Présentation
Kilwa

• Informations :
  
  ☆ Nom & Prénom : Kilwa. Il ne se souvient plus de son nom.
  ☆ Âge : 15 ans
  ☆ Sexe : Masculin
  ☆ Organisation : Konoha
  ☆ Rang : Celui que je mériterai...
  
  
• Descriptions :
  
  

☆ Description Physique :

Avez-vous déjà daigné regarder la perfection ? Plonger vos yeux dans ceux d'un ange, et crouler sous son charme ? Comment puissions-nous décrire Kilwa physiquement ? Je pense que nous devrions commencer par le haut pour ensuite descendre, ce qui nous mènerait, par pur logique, sur ses cheveux. Sur la tête du shinobi trônent de magnifiques cheveux d'un noir ébène, ayant parfois quelques reflets rouges à la lumière. Des mèches se posent sur le visage aux traits fin et délicat de Kilwa, traits qui peuvent d'ailleurs s'endurcirent par colère ou autre. En partie cachés par ces mèches, des beaux yeux placés au milieu de ce même visage adoptent la couleur noir également, ce qui rend souvent un regard quelque peu ténébreux. Plus bas, un nez aquilin est présent, d'une taille ni trop grande ni trop petite, mais juste parfaite.

Sa bouche également, est on ne peut mieux en harmonie avec tout le reste du visage. Mais passons au reste du corps. Le ventre, lui, contient des muscles, pas au point de faire grossir la masse de notre ami, mas des muscles discrets, lui procurant une force assez considérable. Les bras de Kilwa, eux, sont assez fins, la musculature n'est pas vraiment visible de ce côté-ci, notons aussi que les avant-bras jusqu'aux mains sont masqués par des gants noir en cuir. D'ailleurs, les habits de Kilwa, on en a pas parlé ! Une longue veste noir au col relevé, montrant donc une ambiance sombre si l'on lui ajoute la couleur des cheveux et des yeux du shinobi. D'ailleurs, le contraste dans le village est assez important. Terminons sur le fait que Kilwa fasse 1m75 pour 60kg, et que sa corpulence lui est parfaite.

☆ Description Morale :

A body like angel. A soul like devil. C'est le cas de le dire. Car si Kilwa a un physique enviant, son mental, c'est tout le contraire. Le physique n'est pas la seule façon de décrire une personne car, en effet, on dit souvent qu'il ne faut pas se fier aux apparences. Effectivement, certains peuvent être dangereux en apparence, mais doux en caractère. Kilwa, lui, ce n'est pas son cas. Dès son enfance, on voyait des différentes, il ne pleurait pas étant bébé, cherchait très peu le contact avec les autres. A ses 7 ans, il avait une mentalité en avance par rapport aux autres enfants de son âge. Ses différences provenaient du fait qu'il avait commencé l'entrainement à ses 4 ans, et qu'il n'avait pas touché un jouet si ce n'est un ballon. A 13 ans, il ne connait pas la crise d'adolescence et pour cause, le décès d'un proche. Cet événement la transformé, on voyait désormais quelqu'un de plus sombre et différent. La seule chose qu'il ait gardé est son respect pour l'amitié et les liens des gens.

Règlement :

Validé par Ryu =)

Autres :

Comment avez-vous connu ce forum :

En tapant "RPG Naruto" sur Google.

Connaissez-vous les RPG :

C'est un des premiers.

Connaissez-vous Naruto :

Non non, je me suis inscrit sur un forum Naruto sans connaitre le manga. .__.

Histoire

« Car comme chaque vie a un commencement, voici celle de Kilwa... »

Une nuit noire, de pleine lune, des cris étaient audibles dans tout un bâtiment. Ces cris, étaient les cris d'une femme. Une femme qui souffrait. Une souffrance inhumaine, elle donnait vie à un enfant. Ce même enfant, brillait tel un cristal qui venait de s'épanouir. Dans les bras de l'infirmière, celle-ci avait finalement réussi à le faire naitre, et adressa un sourire à la mère avant de lui tendre le bébé. Celle-ci, soulagée de voir le fruit de ses efforts, ferma ses yeux et s'endormit, après avoir serré son fils contre elle. Son sommeil était long, c'en était presque inquiétant. Voyant cet état, une des infirmières alla chercher un autre médecin, le chef de la clinique. Il entra dans la salle, et après quelques minutes à examiner la mère, il sortit. La même infirmière attendait devant la porte, avec le bébé dans les bras ; alors que le chef sortit. Elle le regarda dans les yeux, celui-ci secoua négativement la tête. A cet instant, le bébé se mit à pleurer. L'infirmière passa sa main devant sa bouche, l'air horrifié, larmes aux yeux. Elle était morte, en donnant la vie. Car si à la naissance de quelqu'un, on souriait, à celle de Kilwa, les gens avaient pleuré. Et sans doute, le jour de sa mort, les gens riraient et ferait la fête... en l'honneur de sa disparition. Mais ce n'était que le prélude …

« A 5 mois, il marchait. A 2 ans, il parlait. A 2 ans et 8 mois, il courrait. A 5 ans, il savait parler parfaitement ; belle enfance... »

Mais même si c'était un enfant surdoué, Kilwa avait du faire un sacrifice important en échange de toutes ces capacités physiques. Il ne connaissait rien aux sentiments, comme si son cœur ne pouvait plus battre. En vérité, il avait été confié à une famille très haut placée en ce qui concernait la formation des jeunes ninjas, mais ils n'étaient pas réputés pour apprendre à leurs enfants, adoptifs ou non, à développer leurs sentiments. C'est pour cela que Kilwa était un simple enfant, avec une grande force, mais sans vraiment comprendre les petits détails de la vie. Un jour, il décida d'aller faire une balade dans Konoha, après avoir fait son entrainement matinal. Il vit, assis sur un banc, dans le parc, deux amoureux en train de s'embrasser. Évidemment, il ne comprenait pas ce que s'était, aussi il décida de rentrer et demander des plus amples informations sur le sujet. Il rentra donc chez lui, et alla voir son père adoptif. Celui-ci ne daigna que lui donner le mot « amour » tout en précisant que s'il voulait être un grand ninja, il ne devait pas faire attention à ce genre de choses. Le lendemain, il recommença sa journée. En réalité, c'était toujours la même chose. Il se levait, à 7h30, puis après un petit déjeuner, un bon quart d'heure d'abdos. 8 heures atteints, il prenait une leçon au kendo, jusqu'à 12h30. Son père lui-même se chargeait de lui apprendre les mouvements pour s'attaquer et se défendre, et d'autres. Il savait même comment enduire son chakra de Raiton, mais pas encore contrôler totalement son tranchant. Ensuite, il avait une pause jusqu'à 14h30, après quoi il reprenait l'entrainement. Il apprenait à lancer les shurikens, à s'entrainer au corps-à-corps, et même les armes à distance, comme les arcs. Le soir, à 19h, il dinait et allait se coucher assez tôt pour être prêt le lendemain, et progresser de plus en plus. Tout se passait bien. A ce train-là, il aurait pu devenir vite un grand ninja. Cependant... Un jour, il rencontra une jeune fille. Pour la première fois, il avait noué des liens avec quelqu'un. C'était au coin d'une rue, il l'avait aidée à retrouver un objet qui lui appartenait. Il connaissait... l'amitié, la joie, le parage, voire l'amour... qui sait ? Et tous les jours, lorsqu'il le pouvait, il allait la voir. C'était la seule qui m'avait accepté. Qui m'avait sorti de la solitude. Quand j'étais avec elle, j'avais l'impression de connaitre le bonheur. Jusqu'à un jour, un jour où elle vit sa famille mourir. Son comportement changea brusquement, elle n'était plus la même. Je la voyais tendue, et lui demandais ce qu'elle avait, en précisant vouloir l'aider...

« Comment tu peux me dire ça, toi qui ne me comprend pas ?! »

« Cette phrase, je ne l'avais jamais oublié, depuis ce jour. Après m'avoir dit celle, elle avait disparu, et je ne la revis plus. Plus jamais... Une année était passée. Il ne l'avait toujours pas vue. Jusqu'à... »

Seulement voilà, il ne supportait pas sa disparition. Elle était la seule à avoir éveillé son âme, en quelques sortes. Un jour, après bien de l'entrainement, il décida de s'inscrire à l'académie des ninjas. 6 ans, avec bien sûr, le consentement de ses "parents". Il se jugeait près à faire cela, à suivre la voie du ninja, à être capable d'être attentif durant les cours. Évidemment, il travaillait comme il pouvait, et en dehors des cours, s'entrainait avec son paternel. Mais malgré tout... Deuxième. Deuxième. Deuxième. Il n'en pouvait plus. Cette fille qui était devant lui, dans toutes les matières, il devait savoir qui elle était. C'est quelques temps après qu'il la reconnu, celle qu'il connaissait étant petit. Mais elle ne daigna pas le regarder. L'examen genin passa, que Kilwa obtint assez aisément. Il avait consisté en la maitrise d'une technique assez facile, qui n'était autre que le clonage. En un essai, il put créé deux clones, et ainsi, être admis en tant que Genin. Mais son père, lui, refusa de le mettre dans une équipe de trois comme tous les autres. Il voulait que Kilwa fasse ses missions en solitaire pour être certain de ne pas se voir couronné d'échecs en passant la vie de ses compagnons avant tout. Évidemment, il ne lui était pas interdit de faire équipe avec des personnes quelques fois, mais il passait la plus grande partie de son temps seul. Ensuite, il décida de continuer à vivre comme il le souhaitait. Quelques missions s'enchainaient, de plus en plus difficiles. Il avait décidé de l'oublier, cette fille, ne plus se retourner pour mieux avancer. C'était devenu son nindô...

Test Rp : Combat Au Sommet !

Le règlement du combat est de prendre le rouleau de l'adversaire accroché à sa taille, comme on récupèrerait des informations. Mais ce, après l'avoir mis K.O évidemment, ou le faire après.

9 ans. C'est le temps que j'avais attendu avant de la revoir. Mais malgré tout, j'aurai espéré que cela se serait fait d'une autre façon. Si j'avais su qu'un jour, je me tiendrai en face de celle que je connaissais du temps où j'étais enfant, pour l'examen chuunin... Elle me regardait d'un air froid, montrant son manque de sentimentalisme vis-à-vis de ce combat. Elle ne daignait pas bouger tant que l'arbitre n'aurait pas donné le signal de départ. J'espérais que ce moment tarderait, mais ce qui devait arriver arriva. Le bras baissa, et le signal laissa place à deux shurikens lancés par mon adversaire. C'est d'un pas sur le côté que je les esquivais, le tout suivi d'un bond, après quoi je lançais un kunai en sa direction. Je devais tout d'abord évaluer sa vitesse pour être certain de ne faire aucune erreur au cours du combat. Elle composa quelques signes, après quoi un clone apparut devant elle, et sauta en ma direction. Je mis mes deux bras en croix pour bloquer son coup de poing, qui me fit reculer malgré tout, et atterrit sur le sol. Un bruit provenant de derrière attira mon attention, et j'esquivais de peu quelques salves qu'un autre clone venait de lancer. C'est le premier qui prit l'attaque en atterrissant à son tour, et explosa en fumée. A mon tour, je créais un clone, et l'envoyais sur l'original tandis que je m'occupais du clone ennemi. Je fis apparaitre un second clone à côté de moi, qui sauta, et je lui attrapais les pieds avant de le lancer sur l'ennemi. D'un coup de poing magistral, il le fit exploser. Ensuite, je plaquais mes mains aux sols, et dans un murmure, incantais :

« Shôton ; Kouseki no Take ! ( Pics de cristal ) »

Aussitôt dit, des pics sortirent du sol pour aller sur mon adversaire. Celle-ci esquiva d'un bond sur le côté, mais vit son genou légèrement tranché par ce dangereux assaut. Elle sauta ensuite en l'air pour éviter d'autres dégâts, et composa quelques signes. Je sentis le vent tournoyer autour de moi, puis quelques entailles apparurent un peu partout sur mon corps. C'était du jutsu de vent, sans aucun doute, mais il étant plus fin et plus rapide que la normale. C'était peut-être moi qui, n'ayant jamais vu d'utilisateurs du Fuuton, devait être impressionnées par ce genre d'attaques. Je me relevais, quelques gouttes de sang coulaient sur le sol, et s'étalaient. Tentant de résister à la douleur, j'exécutais un Kouseki no Tousha ( Projection de cristal ) pour envoyer des lames faites exclusivement de cristal sur mon ennemi. Celle-ci sortit un kunai et en bloquant quelques unes, mais celui-ci se brisa après plusieurs chocs. Elle dut enduire un autre kunai de fuuton pour pouvoir contrer la majorité de mes autres cristaux, et en esquiver quelques uns. J'étais surpris qu'elle n'ait pas été touché par l'un d'eux. Ensuite, elle exécuta un autre jutsu de vent qui envoya un grande tornade en ma direction. Pour esquiver, je reculais de plusieurs bonds, et lançais le Shôton, Kouseki no Ryuu ( Shôton, Dragon de cristal ). Un dragon passa à travers la tornade, allant jusqu'à l'annuler, et fonça en sa direction. Il lui éclata dessus, et une fumée s'éleva. Lorsque tout était dispersé, elle n'avait aucune blessure, et annonça :

« Tu te débrouilles, mais ton dragon est inutile contre ce bouclier. »

« A ta place, je ne sous estimerai pas l'art du Shôton. »

Je me tenais en face d'elle, elle esquissa un sourire moqueur qui laissait paraitre sa confiance en elle. J'exécutais le signe du bélier, et du cristal vint m'entourer entièrement. Il alla jusqu'à recouvrir mon corps entier, et sous ce masque de Shôton, un sourire apparut sur mes lèvres. Je savais parfaitement ce que je faisais, et j'étais désormais certain de ne pas perdre. La protection disparut soudainement, du moins, à la vue d'autrui. Elle s'avança en courant, puis sauta dans les airs, et m'envoya une rafale de vent. Celui-ci était si puissant que je le voyais prendre la forme d'un tigre, sans doute l'animal préféré de mon adversaire. Mais là n'était pas la question, je devais trouver un moyen d'esquiver cette attaque. La rafale de vent se rapprocha, elle allait vite. Très vite. Trop vite. Quand enfin je pris conscience que je ne pouvais rien faire contre cela. Mon adversaire me surpassait largement niveau techniques, et je n'y pouvais rien. Soudainement, il entra en contact avec moi. C'était puissant, à tel point que je ne pourrai rester debout trop longtemps. Mais à ce moment-là, du cristal vola en éclat. Comme partant de mon corps, c'est la protection de tout à l'heure qui venait de se briser. mais ce n'était pas n'importe quoi, car en même temps, tout le vent qui était concentré dans cette technique venait de disparaitre à son tour. Mon adversaire n'en revenait pas, s'avança vers les éclats au sol. Elle vit alors un corps, emprisonnés dans un cercueil de cristal, vide. Derrière elle, je lui mis un coup de poing dans la joue qui l'envoyait sur le sol, et sautais sur elle pour l'immobiliser. Ensuite, je pris le rouleau accroché à sa taille, et comme le voulait le règlement, je devais la mettre K.O. J'élevais donc mon poing juste au dessus d'elle, quand refirent alors surface des souvenirs de notre enfance... à mon plus grand malheur.

J'en étais incapable, j'étais incapable d'en faire plus. Je jetais un dernier coup d'oeil à mon adversaire, et quittais l'arène, après avoir laissé le rouleau tomber au sol. Gomen...

Ryu Datenshi a écrit:

- Lors de l'examen Genin, les organisateurs proposent quelques combats. Tu te retrouve contre cette fameuse "fille toujours première". Raconte nous ce combat ! Bonne chance =)