Évacuation
Des Habitants...
** Rhaaa! Mais qu’est-ce qu’il fait froid. C’est inhumain.** Je marchais tranquillement dans les rues de Konoha les bras croisés pour essayer de me réchauffer. Les habitants sont presque tous au chaud dans leur maison me regardant marcher. Quelques-uns sont dehors essayant de déneiger leurs portes pour pouvoir entrer à l’intérieur et se réchauffer. Moi je continue de marcher en direction de… en faites j’en est aucune idée tout est si noir dans ma tête et un mauvais pressentiment me ronge de l’intérieur. Quoiqu’il en soit je ne me laisse jamais abattre par mes sentiments, et bien plutôt rarement. Tout d’un coup un bruit sourd se fait entendre du coté des grandes portes. Je lève la tête et saute sur le toit le plus près pour me diriger vers l’explosion. Sentant une présence familière je m’arrête et vois mon maître Toshiro Kodo s’approcher de moi a toute vitesse.
Isui, ta mission est d’évacuer les villageois et de veiller à leur sécurité… Je compte sur toi et surtout ne viens pas aux portes reste avec eux. puis il me regarda plus sérieusement et cria :
C'EST UN ORDRE !!!!J’acquiesçai d’un signe de tête mais avant même que j’aie pu dire un mot il s’élança en direction de l’attaque. Je cria sont nom pour qu’il s’arrête. Il se retourna et me regarda je baissa la tête avant de dire des mots venant droit du plus profond de mon être.
Maître…. Prom…Promettez moi de revenir. Sans vous je ne suis plus rien …. Sans vous je n’ai plus personne, et je ne pourrai m’améliorer seul… Je me retins de tomber en sanglot. Mon maître me regarda avec un air étonner avant de disparaître et réapparaître devant moi, et avec un sourire angélique il me dit :
JE TE LE PROMET… Il me lâcha et partit en direction des portes. Je pris quelque temps pour me remettre de mes émotions et fus ramener a la réalité par un des gennins. Je compta notre nombre, comprenant moi nous étions quinze.
Nous nous séparerons en cinq groupes de trois. On évacue les habitants et on les protèges.Tous firent un signe de tête, et je séparai les différents groupes. Tout le monde partirent de leur côté et je fis de même avec les deux gennins composant mon équipe. Nous n’avions pas besoin d’aller frapper aux portes, les villageois ayant entendu l’explosion, c’étaient dirigés a l’extérieur affoler. Nous nous dépêchions de dire au villageois où se diriger. Je pensais à mon maître et à sa promesse, si jamais il était tué durant sont combat je ne sais pas se que je deviendrais. Je me rappela les bons moments passer en sa compagnie, nos entraînement qui m’avais permit de m’améliorer, en particulier le tout premier où il m’avait tester ça avait été un entraînement très dur où je devais faire appelle à mon esprit, à mon cœur et à la maîtrise de moi-même, sans bien sûr oublier la maîtrise du combat et de mes techniques. Un cri me réveilla, une petite fille allait se faire écraser par une poutre accrocher par un des habitants pris de terreur. Je leva mes bras devant moi laissant échapper des insectes qui se dirigèrent vers la petite fille apeurer. Mes insectes retinrent la poutre me laissant le temps de bondir et de secourir la petite. Je la ramenai à sa mère qui me remercia avant de s’élancer avec le reste des habitants. Une fois que nos quartiers, à mon équipe et moi, furent complètement déserte je dis au deux gennins de suivre les habitants et que je les rejoindraient dans pas longtemps le temps de faire un dernier tour. Comme je le ressentais une femme était coincée sous des débris non loin des portes. Bien sûr mon maître m’avait défendu de m’aventurer près de cet endroit mais si c’était pour secourir une villageoise se ne serais la même chose. Je m’élançai dans sa direction prenant soins de ne pas attirer l’attention. J’essayai de soulever les débris mais en vain. Les explosions se faisaient de plus en plus puissante ce qui signifiait que ça se rapprochait. J’avais alors une idée.
- Code:
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Kikai bunshin no jutsu
Trois clones de moi-même apparurent et m’aidèrent à soulever les débris. Je réussi à sortir la femme et juste a temps, car j’entendais arriver la bataille. Je courus vers les autres villageois la femme dans les bras…