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Allez, on s'y remets.Sujet: Allez, on s'y remets. Dim 19 Déc 2010 - 14:00 | |
| Présentation de [ Yuki ] . Citation » Le souvenir du bonheur n'est plus du bonheur; le souvenir de la douleur est de la douleur encore. [ George Gordon. ]
Prénom et Nom : Yuki Âge : 19 ans Village / organisation désirée : Aucune idée. MON PERSONNAGE Description physique :
Adolescent, on m’a toujours dis que je plaisais à la gente féminine. A ce qu’il parait, elles avaient toutes un faible pour mes cheveux bruns & mes yeux verts. Mon corps parfaitement taillé était un plus, c’était une certitude mais pour autant, je n’ai jamais cherché à avoir une compagne, à part elle… Certes, nous disons toujours que le corps évolue physiquement d’une façon régulière mais lente. Et bien, moi, je contredis ceci. Actuellement adulte, je n’ose plus regarder mon corps. Je porte une grande cape qui me recouvre de la tête au pied, avec une capuche. Mon visage angélique se retrouve recouvert d’un casque de chasseur de prime. Depuis cette décision, je n’ai plus l’impression de changer. J’ai enfermée dans mon esprit, l’image de mon corps lorsque j’étais adolescent. Une solution pour moi de refuser le temps qui passe au fur et à mesure des jours… Et d’accepter l’idée que je ne changerais jamais !
Description morale : :
Enfant, je ne me souciais guères des problèmes autres, ni même de mes plus proches amis. Je voulais vivre jours à après jours, chaque instant de mes journées. Je ne me posais aucune question sur mes faits & gestes, encore moins sur les problèmes que cela pouvaient engendrer. En passant d’enfant à adolescent, nous devons tous changé, forcément. Notre mentalité change donc. Je passais d’un enfant sage, égoïste certes mais calme à un adolescent en colère, méchant et insouciant. Pendant plusieurs mois, j’ai adopté une attitude d’une vraie racaille. Je ne fais pas un dessin, je n’en suis que très peu fiers. Jusqu’au jour où j’ai rencontré ‘ elle ‘. On peut dire qu’à ce moment de ma vie, tout ce bousculait. Les questions fusaient. Oui, la maturité était venue grâce à cette demoiselle. Mais malheureusement, que pour très peu de temps. Une fois l’avoir perdu, j’ai photographié, gardé mes souvenirs avec elle. Pour tout vous dire, je n’ai gardé que ces quatre mois de ma vie en tant que souvenir. Et ce n’est pas plus mal. Aujourd’hui, je suis un idéaliste, un philosophe mais je suis trop brouillon pour vous dire que j’excelle ceci dans la vie de tout les jours. Non, je suis trop jeune, je dois encore apprendre pour être parfait…
Son histoire :
Une plaine immense et vaste remplit de végétaux sous des flocons blancs dominant. Un paysage enneigé remarquable pour sa beauté. Une longue rivière parcourait les arbres, les grandes prairies du pays des neiges et une petite maison, non loin d’un immense arbre. Là, ce jour même, un enfant était entrain de naître. Et quelques heures plus tard, il avait pour nom Yuki. Le même nom que ce son pays de naissance… 1. Une enfance.
Je me souviens lorsque j’ai ouvert mes yeux. Je suis tombé sur un regard émeraudes, un regard glaçants, pétrifiant à la fois mais si remarquable. Ce regards correspondait à une jolie femme, que j’allais appeler maman pendant quelques années. Si mes souvenirs sont exacts, je vivais dans une maison faite de bois. A ma gauche, il devait y avoir une cheminée où le bois craquait sous la chaleur insoutenable du feu. A ma droite, une fenêtre. Je pouvais y voir un paysage resplendissant. J’étais née sous un monde enneigé, quoi de plus magnifique, n’est ce pas. Je voyais une rivière parcourir les terres de mon pays. Mon regard était attiré vers celle-ci. Comme si cette source d’eau m’appelait. Je pouvais y voir énormément de chose. Les atrocités des guerres passées s’écrivaient devant mes yeux, sur cette rivière, mon avenir également. Que pouvait bien signifiant cette rivière à mes yeux ? Rien. Pour le moment… Et les années passèrent. J’appris plus tard, où j’étais enfin capable de comprendre quelques choses, que je n’avais pas eu de père, c’était un homme mort au combat…
2. Une adolescence, un amour, un changement de vie.
Ma mère est décédée alors que j’avais douze ans. Nous venions tous juste de changer de vie. Nous étions partis d’un petit village à un grand. Nous étions partis d’un pays insignifiant à un pays signifiant le respect, la guerre. Un vrai pays. On le nommait le village cachée de la feuille. Ceci était un renouveau pour ma mère et moi. Mais depuis son décès, j’ai du de nouveau changer de vie. J’ai du grandir seule, apprendre les choses également seule. Je suis passé d’une enfance insouciante à une adolescente interminable.
J’ai passé des années à l’école pour devenir un ninja, comme l’avait été mon père. Chaque secondes, chaque minute, chaque heure était d’une importance capitale pour ma survie dans ce monde. Dans la solitude, je travaillais avec acharnement sans me plaindre. J’accusais la fatigue, certes, mais je la cachais. Pour ce qui est des gens qui m’entourait, je n’admettais pas qu’on me traite comme un jeune homme ayant besoin d’aide. J’ai du opter pour une solution radicale. La violence, la méchanceté. J’ai réussis à ce que les gens ne s’occupent plus de moi, à ce qu’ils ne me respectent plus également mais j’ai également réussis à m’enfoncer dans cette solitude, que je déplorais tant. Jusqu’au jour où j’ai rencontré cette femme…
A partir de ce moment là, je n’ai plus réagis de la même manière. J’ai reconstruis ma vie grâce à elle. Elle m’a de nouveau appris le respect, elle m’a éduqué ce qu’était l’amour. J’ai, certes, eu du mal à accepter l’aide d’une femme mais j’étais amoureux. Ma vie devenait enfin cohérente. J’étais de nouveau en confiance. Et ça pendant quatre mois. Jusqu’au jour où elle a été retrouvée morte. Un accident banal. Elle était avec une amie prêt d’une rivière, elle s’amusait et elle est tombait dedans. Certes, c’était une rivière mais c’était une rivière extrêmement profonde et agité. Et lorsque j’ai connu la cause de son décès, un souvenir marquant est remonté à la surface. Je me revoyais, fixer à travers la fenêtre, cette source d’eau qui écrivait les pages de ma vie… Depuis ce jour, j’ai décidé d’oublier et de ne garder que deux moments marquant de ma vie. L’image de cette rivière le jour de ma naissance et les souvenirs avec ‘ elle ‘. Le reste n’est pas nécessaire.
3. Un autre homme.
Je suis passé d’un homme banal à un homme traquée, ciblée par les unités spéciales de Konoha. Et tout ça à cause d’une rencontre qui s’est mal déroulée. Alors que j’avais décidé de déserté le village cachée de la feuille, un homme s’afficha devant moi, une fois que j’avais dépassé les frontières du Pays. Il me fit la morale classique mais ne voulait qu’une seule chose, voir ma mort. Tout ce passa vite, trop vite même. En me sous estimant, il perdit la vie bêtement. Et décidant de ne garder que mes deux souvenirs, j’allais être confronté un problème. Celui de me voir vieillir. Or, je ne le voulais pas. L’homme qui était par terre, le corps totalement désarticulé, avait un masque avec des signes bleu et rouge ainsi qu’une longue cape noirs. Je pris l’initiative de mettre ce masque sur mon visage et de mettre cette cape pour ne pas me rendre compte de mon vieillissement plus tard. Et j’allais peu à peu oublier ma vie, mon identité pour vivre une vie dans mes souvenirs. Mais grâce à quelque chose, je ne basculerai pas de la réalité au rêve… MOI Question à répondre qui prouve que vous avez lu le règlement* :
Validé par Ryu Comment avez-vous connu ce forum :Ex-Membre, Ex-Modo, Ex-Admin... Connaissez-vous les RPG : Non Decrivez-vous dans la vie réel : Non
Vu que mon ordinateur est superméganegéniale, j'écris sur un bloc note. Donc, je suis en train de vérifier l'orthographe, conjugaison, etc. Mais vous pouvez tous de même vous basez la dessus car je mettrais du temps à corriger, vu mon activité profesionelles. Merci de votre compréhension. PS: Je reprends =O
Dernière édition par Kôsuke le Lun 20 Déc 2010 - 10:00, édité 1 fois |
Sujet: Re: Allez, on s'y remets. Dim 19 Déc 2010 - 15:25 | |
| Malgré que ce ne soit pas très long, j'ai bien aimé. Je te donnerai le rang B, a voir avec un autre membre du staff. |
Sujet: Re: Allez, on s'y remets. Dim 19 Déc 2010 - 15:46 | |
| Rang B ( Provisoire ) avec un grade ? |
Sujet: Re: Allez, on s'y remets. Lun 20 Déc 2010 - 10:28 | |
| Pour moi ce serait plus Nukenin Rang B ( mais avec un test rp ) , car la présentation n'est pas assez longue du tout. C'est ok ? Si oui, tu auras ton test . |
Sujet: Re: Allez, on s'y remets. Lun 20 Déc 2010 - 10:37 | |
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Sujet: Re: Allez, on s'y remets. Lun 20 Déc 2010 - 10:48 | |
| - Depuis bien longtemps seul, Nukenin, tu décides de te livrer à d'autres actions. Tu es mercenaire, chasseur de primes pour le compte des plus grands dirigeants du pays. Tu es appellé en urgence, un membre de la garde du seigneur du pays du feu est un traître. Tu dois le tuer, et ramener sa tête. Bonne chance. Edit Ryu: Je t'ai modifié ton pseudo, pour Yuki, mis tes points et tout =) |
Sujet: Re: Allez, on s'y remets. Lun 20 Déc 2010 - 13:05 | |
| Tous les jours, je me pose plusieurs fois la même et unique question. Pourquoi ai-je droits à la vie, alors que certaines personnes meurent de maladie et qui eux, ne souhaitent que de vivre ? J’ai trouvé de nombreuses réponses à cette question. Mais elles étaient toutes constituées de « si », de « peut être », de « ou bien alors » et j’en passe. Mais jamais une réponse concrètes, seulement des approximations. Comme l’état actuel de ma vie… Pourquoi suis-je en vie, dite le moi… Dans une région reculé du pays de la brume, une ville se nommée « Makzuto ». Globalement, aucun villageois n’était aisé par ici. Les habitations étaient dégradées, les routes boueuses et remplient de trou. Les villageois n’étaient pas mieux non plus. Certains ne portaient qu’un tissu autour de la taille pour cacher leurs sexes. Les femmes n’avaient pas d’autre choix que d’exposer leurs poitrines nues aux publics. Les personnes les plus « nobles » portaient des vêtements de la tête au pied mais en piteux états. Seul le paysage, autour de ce village, pouvait redonner espoirs. Un paysage splendide. A côté d’une étable, on trouvait dans le coin un endroit pour consommer toute boissons diverses. J’étais assis au fond de la pièce, sur une table reculée des autres, pour éviter toutes oreilles baladeuses. Un homme se tenait en face de moi. Je ne pouvais pas le décrire, non, il portait un manteau en toile qui le recouvrait. Il ne voulait pas que je sache qui il était et moi non plus. La seule chose que je pouvais savoir, c’était son vieil âgé, du au ton de sa voix. Sur la table, remplis de trou, un dossier ouvert. Une fiche y était déposée. C’était une feuille avec de nombreux renseignement sur une personne. Un homme que je devais éliminer, du moins peut être. Tournant ma tête discrètement vers la gauche, je regardais le lieu avec attention. Ils étaient tous des porcs, attachés à leurs bières. C’étaient leurs uniques moyens d’oublier la pauvreté et de s’accrocher à la vie. Une fois la certitude que personne nous observées, je pris une lourde respiration pour je fixai de nouveau mon interlocuteur. Et j’allais entamer une courte discussion. « Je veux la raison, l’heure et l’endroit où je devrais être. » La capuche du vieil homme se releva doucement. Ca démarche était lente. Et ça lourde voix parvint jusqu’à mes oreilles. « C’est homme est un traitre, tu dois l’éliminer. Tu dois te rendre dans deux jours au Pays du Feu et l’éliminer. En revanche, il ne sera pas seul. Il escortera un seigneur du pays du feu à l’aube. Donc forcément, il ne sera le seul Anbu présent sur place. » Quelques secondes de silence, et il reprit. « Tu es le meilleurs. Nous te faisons confiance. » Cette personne venait de se trahir. Et la chose se compliquait lourdement. J’avais pour habitude de ne travailler que pour une seule personne. Et non pas pour plusieurs. Or, le « nous » m’inquiétais énormément. Qui était cette personne ? Konoha m’aurait retrouvé et allait me tendre un piège ? Où était-ce un complot pour me faire chuter ainsi que la cible ? C’était beaucoup trop de questions pour une aussi simple mission en apparence. « Qui est le « nous » ? Je dois le savoir, pour le bien de la mission. » Cet homme avait pour l’habitude de laisser quelques blancs avant de répondre. Mais là, le temps semblait être long et lent avant une réponse. Il semblait réfléchir à contourner ma question qui était pourtant évidente à cause de son erreur. Ses mains, qui tenaient fermement sa chope de bière, tremblaient. Il lâchait de longue respiration, je sentais ses légers souffles fouetter mon visage et ça, avant de me répondre. « Par ma bêtise, je suis dévoilé. Je suis l’un des conseillers du village cachée de la brume. J’ai, dans le passé, fais des choses que je n’aurais pas du faire et qu’à présent, je regrette. Maintenant, le conseil me demande de réparer mes erreurs. Sans ça, le Mizukage fera exécuter ma femme, ma fille. Aide-moi,-toi qui es si brave. » Il avait haussé le ton de ça phrase et ceci avait attiré toutes les regards vers mon interlocuteurs et moi-même. Maintenant que je savais le fond de l’histoire, je pouvais dès à présent commencer la mission. Je me levais de la chaise avec grâce, ma cape touchant avec légèreté le sol poussiéreux. « Une colombe se posera sur une de vos épaules. Vous aurez la confirmation que la cible est tuée. » Remettant correctement ma capuche, je sortis de l’auberge en passant à côté du comptoir où tout le monde m’observait. Avant de sortir, je m’arrêtais quelques secondes, observant le temps dehors. Le ciel était d’une couleur ténébreuse, un crachin s’abattait sur la région. Le bruit répétitif des gouttes d’eau qui s’éclataient sur le sol devenait déjà lassant. Alors que je fixais toujours le ciel, je sortis une phrase avant de quitter l’auberge. « Oui, je vais encore arracher une vie. Je suis désolé. » [Deux jours plus tard.] Voici un nouveau jour qui commença. Et comme la tradition le souhaite, j’allais me poser cette question rébarbative. Pourquoi suis-je en vie ? Peut être parce que cela est la vie en général. Certains on peut être de la chance, d’autre moins. Mais c’était encore des « peut être »… Le soleil commençait à se levait. Le ciel était d’un orange éclatant, éclairant la vaste forêt qui s’étalait devant mes yeux. L’opération était lente, je pouvais apercevoir la nature se réveiller à son tours, à la même lenteur que le soleil. J’assistais à un véritable spectacle. Les oiseaux chantaient en cœurs, les lièvres couraient dans tous les sens. Comme si la vie n’avait qu’un sens pour eux. Moi, j’étais assis en tailleurs sur une branche d’arbre. Un arbre parmi tant d’autre. Devant moi, une route sinueuse faite de terre battue et sur les côtés, un long champ remplie de magnifiques fleurs. J’attendais ici pendant deux bonnes heures, avant de voir enfin l’escorte et l’un des seigneurs du pays du feu. Mon plan était prêt, les actions allaient être rapide, très rapide. Trois clones étaient présents pour que le plan puisse être un succès. Alors que les minutes passèrent, je me mis au milieu du sentier. L’escorte se mit en garde et s’approcha de moi en position de combat. Un homme se retrouvait légèrement écarté avec le seigneur. Mais je ne voulais qu’une seule personne. Il me fallait à peu prêt dix secondes pour me rappeller du détail phare qui me permettra de tuer la cible… Mes yeux examinaient chacun des hommes qui se trouvaient en face de moi. Aucun détail ne m’échappait, aucun ! […] Parfait, je savais qui été la cible. Mon plan se mit en place rapidement. Des kunais explosif allaient en direction des trois Anbu qui s’étaient posté devant. Ces derniers ont du faire un bon de plusieurs mètres vers leurs droites pour les éviter. Deux autres armes tranchantes allaient en direction du seigneur du feu. Il n’était pas la cible mais son protecteurs, oui. Ce dernier du écartait le seigneur afin que celui-ci ne meurt pas. Seulement quelques secondes venaient de s’écouler. Les trois clones m’entouraient ainsi que l’individu que je devais tuer. Chacune de mes répliques étaient coordonnée dans la technique qu’ils exécutaient. Leurs lèvres murmuraient des choses insensées. Mais la chose qui devait se faire se produisit. Une barrière en forme de triangle se produisit. En fermant la cible et moi. Mes répliques aussi s’étaient entourées de cette barrière. Si tous individus tenaient à franchir cette barrière, ils brûleraient vive sans n’avoir le temps de faire quelques choses. Toute l’action n’avaient durée au final que une minutes. Le temps maximum de neutraliser tout renfort… L’homme se trouvait en face de moi. Il portait la tenue d’un ninja d’élite, un masque représentant un chat. Il était identique au mien. Une longue discussion se suivi. Beaucoup de « pourquoi » de ça part, et beaucoup de « parce que » de ma part. Nous nous fixions pendant plusieurs secondes. J’ouvrais les hostilités avec une technique qui m’était propre. Exécutant ma technique avec une vitesse stupéfiante, je posais la paume de ma main gauche sur le sol. Des formes abstraites se dessinaient sur le sol. Une fumée apparut. Une femme également. La copie parfaite de celle que j’avais aimée. Je dis seulement deux mots. « A toi. » La femme au visage inexpressif marchait doucement en direction de la cible. Ses longs cheveux voltaient en l’aire. L’homme, en face, ne fit rien pour le moment. C’était le but. Son déhanché était sublime dans cette robe rouge. L’Anbu, qui ne fit toujours rien, devait dès à présent être sous le charme de la jeune femme. Alors que les deux jeunes personnes étaient à quelques centimètres, l’un de l’autre, Aeka* prit son masque et le souleva. Alors, elle approcha légèrement de ses lèvres, l’embrassa longuement et se retira lentement. L’homme tomba sur ses genoux, le visage livide puis il tomba à même le sol sans vie. Aeka se retourna légèrement et me posait une question. « Cette technique est très complexe, elle ne relève pas d’une technique interdite. Alors qui es-tu pour me refaire vivre un cours instant. Et surtout, pourquoi ne puis-je pas décider de ce que je souhaite faire à ce moment précis. » Quelques gouttes ruisselaient sur mon visage et tombèrent sur le sol. Mon chagrin était immense. J’avais la voix lourde, je ne pouvais lui parler car l’émotion était trop forte. Elle s’avança vers moi, il ne reste que quelque mètre. Je ne devais pas succomber au plaisir de la laisser en vie plus longtemps. Ni même de la laisser m’embrasser. Je fis un signe de ma main gauche et le patin qu’elle était s’écroula par terre, désarticulé. Les clones désactivèrent la barrière et partaient au combat avec les autres Anbu qui couraient vers moi. Je regardais pendant quelques secondes le corps de la seule femme que j’avais aimé. Et je disparus aussitôt, faisant exploser les clones, sans laisser de trace possible. [Deux jours plus tard.] Dans une pleine, proche du centre de Kiri. Parmi les feuillages des arbres, je vis le conseiller avec ça femme, ça fille. Cette dernière jouait comme une jeune fille de son âge. La femme qui se trouvait dans les bras de son mari semblait heureuse alors que le vieil homme paraissait inquiet. Son regard se figea, une colombe s’était déposée sur son épaule gauche. Alors que la jeune fille voulait absolument l’attraper, l’oiseau repartit de ses propres ailes dans les aires. L’homme, qui au départ était inquiet, changea d’expression. Celle d’un homme prisonnier à cause de ses faits passé, à celle d’un homme de nouveau libre… Aeka*: La copine de Yuki, qui est décédé. A voir dans ma présentation.
Dernière édition par Yuki le Lun 20 Déc 2010 - 13:30, édité 3 fois |
Sujet: Re: Allez, on s'y remets. Lun 20 Déc 2010 - 13:19 | |
| Hmm, j'aime beaucoup ! Pour moi c'est rang B ! |
Sujet: Re: Allez, on s'y remets. Lun 20 Déc 2010 - 13:21 | |
| J'attend la correction pour lire tout ça, et je te dirais si tu es validé ou pas x) |
Sujet: Re: Allez, on s'y remets. Lun 20 Déc 2010 - 13:31 | |
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Sujet: Re: Allez, on s'y remets. Lun 20 Déc 2010 - 13:48 | |
| Voilà, présentation validée, va faire ta fiche Jutsu. |
Hunk Moroshi~ Chef Anbu de Kumo ~ ▌Sanction : Aucune ▌Messages : 2427 ▌Age : 29 ▌Inscription : 29/06/2010 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang A ; Level 23 | Points Naruto Ninja RPG | : (1377/2000) | Âge du personnage | : Inconnu. Sujet: Re: Allez, on s'y remets. Lun 7 Mai 2012 - 13:21 | |
| Bonjour/Bonsoir.
|- Direction corbeille.
Izo. - Hunk. - |
Sujet: Re: Allez, on s'y remets. | |
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