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Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !

InvitéInvité
MessageSujet: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeJeu 23 Juin 2011 - 14:05

Présentation de Yoko Nagao .
Sans ombre, il n'y a pas de reflet de la lumière.

Prénom et Nom : Yoko Nagao
Âge :21 ans
Village / organisation désirée :Kumo; Je postule pour le rôle de bras droit


MON PERSONNAGE


Description physique :
L’apparence physique est depuis la nuit des temps au centre des préoccupations, prenons par exemple le corps qui est bien souvent détourner de sa première utilité à savoir la protection des organismes. Ainsi habituellement lorsque l’on valorise le corps d’un individu, on parlera de sa beauté, de sa texture, de sa capacité à revenir en place après qu’on l’est étiré. Ainsi on est passé du corps servant de protection au corps au corps servant d’outil de charme. Héritier d’une noble lignée d’une riche noblesse qui pensait qu’a « améliorer » physiquement la future génération, ainsi on pouvait soit se marier avec une femme beaucoup plus grande, et le siècle d’après chercher la femme la plus petite possible. Yoko avait hériter de ce sens du gout ; c’est pour cela que dès sa jeunesse il fut affublé du surnom grotesque de « Mr Tatillon ». Un surnom qui semble étrangement adéquat pour décrire ce singulier personnage !

Néanmoins, s’il passait des heures à se préparer, à réajuster sa coiffure, ce n’était pas pour l’image qu’il donnerait, il avait aussi hérité de ce narcissisme familial, c’était pour se plaire à lui-même et la femme sur qui tomberait son dévolu, devrait être aussi, sinon plus, soucieux d’affronter les ravages du temps. Même s’il se savait impuissant face à cet adversaire déloyal, à défaut de gagner cette guerre, il ne souhaitait la perdre. Celons lui le temps n’affectait l’aspect visuel qu’aux être qui se montrait, ainsi il s’était fait une spécialité dans le domaine de la discrétion, et rare sont ceux qui peuvent se vanter d’avoir vu ce visage proche de la perfection, héritier d’un peu moins de millénaire d’accommodement avec la nature.

Contrairement à ce que vous pourriez vous imaginez, son corps n’est pas sa principale priorité ; mais évidemment il ne refusera jamais un compliment bien placé sur son physique ; c’est d’ailleurs sur ce détail qu’il se base pour se comparer à tout les autres hommes. Héritier d’une stricte éducation, il s’affiche toujours en étant le plus droit possible, et lors d’un dialogue fixant toujours son interlocuteur dans les yeux, mais étonnement il avait un regard semblant vide mais brillant d’une couleur d’un bleu si pur, que votre reflet semble encore plus étincelant que vous. Du noir au centre vers le bleu à l’extérieur il se démarque une impression de changement, de contraste brutale et pourtant subtilement maîtrisé pour que cela soit d’une discrétion inutile. Ce qui donne une certaine impression de prestance royale, accentué aussi par sa façon de se déplacer, sa démarche annonçait clairement sa position : il se sentait au dessus des autres choses ; on pourrait même le trouver nonchalant, ou plutôt suffisant. Du haut de son mètre quatre-vingt tailles correctes pour un ninja, il parait cependant beaucoup plus imposant lorsque vous entretenez un dialogue simple avec lui. De par sa volonté donc de paraître de plus en plus discret, et de son attitude ce jeune aristocrate semble frêle, et affublé d’une délicatesse inutile. Et pourtant il en est tout autre, car en l’admirant de plus prêt on s’aperçoit qu’on a en fasse de nous un homme bien bâtit, peut-être trop musclé, mais ceci compensé par l’homogénéité de son corps. Il est donc plus que l’héritier de la fine fleur bourgeoise !

Cette harmonie est aussi présente au niveau de son visage, le visage d’un enfant ayant peut-être trop vite murit, mais ce lui d’un enfant. Son visage semble être la partie de son corps qui le représente le plus, car ces traits ne se déforment pour ainsi dire jamais, et ceci est dû au manque d’émotions que montre en général Yoko, preuve une nouvelle de son narcissisme et de son arrogance vis-à-vis des autres. Toutefois si visage semble froid et impénétrable, il est trahit par ces yeux bleutés, qui traduisent à chaque fois les émotions de Yoko, et mettant alors à jours sa véritable nature. Si malgré son apparance il repousse les gens de part sa psychologie, les yeux quand à eux attirent les foules, imposant un étrange calme à ceux qui les fixent. Malgré cela ces yeux restent souvent inexpressifs donc, mais lorsqu’ils animent traduisent tant de chos. Ce visage dont il est pourtant si fier est couronné par des cheveux d’un bleu à identique à l’extrémité de ces yeux, et lui tombant en cascade trop vite coupé dans leurs élans un peu en dessous du niveau de ces épaules. Au centre de visage se trouve un nez discrets, et qu’une de ces aventure trouvaient parfait. Néanmoins si il devait y avoir un défaut dans ce tableau, ce serait certainement la taille de ces oreilles qu’il trouve trop grande et qu’il cache donc tant bien que mal sous ces cheveux.

Etant parfois beaucoup trop narcissique, il sait aussi s’adapter à certains moments, et participer à des activités communes, et simplement distraire son entourage et paraître pour l’un des hommes les plus bon vivants de la ville. Il est évident que ce genre de situation est bien rare.

Question vêtement, il s’habille souvent de tenues aux couleurs « froide » qui semblent être les seuls couleurs capables de montrer la vraie nature dont il fait preuve et qui plus est se fondait parfaitement avec sa couleur de peau peut-être un peu trop clair par rapport aux habitants de Kumo. Ainsi bien qu’il est quelques tenues aux couleurs chauds, il ne porte que pour des grandes occasions, ou chose plus rare ; séduire. Généralement on ne voit de lui qu’une cape recouvrant l’intégralité de son corps, et ne laissant paraître que son plan droit, où l’on voit … du noir. En dessous de cette cape bien souvent il est tout vêtus de noir, et une ligne bleu traverse en Zigzag tout le flanc gauche de son corps !

Yoko est bien plus qu’un humain, à lui seul il porte l’héritage de toute une famille, et brillant de talent il brille encore plus de part son physique. Cependant croyez vous que sa physionomie annonce son âme ?
Description morale :
Il y a un temps où ce n'est plus le jour, et ce n'est pas encore la nuit. Ce n'est qu'à cette heure-là que l'on peut commencer à regarder les choses, ou sa vie: c'est qu'il nous faut un peu d'obscur pour bien voir, étant nous-mêmes composés de clair et d'ombre.

Qui pourrait se vanter de pouvoir comprendre l’Homme ? Ils sont non seulement tous différents, mais incapable de rester identique à eux même. Parfois joyeux, souvent éprouvant de la haine, ou même tantôt triste. Que veulent-ils donc ? Ils s’inventent même des phrases pour justifier leurs hypocrisie ; un exemple ? « Il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis ». Changer changer ; plutôt plier plier ; n’est-ce déjà trop que le pli de l’humaine nature ? Et pire, il semble que les Hommes s’accommodent très bien avec des maux tels que la folie ou le désespoir, des maux qui mènent les hommes qu’a leur propre destruction.
Ils se réclament tous différent, cependant Yoko quand à lui ne voit qu’une vague de corps bougeant, changeant en fonction de leurs intérêts, les hommes capables de se forger une opinion et de ne pas changer d’avis pour améliorer leurs conditions, ou pour tout autre raison, sont les seuls hommes que Yoko considèrent comme différents ! Mais ce nombre de personne ne cesse de décroitre.
De plus leurs manque d’ambition est grotesque, et lorsque on les voit en plus drapés dans leurs égoïsme, cela en devient hilarant. On ne les voit donc que sous forme de tache dans un monde rayonnant ; certains d’entre vise toutefois à se rapprocher de la vérité, de briller d’inscrire son nom dans l’éternité ! L’éternité, un mot qui semble brillé tel la flamme d’une ferveur incestueuse au cœur de tout être, un souhait, qu’ils cherchent à atteindre trop tard avec leurs mains remplis de pêchés
. Et ceux là ; ne cherchent souvent que leurs propres réussite sacrifiant leurs prochain, les écrasants, et parfois même corrompant ceux qui leurs sont supérieur. C’est là qu’intervient Yoko ; le monde réel ? Il ne l’a jamais que par les yeux de ces parents, et quand il fut à même de côtoyer d’autre forme de vie « évolué », il avait déjà acquis la plupart des conceptions de ces parents. Et était assez drapés dans sa dignité pour se protégé de tout ces pêchés, ainsi si il y avait un homme, qui devrait le plus se rapprocher de la perfection, Yoko serait sans doute cet homme.

Malgré tout Yoko n’est à la base pas contre les hommes, ils se croient tout simplement meilleur, et du moment que lui peut progresser, il juge que tout homme peux tenter d’en faire autant. Bien évidemment en cas de conflit d’intérêt ne compter pas sur une quelconque générosité de sa part. Toutefois les hommes qui prétendait tout savoir et n’avoir plus rien à apprendre, où se montrant supérieur à lui, ceux là sont à ces yeux des « moins que riens » encore pire que tout les autres humains. Dominateur, avide, le jeune noble n’hésite pas user de sa force où de son charme pour augmenter son pouvoir, sa richesse. Actuellement ninja, il c’est fait un spécialiste des attaques par surprise et sournoise, il aime à se cacher pour observer, il aurait préférer pour cela donc une chevelure plus foncé, ainsi qu’une taille légèrement plus petite, pour pouvoir se fondre un peu plus discrètement dans la pénombre. C’était son divertissement favori, et chaque fois qu’il lui venait d’oublier qui il était ; ce qu’il voulait, il lui suffisait de regarder une journée le monde de Kumo entrain de s’agiter : Il voyait dès lors ce qu’il ne voulait pas être...
Soyons claire, il ne méprise pas les hommes, mais l’idée d’avoir à souffrir pour gagner quelque chose, de tricher d’en arriver à extrémités, le répugnait, et bien souvent hélas on essai de mettre un fautif aux choses qui nous repousses. Néanmoins de par sa expérience personnelle, il sait ce qu’il faut parfois endurer dans la vie, ainsi il n’est pas impossible de gagner sa confiance ; pourvu que vous ayez une certaine droiture…
Sa définition de l’Homme intéressant est simple : c’est l’être qui se donne forme et qui le sait ; qui sait qu’il n’est qu’en se donnant forme. Et parce qu’il a ce pouvoir, il n’en a jamais fini de l’exercer sur soi ni sur le monde qu’il intègre à lui.

L’une d’intégrer une personne à son idéal est l’amour. Yoko n’admet que deux sortes d’amour différents, l’amour passionnel et charnel, que l’on éprouve envers une personne du sexe opposé normalement. Et l’autre qui s’expliquera mieux avec un exemple, Yoko aime les enfants pour lui ce sont des miroirs de lui-même, chaque enfants a le potentiel pour devenir meilleur que lui-même ce qui pour lui est quelque chose d’extraordinaire. Et l’autre amour qu’il a éprouvé envers une femme qui est morte, étonnement la seule qualité intellectuelles qu’il demande à une femme est son ambition. Et de ne pas s’abaisser du moins devant lui à côtoyer des hommes peux fiables. Bien évidemment les critères de sélections de notre jeune noble sont bien plus nombreux, mais repose avant tout sur le physique, c’est pour cela qu’ici nous n’en parlerons pas.
A part par amour donc, Yoko ne confiera sa confiance que très difficilement à une personne étrangère ; et pour cela il faut surtout lui tenir tête, un homme sans idéaux est pour lui aussi inutile et nuisible que de la poussière, ainsi si vous tentiez de vous approchez trop de lui par profit et qu’il n’a pas suffisamment confiance en vous, il n’hésitera pas à vous « nettoyer ». Cependant si jamais vous arrivez à vous prouver digne de lui, il saura vous révéler sa véritable identité, et être étonnement agréable, mais même moi je ne connais pas cette facette de sa personnalité, je ne peux donc m’attarder là-dessus.

Néanmoins, découvrir sa personnalité du jour est parfois tâche impossible tant son visage reste inerte, bien qu’héritier de l’arrogance de Zeus, en général il camoufle ces sentiments, et parfois n’affichant même plus sa suffisance en vers les autres. Oui ! Il lui arrive de se montrer agréable bon vivant, chaleureux, lorsqu’il le faut, mais n’abusez pas, et n’attendez pas des effusions de joie, où vous serez malheureusement surpris de sa réaction.

Généralement deux choses rompent la placidité de son visage, l’énervement et l'hypocrisie.

Son histoire :
-La suite ! Réclamaient les enfants. La suite ! La suite !

Ils y tenaient tellement à leur suite que moi ; Yoko Nagao, bras droit du Raikage, je n’ai pu que céder. Ce qui est amusant avec les enfants c’est qu’ils croient toujours qu’il y a une suite. Les petites secouassent de la vie entretiennent l’amitié, dit le proverbe. Certes. Mais les grandes causes communes ne sont pas non plus inefficaces en la matière. C’est ainsi que après une rencontre plutôt brutale sur la plage un soir de tempête, Yoko Nagao devient l’ami de Yamikonosamo Nogoa, dit Yamiko, un membre de l’aristocratie à l’opposé totale des idéaux de Yoko. Un de ces abominables nobles qui s’abaissait à côtoyer la marmaille, un de ces affreux nobles comme celui de sa L chérie, l’amour de son adolescence, l’a plaqué il y a quelques semaines. Ils crèvent de solitude tous les deux, sans oser le dire. Ils deviennent amis, seuls amis, meilleurs amis, sans se l’avouer. Et le jour où il tombe nez à nez avec un scandale qui sent mauvais à tout les sens du terme : la pollution chimique du port. Ils croient qu’à eux trois à condition de s’unir ils peuvent changer le monde. Par la force des choses ils devinrent ninja ensemble, Yamiko était le plus douer, et ceux car son père avait débuté son entrainement dès le plus jeune âge. Yoko lui progressait par amour propre, il ne supportait pas de voir un ami, quelqu’un de la même tranche d’âge le dépasser. Ensemble ils formaient un duo redoutable. Souvent Yoko se cachait dans l’ombre de Yamiko, et lorsque celui-ci attaquait sa cible, Yoko sortait de l’ombre par surprise, et les deux jeunes hommes attaquaient la cible en lui assénant un violent coup de pied à la poitrine. Et quand à L, elle couvrait les arrières, à distance avec son arc et ces flèches, elle ne ratait pour ainsi dire jamais sa cible, mais n’avait que très peu de solution lorsqu’on s’approchait d’elle.

« D’accord, alors écoutez bien. En plus de la vie, d’une forte constitution, et d’un lien immuable à la noblesse, la seule chose que m’a donnée mon père à la naissance a été un nom, Yoko. Dans la langue courante, Yoko signifie littéralement « enfant du soleil », mais dans la langue ancestrale sa signification plus précise est « celui qui fera quelque chose ». Je ne crois pas que les noms déterminent la destinée ni que mon père ait deviné mon avenir d’une façon ou d’une autre, mais plus tard, des amis et des parents attribueront en plaisantant à mon nom de naissance les nombreuses tempêtes que j’ai déclenchées et endurées. On ne m’a donné mon surnom plus connu qu’au premier jour d’école, mais je vais trop vite. Je suis durant le moi des récoltes, à Dezo, un petit village au bord de la rivière Dolo. L’année de ma naissance a marqué la fin de la grande guerre contre les nuknenins, ce fut aussi l’année de l’épidémie de la grippe qui a tué des millions de gens dans le monde entier. C’est une belle région, de collines ondulées, de vallées fertiles où des milliers de rivières et de ruisseaux gardent le paysage toujours vert même en hiver. Kumo qui est la plus grande destination l’intérieur du pays de la foudre, couvre une superficie à peu près égale à dix fois mon village. C’est la patrie des aristocrates fortunées, telles les Nogoa ou les Nagao auquel j’appartiens. Mon père, Youko Yu Nagao était chef par la naissance et la coutume. Il avait été confirmé chef de Dezo par le Raikage. En tant que chef nommé par le gouvernement il touchait un traitement ainsi qu’une partie des taxes que le gouvernement prélevait pour la vaccination du bétail et les pâturages communs. Les Nagao sont une famille fier et patrilinéaire avec une langue expressive et mélodieuse et un attachement solide aux lois, à l’éducation et à la politesse. Notre village possédait un ordre social équilibré et harmonieux dans lequel chaque individu connaissait sa place. Chaque Nagao appartenais à un clan qui indique son ascendance jusqu'à un ancêtre spécifique, je suis du clan Akira, certains collègue m’appelle Akira, mon nom de clan, ce qui est un terme de respect. Wako, un des plus respecté de notre clan ; unifia différent clan en devint le roi et mourut peu après. Selon la coutume de cette époque, il avait plusieurs épouses des principales maisons royales : la Grande maison, où l’on choisissait l’héritier du trône, la maison de la main droite, et l’inhibitad ; que certains appellent la maison de la main gauche. La tâche des fils de l’inhibitad était de régler les querelles royales.
Gosho, le fils aîné de la Grande maison, succéda à Wako et parmi ses fils il y avait Hachi et Hachiko, mon grand père.

Pendant des décennies, des histoires ont affirmé que j’appartenais à la lignée de succession au trône des Nagao, mais la simple généalogie que je viens d’exposer à grands traits montre que ce n’est qu’un mythe. Bien que membre de la famille royale, je ne faisais pas partie des rares privilégiés formés pour gouverner. A la place, en tant que descendant d’un frère, j’ai été préparé, comme mon père avant à moi, à défendre à conseiller les dirigeants de la tribu.
Mon père était un homme grand, à la peau clair, avec un port droit et imposant donc j’aime à penser que j’ai hérité. Il avait une mèche de cheveux noirs juste au-dessus du front, et quand j’étais enfant je prenais de la cendre de charbons noirs et j’en frottais mes cheveux pour l’imiter. Mon père était sévère et il n’hésitait pas à châtier ses enfants. Il pouvait se montrer d’un entêtement excessif, un autre trait de caractère qui malheureusement est peut-être passé du père au fils. C’est un protecteur reconnu de l’histoire Nagao, et c’est en partie pour cette raison qu’on l’appréciait comme homme. L’intérêt que je porte moi-même au ninja est né très tôt en moi dans les livres et a été encouragé par mon père ? Bien qu’il n’ait jamais su faire le moindre jutsu, il avait la réputation d’être un excellent épéiste et il captivait autant ces ennemis que ces alliés.

Alors que je n’étais encore qu’un nouveau-né, mon père fut impliqué dans une querelle ce qui entraîna sa destitution de chef de Dezo et révéla un trait de caractère dont son fils a hérité. Je suis persuadé que c’est l’éducation plus que la nature qui façonne la personnalité, mais mon père était fier et révolté avec un sens obstiné de la justice, que je retrouve en moi. En tant que chefil rendre compte de son administration non seulement au roi des Nagao mais aussi au Raikage ( à son magistrat plutôt). Un jour, un des sujets de mon père porta plainte contre lui parce qu’un bœuf s’était échappé. En conséquence le magistrat envoya un message pour donner l’ordre à mon père de se présenter devant lui. Quand mon père reçut la convocation il envoya la réponse suivante : « Je n’irais pas, je suis prêt à me battre ». A cette époque là on ne défiait les magistrats, une telle conduite était considérée comme le sommet de l’insolence –dans son cas, ça l’était. Quand il s’agissait de questions de souveraineté, il n’était pas guidé par les lois du Raikage, mais pas la coutume Nagao. Ce défi n’était pas une manifestation de mauvaise humeur mais une question de principe. Il affirmait ses prérogatives traditionnelles en tant que chef et il défiait l’autorité du magistrat.
Quand le magistrat reçu la réponse de mon père, il l’accusa immédiatement d’insubordination. Il n’y eut aucune enquête ; elles étaient réservées aux fonctionnaires hauts placés. Le magistrat déposa purement et simplement mon père, mettant fin ainsi aux responsabilités de chef de notre famille. A l’époque, j’ignorais ces événements, mais ils n’ont pas été sans effet sur moi. Mon père , qui était un aristocrate riche d’après les critères de son époque, perdit à la fois sa fortune et son titre. Il fut dépossédé de la plus grande partie de son troupeau et de sa terre, et du revenu qu’il en tirait. A cause de la honte, ma mère alla s’installé à Qunu, un village un peu plus important au nord de Dezo, où elle pouvait bénéficier du soutien d’amis et de parents. A Qunu, nous ne menions plus si grand train, mais c’est dans ce village, près de Kumo, que j’ai passé les années les plus heureuse de mon enfance avec L, et mes premiers souvenirs datent de là.»


« Le village de Qunu était situé dans une vallée étroite et herbue, parcourue par de nombreux ruisseaux et dominée par de vertes collines. Il ne comptait pas plus d’un millier de personne qui vivait dans des maisons rustiques aux murs de torchis et en forme de ruche avec au centre un poteau en bois soutenant un toit de chaume pointu. Le sol était fait de terre de fourmilière écrasée, cette terre séchée extraite du sol au dessus d’une fourmilière, et on l’aplanissait en y étalant régulièrement une couche de ciment. La fumée du foyer s’échappait par un trou du toit et la seule ouverture était une porte basse qu’on ne pouvait franchir qu’en se penchant les huttes étaient en général regroupées dans une zone résidentielle à quelque distance des champs. Il n’y avait qu’une route, qui menait vers Kumo, il y avait seulement des chemins dont l’herbe était usée par les pieds nus des enfants et des femmes vêtus d’une teinte ocre ; seuls les quelques ninjas du village portaient des vêtements de style occidental. Les vaches, les moutons, les chèvres et les chevaux paissaient ensemble sur des pâturages collectifs. Le paysage autour de Qunu était presque sans arbres, sauf un bouquet de peupliers au sommet d’une colline qui dominait le village.
A kumo, les fils et les filles des tantes ou des oncles sont considérés comme des frères et des sœurs et non comme des cousins. Nous n’avons pas de « demi-frère » ou de « demi-sœur ». Très jeune, j’ai passé l’essentiel de mon temps dans le veld à jouer et à me battre avec les autres garçons du village. Un garçon qui restait à la maison dans les jupes de sa mère était considéré comme une femmelette. Je n’avais pas plus de cinq ans quand je me suis à travailler pour subvenir à nos besoins, je gardais le bétail dans les prés. C’est dans ces prairies avec l’un des ninjas qui venait tout les deux jours que j’ai appris à tuer des oiseaux avec un Shuriken, à récolter du miel sauvage, des fruits et des racines comestibles, à boire le lait chaud et sucré directement au pis de la vache, à nager dans les ruisseaux clairs et froids et à attraper des poissons avec un fil et un morceau de fil de fer aiguisé. J’ai appris le combat avec un bâton –un savoir essentiel à tout garçon de campagne- et je suis devenu expert à ses diverses techniques : parer les coups, faire une fausse attaque dans une direction et frapper dans une autre, échapper à un adversaire par un jeu de jambes rapides. C’est de cette époque que date mon amour du veld et de L…
En général, les garçons jouaient entre eux, mais nous permettions parfois à nos sœurs de nous rejoindre. Les garçons et les filles jouaient à des jeux comme cache-cache et le chat. Mais le jeu auquel je préférais jouer était ce que nous appelions choisissez-qui-vous-plaît. Ce n’était pas un jeu très organisé mais quelque chose de spontané quand nous rencontrions un groupe de filles de notre âge et que nous exigions que chacune choisisse le garçon qu’elle aimait. D’après nos règles le choix de la fille devait être respecté et, quand elle avait choisi celui qui lui plaisait, elle était libre de continuer son chemin accompagné par l’heureux garçons …
Mais les filles avaient l’esprit vif –elles étaient bien plus astucieuses que des garçons lourdauds- et elles se concertaient souvent pour choisir le garçon le plus simple, qu’elles taquinaient jusque chez lui. C’était comme ça ma première rencontre avec L ! »
« Ces cheveux d’un étonnants blancs ne cessaient d’onduler avec le vent incessant de cette région, elle me ressemblait, elle aussi son père avait été victime du régime autoritaire du Raikage. Pour la première fois dans ma vie j’ai été impuissant, et c’est moi qu’a guidé dans les premiers pas de … Continuons plutôt l’histoire qui est plus de votre âge ! D’ailleurs un jour, alors que je tentais d’impressionner L, un âne récalcitrant m’a donné une bonne leçon. Nous montions sur son dos l’un après l’autre et , quand mon tour est arrivé, il a foncé dans un buisson d’épine il abaissé la tête pour me faire tomber… il a réussi, mais seulement après que les épines m’eurent griffé et écorché le visage, en m’humiliant devant mes camarades. J’avais un sens très développé de la dignité, ce n’était qu’un âne qui m’avait fait tomber mais j’ai appris qu’humilier quelqu’un, c’est le faire souffrir inutilement.
Reprenons ! SI la puissance des ninjas n’ont pas déteins sur ma même, elle inspira mon père qui voulut que je devienne ninja. Et c’est à cause de cette influence que j’ai moi-même été ninja, où je fus affublé du stupide surnom « Mr Tatillon », c’était ridicule, comment je devrais plaire à L en étant sale ? Il était hors de question de se salir ! L’école se composait d’une seule pièce, avec un toit de style pays du feu, à savoir rond, et était située de l’autre côté de la colline de Qunu. J’avais sept ans et la veille de la rentrée mon père m’a pris à part et m’a dit que je devais être habillé correctement pour aller à l’école. Jusqu'à cette date, comme tous les garçons de Qunu, je n’avais porté pour tout vêtement qu’un Short, et un Tshort. M on père m’ a offert ces bottes, et un habille ninja « traditionnel » tout noir. Chaque matin je devais me lever plutôt et faire le trajet à pied ; mais bonne nouvelle : j’étais avec L. Sur cette route que je connus mon premier baiser. Le premier jour de classe, mon institutrice, Miss Hairi, nous a donné à chacun une épée, on devrait la garder sur nous jusqu'à notre promotion. A l’époque c’était la coutume, sans doute à cause d’une rumeur folle annonçant les guerriers du feu meilleurs que nous au combat à l’épée.
Une nuit, alors que j’avais neuf ans, je me suis rendu compte d’une grande agitation dans la maison . Mon père, qui rendait visite tour à tour à sa famille puis à son épouse, et qui en général, passait chez nous une semaine par mois, venait d’arriver. Mais ce n’était pas sa date habituelle et on ne l’attendait que quelques jours plus tard. Je le trouvai dans la hutte de ma mère, allongé par terre sur le dos, au milieu de ce qui semblait être une quinte de toux sans fin. Même avec mes yeux d’enfant, je me suis rendu compte que ses jours étaient comptés. Il avait une sorte de maladie pulmonaire, mais elle n’avait pas été diagnostiquée parce que mon père déteste aller voir un médecin. Il resta dans la hutte plusieurs jours sans bouger ni parler, et une nuit son état empira. Ma mère le soignait. Tard dans la nuit, il appela ma mère et lui demanda « Donne-moi du tabac ». Ma mère décida que ce n’était pas prudent, mais il continua de le réclamé, puis on lui bourra sa pipe, il l’alluma. Mon père fuma et se calma. Il fuma pendant une heure environ, puis alors que sa pipe était encore allumée, il mourut. Je me souviens non d’avoir éprouvé un grand chagrin mais de m’être senti abandonné. Si ma mère était le centre de mon existence, je me définissais à travers mon père. Sa mort changea toute ma vie ; après une courte période de deuil ma mère m’apprit que je quitterais bientôt Qunu. Je ne lui demandais pas pourquoi ni où j’irais. Je m’achetais quelques affaires, et un matin de bonne heure nous sommes partis vers l’ouest ; vers mon nouveau chez moi. Vers Kumo ! »




« Arrivé à Kumo, la première chose que je fis fus d’aller à la plage, voir la mer était pour moi une nouveauté. Je m’étendait alors et commençait à siffloter en regardant le ciel, tout a à coup je vis un venir vers moi, il puait le parfum, et était incroyablement bien habillé, il me rappelait mon enfance égarée. Plus je le regardais, plus il se donnait l’air de dédaigner une telle élégance, et plus mon propre accoutrement me paraissait minable et débraillé. Si je m’avançais, il avançait… mais de coté ; de telles sortes que nous formions un cercles avec nos pas. S’en suivit le dialogue suivant …
-Je ne serais pas en peine de te flanquer une raclée, tu sais.
-Je voudrais voir ça.
-Ce n’est pas ça qui me gêne
-Essaie un peu.
-Tu vas voir
-Je t’en défie.
Un silence, puis je lui rétorquai violemment à nouveau.
Comment t’appelles-tu ?
-ça ne te regarde pas.
-Mettons que ça me regarde
-Eh bien, prouve-le
-Un mot de plus et je …
-Voilà ! Un mot, voilà deux mots, voilà trois mots… et Alors ?
-Ne fais pas le malin ; je te rosserais d’une main si je voulais
-Ce n’est pas tout de le dire
-Je le ferais si tu continues
-J’en ai vu des comme toi.
-Menteur
-Menteur toi-même
-Le plus menteur des deux. Prends garde, je vais t’envoyer une roche sur la tête !
-Tu dis toujours que tu vas le faire mais tu le fais pas ! Tu as peurs ?
-Non je n’ai pas peur !
-Tu es un lâche et un poltron je le dirai à mon grand frère, il peut te flanquer par terre d’une chiquenaude, lui tu verras ça.
-J’ai un frère plus grand que lui ; il te ferait passer par-dessus de la clôture.
Inutile de dire qu’il n’y avait pas de grand frère d’un côté comme de l’autre. Ce la à finit en bonne grosse bagarre, honnêtement je ne peux pas dire avoir gagné. C’était ma première rencontre avec Yamiko ! Et c’est chez lui que j’allais habiter, L aussi nous a rejoins à Kumo et n’habitais qu’a une dizaine de mettre plus loin. Ce fut la création des ninjas de l’espoir ! Unis grâce un motif singulier ; à nous trois on voulait changer le monde ! »

« Les Nozoa m’ont traités comme leurs propres enfants, ma mère n’avait pas le choix, on ne refuse pas une telle proposition lorsqu’on est dans une telle pauvreté. Je lui manquerais, mais elle était néanmoins satisfaite de savoir que je bénéficierais d’une meilleure éducation qu’avec elle. Le chef de la famille Nozoa n’avait enfaite pas oublier que mon père lui avait sauvé la vie il y a de cela 13 ans. Ma mère resta deux jours à Kumo avant de rentrer à Qunu. Nous nous sommes séparés sans cérémonie. Elle ne me fit pas de sermon, ne prononça aucun conseil de sagesse, ne me donna pas de baiser. Je pense qu’elle voulait pas que je me sente abandonné après son départ et elle se conduisit donc comme tous les jours. Je savais que mon père voulait que je fasse des études et que je sois préparé pour un monde plus vaste, et cela était impossible à Qunu. Le village de Kumo était bien plus évolué et moderne que Qunu,. Les gens portaient des vêtements modernes : les hommes étaient vêtus de costumes et les femmes imitaient la sévérité du style protestant : de longues jupes épaisses et des corsages boutonnés jusqu’au cou, les épaules enveloppées d’une couverture et une écharpe nouée élégamment autour de la tête.
Yamiko était donc le seul fils de son père était donc l’héritier de la grande demeure, cependant nous étions traités comme des frères, nous mangions la même nourriture, nous portions les mêmes vêtements, nous accomplissions les mêmes corvées. Ensemble avec L ; nous formions donc les ninjas de l’espoir, le père de Yamiko était sévère mais je n’ai jamais douté de son affection. Ils m’appelaient du nom familier Satoko qui veut dire « grand père », parce qu’ils disaient que quand j’étais sérieux je ressemblais à un vieil homme. Yamiko avait quatre mois de plus que moi et, après mon père il devint mon premier héros. Je le respectais beaucoup. Il était déjà Chuunin, je le trouvais Grand, élégant, musclé, c’était un très bon sportif, excellent en athlétisme, ainsi que dans quasiment toute les disciplines ninjas. Aimable et joyeux, c’était un véritable artiste qui réjouissait les gens en chantant et en dansant il avait toute une troupe d’admiratrices-mais beaucoup de jeune fille aussi le critiquaient parce qu’elles le considéraient comme un dandy et un
Play-boy. Yamiko et moi sommes devenus les meilleurs amis du monde et pourtant nous étions très différents à bien des égards : il était extraverti, j’était introverti ; il était gai, j’étais sérieux. Il réussissait sans éffort, je devais travailler dur. Pour moi il représentait tout ce qu’un jeune homme devait être ; et tout ce que je désirais surpasser. Bien qu’on nous traita de la même façon, nos destinés étaient différente ; Yamiko serait chef, tandis que moi je serais son protecteur tels mon père.
Tenez je me rappelle quand je suis arrivé à Kumo, certains garçons de mon âge me regardait de haut, comme tous les jeunes gens, je me suis efforcé d’apparaître courtois et à la mode. Un jour, à l’église, j’avais remarqué une jolie jeune femme … oui c’était bien L… Et je lui ai demandé de sortir avec moi, ce qu’elle avait accepté. Mais sa sœur aînée, me considérait d’une maladresse rédhibitoire. Elle dit à sa sœur que j’étais un barbare pas assez bon pour la fille de l’une des plus anciennes familles ninja de Kumo. Pour prouver à sa plus jeune sœur à quel point j’étais non civilisé, elle m’invita à déjeuner au presbytère. J’avais encore l’habitude de manger comme chez moi, à Qunu, où nous ne servions ni de couteau ni de fourchette. A table familiale, cette méchante sœur me présenta un plat sur lequel il n’y avait qu’une aile de poulet. Mais au lieu d’être tendre cette elle était un peu dure, et la viande ne se détachait pas facilement des os .
J’ai regardé les autres utiliser leurs couteaux et leurs couverts et j’ai pris lentement les miens. J’ai observé les voisins pendant quelques instants puis j’ai essayé de découpé ma petite aile. AU début je l’ai simplement fait tourner autour de mon assiette en espérant que la viande allait se détacher toute seule. Puis j’ai essayé en vain d’y enfoncé ma fourchette pour la couper, mais elle m’a échappé, et dans ma frustration je ne faisais que cogner mon couteau contre mon assiette. J’ai recommencé plusieurs fois et j’ai remarqué que la sœur murmurait « Je te l’avais dit ». J’étais couvert de sueur, mais ne voulant pas reconnaître ma défaite ; j’ai attrapez la nourriture avec les mains … Je n’ai pas mangé beaucoup mangé de poulet lors de ce déjeuner. »
« Vous savez déjà que j’ai été en prison avec L et Yamiko parce que nous nous battions pour des idéaux avec les poings. Il y avait déjà eu quelques morts, et bien que ce ne soit que des bandits, nous avons été envoyés en prison par l’hypocrisie de la société. Dans la vie de tout prisonnier, la personne la plus importante n’est pas le ministre de la justice, ni le commissaire des prisons, ni même le directeur de l’établissement, mais le gardien de sa section. Si vous avez froid et si vous voulez une couverture de plus, vous pouvez toujours adresser une requête au ministre, vous n’obtiendrez pas de réponse. Si vous allez voir le commissaire il vous dira : « désolé, c’est contre le règlement ». Le directeur ajoutera : « Si je vous donne une couverture de plus, il faudra que j’en donne une à tout le monde ». Mais si vous êtes en bons termes avec le gardien de votre couloir, il ira simplement en chercher une à la réserve votre demande. . J’ai toujours sur essayé d’être correct avec les gardiens de ma section l’hostilité était destructrice. Il n’y avait aucune raison d’avoir un ennemi permanent parmi eux. La politique des ninjas de l’espoir consistait à élever tout le monde, même nos ennemis : nous pensions que tous les hommes étaient susceptibles de changer et nous faisions tout notre possible pour les faire basculer. En général nous nous conduisions avec les gardiens comme ils se conduisaient avec nous. Si l’un d’eux était gentil, nous l’étions aussi ; Tous n’étaient pas des ogres. Dès le début, nous avons remarqué qu’il y en avait qui croyaient en l’équité. Cependant, devenir l’ami d’un gardien n’était pas chose facile car en général ils trouvaient répugnant de se conduire poliment avec un vrai ninja. Comme il était utile d’avoir des gardiens bien disposés à notre égard, je demandais souvent à des prisonniers de prendre l’initiative avec certains d’entre eux bien choisis. Personne n’aimait se charger d’une telle tâche.
A la carrière, nous en avions un qui semblait particulièrement hostile à notre égard. C’était ennuyeux parce que nous parlions, et un gardien qui nous empêchait de le faire devenait un obstacle majeur. J’ai demandé à un camarade devenir son ami pour qu’il nous laisse discuter. Malgré sa brutalité, le gardien a bientôt commencé à se montrer plus gentil avec ce prisonnier en particulier. Un jour, il lui a demandé sa veste pour la poser sur l’herbe et s’asseoir dessus. Je savais que ça déplaisait au camarade ; mais je lui ai fait signer d’accepter. Quelques jours plus tard, nous déjeunions sous le hangar quand le gardien est passé, il avait un sandwich de trop qu’il a jeté sur l’herbe en disant : « Tenez ». C’était sa façon de manifester son amitié.
Cette stratégie a fonctionné, car les gardiens nous surveillaient moins, il a commencé à nous poser des questions sur les ninjas de l’espoir. Par définitions un homme travaillait dans l’administration pénitentiaire, la propagande gouvernementale lui avait lavé le cerveau. Il avait dû croire que nous étions des terroristes d’autre pays, et que nous voulions tuer tout les hommes non ninjas. Mais quand nous lui avons calmement expliqué notre idéologie, notre lutte pour l’anoblissement des hommes. Il s’est gratté la tête et a dit : « ça a l’air vachement plus sensé que les … »
Il n’eut le temps de terminer sa phrase ; le directeur de la prison venait d’entrer dans ma cellule ; il désigné Yamiko, L et moi et nous demanda de le suivre. Je regardais mes équipiers non sans une certaines angoisse. Une fois arrivé dans son bureau il nous expliqua directement le but de notre venu. Le gouvernement avait besoin de ninja pour une sorte de mission Kamikase ; le but ? Vous allez rire, retrouver un homme qui détenait la position de tout les postes de Konoha ; et par qui il était prisonnier à votre avis ? Par des ninjas de Kiri ; étrange non ? Le but de notre mission était de ramener cette homme vivant, mais on nous a clairement fait comprendre, que le simple fait de tuer cet homme avant qu’il ne révèle des informations stratégiques serait tout aussi bénéfique. Et à la clé, notre libération. Nous étions juunin, et peut-être que je suis allé un peu trop vite, sachez qu’a l’époque, les épreuves était légèrement moins sanglante, car Kumo subissait une crise, et il était hors de questions de laisser mourir des futures grands espoirs. Voici comment l’examen des chuunins c’est déroulé !
Après des missions stupides et périlleuses, j'étais enfin parvenu à mes fins : devenir chuunin. Bien que ce ne soit que la première étape, et qu'il y en aura deux autres, je ne pus cacher ma joie. Tout d'abord, pour cette 1er étape, il me dois de choisir deux autres shinobis que je trouverais assez forts pour m'accompagner lors de cette étape. Je décide de choisir deux personnes que j'ai connus dès la jeunesse : L et Yamiko. Je savais qu'ils étaient très rapides et intelligent, et de plus L avait la râre faculté de maitriser le Hyôton. Après cinq flèche crée par son chakra, vous étiez congelez. J'allai les chercher avant d'aller au point de rendez-vous. Là, un ninja nous attendait déjà.Nous entrâmes dans une barque, et le ninja lui-même nous conduit à une île, à environs dix minutes du villages. L'île faisait froid dans le dos, et rien qu'a l'idée d'y passer deux jours maximum ne nous ravissait pas. D'autant plus que les genin qui embarquaient également avait l'air aussi fors les un que les autres. Je ne savais pas pourquoi j'avais l'impression d'être inférieur à tout les autres ninjas, y compris L et Yamiko . Enfin, la barque accosta. Je voulus descendre en premier mais pratiquement tout les ninjas me bousculèrent et me barrèrent la route.Quelques minutes plus tard, un des ninja juunin me conduit, moi et mon équipe devant une grande porte. Là, il l'ouvrit, puis nous souhaita bonne chance et nous donna la liste des végétaux à trouver. Nous entendîmes la grande porte métallique se fermé derrière nous dans un grand fracas. La lumière du jour était la seule source de lumière, mis à part les lampe torche ... Nous entamâmes notre 1er étape. Au fur et à mesure que l'on avançait, les branches des arbres s'épaississaient et la lumière avait de plus en plus de mal a passer. Soudain, je me souvint que nous devions trouver 5 sortes spéciales de fleurs rares. Je sortis la feuille où les noms des plantes étaient écrit. Nous devions trouver : Des Illubis, des lavanius, puis des beriol. Ces noms étaient très étranges, et je ne pus retenir mon rire en les lisant. Heureusement, chaque plante était détaillé physiquement et il y avait d'inscrit les endroits où ces plantes poussaient généralement (endroits sec, humides, à l'ombre, au soleil et cætera ...). Nous décidâmes de commencer à recherché l'Illubis.


A la recherche de l'Illubis.
Cette planté préférait les endroits humides situé à l'ombre. Il y était indiqué qu'elle poussait collées aux troncs des arbres. Nous marchâmes d'un pas nonchalant jusqu'à ce que Hana s'exclame : « Regardé cette plante, elle correspond parfaitement à la description donné par la feuille regarde, ses pétales, les conditions, tout s'emboîte ! »
Nous nous précipitâmes vers la plante lorsqu'un jeune ninja l'air snob la prit devant nous. Là, L qui était extrêmement irritable sortis son arc et avec sa flèche, gela le bras droit du ninja qui s’appretait à nous passer devant. Il laissa échapper un bruit de surprise, non pas de douleur. Hana courut pour attrapé la plante. Malheureusement, le ninja brisa la glace puis lui lança un shurikens dans les mollets. Là, se fut moi qui m'occupa de l'ennemi. Je le maintint au sol pendant que L allait clopint-clopant attrapé la plante avant que quiconque ne puisse le faire. Elle réussit à l'avoir et se retourna, l'air fière. Malheureusement, le ninja n'était pas seul ! Effectivement, un ninja bien plus muscler que moi fit son apparition devant Yakumi, qui ne put en être qu surpris. Il fit une souplesse arrière et en profita pour lui donné un coup de talon dans la mâchoire. En retombant au sol ; il sortis son Katana, et l’immobilisa en donnant un coup violent au niveau du genou. . Nous partîmes vite avant que les ennemis ne reprennent connaissance, pour ensuite placé la plante dans mon sac.


A la recherche du zeria.
Cette plante poussait généralement au soleil, près des rivières. Cependant, il n'y avait presque, ou pas de soleil dans la plus part du domaine de la forêt, étant donné que les branches bloquait les rayons du soleil. Après nous être remis du combat, nous reprîmes la route. A chaque instant, nous scrutâmes les endroits où la lumière passait, Soudain, Yakumi perçut le bruit d'un écoulement d'eau, ce qui pouvait prédire la présence d'un ruisseau. Effectivement, plus loin, un ruisseau s'écoulait. Et que vîmes-nous enfin arriver près du ruisseau ? Que le ruisseau était complètement bordé de soleil, et aussi toute sorte de plantes. Comment allions-nous faire pour trouvé celle dont nous avions besoins ? Il 'y avait, heureusement, les descriptions physique du végétal sur la feuille. C'était une fleur semblable à une pâquerette, toute bleue cyan, et elle comportait des aiguilles au niveau de sa tige. D'abord, nous mangeâmes ce que nous trouvâmes : des poissons. Après s'être rassasié, nous nous passâmes le visage sous l'eau et commençâmes les recherches. Il y avait plusieurs race de fleurs ressemblant à une pâquerette, mais la détermination pris le dessus sur le doute. Tout à coup, L s'exclama : « Hey, Yoko regarde cette plante, elle ressemble à cette Zeria, tu penses que c'est celle la ?
-Je ne sais pas, mais je crois que c'est elle. Oh et à l'avenir, ne parle pas trop fort !» Heureusement, elle n'avait alerté personne et nous pûmes cueillir la plante sans encombre. Après mûres réflexions, je commençais à croire que nous nous étions trompé de plante, mais c'était belle et bien la Zeria.


A la recherche des beriol.
Cette plante préférait les endroits secs et torrides, qu'aux endroits humides, malgré qu'elle préfère être à l'ombre, ce qui allait nous compliqué les choses. Tout d'abord mes coéquipiers était complètement fatigué, et je ne cache pas que je ne l'étais pas ! Nous décidâmes faire une pause, une petite sieste. Nous nous réveillâmes à peu près en même temps. La nuit commençait à tombé mais certains rayons du soleil était perceptible. Nous nous mîmes en route pour trouvé la beriol. Nous commençâmes par cherché des endroits secs, car les endroits sombres ne nous gênaient pas car la forêt presque entière était à l'ombre. Yakumi et L avaient l'œil. Il arrivait distingué un endroit sec. L avait encore peur qu'un groupe de ninja nous tende une embuscade. Soudain, j'aperçus une sorte de plante verte fluo. Je m'approchai et constata que ce n'était pas la plante recherchée. Certes elle avait la même couleur, hélas, elle n'avait pas les même petits fruits. Plus tard, c'est-à-dire vingt minutes plus tard, je tombai sur la même sorte de plante, mais cette fois les fruits était bel et bien de petite boules violettes. Je murmurai à mes équipiers : « C'est bon je l'ai ! On a de la chance, aujourd'hui ! » Je la plaçai dans mon sac. Il nous fallait faire vite pour rentrer, c’est là qu’un autre groupe de ninja apparus, il ne m’avait pas aperçu, j’étais derrière un arbre à regarder L… Lorsque Yakumi avança je me cachais discrètement derrière lui, je crois que j’avais réussi à épouser parfaitement le même mouvement , car ils croyaient qu’il était seul avec L ; Lorsqu’il sauta, je sortis de son ombre ; et pendant que nous étions encore en l’air, L tira trois flèches paralysant ou du moins ralentissant la partie supérieur de leurs corps, et nous permettant ainsi d’assomer rapidement les adversaires. On prit donc la fuite, malheureusement ils étaient plus solide que je le pensais et aussi plus rapide, pour couvrir notre fuite, j’utilisais le Raiton pour détruire la plus part des branches derrière nous ; ils avaient plus de mal à nous suivre. Environ une heure de course poursuite plus tard … Un ninja apparut, stoppa nos poursuivants, et nous félicita pour la réussite de la première étape. Enfin, le ninja stoppa nos poursuivants et nous félicita pour la réussite de la première étape !

Je me rappelle encore de l’énoncé de la dernière étape : « Bonjour, jeune genins. Vous voici arrivé à la deuxième étape, je vous félicite, mais cette fois ce sera différent. C'est votre endurance et l'esprit d'équipe qui vous fera remporté cette étape, et seulement les sept premières équipes à arrivée au point nommé sur la carte que nous allons vous distribué ... seront acceptés. » Le juunin l'avait déclaré d'un ton narquois, comme si ce ne serait que les meilleurs équipes qui devait réussir. Mais les meilleures équipes qu'il désignait du regard, et nous n'étions pas dans la trajectoire de son ses coup d'œil. Après ce charmant discours, une dizaines de juunin donnèrent à chacune des équipes ne carte. A peine avions nous eu la carte que je m'en emparai et la regardai attentivement. Le chemin n'était pas de toute repos, effectivement. Sur la carte, le trajet était très long, et il n'y avait que deux endroits où ils distribuaient des bouteilles d'eau. A l'appel d'un ninja, nous nous plaçâmes sur la ligne de départ. Ce dernier s'empara d'un amplificateur et hurla notre départ. Dès le début, nous parvînmes dans les premiers. Mais rapidement les retardataires nous rattrapâmes. Mais Yakumi et L étaient décidés à réussir et ne ralentirent pas le pas. Nous utilisions la respiration abdominal pour mieux tenir durant le trajet. Au fur et à mesure, nous réussîmes à dépasser certaines équipes, et pas chance, mes coéquipiers tenaient le coup, ce qui ne me ralentissait pas. J'étais d'ailleurs très étonné de les voir tenir le coup. Apparemment, ils n'avaient pas de poing de côtés. Mais ce qui nous avaient remplis de joie, c'était que nos familles et celle des autres participants avaient pus venir nous encouragés au départ ! A peine avions nous franchis les un kilomètres que les hostilités commencèrent. Effectivement, certaines ninjas malintentionnés avaient placés des mashibis par terres. Mais, étant donné que L était très attentif, il remarquait chaque pièges, ce qui nous était d'une grande aide. Nous nous étions bien séparé des poursuivants, qui à bout de souffle n'arrivaient pas à nous rattrapé. Les deux kilomètres n'était plus loin et nous aperçûmes une table remplie de verre et de bouteilles emplis d'eau. Nous réussîmes à nous emparer chacun d'un verre et bûmes tout d'un coup. Yakumi laissa échapper un : « Ahhhhhh, ça fait du bien de boire un peu ! »
Avec ce petit remontant, nous n'avions plus de problème de souffle et notre rythme était régulier. Soudain, nous nous rendîmes compte qu'il y avait neuf équipes devant nous. Je me mis à douté de notre réussite, lorsque Yakumi déclara : « Yoko, tu as vu ce que nous avons déjà traversé ? Et bien ce n'est pas une simple course qui nous ralentira ! » Il faut dire que Yakumi avait un don pour redonné confiance, et c'est cet effet que ce la m'avait fait. Dès lors L sortit son arc, et avec une précision chirurgicale, et tout en étant en mouvement elle temporairement les pieds de nos adversaires. En fin de compte nous sommes arrivés deuxièmes. Pas mal ! »

« Quand au passage Juunin, il n’y en a eu qu’après la mission, le Raikage de l’époque me nomma personnellement Juunin ; enfin reprenons donc. Nous devions prendre une barque pour rejoindre l’île où se trouvait le prisonnier, on nous avait affublé de deux autres ninjas, qui devaient je l’imagine activé le sceau qu’on avait sur la nuque en cas de tentative de fuite ; et ainsi nous immobiliser. C’était une réel mission d’infiltration, et le fait qu’L puisse attaquer à distance était un atout non négligeable. Nous pénétrâmes en utilisant un simple « Henge » no jutsu. »

Yoko s’arrêta de parler, les enfants dormaient presque tous à présent, et cela tombait bien ; la « suite » qu’il réclamait tous n’était pas de leur âge … En réalité, ils n’avaient pu que tuer l’homme qu’ils étaient venus sauvés, et Yakumi a du se sacrifier pour permettre à Yoko et L de fuir. Yoko continua de parler ; même si il savait que maintenant il ne parlait que pour lui…

« J’étais avec L au sommet de la petite colline de l’île, elle était grièvement blessé, néanmoins Yakumi avait réussis à détrurie la base entière d’une attaque Raiton incroyable, ils étaient maintenant en sécurité. Yoko l’air rêveur en fixant les étoiles dit doucement :
« Alors maintenant il reste plus que toi et moi contre le monde entier ? »
« Les pauvres … ils n’ont pas la moindre chance … Au faite, Yoko je m’appelle Aimi. » »

Mais voilà maintenant Yoko était seul ; l’histoire ne s’arrêta pas là .
« Quand je suis rentré à Kumo, en juillet, après de brefs arrêts à Konoha, à Suna, et Kiri, j’ai demandé à rencontrer le Raikage. La violence empirait dans le pays ; il y avait déjà plusieurs milliers de mort. Après en avoir discuté avec mes camarades, j’ai sentit qu’il était nécessaire d’accélérer le processus de normalisation. Notre pays était entrain de mourir et nous devions avancer plus vite. La levée de l’état d’urgence semblait permettre une reprise des pourparlers mais, on arrêta une quarantaine des membres des ninjas de l’espoir. Le Raikage demanda à me voir de toute urgence, et me lut des documents, qui prétendait-il, avaient été confisqués durant une rafle. Je fus pris au dépourvu parce que je n’étais au courant de rien. Après cette rencontre j’ai voulu avoir une explication et, pour ce faire, j’ai rencontré l’un des membres de l’organisation. Il m’expliqua que ce qu’on m’avait lu était sortit de son contexte. Vers la moitié du moi, juste avant une réunion des NE ; Kazuya, est venu me voir secrètement avec une propostion. Il me suggérait de suspendre volontairement la lutte armée afin de créer un climat propice pour relancer le processus de négociation. Le raikage me dit-il, avait besoin de montrer à ses partisans que sa politique avait entraîné des bénéfices pour le pays. Ma première réaction fut négative ; mais lorsqu’il m’expliqua que le but de tout ceux était de tué le Raikage…


Aujourd’hui il y a un nouveau Raikage…


Alors, vous tenez vraiment à ce que je vous la raconte, la suite ? »



En espérant que ça suffise pour être bras droit; j'ai pas eu le courage de continuer, j'étais mort de fatigue =)
MOI

Code du forum qui prouve que vous avez lu le règlement :

    Comment avez-vous connu ce forum :Je suis un ancien membre
    Connaissez-vous les RPG :La question n'a pas changé depuis, et la réponse non plus
    Decrivez-vous dans la vie réel :Elève de premiere S, dieux des math, certainement l'homme le plus proche de la perfection ...



Dernière édition par Yoko Nagao le Ven 24 Juin 2011 - 13:35, édité 7 fois
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeJeu 23 Juin 2011 - 16:21

Bienvenue. Préviens moi quand c'est terminé. Et, il manque un code.

Bonne chance pour la suite =)
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeVen 24 Juin 2011 - 11:04

Finit ^^
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeVen 24 Juin 2011 - 13:47

Ça dépend de Setsuri en fait. On ne va pas décider pour lui. Mais, moi ça me va. Rang A, lvl 18 ou 19. Attend un autre avis, et celui de ton Kage. Bon retour, Kanon o/
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeVen 24 Juin 2011 - 14:06

Bon j'ai lu et j'hésite entre le lvl A 19 et S 20 sur ce coup.
Mais j'opterai pour le S 20, tu étais kage ici avant, et on connaît parfaitement ton niveau, je te fais confiance pour cela.

Donc Ryu, tu lui donnes son test rp ?
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeVen 24 Juin 2011 - 14:56

Pour ton rang, on verra après le test, a la limite.

- On t'a assigné une mission. T'infiltrer dans un village ennemi, pour récolter le plus d'informations possibles. Mais, voilà. Tu t'es fait repéré. Cerné, et sans aucune échappatoire, raconte nous comment tu t'en sors.

Bonne chance.
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeVen 24 Juin 2011 - 18:37

Test RP : Un de Kiri

" Tout ce qui m’est arrivé de pire, c’est à cause de l’eau. D’ailleurs tout ce qui m’est jamais arrivé est à cause de l’eau. Sans lui, les bateaux n’existeraient pas et Kiri non plus, et je n’existerais pas non plus et je n’existerais plus. Aussi absurde que cela paraisse j’ai davantage la sensation d’être vivant grâce au bateau que grâce à mon talent. Je vais peut-être un peu trop vite, un soir où je rentrais d’une mission, je trouvai des ninja à ma port dans un état d’exaltation extrême. C’était la chance de leur vie. Dans leurs rêves les plus fous, ils n’imaginaient pas une telle occasion. Ils devaient être bénis pour être tombés sur cette mission cet après-midi. On leur avait parlé d’un nouveau type de travail qui rapportait beaucoup et ils avaient décidé de s’y rendre. Comme il faisait beau, ils en avaient profité pour se promener dans les rues voisines. C’est là, sur une petite place, qu’ils avaient rencontrés le Raikage. Et de là ils avaient reçu une mission avec à la clé une prime colossale ; on devrait infiltrer Kiri en tant que civil et faire un plan détaillé de la ville ainsi que des techniques et spécificité de défense. Pour cela il était fortement conseiller de regarder des jeunes ninjas à l’entrainement. La raison de leur exaltation tait que deux d’entre eux (un couple) alors qu’ils étaient jeunes mariés, ils avaient passé là-bas une semaine au paradis. Une fraicheur revigorante, des paysages sauvages, un mystère qui imprégnait toute l’île et, surtout des conditions météorologiques exceptionnelles. On leur avait déjà parlé de cet endroit unique, si exposé à différent courant marin et influences climatiques qu’il ne s’y passait pas un jour de l’année sans vent ! Ce séjour d’une semaine les avait persuadés, en effet, qu’il n’y avait pas au monde lieu plus parfait. Y vivre avait été pour eux un pur plaisir. Les ninjas ne cessaient de parler. Peu à peu, je devinai hélas, où ils voulaient en venir. La maison louer était superbe, avec un grand atelier, une verrière, trois chambres spacieuses, une immense cheminée en pierre, et tout ça sous les frais de l’état.

« Cette mission sera une véritable partie de plaisir ; même si on devra rester là bas quelques mois, je doute fortement qu’ils nous reconnaissent. Dit une jeune femme que je n’avais jamais vu.
-Vous allez vous sentir rajeunir, enchaîna un de mes fréquents collègue
. L’idée de quitter cette ville, de repartir à l’aventure c’est tellement excitant ! »
Je les regardai et les trouvai ahurissants. Ils avaient donc décidé, en quelques minutes à peine, de partir vivre à l’autre bout du continent, au milieu d’inconnu, dans une maison dont ils n’avaient vu qu’une photo, et cela, bien sûr, sans me demander si j’étais d’accord pour jouer le rôle du cinquième ninja … Si j’avais envie de me retrouver dans un pays inconnu à m’ennuyer et à geler. A ma remarque, ils protestèrent. Bien sûr qu’ils avaient songer à me consulter ! N’étaient-ils pas en train de le faire en cet instant ? D’ailleurs, ils n’avaient pas pris leur décision pour le moment. Et puis encore fallait-il qu’ils conviennent réellement au Raikage ; il souhaitait nous aussi mieux nous connaître. Je haussai les épaules. Après tout, ils pouvaient bien faire ce qu’ils voulaient, ça m’était égal. Tous les problèmes que j’avais rencontrés dans ma jeunesse, il n’y avait aucune raison que je ne les retrouve pas ailleurs. Le soir même on invita chez moi ; (car j’avais la plus grande demeure) l’homme qui se chargerait de nous confier ou non cette mission. A voir cet homme, sa complicité avec mes collègues, cela crevait les yeux : Nous irions à Kiri durant plusieurs moi pour dessiner une carte parfaite de la ville avec bien évidemment les bonnes informations… Mon intuition était la bonne. Une dizaine de jours plus tard, ils signèrent l’accord de mission, sans avoir vu la maison. Nous partîmes la semaine suivante, je savourai les derniers jours à Kumo, je savais que je ne vous reverrais plus durant un bon moment.
Je n’y ferais peut-être que de détestables rencontres, mais au moins, le lieu avait l’air digne d’intérêt, et ce qu’il promettait de solitude le rendait attirant. Je rangeai donc ma chambre avec un certain entrain, faisant tout disparaître dans des boîtes, et le dernier soir je dormis sur mon matelas à même le sol. J’eus du mal à trouver le sommeil et je me relevai la nuit pour regarder ce que j’allais quitter ; de la fenêtre on n’apercevait que des alignements d’immeubles sur la roche, un vrai labyrinthe. Un endroit étouffant ; finalement… aucun regret. Pourtant j’était préoccupé par ce que signifiait le nom de Kiri. Berceau de l’action : ce lien avec moi me déplaisait.

Je découvris Kiri en plein midi. Le vent était de la partie. Un ciel uniformément bleu, un soleil qui rendait toute chose éclatante. Impossible d’imaginer terre plus solide contre la mer. On se trouvait encore à quelques kilomètres des portes de Kiri et, déjà, chaque rocher, chaque maison, chaque arbre se détachait avec difficulté : la brume. Ce premier contact eut l’intensité d’un coup de foudre. Cela remua en moi des émotions si profondes et si étrange que je ne les aurais jamais soupçonnées moi-même. Après tout je n’avais que 19 ans. Nous parvînmes dans le petit port. Nous traversâmes un village aux habitations blanches et basses. Notre maison se trouvait à l’écart sur une colline, à environ quatre kilomètres du village. Elle était assez jolie mais un eu sévère avec ses murs en pierre noire. La propriété était entourée d’un long muret et le portait d’entrée était juste au bord de la route. Je suis resté là un long moment à embrasser le village du regard et à penser « Yoko, ici, c’est ton royaume. Ces rochers, ce fort, ces rivières, tout t’appartiens. »

Je pus choisir ma chambre. Elle seule regardait vers le nord. Les deux fenêtres donnaient sur la plaine déserte et le fort. De là, on ne voyait aucune habitation et pas le moindre poteau ou fil électrique. Il n’y avait rien qui appartînt au monde moderne. Quant aux touristes qui grimpaient ou descendaient en file indienne vers le fort, ils étaient à peine plus gros que des points. On avait monté dans ma chambre un matelas, une chaise, et on avait empilé les cartons à mon nom dans un coin. On me laissa tranquille.
Quatre jour après mon arrivé, enfin je m’aventurai à l’extérieur. Le matin, Honoe me prépara des sandwichs, je remplis une gourde d’eau, pris un crayon, une carte, mis le tout dans un panier à l’arrière de mon pantalon. Je partis vers dix heures avec l’intention de faire le tour du village. La journée était tout à moi, il fallait simplement que je rentre avant la nuit pour faire un léger compte rendu. Je descendis d’abord vers le village et croisai des touristes à la douzaine. Un premier bateau venait d’arriver et plusieurs mini vans les attendaient. Certains montaient dans les vans, d’autres continuaient à pied ou se dirigeaient vers le hangar où on louait les vélos. Je remarquai avec étonnement que beaucoup portaient des télescopes. Je compris que c’était pour observer les oiseaux. Je ressortis du village et déploya une carte vierge de la ville ; j’avais déjà repéré les entrées et sortis du village ; je m’installais calmement sur un arbre ; Je me rendis compte qu’il était impossible de faire le tour de la zone, sur le côté Ouest, pas une route ni une maison. J’ignorais comment m’y rendre, mais c’était que je souhaitais le plus aller. Je dus parcourir au moins deux cents kilomètres ce jour-là. J’empruntai tous les chemins praticables, m’aventurant là où aucun villageois n’allait. A midi, je déjeunai sur une colline, dans un pré où se promenaient des ânes sauvages. J’en profitai pour feuilleter le petit guide touristique offert qui se révéla très intéressant.

Je compris pourquoi à l’extrême sud je n’avais rencontré aucun touriste : presque tous ceux qui se rendaient à Kiri ne pouvaient se diriger que vers le nord où étaient concentrés toutes les zones touristiques, et avec un fort. Bien sûr le fort possédait une grande valeur historique : il datait de plus de neuf mille ans, et témoignait d’une stupéfiante habileté technique. Mais ce qui fascinait le plus le sgens, ce qui avait fasciné plusieurs chercheurs, et ce qui attirait ici tant de touristes, c’est qu’aucun homme n’avait jamais compris la fonction de ce bâtiment et certaines bizarreries qu’on y trouvait. Le fort regardait vers le nord. Or il ‘n’y avait rien dans cette direction ; il aurait été bien plus logique de placer un poste de surveillance face au continent.

Les gens du village nous avaient accueillis avec hospitalité. Ils étaient respectueux, ne bousculaient pas une vie réglée c’est pourquoi les habitants avaient tout fait pour rendre notre séjour agréable. La plupart des maisons avaient proposé des chambres d’hôtes, on avait ouvert des gîtes d’étape et le tourisme était devenu une importante source de revenus.
Lorsque j’eus fini ma lecture, je repris la route je descendis d’abord au sud et, quand j’arrivai au bout du chemin je faisais demi-tour tout en prenant des notes. Plus tard, je repassai devant le village puis devant chez moi, sans m’arrêter. L’après midi prenait fin, je parvins en vue du fort. C’était par sa visite que je voulais terminer ma journée. Il fallait quitter la route emprunter un chemin de terre. J’étais parmi les derniers à monter au fort. Je croisais ceux qui , par petits groupes, redescendaient. La massive muraille d’un gris sombre se détachait sur le ciel, elle avait quelque chose mycénien. Ici, les cris d’oiseaux n’étaient plus une simple rumeur. Ils recouvraient le bruit de la mer et du vent.

Je comprenais l’attrait qu’exerçait ce lieu au-delà de toute les modes. Si aujourd’hui on venait le plus souvent pour observer les oiseaux, on s’y rendait aussi pour le léger mystère de ces pierres. Une autre question me vint à l’esprit : Qui avait édifié ce fort ? Pourquoi y laissez le sceau de Kiri ? Dans le nord du pays et même dans le pays tout entier, aucun bâtiment militaire aussi ancien ne s’apparentait à celui-ci. Qu’en plus ce fort soit situé ici sans intérêt stratégique, dans un cul-de-sac du monde, obscurcissait l’énigme. Le s gens de Kiri ne se réclamait pas de l’héritage du fort. Comment l’auraient-ils pu ? Je les surprendrais bientôt dans leurs activités quotidiennes ; pendant tout l’été, je les verrais travailler, faire leurs courses et je serais toujours étonnée de voir vivre d’une vie si ordinaire, tournés vers le sud ou penchés vers la terre, ne se rendant jamais au fort, ne semblant même pas le voir étrangers à sa grandeur. Ils étaient comme un déni à toutes les rêveries qu’avaient engendrées ces murailles.

Les jours suivant furent à l’image de cette première journée de liberté et de découverte. Les semaines suivantes entières furent un enchantement. Je ne passais que très peu de temps à la maison. Dès le matin, je partais, et on ne se revoyait que le soir. Cependant la carte n’avançait pas autant que cela. Il me semblait devenir une nouvelle personne. Eloigné de la maison, je n’avais plus aucune vie sociale. Je croisais bien sûr des gens lorsque je dévalais les chemins ou que j’allais me tremper les pieds sur les plages (l’eau était vraiment trop froide !) mais nous n’échangions jamais aucune parole. Quant aux ninjas du village, nous ne devions pas fréquenter les mêmes chemins car je n’en croisais pas beaucoup. Peu m’importait. Il me semblait avoir fait la rencontre essentielle : celle de Kiri.

La question du fort me passionnait. Dans des ouvrages, certaines hypothèses ouvraient les plus lointains horizons. Je me mettais à penser que ce serait moi qui dévoilerais l’histoire du fort. Je déterrerais dans mon jardin ma pierre de Rosette et je serais le maître de ce village. Je m’allongeais dans un pré au soleil et je rêvais que l’automne et la reprise des habitudes ne viendraient jamais. Mes jours de bonheur étaient comptés. A la mi-août, la fraîcheur descendit sur l’île. Le soleil nous abandonna et les teintes chaudes et éclatantes laissèrent la place à des couleurs plus dures : le gris et le brun, un bleu et un vert plus terne. Déjà Kiri portait son visage d’automne. Les touristes quittaient l’île et, même si je m’obstinais à acheter des glaces, je devais souvent les manger sous l’auvent de l’épicerie. Septembre arriva.

Je dormis assez mal, j’anticipais la rentrée, je devais me faire passer pour un étudiant de l’académie, le jutsu de dissimulation de Honoe était je l’avoue réussis. Au matin ma gorge était nouée. J’étais d’autant plus tendu que j’allais passer au moins huit heure à l’académie en compagnie d’inconnus. En entrant dans la cour, je me sentis le centre de l’attention. Tous me dévisageaient. Cela ne dura qu’une seconde, puis ils détournèrent immédiatement le regard. Tant de curiosité pour un nouveau ; c’était inquiétant… On commença l’appel. J’étais si ému que mes idées n’étaient pas très claires. Pourtant, je percevais quelque chose hors de l’ordinaire, une chose insolite que je n’arrivais pas tout à fait à saisir-hormis le fait que j’étais dans le corps d’un enfant et donc j’avais une vision beaucoup plus réduite de mon environnement. Puis je rejoignis le rang et, comme j’étais le dernier de la liste, nous entrâmes dans le bâtiment. Cela ne prit que quelques secondes pendant lesquelles rien ne se produisit ; Aucun réaction à l’appel de mon nom ! RIEN !

A la récréation, des élèves de ma classe m’abordèrent. Ils étaient heureux d’accueillir quelqu’ un de l’extérieur. Comment avais-je donc trouvé le village ? Petite ? Froide ? Je devais regretter mon pays. Je les détrompai. Kiri étais un lieu hors du commun, je n’avais jamais vu d’endroit comme celui-ci avant. Mes paroles leur firent plaisir. Ils faisaient cercle autour de moi. Aucun des visages n’accrocha mon attention comme celui d’un grand garçon blond qui se tenait à l’écart. Je l’avais déjà remarqué dans la classe, parce qu’il avait l’air plus âgé que les autres, et surtout parce qu’il était beau et que j’en ressentais de la jalousie. Ce qui me touchait le plus était sa réserve. Il ne tenait pas ç me parler et pourtant, il écoutait attentivement nos conversations. Une de mes paroles l’avait d’ailleurs fait sourire avec un brin d’ironie.

Le soir, lorsque je me retrouvai seul dans ma chambre et mes notes, je repensai à cette journée, j’eus envie de me pincer. Tout marchait trop bien pour être vrai … Ici on ne se maltraitait pas, on ne volait pas les copies. J’ai pris du plaisir à préparer mes affaires et à recouvrir mes livres. Au dîner, je racontai à mes collègues le déroulement de la journée. Honoe aussi s’était fait une place dans le domaine médical de Kiri. On s’écoutait tous avec une joie évident. Je crois que nous nous plaisions vraiment ici. Pour donner un air de fête à cette mission ; on alluma le tout premier feu de l’année. Accroupi devant la cheminée comme vous ; comme des enfants, je dévorai une demi-douzaine de crêpe couvertes de chocolat. J’étais réconcilié avec le monde entier.
Le lendemain matin, je me réveillai avant que le réveil ne sonne ; Il faisait déjà jour. Je me précipitai à la fenêtre, l’ouvris et respirai à pleins poumons. Je me sentais les idées claires, enfin détaché des mauvais souvenirs de Kumo. Quand j’arrivai à l’école, les élèves de ma classe me saluèrent. Une fois en cours, impossible de continuer les bavardages, ils écoutaient tous avec une attention indéfectible, ne prenant jamais la parole avant d’être désignés. Et quand le professeur demandait un exercice, toutes les mains se levaient. Je n’étais pas habitué à un travail et à une concentration aussi intense durant mon enfance, et je les regardais parfois avec incrédulité. A la récréation, je demandai à l’un d’eux s’ils se comportaient toujours de cette manière en classe. Il ne sembla pas comprendre ma question. Je l’interrogeai de nouveau :
« Est-ce que vous êtes toujours tous aussi sérieux ? Personne ne répond jamais au prof ou refuse de travailler ?
-Non !
-Tu veux dire que jamais personne, PERSONNE PERSONNE, ne fait de bêtise en classe ?
-non, personne. »
Le grand garçon blond apparut soudain de derrière mon dos et se campa devant l’autre.
« Jamais personne, PERSONNE PERSONNE, intervint-il en m’imitant. Tu peux mettre ton personne au carré ou au cube, la réponse sera toujours la même, hélas. »
Ça expliquait beaucoup de chose sur le sérieux de Kiri en tant de guerre, au moins une information de plus à mettre sur la carte mais… Je me sentis offensé par le ton de sa voix singeant la mienne.
« Et quand vous avalez de travers, par exemple, ou bien que vous parlez sans lever le doigt, vous avez droit à quoi ? Un supplice chinois ? »
Dans mon désir d’être à mon tour offensant, je ne savais pas trop ce que je disais. Cependant le garçon n’avait pas l’air frappé par l’incongruité de ma réponse ; il répondit aussitôt :
« Tout à fait. Les instruments de torture sont dans la réserve et les lapidations sont publiques tous les vendredis ».
Ma mâchoire était serré et, avant que j’aie eu le temps de lui répondre, il me sourit et me tendit la main.
« Je m’appelle Yeie, je suis vraiment très content de te connaître ».
J’hésitai quelques secondes, le regardant fixement, désarmé, je souris à mon tour et serrai finalement sa main tendue.

A la fin de la journée, il me raccompagna jusqu'à mon portail et nous convînmes de faire dorénavant la route ensemble matin et soir. Il m’attendrait au bout de l’allée. L’habitude fut vite prise, à l’exception des cours où nous ne pouvions communiquer, nous étions inséparables ; je ne comprenais pas très bien ce qui m’avait valu son amitié ; peut-être son exotisme… Alors que les jours passaient, Yeie demeurait imprévisible. Parfois, personne n’échappait à ses moqueries. D’autres fois, il devenait sérieux et parlait à peine. J’aimais qu’il raconte la vie à Kiri, je savais qu’il n’entretenait pas avec Kiri des relations aussi harmonieuses que les miennes. Je pensais qu’il avait besoin de s’en échapper un peu pour vouloir y revenir. Après la classe, je montais dans ma chambre dès que j’avais quitté Yeie et je commençais à travailler. J’apprenais chaque jours un peu de détail, et connaissait presque parfaitement les raisons de certaines spécificité propre au village. Dans cette école malgré le fait que j’étais déjà un ninja, ce n’était pas une tare d’avoir de bonnes notes. Réciter un poème pour le professeur, c’était accomplir un des travaux d’Hercule. Sur le promontoire le vent était d’une telle violence qu’il fallait se cramponner au rocher de tous son poids, s’agripper à s’en écorcher les mains pour ne pas tomber ou être propulsé en arrière. Quand on était sûr de son appui, il fallait réciter au dessus du bruit de la mère et du vent, dominer la bourrasque et les vents, pour être entendu des autres en bas, donner toute la puissance de sa voix, sans crier !

Il n’y avait qu’une activité qui me déplaisait à Kiri et que j’ai mentionnée sur la carte comme loisir. Tous les hommes et les garçons s’y adonnaient, mais moi je ‘’y arrivais pas. Ce jeu ancien, ne se jouait pas pendant l’été, j’étais tombé par hasard sur un match qui opposait des hommes du village : les cris de fureur, les mêlées désordonnées, les ruées de taureau et les coups de leurs bâtons recourbés plus souvent sur les crânes et sur les dos que sur la balle. Lorsque Yeie m’a expliqué que le seul objectif était de faire passer la balle entre les poteaux de l’équipe adverse sans qu’il y ait aucune règle à respecter, il m’avait convaincu sans le vouloir, que je n’étais pas faire pour ce jeu ! Nos divergences n’entraînaient aucun conflit, elles nous signalaient simplement que nous avions nos domaines respectifs, nos secrets à garder. Il avait son sport et je ne sais quelle autre passion, et moi j’avais ma mission !
UN mercredi du mois d’octobre (plus que deux moi avant mon départ), on me demanda de descendre à l’épicerie, je m’arrêtai à la hauteur du collège pour caresser un chien, et tournant les yeux vers le bâtiment vide, je vis dépasser du mur, le vélo de Yeie. J’avais du mal à m’expliquer ce que mon ami faisait là étant donné que l’école était fermée. Je trouvais le portail ouvert ! Et me faufilai jusqu’à l’arrière de la bâtisse et là je fus stupéfaits, je les reconnus c’étaient ceux de ma classe ! Et ils avaient caché dans leurs bicyclettes pour ne pas être vus. De moi, sans aucun doute. Je me cachais dans un arbre et ils se turent soudain, la voix de mon professeur retentit dans une langue inconnue. Je me haussais avec la plus grande précaution et jetai un coup d’œil dans la classe. Les élèves me tournaient le dos, et écrivaient penchés sur des ardoises. Le professeur était au tableau, de dos également. Il écrivait. Les caractères qu’il traçait ne ressemblaient ni à des lettres ni à des chiffres. J’aimais la calligraphie, j’étais donc familiarisé, grâce à elle, à toutes sortes d’écritures. Or, le tableau était couvert de signe n’appartenant à aucun alphabet ! Je reconnus bien vite les mêmes signes qu’au fort !

Lorsque le professeur se retourna, j’eus tout juste le temps de me baisser, Je retraversai la cour à toute vitesse, et disparaissait à travers les arbres. Je me sentais terriblement isolé surpris. Tout cela n’avait aucun sens. Bien que bouleversé, je n’en parlai à personne. La nuit je me mis à réfléchir, que pouvait-il bien enseigner à ces élèves en cachette ? Moi qui m’étais sentis adopté ; je me découvrais exclu. Je me postai devant la fenêtre face à l’île. C’était ici perdu dans la contemplation de la plaine, que je venais toujours penser. Maintenat que je prenais le temps réfléchir à notre situation à Kiri, j’étais soudain frappé par une autre singularité : mes coéquipié et moi étions les seul étrangers à vivre à Kiri. Pourquoi nous toléraient-ils ici ? Pourquoi nous avaient-ils implantés chez eux si ce n’était pour nous observer et finir par nous piégé ?

Voilà que mon imagination s’emballait il fallait que je me calme un peu et que je leur laisse le soin de me donner quelques réponses. Parce que ma décision était prise, j’allai leur parler ou plutôt, lui parler. Ce n’était ni à Yeie ni aux autres élèves, ils devaient être forcés de se taire. C’était le professeur que j’allais interroger c’était lui le maître.
Le lendemain, je me comportai aussi naturellement que possible. Si Yeie et tous les autres élèves pouvaient mentir, moi aussi je pouvais le faire. Je les regardais et ils me paraissaient aussi opaques que des mures ; A quoi se livrent-ils ? La matinée s’éternisait. Je regardait souvent ma montre, de plus en plus tendu ; j’agirai lorsque le soleil serait à son zénith.

Après le repas, pendant que nous nous amusions dans la cours, le prof restait dans notre classe. Je dis à Yeie que j’avais quelque chose à faire et le quittai. J’entrai dans le bâtiment et frappai à la porte. Il m’accueillit en souriant, cependant il vit mon air grave ses sourcils se froncèrent.
« Tu as un problème Yoko ? Tu veux m’en parler ? »
J’acquiesçai de la tête et il me pria d’entrer. Sans préambule, je lui racontai ce que j’avais vu la veille, je lui confiai que je m’étais senti mis à l’écart. Insistant sur le fait que je méritais qu’on me fasse confiance ! Il avait l’air très ennuyé, toutefois, il n’y avait rien de menaçant en lui.
« Yoko je vois très bien ce que tu ressens. Aucun de nous ne veut te mettre à l’écart. Je suis très heureux de t’avoir comme élève et tu as beaucoup d’amis dans la classe. Le problème, tu vois, c’est que tout ça nous dépasse. C’est un secret beaucoup plus sérieux que tu ne l’imagines. Personnellement je pense que le fait que tu l’aies découvert, et cela si vite est un signe. Je crois que nous devons te dire la vérité ; seulement je ne peux pas décider tout seul. Reste après la classe. »

A la fin de la journée je restai seul avec mon professeur dans l’école à présent vide, et nous allâmes dans son bureau.
« Ce que vais te raconter va te paraître extraordinaire commença-t-il. Tu dois comprendre que tu n’es pas dans un roman de science fiction, tu es dans la réalité. Et la réalité exige beaucoup de sérieux même d’un garçon de ton âge. Ne sois pas déçu, notre réalité nourrira bien plus ton imagination que tous tes rêves et tes inventions… » Il apprenait bien plus qu’une langue une culture, et cette culture m’apprendra bien plus que sur le village de la brume. Ainsi s’en suivit plusieurs cours avec le professeur…

En réalité je ne m’étais pas trompé autant que cela ; le fort était simplement une clé pour entrer dans l’un des sous sol de Kiri. Mais du fait qu’elle est maintenant la seule clé fait d’elle l’unique moyen d’entrer dans ce sous sol qui renfermait toute l’histoire de Kiri, j’activais le soir même la clé du fort. Ainsi le mercredi je proposais à Yeie d’aller faire un tour au stade, ce qu’il accepta avec une joie très visible mais teintée d’étonnement. Nous partîmes ensemble après le déjeuner. Déjà, quelques joueurs plus âgés que nous s’entraînaient. Vers deux heures trente je vis enfin sortir du bâtiment la longue silhouette du docteur, il portait sa mallette. Et s’engouffra dans son escorte. Je donnais l’illusion de jouer, en réalité j’étais ici en sentinelle, et au bout d’une semaine, je connaissais les habitudes du docteur qui veillait sur la précieuse bâtisse. Tous les mercredis, après son départ vers les deux heures, toujours accompagnés des gardes qui selon toutes les apparences vivait avec lui, la maison restait comme mort, et, vers le soir, les fenêtres faisaient des trous noirs dans la façade. Sans doute ne rentraient-ils qu’après six ou sept heures. Ainsi il n’y avait d’autre moment pour visiter le bâtiment ; quand à la manière d’entrée, elle me semblait tout à fait aisée ; la porte à l’arrière serrait mon sésame. Je les ai vu entrer ou sortir jamais sans utiliser de clé, ils oubliaient même souvent de la fermer, si bien que certains soirs lorsque je partais, elle restait encore entrouverte. J’avais la quasi-certitude d’avoir trouvé un accès.

Et le jour J, comme à l’accoutumée, je vis, vers deux heures s’éloigner le docteur, avec ces quatre occupants. Je faisais mine de m’absentés, et pour la première fois depuis longtemps, je rompis le sceau qui servait à me dissimuler dans le corps d’un enfant, et je retrouvais ma véritable carrure. Je m’introduisais dans la bâtisse, ma carte était proche de la perfection, et une fois arrivé devant la porte du sous sol, je sentis quelque chose d’étrange. Je regardais la rue, à travers la fenêtre ; c’était désert. N’insistant pas plus, je m’apprêtais à sortir de la bâtisse, quand je vis venir vers moi un énorme Dragon aqueux ; Ils s’étaient joués de moi ! Dès les premiers jours ils nous avaient démasqués ; et maintenant il faudrait un miracle, pourtant la carte était quasiment terminé. Je ne pouvais me permettre de renoncer ici. J’analysais la situation, tout en évitant par là même un peu plus d’une dizaine de Kunai. Impossible de fuir en courant donc, j’étais encerclé, me callant contre le mur face à la rue, je lançai ma cape devant moi, de telles sortes qu’ils ne voient que ça, durant un très court instant, et j’utilisais l’art de manier la foudre pour créer un trou dans le toit me permettant de fuir. Ils étaient intelligents, un autre homme placé à l’extérieur humidifia avec un jutsu aqueux le toit, je trébuchai, et repris ma course, mais ils étaient plus rapide ou du moins plus agiles dans leurs ville que moi ; je devais immédiatement prévenir mes équipiers.

Alors que j’arrivais dans la forêt aux alentours du village, j’eu l’idée, de me diriger vers eux, et ensuite de tourner rapidement, en les surprenants j’espérais qu’ils me laisseraient un peu plus d’avance. Ce fut le cas, et soudain en courant, je sentis des mains m’attraper par le cou et me tirer. Je me retrouvais dans un arbre, et la nuit tombait, je reconnus Yeie, il me dit en souriant tout en replaçant quelque chose.
« J’espérais bien que tu passerais par là ; cet arbre est creux, même en plein jours on ne peut pas voir la différence ».
J’attendu une dizaine de minute avant de reprendre la route, je regrettais de quitter Yeie mais ; je devais retrouver immédiatement mes équipiers et la carte ! J’arrivais sans problème, avant de parler, je récupérais la carte ; puis leurs demandait de sortir en les prévenants que nous partions ; j’eu à peine le temps de terminer ma phrase, que je vis plusieurs mon de feu se diriger vers nous. Nous étions faits comme des rats !

Honoe fut la seule à m’avoir suivie, les autres étaient… Nous avons commencé à fuir vers le nord, sans remarquer que c’était exactement ce que souhaitaient les ninjas de Kiri : ils avaient laissés la voie libre. Nous arrivions donc au fort, il faisait nuit noire. On s’est battu durant des heures entières, leurs défense étant quasiment parfaite je ne sais même pas si j’ai réussi à blesser quelqu’un ; une chose est sûr Honoe est morte ; me laissant seul face à une dizaine, de ninja. Quitte à ce que ça finisse comme ça… Je préférais encore être achevé par la mer ; et me lançait du haut de la falaise, sans aucun envie de résister ; cependant avant l’impact, j’entendis une voie ; curieux je remontais à la surface ; la mer avait été clémente, je ne le croyais pas encore mais l’eau allait me sauver la vie ! Je montais sur l’embarcation, et je vis à nouveau ce visage blond. Yeie ; m’avait sauvé la vie encore une fois, mais les ninjas de la brume n’avaient pas dit leurs derniers mot ; ils pouvaient m’attaquer à distance, j’utilisais mes quelques rudiments dans l’art du Suiton, je créais une secousse qui visait à me propulser sur un cargeau à une vingtaine de mètre. Il semblerait que j’ai réussis, puisque je parle encore ; mais ; mon sauveur Yeie est sûrement tombé à l’eau.
Cette carte, je l’ai mise au fond ‘un placard. Il n’est pas vraiment caché et pourtant personne ne peut le lire. Personne ici. Je n’ai pas oublié les lignes qu’on m’avait enseignées. Et il ne manque aucun mot à cette langue. Ainsi j’ai réécrit cette carte par amour pour Kirin pour Yeie ; pour m’enivrer encore de ces sons étranges et du dessin harmonieux de ces mots sur les feuilles blanches. Je sais que mes enfants, en l’ouvrant, vous ne verrez que des signes incompréhensible, mais je rêve qu’un jour les mains d’un de Kiri s’en emparent et le placent au fond du placard du très vieux professeur…."










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MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeVen 24 Juin 2011 - 19:07

C'est bon pour moi. S, lvl 20.
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeVen 24 Juin 2011 - 19:17

Je valide.
Un admin te mettra ta couleur et ton rang, files faire ta fiche technique x)
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeVen 24 Juin 2011 - 20:39

C'est fait. Bon jeu.
Vijay Jagdish
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MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeVen 24 Juin 2011 - 21:22

Citation :
Tous les personnages inventés commencent avec le grade de Genin. Si vous voulez avoir un grade plus élevé, on attend une présentation plus conséquente que le minimum demandé et que vous expliquiez dans votre histoire, comment vous avez obtenu un tel grade. Il va de soi qu'on n'autorisera pas un personnage ayant huit ans à être Chuunin. L'âge moyen d'un Genin étant de 12 ou 13 ans, il est rare de voir des Chuunin âgés de moins de 13 ans. Et même à cet âge cela reste un cas assez rare.
( => Maximum Juunin de rang A ; level 16)

Maximum level 16 rang A à la présentation, vous avez oublié les gars ? ^^'
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MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeVen 24 Juin 2011 - 21:28

Vijay > sauf que y a des exceptions, les bras droits, et les grades spéciaux, chose votée et adoptée dans le staff depuis perpette xD
Et chose mise dans le réglement aussi.
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MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeVen 24 Juin 2011 - 21:32

Ah merde j'étais pas au courant mdr Je re-valide la fiche alors :X
Grimmjow
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MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeSam 25 Juin 2011 - 14:17

Oula pour ma part ça vaut pas le rang S 20. J'aurai dis lvl 19 grand max.
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MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeSam 25 Juin 2011 - 14:40

Il est déjà validé Grimmy là avec majorité donc bon =/
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MessageSujet: Re: Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière ! Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !  Icon_minitimeMar 17 Juil 2012 - 19:11

Direction corbeille

Amicalement Kaitaro Nagi.
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Yoko Nagao; L'Ombre protectrice de la lumière !

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