Tu souhaites incarner un ninja et le faire évoluer au sein de différentes missions, quêtes et autre afin de le modeler selon ton unique choix ?
Alors n'hésites pas à nous rejoindre, plusieurs villages t'attendent afin de livrer bataille ! L'esprit de loyauté t'attire, et tu souhaites appartenir à un village caché ? Ou bien la voie de la débauche et du crime te séduit plus que tout ? Dans tous les cas, tu es le seul maître de tes actions ici, et tes actes, qu'ils soient bons ou mauvais, auront une influence sur le Monde tout entier !
Tu pourras ainsi rentrer dans la famille NNr' et découvrir la folie des membres sur le forum ! ^^
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L'équipe du Staff.
Bienvenue sur Naruto Ninja RPG !
Tu souhaites incarner un ninja et le faire évoluer au sein de différentes missions, quêtes et autre afin de le modeler selon ton unique choix ?
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Sujet: Message reçu Naruto ! Lun 10 Jan 2011 - 12:51
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Sujet: Re: Message reçu Naruto ! Lun 10 Jan 2011 - 21:14
Houla, la différence entre vous et nous, c'est que Jiraiya et moi pensons les choses AVANT, pour être sur que ce soit dans les rêgles, et que tout se passe bien, sans faire chier le monde. Alors, je vais faire un petit récapitulatif. J'ai posté à Kiri AVANT la guerre, pour faire un rp amicale avec Kizujin, puis, on a eu un plan étant donné que la guerre commençait, je lui ai proposé de l'aider, vu que sa faisait partie de la mentalité de Naruto, et dans mon rp, je dis bien que j'envoie un message à Jiraiya via une invocation, donc il reçoit le message avec un message précis qui est d'attendre quelque part, et nous le rejoindrons par la suite. Donc ou est le soucis? Tout a été fait correctement, tout a été fait avant que la guerre ne commence, donc nous sommes en règle. Désolé, mais nous avions prévu ca avant que la guerre ne commence. Donc tout est parfaitement normale se qu'il se passe ici.
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Sujet: Re: Message reçu Naruto ! Mar 11 Jan 2011 - 16:33
Le feu… Artefact sacré, cadeau des dieux envers la race inférieure qu’ils avaient crées afin de leur donner le don de vie et de survie afin d’affronter plus aisément les adversaire les plus redoutables que la nature pouvait leur apposer, tel que les morsures profondes et sanglantes du froid hivernal lorsque le corps du monde vient parfois à se couvrir de ce manteau épais d’un blanc éclatant qui semble alors scintiller comme les milles facettes d’un diamant, ou comme les reflets azurés d’un pilier de cristal, donnant alors l’impression de voir le monde à travers un kaléidoscope d’une blancheur pure et impénétrable. Ce feu, tout d’abords symbole d’espoir et de renaissance, permettant de faire fondre le miroir sacré de glace qui s’était formé entre la dure réalité de la vie ancestrale, et celle du premier pas vers l’évolution, feu si sublime dans sa danse éternelle faisant mouvoir sur les corps l’entourant, un jeu d’ombres et de formes rappelant la chorégraphie d’une tragique pièce de théâtre où les formes torturées d’une armée de démons avançaient sur le centre de la scène, feu si puissant qui n’allait finir par devenir que l’arme de base dans ces guerres entres hommes, entres humains. Une arme que, comme tout homme, je maîtrisais à la perfection, invoquant sur le terrain cette flambée sépulcrale de flammes violacées aussi voraces que la gueule du terrible Léviathan, démon gardien de la porte des enfers qui avalaient ses victimes pour les envoyer dans le royaume des morts. Ce sont les larmes sanglantes baignées dans les lacs de sangs bouillonnants des enfers, le Pyriphlégéton, qui en son sein enferme à jamais à jamais dans un orchestre de hurlements et de souffrance, les violons de la déchéance jouant leur ultime symphonie, les âmes damnés de ceux ayant vécus dans le pêché de violence, les flammes sont comme ces tourbillons sanglants, comme la spirale de haine de ce lac maudit. Moi, démon de l’orgueil destiné à abattre les dieux, je me demandais si je n’étais pas une incarnation vivante de ce lieu maudit de destruction, car je ne vivais que par la violence, et la soumission d’autrui.
Le destin est une chose bien capricieuse …Après tout, tout être que nous sommes, tout homme que nous sommes, en tant qu’être vivant, nous possédons tous quelque chose qui fait que nous établissons aux yeux de tous notre identité propre, c’est quelque chose que nous avons tous en nous, car nous avons tous une part de mystère, d’insouciance, d’envie… et ce peu importe nos couleurs et nos rangs. Mais il y a une autre chose qui définit notre humanité, qui définit et trace le but de notre existence même en ce monde. C’est quelque chose qui nous pousse à avancer à toujours suivre ce sentier fermé qu’est le destin, le but de notre existence, la fatalité. Mais qu’est-ce que le destin ? Est-ce simplement une suite d’événements incontrôlables dont l’enchaînement fut décidé avant même toute chose et dont nul être en ce bas monde à la moindre emprise dessus ? Avant la naissance même de cet univers impitoyable ne laissant aucune place aux remords, et à l’interrogation sur ce dit destin ? Pourquoi est-ce un monde où notre destin est tout tracé que nous suivons, un monde où seul la mort et la tristesse et se côtoient ? Un monde où la joie ne trouve sa place que dans la tristesse et la souffrance et inversement … c’est ce chemin qu’on appelle destin.
Mais tant d’interrogations ne peuvent qu’amener à d’autres interrogations. C’était comme une boucle reliée par les deux bouts, un cercle vicieux, tel un immense labyrinthe qui n’aurait qu’une seule et unique issue, une simple porte, mais une porte fatale qui amenait à franchir de nouvelles portes, qui elles mêmes nous mèneraient vers de nouveaux labyrinthe plus compliqués encore, qui aboutiraient enfin sur de nouvelles portes … et ainsi de suite, des labyrinthes dans d’autres labyrinthe formant eux même un immense labyrinthe retraçant toute notre vie jusqu'à arriver à la porte finale, la porte de la demeure de la Mort elle-même, notre fin. Mais dans cette fatalité sans fin, cette inlassable quête du destin, il y avait une chose qui nous permettait de nous défaire un tant soi peu de l’écrasante pression qu’exerce sur nos épaules le fardeau du destin qui nous maintenait dans le chemin tout tracé de notre vie, et ce peu importe quelles étaient nos choix, nos pensées, les dilemmes qui s’offraient à nous nous tourmentant, jalonnant ce monde impur de souffrance, et semant ce chemin d’obstacles et autres péripéties. Des péripéties semblables aux portes des labyrinthes façonnant notre destin. Ces obstacles représentent les choix que nous faisons dans nos vies, ces choix qui suivent le tracé de notre destin.
Mais il y a une chose de sûre, malgré ces faits, ces choses qui nous dominent, et ce chemin tout tracé pouvant varier d’un moment à l’autre, tel les remous du corps d’un serpent, il y avait toujours une question, cette question remettant en cause le fondement de toute vie qui se posait inéluctablement à nous, un jour ou l’autre, à chaque être vivant, peu importe sa race, sa couleur ou son rang, c’était cette question qui revenait perpétuellement nous hanter et saccager nos esprits. Mais quelle est cette question ? Il vient toujours un moment, qui s’impose à nous et peu importe nos réticences, notre peur et notre état d’esprit, s’oppose à nous, comme un adversaire, un adversaire d’une telle puissance que l’idée de le combattre est une chose difficile à concevoir, mais cet adversaire, c’est nous. En effet, qui sommes nous, où allons-nous, et pourquoi ? Pourquoi existons-nous et quel est le but de notre existence ? Pourquoi sommes-nous sur terre, et quel est le destin qui nous incombe ? Cela revient à redéfinir toutes les bases de ce monde, des bases qui seront forcément différentes selon la personne qui les définit, car nous sommes tous différents. Réussir à découvrir la vérité derrière ces mots est un rêve que beaucoup de personnes en ce monde tentèrent en vain de percer, que tant de personnes tentèrent de caresser, la vérité derrière la vérité. Ne serai-ce qu’un mensonge ou une pure folie ? Car s’interroger sur ces fondements revient aussi bien à se demander ce qu’est l’univers dans sa toute puissance, dans toute son immensité. C’est une question qui touche beaucoup trop de choses, elle était pour certains impossibles à résoudre, c’était une chose que seul les plus sages pouvaient résoudre. Mais chez certains, cette question se limite seulement à un univers, le sien, son propre microcosme. Cela ne se définit qu’à sa propre personne, un être unique ? Dans ce cas la question est peut-être plus simple à résoudre. Nous cherchons alors à savoir d’où nous venons et le but précis de notre existence et ce qui l’anime. Car telle est notre nature, celle de remettre en cause tous les fondements. Car l’évolution ne se base-t-elle pas sur les questions que nous nous posons ? Sur ces questions qui nous font remettre toute chose en question pour mieux l’étudier et la comprendre ?
Mais cette quête incessante de la vérité absolue entraîne un tout autre problème. C’est un obstacle qui peut se révéler être fatal, insurmontable, signant alors la fin de tout, a être confronté à ses peurs, et en périr. C’est reconnaître une chose que nul homme ne peut accepter, que nul homme ne veuille affronter, sauf ceux qui décident d’eux-mêmes de ne plus jamais vouloir souffrir. Ainsi, trouver la réponse à ces interrogations ne serait-il pas le moment où tout se finit, où La mort viendrai elle même nous chercher, pour nous extirper à ce monde, nous retirons alors le fardeau de cette incessante quête d’absolue vérité et de fondement.
Mais lorsqu’une âme est assez puissante, il se peut que celle-ci en ressorte grandit et s’élevant au dessus des autres pouvant ainsi à suivre sa quête de réponses. Ce sont ces personnes qui peuvent regarder le monde avec fierté en sachant pleinement que la plus grande des batailles a été gagnée, le plus terrible de tout les obstacles à été bravé, le cheminement de toute une vie, et ainsi, regarder droit dans les yeux cet immonde être qu’est la Mort, s’approchant d’elle et acceptant son jugement sans peine, ressentant à chaque instant son râle effrayant, lorsque celle-ci décidera de se pencher sur nôtres cas et de nous enlever à ce monde, nous emmenant dans sa propre demeure. Mais parfois, la réponse était trop complexe, et toute une vie ne permettait pas d’y répondre, et dans d’autres cas, la solution ne se résumait qu’en une seule et simple phrase. Une seule phrase qui résumait toute une quête, toute une vie de recherche et de bataille, c’était l’accomplissement de son destin.
Et c’était en ce lieu tragique qu’un nouveau destin allait s’éteindre, flamme capricieuse vacillant dans les ténèbres sans fin d’une réalité illusoire et pleine du néant de la mort et de la terreur. Neige vacillante qui tel un linceul de mort se répandait sur cette contrée dévastée, larmes du ciel frigorifiée dans une esquisse d’immortalité pour à jamais pleurer l’âme d’un soldat tombé au combat. Mes yeux de sang figés dans une fresque en noir et blanc, temps immuable semblant ralentir dans sa course effrénée pour admirer la fatalité de ce moment si puissant et pétrie de ténèbres ensanglantées, fixait de ma cible désignée dans une stridente complainte de frénésie meurtrière. Un sourire dément s’affiche sur mon visage d’albâtre glacial, une aura malfaisante semble m’envelopper comme la promesse d’un lendemain plongé dans les bras de la mort. Un sourire serein parsemait son propre visage, si sur de lui, gravé dans sa chaire comme la bénédiction d’une âme qui semblait prêt à braver les hurlements des âmes infernales et la mort elle-même si elle daignait venir à lui, simplement pour survivre et affirmer qu’il était un homme capable de survivre au lendemain. Je tends une main face à moi, mon sourire tombe telle une grimace affligeante, peine dénaturée s’écoulant sur mon visage. Une lame se tend face à mon être, le désire de s’affirmer, de vaincre et détruire, mais d’un être côté, j’étais tiraillé par le fait que je ne désirais nullement devenir l’arme du destin, et de ces tragédies innommables que je voulais tant éradiquer. Mais un destin ne peut parfois être combattu, et le sien était de mourir en ce lieu. Le ciel semblait devenir plus lourd, plus pesant, je sentis un flocon d’ivoire glacial venir se poser avec délicatesse sur mon nez, comme si le ciel lui-même m’implorait de ne pas tendre mon cœur vers les ténèbres plus encore, de ne plus autant m’enfoncer dans les aléas de la terreur et du désespoir. Mais avais-je encore le choix, moi qui avais abandonné humanité et amour pour affronter le destin qui était le mien. Je ne pouvais probablement même plus me décrire comme humain, moi qui en ce jour n’était plus que Pride, l’orgueil. La tension du moment était à la limite du palpable… Puis, je lâchais enfin, décidant de trouble mon adversaire Ryoku Senju pour déchirer son existence au plus vite :
-Toi qui te dis homme, ton cœur te dicte une conduite contraire à celle qui devrait être tienne. Tu me fais face, mais ne crains tu donc point ce qui se passe dans le village ? Je vais te révéler une chose humain, mon frère d’espèce, Envy, une créature ignoble et odieuse, exemple même de sadisme et de perversion a pour mission d’éliminer de façon prioritaire cette femme pour qui tu as osé trahir la lune rouge, Tsuki Okami. Ce monstre est d’une constitution telle que ni toi ni elle ne pourriez le vaincre. Sa mort est proche. J’ai eu le plaisir de la connaître alors que j’étais encore humain, mais en ce jour, je ne le suis plus, trop aveugle pour accepter de vivre tel l’homme que j’étais.
Ces simples paroles firent mouche. Je vis la tension de la peur raidir ses muscles, tendre sa nuque et sa mâchoire, et cet homme se retourner brièvement dans ce qui allait être son ultime erreur. Profitant de ce moment qui m’était offert, je fonçais vers lui, ramassant au passage le katana fumant d’un des ninjas de Kiri tombé au combat face aux flammes de Natsu, puis, dans un mouvement sec, abattais la lame du katana tout le long du corps de cet homme qui n’était plus homme, mais cadavre froid s’écroulant dans la neige dans un râle profond et décadent. La vie n’était pas encore partie de lui, et dans un dernier élan d’humanité, de compassion envers mon existence et la sienne, je proférais ces dernières paroles à son attention :
-Toi qui pour le salut de ton être et pour le choix d’un monde qui te paraîtrait meilleur a choisi de détourner les yeux de ton allégeance passé, je ne puis permettre que tu meures seul inconnu des yeux du temps. Ceci sera mon dernier éloge à l’humanité, car en ce jour, je te laisserais vivre en moi à tout jamais.
Les ombres de mon existence se dessinèrent alors sous moi, ombre néfaste pleine de haine et mauvaise intentions, sourires sadiques et malveillant n’attendant que l’appât de la mort. Se saisissant de lui presque avec amour, les bras de la mort le soulevèrent du sol pour le dresser face à la gueule béante de la bête qui sommeillait en moi avant de finalement, entièrement l’engloutir dans les ténèbres de mon existence. J’étais désormais seul, sans adversaire, et la seule tâche qui m’étais désormais transmise était celle de patrouiller autour du village en vue de l’arrivée de possible ennemis. L’ode de mon carnage n’était pas prête de se terminer… Sentant grandir en moi l’impossibilité de continuer cette œuvre seul, désespoir fleurissant en mon être face à la sauvagerie de ce monde, je mordais le bout de mon doigt avant de composer rapidement une petite série de signe, et d’apposer au sol ma main qui délivra dans un pouf retentissant un épais nuage de poussière noir signe manifeste qu’une invocation ou des invocations allaient prendre part au carnage. Surgissant de l’ombre de ce nuage se dressait alors face à moi deux êtres faisant partie intégrante du pacte des êtres infernaux. Toute de blanc vêtue, apparence aguicheuse et chaleureuse, laissant cascader une épaisse toison de cheveux d’un rose flamboyant surplombés par deux épaisses cornes spiralés, se tenait là Chalis, la démone louve aux pouvoirs liés à l’attirance sexuelle, la libido des hommes, dotée du pouvoir de charmer et d’un odorat à toute épreuve. A ses côtés son partenaire de combat, être grossièrement immense et musculeux, couvert tout comme moi je l’étais d’une épaisse armure de protection, et en plus de cela, d’une immense épée de guerre, il ressemblait à un de ces êtres fantasmagorique que l’on surnommait : les minotaures. Nulle parole n’était nécessaires, siégeant chacun à mes côtés, l’un à gauche, l’autre à droite, nous partîmes simplement faire le tour de ce village qui n’étais plus que l’ombre de lui même, une ruine témoignant de l’affliction de la guerre et de la tragédie divine. Il ne nous fallut guère de temps pour arriver près des marécages non loin du village lui-même… Un grognement sinistre de la part de Chalis attira mon attention, tout comme ses narines tendues en avant, reniflant quelque chose qui semblait lui déplaire. D’une voix suave et délicate, elle dit alors :
-La zone empeste l’huile où quelque chose qui s’en approche. Impossible de tromper mon flair, j’en suis sur, c’est probablement un piège…
Lui souriant vaguement, je sortais d’une petite sacoche un kunai entouré d’un parchemin explosif que je lançais vers la zone qu’elle indiquait, ce qui eu un effet immédiat… Océan de flammes et de désolation, des murs de feux de feu se dressèrent accompagnés de diverses explosions qui suivirent l’implosion de mon kunai… Etait-ce simplement un piège dressé par Kiri visant à couper toute retraite du village, ou autre chose, je ne le savais guère, mais Chalis semblait indiquer que quelqu’un était dans les parages, mais ne daignait point indiquer de localisation précise car seul le musc d’un homme semblait transcender l’air. C’était là une chose bien peu dérangeante, face à ce feu de rage, le responsable du piège allait probablement bientôt se montrer, et attendant son arrivée, je composais une nouvelle série de mudras créant face à moi l’impérialiste, le démon du meiton, garde du corps sans âme qui m’était désigné.
HRP : Oui, j'ai tu Ryoku Senju. Celui-ci exprimait l'envie de quitter le forum, et voulait que ce soit moi qui le tue en combat. Mais j'en ai hélas un peu marre d'être bloqué alors qu'il ne répond pas, donc avec accord de Sasuke, je lui ai prodigué l'absolution, rapidement, et proprement x)
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Sujet: re Mar 11 Jan 2011 - 20:55
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Sujet: Re: Message reçu Naruto ! Sam 15 Jan 2011 - 11:45
Hrp : setsu' desole d'intervenir mais jai prevenu que je serais abscent a cajse de probleme irl. Cest vrai jvais pas niquer ton rp vu que tu as du te faire chier a l'ecrire, mais je refuse de faire mourrir mon personnage. Point et ce nest pas a discuter. Si tu veux men parler 0659129477.
InvitéInvité
Sujet: Re: Message reçu Naruto ! Sam 15 Jan 2011 - 12:03
A mon tour, désolé d'intervenir, mais je ne vois nul part ton absence dans les sujets pour . De plus, Setsuri m'avait fait par que tu faisais ce combat avec lui pour mourir, justement.
InvitéInvité
Sujet: Re: Message reçu Naruto ! Sam 15 Jan 2011 - 18:49
Ryoku > J'éditerai quand j'en aurai le courage t'inquiètes pas x) Mais en effet, il n'y a aucun topic connu pour ma part, bien pour cela qu'avec ta longue abscence x) Surtout que tu en parlais sur la box : je veux mourir en combat.
Bref comme j'ai dis j'éditerai en temps voulu. Je supprimerai tout le flood ici quand je posterai mon rp.
InvitéInvité
Sujet: Re: Message reçu Naruto ! Sam 15 Jan 2011 - 20:41
En en effet je nai pas fait de post de mon abscence mais deux semaines dbscence n'excuse pas une decision prise sur le tas. Mon personnage setsuri > tu es censer le penser que je meurt. Tout le monde doit le croire mais ce nest pas le cas. Je ten parlerais setsu dailleurs prends mon numero
InvitéInvité
Sujet: Re: Message reçu Naruto ! Sam 15 Jan 2011 - 21:24
L’homme est décidemment une créature bien étrange. Rempli de mauvaises intentions, il ne sait que se dresser contre son irréfutable destin qui n’a pour seul but que de le mener vers les sombres chemins de la désolation, de l’oubli, les nappes vaporeuses de flammes noirs des seigneurs des enfers les dévorant alors dans un concert stridents de lamentations. D’où peut lui venir cette force de braver les interdits de sa condition des plus limités, se dressant peu importe la souffrance et la peine toujours sur ses pieds afin d’affronter de nouveau la puissance sans limite d’un destin qui ne pouvait le conduire qu’a sa mort ? Toujours là à combattre là où il semblait pourtant le moins attendu, l’homme semblait toujours prendre un malin plaisir à tenter de déjouer des règles qui dépassaient pourtant de très loin le simple et faible niveau de sa simple conscience, ne se rendant point à quel compte il ne faisait que jouer le jeu de ce sombre destin qui était le sien, le poussant sans cesse à le défier pour au final n’en découvrir que la terrible et réelle finalité, les bras décharnés d’une mort sauvage et haineuse. Folie absurde qui pousse le genre humain et sa sombre décadence à se lever contre une impureté qui caractérise leur existent elle-même, incapable de briser les chaînes entravant les ailes de leur évolution future, se laissant tomber à terre sans cesse pour ne pouvoir qu’admirer vaguement le ciel sous une épaisse couche de ténèbres laissés par les mains sanglantes des dieux ignobles trônant au paradis du mensonge. Cette sombre vie semblait réagir comme un ignoble parasite, créature malveillante aux ailes d’argent, profanant le cœur même d’un être auquel il s’attache, dévorant chaque once de sa haine, de ses désirs, de ses envies à chaque moment de sa vie, et plus encore à chaque étape de sa bataille contre le destin qui domine jusqu'à son existence passive, puis lorsque la gueule béante de la finalité se dresse face à lui, cet ignoble créature perce le cœur de son hôte pour s’en aller vers les enfers, seul moment où enfin les chaînes du destin divin se brisent. Rare étaient les êtres qui avaient pu se délivrer de ce poids d’argent pesant sur leurs ailes d’ébènes, peut-être même étais-je le seul à avoir pu se sauver de cette cage de diamant que tissaient les dieux autour de nous pour nous garder en leur contrôle à tout jamais, jouissant de nos souffrances à chaque étape de notre destin. Bien que cette délivrance ne puisse être maintenue que par les larmes d’une vie, les souffrances d’une âme, c’était tout simplement sauter encore plus profondément dans les ténèbres, se rapproche plus encore des bras vaporeux de la reine des enfers qui n’attendant que le sombre trépas de ce chainon manquant, ne faisait qu’attiser son désespoir et sa colère contre le ciel. De part ma nouvelle nature, il semblait potable que je puisse me prétendre être une de ces terribles formes de finalité qui n’avaient pour seul but dans leurs sombres existences de ne créer que la mort et la destruction, un démon aux ailes d’ébène se dressant dans le ciel pour châtier les mortels arrogants, et les dieux cruels et imbus d’eux même, et ce jusqu'à que ma propre finalité finisse par me rattraper pour m’offrir le repos du guerrier salvateur que j’étais. Pétris de vengeance et de remords envers ma propre condition, je ne faisais que survoler l’océan de détresse que représentait ma vie, mon âme, mon cœur noyé dans les abysses des enfers. Créature hybride, j’avais même abandonné mon humanité pour laisser pousser dans mon dos des ailes d’ébènes plus grandes et plus menaçantes encore, dotées d’yeux nimbés de folies, et de crocs ravageurs désireux de déchirer la chaire d’hérétiques ennemis, ou de dieux malveillants. La quête d’un ange démoniaque ou déchu tel que moi pouvait me mener à accomplir n’importe quels tâches des plus libératrices au plus sombres et douloureuses, je pouvais tout aussi bien être mené à châtier un humain qui osait se dresser contre moi en tant que maître des ténèbres à la tâche suprême, ou a terme, mon unique rêve, celui de châtier les dieux eux même. C’est pourquoi, qu’un homme, un démon, une bête, ou un dieu se dresse contre moi, je n’aurai aucun remord à pointer la lame ténébreuses de mon existence vers lui afin de le chasser de mon chemin de croix et l’obliger à se repentir dans les ténèbres de sa folie. Et ce serait aussi le cas de cet humain impudent qui allait se dresser sur mon chemin, peu importe qui il était, d’où il venait, et ce qu’il représentait, je savais qu’il était de mon devoir ici et maintenant de l’éliminer ou tout simplement de le mettre hors jeu. Les ténèbres sont immuables, et ne possèdent aucune autre alternative à part celle de la destruction, de la désolation même. Larmes d’immortalité malsaine, j’étais la lame du courroux des âmes damnés qui devait maudire le monde et son existence, et cet homme ou cette femme qui se dressait en tant qu’ennemi sur ces terres mortes de Kiri allait en apprendre l’âpre réalité. De part la nature de ce qui venait d’être détruit, je savais pertinemment qu’un être dont j’ignorais l’identité avait dressé un terrible piège en ces lieux afin probablement de tenter de couper toute retraite de la part des forces de l’Akatsuki, mais tout les ninjas de Kiri étaient bien trop occupés à affronter la lune rouge pour pouvoir se permettre de jouer ce genre de jeu, j’en déduisis donc que le ou la responsable était d’un tout autre village. Puis, forme ombragée courant à travers le rideau de flammes morbides, une créature haussa la voix pour perpétrer des paroles bien stupides… -Dis moi rapidement si tu es là pour te battre ou non ? Ma mission est de taille, et je ne laisserai personne rester ici... Gomen !
Question toute aussi inutile que la présence d’une tierce personne en ces lieux. Sentant venir à coups sur un quelconque coup fourré, je laissais mon démon de l’ombre nous englober moi, Chalis et Blados dans ses bras nébuleux, laissant ce qui semblait être un stupide kunai rebondir sur son corps maléfique… Grognement rauque et sourd, la créature surgie des entrailles d’un monde interdit semblait s’énerver tandis que trois puissantes explosions retentissaient autour de nous, et que l’opération du renvoi des dégâts grâce aux liens de chakra se faisait. Pour lancer trois attaques ainsi, cette personne devait probablement avoir utilisé des clones élémentaire ou non, mais face à l’impérialiste, c’était peine perdue, clone ou non, le renvoi des dégâts se ferait sur la source du chakra elle-même, autrement dit sur mon véritable adversaire. Se relevant, le monstre nous laissait tous trois ressortir de son étreinte protectrice. Je répondais alors d’une voix sombre et chargée de menaces : -Nous sommes sur un champ de bataille l’humain, pour quelle autre raison déambulerai-je en ces lieux condamnés sinon ? Ta mission est de taille, la mienne plus encore, et de très loin, peu importe qui tu es, je ne laisserais pas un humain interférer dans ma tâche et celle de ce groupe par lequel je suis employé. Meiton, Haishi !
Tendant une main devant moi, chargée de chakra meiton, puis frappant le sol pour laisser se répandre telle une ombre affamée l’art des ténèbres, dix dragons de ténèbres surgirent des abysses de mon monde en noir et blanc pour venir danser dans un concert de rugissement au dessus de la zone de combat, s’élevant dans les airs prêt frapper au moindre signe de vie de l’ennemi. Puis, mordant de nouveau mon doigt, je laissais mon énergie courir le long du sol, invoquant le démon le plus imposant qui soit en ce monde. Grondement sinistre, le sol semblait se craqueler et se soulever, un nuage de fumée surgissant en même temps, hurlement de folie, l’ancien roi des démons venait d’être en ces lieux invoqué. Être colossal dont la seule existence était motivée par la destruction, Fomortiis venait d’entrer dans la bataille. Tendant une main immense et cuirassée, il me laissait monter sur celle-ci pour ensuite me déposer sur son immense épaule avant de lâcher dans un grognement sinistre :
-Où est ce sale humain que tu combats Setsuri…. -Aucune idée… -Ha ! ce n’est nullement un problèment, laisses moi faire… Meiton : Akuma no Hikari !
La créature se cabrait en arrière tandis que [ACTION CACHEE], puis rejetant son immense tête en arrière, chargeant son énergie dans son front, il déchaina alors dans une déferlante d’énergie son attaque qui balaya alors la totalité de l’arène dans un grondement sinistre, soulevant la pierre, déchirant le vent et le feu, anéantissant tout sur son passage, et a coup sur, mon ennemi et sa cachette.
Explications :
-Tu subis 90% de dégats d'un Rasengan, tes clones se servent de ton chakra pour lancer ca, et la reflexion se fait donc sur le porteur d'origine du chakra, donc le vrai Jiraya. Il est à noter que de part cela, il est aussi évident que les clones disparaissent. Il reste 10% de vie à l'impérialiste. -Les dragons sont dans le ciel, dès que tu surgiras de ton trou, ils t'attaqueront. -Fomortiis balait toute la zone de combat avec son attaque de rang S. -Action cachée : tu la connaîtras au prochain tour.
InvitéInvité
Sujet: Re: Message reçu Naruto ! Dim 16 Jan 2011 - 23:49
L'attaque venait de créer une explosion, quand soudain, par je ne sais quel moyen je sentis mon corps subir d'atroces douleurs. Serait un de ces capacités de super héros jamais connu au monde qui puisse contourner l'attaque d'un Kage Bunshin qui du coup ne sert a rien... Cet homme face à moi devait certainement être ultra puissant, pour réussir faire une chose pareil.
Du sang se mit à couler le long de ma bouche, quand soudain, je disparu dans un nuage de fumée... Je venais de disparaitre de la zone de combat. Mais comment ? Surement quelques chose d'inexpliqué comme ce jutsu juste avant. Monc corps fut allongé au sol, et je vis une petite tête de grenouille.
*Fukasaku*
Il était en train de me soigner, et m'avait appelé et invoqué grâce à une invocation inversé, pour une raison, mais mon arrivée ici, m'avait certainement sauvé la vie, d'un ninja plus fort que le sage des 6 chemins, pouvant faire des choses que même les dojutsu les plus puissant ne peuvent pas faire... Ce fut bien mystérieux.
Je n'étais donc plus sur les lieux, et ce super ninja avait donc réussi à me blessé sans même me toucher. Surement un de ces mecs vaudou ? Naruto allait certainement s'en sortir, moi je n'étais plus là-bas. Les soins procuré par Fukasaku était pas connu du monde ninja, mais très efficace... Ce que je sais c'est que ce ninja hyper mega puissant, devait certainement être fier de posséder de tels ninjutsu pour pouvoir gagner sans même toucher son adversaire et lever le petit doigt...
InvitéInvité
Sujet: Re: Message reçu Naruto ! Lun 17 Jan 2011 - 21:09
Topic annulé donc. La mauvaise foi et l'attitude de mauvais joueur de Jiraiya cloturant cette mascarade insultante.
InvitéInvité
Sujet: Re: Message reçu Naruto ! Lun 17 Jan 2011 - 22:14
Jiraya > fukasaku ne soigne pas. Rp d'un genin rang D. Non inscription a l'event en avance. Naruto et jiraya vous ne vous incrusterez pas ainsi.
InvitéInvité
Sujet: Re: Message reçu Naruto ! Lun 17 Jan 2011 - 22:31
Je comprend pas votre façon de voir les choses.
Chacun a ses plans, l'Aka a les leurs, nous on a les notre, de plus , je n'ai jamais posté dans l'évent mais dans un lieu à part.
Donc si vous voulez faire des guerres mais ou personne peut RP, ben faites des guerres entre vous, entre gens de l'aka, là personne viendra vous aider.
Nan mais sérieux, on peut Rp comme on le souhaite, surtout pour une telle chose, et surtout quand naruto avait Rp avant.
Je dis pas que Fukasaku me soigne avec ces dons, je dis qu'il me soigne, donc avec des plantes, des affaires etc...
Dernière chose, arrétez de vous plaindre, j'ai demandé qu'on annule le topic, mais on m'a dit de continué vu que j'ai commencé, donc voila...
Alors maintenant au lieu de tous pleurnicher parce que les plans ne se déroulent pas comme vous le souhaitez, instaurez une règle et voila.
Parce qu'honnêtement, un forum c'est fait pour RP.
Si je raisonne comme vous, si je trouve un membre de l'aka proche de sa grotte, et que je veux le kill, ben personne ne pourra venir parce qu'il est pas invité, et que c'est mon plan de le kill, donc les plans ici ne peuvent pas être mauvais, obligé que sa marche...
Hijikata Toshizo ~ Chef des A.N.B.U de Kiri ~ /~ Kyudaime Mizukage ~ / ~ Admin ~