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Sujet: Soirée coquine qui vire à une promotion [ Mei Terumi ; Prinny ] Mar 15 Fév 2011 - 23:52
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Sujet: Re: Soirée coquine qui vire à une promotion [ Mei Terumi ; Prinny ] Mer 16 Fév 2011 - 19:55
Aujourd’hui avait été une belle journée calme et paisible, tout en couleur et en chaleur grâce à la lumière de l’astre solaire, et ce, même si c’était la pleine saison hivernale. D’ailleurs, le soleil se reflétait dans la mer à demi-gelée entourant le village de Kiri, donnant un magnifique spectacle auquel il était impossible de s’habituer, malgré le fait qu’il soit quotidien. C’était aussi l’une des activités solitaires préférées de Mei, s’installer confortablement au bord de l’eau, puis de contempler l’horizon, se perdre et ne penser à rien devant ce cadeau de la nature. C’était apaisant et cela agissait comme un bon anti-stress, chose nécessaire pour tout bon shinobi. Quel dur choix de vie, vraiment. L’humain qui a choisi cette voie est confronté à toute sorte de défi et de visions qui peuvent être bien ardus à gérer, émotionnellement parlant. La folie est fréquente chez les ninjas, leur faible équilibre psychologique étant mis à l’épreuve à chaque mission, à chaque désastre… Voilà pourquoi s’évader de temps à autre faisait le plus grand bien, et assister au coucher du soleil, c’était bien une activité qui aidait grandement dans ce sens. Enfin, la jeune femme pouvait perdre son temps ainsi un peu moins souvent maintenant qu’elle avait de lourdes responsabilités à porter. Un rôle de Kage, ce n’était pas rien, surtout qu’elle n’avait ni assistant, ni bras droit pour l’instant… Néanmoins, elle assumait pleinement ses responsabilités, et avec brio. En effet, le village avait essuyé une terrible attaque il y a de ça quelques mois. Ça avait été difficile en de tels temps que de prendre cette place de Mizukage, pour redresser le village, lui rendre sa gloire et lui faire honneur. Par contre, elle avait réussi et aujourd’hui, à part dans la mémoire des gens et sur les nouvelles tombes, les marques qu’Akatsuki avait faites ne paraissaient plus. Tout était reconstruit, le village en était même ressorti plus fort, plus solide que jamais. Bien évidemment, certains voyaient d’un mauvais œil sa nomination en tant que Kage, mais Mei savait qu’elle ne pouvait plaire à tous. C’était un fait admis chez les hommes, il y aura toujours des insatisfaits, des râleurs de la pire espèce qui viennent tout gâcher. Par contre, ceux-là, elle les espionnait de près. Il n’était pas question de retomber dans une ère de chaos maintenant, et elle ferait tout pour que cela n’arrive pas, mais pour ça, elle avait besoin d’aide…
Bref, trêve de rêvasserie, la belle déesse des mers avait encore du boulot, malgré l’heure tardive. Le soleil était pratiquement disparu du ciel, il allait laisser la place à son contraire la lune, et Mei était encore dans son somptueux palais de Mizukage. Elle avait eu beaucoup de rapport à signer et à lire, en plus d’assigner des missions et de penser à des alliances qui pourraient être bénéfique pour Kirigakure no Sato, autant dire qu’elle commençait déjà à être fatiguée. Oui, sa soirée ne se finirait pas tard, oh non. Enfin, ça, c’était si aucun imprévu ne venait contrecarrer ses plans et c’était connu, ils arrivaient toujours au mauvais moment. Puis, elle avait un pressentiment que ce soir, c’était le bon niveau ennui. À ce moment, la jeune femme soupira tout en se prenant les tempes des mains. Le document qu’elle était en train de lire à moitié était d’un ennui… Si ça continuait ainsi, elle allait s’endormir dessus. Pas franchement glorieux. C’est donc inconsciemment que sa doucereuse voix s’éleva, râlant contre son poste.
-J’en ai marre ! Comment est-ce qu’on peut arriver à gérer tout ça seule ?
Et voilà maintenant qu’elle se parlait seule… Surmenage, elle comprenait maintenant le sens de ce simple mot. La Godaime n’avait pas le choix, il lui faudrait commencer à penser à se trouver un assistant, quelqu’un qui l’aiderait dans ses tâches. Idéalement, il faudrait que cette personne soit une fille, franchement, Mei n’avait pas envie d’éclater quatre-cinq fois par jours la gueule d’un mec qui la relookerait sans cesse ou qui lui ferait des blagues vaseuses et de mauvais goût… Oui, le mieux serait une femme, autant pour la personne choisie que pour elle-même. Maintenant qu’elle avait déterminé ça, elle retourna à sa moche lecture, mais à peine quelques instants plus tard, la porte de son bureau s’ouvrit et ce, sans même que la personne n’ait prit le temps de frapper. Les ennuis étaient déjà là ? Quelle poisse. Étant concentrée sur ce qu’elle faisait et comme elle n’avait ressenti aucun chakra approcher, la jeune femme avait légèrement sursauté, fallait espérer que ça n’avait été trop visible… Suite à cela, elle prit le temps de bien détailler l’homme qui était entré, ne pouvait s’empêcher d’afficher son sourire charmeur qui la caractérisait si bien. Vijay hein ? Ça faisait un moment qu’elle ne l’avait pas vu celui-là, et voilà qu’il se pointait comme un cheveu dans une soupe, s’avançant vers Mei. Il avait vraiment fallu qu’il choisisse ce soir pour venir la voir, alors qu’elle portait sa longue robe bleue un peu morne et qu’elle devait avoir une mine un peu fatiguée… En plus de ça, il s’approcha très près, se penchant pour être à sa hauteur, prenant appui de ses mains sur son bureau. Elle n’avait pas le choix, la Godaime devait sauver son image, c’est ainsi qu’elle prit son air charmeur, tâchant de paraître en pleine forme. Suite à cela, Vijay la taquina avec ces heures supplémentaires. Ah, il n’y avait bien que lui pour dire une telle chose sans s’attirer les colères de la Mizukage. Au contraire, elle en avait rit, emportant avec elle celui de son interlocuteur. Finalement, ça lui faisait du bien de se détendre en sa compagnie, ce jeune homme était capable de lui dire les pires répliques perverses ou de faire des blagues sans que Mei ne s’emporte. Il y avait réellement une complicité dans l’air, et tous deux parlèrent de tout et n’importe quoi. Au diable le travail pour l’instant, une pause était bien méritée. Vraiment, faudrait qu’il fasse ça plus souvent.
Au fils de la soirée, une idée commença à germer dans l’esprit de la belle kunoichi. Et si c’était lui qu’elle choisissait ? Il était junin, et malgré son tempérament joueur, il savait se montrer sérieux quand le temps était venu pour l’être. Ce shinobi était l’un des rares à pouvoir parler de n’importe quoi en sa compagnie, et il connaissait les limites qu’il ne devait pas dépasser. Que demander de mieux ? Ah oui, fallait d’abord qu’il accepte… Voudrait-il prendre cette responsabilité et l’aider dans ses tâches administratives ? Le meilleur moyen de le savoir restait encore de lui poser la question. C’est ainsi que son expression faciale changea radicalement, signalant qu’elle allait aborder un sujet important. Néanmoins, malgré son sérieux, tout en Mei restait sexy, même sa voix lorsqu’elle la fit entendre.
-J’aurai une faveur à te demander. Bien évidement, tu peux refuser, mais ça me ferait réellement plaisir si tu acceptais. Hé non, je ne parle pas d’aller faire des galipettes dans ma chambre, mais bien que tu deviennes mon assistant, mon bras droit si tu préfères.
Voilà, l’annonce était faite. Néanmoins, pour s’assurer que la réponse soit positive, Mei utilisa juste un peu ses talents de manipulatrice. Ce n’était pas très sympa, elle l’avouait, mais c’était dans son tempérament de le faire. C’est pourquoi, elle se pencha un peu pour être plus près, mettant bien à la vue son généreux décolleté. Elle prit son air charmeur et sexy, celui que tant d’hommes avaient du mal à se détacher, puis sa suave voix retentit de nouveau.
-Et à ce sujet, si tu acceptes, je pourrais bien te révéler quelque chose qui risque de te faire bien plaisir. Évidemment, je ne peux actuellement t’en dire plus, mon mignon. C’est à toi de voir ce que tu décides.
Qu’elle était diabolique ! Est-ce que son plan fonctionnerait ? Ça, il ne lui tardait de le savoir.
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Sujet: Mes melons adorés ♥ Mer 16 Fév 2011 - 21:24
La fuite. Ces cinq derniers mois, je m'étais perfectionné dans cet art jusqu'à son summum. Étrange hein ? Moi! Un héros! Devoir fuir ? Eh bien, après tout, tous les héros masqués ont dût fuir un jour car leurs actes héroïques semblaient être contre la loi. Une logique absurde je trouve. M'enfin, de toute façon, il y avait un truc qui me gênait... c'est que lorsque j'agissais en tant que héros, je ne mettais pas de masque moi! Il semblait donc logique que l'on me félicite pour ça, et non pas qu'on me poursuive alors que je suis en train de prendre mon pied à observer les jeunes femmes dans les sources chaudes merde!
Bref. Au final, je devais me trouver une double identité, mais avant ça, j'allais devoir trouver une double identité. Et c'est tout en fuyant contre les ninjas de Kiri que je réfléchissais à ça, mine de rien, un Prinny, ça réfléchit beaucoup! … quand sa vie est en danger en tout cas. Mais pour prouver que je n'étais pas le héros que j'étais, il me fallait un bouc émissaire qui jouait le héros pour se faire arrêter. Mais qui ferait l'affaire ? Après tout, je ne connaissais personne ici étant donné que je vivais dans l'ombre tel... bha une ombre. Vu que j'étais furtif, on me voyait souvent sous la forme d'une ombre chétive très rapide, assez rapide pour réussir à fuir à chaque fois.
Cependant, la poursuite se révélait finalement être un jeu. Non. En faite, un entraînement, car j'avais peur pour ma peau, donc si c'était un jeu, c'était vraiment un jeu dangereux, donc appelons ça plutôt un entraînement, car tout le monde sait qu'il ne faut pas jouer aux jeux dangereux au risque de se faire taper sur les doigts, chose que je n'apprécie guère. Celui-ci visait à améliorer ma fuite qui ne cessait d'aller dans ce sens, mais je commençais à stagner, et cela ne me plaisait guère, surtout que ma fuite était toujours trop faible, preuve était que cette fois-ci, j'étais proche de me faire rattraper par mes assaillants.
Je dus traverser les portes, chose peu aisée avec les gardes qui commencèrent à me poursuivre à leur tour, en échange, l'équipe originelle s'arrêta aux portes, sûrement la mission allait alors devenir de rang C et l'équipe étant composée de genins, ils ne pourraient pas me poursuivre à l'extérieur... MUHAHAHA, ils ne s'attendaient pas à ça hein ? Enfin bref. Malheureusement, le point négatif, c'était que les gardes, eux, étaient bien entraînés, et leur vitesse était grande, assez grande pour qu'ils puissent me mettre la main dessus. Mais miracle! Mon instinct de Prinny prit l'avantage sur ma limite et je réussis à me surpasser, assez pour laisser les gardiens de Kiri loin de moi.
Essoufflé, je pris une pause, m'adossant à un arbre. Récupérant un peu mes forces, je restais quelques secondes, quand passait devant moi un jeune homme aux cheveux verts... tic tac, tic tac, c'est le bruit que j'entendais en continue en voyant cette personne passé devant moi. Après quelques secondes, le temps qu'il soit à quelques mètres de moi, je compris que c'était lui, mon héros! Hélas, il s'éloignait un peu trop de moi, alors je me précipitais vers lui et allait lui sauter dessus dans le but de le plaquer au sol, mais... je tombai par terre quand je l'aperçus ouvrir sa braguette et m'éloignait au loin. Puis, je vis un jet d'eau arrosé un arbre à ses racines... C'était de l'urine putain!
Voyant que je ne devais pas déranger l'individu durant sa pause pipi, j'attendais tout en le regardant de manière suspect. Mais en entendant son urine couler et toucher l'arbre, je commençais à moi aussi avoir une envie pressante... c'était décidé, je fis de même! Mais à l'instant où le jet était parti, l'individu sans nom avait fini et reprit sa route. Criant un « gecko » de ma bouche, je ne pouvais le laisser s'échapper, donc sans arrêter mon jet, je me précipitais à nouveau sur lui pour le plaquer au sol et le ramener avec moi. Hélas, je me ratais au final comme il se retournait à l'instant où j'étais devant lui, et je fis une chute libre. Je réussis heureusement de peu à me tenir à son col et me rattrapant au dernier moment, dès que mes pieds touchèrent le sol, je me précipitai à une vitesse folle vers Kiri emportant avec moi mon bouc émissaire... Tout en laissant l'urine couler, me mouillant, et peut être lui aussi... ou pas. Pour le rassurer afin qu'il ne prenne pas peur et ne se défile pas devant ses « responsabilités » que je venais de lui donner sans dire un mot sur celles-ci, tout en courant, je laissais échapper quelques mots de mon bec :
« T'inquiète pas! Je vais te ramener devant la belle et sexy Mizukage et tu vas être couronné pour tes actes héroïques que j'ai effectué pour toi! »
Arrivantnt par la suite aux portes, je m'arrêtai, présentant mes respects aux gardes qui m'avaient poursuivi tantôt, et sans en tenir compte, leur expliquai rapidement la situation. Ils m'escortèrent alors avec mon nouveau compagnon au bureau de la Mizukage pour que celui-ci ne s'échappe pas pour avoir commis le crime d'avoir « joué le héros ». Comme je vous l'ai dis, une loi de merde! Mais ce n'était pas le centre d'intérêt pour l'instant, le centre d'intérêt pour l'instant était plutôt le fait est que j'étais moi aussi menacé par les armes des gardes, sans doute sans qu'ils ne le veuillent, mais... voilà quoi, c'était stressant d'avoir des armes pointés sur nous alors que l'on avait rien fait! En tout cas, rien fait que les autres sachent... Traversant Kiri pour finalement arriver à une porte où les gardes frappaient fut une joie pour moi : enfin je pouvais profiter de Kiri comme je le pouvais maintenant que le malentendu était réparé par un de mes plans de génies! Mais quand la porte s'ouvrit vers moi, ce fut le véritable paradis : un magnifique décolleté se présentait à moi! Comment y résister ?
« MES MELONS ADO... GECKO ?!! »
Sans pouvoir finir ma phrase, je fus écrasé par les gardes... argh... sans doute n'avaient-ils pas compris que j'étais de leur côté et pensaient que je m'attaquais à la Mizukage... Remarque ; je m'attaquais en faite aux seins de la Mizukage, m'enfin bref, je pouvais pas vraiment faire grand chose écrasé.
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Sujet: Re: Soirée coquine qui vire à une promotion [ Mei Terumi ; Prinny ] Sam 19 Fév 2011 - 14:45
Une entrée dangereuse.
Kyoshu marchait dans les environs du village de Kiri, il avait entendu parler de ce village lorsqu’ils marchaient dans le pays de l’eau son frère et lui. Il avait donc décidé d’aller voir ce qui se tramer dans ce village. Ce qui l’avait entendu était sortit d’un vieux fou qui n’avait pas pu se sortir de la tête l’image d’une femme du village de Kiri. Il me raconta alors ce qu’il s’avait sur ce village en me donnant quelques informations sur la femme en question. En vérité, la situation dans le village était très froide et plutôt tendue. En réalité le village caché du brouillard été divisé en deux à cause d’une histoire de clan, il avait deux groupes : les clans qui se disaient normaux et les clans qui utilisaient des affinités élémentaires évoluées. Le moment qui fi basculé la situation du village de Kiri était lorsque les clans aux affinités élémentaires prirent de plus en plus le pouvoir sur la politique du village et ils devinrent très vite une grande force du village. Les différents autres clans ne voyaient pas la monter en puissance des autres d’un bon œil mais ils ne pouvaient rien faire car ils n’arrivaient pas à contrer les attaques des puissantes affinités évoluées lors des affrontements, ils s’inclinaient alors devant la puissance des gènes héréditaires. Le Sandaime Mizukage, à ce moment la aux raines du village était satisfait des nombreuses réussites des puissants clans aux gènes surpuissants lors des missions, voila pourquoi le Sandaime leur donna de plus en plus de mission. Cet acte fit monter encore et encore les clans héréditaires dans la hiérarchie du village. Au détriment des autres clans aussi puissant mais ne possédant pas des gènes surpuissants. Ce qui s’en suivit était un véritable carnage, les deux partie se livrèrent une lutte sans merci. Pour conter la puissance des gènes surpuissants, les autres formèrent donc l’escouade nommée les 7 épéistes de Kiri qui se composait d’un membre de chaque clan, le plus puissant de tous les clans était envoyé dans cette escouade. Malgré la puissance de cette escouade, elle n’arriva pas à faire chuter les clans aux gènes surpuissants. Les clans jaloux allèrent donc s’emparer du Bijuu Sanbi, écartant les membres aux gènes héréditaires du contrôle du Bijuu. Cependant ce plan était vain, les clans surpuissant prenaient petit à petit tous les pouvoirs dans le village de Kiri, ils régulaient aussi les autres clans et élièrent des responsables beaucoup plus mineures.
Les clans dis normaux, mis de côté de la politique du village, se soudèrent entre eux, les crises approchaient petit à petit, ils le savaient. Une énorme guerre civil se préparait au sein du système administratif du village de Kiri. Les clans dis normaux prenaient sur eux en attendant le jour où ils se soulèveraient et où ils reprendraient les rennes militaire et politique du village. Caché, leur alliance leur permettait de contrôler l’organisation de Kiri, il possédait Sanbi, il allait l’utiliser au bon moment pour en faire une arme de destruction massive. La situation était tout autre du coté des clans surpuissants, fier de leur avancée au sein du village ils se livrèrent plusieurs guerres froides en se faisant des coups bas ou encore des guerres civils entre eux. Ils enchainaient les prises de pouvoirs dans des points stratégiques de l’organisation du village caché de la brume. Voila ce que lui avait raconté le vieux qui venait apparemment du village de Kiri ou d’une contré proche. L’histoire de ce village était des plus intéressantes. Les Hikari possédaient eux aussi des pouvoirs héréditaires, s’ils avaient été dans ce village ils auraient surement surpassé les nombreux autres clans. Voila ce que lui avait raconté le vieux qui venait apparemment du village de Kiri ou d’une contré proche. L’histoire de ce village était des plus intéressantes. Les Hikari possédaient eux aussi des pouvoirs héréditaires, s’ils avaient été dans ce village ils auraient surement surpassé les nombreux autres clans. D’après les anciens de notre village la lumière est le deuxième élément le plus puissant du monde, il est sur le même piédestal que les ténèbres mais rares sont les détenteurs de ce pouvoir, d’après l’histoire les ténèbres serait légale de la lumière mais ce qui faisait la force du pouvoir était la volonté et les capacités de celui qui l’a possédait. Kyoshu venait de rentré dans le village de a brume, il n’avait pas eut trop de mal à y mettre les pieds malgré la petite prime qu’il avait sur sa tête. Il continuait donc sa route dans ce village qui avait la réputation d’être un village sanguinaire. Apparemment des bâtiments étaient détruits, Kyoshu ne savait pas encore ce qui s’était passé récemment mais il venait de sortir d’une lourde bataille, contre qui ? Il n’en savait rien. Alors qu’il regardait tout au tour de lui il avait envie de pisser, il se dématérialisa alors à proximité d’une maison pour ne pas que les gens le voient et commença alors à se vider. Alors qu’il était en train d’uriner dans une buisson il sentit une petite présente qui se rapprochait, il se tourna et ne vie rien autour de lui, c’est alors qu’il sentit quelque chose lui toucher la cuisse. Kyoshu, surpris remit en place son pantalon avant de voir la chose qui venait de lui attraper la cuisse, ça ressemblait à un pingouin mais celui-ci parlait, le pingouin lui dit :
« T'inquiète pas ! Je vais te ramener devant la belle et sexy Mizukage et tu vas être couronné pour tes actes héroïques que j'ai effectués pour toi ! »
La Mizukage ? Et si c’était le belle femme dont le vieux avait parlé à Kyoshu, celui-ci se laissa donc emporter par le pingouin malgré qu’il puisse se retirer quand il le voudrai. Il n’avait cependant pas tous compris aux mots qu’avait prononçait le petit pingouin. Ils arrivèrent ensuite dans une sorte de bureau ou se trouvaient deux autres personne, un homme qui n’attirait pas du tous le regard du jeune Hikari et une femme qui au contraire absorbait toute son attention. Kyoshu regardait la jeune femme. Que dire de son physique, des plus énigmatiques, encore jamais vu dans le monde. La jeune femme était une beauté rare, et sauvage. Sa silhouette aussi fine qu'une guêpe, épouse parfaitement ses formes plutôt généreuses, qui en avait fait fantasmer plus d'un d’après Kyoshu. Avez-vous déjà vu, la couleur qu'arbore l'océan en début de matinée, caressait par la main chaleureuse du vent sur les remous des vagues ? Voilà dans quoi le regard de la jeune femme était plongé. Une étendue infinie, à mi chemin entre l'éclat verdoyant de l'herbe fraiche, et du bleu profond des océans. Sa pupille, d'un noir ébène, vacillait comme un navire voguant sur les flots, de la teinte vive qu’offraient ses yeux, au monde extérieur. Ce qu'exprimait son visage ? Une enfance inconnue, et surtout, une mentalité de fer, mêlée à celle d'un homme. Entre autre, sa figure fine, de couleur rosée et brillant. Ses mains, aussi fragiles qu'une eau pure, faisaient ressortirent avec harmonie le violet de ses ongles. Une couleur aussi propre que le bleu pour cette jeune femme. Puis, sa chevelure, d'un roux miroitant, flânaient sur son dos comme un oiseau en plein envol, qui vint atterrir avec grâce et puissance. Rien qu'en un seul regard, sa matière capillaire pouvait vous envoûter... Pour clôturer ce portrait enchanteur, le sommet de son crâne était surmonté par un chignon propre au Samouraï de l'Ère d’Edo, qui soutenait ses cheveux, ainsi que deux mèches, pour encadrer son être. Une touche de douceur dans ce monde de brute ... Le pingouin passa donc à l’attaque au prit la parole :
« MES MELONS ADO... GECKO ?!! »
Il n’avait pas finis sa phrase mais le début suffisait à faire comprendre que ce pingouin était envouté par les formes des plus généreuses de la jeune femme. Kyoshu la regardait, de haut en bas pour essayer de tirer le plus possible d’information sur la chef du village de Kiri. Le vieil homme n’avait pas menti, cette femme était des plus belle, Kyoshu se demandait pourquoi une femme aussi belle était devenu chef d’un village de ninja. Apparemment elle avait du courage ce qui faisait surement d’elle une femme très dangereuse. Je fis alors un pas doucement pour ne pas prendre ce geste pour une attaque et me présenta :
« Je me nomme Kyoshu, je suis du clan Hikari que vous ne connaissait surement pas. Je suis venu en ces lieux en quête de connaissance et de puissance mais cette petite chose ma pris par surprise. J’avais hâte de voir si ce qu’on dit sur la Mizukage était vrai ou pas. Apparemment l’on ne m’avait pas menti, vous etes une belle femme mais esperons que cela tienne longtemps. »
Kyoshu termina sa présentation sur cette phrase humoristique. A présent il faudrait attention la réponse de la Mizukage et des deux autres, Kyoshu restait vigilent au cas où ces trois la tenterai de lui faire un coup bas.
Dernière édition par Kyoshu Hikari le Ven 11 Mar 2011 - 14:55, édité 1 fois
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Sujet: Re: Soirée coquine qui vire à une promotion [ Mei Terumi ; Prinny ] Lun 21 Fév 2011 - 18:37
InvitéInvité
Sujet: Re: Soirée coquine qui vire à une promotion [ Mei Terumi ; Prinny ] Lun 21 Fév 2011 - 23:27
Le petit stratagème semblait fonctionner à merveille. Mei connaissait le tempérament de Vijay, elle savait qu’il n’était pas du genre à vouloir d’un poste de bureau, mais avec ses gros arguments, la Mizukage voyait bien que le jeune homme qui louchait allégrement y songeait sérieusement, et se fut bien pire quand elle lui avoua qu’elle détenait des informations intéressantes pour lui. Vraiment, si la jeune femme n’avait pas été douée pour cacher ses émotions, elle en aurait ri tant l’expression qu’arborait son interlocuteur était marrante. Il ne devait pas s’en rendre compte. La Godaime avait vu toute la gamme de sentiments qui avait traversé Vijay, et elle eut peur d’avoir un refus. Néanmoins, au bout d’un moment de réflexion, ce dernier semblait résigné à accepter. Elle avait gagné ! Un fin sourire commença à étirer ses lèvres, attendant le oui qui sortirait de la bouche de l’homme qui lui faisait face, mais il fut interrompu avant même qu’il n’ait pu dire quoi que se soit. Bon, c’était quoi ce bordel ? On venait d’entrer dans son bureau sans même frapper à la porte… Mais que foutaient les Anbu chargés de la sécurité du bâtiment ? Décidément, même pas capable d’arrêter un jeune et un… pingouin ! C’était un rêve là, non ? Hum, à voir comment son ami semblait découragé, ça devait être réel. Ils avaient intérêt à avoir une bonne raison pour s’incruster dans une conversation privée en plus d’entrer dans son bureau sans prévenir… Voulant éclaircir la situation, Mei se leva, désolé Vijay, fini la belle vue, mais avant qu’elle n’ait pu dire quoi que se soit, la minuscule bête passa à l’attaque… sur ses seins ! Pervers va ! Son poing s’abattit de lui-même, repoussant le pauvre pingouin, alors qu’une veine menaçait de sortir des belles et douces tempes de Mei. C’est alors que les gardes décidèrent d’intervenir, maitrisant l’animal au sol. Il était temps qu’ils arrivent eux… La kunoichi les avait connu plus efficaces et vigilants.
Bon, cette mascarade avait assez durée. Elle qui commençait à être moins patiente vu l’heure tardive, la soirée s’annonçait malheureusement longue. D’un geste de la main, elle fit signe à ses ninjas de partir, se qu’ils firent sans discuter. Seulement Vijay avec elle, c’était suffisant pour gérer la situation, et c’était aussi une belle occasion de le tester, bien qu’il n’ait techniquement pas encore accepté l’offre, mais comme elle était sûre d’elle, la jeune femme le prenait pour acquis. Pauvre homme. Bref, le désormais sombre regard de Mei se dirigea vers l’intrus qu’avait ramené le pingouin. Il ne portait pas de bandeau frontal de Kiri, alors d’où venait-il, qui était-il ? D’ailleurs, ce dernier se sentit probablement observé, car il fit un pas en avant, doucement, puis sa voix s’éleva. Il se présenta, la Godaime ne le connaissait ni d’Ève, ni d’Adam, puis il expliqua vaguement la raison de sa présence. Il osait venir la dérangée et il restait dans la brume sur son identité et ses intentions ! Il s’attendait à quoi là ? Il tenta tout de même de faire passer le morceau en la complimentant sur sa beauté, mais la dernière partie de sa phrase fit ressortir la veine de tout à l’heure. « …Mais espérons que cela tienne longtemps. » Se n’était vraiment pas le genre de blague à faire à une femme, surtout une femme dangereuse et complexée. Cette dernière avança, contournant son bureau et passant à côté de Vijay comme s’il n’existait plus, puis elle vint s’installer juste devant Kyoshu. Mei était comme la mer, changeante, et il fallait savoir s’y prendre avec elle, comment l'apprivoiser, c’était un fait que plusieurs savaient aujourd’hui. Sa voix, habituellement chaleureuse s’éleva, étant cette fois froide comme un vent du Nord.
-Dis un mot de plus à ce sujet et je te tue. Au mieux, mon cher Vijay se fera sûrement une joie de te sortir de ce village.
En parlant de son futur bras droit, elle se tourna dans sa direction, voyant que celui-ci semblait vraiment découragé. Il se tenait la tête à deux mains et se la frappa même contre le pauvre bureau… Bon, il ne serait d’aucune aide pour l’instant. Bref, menacer les gens était aussi un truc qu’elle aimait faire, autant que les provoquer ou les manipuler. Être en contrôle, elle adorait. Enfin, pour détendre un peu l’atmosphère tendue qu’elle venait sûrement d’instaurée, la Mizukage prit de nouveau la parole, cette fois sur un ton un peu plus accueillant.
-J’aime quand les choses sont claires et précises. Pourquoi êtes-vous là tous les deux ? Kyoshu, si tu n’as pas de bandeau de Kiri, c’est que tu n’es pas d’ici. Je vais me montrer clémente, explique-moi clairement tes intentions qu’on soit tous fixés. Quant à toi, dit-elle d’un ton moelleux, se tournant vers Vijay, j’attends toujours ta réponse mon mignon.
Se n’était vraiment pas le moment, mais Mei était trop curieuse de savoir s’il acceptait pour attendre que les perturbations soient passées. Néanmoins, malgré son désarrois plus que frappant, il était tout de même écrasé contre le meuble de bois, le junin de la brume répondit en marmonnant qu’il acceptait, mais qu’il ne remplirait aucune paperasse. À ce moment, elle eut envie de lâcher un rire diabolique. Que tu crois, petit. Oh oui, si elle avait gagné maintenant, elle serait capable de l’assoir devant un bureau l’espace de quelques heures pour qu’il l’aide à distribuer des missions. Mais pour le moment, elle était satisfaite. La seule kunoichi dans la pièce se recula un peu sans tourner dos aux nouveaux arrivants, afin d’être aux côtés de Vijay, puis se pencha, elle lui murmura à l’oreille.
-T’as de la chance, un premier boulot t’attend déjà. Reste avec moi jusqu’à ce que la situation soit claire avec eux, puis je te dirai les infos que je t’ai promises.
Espérons qu’il se montre compréhensif. Maintenant, elle attendait toutes les réponses aux affirmations et questions qu’elle avait émises. Ils feraient mieux de tous bien se tenir, parce qu’être dérangée ainsi ne lui plaisait pas le moins du monde. Les heures supplémentaires avaient le don de l’irriter au maximum…
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Sujet: Re: Soirée coquine qui vire à une promotion [ Mei Terumi ; Prinny ] Mar 22 Fév 2011 - 12:24
J'abandonne!! J'abandonne!!! J'ABANDONNE!!! Ces foutus ninjas de Kiri m'avaient plaqué au sol juste parce que j'avais « essayé » d'atteindre le paradis. Et maintenant, j'étais écrasé, là, devant la Mizukage, et malheureusement, à ce moment-là, elle ne portait pas de jupe... déçu. En plus, je pouvais même pas parler vu le poids avec lequel ils m'écrasaient, ces ninjas de mes deux. Tout ce que je pouvais faire, c'était tenter de sortir un son de ma bouche sans réussite et ouvrir grand les yeux, souffrant comme si j'étais torturé. Et le torture, c'était pas fait pour moi. En plus, en me faisant plaqué au sol, je m'étais cogné à la joue et elle était en feu... ou pas. En faite, en y regardant de plus près, je vis la belle femme qui avait le rôle de garder Kiri, le poing levé. C'était elle qui m'avait frappé ?! Elle devait être de mauvaise humeur. Après tout, comment pourrait-elle battre une chose aussi mignonne que moi autrement ? Finalement, je fus relâché de l'étreinte des gardes sur ordre de la Mizukage. Vous voyez ? Je vous l'avais bien dit qu'elle finirait tôt ou tard par succomber à mon charme. Enfin, maintenant que j'étais libéré de l'emprise écrasante des ninjas, je pouvais souffler. Histoire de reprendre un peu mes forces, je restais par terre tout en me reposant.
Mais voilà, la phrase choc fut balancée. Vous savez le mec que j'ai ramené pour qu'il me serve de bouc émissaire ? Eh bien, il n'avait pas le moindre tact. Encore, le début de sa phrase était joliment bien menée, mais la fin fut en trop. Largement en trop. Totalement en trop. « Espérons que cela tienne longtemps »... c'était le B.A.BA de la séduction que de ne pas sortir cette phrase devant une femme. Même pour plaisanter. Après tout, on sait tous que les femmes ont une peur irrépressible de vieillir. Enfin bref, là, t'aurai pas dût mon petit bouc émissaire. Vraiment pas dût. Enfin, tu allais en subir les conséquences, et j'y serai pour rien. Enfin, peut être que malgré tout, moi aussi je subirais les foudres de la Mizukage. Rien qu'à cette pensée, je frissonnais, après tout, si elle était le chef du village, ce n'était sûrement pas pour rien. Étape 1 : les menaces, pour cela, elle allait en face de mon bouc émissaire et face à lui, elle commença à le menacer : voilà l'occasion parfaite pour moi de voir quel type de dessous elle portait et de quelle couleur il était, et peut être même découvrir si elle portait ou non des bas! Cependant, je ne pus saisir cette opportunité. Comprenez-le, je ne peux pas me sacrifier alors que j'ai encore pleins de choses à faire. Surtout avec la menace de mort qu'elle proposait, même si elle ne m'était pas destinée, je me sentais fortement visé.
Les menaces terminées, elle tourna la tête par derrière, je suivais son regard, après tout, je n'avais que ça à faire pendant mon repos. Je vis un homme au teint bronzé assez beau gosse, mais... un manque total de classe. Après tout, on le voyait en train de se frapper la tête au bureau tout en protégeant son visage. Vous voyez le genre ? Le genre narcissique qui se frappe pour faire le fort. Mais on dirait plutôt un masochiste en faite là. Bref, cette fois encore, c'était à la Mizukage d'agir, elle parlait et ses paroles ne visèrent pas que mon bouc émissaire cette fois, mais bien le héros de ces dames ; moi! Elle demandait évidemment la raison de notre venue et quelques autres futilités aux deux autres personnes de la salle dont je me fichais royalement. Comme les murmures que prononçait l'autre-là. Le masochiste vous savez. Et pour la soutenir, je me devais moi aussi d'entrer dans notre petit théâtre. Je me levais donc, en pleine forme après avoir récupéré mes forces et plaqua ma main sur mon front comme le soldat que j'allais sûrement devenir au terme de cette entrevue après avoir ramené ce mec prisonnier.
« Prinny au rapport! Je suis venu ici pour vous ramener le héros qui a joué les héros lors de l'attaque des hommes en noir et rouge. Il a osé protéger les sources d'eau chaude et combattre deux de ces hommes. Bien sûr, si c'est ce dénommé -heu... comment tu t'appelles déjà-, enfin bref, si c'est ce mec, ce n'est bien sûr pas moi qu'il faut arrêté pour avoir commis le crime d'avoir jouer le héros, je demande donc à ce qu'on ne me pourchasse plus pendant que je traîne aux sources chaudes du village! »
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Sujet: Re: Soirée coquine qui vire à une promotion [ Mei Terumi ; Prinny ] Dim 27 Fév 2011 - 12:25
Le petit pingouin fut attaqué par de nombreux ninjas portant le signe du village caché de la brume; Je l’entendais crier alors qu'il se trouvait dans le couloir, il pleurer de douleur car les ninjas l'avaient plaqué contre le sol violemment après sa vaine tentative de tripoter la poitrine de la Mizukage. Celle-ci lui avait retourné un coup de poing dans la tête qui l'avait écrasé sur le sol tel un steak de pingouin. Celui-ci fut alors envoyer dehors avec l’aide de quelques ninjas de Kiri. C’est alors que je me retrouvais seul avec la Mizukage et cet autre homme qui me regardait totalement désintéressé. Je venais de me présenter à la Mizukage mais je remarquais que la dernière que j’avais dis était de trop, le visage de la jeune chef du village de Kiri changea du tout au tous, ses traits se durcirent et elle adopta un sentiment de rage, je pense quelle voudrait me tuer. Elle s’avançait vers moi tel un ouragan qui allait m’écraser sur le sol de toute ses forces, un vent glacial se fit sentir dans le glace, apparemment je n’avais pas du dire quelque chose de bon car même l’homme désintéressé des conversations tourna la tête pour voir la réaction de son chef. Celle-ci ne se fit pas attendre, elle se plaça juste devant moi, les sourcils froncés, une veine ressortant et un visage des plus dangereux. J’entendit les mots froid et intense de la jeune femme, son changement avait été radical, d’une femme agréable et calme s’était transformée en un mur de glace à la langue fourchue. Kyoshu entendit les paroles froides tel le vent glacé à son oreille :
« Dis un mot de plus à ce sujet et je te tue. Au mieux, mon cher Vijay se fera sûrement une joie de te sortir de ce village. »
C’est bien ce que je pensais, la fin de ma phrase était de trop, cette femme était changeante et très complexée d’après ce que je voyais. Elle voulait me tuer si je disais un mot de place. Quelle femme effrayante quand elle se transforme en machine à tuer. Cela ne doit pas être jalie à voir lorsqu’elle se met véritablement en colère. C’est alors que j’acquiesça d’un mouvement de tête, une petite sueur froide descendit le long de mon dos. C’est alors qu’en finissant sa phrase elle redevint comme avant et s’adressa à nous à se dénommé Vijay qui était sensé me faire sortir du village de Kiri si jamais je disais encore quelque chose sur le physique de la jeune Mizukage. Elle retourna donc à son bureau après avoir jeter un coup d’œil à l’homme qui été entrain de se cogner la tête contre un bureau, décidemment ce village renfermait pas mal de malade mental, un pingouin qui parle, un homme ayant des problèmes mentaux et une Mizukage changeante, j’imaginais la scène en souriant, la Mizukage entrain de s’amuser avec le dénommé Vijay lorsque celui-ci lui dit quelque chose en même temps sur son physique, je rigolais intérieurement. J’entendis ensuite :
« J’aime quand les choses sont claires et précises. Pourquoi êtes-vous là tous les deux ? Kyoshu, si tu n’as pas de bandeau de Kiri, c’est que tu n’es pas d’ici. Je vais me montrer clémente, explique-moi clairement tes intentions qu’on soit tous fixés. »
Voila ce qui me concernait, le reste je m’en fichais. J’allais répondre à ces questions clairement et distinctement pour que tout le monde comprennent. La Mizukage me fixait avec ses yeux blanc où l’on pouvait voir les vagues de l’océan, c’était vrai, elle était un belle femme mais malheureusement elle n’était pas une tranquille trop fluctuante, trop changeante, avec une femme comme cela la vie de doit pas être facile tous les jours mais bon l’amour change les gens comme on dit et espérons que celui-ci changera les multiples faces de la Mizukage. Je répondis donc aux interrogations de la Mizukage :
« Comme je vous l’ai dis il y a de ça quelques minutes je suis venu en ces lieux en quête de connaissance et de puissance mais cette petite chose ma pris par surprise et ma amener ici. Mes intentions en arrivant ici était en premier lieu de visiter le village, connaitre un maximum d’information sur le village de Kiri comment tous les autres villages. Ensuite j’allais me mettre en quête d’une personne assez puissante pour tester la force armée du village de Kiri. Voila »
Enfin, voila qui était fais. La Mizukage savait à présent pourquoi j’étais ici et livre à elle de m’aider ou pas, de toute façon je quitterai ce village sous peu, il ne me restait plus beaucoup de chose à visité en ce lieu. C’est alors que le pingouin rentra à ce moment la pour donner sa version des faits, il me parler d’un combat contre des hommes en noirs et rouge, des sources chaudes et que des gens le poursuivaient lorsqu’il était en ces lieux. Il m’accuser d’avoir fais le héros, je ne comprenais pas tous mais bon voyons ce que la Mizukage nous dira, je regardais ce pingouin qui dans tous les cas essayer de me mettre quelque chose sur le dos, j’allais lui régler son compte après. J’attendais à présent la réponse de la Mizukage.
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Sujet: Re: Soirée coquine qui vire à une promotion [ Mei Terumi ; Prinny ] Lun 7 Mar 2011 - 13:04
Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | : (203/1000) | Âge du personnage | : 26 ans
Sujet: Re: Soirée coquine qui vire à une promotion [ Mei Terumi ; Prinny ] Sam 19 Mar 2011 - 12:56
Vu que Mei a quitté le forum, je prend le relai dans le rôle de Mizukage. Disant qu'au lieu de me choisir comme bras-droit, elle me choisi comme son successeur et hop.
Quel était tes intentions en venant ici Kyoshu ?
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