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Je quitte le pays de la foudre. (PV NAMIKO ET MOI)Sujet: Je quitte le pays de la foudre. (PV NAMIKO ET MOI) Mar 21 Juin 2011 - 17:41 | |
| La mi-juin à cet avantage, il fait chaud, le soleil n’est pas souvent caché derrière les nuages et les jours sont longs. La pluie qui avait arrosé le village caché de la brume s’était estompée depuis deux ou trois jours laissant place à un agréable beau temps. J’étais toujours perturbé par le décalage horaire que je subissais depuis que j’avais quitté mon village natal. Moi qui devait initialement servir le Raikage Kanna me retrouvais envoyé en mission diplomatique à Kiri pour le compte de nunkenin, je ne faillissais pas à ma mission de départ mais les choses étaient devenue compliqué. Le soleil venait tout juste de se lever mais je marchais depuis plusieurs heures déjà, devant moi se dressait un petit village portuaire où je devais embarquer pour l’archipel du pays de l’eau et plus précisément l’ile ou je devrai trouver le village caché de Kiri. Je n’avais jamais mis les pieds sur un bateau et j’appréhendais un peu, étant donné que j’ai assez mal supporté mon voyage en charriot. Le bruit des vagues couplés aux cris des mouettes commençaient à me taper sur le système. Mais l’odeur du sel, le vent dans les cheveux et les premiers rayons du soleil sur mon visage égaillaient considérablement le tableau. La vie, dans ce petit village ne semblait pas affecté du tous par le changement de Raikage de la semaine précédente aussi je me demandais si il avait seulement eu l’information. Dans tous les cas, j’imaginais que les déserteurs étaient recherchés par les ninjas de Kumo, bien que je ne sois pas déserteur aux sens strict du terme du fait que je n’ai jamais était ninja pour le compte de Kumo, ça ne m’empêchais pas de craindre un peu pour ma vie et donc rester le plus discret possible. Les badauds avaient investis la rue et vaquaient à leurs occupations habituelles. Malgré tous mes efforts pour passer inaperçue, il ne m’était pas difficile de comprendre que mes habits n’étaient pas vraiment locaux. Pour avoir une chance d’arriver à Kiri sans trop me faire remarquer, je décidai de changer ma tenue pour quelques chose de plus pratique et de plus courant chez les habitants de la région. Cela n’eut rien d’un partie de plaisir, vous imaginez une aveugle s’acheter des habits? mais avec l’aide d’une vendeuse particulièrement patiente, j’ai réussi à m’en sortir avec une tenue complète un peu moins éxotique mais en restant dans les teintes symbolique de mon village natale. M’achetant pas la même occasion un chapeau pour me protéger des prochaine averse si le temps venait a devenir moins clément. A la sortie du magasin… (A toi, désolée du retard et du manque de contenue mais je ne savais pas trop dans quel sens on allait partir alors, j’ai fait simple). |
Sujet: Re: Je quitte le pays de la foudre. (PV NAMIKO ET MOI) Mar 28 Juin 2011 - 11:33 | |
| La cabane est illuminée par les premiers rayons de soleils. L'un d'eux vint carresser le visage de la fillette. Cette brusque augmentation de la luminosité sur ses paupières tira la jeune fille de son sommeil. Il était encore très tôt mais pourtant, elle se sentait parfaitement en forme. Tout les enfants ont cette capacité d'être directement réveillé dès la fin de leur sommeil, contrairement aux adultes à qui il faut en général plusieurs dizaines de minutes pour prendre pleinement possession de leurs sens. La tête de Namiko se tourne doucement sur le côté. Du fauteuil où elle était couchée, elle regardait où était son sensei, Kyoshu. Mais elle ne vit personne. Cela ne l'étonnait pas trop, il était souvent en vadrouille et revenait pour le réveil de la fillette. Elle s'étira donc sans s'inquiéter de cette absence, faisant le dos rond comme un chat, baillant et contractant ses muscles. Finalement elle s'assit sur son lit improvisé et observa la cabane. Elle recherchait un indice qui pouvait la renseigné sur Kyoshu. Quand était-il partit ? Quand reviendrait-il ? Une pomme était déposée sur la petite table ... Namiko sourit. Signe typique que son sensei avait prévus son retour après le petit déjeuné de la fillette. Celle-ci, le ventre bien trop vide, se jeta dessus et s'entreprit de la dévorer. Lorsqu'elle eut finit son petit repas, elle sortit de la cabane et s'assit au soleil. Il faisait chaud, mais comme c'était encore le matin, il faisait juste bon pour prendre l'air. Elle portait une petite robe blanche comme simple habit, avec des sandales où elle se sentait bien à l'aise. Elle attendit ici plusieurs heures. Enfin, c'est ce qu'elle crut, bien qu'il ne se soit passer qu'une demi-heure. Elle en avait marre d'attendre et se leva. La fillette entreprit une petite balade non loin de la cabane. Mais une odeur attira son attention ... Elle était douce, sucrée, fruitée ... La jeune fille se laissa entrainer vers cette odeur. En même temps qu'elle marchait vers cette destination inconnue, elle cueilli quelques rares fleures violettes sur le chemin. Elle les porta dans ses cheveux et continua son chemin. Tout à coup, elle perdu cette odeur. Plus aucune trace de douceur de fruit. Namiko s'énerva un peu contre elle même, elle avait perdu du temps en cueillant ces fleurs ! Elle regarda alors autour d'elle : elle ne savait pas trop où elle était. La jeune fille ne paniqua pas. Simplement, elle prit le chemin qui lui paraissait être le plus juste. Ce chemin la mena bientôt à un plus gros chemin, presque à une route. Elle se retrouva devant un village ... Peut-être y avait-il des choses à manger ? Quelque chose de doux, de sucré et de fruité ? Contente de sa découverte, la fillette s'engagea à pas léger. Les rues n'était pas trop bondées, la jeune fille ne se fit donc pas marcher sur les pieds ... Mais les échoppes semblaient assez rare, où peut-être n'était-elle pas au bon endroit ? Un homme aux allures étranges se trouvait à quelques pas devant elle. Il avait l'air de regarder dans le vide tout en étant assez sûr de lui. La jeune fille en fit donc sa cible et s'approcha en courant. | << Eh toi ! Tu sais où je peux trouver à manger ? Mais quelque chose de bon hein ! Oh, j'aimerai tellement un beignet ! Mais sensei ne m'en donne jamais ! Il dit que c'est pas assez équilibré ... Ca veut dire quoi équilibré ? Tu manges souvent des beignets toi ? Moi je dis que les beignets ça donne de la force pour une kunoichi ! Mais alors il rigole et me répond pas ... >> |
Elle tirait les vêtement de l'inconnu pour qu'il se rende bien compte qu'elle était là, tout en continuant son débit de parole incessant. Une vrai casse-pied.
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Sujet: Re: Je quitte le pays de la foudre. (PV NAMIKO ET MOI) Jeu 30 Juin 2011 - 20:02 | |
| A la sortie du magasin, je fus interpellé par une gamine d’environs ma taille qui s’était accrochée à ma tunique et qui parlais rapidement et avec une voix un peu aigüe.
Eh toi ! Tu sais où je peux trouver à manger ? Mais quelque chose de bon hein ! Oh, j'aimerai tellement un beignet ! Mais sensei ne m'en donne jamais ! Il dit que c’est pas assez équilibré ... Ca veut dire quoi équilibré ? Tu manges souvent des beignets toi ? Moi je dis que les beignets ça donne de la force pour une kunoichi ! Mais alors il rigole et me répond pas ...»
Un baie gnié ? Qu’est-ce que c’est que ce truck. Décidément, la surface était pour moi pleine de surprise. Je me demandai si la fillette ne m’avait pas pris pour une enfant et si elle n’était pas en train de jouer et lorsque qu’elle parla de senseï et de kunoichi , je fus persuadé, à tort ou à raison, qu’elle était belle et bien en train de s’amuser. Sachant pertinemment que mon bateau ne partirait que dans quelques heures, je me prêtais au jeu de l’enfant et dans tous les cas, j’avais faim et manger un bout me ferai le plus grand bien. Prenant le temps d’une inspiration pour reconnaitre les lieux, je ressentie les subtils élans de ce qui semblait être un restaurant en train de préparer les plats de midi avec beaucoup d’avance qui plus est. J’invitai la jeune fille à me suivre et m’engagea dans une petite rue pavée qui m’amena bientôt au portes closent du restaurant en question. Je toquai aux portes jusqu’à ce que quelqu’un daigne me répondre. Lorsque les portes s’ouvrirent, se fus un homme à l’odeur d’huile frite et d’entrailles de poissons qui m’adressa la parole sur un ton peu commercial.
« QUOI ? »
« Bonjour, nous voudrions manger, vous avez des baie gniez ? » «
« QUOI, mais tu te moque de moi, t’as vue l’heure qu’il est ? »
Sur ces mots, le restaurateur claqua la porte ne laissant pas le temps de répondre.
(grosse panne d'inspi) |
Sujet: Re: Je quitte le pays de la foudre. (PV NAMIKO ET MOI) | |
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| Je quitte le pays de la foudre. (PV NAMIKO ET MOI) | |
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