Prénom et Nom : Hunk Moroshi.
Âge :Inconnu.
Grade voulu :Hokage ou si non possible, Bras-Droit. [Le Hokage étant apparemment libre...]
Village / organisation désirée : Konoha.

Description physique :

« Une ombre parmi les ombres, un bourdonnement de respiration au plus profond de votre oreille crasseuse, le seul bruit cassant cette monotonie d’halètement roque et mécanique serait peut-être les légères gouttelettes de sueur s’échappant de l’espèce de montagne poreuse qu’est votre front. Et puis, plus rien, ce grondement disparut dans une faible mélodie de vitesse et de mouvement. Il est l’ectoplasme de vos cauchemars, et le cauchemar prend fin… »

Une vaste vague de brume passant aléatoirement autour de vous, aléatoirement, peut-être pas. Mais cela n’est nullement un détail à faire valoir. Elle rôde aux alentours de votre enveloppe corporelle comme ver de mouche voisin à un morceau de viande aux sensations putrides ainsi qu’aux teintes pâles, malades. Une femme ? Un homme ? La deuxième solution sera de mise pour ce personnage extrêmement entouré de mystères. Pourquoi mystérieux ? Aucune, même minime, parcelle de peau n’est visible à l’œil nu. Un liquide de goudron recouvrant son corps à l’apparence assez frêle. Car effectivement, ce corps, cette chose brumeuse, vague, indifférente aux aléas du temps n’est finalement pas d’une nature physique importante et, ou bien exceptionnelle. Mais de par la large panoplie d’habits qui recouvre son âme, la décision de se faire une conception, une image de son corps résulte de la pure folie mensongère. Comme spectre flottant grossièrement aux dessus des êtres humains aux teints blafards, il est tout simplement absurde et impensable de se faire une idée précise de la chose qui place sa présence près de vous. Et après tout, qui a déjà perçu un fantôme de ses propres sphères ? Quels soit émeraudes, rougeâtres ou encore bien-même dorées comme des magnifiques ambres. Oui, les personnes conséquents d’une intelligence amoindrît et désarmé. Ce sommaire démon qu’est le chétif farfadet est bien vivant pourtant. Des personnes aliénées seraient définitivement les plus grands penseurs de toute l’Histoire ? Remettre la création-même du monde en question, de par l’existence de ce fantôme à l’apparence glauque. Ce fantôme existant dans votre imagination ? Ce fantôme existant dans vos pires cauchemars ? Ce fantôme… Tout simplement, humain ? Le bruit qui ressort de ses fines lèvres rosâtres en continuelle mouvement indiquerait que oui, mais après tout, où s’arrête la barrière de l’humanité, par notre physique ? Par nos actes ?

L’apparence générale d’un spectre issu des noirceurs de l’encre des plus grands écrivains de ce Monde. Une plume, formant avec une délicatesse à toute épreuve une esquisse sur un ancien parchemin malpropre. Un trait, puis, lentement un autre vint. Un dos admirablement droit, parfaitement perpendiculaire à la terre fébrile que contient la douce et charmante planète Terre. Une taille légèrement en dessous de la moyenne, sans pour autant être véritablement flagrante. Par procuration, personne ne ferait le rapport entre la taille du farfadet et la taille humaine moyenne en ses vastes étendues de verdure, rivière chantante ainsi que la montagne, se reposant sur sa grande taille, ornant d’une fierté gargantuesque l’endroit. La plume plonge dans l’encre, rapidement, puis retourne à ses idées. Un corps frêle, mais tout de fois puissante. Deux mots totalement opposés, certes, mais cela convient extrêmement à l’aspect bregmatique que ce fantôme cultive avec une certaine fureur et folie. Dans le plus grand des secrets, certes. La motrice du dessinateur se pose finalement, résultant d’un effacement d’une certaine partie de la physionomie. Le visage était effacé. Pour toujours. Maintenant, un doux voile ténébreux d’encre était présent. Seulement une espèce d’ovale paresseusement remplie avec une certaine flemmardise. L’ectoplasme prend lentement ses formes bien préfinies. Des vêtements sombres, simples et standards. Une posture de combat nait de par la position que prend le personnage récemment dessiné sur la feuille de faible constitution. Le pâle démon n’est rien d’autre qu’invention d’esprits malades et tordus. Pourtant, l’homme à la plume morte n’est nullement une personne étant de la basse société, exactement le contraire. La feuille, doucement et tendrement, se souleva aux caprices maussades du vent. Un grommellement arracha les lèvres rugueuses de l’artiste, d’un geste vif, son bras se leva, attrapant avec sa main l’esquisse de personnage. Cette dernière se froissant sous le poids du membre. Le fantôme, n’a pas de forme prédéfini. Nullement… Contraire.

Passons, si votre attention est toujours posée sur cette description du personnage. Venons sur sa physionomie de marbre, ainsi de son encadrement. Le portait, une chose primant dans la société Ninja d’aujourd’hui. Une capuche. La meilleure définition pour décrire ce bout de tissu résulte en un seul et unique mot, ce dernier étant tout bonnement : « Simple. » Nullement d’arabesques extravagantes, de stylisme délicatement hors-sujet. Rien de tout cela. Seulement un teint noir de jais, semblable à l’essence des Ténèbres eux-mêmes. Pourtant, une seule patente qui pourrait être considéré comme motif : des alvéoles grisâtres, très finement faites. La Mort exporte aucune façade avec elle, seulement un voile d’ombre, délivrant la plus grande appréhension. Une peur qui vous glacera chaque cellule de votre intellect physique tellement faiblard et frêle. Une chose orne avec prestance son devant, sa paroi invisible et fade. Un masque. Plus précisément un masque à gaz, donnant sur un visage sans expression ainsi qu’une voix rauque et nullement humaine. Le filtre résulte en un semi-cylindre d’une hauteur d’environ cinq centimètre et de diamètre dix de même longueur. Ses parois respiratoires divisées par trois parties. Lui permettant de respirer avec une certaine aisance. Plus haut, deux cercles. Deux sources de lumière intense semblable aux rayons du Soleil à sa plus grande apothéose. Pourtant, une modique antithèse s’insère dans cette comparaison. La cause accomplissant la couleur. Les circonférences, plongées dans un doux et magnifique tableau de teintes bleuâtres. Une majestueuse fresque, instrument qui soit la seule touche de gaieté dans l’accoutrement du nuage de brume, résultant des pires prémisses de la planète Terre. Cette fréquentation de nuance froide ne s’éteint jamais. Eclatant éternellement chaque endroit dont sa présence est convenu. Deux sources d’apparence qui ne seront rien d’autre que la dernière chose aperçue après le repos éternel. Votre corps, se répandant alors sur un sol crasseux, dans une marée d’hémoglobine rougeâtre. Un fantôme tuant, sans aucune once d’émotion.

L’uniforme. Une source incomparable et infinie pour pouvoir juger une personne. Un fantôme porte-il réellement des vêtements ? Et bien entendu, où s’arrête la barrière de la réalité ? Caractère de ce qui existe réellement. Définition de la réalité. L’ectoplasme, existe dans l’esprit de nombreuse personne. Mais pas dans d’autre. Mais revenons sur ses vêtements. Ces derniers résultant d’un uniforme Ninja assez banal. La colorie Ninja « classique » étant par contre, d’une teinte contraire au candide, une apparence obscur, s’apparentant aux cœurs des hommes. Portant un habit en une pièce, sa tenue principale est bien attendue orné de plusieurs pièces à issus militaire. Une légère cape, s’arrêtant au milieu de la cuisse et donnant sur une capuche en son sommet. Par-dessus, le veston simpliste d’un officier de l’Armée Ninja. Permettant, grâce à ses nombreuses poches d’accueillir avec la plus grande sérénité différentes armes, objets de valeur, parchemins et encore bien ordre de mission. Des protections au niveau des genoux ainsi que des coudes, ainsi que des gants de défense et de protectorat. En ses pieds, les vulgaires et dégoutantes sandales furent disparut pour laisser place à de botte, grisâtre, permettant un anti-dérapage du terrain. Dans son dos parfaitement droit et développé, on notera une légère plaque, recouvrant le bas des omoplates et terminant sa pâle existence au milieu des vertèbres du minuscule farfadet. Plaque s’adaptant bien entendu aux mouvements de son utilisateur. Cette dernière possédant deux attaches, elle permet d’entreposer deux armes d’un volume important ou encore bien un parchemin d’invocation. La lamente entrainée à avoir une résistance de charge de trente kilos, résultant à un enfant ne dépassant point le poids limite de se servir du spectre comme moyen de transport… Cette tenue, est déclinée en quatre coloris : Noire. Blanche. Orange sombre/marronnâtes. Et une tenue peut-être légèrement moins lourde.

Dans cette apparence, purement glauque et mystérieuse, que résulte de l’être humain ce cachant derrière ? Un monstre sans vie, résultant d’innombrables expériences toute plus ignobles les unes que les autres ? Ou encore bien-même une espèce de Guide de la beauté ? Résultant finalement, une fois ce voile de ténèbres hors-de-lui d’une « classe »frôlant l’orgasme oculaire ? Personne ne le sait véritablement, qui sait, cette personne qui écrit paresseusement, en ce moment ses quelques lignes ne connait peut-être pas son apparence physique. Donnait-lui l’apparence qui vous fera plaisir, ce monstre de la respiration mécanique et lente s’emplit de nombreuses idéologies mentales sur le plan physique. Les « looks » ainsi que les tenues populaires ont changées avec le temps. Le cerveau humain transporte de nombreuses portes dont les clefs ne sont nullement connues à la connaissance des scientifiques. Les sens sont trompeurs. Notamment celui de la vue, rien n’indique à une belle apparence ou encore bien à son antonyme. Un voile de goudron maussade et gluant, l’entourant pendant des années. Vous, membres de Konoha, ou encore bien-même d’autres Pays, qui l’avez observait comme une petite bête curieuse. Quelle pouvait-vous avoir finalement ? Celle d’un homme brisé ? Ce cachant définitivement derrière des vêtements par la cause d’une quelconque peur ? Que se passerait-il si, ce voile d’ombre disparaissait dans une brume l’entente et paresseuse ? Que de suppositions, surement si vaines…

Description morale :

« Pourquoi reste-il ici ? Son observation tellement fertile et vaine ne sert strictement à rien. Nous savons que nous mourrons de toute façon par se spectre venant de l’haut delà. Qu’il vienne nous prendre dans sa plus grande fureur, cette dernière ce résultant par sa respiration tellement glaciale. Son arme sera ma douleur et mon salut, ses sources de lumières incandescentes deviendront les paupières de Dieu lui-même, apporte-moi. Pâle créature des Ténèbres, présent en ce bas-monde qu’est la Planète Terre… »

Une voix froide, autoritaire, directe. Une voix qui vous fera tremblez de peur. Cette vocalisation reflète bien son caractère envers les connaissances qu’il connait. Qu’ils soient prisonniers ou même encore de simples civils. Ou bien, envers ses collègues de travail qui ne sont seulement les membres du Corps d’Armée ainsi que les pauvres ombres reflétant les bas-fonds du Village Caché. N’étant rien d’autre que les nombreux cuisiniers ou bien jardiniers de l’immense cité. Mais cette voix n’apparait seulement quand des conflits sont présents. Et généralement, cela suffit largement. Son calme olympien inspire le respect ainsi qu’une certaine terreur. Non voulut. Avant tout. L’homme est un membre du corps. Et donc, il se doit d’aider les habitants si le besoin se fait attendre. Cela n’est pas un tyran. Juste un homme juste et distant. On pourrait même dire, que, de par son attitude distante. Un certain froid s’installe autour de lui. Comme si la température ambiante de la pièce baisserait sans le vouloir. Cet homme serait-il fait uniquement de glace ? Ne soyez quand même pas crédule jeune homme ou jeune fille. Une autre voix et bien plus présente dans les cordes vocales de l’adulte. Une voix calme et posé inspirant un respect mutuel et franc. Son élocution arrive à faire poser les plus agités et les plus idiots… Les notes de musique sortant de ses cordes vocales sont ses armes les plus puissantes. Puisque, il connait absolument tous sur vous. Depuis votre âge. Jusqu’à votre famille ainsi que vos antécédents. Comment il le sait ? Non, non. Le spectre n’est pas ce qu’on pourrait appeler en langage « Geek » un « Grosbill ». Nullement, le militaire à juste accès aux dossiers des humains ainsi que les C.V du Corps de Konoha. Vous n’êtes pas à l’abri mes enfants. Non, ne plus jamais.

Et pourtant, cette voix, froide, autoritaire, méchante, vous ne l’entendriez jamais. La seule chose isolée dont votre oreille pourrait faire l’évaluation sera un bruit rauque. Lent. Un bourdonnement mécanique et glauque. Sa respiration lente et régulière dont le filtre fait ressortir avec un claquement assez conséquent. Rare sont les personnes pouvant se vanter d’avoir eu une véritable conversation avec l’encense de fantôme composé uniquement de brume. La Mort ne délecte nullement de parole. Aucune. Ce cadavre exécute seulement les ordres avec un certain acharnement et une frénésie sans limite. Le farfadet d’ombre se déplace lentement, ses mains remplies d’armes aussi mortels les unes que les autres. Votre mort, ne sera briser que par une déflagration de déchéance auditive et votre vision, devenu alors rougeâtre se refermera dans une latence des plus lente. La brumasse, monstre de violence mentale. Généralement, pendant un combat, cette personne eût plus des moyens psychologiques plutôt que de la tempête d’agression et de sévices qu’est la force brute. Pourquoi ce choix aussi rare ? La discrétion. En grande partie. La mélodie des lames s’entrechoquant n’est pas un opéra qui s’intègre dans les goûts du masque de terreur. Entendre son adversaire devenir un esprit bouillonnant sous différente tortures psychologiques. Alors que, le spectre à la voix rauque, ne bouge nullement, ses deux sphères de lumière le fixant dans un état sans aucune once d’émotion. L’homme de grade militaire s’avancera seulement pour porter le coup final. La fin de votre vie, l’apocalypse de votre existence. Une lame d’environ dix centimètres, peut-être plus, plongé au plus profond de votre cœur dans un souffle balistique et d’une vielle machinerie, aussi présente que l’instrument de la planète Terre. Douce partition d’écriture mélodieuse qui prend doucement et délicatement fin dans un flot de marée de plasma pourpre. Et de là, le fantôme disparait avec lenteur, doucement.

Un pâle démon sortant des prémisses de la Terre. Par conséquent, une telle chose existant sur Terre n’est pas facilement approchable, et généralement, cela résulte de la pure spéculation dominée par un esprit malade, complètement disloquée par les sables du temps que sont les multiples univers en continuelle mouvement. L’amour ainsi que l’amitié sont des parties de la mentalité qui ne font nullement partie de cette créature tellement mystérieuse. Cela est certes, totalement envisageable. Toute personne vivant sur cette pâle planète Terre possède une large gamme de sentiment plus ou moins fort selon ce qu’il doit exprimer. Mais le temps ainsi que la patience détient de l’hystérie ainsi que de la folie pure et simple. Comme l’objet de ses cordes vocales, observé de lui une quelconque marque d’affection ou encore bien d’amitié, rare sont les personnes encore vivante pouvant le narré à travers les gargantuesques vagues de l’Histoire. Le spectre est une statue. N’exprimant aucune émotion derrière son masque. Vous n’obtiendrez surement rien de lui, hormis peut-être survenir d’un immense grade de la catégorie militaire Ninja. Pourtant, Moroshi sait, quand, une action doit être prit, même si pour cela, la mélodie qu’exprime son muscle doit être de mise. Ou encore bien-même des mouvements résultant d’un sentiment d’amour ou de compassion. Mais extrêmement rare sont ses moments passées comme cela, et rien ne le changera de sa misanthropie avancée. La folie d’engendre Dieu n’insère un éloignement de l’être humain. De par ses épreuves et des horreurs que ses lourdes paupières auraient pût entrevoir, cela n’a strictement rien de la réalité. Des choses naissent, nullement de la réalité de la création de l’être Suprême. Et de là, la réalité est complètement bouleversé. Un fantôme existe donc, de par les multiples abominations que ses douces prunelles ont délectées au fil du temps. Le spectre est vivant.

Selon la description mentale de ses nombreux paragraphes, on pourrait finalement voir l’espèce d’ectoplasme brumeux comme une personne dans un état végétatif ou encore bien-même, une sorte d’animal dont les comptes sont innombrables. Un mouton. Mais cela est tout d’autre. Se militaire, résulte plus de l’immonde tâche de gras sur un vêtement de grande valeur. Un pouvoir tellement puissant, une personnalité tellement absence mais pourtant avec un potentiel embrassant celui des plus grands membres de l’élite d’un village caché. De par cette force, les missions suicides sont innombrables dans son casier Ninja. Des équipes qui, à chaque fois finissaient avec un seul et unique membre. Le fantôme. Cette tâche de crasse toujours présente dans ce village, crée par la cité, pour servir la cité et mourir pour la cité. On ne sait finalement par grand-chose de cette montagne de goudron ambulant. Le spectre œuvre pour l’avenir de chaque être humain, pour l’avenir de la planète Terre et de la paix. La seule chose qui serait surement important aux centres de ses douces circonférences aux teintes froides et glaciales. La protection des branches-mères du village de la Feuille. La dynastie doit être présente pour toujours, et chaque écart sera punit par la présence de la douce et magnifique Mort qu’importe la chose. Tous les moyens seront mis en œuvre pour que l’objectif soit toujours en place, et que cela réussisse dans une marée d’ambre et d’argent. Cette respiration gouvernera cette parfaite mégalopole. D’une main de fer et d’une vision juste. L’agglomération renaitra de ses cendres, tel phénix aux grès des somptueux vents venant de la mer houleuse et dense. Une nouvelle ère commence enfin, pour toujours. L’oiseau qu’est la garnison redeviendra le plus puissant et influent de ce monde.

Son histoire :

« La douleur m’emporte, enfin, pour toujours. Je ne suis pourtant nullement mort. Mon enveloppe corporelle ainsi que mon esprit est encore sur ce pâle bout de terre maussade. L’hémoglobine coule à flot sur mes mains crayeuses et pâlichonnes. Pourquoi… ? Je n’aurais finalement dû le vouloir... Ecoute petit farfadet épargne-moi, je t’offrirai d’innombrables délices, autant matériels qu’autre. Je sais que tu veux… Vient ! Non ! Non… ! »

Chapitre un : Human.

Moroshi Hunk. Homme né depuis un temps inconnu pour un but bien précis. Homme né à l’écart de toute population du village. Village caché se nommant : Kohona No Kuni. Personne ne sait véritablement pourquoi cette chose est vivante. En tout cas, la créature est là. Bien présente autour de vous et de votre avenir. La cause étant que, le fantôme s’occupe de l’avenir du village, pour toujours. Depuis de multiples années sans que vous le remarquez. Résultant d’effectuation de missions les plus dangereuses. La genèse de l’humble et succinct insecte n’a rien de bien extraordinaire et tombe dans une banalité des plus maussades. Mais où prend par la banalité où chaque jour, des techniques plus folles les unes que les autres sont mises en œuvres pour sauver des ambitions différentes ? Ou des organisations de criminelles sortant de stéréotypes essayant de détruire ce colossal et gargantuesque cosmos de terre et de mers. Si nous prenons place dans cet univers des plus paranoïaques et absurde, l’anthropoïde au masque de fer n’inspire finalement qu’à la bonté sur ce globe, n’étant rien d’autre qu’une légère poussière dans un univers malade et en perdition. Le nouveau Guide était finalement présent sur cette Terre. Œuvrant depuis les coulisses de la scène où les acteurs sont les meilleurs ninjas de chaque village ou bien, organisation. Un marionnettiste de talent, et un futur scénariste de grande envergure. La soif de pouvoir amène à la chute. Même si ce pouvoir est une chose totalement bénéfique pour toute la population d’un métropolite rassemblant près d’un quart de la planète Bleue. Une prise de commandement et de domination implique constamment une déchéance des plus propices et juvénile. Que cela ne tienne, la destinée doit être de mise, elle le sera sans aucune autre forme de procès. Ses circonférences s’allument. Le masque est prêt.

Personne ne connait son lieu de naissance, le fantôme le connaissant bien entendu, cela va directement de soi. Mais, l’apothéose de la genèse pourrait être contenue dans une seule et unique phrase. Un groupe de mot emportant une certaine froideur dans ce monde. Une réalité qui est toute autre. « La Mort ne meurt Jamais. » Pour comprendre véritablement ce discours, il faut bien entendu venir creuser plus loin que dans sa surface, son plan physique et la définition de chaque pâle mot. Ce personnage n’apparait que très rarement dans l’histoire de l’agglomération de son village. Mais cela cache, finalement, tous les mécanismes de l’immense infrastructure qu’est la ville. Littéralement est, le sens de la Mort. Cette chose n’apparait nullement, mais insère chaque jour les rouages de la vie et les stops quand le moment fatal se doit d’être de mise. Il est le précurseur de la vie, et le portier de la vie, la fermant quand votre enveloppe corporelle ne résulte finalement qu’à la sagesse éternelle. Mystérieux comme la Grande Faucheuse, aimant sa victime comme une mère adula son enfant malade, le monstre infernal résultant des pires actes charnels sera là, sera présent. Comme toujours. A votre mort. L’éducation de sa création résulte finalement de nombreuses choses. L’entrainement, le combat et le développement de ses capacités mentales. Le physique à bien entendu était de mise, mais dans un effectif plutôt moindre. L’évaluation de capacité, de situation, et d’autre paramètre ce devait d’être à son apogée la plus grande dans un laps de temps extrêmement court. Tout était là le but de l’expérience, ils se devaient de réussir pour l’avenir lui-même de la petite bourgade qu’était Konoha No Kuni à l’époque. Pourtant, après tant d’effort, les innombrables ahans réussirent à payer et l’objectif fut payant. Le masque se pose, sur son visage, lentement et délicatement. Son visage est La Mort.

La mutation : Apparition d’un nouveau caractère chez un être vivant. La mutation peut intervenir dans deux situations. Physique ou encore bien Psychique. A la différence de laisser la nature faire, il est tout à fait possible de la provoquée grâce à un programme bien prédéfini à l’avance. Les pouvoirs et les mutations psychiques sont surement les plus utiles mais aussi les plus dangereuses. Le nombre de personne ayant succombé à leur pouvoir dans une gerbe de flammes incandescentes se compte par milliers. Ce fantôme possède une mutation, et comme vous l’avez surement deviné, la mutation mentale/psychique. Ornant ses délicieuses pupilles d’une étoile noirâtre. Plusieurs conséquences de par ce programme prédéfini entre dans ce spectre aimant tellement la brume. La première sera bien entendu l’utilisation massive de Genjutsu. L’utilisation des illusions ainsi que des cinq sens. Le philosophe René Descartes, dans ces fondations inébranlables à crée trois règles, l’une d’elle est la suivante : « Les sens sont trompeurs. » Cette règle pourrait parfaitement s’appliquer à cette catégorie technique de Ninja. Cet élément de sa personne est une partie extrêmement importante de son histoire, en creusant, son application de l’utilisation de la mutation lui à permit, pendant les années, de se mouvoir dans la foule, de disparaitre, donné l’illusion même qu’il était nullement présent auprès de votre petit corps si frêle et misérable. Après tout, depuis combien de temps ce personnage serait-il présent sur la Terre ? Depuis sa création elle-même ? Depuis la première grande Guerre Ninja ? Personne ne le sait, véritablement. Le militaire, engendre la planète depuis des temps immémoriaux. Un spectre, par conséquence une personne morte. Ne peut-revenir envers les majestueux cieux olympiens. La durée de son errance dans la quête de savoir est encore présente. Cela est une valoir sûre. Des éloquences de flamme interviennent au travers de son voile métallique, puis disparaissent tout aussi rapidement qu’elles sont apparues. L’ectoplasme est réveillé.

Durant sa large jeunesse à l’égard de la civilisation, d’énorme batterie de tests furent faites pendant une longue période. Aiguilles plantées au plus profond de ses pâles chairs malades, casque neuro-septique cachant ses magnifiques sphères résultant d’immenses nébuleuses denses et sauvages. Chaque journée se résultant à une dissémination d’endurcissement dès plus présente et régulière. Chose ayant pour but d’améliorer au maximum ses capacités, toujours dans un minimum laps de temps. Dosage bourratif de drogues diverses et variées, s’alternant avec les nuits sans aucune once de repos propice. Une maltraitance aussi physique et mentale, des horreurs des plus machiavéliques et malsaines. Voir, peut-être, perverses et vicieuses. Un entrainement causant finalement, des pertes de valeurs assez simplistes et résultantes d’une vision d’un monde plutôt fausse. La conséquence donnant sur un adolescent végétatif, suivant totalement aveuglement les ordres qu’on pourrait lui donner. Un corps marqué d’innombrables et de gargantuesques cicatrices, comparatif à une signature de leur créateur. Une fois les nombreuses batteries de tests fiaient, L’un des ordres qui traça mollement sa vie fut ce dernier : « L’inscription dans un bâtiment d’éducation militaire Ninja. » Cette proclamation résultant finalement d’une chose des plus basiques, bien entendu, dernière ce groupe de mot, se devait d’être d’une réussite des plus grandes pour le sommaire farfadet. La réussite de ses études et de sortir dans les premiers rangs de sa promotion. Ou encore bien, en tête. C’est d’ailleurs ce qu’il se passa avec un énorme éclat de sourire de la part des scientifiques suivant de près le jeune ectoplasme. Pour l’instant, le Projet était en bon démarrage et aucune fausse piste ne vient mettre des bâtons dans les roues de la société engendrant la mise en place du fantôme. Ce dernier continuant toujours d’être aussi mystérieux, emportant une vague de froideur dans ce monde. La capuche se rabat rapidement, plongeant un océan de noirceur ténébreuse son visage métallique. Sa respiration se met doucement en marche.

Chapitre deux : Unit.

-++ Rapport sur H.U.N.K. ++-

Page numéro deux du Rapport.

L’élément premier répond parfaitement aux différents traitements que l’équipe scientifique lui administre chaque jour. Aucun effet secondaire notable. Tout ce passe pour le mieux pour l’instant. Prions pour que cela continue tranquillement dans cette voie. Dans l’immédiat, nous espérons qu’il intègre l’unité spéciale des A.N.B.U, mais plusieurs années seront de mises pour pouvoir rentré dans cette catégorie si exotique de Ninja. L’élément premier se pose plusieurs questions sur le monde qui l’entoure, nous avons donc prit la liberté de le laisser libre dans le village. Certaines personnes ne sont pas d’accord avec ce choix et pense qu’on risquerait de le perdre. Je ne suis pas de cet avis, cette créature résulte d’une intelligence grandiose et d’un savoir-faire ainsi que d’un savoir-vivre exceptionnel. Un savoir-vivre que je trouve d’ailleurs extrêmement développé pour une personne pourtant si peu habitué à connaitre des personnes. Finalement, la nutrition de connaissance envers les livres n’est pas si mal. Nous verrons bien où nous amène cette fine et extrêmement importante expérience sur le projet. Quitte à tous mettre en œuvre pour que ce dernier réussisse. D’ailleurs, ma femme et ma fille m’ont quitté, au moins, je peux tranquillement me concentré sur le mentaliste. Les autres membres de l’équipe scientifique ne posent pas toutes les solutions pour mettre en valeur ce personnage tellement intéressant. Quelle bande d’idiot, cela résulte d’un pêché ! Ils devraient avoir honte, véritablement. J’en parlerai surement au Chef du projet, lui, sera surement quoi faire. Espérons qu’il soit de mon côté. Je ne veux vraiment pas voir l’homme avec un tel potentiel venir dans une poubelle miteuse à un coin pâle de rue. Enfin, je suis donc en train de m’égarer dans ce rapport… Revenons maintenant sur H.U.N.K. Sur la page suivante, nous pourrions observer un diagramme résultant de l’œuvre financier du projet…

-++ Fin du Rapport sur H.U.N.K. ++-

-++ Enregistrement sur casette. ++-

« Je ne compte plus les jours où nous sommes dans ce trou à rats, mes yeux ne seront surement plus adapter à une source de lumière vive. C’est véritablement…. Super… Merci au Chef de nous avoir enfermé ici pour être largement plus rentable. Que cela ne tienne. Bref. Le développement de ses activités mentales grandit de jours en jours. Cela en devient presque préoccupant. Je n’aime pas cette montée en pouvoir surement trop rapide à mon goût. J’ai personnellement demandé un arrêt du projet ainsi qu’une mise en quarantaine du projet : H.U.N.K. Comme déjà dis, ce dernier devient bien trop puissant et de là, on perdra rapidement le contrôle sur lui. On ne sait même plus où il se trouve. Un vrai fantôme ! Il arrive à se mouvoir dans la foule avec une facilité totalement déconcertante. En même temps, avec ses capacités et sa mutation, cela n’est nullement étonnant. On pourrait le barrer de la surface de la planète Terre tellement personne ne le connait… Tss… Une minute, j’attends qu’on toque à la porte. Je pause le radiocassette. Reprise de l’enregistrement dans environ une durée de cinq minutes… »

(…)

« Toi… ? Que fais-tu ici ? Je te croyais dans la nature. Eh ! Eh ! Lâche-moi espèce d’abruti sans nom, purée mais à quoi tu joues à la fin ? Mais merde à la fin… Merci, de m’avoir lâché, c’est… Euh… Gentil ? Tu fous quoi ici, Hunk ? Cela fait maintenant environ… Tu vois, je ne compte même plus les années. Oh, oh ! Minute mon grand, rentre moi se couteau dans son pochoir, hein. Tu seras un gentil garçon... »

(…)

« Eurgh… Espèce de sale… Espèce… Tss… Je ne sais-même ce que tu es ! Tu vois ! Sale monstre ! Tu n’apportes rien à cette planète ! Toi ? Devenir un haut membre de Konoha ? Laisse-moi rire… Mumh… Sale… Fantôme… »

-++ Fin de l’enregistrement sur casette. ++-

Chapitre trois : Never.

Chaque anthropoïde, qu’importe son occupation, son rang social, ses origines ou encore bien même son sexe. Détient en lui, au plus profond de son âme. Aussi ébène qu’il soit, à un but dans sa pâle et misérable vie. Finalement, cette propagation de brume, prenant place aux prémisses des Ténèbres connait sa destinée, sa traverse de vérité ou encore bien sa gloire personnelle. Un emplacement dans ce monde. Une place dans les forces militaires. Une existence ayant enfin un but précis, bien que certainement plutôt encroûté dans la banalité. Mais, devons mettre cette pseudo-banalité dans une catégorie dis de négative ? Les plus grands penseurs ou encore bien personnages de l’histoire eurent, quasiment tous, ou bien, une grande majorité une émanation tombant dans une nonchalance particulière, résultant d’une certaine paresse. Cette paresse, devenant définitivement le moteur d’action, le mécanisme de départ de leur créativité. Une créativité tellement débordante qu’elle marqua pour toujours l’histoire même des hommes. Une créativité créant des règles. Que cela soit pour la poésie, pour la chanson ou encore bien-même pour l’orthographe. Une plérome de prestance ornant ses nombreux membres. Cette prestance, à l’apogée la plus extrême, effleurant de deux doigts pâles, à la limite de l’albinisme un orgasme d’origine sexuelle. Une source de pouvoir immense. Une chose faisant jubiler n’importe quel humain avec une once de maturité dans son pauvre esprit. Le pâle spectre qu’il est ne peut qu’espérer monter ses échelons que sont ses grades militaires tellement ardus à attendre. Ayant réalisé son admission dans une unité spéciale, cela n’est pas pour autant que cette brume démoniaque s’aurait socialisé. Nullement. Les initiales qui composent son prénom ornent avec une grande fierté la réalité. Le petit farfadet au masque respiratoire, œuvrant toujours dans l’ombre, derrière la scène. Ce magnifique scénariste calculant l’avenir de son village avec un recul et une maturité totalement inébranlable. Le fantôme stoppe sa respiration et effectue plusieurs pas, effleurant de ses gants ses armes. La Mort tue.

Depuis toujours, ce fantôme se voit confier une seule sorte de mission. Des tâches à caractères purement suicidaire. Ou bien quasi-suicidaire. Résultant le plus souvent à de l’escorte officiel de matériel médical ou encore bien de recherche scientifique. La récupération est aussi une notion importante dans l’unité spéciale. Généralement, se spectre, résulte du seul survivant de ces missions hautement risquées. Pourtant, le Conseil continue de lui fournir une équipe performante et égale à chaque nouvelle mission. Bien que, la plus part étant d’anciens prisonniers recherchant le Pardon Absolu. Il n’est point rare l’ectoplasme à la respiration rauque et mécanique œuvre et glane d’importante informations avec les nombreuses équipes Ninja médecine. A vrai dire, les rapports que fournir la brume vivante sont le plus souvent remplies d’abyssal et colossal sources d’informations pourtant nullement communiqué sur l’ordre de mission. Effectivement, l’illusion de la spéculation est comme déjà plus haut, une teinte de noir dans un tableau aux teintes blanchâtres et crémeuse. Une créature faiblarde qu’on aimerait tant écraser sur sa bottine avec une certaine violence et frénésie. Pourtant, nous savons pertinemment que son cadavre ainsi que ses viscères obscènes emporteront une odeur des plus dérangeantes. Pour cette raison, l’insecte vole, tranquillement, en liberté, naviguant entre les champs de fleurs et les bâtiments en bois dans une certaine paresse. Invisible aux yeux de la population végétative. Le monstre se délectant de votre misérable vie se réveille peu à peu, détruisant sur son passage toute forme de vie devant son enveloppe corporelle tellement envoutante de par son mystère planant autour de lui. Le phantasme n’est rien d’autre qu’un rouage parmi tant d’autre. Un rouage mêlé à l’histoire même de son village. Un rouage rouillé qu’on aimerait détruire. Le remplaçant par un autre en meilleur état. Mais cette pièce de machinerie n’est pour l’instant totalement introuvable et son équivalant n’existe seulement dans les rêves plus fous. Derrière son masque métallique, ses paupières se ferment dans une certaine paresse. Sa main gauche venant saisir une des nombreuses poches de son uniforme. Le fantôme rouvrit les yeux.

Chapitre quatre : Killed.

Le bruit des vagues, se répercutant dans une folie et un claquement sans pareille. Semblable à une massue de l’Inquisition s’établissant contre l’hérétique criant à l’injustice. Cette engrenage, son bruit, son être, sa respiration pourtant humaine mais à l’apparence toute autre. Sa destinée, plongeant dans un stéréotype des plus cinglants et nullement charmeur. Une vie se résumant à une phrase extrêmement connu. Ce groupe de mot résultant la définition d’une plaisanterie. Ce divertissement étant : « Le chat et la souris. ». Le chasseur et le chassé. Le chassé œuvrant directement envers sa propre mort. Exécuter le travail de son bourreau, une chose complétement idiote aboutissant sur une mort prématurée et incapacitante. Une roue délivrant de l’eau au moulin, lui fournissant de l’énergie. Le fantôme navigue pour l’instant sur l’aisance des habitants de son village originel à ne pas l’apercevoir. Heureusement pour lui. Pourtant, cette situation ne peut littéralement plus duré. Le temps d’être un simple membre d’un corps militaire, résultant d’ordre d’un Conseil et d’un Chef, cela n’est nullement une chose à tenir. L’engrenage à la corrosion avancé s’avait. Mais cette part de réalité qui partage le monde réel ainsi que le monde d’antimatière. Cette barrière était maintenant franchie depuis bien trop de temps. Cette situation se devait être bannie pour le restant de l’éternité dans un déchainement de pouvoir et d’antonyme à la corrosion. Son cadavre, sa mort, sa dépouille totalement sans vie n’intéressera aucunement des êtres humains. Hormis peut-être, d’innombrables scientifiques. Le fantôme ne pouvait bientôt plus avoir ce titre. Ne plus jamais….

La mort n’exporte lentement ses doux morts dans les limbes graisseuses et blêmes. Trainant leurs corps inertes et sans vie dans un ricanement des plus glauques. Une mélodie des cordes vocales fessant descendre la température « normale » d’un être humain normalement constitué. Pourtant, en creusant piteusement dans sa garrotte désespérément décharnée et stérile. Nous trouverons finalement, que, cette danse des longes balance paresseusement entre deux significations bien précises. La première étant le rire. Une expression de la joie nullement humaine. Semblable à un démon, à l’apparence rugueuse et misérable rigolant de vous. La deuxième, étant : la toux. Un acte décrivant directement la maladie. La faiblesse. Ou encore bien-même, dans une recherche plus approfondie, nous pouvons y voir l’une des nombreuses caractéristiques que détient l’un des quatre Cavaliers de l’Apocalypse. La Grande et si parfaite Faucheuse tomberait-elle de son trône ? Devenant que le pâle tas d’os qui résulte finalement de son apparence ? Le temps, lui porterait-elle la corde au cou ? Et le mariage n’est nullement de mise, sauf peut-être, avec la déchéance elle-même. La Destinée de la défunte remit littéralement en question par les immenses et gargantuesques sabliers du temps. Un auxiliaire serait-il de mise ? Ou encore bien-même, un remplaçant direct ? Un rouage dans l’énorme machinerie qu’est la vie sur la planète Terre redevenant une pièce jetable après une seule utilisation. Dans cette arrière salle qu’est la génération l’antonyme de la mort, sa respiration rauque et d’un dispositif résultant d’un animal d’acier et de bronze. Sa position de pauvre arrière ne lui suffit plus, son envie grandit peu à peu jusqu’à devenir une gargantuesque source de pouvoir ainsi que de savoir. Un seul pas sur le devant de la scène et la réalité entre les règles de vie seront simultanément bouleversé dans un cataclysme des plus impressionnants.

Résultant d’expérience plus folle les unes que les autres, ce pâle ectoplasme de chair déchire les règles de la réalité avec une facilité déconcertante. Veillant sur vous pendant toute la longueur de votre vie depuis le commencement même de l’Univers et du Cosmos. Quand le moment vint, sa sentence tombe lourdement, important avec paresse et nonchalance votre âme putride, complétement rongée par les vices qu’on crée les hommes pour se satisfaire.