Prénom et Nom : Toph Shugyoku
Âge : 18ans
Village / organisation désirée : Kumo

Description physique : Toph est, comme tous les membres de son clan, quelqu’un de petit, elle mesure environ 1 m 40. Elle a les cheveux bruns et sa coiffure est souvent négligée les yeux vert claire, presque blancs. Elle porte un pantalon vert et un tee-shirt assortie qu’elle garde sous un tabard crème.
Elle est le plus souvent pied nue mais il lui arrive de porter des dessus de pied en tissu laissant toujours ses pieds en contact direct avec le sol.
Son visage est encore celui d’une adolescente avec les boutons que cela entraine. Elle a les traies fin. Les yeux vert claire, presque blancs. Son teint pâle est celui de quelqu’un qui n’est pas habitué à voir le soleil, sa peau fragile attrape facilement des rougeurs.
En définitif, le commun des mortelles la trouverai plutôt agréable à regarder mais elle est loin de faire son âge (sans doute à cause de sa taille.), on lui donnera plus facilement 16ans que 18.


Description morale : Dans la vie de tous les jours, Toph est une bourrine, franche, rustre, le rire fort, la voix encore plus. C’est une battante, elle ne s’admet jamais vaincue, et a beaucoup de mal à accepter l’autorité. Elle a horreur de l’inactivité et la torpeur. Elle supporte mal la solitude et aime la rigolade. Ici aussi, Toph est une représentante parfaite de son clan. Elle est assez curieuse et a de grosse lacune sur les us et coutumes du monde extérieure.


Son histoire :Avant de commencer la narration de l’histoire de Toph, il me semble indispensable de vous expliquer comment vie le clan shugyoku. Ce clan, peu connu, vit sous terre prêt de la frontière sud du pays de la terre. La vie sous terre est bien différente de celle que nous connaissons. Pour commencer, la nourriture est loin d’être abondante, la place également. Tout agrandissement dans les galeries nécessite énormément d’énergie et le risque de tomber sur une grotte est énorme, les défenses du village s’en retrouverai affaiblie.
Les gens vivent donc dans de petite cavité, parfois plus de dix dans 6ou7 mètres carré. Les cuisines et les sanitaires sont communs à tous les habitants du village. Il n’est donc pas étonnant de voir que les corps des membres de ce village sous-terrain soient plus petits de 20cm au moins par rapport à la moyenne. Vivre avec une foule de gens en permanence sans jamais pouvoir prendre du temps pour sois et ce retrouver seul pousse les habitants à développer une franchise presque malsaine. Ce qui explique beaucoup de traits de caractère de toph.
Mais là où le clan Shugyuku est le plus étrange c’est que tous ses membres sont aveugles. En effet, bien rare sont les membres du clan à être déjà remonté à la surface. Leurs corps ont développés une ouïe et un sens du toucher extraordinaire. La plante de leurs pieds leurs permet de sentir les vibrations du sol et ainsi remplacer efficacement le sens de la vision. Les ninjas de ce clan ont donc un style de combat bien à eux.



Toph est née d’une famille aisée, sa mère siégeant au conseil et son père était instructeur militaire, elle eut droit à un enseignement plus que correct. La notion de richesse n’étant pas aussi développée qu’à la surface, on ne pas vraiment dire qu’elle a eu une jeunesse dorée.

« Toph, réveilles toi. Tu vas être en retard à l’académie ! » La voix de Mira sortie de sa torpeur sa fille qui se redressa en baillant. Plusieurs grognements indiquèrent qu’elle n’était pas la seule à s’être fait réveiller.

Comme à son habitude, Toph se leva et se dirigea vers la sortie du dortoir. Elle arpenta les couloirs machinalement jusqu’à se retrouver la tête dans une bassine d’eau glacé, rituel habituel pour se réveillé. Une fois ces formalités remplis, elle s’assit à une table ou les voix de Turol et de Hakiro lui souhaitèrent la bienvenue à leurs tables et elle avala un morceau. Turol engagea la discussion dans un long bâillement.

« ahhhhhrg on t’entends arriver de loin … tu viens de te lever ? »

« Ouai et toi ? T’as passé une bonne journée ?? » Demanda Toph encore engourdi malgré la douche froide

« ouai niquel , le conseil a décidé de lancer les travaux pour ouvrir une galerie à l’est . On devrait commencer dans quelques cycles, environs cent mètres carré de terrain, ça va nous en faire de la place pour élever nos futures enfants, on s’y met quand Toph ? »

« Quand tu te laveras la gueule. »

«OOOKAY ! Bon ben moi, je vais me coucher, si c’est comme ça. Tu sais pas ce que tu manques …. Bonne journée Toph , bonne nuit Hakiro. »

(A ce moment, il me semble nécessaire de corrigé un oubli dans la présentation du clan. vivant sous terre, les habitants n’ont aucune notion de jour et de nuit. Quatre sonneries rythment les journées certains ce couche d’autres se lèvent à chacune de ses sonnerie. Ce qui permet un rendement optimal de la place dans les dortoirs et un bon roulement sur les postes de travail.)

« ouai bonne nuit les gars, je vais a l’académie. » lança Toph a Turol qui s’éloigné et a Hakiro qui se gavé de purée racine d’acacia.

Elle marcha tranquillement jusqu’à l’académie en échauffant chacune de ces articulations dans un rituel matinal qu’elle faisait machinalement depuis son plus jeune âge. Toph entra dans une grande cavité et à peine eu t’elle fait quelque pas à l’intérieur qu’elle ressentie qu’une dizaine de pied (soit 5personnes si mes souvenirs en anatomie sont à peu près à jour) se ruer sur elle. Elle se mit en garde et esquiva les deux premiers coups de pied, un changement de force sur un pied lui indiqua qu’un de ces agresseur s’apprêtait à lui mettre un coup de poing. Encore une fois, elle esquiva et frappa du pied sur le sol, un bloc de terre de la taille d’un pare pin s’éleva et alla frapper un de ces agresseurs pendant qu’elle esquivait de nouveaux coup. Le projectile atteignis le crane de sa cible qui grogna et Toph put reconnaitre la voix d’une de ces camarade de l’académie. Le combat continua quelque temps mais Toph était de loin la meilleure de sa promotion. Le sensei de l’académie n’étant autre que son père de la jeune femme, il lui avait toujours imposé un rythme d’entrainement et une rigueur de travail qui lui permettait maintenant de rivalisé avec plusieurs des autres apprentis en même temps.

Et depuis que le conseil avait désigné Toph comme ninja représentant le village, il ne cesser d’augmenter le niveau aux entrainements. En effet quand les marchands de la surface ont rapporté la nouvelle de l’avènement du nouveau Kage, le conseil du village s’était réunis et il avait été convenu qu’un aspirant ninja serai envoyé a Kumo pour servir le nouveau kage, en guise de bonne foi et pour garder de bon terme avec la surface. Toph avait été choisis depuis quelques mois et l’heure de son départ approchait.

« Toph, je te présente Atoki. C’est un marchand qui vit à la surface. Il va t’expliquer ce que tu dois savoir sur le monde extérieur. Le conseil a décidé d’avancer ton départ, les marchands de la surface rapportent des attaques de monstre des temps anciens et nous devons honorer notre allégeance envers le pays de la foudre dans ces moments sombres. Le conseil a préparé une lettre que tu donneras au kage à ton arrivé à Kumo. Tu pars sur le champ. »

« Oui père. » Les mots du père de Toph résonnaient dans sa tête pendant quelques instants mais cela faisait des cycles qu’elle se préparait à partir et elle savait qu’il était inutile de discuter cet ordre.

Quelques instants plus tard, les gardes de la portes lui ouvrirent la porte du village, elle n’avait ni fait ses adieux ni même dit au revoir à sa famille et à ses amis. Un long tunnel de prêt d’un kilomètre séparait la porte du village et la surface de la terre. Pendant qu’elle montait la pente douce qui la séparait du monde extérieur, le marchand commença de lui raconter les dernières nouvelles du monde extérieur. Quant à Toph, elle tentait de ressentir les vibrations du sol que faisaient les habitants de son village natal. Les vibrations étaient de plus en plus faible et bientôt, elle ne sentie plus rien. Un courant d’air chaud lui indiqua qu’elle venait de sortir du monde souterrain.

« Est-ce que … c’est du vent ? Je veux dire, c’est ça le vent ? »

Le marchand éclata de rire et acquiesça,

« J’imagine qu’il aura beaucoup de nouveauté pour toi sur la surface ! »

« J’imagine … ».

Puis, Toph ressenti un frottement sur le sol. Un animal Gigantesque à huit pattes s’approchait d’eux à bonne vitesse. Un monstre ?? Toph plaça un bras devant son guide et lui demanda de se cacher. Le marchand apeuré s’exécuta sans discuter pendant que la jeune femme se concentrait et se plaçait en position pour la rencontre.

Une minute passa et le monstre était à une dizaine de mètre. La confrontation semblait inévitable quand un rire fort s’empara d’Atoki.

« Qu’est ce qui te prend, reste caché !! »

« hahaha c’est ça le monstre ??? hahaha c’est notre moyen de transport, mon fils avec mes deux chevaux et mon chariot haha hihi hahaha, j’ai mal au ventre hahah ».

Les huit pattes s’arrêtèrent prêt de Toph dans un hennissement. Le marchand avait les larmes aux yeux quand il salua son fils et monta sur le chariot. Il invita Toph à faire de même. Les cheveux reprirent le chemin et Toph commença de vomir à peine eurent-ils fait 30 mètre. Les sens de Toph étaient complétement déboussolés, n’étant plus en contact avec le sol, elle était complétement impuissante car privées de son sens le plus utile, le ressentie de ces pieds. Lorsque Toph n’eut plus rien à vomir, son estomac pensa judicieux de se vider de sa bile. Ainsi on pouvait suivre son cheminement pendant plusieurs kilomètres. La diligence finit par s’arrêter après un long trajet, le temps s’était rafraichit et Toph en déduisit que le soir venait de tomber. Pendant sa jeunesse, elle n’avait jamais vraiment vue l’intérêt d’apprendre des choses sur la surface mais maintenant, elle se flatta de les avoir quand même apprises.

« Nous passerons la nuit dans cette auberge. Descends, tu dois te reposer ».

Toph se laissa tomber par terre, étant incapable de savoir à quelle distance elle se trouvait du sol. Un choc la ramena au sol et elle soupira de soulagement. Epuisé par une journée de vomissement elle se issa sur ses jambes et déclara d’un ton pas vraiment solennel.

« bleurp , vous voulez ma mort ? Sans déconner, faudra me tuer pour que je remonte dans un truck pareil. »

Le marchand ria de nouveau, il commençait sérieusement à énervé Toph. Le fait de rire tout le temps était une bonne chose habituellement mais là, c’était trop.

« T’sais quoi ? Vas te faire voir avec ton rire à la con, je finis toute seule. »

« Allé Toph, c’est à trois jours de marches, tandis que si tu viens en chariot, tu peux y être demain ».

Elle ne l’écoutait plus, la jeune femme entra dans l’auberge et demanda un lit au rez de chaussés. La tenue et la demande (les chambres du rez de chaussés sont les moins bonne et sont réservées habituellement aux serviteurs) de la cliente interpela le tenancier mais il offrit l’hospitalité. Les temps qui courraient ne lui permettaient pas de refuser des clients sous prétexte qu’ils ont des habits bizarre. La nuit passa et le lendemain matin, alors que Toph s’apprêtait à quitter l’auberge pour reprendre la route.

«Hé jeune fille, tu n’as pas oublié de me payer par hasard ? »

Toph qui ignorait qu’à la surface, sa taille lui donné l’apparence d’une jeune fille plutôt que d’une jeune adulte ne se retourna même pas. Mais elle ressentit que l’aubergiste lui courrait après. Elle se stoppa et une fois encore, pris la position du pugiliste pour faire face.

« hé gamine, c’est pas possible tu ne peux pas partir sans payé. Si tu veux des problèmes, tu vas en trouver.»

«Laisse faire, je paye pour elle. » le marchand intervint à temps et Toph se rappela soudain qu’à la surface, il fallait payer pour des choses stupides comme mangé et dormir.

« Je suis désolé monsieur, je n’ai pas d’argent. Et j… ».

« Ne t’en fais pas, ton père m’a demandé de te surveillé jusqu’à Kumo Gakure no sato, il avait pensé que tu oublierais certaines coutumes de la surface. »

« Merci beaucoup, je suis désolée de mon comportement d’hier »s’excusa la jeune femme.

« Je t’ai dit de ne pas t’en faire. Partons, on a pas mal de route à faire. Et par les temps qui courent, je refuse de marcher de nuit ou même de dormir dehors. ». annonça le guide après avoir payé l’aubergiste et en commença de marcher dans la direction voulu.

«Ok, et je r’monte pas sur ta maudite chariote ».

(La suite, au porte de Kumo si vous validez ma candidature. »)