Dream on ::.
- Le ciel nocturne est si beau lorsqu'on si plonge, se baigner dans les étoiles est un sentiment si chaleureux est rassurant, je ne savais pas où je me trouvais en ce moment, était-ce parce que je rêvais ? La réponse à ma question ne me venait pas à l'esprit, l'omniprésence de ce monde imaginaire me rendait toutes choses, c'était comme-ci réfléchir n'était devenu qu'une chose superflue, chaque vagues de réflexion étaient bloquées. Soudain, changement de décor : j'étais dans le désert, en face de moi se trouvait un homme, et à côté de moi ma propre personne, je fus assez surpris mais je ne pus trouver l'origine de cela tant réfléchir me devenait obsolète. C'est alors que l'homme en face de moi me lança un shuriken que mon deuxième moi n'eus aucune difficulté à esquiver, mais l'homme arqua un sourire sadique et tira sur un fil que je n'avais moi-même pas vu, le shuriken revint en arrière pour se planter dans la nuque du deuxième Ryo, dans un cri d'agonie celui-ci s'effondra au sol, soudain, il y eut une sorte de "retour en arrière", le deuxième moi se releva et refis les mêmes gestes juste avant de se retrouver de nouveau face à face avec son adversaire. Il y eut le même évènement que précédemment, le ninja adverse envoya un shuriken, j'aurais voulu crier qu'il ne fallait pas que Ryo l'esquive et se retrouve dos à l'objet de lancer, mais c'est alors que la copie de moi effectua des sceaux que je n'avais encore jamais fais de ma vie. Ma peau fut soudainement caresser puis fouetter violemment par le vent, le shuriken fut repousser par une sorte de bouclier invisible qui se dressait devant le deuxième moi, l'environnement commença à s'effondrer, je ne pus qu'entendre un dernier chuintement de parole :
° Fuuton no...°
.:: Dream off
Je me réveillai en sursaut, les draps collants de sueur, depuis combien de temps dormais-je ? Le soleil était déjà bien haut dans le ciel et la pièce baignait dans la lumière, je m'étais assoupis pour m'échapper à mon travail, mais une question subsistait tout de même avec le crainte de me faire réprimander par mes supérieurs du conseil, qu'elle était cette technique que j'avais vu dans mon rêve ? Je me surpris moi-même à pouvoir réfléchir, c'était comme-ci je n'avais pas fait cela depuis fort longtemps. Premièrement, il fallait que je prenne l'air, et deuxièmement, et bien je ne savais pas, je saurai improviser, là n'était pas le problème, celui-ci étant que j'allai encore une fois me retrouver barricader dans mon bureau asservis par des tonnes et des tonnes de dossiers, rien qu'à cette idée je frissonnai, il fallait absolument que j'esquive cette situation, je sortis alors la tête de l'entrebâillement de la porte et regarda de chaque côté du couloir, et alors que j'allai tourner la tête sur la gauche j'entendis un :
~ Le voilà !! Maître Kazekage !! De nouveaux dossier sont arrivés !!
Je rentrai ma tête illico presto du pas de la porte et enfilai aussi rapidement mes habits avant de me rendre compte que la seule sortie était la porte, enfin c'est ce que je croyais, je n'eus qu'une solution, sur une montée d'adrénaline je sautai par la fenêtre de ma chambre. Sombre idiotie auriez-vous pensé, il était vrai que ma chambre se trouvait au plus haut sommet de la Tour mais j'avais tellement fais de fois "l'école buissonnière" que je connaissais chaque rembarres et coins de mur où s'accrocher sans crainte. Sans craintes j'atterris sur la barre où était suspendu le drapeau de mon village. Puis commença ma longue réflexion pour savoir ce que j'allai faire de ma journée, pourquoi ne pas aller au terrain d'entraînement ? La journée commençait à peine et je savais que j'y trouverai quelqu'un, de plus, je devais connaître l'origine de cette technique que j'avais vu en rêve.
Sans hésiter je sautai de la barre où je me trouvai et posa le pied sur le sol de la rue juste en bas, j'avais décidé d'y aller tranquillement sans me presser, car à ce qui paraissait se presser raccourcissait la vie et ma vie, j'en avais besoin, pour protéger le village de Suna. Sur le chemin, nombre de gens me reconnurent et me saluèrent donc avec le respect qu'ils me devaient, j'en rougissais presque car je n'aimais pas toutes ces éloges à mon égard, j'aimais par-dessus tout la banalité et la simplicité, rien de toutes les fêtes et cadeaux qu'on me faisait ne me donneraient la joie que me donnait le sentiment de sentir mon village en sécurité. En quelques minutes j'arrivai à l'air d'entraînement, il n'y avait personne, sauf certains courageux qui semblaient vouloir devenir plus fort malgré la chaleur omniprésente dans le pays du vent, il n'y avait que des genin qui s'entraînaient en compagnie de leurs senseï, je ne voulais pas les interrompre, de plus s'il advenait que j'apparaisse comme ça devant eux, ils n'allaient plus écouter leurs maîtres mais allaient bien être distraits, et je voulais pas, je voulais qu'il progresse et je n'allais pas les stopper dans une si bonne lancée.
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Sujet: Le Kazekage s'entraîne ? Hé oui c'est possible ! 
Sam 27 Mar 2010 - 11:06