Prénom et Nom : Ken Jigoku
Âge : 16 Ans
Village / organisation désirée :Nukenin

Description physique : https://2img.net/u/1113/18/71/48/avatars/126-76.jpg

Bon, commençons sans attendre si vous me le permettez. Si j‘ai bien compris, vous voulez que je vous parle de moi, c‘est cela? J‘ai compris, bien sur, c‘était juste pour voir si vous suiviez. Sans attendre, passons un coup d‘œil sur mon physique. Si ça vous intéresse tellement que ça, bien sur. Vous ne voulez pas passer à autre chose? Non? Vous êtes vraiment trop patients pour moi. Bon, il me semble que je vais devoir me plier à vos règles pour passer, alors allons y, mettons nous donc à parler de mon physique si ça vous y tenez tant que cela. À croire que ça risque de changer votre vie! Je vous jure…

Commençons par ma tête, si vous me le permettez. Nulle objection? Bien, exactement ce qu‘il me fallait. Après tout, qui dit objection dit perte de temps, qui dit perte de temps dit attendre encore plus… Au niveau capillaire, j‘ai la chance -du moins, cela reste mon avis et il n‘engage que moi- d‘avoir des cheveux bataille qui se forme dresser sur ma tête d‘une couleur noire, un noir d‘ébène qui peut prendre plusieurs teintes selon son exposition à la lumière, qu‘elle soit solaire, lunaire, artificielle, ou même magique… vous l‘aurez compris, ma chevelure est chez moi un élément qui me plait assez. Je la coiffe pour qu‘elle m‘arrive dans le cou, je pense que vous serez d‘accord avec moi sur le fait que l‘on peut considérer ma chevelure comme longue. J'entretiens mes cheveux d‘une manière particulière, n‘aimant pas les voir en mauvais état. Et quiconque y touche aura affaire à moi et à ma lame. Vu? Bien, pour passer à mes différentes, coiffures, je fais au grés de mes fantaisies.

Mes oreilles, venons-y. À ce niveau là, pas grand-chose à signaler. Elles sont assez petites, à vrai dire, et le cartilage est naturellement orienté de manière à ce qu‘elles ne soient pas décollées. Elles sont propres. Oui, je tiens à le dire car ce n‘est pas parce que mes cheveux les cachent que j‘en prends moins soin. Elles sont également très fine… tout autant que mon ouïe, chose qui à également marquée ma vie humaine. Autant dire qu‘elles sont en très, très bon état de fonctionnement. Et ce n‘est pas la vieillesse qui risque d‘y changer quelque chose…Je vais juste faire une petit parenthèse qui vous surprendra surement mais,,, Oui, je n'ai pas de nez, incroyable mais vrai !!J‘ai de la chance, j‘aurai pu me retrouver avec un nez énorme ou trop petit, ce qui aurait un peu cassée l‘harmonie étrange -même pour moi-même de mon propre visage mais la lois de la nature en a décider ainsi. Pour parler de mes pommettes, elles sont assez saillantes, renforçant l’expression de mes yeux que je décrirais plus tard.

Humain les plus expressives: la bouche. La mienne est encore une fois dans la norme, avec des lèvres assez charnues sans pour autant être énormes et pulpeuses, mais que l‘on voit néanmoins sans soucis. Pour ce qui est des proportions, elle est moyenne, que voulez vous que je vous dise de plus? Dur de décrire, il faudra que j‘engrange plus de vocabulaires. Mais je ne compte pas m‘arrêter là! Non, non, restez, je n‘ai pas finit. Passons à l‘intérieur de ladite bouche. Ma cavité buccale n‘est pas exceptionnelle, je le conçoit, mais je dispose d‘un sourire qui peut se faire ravageur… quand je le laisse sortir. Mes dents sont blanches et surtout, elles sont parfaitement alignées, une sorte de don de la nature quand on sait dans quelle époque j‘ai vu le jour. Mes gencives sont légèrement rosées et en parfait état, en effet, j‘ai une hygiène bucco-dentaire quasiment parfaite.

Mon regard, nous y voilà! Je sais, c’est idiot. Depuis tout à l’heure, je ne fais que descendre, pour subitement remonter vers mes yeux. Laissez moi vous expliquer: je gardais le meilleur pour la fin. Je vous l’avais dis, j’y viens désormais. Ils sont assez spéciaux en leur genre. Je m’explique: ils n’ont pas de couleur fixe. Le teint des iris de mes yeux dépend de l’ambiance régnant autour de moi, de l’agitation ou du calme ambiant. Dans un espace mouvementé, mes yeux prendront une teinte rougeâtre, voir pourpre. Dans le calme et la paix, ils sont d‘un noir d‘encre dérangeant. Les orbites sont enfoncées dans mon crane, ce qui donne souvent de l‘ombre à cette composition obscure qu‘est mon regard. Exprimant le plus souvent l‘impatience, parfois le dépit, rarement le mépris, mes prunelles sont également déstabilisante pour les personnes que je qualifierait -sans aucune offense, bien sur- de ‘’faibles d‘esprit‘’. Beaucoup s‘y perdront, car il est de notoriété publique chez les gens que j‘ai croisé que je possède un regard profond qui vous transperce jusque l‘âme. Pour ma part, je ne spécule pas sur mes capacités optiques, mais je préfère écouter ce qu‘on me dit. En ce qui concerne mes sourcils, ils sont plutôt fins, d’une couleur noire ébène comme mes cheveux, et accentuent la plupart des mes expressions. Peine comme joie, tout y passe.

Passons au corps si vous le voulais bien...
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je suis un bien portant, avec une musculature assez puissante, oui vous êtes surpris ? Bah je suis un géant, du haut de mes 2m08 et 102Kilos je peut rester très rapide, je suis muscler des bras, des jambes du corps, de partout je penses enfaite.... Mes grandes jambes me permet de placer des coups extrêmement puissant ! Une pointure de pied assez grandes ,,, Oui heuuuu du 47 je croit aïe sa doit faire très mal... je ne me déplace pas tout nu quand même vous me prenez pour qui ? Passons au vestimentaires !!! Commençons par le haut ,,, Tout d'abord je porte un pull sans manche blanc, ou se dessine une longue croix rouge, tout comme sur son pendentif une pull a manche longue vert se trouve derrière se dernier. Je porte des gant extrêmement solide, ils sont en caoutchouc, non non je ne peux pas les enlever même pas a table niark ! Hmmmm vous avez sans doute vus.... Ce qui est sur mon bras gauche …. cette chose est un brassard qui gâche bien son jeu, un simple brassard ? Non, c'est comme une armure qui sert a me protéger pour riposter juste après avec les lames qui s'y trouve !
J'en ai un sur mon bras droit mais il se voit pas [lol]
Passons au bas, je porte un très grand pantalon moulant, très moulant un vert kaki sombre, très sombre, je sais je me répète mais je commence a perdre patience … En parlant de ça, passons aux chaussures Les chaussures qu'il porte ressemble plutôt de bottine brune. Un cercle se trace au milieu de celle ci. Voilà POUR LE VESTIMENTAIRES qui est un peux bâclé hélas.

Description morale : Ah, la description psychologique. Je l‘attendais, je l‘attendais celle là. Sincèrement, qui aurait pu y échapper… enfin, puisqu‘il s‘agit là d‘une formalité, autant la remplir. Et bien, si possible. Vous me torturez, franchement. Je vais encore devoir perdre du temps… ma patience à des limites… très vite atteintes. Bon… puisque vous y tenez. Et puis de toute façons je ne pourrais jamais passer dans le cas contraire, c’est ça? Je vais donc tenter de vous faire une description la plus complète et fidèle possible de mon propre caractère. Tout d‘abord, autant commencer par le trait dominant de ma personnalité: l‘impatience. Vous comprenez, pourquoi vous me torturez? Je ne peux pas rester en place! Vous m‘avez déjà forcé à PRENDRE MON TEMPS pour me décrire physiquement! Bon, calmons nous. Enfin, que je me calme. L‘impatience est en quelque sorte mon pêché mignon. C‘est également mon trait de caractère le plus visible: je ne peux pas attendre. Quand je sais que quelque chose doit arriver, je veux que ça arrive vite, je l‘attend, j‘essaies du moins, mais je perd vite patience! Quand une discussion entre ennemis se fait longue, je me trémousse, mal à l’aise tant mon impatience me gêne moi-même. Cependant, je ne peux pas le réprimer, et je fais avec. Je vis avec, et j’ai appris à aimer ce trait de caractère qui fait de moi qui je suis. Dans toutes les situations, mon impatience me guette, bien que je fasses preuve d’une retenue assez importante pour me placer moi-même les limites. Il y à une différence entre impatience et suicide, à mon sens… se jeter sur un ennemi bien trop fort par pure impatience serait de la folie, chose dont je ne dispose pas. Du moins à ma connaissance.

Mais ce n’est pas tout. Je suis aussi quelqu’un d’audacieux, qui n’hésite pas à se lancer, à expérimenter, à découvrir. Un vrai pionner de tous les domaines. Je suis curieux, ce qui colle bien avec mon trait de caractère cité plus haut. La moindre petite chose peut attirer mon attention avec facilité. Tant que je ne connais pas quelque chose, la notion de danger m’est abstraite. Je fais preuve d’une certaine prudence, mais ça ne suffit jamais bien longtemps et ma curiosité naturelle l’emporte… et m’emporte moi-même dans le pétrin, parfois. Enfin, je n’y peut pas grand-chose, je suis fait ainsi et je ne tiens pas à renier qui je suis. Mon caractère me plait, malgré tout. Que dire de plus, hum… ah, oui. Je suis extrêmement sociable, assez tête brûlée à mes heures, puisque l’impatience m’amène parfois à faire des actes… stupides. Cependant, je n’en reste pas moins quelqu’un qui sait se tenir en public, qui apprécie être en compagnie des autres pour dépenser son énergie en discussion en tout genre. En effet, je déteste la solitude!

Enfin, après se portrait assez téméraire que je viens de peindre de ma personne, j’aimerai montrer que j’ai aussi mes qualités: je suis loyal, digne de confiance, et très déterminé dans ce que je fais. J’aime le travail bien fait. Hé, quitte à devoir attendre pour faire quelque chose, autant le faire jusqu’au bout, non? À quoi bon, sinon… autant me jeter aux oubliettes de suite, car je n’ai pas ma place dans ces histoires. J’ai un sens de la confiance aigüe, pour moi, ce genre de chose se gagne une fois, mais qui à trompé une fois trompera encore. Personne ne peut prétendre avoir mon entière confiance après m’avoir déjà trompé, car il ne fait que se créer des illusions pour apaiser sa conscience. Je sais aussi me montrer digne de cette même confiance avec les personnes que je jugent digne de recevoir la mienne, et je suis tout à fait capable de garder un secret ou une information secrète. Un vrai coffre fort. Je ne livre rien, même sous la torture. Je n’aime pas les gens qui se cachent derrière d’autres pour régler leurs problèmes lorsqu’ils ne sont pas capable de le faire eux même. La lâcheté n’est pas dans mes principes, et je trouve cette manière de se comporter totalement indigne, juste bonne à recevoir une correction. Je ne comprends pas non plus les gens qui sont paresseux et qui parviennent à ne rien faire de leurs journées. Je ne comprends pas quel plaisir on peut tirer à se prélasser et attendre que le temps passe, c’est… c’est quasiment de la torture, ne serait-ce que l’idée, pour mon esprit tout feu tout flamme.

Ensuite, je suis quelqu’un qui tente de réparer ses erreurs de la meilleure manière possible. En effet, je considère que si un erreur est commise, et si c’est possible, elle doit être réparée. C’est la moindre des choses, pour moi. En effet, un trait de caractère que seuls les gens qui me connaissent peuvent apercevoir, est ma droiture d’esprit. Je sais prendre mes responsabilités et en être digne. Si je n’y arrive pas, je me relève de mon échec et paie mes dettes. C’est ainsi que je conçoit mon existence, et pas autrement. Hélas, je n‘ai pas que des qualités, nous ne sommes pas dans un monde féerique où tout est beau et rose. Je suis d‘abord quelqu‘un de très, très rancunier. Ma rancune se manifeste sous la forme d’une envie de tuer profonde, envers n’importe qui. De lui rendre au centuple ce qu’il m’a fait, et ce dans les plus brefs délais. Incapable d’attendre bien longtemps, j’agis souvent dans la hâte, ce qui n’est pas réellement digne d’un plan de vengeance, mais qui surprend l’adversaire qui s’attend souvent à une vendetta plus lointaine… ou tout simplement à rien. La moindre atteinte portée à ma personne ou à une chose que je défend sera registrée dans mon esprit et attendra le moment de ressortir d‘une manière plus… violente.

Ensuite, je m‘emporte assez facilement, je ne parviens pas réellement à garder mon calme malgré des efforts constants pour m‘améliorer dans ce domaine. Les provocations me font aisément sortir hors de moi, mon impatience naturelle se transformant en difficulté à contenir ma colère dans certains cas. Le meilleur moyen de me tendre un piège est encore de me provoquer, d‘émettre un doute direct sur des capacités que je possède. Bref, de m‘énerver, car j‘ai un tempérament assez ‘’inflammable‘’ si vous me permettez l‘expression. Un autre défaut que j‘ai est mon manque de discernement. En effet, la hâte n‘est jamais, au grand jamais, amie de la réflexion. Je suis impulsif lorsque mon impatience me submerge, prêt à tout, même à me lancer sans réfléchir, et ça peut me couter la tête si je n‘ai absolument pas évaluée la puissance de l‘adversaire. En d‘autres termes, je peux éventuellement être un danger pour moi-même si je ne prends pas garde à mes propres faits et gestes. Les comportements que je juge indigne sont également des facteurs susceptibles d’attiser mon courroux, de me rendre instable. J’ai toujours une envie pour le moins… démangeant… de faire comprendre aux intéressés que leur comportement ne me plait absolument pas. Cependant, ma dose de retenue me sauve souvent de nombres de ce genre de ‘’problèmes diplomatiques‘’

Son histoire : Le garçon dont tous les pères rêvaient et parlaient en tant qu'un garçon ayant un des avenirs les plus prometteurs de tout le pays de la feuille . J'étais sage, doué au combat au corps à corps , gentil, toujours prêt à rendre service , ... Je fus même élu à l'âge de quatre ans en tant que privilégié pour ma futur adhésion à l'académie du village. Il suffisait de venir avec cet espèce de petit diplôme pour n'avoir aucun frais d'entrée a payer et une place avec le meilleur senseï de tous ceux disponibles. Un magnifique jour d'été, mon père parti de chez moi pour une durée de plus d'un jour pour la toute première fois depuis ma naissance ! Je fus très atteint par cette petite séparation durant uniquement trente-six heures , en effet,
mon père avait toujours été autour de moi depuis toujours contrairement à ma mère . Ma mère était l'ancienne secrétaire du village, elle avait toujours été très serviable et avait veillé à me donner une éducation parfaite . Mon père une fois revenu, tout redevint comme avant, excepté une chose ! Je ne pourrais plus jamais aller dans la cabane au fond du jardin sous peine comme ils le disaient, de mort. Je me fis donc très facilement à se très léger manque qui au fond ne m'affectait pas du tout . Une semaine plus tard , mon père repartit pour un mois ... Lorsqu'il revint, il partit alors avec ma mère pour deux mois , ensuite trois mois... Cette chaîne ne cessait d'augmenter et de prendre de plus en plus d'ampleur dans ma vie à tel point que je ne vus pas mes parents durant un an . Je me décidai à sortir de chez moi lorsque j'atteins les six ans, je devais aller me présenter à l'académie . J'étais effrayé à l'idée de m'y présenter seul, sans personne pour l'accompagner et surtout en tant que privilégié dans l'apprentissage des jutsus . Une fois sorti chez moi je m'étais donc très lentement dirigé en direction de l'académie du village, traversant les plus belles avenues de mon village . Je m'étais également dirigé dans une ruelle très fine dans laquelle beaucoup de gens qui à ce que j'entendis d'une dame en sortant du petit lieu ombragé étaient des personnes sans domicile fixe . Une fois arrivé à l'académie je fus accueilli comme un roi ! Un petit déjeuné prêt sur une table, une heure de rendez-vous dans la salle juste derrière et le nom de mon senseï !Un bandeau blanc était également fourni pour les garçons à cheveux longs. Il était également inscrit sur la petite feuille le rang sur lequel je me trouverais, rang 1 place deux ! Apparemment quelqu'un était plus aimé ou peut-être encore plus privilégié que moi, peut-être avait-il commit quelque chose d'héroïque ou avait-il des parents riches . A neuf-heure et quarante-cinq minutes je m'étais dirigé à la place donc sur laquelle il était inscrit mon nom sur un morceau de papier qui brûlait une fois dans ma main pour finalement disparaître dans un léger bruit ressemblant à celui d'une flatulence . Les gens arrivaient petit à petit dans la salle dans laquelle je me trouvais , avançant tous petits à petits dans une marche quelque peu hésitante . La personne venant s'installer à ma gauche était blonde, habillée d'une manière très décontractée et paraissait plutôt sympathique . Elle et moi parlâmes jusqu'à ce qu'un garçon très maigre portant des lunettes accompagnés de cinq autres gamins du même genres vinrent à côter du blond dont je compris que son nom finissait par 'o' et commençait par 'K' ; je préférais donc l'appeler "Kyo" pour avoir plus facile. L'un d'entre eux avait revendiqué son droit sur cette place ... Son droit lui fut enlever lorsque le jeune garçon avait qui j'avais sympathisé à l'époque le souleva pour finalement le lancer trois rangs derrière lui. Tout se passait bien à l'académie, j'étais un très très bon élève mais vint le jour ou je passai dans une équipe . Je me retrouvai dans une équipe de faibles, j'en fus très vite dégouté et décidai de m'entraîner avec un senseï particulier ou en dehors des heures ou les autres venaient .Trois mois après mon adhésion à l'académie mon père et ma mère rentrèrent dans un bruit que je pense ne jamais oublier. Eux d'habitude si calme et soignés n'avaient même pas pris le soin de fermer la porte doucement ou encore d'enlever leur chaussures une fois le porche passé. Le parquet étant très sensible, il s'agissait de quelque chose de très important. Je n'avais aucune idée de ce qui leur était arrivé ... Ils eurent énormément de mal à me reconnaître, pas étonnant lorsqu'on laisse son fils seul dans une maison durant deux années ! Ils étaient rentrés en sang, veillant également à ne pas être suivis et eurent le grossier geste de me lancer un kunaï ne me demandant même pas qui j'étais . Lorsque je leur dis mon nom ils furent surpris de voir que j'avais attrapé cette arme de jet avec tant de facilité . Ils me félicitèrent pour mon amélioration et me demandèrent si j'avais finalement été dans la cabane au fond du jardin ; la réponse étant bien entendue " Non" . Trois jours plus tard ils repartirent sans laisser de trace, j'avais eu le temps de voir mon père entrer dans la cabane avant de partir mais rien d'autre . Le temps continua à passer à une vitesse très lente ... Je commençai à devenir un bon genin .Je rencontrai un jour un homme très étrange, il avait une longue robe noire sur laquelle étaient brodés de petits nuages d'une couleur étant selon ce que je pouvais voir un mélange entre du rouge et du noir . J'avais l'impression qu'il était l'un des hommes les plus puissants de cette terre. Il avait des cheveux oranges, un roux ! Les clous que je pouvais voir dans son nez me faisaient penser à un robot, c'était très étrange. Je voulais être aussi imprèssionant que lui et que ma force soit son égale. Il me restait peu de yens, je devais choisir que faire de ceux-ci , les utiliser pour acheter de la nourriture ou devenir un véritable combattant et me faire des tatouages , tentant de survivre par moi-même ou avoir de la bonne viande et des produits frais venant du petit magasin " Au Bon poissonet" , spécialisé dans le thon rouge . J'utilisai finalement l'argent pour les tatouages. Je me sentais enfin bien dans mon corps , dans ma peau et avais l'impression que rien ne pourrait m'empêcher de me battre, pas même la mort elle-même . Un jour ou je me baladais aux alentours du village, je vis l'homme qui m'avait tant fait peur ... Je fus pris d'adrénaline et je ne sais pour quelle raison je lui fonçai dessus, alors que j'essayai de lui affliger un coup de poing, celui-ci se contenta en un simple mouvement de bras de m'envoyer à plusieurs mètres de lui. Je ne renonçais pas et tenter de relancer deux attaques mais malheureusement, à chaque fois je me faisais avoir . Alors que je me lançais pour une suivante tentative son visage se dirigea petit à petit vers moi et lorsque ses yeux vinrent croiser mon regard je m'éffondrai... Je me réveillai dans l'hôpital du village, j'avais apparemment été retrouvé par un jeune garçon nommé" Kyosho Kyouteki". Celui-ci m'avait trouvé dans la forêt, convulsant durant plusieurs minutes jusqu'à finalement arrêter de bouger pour de bon. Il allait probablement passer quelques heures plus tard mais il ne le fit jamais ... Je m'entraînai alors durant des jours et des jours ... Consacrant mes journées à l'apprentissage de nouvelles techniques en quête de puissance ... J'atteins le grande de Juunin à l'âge de seize ans . Cela faisait six ans que je n'avais plus eu de nouvelles de mes parents . J'étais maintenant aussi fort qu'eux, j'avais le même grade que mon père du moins ... Je me décidai alors à aller pour de bon dans la cabane au fond du jardin. Celle-ci était incroyable... Aux murs étaient pendus trois équipements tous les trois semblables, des kimonos ! La cabane avait en son centre une petite table sur laquelle était posée une lettre et un katana , je commençai par la lettre:

" A toi mon cher fils ... Cela fait très longtemps que nous avons envie de t'en parler mais nous n'avons jamais réussi à trouver les mots, tu n'imagines pas la tristesse que je peux avoir en écrivant les mots que tu es sur le point de lire . Ton père et moi avons commis de grâves erreurs, et la première à été de te les cacher. Nous avons décidés de quitter le village, nous sommes pourchassés par les anbus pour trafic d'armes illégales et utilisations de techniques interdites à tous les shinobis du pays de la feuille, à l'heure actuelle nous sommes probablement morts. Le village de la feuille à fait des choses horribles ... Je ne te l'ai jamais dis mais je viens à la base d'Iwa No Kuni et , le Kage de Konoha m'avais à la base prit comme servante et à fait des milliers d'homicides, il faudra leur rendre la monnaie de leur pièce! Je suis fière que tu aie enfin eu le cran de venir dans la cabane. Toi qui lis maintenant cette lettre tu dois être devenu très fort et avoir énormément grandis . J'espère un jour te revoir, nous irons ton père et moi-même nous cacher dans les lacs et montagnes neutres à plusieurs lieues d'ici . Tu vas énormément de manquer ... Je t'ai laissé un katana qui nous avait été refusé à la fabrication. Tu peux devenir très fort si tu apprends à l'utiliser correctement. Deviens fort et tu finiras par
nous retrouver ! Je te laisse également un kunaï, il te laissera choisir ta voie ..."

D'un geste sec je tranchai l'insigne de Konoha No Kuni sur mon bandeau frontal que je remis immédiatement à mon bras gauche. Je pris le katana et m'en allai vers les montagnes et les lacs à la recherche des parents et en quête de puissance; espérant retrouver plus tard Kyo et finalement empêcher les Konohajins de commettre ne serait-ce qu'un crime ... Je décidai en guise de remerciement aux gens de l'hôpital à apprendre la médecine ! Depuis se jour, Je ne cesse de m'entrainer et je ne vit qu'en quête de puissance pour un jour me venger de Konoha