirent par groupes sur chacun des Kumojins présents. Elle-même vit un dragon tracer une ligne droite et véloce dans la direction des ombres où elle s'abritait. Tzimara forma quelques mudras simples... et réapparut aux pieds du démon du Meiton. Là-bas, dans les ombres où elle se trouvait il y a un instant, le dragon entra en collision avec un rocher. Le rocher avec lequel elle venait d'exécuter un Kawamiri. L'ombre autrement plus écrasante d'une créature d'un autre monde la surplombait, et elle se retourna pour en contempler la hauteur. Face au titan cauchemardesque forgé d'ombres spectrales, elle se contenta de déclarer à haute voix:
"Un vrai démon jugerait bien insolent l'humain qui le mettrait sous ses ordres."
Tenter de parler à ce diable, attirer son attention sur son individualité et son libre arbitre, voilà une idée dont l'efficacité s'avérait hautement improbable. Et de fait, quand le démon manqua la broyer de son poing massif, Tzimara songea que cet être n'était en fin de compte qu'un golem, une enveloppe de substance dépourvue d'âme et de pensée. Juste un esclave élémental. Au terme de son esquive, elle se retrouva un peu en arrière du faux démiurge, et sans aucune peur, elle remarqua qu'il avait son regard rivé sur elle et, pivotant, levait le poing pour une nouvelle frappe. En une marge de temps si brève pour un tel colosse.
"Ta haute taille jouera contre toi et ton maître." décida-t-elle en esquissant un vif mouvement de recul, et elle entreprit de composer une nouvelle série de mudras. "Kirigakure no jutsu."
Une nappe de brume commença à envahir la base de la tour, rendant plus que floue la silhouette de la Chuunin du point de vue d'une bête aussi haute sur pattes, et par là-même, cacher la présence des Kumojins les plus proches au regard de l'ennemi masqué, perché sur son toit pour observer le déroulement de la bataille. Qui pourrait dire de quels dégâts était capable une chose aussi massive, quand elle commencerait à frapper sur des ombres se détachant dans le brouillard ? En tout cas, son imprécision serait, Tzimara le souhaita, l'élément de sa chute. Car le monstre était si grand et massif, que peu importe l'épaisseur du brouillard, il serait toujours possible de le situer. Et enfin, elle commença à composer un Bunshin... bientôt, il y aurait bien plus de cibles que ne pourrait en frapper le démon de l'impérialisme. La guérilla était en marche...
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Jeu 14 Oct 2010 - 19:13
Quel journée vraiment pourri. Si seulement ce Raikage n’avait pas en lui son stupide démon. Enfin de quoi se plaint-elle ? Au fond il n’y avait pas grand monde qui viendrait se battre et le Raikage perdrait surement. Quoi que ? Il connaissait beaucoup mieux son bureau que Miyako, mais il y avait peut de place pour ce battre et le combat risqué très vite de déborder sur le village.
Et puis quoi encore ? Un nouveau venu ? Allié ou ennemi ? Allons bon, qu’est-ce qu’il foutait ici celui là ? Un tout jeune genin fraichement sortit de l’académie. Il aurait mieux fait de prendre ces jambes à son cou au lieu de risquer sa vie pour un tel village. Enfin c’est sa vie pas celle de Miyako. De toute manière il était hors de question pour elle de mourir ici.
Et puis pourquoi se battaient-ils au juste ? Pour quel raison fallait-il sauver cet homme qui avait pour seul titre Raikage ? S’il meurt on le remplace ? Comme d’’habitude non ? Si ils veulent tellement sont démon pourquoi ne pas laisser faire ?
Miyako souffla légèrement, exaspéré par la situation qui allait de mal en pis. Il fallait protéger un genin sans expérience en plus de sa propre vie, vraiment qu’elle galère. Et puis, cet homme masqué ! Maintenant qu’elle faisait plus attention, la carrure de cet homme ressembla étrangement à l’une de ces connaissances. Une bouffé nostalgique s’empara du cœur de la demoiselle. Un homme aux cheveux longs, à l’aura maléfique et qui lui a inculqué certaines bases en combat.
Flash back :
C’était un jour de pluie. Miyako venait encore d’avoir des mots avec sa famille et partie en pleurant de la demeure familiale. Elle ne prit même pas la peine de s’équiper d’un parapluie. Elle sortie comme ça et devint mouiller de la tête au pied en quelques minutes. Elle courut dans tout le village tombant et s’écorchant genoux et coudes.
Elle passa toute la journée à fuir la foule, et quand le soir arriva elle n’osa pas rentrer chez elle. Alors elle trouva une ruelle peut passante et s’installa dans la boue. Elle tremblait de peur et grelotait de froid. Qui plus est elle n’avait rien dans le ventre. Qui commença à gargouiller furieusement. Elle entendit des pas, surement sa famille qui venait la chercher pour la punir de s’être enfuit une fois de plus. Point du tout. Se fut un jeune homme, fort beau au premier regard mais fort désagréable à la voix. Il devait être âgé de 19 années, alors que la demoiselle n’en faisait que 15 ans. Il avança vers une main douce et généreuse. Miyako la saisie alors et suivit cet homme chez lui. Il lui donna à mangé et de quoi se sécher.
Qui était cet homme ? Miyako se souviens parfaitement de son nom, ce qui est très rare. Setsuri Hazu, c’était un juunin du village. Son aura était certes troublante mais Miyako trouvait en lui un certain réconfort. Et puis l’homme était pas mal à regarder aussi.
Fin du flash back.
Miyako revint à elle et que vit-elle ? Ca !
« Non, c’est impossible ! »
Oui, c’était bien lui. Cet homme, qui autre fois avait aidé Miyako. Lui avait vainement tenté d’apprendre les même techniques et qu’elle avait faillit y rester. Lui, cet homme qui était en quelque sorte le mentor de la demoiselle. Pourquoi ? Pourquoi faisait-il une chose pareille ? Certes, Miyako elle-même se fichait pas mal de son village mais de là à le trahir alors qu’il a fait d’elle un ninja. Cette créature aux cornes : le démon. Mais pas n’importe quel démon. Le démon de Setsu, un démon intérieur, enfin c’est ainsi qu’elle représentait la chose.
Puis les dragons. Une dizaine de dragon surgirent de derrière le démon. Celui-ci abattit son bras vers le petit groupe. Alors Miyako se jeta sur le genin pour lui éviter le bras. Mais dans le tumulte elle en oublia les dragons qui foncèrent droit sur eux. Que fallait-il faire ? Si elle esquivait, se seras le genin qui prendrait tout. Et il est hors de question qu’il y est plus de perte dans ce village. Miyako sortit ces deux kunais et le mit en rempart contre les deux bêtes. En vain car la demoiselle prit les brulures sur ces bras. Elle ne put résister et fut projeter un peut plus loin. Pendant ce temps une brume apparut. Pour les dissimuler mais cela allait savérer fort désagréable pour la suite du combat.
Laissant le genin à son triste sort, en espérant qui soit vivant à la fin de ce combat. Miyako se mit en chemin. En chemin ? Mais pour aller où ? Elle n’allait nulle part, elle voulait juste remettre les pendules à l’heure de son Sensei. Mais y arrivera-t-elle ou se fera-t-elle tuer ? De toute manière elle sait très bien que si elle survivait à ce combat sa famille ne lui redonnerait pas son titre jadis perdue pour incompétence. Mais comme dit un dicton : qui ne tente rien, à rien !
C’est alors qu’une ombre gigantesque apparut devant elle. La brume devant ces yeux ne lui permettait pas de savoir si c’était l’un des autres ninjas ou alors l’un des dragons. Dans le doute elle effectua un Konoha Dai Senpu . Elle sauta et assena n coup de pied vers le forme pour la faire reculer :
« Qui que vous soyez laissé moi passer ! » Elle était déterminé à rendre la raison à cet homme jadis son maitre.
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Lun 18 Oct 2010 - 10:38
Le mistral poussait les nuages dans le ciel de Kumo, apportant de lourde nuées chargées de pluie. Il sentit derrière lui une présence, visiblement les événements prenaient une allure plus que mauvaise. Mais Manji reprit rapidement confiance ils étaient quatre. des ninjas du village, ils connaissaient tous le terrain, c’etaient leurs monde, son village, ces assassins, ces nukenins étaient vraiment des imbéciles. Pensaient-ils vraiment avoir la moindre chance de remporter la victoire face à eux ?
Soudain l’homme masqué prit la parole, il avait une voix froide, une intonation propre à ces hommes qui ont vécus les pire souffrances, et qui n’ont à présent plus que la mort comme seule idée, comme seul voie :
- “ Allons allons, ne connaissez vous donc pas l’art des bonnes manières messieurs dames ? Bien qu’une telle grossièreté vous siée à merveille à vous autres les gorilles stupides, n’est-il pas, Yamamoto Takeshi, Gargonith Manjome… Vous devriez apprendre à tenir une place plus digne de la votre et comprendre à quel point cette attitude est risible, les vers tels que vous ne sont point digne de s’adresser à une étoile ténébreuse telle que moi. Vous ridiculiser sera un véritable plaisir croyez moi. Quant à toi, petit homme à la chevelure flamboyante, Manji Uzumaki si je ne m’abuse, bien que ta politesse soit tout aussi dégradante, tu es plus concis que ces deux idiots. Que se passe-t-il ? Je vais vous le dire. Akatsuki est venue cueillir votre cher et tendre Raikage, après tout, il porte en lui le Hachibi, vous comprendrez donc que nous venions faire notre marché dans ce village, soyez sans crainte, nous venons juste emporter l’article qui nous intéresse, et nous partirons ensuite, si vous êtes bien sage, aucun mal ne vous sera réellement fait, contentez vous de faire les morts, et tout ira à merveille. Quant à qui je suis, je ne suis hélas pas en position de répondre, mon identité ne vous regardant nullement. Et si vous vous interrogez sur le comment du fait que je connaisse vos noms, je dois bien avouer que nos espions sont des êtres bien utiles quand il s’agit de voler nombre de dossiers afin de nous fournir tout les noms composant la force militaire d’un village… Quant à vous, jeune Miyako, je crois aussi avoir répondu à la question que vous vous posiez. Et pour ce qui est de l’invitée mystère, je l’invite à s’arme de courage et de sortir de l’endroit où il ou elle est dissimulée, il ne faudrait pas qu’elle rate le spectacle voyons. Bien, assez de paroles… Passons à l’acte, qu’en dites-vous ? Meiton, Teikokushugi ! “
Manji ne comprenait absolument rien de ce qu’il venait d’entendre, l’homme contre qui il allait engager le combat le connaissait, il connaissait l’identité du Génin sans doute avait il étudier aussi les manières et le style de combat du jeune Uzumaki. En faite le plus choquant c’était que cette homme au masque connaissait absolument tout les combattant qu’il allait devoir retenir et puis qu’est ce que c’était que cette Akatsuki ? Et le Hachibi ? Manji n’eut pas le temps de réfléchir au questions puisqu’à présent se dresser devant lui un démon monstrueux, comme ceux que son père peignait parfois à l’encre sur les grandes toiles de lin. L’étrangé ne s’arreta pas là il se mit très rapidement à composer des mudras, il ne ferait aucun cadeau, les autres shinobis autour de Manji, avaient très vite compris que c’étaient eux ou lui. La pluie commença à tomber, une eau chaude, une averse d’été, des petites gouttes, qui glissait sur les joues, ruisselant sur les lèvres, et petit à petit chargées les vêtements et les gorgés d’eau, les rendant un peu plus lourds à chaque minute.
- “ Voici l’impérialisme même, saurez vous combattre vos propres démons mes enfants ? Et à présent, Meiton, Haishi ! “
L’homme venait de finir son invocation, des dizaines de dragons sortirent d’une brume noire. Le combat débutait maintenant, Manji comprit que ce n’était pas avec un Kunaï qu’il pourrait atteindre son adversaire, mais le temps qu’il réalise ce qui ce passait les dragons se jetèrent sur ses alliés et lui. Que faire ? Le Génin était tétanisé, ces membres ne lui répondaient pas, la jeune shinobie Miyako, s’interpose entre eux et lui prenant de pleins fouet deux de ces lezards obscures, de lègeres blessures apparues sur les bras de la jeune fille. Cette action réactiva toutes les facultés du shinobi au cheveux rouge. Il là regarda et se promit de la protéger et de ne plus perdre son sang froid face aux difficultés. Soudainement une brume épaisse se glissa autour de la tour du Raikage rendant la visibilité sur l’ensemble du champ de bataille, la stratégie de combat changée face à l’impérialisme, il fallait une révolution, une guérilla, frapper dans l’ombre, enlever les colonnes qui ont fondées ce pouvoir une à une pour qu’au final détruire la tête.
- “ Bien ! Bunshin ! Plus on est de fous , plus ont rient ! Force et honneur au Raikage ! “
Manji venait de créer un clone, l’idée était simple dédoubler les cibles pour l’adversaire et ainsi le rendre plus difficile à atteindre, lui l’un des derniers Uzumaki, un des représentant du village caché des montagne.
Pourtant peut de temps après avoir créer son clone, son Bunshin fut détruit par un shinobi qui venait de lancé une attaque taijutsu.
- Merde ! Que faire ? Je ne suis pas assez expérimenté pour rivalisé face à lui. Je ne doit pas abandonner, soit avec moi Père, regarde moi ! Si je te rejoint aujourd’hui soit fière de moi. Notre nom disparaîtra dans le sang et l’honneur !
Le jeune homme commença à courir dans la brume et tomba nez à nez avec une jeune shinobi au cheveux noires, amie ? ennemie ? Que faire ? Elle n’était pas là il y a encore peu. Deux dragons plongèrent sur elle, il ne pouvait rien faire, il ne réfléchit pas plus longtemps et se mit en bouclier prenant les deux invocations dans le ventre. Une violente brûlure apparue alors. Il sentit comme des lames qui s’enfonçaient dans son estomac, lui bloquant pendant quelques instants la respiration.
- AAAAAAAaaaaaarg ! Enfoiré !
Il se releva après quelques instants, ces jambes tremblaient, un goût amère de sang apparaissait au fond de sa gorge. Tout seul il n’avait aucune chance mais ensemble ...
- Mademoiselle, si vous êtes avec nous travaillons en équipe ! Montrons à ces enflure ce qu’est la volonté de pierre du village caché de Kumo.
Dans tout chaos il y a de l’espoir, Manji y croyait.
Dernière édition par Manji Uzumaki le Ven 22 Oct 2010 - 17:20, édité 1 fois
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Mer 27 Oct 2010 - 14:32
Long est la mesure du temps, quand ses larmes de cristal s’écrasent sur la surface d’ébène du monde afin d’en décorer le corps nue et le faire évoluer vers sa forme suprême, perdue dans les confins d’une époque trop éloignée pour que sa présence fictive et immémoriale puisse encore effleurer les esprits étriqués de notre espèce si folle et démente. Long et impitoyable, il s’écoule encore et toujours, répandant dans son sillage une traînée argentés qui elle-même finie par se diviser en des milliers d’autres, traçant alors la toile nébuleuse d’une existence primitive mais pourtant si évoluée, laissant la marque stridente d’un fléau imaginaire sur la peau chagrinée d’un univers si terrifiant. Cette toile si brillante et puissante est la marche des destins, illuminant de milles feux les ténèbres ensanglantés de notre folie, se brisant et se reconstruisant encore et toujours au fil de nos actions, de nos joies et de nos tragédies, éclairant une nouvelle route d’une vie se dressant dans les ténèbres, ou disparaissant dans le néant lorsque cette flamme s’éteint tel un puissant soupir. Ce temps si redoutable semblait prendre un plaisir malsain à voir les traits parfois si beau d’un univers de beauté, s’affaisser en une esquisse grotesque d’existence lorsque les lames de l’âge effleuraient le velours de la peau elle-même. Nul être en ce monde n’était réellement capable d’affronter cette créature si fantasque et imposante qu’était la reine de lumière qui transcendait l’existence elle-même, tendant ses mains d’argent diamantine pour éclairer les ombres dansantes de notre monde afin de l’aider à s’écouler dans l’immense rivière du temps. Cette mesure était si grande, si impénétrable qu’elle semblait tracer une ligne noire sur toute la longueur même de la vie même, la courbant à son désir le plus profond afin de la manier tel l’argile dans les mains douces et cuivrés d’un artiste. Tremblant dans l’infinité, cette ardente forme semble se corrompre face à elle-même, inspirant plus de ténèbres que de lumière dans incroyable longévité, tentant en vain de lutter contre les maux de la vie qu’elle tisse, mais incapable de se battre plus que nécessaire face à cette sombre folie, l’esprit d’une vie interdite, de vies maudites qui parcourent le monde en lui-même, laissant éclater une malsaine folie dans leurs esprits tordus, telle est la malédiction qui habite toute forme de vie, telle est la sanction que les dieux stupides ont adoptés envers le genre humain afin de s’éblouir de leurs stupidités et de leurs tragédies les plus terribles. Le temps est aussi ben une arme qu’un apaisement, tendant sur nous un voile de tendresse imperceptible, ou lançant les éclairs du ciel afin d’anéantir notre raison elle-même, telle est la vie désignée pour cet être fantasque qui bien qu’indomptable, est condamnée à servir les dessins odieux de ces démons anarchiques qui siègent dans les cieux. Aussi petit soyons nous, il semblait bien impossible d’opposer une quelconque résistance face à cette absolu état de fait qui nous était imposés sur nos épaules frêles et fragiles de mortels, mais pourtant, brulait au fond de moi l’ardent désire de me révolter contre cette tyrannie divine et de m’élever tel l’aigle suprême au dessus des cieux pour châtier ces créatures misérables, les détrôner et devenir moi-même le céleste ultime, celui qui transcenderait l’existence elle-même pour créer le monde parfait, sans tragédie ni souffrance, où sel un culte raisonnable permettrait à ces vers humains d’apaiser leur monde, et de vivre selon leur propre conduite, et non celle d’un caprice divin.
Me tenant debout au dessus de cette scène de carnage, combat livré pour de simples oppositions de choix et de croyances, la bataille s’annonçant violente aussi bien physiquement pour certains, psychologiquement pour d’autres, je me sentais pour ma part bien au dessus de ces préoccupations risibles, tant ces insectes emplis de faiblesses étaient insignifiants, seule la lassitude menaçait de gagner mon cœur et mon esprit, m’obligeant à tous les exterminer avec une seule attaque afin de les empêcher définitivement de se relever et de nouveau de tenter de dresser leurs crocs jaunes et sales vers l’entité supérieure que j’étais. Malgré tout, un certain pincement au cœur me certifiait le fait que j’étais un de ces instruments de guerre qui forgeaient le de désespoir et les tragédies tant craintes par nous autres mortels, et tant appréciés par ces démons de lumière. Certes, je me savais délivré des chaînes de leurs incessantes tortures, mais encore aujourd’hui je forgeais les tragédies qui les amusaient tant. Bien que cela ne me gênait guerre, car c’était des tragédies que je tissais moi-même, et non qu’ils cherchaient eux même à créer, je leur livrais toutefois un de ces spectacles dont ils raffolaient… Et dont je raffolais malgré moi aussi, prenant un malsain plaisir à massacrer ces vers qui osaient se dresser face à moi, l’homme maudit qui un jour aurait la destiné de se dresser au dessus des dieux pour les tuer tous autant qu’ils sont. J’observais mes dragons de ténèbres partir en tout sens afin de dévorer de leurs crocs malfaisants les corps et esprits de ces déments hérétiques qui daignaient pointer leurs armes vers moi… L’un d’eux dans sa furie mauvaise visait l’ignore stupide qui se croyait être mon élève, mais qui n’était qu’un poids ahurissant attaché à mes chevilles… Je pouvais voir ses yeux emplis d’une stupidité plus profonde que l’océan d’amertume même qui m’habitait tandis qu’il fléchissait ses genoux pour tenter de saisir la chimère du meiton qui l’avait visé… Je dus réprimer un puissant rire quand je le vis se tordre de douleur et retirer avec un rapide reflexe son bras de la créature qui avait du brûler de façon sévère ses chairs si peu protégées et jetés dans la gueule du démon même avide de dévorer le sang s’y trouvant. Cet abrutit n’avait hélas guère compris la leçon et tenta de le saisir une nouvelle fois avec ses bras lorsque le monstre infernal revint à la charge vers lui, laissant sur sa peau une nouvelle morsure de feu noir, et une nouvelle souffrance qui venait s’ajouter à la précédente. Décidemment, ce primate n’évoluerait jamais et resterait l’idiot abrutit qu’il était à jamais. Je pus voir du coin de l’œil que les autres aussi semblaient lutter contre la technique des dragons des ténèbres, et je sentis d’ailleurs la présence de l’un d’eux s’évaporer, apparemment vaincu. La seule personne qui m’importait un tant sois peu dans ce troupeau de vers était la jeune Miyako qui venait apparemment de se ruer sur le genin aux cheveux rouges, encaissant de plein fouet deux de mes erzags maléfiques… La souffrance qu’elle encourait pour ce geste devait être lourde, car même si cette technique était faible, elle pouvait occasionner de lourds dommages si on n’y faisait guère attention. Je mordis ma lèvre inférieure en y pensant tandis que je sentis une légère pluie commencer à tomber de petit nuage légèrement grisonnant, comme si ces dieux maléfiques pleuraient face au carnage qui se déroulait ici. Des larmes de tristesse ou de joie, je ne pouvais le deviner, mais je m’en moquais éperdument.
Je vis aussi alors qu’une jeune fille avec qui j’avais déjà voyager lors d’une ancienne mission où je l’escortais affrontait mon démon des ténèbres, le souverain impérialiste en personne, esquivant habilement le premier coup de la créature issue du néant existentielle de mon être, tandis que le primate qu’était ce stupide Gargonith fonçait chevauchant un dragon aqueux. Un sourire moqueur se dessina sur mes lèvres, il venait de commettre une lourde erreur en agissant de la sorte. En effet, le démon se dressa face au dragon qu’il encaissa de plein fouet, lançant dans le brouhaha de la bataille un hurlement de rage qui avait du se répercuter dans la totalité du village. La réverbération se produisit alors, réfléchissant une partie des dégâts causés par l’attaque sur Gargonith lui-même, suivant comme canal l’alignement des chakras. Le monstre ne laissant aucun répit à son adversaire, tendit un bras démesuré, paume ouverte, avec une vitesse affolante vers cet idiot afin de le saisir et de le broyer entre ses doigts… Vu qu’il avait chargé sans réfléchir, il n’avait aucune chance d’éviter ceci, tandis que de son autre main, il cherchait à frapper la jeune Tzimara afin de l’écraser sous sa poigne, comme pour lui faire payer le manque de respect qu’elle avait eue envers lui. Mais avant qu’il ne puisse abattre son jugement colérique sur elle, elle eut le temps de composer une série de mudra, un large brouillard commançant à recouvrir la zone. Comprenant la gêne que cela allait occasionner tandis qu’avant que celui-ci puisse entièrement tout recouvrir, je pus voir que le genin aux cheveux rouges, Manji, avait composé à son tour des mudras et fait apparaître un clone, je sautais du petit toit sur lequel j’étais, et prenait complètement appuis sur la muraille de la tour du Raikage, la grimpant aussi vite que possible pour me dresser complètement au dessus du brouillard… Faisant rapidement un tour de la situation, je compris qu’il restait encore dans le combat 7 des dragons de ténèbres en plus de mon démon impérialiste. Les monstres reptiliens devaient malgré la brume continuer à les harceler, frappant au hasard tout ce qui bougeait, sauf mon propre démon. Un rugissement sonore et le bruit de sourde explosions me fit comprendre que la créature malfaisante que j’avais crée commençait à frapper en tout sens afin de toucher à coups sur les ennemis qui tenteraient de passer dans la brume pour me rejoindre. Je décidais alors de compliquer encore plus leurs manœuvres, composant une nouvelle série de mudras :
-Meiton ! Haishi !
De nouveau, surgissant de mes mains une ombre mauvaise qui vint se répandre au sol, avant de se transformer en une dizaine de dragons d’ombres fonçant vers la brume, afin de donner à cette zone un aperçu de l’enfer, tant la traversée deviendrai immonde… Une idée germa alors dans mon cerveau, celle de les prend à leur propre piège… Composant une nouvelle série de mudras, j’allais lancer le jutsu qui allait anéantir cette stratégie stupide du brouillard :
-Meiton ! Kouten !
Un dôme de ténèbres se dressa alors, drainant mon chakra afin de s’élargir assez pour englober la zone de combat entière, ainsi que le brouillard… La technique n’allait point durer très longtemps, mais ce serait largement assez pour les forcer à sortir de leur trou, ce bouclier énergétique allant probablement drainer de façon redoutable leur chakra pour le laisser s’évaporer dans l’air tant qu’ils seraient dessous, n’épargnant que mes démons du meiton, les dragons et l’impérialiste. De plus, lorsqu'ils en sortiraient, je savais pertinemment que le démon et les dragons allaient les suivre obligatoirement...
Spoiler:
Récapitulatif :
Citation :
1 er Haishi : 10 dragons - 3 ( un vaincu par Tzimara, deux détruits en frappant Miyako ) = 7 Utilisation d'un Haishi : 10 + 7 = 17 dragons sur le terrain. Teikokushugi : Santé du démon : 70%, renvoi des dégats : 30% des dégats totaux du dragon aqueux sur Gargonith + attaque au poing sur Gargo et tout ce qui bouge. Kouten : englobe la zone de combat et draine le chakra de ceux étant dedans.
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Mer 27 Oct 2010 - 16:24
Le ninja fonçait sur l'homme masqué,chevauchant son dragon,il était sur de lui et savait qu'il allait avoir une chance de gagner il dévisageait son adversaire qui avait l'air sur de lui et ne lui accordait pas vraiment d'attention,"Ton surplus de confiance en toi sera la raison de ta perte!"Arrivé à moins de 20 mètres du visage de l'utilisateur masqué du meiton.Il allait le toucher quand soudain,la créature invoqué par le ninja ce dressa sur son chemin et détruisa le dragon,et ce ne fut pas tous le ninja avait prît une partie des dommages qui auraient dût être cosé à son adversaire par il ne savait quel prodige,et la créature des ténèbres ne s'arrêta pas là,elle s'apprêta à écraser le ninja de sa grosse main quand une napée de brouillard envahit la champs de bataille,le ninja profita de la diversion pour s'écarter et ce cacher un peu plus loin,il avait mal,les dégâts qu'il avait subit par la faute de sa propre technique ninja n'avaient pas été moindre.Il ne voyait plus rien,il entendait les rugissements des dragons miniature des ténèbres de la bête qui avait stoppé son jutsu,ils étaient aveuglé,il devait leurs porter un coup pour les finir mais la douleur l'en empêchait...
Fuir ou mourir,voilà le choix qui s'offrait désormais à lui.Un choix peut banal,il ne savait plus où il en était,son rêve serait impossible à réaliser si il mourrait,et les autres ninja de sa génération qui combattaient ne le générai plus dans son but qu'est de devenir le meilleur ninja de sa génération.Mais il ne pouvait pas les abandonner,il devait ce battre jusqu'au bout pour son village et son kage,et si sa ce trouve parmi ceux qui combattaient ce trouvait ses futurs amis.Il avait fait un choix,il ce redressa s'appuyant sur son sabre,il concentra tous son chakra,il dégaina son sabre et avança seul dans le brouillard il sortit plusieurs fils de chakra reliés à des parchemins explosifs et les disposa d'un façon bien précise.Il attira désormais le monstre qui lui avait cosé ses dommages "Ramènes toi!"Il entendit plusieurs rugissements puis il vit la tête du monstre.Il lança deux kunais aux quels étaient reliés le bout des files de chakra sur le monstre et fît exploser les parchemins.Un énorme cris de plainte retentissa couvert par le bruit intense de l’explosion.Soudain un dôme noir envahissa la zone de combat.Sur cela il sentit son chakra le quitter,et le brouillard aussi disparu,il regarda le ciel noir,il y avait encore plus de dragons qui volaient.Le chakra du chunin était drainé.De plus le démon qu'il avait prit dans son piège était partit.
Il avança voir ce qui ce passait il reconnut sur son chemin une chunin de son village Tzimara,un dragon lui fonçait dessus il courut de toute ses forces et ce mit devant le dragon qui planta des crocs dans le ventre du ninja,celui-ci tomba à genoux par terre et regarda la fille et réussit à prononcer malgré le sang qui lui envahissait la bouche:"Sa te dirait que l'on fasse équipe pour cette bataille?Histoire de rester en vie."Le ninja cracha le sang qu'il avait dans la bouche,arracha une de ses manche et l'entoura autour de son ventre là où les crocs s'étaient peu profondément enfoncé pour empêcher son sang de couler.
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Mer 27 Oct 2010 - 21:39
Il avait fallu une retraite en catastrophe quand le démon, dans un rugissement discordant, s'était mis à frapper au hasard la mince frontière qui la séparait de l'adversaire. Non seulement il l'avait empêchée de finir la formation d'un clone, mais la boue soulevée par les poings du démon en éclaboussures dantesques lui avait fait perdre une bonne partie de son apparence humaine. Tzimara pesta froidement en écartant les mèches terreuses de son visage. Quand cette boue liquide l'avait aveuglée, elle n'avait eu d'autre choix que cette solution de fuite, et encore, ce n'était que pure chance si aucun coup ne l'avait fauchée au passage.
Et maintenant... quoi ? se demandait-elle, tendue comme une corde d'arc en examinant ce qui l'entourait, des mouvements indiscernables dans la brume et la pluie qui pouvaient être n'importe quoi, chimère occulte, adversaire ou... frère de combat ? Pouvait-elle vraiment les appeler de la sorte, ces ninjas ? Il semblerait...
La Chuunin réagit vivement en voyant la tête de dragon qui sortit des nuées dans sa périphérie de vision, ses jambes se fléchissant en vue d'une nouvelle esquive. Mais sa marge de manoeuvre était trop réduite, et elle sut qu'elle ne pourrait lui échapper rien qu'en bondissant. En hâte, elle se déporta de côté en rassemblant ses mains, pour terminer la technique que le démon avait interrompue dans sa furie.
"Bunshin !"
Juste à temps. Clone et dragon s'évaporèrent en une ultime étreinte. Sachant néanmoins que Dame Fortune est une alliée capricieuse, Tzimara se remit aussitôt en mouvement. Dans une situation aussi précaire que la sienne, être immobile était une garantie d'échec. Sa main était déjà à la garde de son wakizashi quand, surprise et à deux doigts de la paranoïa, elle tomba nez à nez avec le Genin aux cheveux roux. Avant qu'elle ne puisse bien réaliser son apparition, il l'avait contournée et, en pivotant pour l'observer, elle vit les deux gueules noires qui la rattrapaient. Le Genin fit alors une chose inattendue. Il s'interposa entre elle et les dragons. Jura sous le coup. S'effondra. Pour cela, et bien qu'elle ne puisse le ressentir réellement, elle sut se montrer reconnaissante, éthiquement parlant.
"Taihei no tsume," appela-t-elle doucement en formant les mudras appropriés, et de sous chacun de ses ongles sortit un petit fuseau de chakra vert, une dizaine en tout, chacun d'entre eux ayant le potentiel de redonner de l'espoir à ce combat. Entre-temps, Manji s'était relevé, et réclamait l'union de leurs forces.
"Appelez-moi Tzimara," fut sa réponse détachée, tandis qu'elle enfonçait délicatement une des griffes médicales dans le cou de son interlocuteur. "Le temps manque pour de vrais soins, mais au moins, vous ne sentirez plus la douleur..."
Quelque part, il y eut une explosion suivie d'une plainte assourdissante, trop sonore pour émaner d'une gorge humaine, qui noya dans le bruit et les vibrations tout ce qu'elle aurait pu dire d'autre. Par ailleurs, elle s'était tu en voyant une espèce de voile noir qui, dans une progression rapide, paraissait transformer la brume en nappe d'encre vaporeuse.
"Par toutes les Puissances... quoi cette fois ?"
Le temps de le dire, les ténèbres les enveloppaient. Et le malaise physique la saisit, oppressant. Tzimara dut bander sa volonté pour résister à l'envie urgente de déserter les lieux et d'obéir aux protestations de sa chair qui hurlait au meurtre face à l'impression de noyade, résultat de la nouvelle technique de leur ennemi.
Puis, de nouveau, un dragon jaillit des brumes, qu'elle ne vit qu'au dernier moment, les ténèbres ambiantes formant un camouflage efficace dans leur cas. Et de nouveau, quelqu'un s'interposa. Avec une sensation qui touchait à la consternation, elle contempla un nouveau ninja dont le ventre venait d'être lacéré par un de ces dragons maudits, en train de lui proposer une alliance alors qu'il devait être crucifié par la douleur.
"Tch. Cette manie... Vous aurez toute la gratitude de ma Déesse. Mais si vous mourez, je vous jure que vous entendrez sonner les cors de ma malédiction jusqu'au Nirvana pour ne pas avoir su remplir vos rôles de guerriers. Alors, debout... et courez avec moi."
Sur quoi, elle fit usage de deux nouvelles griffes en les insérant sous la mâchoire de Gargonith, et lui saisit le bras du même mouvement pour le forcer à se lever et à la suivre. De la même manière, elle incita Manji à avancer aussi vite qu'il le leur était possible. Gargonith titubait déjà sous l'effet lénifiant des deux griffes reçues, mais au vu de l'état lamentable de son corps, il y gagnait au change. Pour l'instant, elle le soutenait, aussi leur allure était-elle acceptable. Cela dit, elle-même devait payer son tribut face à la technique de drainage énergétique. Tzimara éprouvait une difficulté croissante à respirer.
"Je peux le faire tomber... je sais que c'est possible, il faut juste... juste que je puisse l'approcher... le toucher une seule fois..." murmura-t-elle fébrilement en cherchant du regard la fin des ténèbres. Elle crut voir quelqu'un d'autre, plus loin. Une silhouette qui se détachait difficilement dans la brume noircie. Un nouveau piège, une illusion d'optique, ou l'un de leurs alliés ?
Spoiler:
Pour Manji: Tu as reçu une griffe, tu continues à ressentir la douleur, mais de façon très diminuée.
Pour Gargonith: Avec les deux griffes que tu as reçu, tu ne ressens plus rien et tu pourrais presque galoper comme un lapin. En revanche, tu vas être aussi maladroit qu'un ivrogne, peut-être même aussi joyeux. A toi de voir comment tu le joues.
Ah, et n'oubliez pas que les effets ne sont pas éternels. Vous pourrez ignorer vos blessures pendant quelques temps, puis ce sera un retour graduel à la souffrance. De même, une jambe cassée reste une jambe cassée, si vous voyez ce que je veux dire...
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Sam 30 Oct 2010 - 1:13
Il y eu une légère explosion devant la demoiselle quand elle effectua sa technique. Elle comprit que c'était un clone. Pas très puissant et surtout inefficace face à ces créatures venant de sombre côté de Setsuri. Il y eut un grondement puis un choc terrible au sol. Celui-ci trembla sous les pieds de la demoiselle qui fut légèrement déséquilibré.
Puis une ombre gigantesque arriva par le ciel, un dragon? Non, pire que ça! Le bras du démon. Il arriva à une vitesse fulgurante, sous le coup de la colère grandissante du monstre. Miyako arriva à peine à l'esquiver mais fut propulser à terre, au même moment un dragon de meiton fonça droit sur elle mais cette fois si elle n'eut pas le temps de l'esquiver. Elle sentie les crocs du monstres sur sa jambe droite. Une douleur effroyable commença à se rependre dans son corps lentement, comme le venin d'un serpent. Seulement aucunes techniques ne pourrait soulager cette douleur. Mais Miyako ne pouvait abandonner, elle devait se battre. Pour son honneur! Pour sa vie! Alors dans un sursaut d'adrénaline elle se releva, sorti un kunai et vint l'enfoncer au plus profond du dragon. A l'endroit précis où normalement se trouve le coeur d'une bête telle quelle. Ce quelle reçut? Des brulures sur ces bras:
Miyako: "Haaaaaaaaaaaaaaaaaaa..."
Une douleur de plus à devoir supporter, mais y arrivera-t-elle? Rien que ces blessures ne lui permettent pas de continuer le combat, cela l'affaiblie de minutes en minutes. Mais il était hors de question de partir, non il fallait se battre!
Pourquoi? Pourquoi se battre contre lui? Pourquoi ne pas abandonner? Rendre les armes et s'avouer vaincue? Est-ce la meilleur solution? Et pourquoi pas? Après tout? Il était son mentor! Son "grand frère"! Son premier amour!
Elle ne voulait pas se battre contre lui. Il lui avait appris tellement de choses, et il était le seul que la jeune fille ne méprisait pas.
Elle senti une aura. Non un concentré de chakra impressionnant. Puis les ténèbres! Oui les ténèbres apparurent, les enveloppant dans un dôme. Des ténèbres volant le chakra de tous ceux s'y trouvant. Déjà que la demoiselle était dans un mauvais état mais là il allait l'achever.
Elle avança! Comment ça pour aller où? Et bien elle était toujours décidé à remettre les pendules à l'heure de son Sensei. Donc elle se dirigeait vers lui, enfin c'est ce qu'elle pensait. Car elle venait de dévier de sa trajectoire initiale. Elle sentait ces forces la quitter au fur et à mesure, la douleur de ces blessures n'arrangeait rien. Alors elle décida de mettre toutes ces réserves dans un seul jutsu:
Miyako: "Chiyute no Jutsu."
Elle passa ces mains sur ces blessures les moins profondes qui se refermèrent petit à petit. Mais est-ce que cela serait assez pour supporter la douleur? Après cela elle se remit en route. Elle voulait le voir une dernière fois mais le temps lui était compté car bientôt elle s'écroulerait de fatigue et les dragons se donneront à coeur joie pour la déchiqueter en mille morceaux.
Elle continua à avancer dans ces ténèbres. Toute son âme la supplié de quitter le combat. De battre en retraite. De laisser tomber car c'était peine perdue. Jamais elle ne pourrait le remettre dans le droit chemin. Lui qui lui a appris à ne jamais baisser la tête sous une insultes. Lui qui lui avait si souvent dit que c'est en forgeant que l'on deviens forgeron. Elle voulait tellement le revoir. Lire toute la tristesse qu'il avait dans ces yeux.
Les yeux de Miyako se voilèrent, ces forces la quittaient. Elle senti peser au dessus de sa tête la faux de la terrifiante Faucheuse Noire. Alors un bruit. Des pas vraisemblablement. Des ombres parmi les ténèbres se découpèrent devant les yeux de la demoiselle. Se n'ai point le visage des autres ninjas qui combattait à ces côtés qu'elle vit mais le visage de son père et de son frère.
Ils avaient un sourire sur leurs lèvres. Alors elle entendit le murmure de la voix de son père et de son frère raisonner à ces oreilles:
???: "Enfin! Bon débarras! Une nulle de moins dans ce village. Et notre famille retrouve tout son honneur!"
???: "Merci oneesan! Maintenant je vais avoir mon titre plus tôt que prévue. Vraiment que croyais-tu? Pouvoir me dépasser et récupérer ton titre? Pour qui te prends-tu salle morveuse..."
Elle ne put entendre la fin de la phrase car un écho strident retentit. Miyako reprit vie. elle évalua la situation, elle était à terre, ces forces la quittant peut à peut. Non! elle ne doit pas! Relève toi bon sang! Tu n'as pas fait tout ce chemin pour ça!?
Un doigt, puis un autre. C'est bien continue comme ça. Toute la main droite de Miyako se referma. Dans un ultime sursaut d'adrénaline elle réussit à se relever et à partir vers le cris. Etait-elle folle? Oui, comme nous tous! Elle parti dans un dernier effort vers la bête atroce qui n'était que le reflet du coeur meurtri de son Sensei.
Mais les ténèbres l'assaillir pour lui voler ces dernières forces, alors dans un dernier éclat de fureur elle hurla:
Miyako: "Sensei! Il est inutile de vous battre! Je suis là! Je serais toujours là! Alors s'il vous plait... NE M'ABANDONNAIS PAS!!" Elle espérait que Setsuri la regarde car elle écarta ces bras en signe d'impuissance et dans un long sourire emplit de tristesse elle tomba à terre complètement dépourvue de forces.
A quoi pensait-elle à ce moment précis? Elle voulait ne jamais être née. Elle voulait être quelqu'un d'autre. Elle voulait mourir. Elle voulait être la femme capable de protéger son Sensei. Elle revoyait aussi le jour où elle fut destituer de son titre et de sa fonction. Le jour où son petit frère était venue au monde.
Et puis dans cet esprit torturait pas la colère, la haine, la mélancolie et la douleur un certains jour revint. Un jour de pluie où un homme inconnue lui tendit une main. Une main si chaleureuse que Miyako l'avait attrapé sans aucune hésitation. Une main qui l'avait sauvé d'une démence meurtrière. Une main qu'elle chérirait tout au long de sa misérable existence.
Oui, une existence aussi misérable n'aurait jamais dut voir le jour sur cette terre déjà meurtri par tant d'horreur. Des larmes se mirent à couler le long des joues de la jeune fille. Alors elle réussit à voir une dernière chose: Une ombre gigantesque abaissant un bras chargé de haine pour la réduire en poussière.
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Ven 5 Nov 2010 - 18:16
Du sang, un gout de sang au fond de la gorge, une odeur d’hémoglobine au fond de ses narines, le brouillard autour du Genin, des ombres l’encerclant prêtent à frapper. Si Manji avait dû définir l’enfer la description aurait sans doute était la même. Sa nuque le brûlait, ces avant bras étaient en feu comme si continuellement on leurs enfoncés des lames.
- « Merde il est seul, contre nous cinq et pourtant il joue avec nous, comme si nous n’étions que de vulgaires poussières portées par les caprices du vent. «
Pensa le jeune Uzumaki, il fut tiré de ses pensées par la jeune femme aux cheveux d’encre, de ses doigts fin elle enchainés des mudra et lança :
- « Taihei no tsume «
De petits filaments de Chakra sortir de ses ongles et ce dirigèrent dans la nuque de Manji, au bout de quelques seconde la douleur qu’il ressentait alors commençait à s’estomper, il pouvait ce mouvoir sans trop penser à ces membres, l’espoir revenait dans le cœur de l’un des dernier représentant du clan Uzumaki. Cette femme était une alliée précieuse avec elle, le jeune shinobi le savait la victoire était encore possible. La pluie continuée de tomber, sur le sol calcaire de Kumo, la haine ce déchainée dans le village et le monde ninja ne le saurait sans doute que plus tard …
- « Appelez-moi Tzimara. Le temps manque pour de vrais soins, mais au moins, vous ne sentirez plus la douleur... «
Soudain la brume lourde où évoluait les défenseurs de Kumo, s’obscurcis, un tremblement violent, et soudain une peur profonde envahit Manji, il fallait fuir, ici il en était sur il allait mourir, les battements de son cœur s’accéléraient à une cadence infernale, des sueurs froides apparurent, il était tétanisé. La nouvelle technique du nunkénin était vraiment terrifiante, pourtant au bout d’un moment à force d’énergie, il réussit à revenir à lui, à de nouveau pouvoir ce mouvoir. Entre temps Un autre ninja les avait rejoins il se faisait soigné par la jeune femme, contrairement à Manji, le nouveau arrivant avait des plaies profondes, visiblement on c’était acharné à lui en faire voir de toute les couleurs, il titubait, crachait du sang, et avait le regard trouble. Elle releva Gargonith et incita le jeune homme aux cheveux rouge à les suivre à une allure rapide pour sortir des ténèbres qui les enlacés. Manji pendant la course folle entendit la jeune femme murmurer :
- « Je peux le faire tomber... je sais que c'est possible, il faut juste... juste que je puisse l'approcher... le toucher une seule fois... »
Elle semblait ressentir soudain le contre coup des soins qu’elle avait apportée aux deux hommes qui l’entouré. Manji la laissa passer alors devant lui puis d’un geste souple l’attrapa et la déposa sur son dos. Ils avaient besoin de tout le reste des forces si quelques instants elle pouvait se reposée c’était important qu’elle le fasse. Le Genin courrait à présent vers les bords du dôme qui drainait le chakra des occupants, mais sortir c’était aussi s’exposer à une visibilité absolue et donc à une position de cible que faire ?
- Ok ! si on sort de ce dôme les premiers on va être des cibles, voilà comment on va s’organiser Gargonith ? Peux-tu provoquer une explosion sur le bord de ce dôme. ? Le plan est simple pour sortir sans ce faire avoir, nous allons provoquer une explosion et dans un timing parfait on mettra des Bushins de nous au centre du cratère de l’explosion pendant que nous nous cacherons dans les ruelles aux alentours en nous dissimulant dans la fumée de l’explosion et de là nous réfléchirons à une stratégie ! «
La paroi de ténèbres du dôme ce dressait devant leurs yeux à présent.
- Gargonith, Tzimara j’ai besoin de vos réponses maintenant !
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Dim 7 Nov 2010 - 16:12
Violence, le chant maléfique d’une bataille apocalyptique. Destruction et immondices, ce sont les maitres mots d’une lame flamboyante déchirant tout sur son passage dans un son de ravage redoutable, crissements stridents déchirant l’utopie céleste elle-même. Folie meurtrière, elle transcende l’existence elle-même pour la plonger dans le verre de cristal ensanglanté du néant, profusion de sang et de douleur s’éparpillant dans l’espace souverain en une multitude de hurlements désincarnés. Ce genre de choses était comme la spirale infernale du flot des âmes, tapis en enfer patientant avec malfaisance que le ciel de feu au dessus de leurs têtes se déchire afin de laisser transparaître le saphir azuré du ciel véritable dans sa plus pâle beauté, et de hurler d’une joie incestueuse à l’idée de trancher en deux le cœur même de l’existence afin de traîner avec ex, inexorablement, vicieusement, ceux qui dans leur folie s’étaient mis à la sombre tâche d’exacerber leurs sentiments les plus noirs dans le jeu sordide que créaient les dieux sur ce monde. Il s’agissait même de tirer vers sois le voile de l’inconscience absurde afin de se repaitre de la folie ambiante, de laisser son être s’enivrer de colère, de violence sourde et de destruction gratuite afin de laisser son envie sauvage et primaire guider la main courroucée, tendant la lame du destin au dessus des têtes esclavagés par la sombre décadence divine, qui dans un craquement sinistre, et une fontaine rougeoyante tels des rubis fondus dans les forges ancestrales des dieux forgerons, le contenu macabre de leur vie et de leur existence, se répandant alors en une soupe visqueuse que le sol rude allait devoir alors dévorer, se teintant d’un éclat sinistre, et d’une odeur dégoutante et ferreuse. L’art de la force et de la destruction, cet art terrifiant qu’on appelait la violence, déchainant le désespoir et la désolation sur ces sentiers de perdition, étaient probablement la chose la plus sauvage qui pouvait se tapir au fin fond de l’esprit d’un humain, créature folle et mauvaise de nature, mais dont le cœur de ténèbres était si exacerbés par les sombres machinations célestes. Il s’agissait du bucher de l’inégalité la plus sournoise, flammes noires semblant déformer les actions et les parles pour les corrompre à la folie la plus sombre, fixant des yeux enflammés sur l’âme et l’esprit même pour admirer son œuvre carnassière, ou surveiller l’évolution et les trépanation d’un cœur indigné par la terrible déchéance à laquelle son hôte semble se livrer, prise dans les mains sournoises d’un destin bien trop puissant pour qu’il puisse être combattu. Un sourire dément, un rire saugrenu, une humiliation indistincte venant déchirer les limbes de l’insouciance pour les transformer en ode sarcastique à la démence la plus implacable qui puisse être. Cette ardente folie semblait former alors autour du cœur, et de l’esprit même une sournoise armure de démence enflammée et gelée à la fois dans une esquisse grotesque d’existence saugrenue, enfermant toute forme de raisonnement et de conscience derrière un rideau d’insanité malsaine, plongeant la seule forme de conscience dans les flammes de la guerre, absolution grotesque et maléfique tendant à abattre toute forme d’existence simple et réelle.
C’était cette même violence qui s’abattait en ces lieux, sous une forme différente, si alambiquée et erronée qu’elle semblait dépourvue de source réelle et de motif existentiel. Elle tendait à se mouvoir en ombre décadente, visant à s’élargir encore et toujours pour teindre le ciel azur d’une fresque sanglante en hommage aux dieux nuisibles qui prospéraient depuis bien trop longtemps derrière les rideaux d’airain que formaient les nuages fragiles du ciel. Arrogance néfaste, cela semblait être le manteau de la plus pure désolation qui se formait en un écrin de ténèbres insolentes au dessus de ce village qui était la proie d’un destin nourris par la rancœur et la folle guerre. Posant des yeux incandescents sur cette troupaille folle d’oser se dresser contre ma propre volonté, je maintenais en place mon dôme des ombres pour drainer de façon plus ou moins violente leur chakra… Le son d’explosions virulentes retentissait sous le dôme, signe que les dragons des ténèbres continuaient de se battre avec acharnements pour emporter avec eux dans le royaume de malveillance qui était le leur, la chair désincarnée de mes ennemis. Hurlement sardonique, complainte terrifiante, un hurlement déchira la pesante ébène foudroyante que j’avais dressée au dessus de ce nid de vers… Avec un pincement au cœur, je reconnus la complainte de cette fille que j’avais pris sous mes ailes de ténèbres afin de l’aider à redresser la tête au dessus des vagues de désolation qu’étaient sa propre faiblesse, avec un succès plus ou moins nuancé, même si je n’avais jamais perdu l’espoir de faire d’elle un aigle véritable qui plus jamais ne subirait les affres de la douleur et de l’humiliation due à cette si honteuse chose qu’était la faiblesse. Je sentis mon énergie bouillir, et un rugissement colossal couvrir les lamentations de cette femme, je sus alors instinctivement que le démon de l’impérialisme s’apprêtait à profiter de ce moment de faiblesse pour l’achever… Je ne pouvais m’y résoudre totalement, alors dans un hurlement sec, j’ordonnais à cette créature que j’avais invoqué de cesser toute manœuvre à son encontre, et même plus…
-Cela suffit impérialiste ! Ramasse cette jeune fille qui vient de hurler et apporte-la vers moi ! Immédiatement !
Les armes les plus dangereuses peuvent aussi être de magnifiques boucliers défendant la vie et l’existence elle-même. Un grondement rauque ma signifia clairement que la créature pourtant dénuée de toute forme de conscience mis à part celle de son maître avait bien entendu et comprit le nouvel ordre. Si insignifiante d’ordinaire, mais si pesante dans ce genre de situations, quelques secondes suffirent à la créature pour surgir du dôme de ténèbres, et venir se planter devant moi tenant entre ses mains le corps inanimé de la jeune Miyako… Ma seule et véritable élève en cette terre, en ce monde que j’haïssais. Passant rapidement une main dans ses cheveux, je reprenais contenance et reportais mon attention sur les hérétiques vers de terre qui avaient pris les armes contre moi et ma mission sainte. Je savais ce qu’il me restait à faire, il était temps de terminer cette sombre bataille… Malaxant mon chakra qui semblait s’écouler de moi à une vitesse monstrueuse pour former un orbe noir au creux de ma main, j’allais fermer le rideau sur la scène de cette pièce anarchique et dénuée de sens profond. Ma plus puissante technique allait clore cette bataille insipide. J’espérais que ce requin putride qu’était Kisame allait bientôt lui aussi en terminer avec sa proie. D’une voix lourde et pleine de menace, je lançais alors fort et haut le nom de la sentence suprême :
-Meiton ! Zettaishugi !
Peu de temps s’étant déroulé entre la formation du dôme et l’incantation de cette attaque, ils n’avaient probablement pas encore pu se préparer à former ne serait-ce qu’une simple contre attaque envers moi… Un sourire carnassier transcenda mon visage derrière mo n masque tandis que le dôme s’évaporait en une volute de fumée noire, et que l’orbe s’allongeait pour former un immense rayon d’une puissance suprême. Les dragons restants surgirent en tout sens de la zone de bataille, formant une auréole au dessus du ciel, prêt à charger en cas de besoin. Le rayon se déplia et dans un vociférèrent dévastateur, frappa au centre de cette scène grossière. Sur son chemin, la pression qu’engendrait le laser ainsi engendré dévastait les bâtiments en les faisant se tasser sur eux même jusqu’à que l’impact se produise enfin. Dans un grondement d’une rare puissance, un dôme noir se dressa de nouveau, dévastant tout sur son passage, réduisant au néant tout ce qu’il touchait. L’explosion dévasta tout sur une aire d’effet absolument incroyable… Ayant modéré la puissance de l’attaque, je savais qu’ils n’en mourraient pas, mais je savais aussi qu’ils seraient nullement dans la capacité de se relever après une telle décharge d’énergie, et ce peu importe les moyens employés.
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Dim 7 Nov 2010 - 17:32
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Lun 8 Nov 2010 - 1:02
Alors qu'ils se dirigeaient vers une sortie à ce cauchemar obscur, Tzimara sentit qu'elle quittait terre, soulevée par des bras puissants. Ce n'était autre que Manji qui venait à son aide. S'en suivit un moment d'incompréhension où elle réagit par la tension, mais finalement elle se laissa porter sans protester davantage. C'était un allié, après tout.
Au-devant d'eux, une frontière grisâtre apparaissait, signe qu'ils seraient bientôt sortis de ce dôme de peine. Précipitamment, le Genin aux cheveux roux leur exposa une ligne de conduite face au traquenard qui les attendait probablement, et elle se pencha pour lui parler.
"Votre plan comporte une faille... la ruse sera trop vite éventée par ces créatures," lui dit-elle à l'oreille. "Créez plutôt des clones... et qu'ils me suivent."
Sur quoi elle repoussa doucement les bras qui la tenaient et reprit pied à terre. Il lui sembla que le Genin avait acquiescé tandis qu'elle le dépassait. A ce moment-là, la brume changea à nouveau de qualité, redevenant simple eau en suspension. Bon signe...? Manji fit appel à ses clones, tandis qu'elle consultait brièvement le paysage du regard. Par là-bas, à une vingtaine de mètres sur sa droite, un bâtiment de pierre se dessinait. Une aubaine. Gargonith lui donna un signal tandis que, puisant dans sa volonté pour surmonter sa fatigue, elle s'élançait hors de la brume, suivie des clones...
Ce qui advint ensuite ressemble trait pour trait à l'apocalypse. Le sol se mit à trembler, violemment, s'ébrouant comme une bête en furie. Les bâtiments alentour furent soufflés dans une violente onde d'énergie noire qui annula pour un temps les lois de la gravité et le sens des directions. Diverses choses la heurtèrent tandis qu'elle était emportée dans l'incontrôlable évènement. Le monde vira au rouge sous l'effet de la douleur. Des hurlements éclatèrent dans ses oreilles. Le goût du sang les remplaça quand une souffrance aiguë vint se rajouter à de nombreuses autres. Elle ne garde pas souvenir d'avoir retrouvé contact avec la terre. Peut-être a-t-elle perdu momentanément connaissance à ce moment-là. Toujours est-il que dans un état de conscience rendu crépusculaire par le tourment physique, elle finit par hoqueter:
D'une traction douloureuse des doigts, elle joignit les deux dernières griffes de sa main gauche en une seule pointe, qu'elle se précipita d'un geste brusque contre la tempe. La douleur se tut immédiatement, à son plus grand soulagement. Seulement... seulement le malaise persistait, et elle comprit bientôt pourquoi. Elle se trouvait présentement affalée, plus ou moins assise contre un tas de gravats, un filet de sang venu d'une blessure cachée entre ses cheveux s'écoulait le long de sa joue. Un regard désorienté lui montra le sol jonché des corps des quelques civils qui n'avaient pu s'abriter nulle part ailleurs que dans ces maisons maintenant brisées. La plupart broyés par les débris de pierre et de bois, d'autres immobiles, assommés par le souffle de l'explosion. Les plus chanceux se relevaient et titubaient en gémissant, hagards. Ruine, désolation et mort. Puis elle baissa les yeux pour constater son propre état.
"...Mauvais."
Son bras droit ne lui répondrait plus, un morceau de pierre semblait l'avoir écrasé juste au-dessus du coude. Ce n'était pas beau à voir. Tout autour d'elle, des éclats de bois aussi longs et acérés que des sabres parsemaient la terre, et l'un d'eux était fiché dans son ventre. Elle songea avec détachement que si elle laissait l'objet en travers de son corps, elle saignerait moins et s'en tirerait. D'un autre côté, ce serait peut-être bien de soigner les gens encore en vie, et ce truc risquait alors de l'encombrer dans ses déplacements. De sa seule main encore valide, elle essaya d'extraire l'arrête de bois plantée dans son ventre, puis cessa immédiatement quand des points noirs entamèrent une gigue devant ses yeux.
Elle aspira péniblement l'air froid en se répétant avec insistance:
Rester éveillé.
Tzimara se mordit durement la lèvre et tira cette fois-ci d'un coup sec. Le débris tomba bruyamment à son côté. Elle devait avoir des côtes cassées pour que son souffle produise de tels bruits. Cliquetis.
Rester éveillé.
Le monde tanguait dangereusement. Avec quelques hésitations, elle ramena sa main gauche contre son torse. Maladroitement, elle forma quelques mudras, perdant par deux fois le fil de la technique qu'elle cherchait à produire. Persévéra.
"Chiyute... no jutsu."
Rester éveillé.
De nombreux efforts qui finirent par produire cette lueur de chakra vert au creux de sa main. Elle entreprit d'un geste léthargique de refermer la blessure dont s'écoulait tout ce sang, ce sang qui formait une flaque de plus en plus large à ses pieds. On s'évanouit vite avec de telles hémorragies.
Rester éveillé.
Par la Déesse, c'est trop facile de mourir.
Rester éveillé.
C'était fait. Elle venait d'employer ses dernières ressources de Chakra pour s'empêcher de saigner à mort. Mais à l'intérieur, sous la peau, les dégâts restaient nombreux et importants. Elle ne se sentait pas capable de bouger davantage pour l'instant. Aussi elle laissa retomber sa tête en arrière pour contempler le ciel de plomb par-dessus les ruines. Les gouttes de pluie tombaient et s'écoulaient sur la peau de son visage en une rafraîchissante caresse. Là-haut, les derniers dragons noirs planaient et se tordaient, ou dansaient peut-être. Célèbrent-ils quelque chose ?
"J'ai essayé... soyez-m'en témoins," leur dit-elle d'une voix sans timbre. Absurde...
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Mar 9 Nov 2010 - 10:54
La fin de la torture approchée, bientôt ils seraient libérés de l'emprise du dôme, de l'enfer où cet adversaire les maintenait. Gargonith apres que le Genin ait exposé son plan, reagit avec violence et disparu dans la brume c'était la dernière fois que Manji le vit ce jour noir. Tzimara toujours sur son dos il courrait vers les paroies, on pouvait commencé à voir les habitation autours du champ de bataille.
- " Ne pas perdre espoir !"
Soudain la Chunin se pencha prêt du visage du jeune Uzumaki :
- "Votre plan comporte une faille... la ruse sera trop vite éventée par ces créatures,"
Lui dit-elle à l'oreille.
- "Créez plutôt des clones... et qu'ils me suivent."
Elle était plus expérimentée, plus apte à analyser ce genre de situation d'un geste de la tête le Genin accepta. La jeune femme ce degagea en souplesse et dans une fluidité absolue du dos du jeune homme et se mit à courrir au devant de lui. Tandis qu'ils courraient à present côte à côte, Manji composa les mudras appropriés à la création d'un clone.
- "Bushin ."
Et puis, et puis se fut l'enfer, la désolation, la haine des hommes, la violence de ce monde à l'etat pur. Un tremblement, et puis la destruction, un choc violent, puis un souffle qui emporta le Genin comme une vulgaire feuille dans le vent d'automne. Autour de lui les habitations volées en eclats, partout où on posait les yeux il n'y avait plus que mort et désolation. Les pierres volées une heurta l'arcade du jeune homme. Celui çi perdit connaissance, la défaite était totale, ...
~ Flash Back ~ Ciel gris, il neige sur Kumo ce matin là, Manji à 6 ans, il est pied nue dans la poudreuse qui à recouvert le jardin de la maison familiale.
- Manji ?
- "Maman !"
C'est une jeune femme au yeux vert, une chevelure rouge et un sourire qui illumine l'obscurité ambiante. Elle prend l'enfant dans ses bras. Elle sent les fleurs de cerisiers, elle a un rire mélodieux, une voix douce et rassurante. A présent elle le regarde droit dans les yeux.
- " Manji je dois partir..."
- " Quoi ?"
- " Ecoute moi, je ne reviendrais jamais, mais je veux que tu me promettes une chose avant mon départ c'est de ne jamais abandonner, même si tu souffres, même si tu as peur affronte..."
Dans la poitrine du petit garçon, le coeur se sert, il respire de plus en plus mal, ses yeux s'emplissent de larmes, elles glissent à present sur ses joues rougient par le froid.
- " Je te le promet maman..."
~ Fin du Flashback ~
Un pluie fine et chaude tombait sur le front du Genin, le silence était revenu, quand il reprit connaissance il était assis, la tête tirée en arrière, dans le ciel voltigeaient encore quelques dragons, alors c'était ainsi que ce terminé cette journée, par la victoire d'une âme obscure, Manji en un journée avait appris la douleur, la peur et la haine. Il se rendait compte à présent comme il avait été arrogant de penser qu'il était un homme à part. il redressa la tête. Autour de lui il n'y avait plus rien, tout avait été détruit. Des civiles qui pensaient être protéger chez eux gisaient sous les decombres. Le jeune Uzumaki regarda son corps, il baignait dans une mare de sang, ces jambes étaient brisées, sous le pent d'une maison, son flanc étaient percé par l'eclat d'une poutre, de sa bouche coulait du sang, ses yeux se troublèrent et il perdit de nouveau connaissance, çà devait être une journée magnifique pour mourir...
- " Je n'ai pas abandonnait ... Maman..."
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Sujet: Re: Un démon protégeant l'arrière d'un camarade assigné. Sam 13 Nov 2010 - 18:46