Tu souhaites incarner un ninja et le faire évoluer au sein de différentes missions, quêtes et autre afin de le modeler selon ton unique choix ?
Alors n'hésites pas à nous rejoindre, plusieurs villages t'attendent afin de livrer bataille ! L'esprit de loyauté t'attire, et tu souhaites appartenir à un village caché ? Ou bien la voie de la débauche et du crime te séduit plus que tout ? Dans tous les cas, tu es le seul maître de tes actions ici, et tes actes, qu'ils soient bons ou mauvais, auront une influence sur le Monde tout entier !
Tu pourras ainsi rentrer dans la famille NNr' et découvrir la folie des membres sur le forum ! ^^
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Sujet: Le tonnerre gronde Jeu 14 Juil 2011 - 17:48
Le lendemain on sera matin à Konoha ! Dans chaque immeuble étaient collées les affiches qui annonçaient la mobilisation générale. Je n’avais eu que peu de temps pour réagir ; et dès que j’eu reçut la lettre de mon unique supérieur ; j’avais fais en sorte que tout soit prêt. Il faudrait un professionnalisme et une efficacité chirurgicale. Les rues se remplissaient de recrues, qui allaient prendre leur service, des drapeaux flottaient, la musique résonnait, à Kumo je trouvais toute la ville en proie au délire. La première crainte qu’inspirait la guerre que personne n’avait voulue, ni les peuples, ni le gouvernement ; cette guerre qui avait glissé contre leur intention des mains maladroites des diplomates, qui en jouaient et bluffaient, s’étaient transformée en un subit enthousiasme. Des cortèges se formaient dans les rues, partout flamboyaient soudain des drapeaux, des rubans, des musiques, les jeunes recrues s’avançaient en triomphe, et leurs visages étaient rayonnants, parce qu’on poussait des cris d’allégresse sur leur passage à eux, les petites gens de la vie quotidienne que, jusqu’alors personne n’avait remarqués et fêtés.
Pour être vrai, je dois avouer que dans cette levée des masses, il y avait quelque chose de grandiose, d’entraînant et même de séduisant, à quoi il était difficile de résister. Et malgré la haine et ma distance par rapport au peuple, je ne voudrais pas être privé dans ma vie du souvenir de ces premiers jours. Les milliers et les centaines de milliers d’hommes sentaient comme jamais, ce qu’ils auraient dû mieux sentir en temps de paix, à savoir à quel point ils pouvaient être solidaires. Une ville de ninja, un pays de près de cinquante millions éprouvaient à cette heure qu’ils vivaient une page de l’histoire universelle, un moment qui ne reviendrait plus jamais, et que chacun était appelé à jeter son moi infime dans cette masse ardente pour s’y purifier de tout égoïsme. Toutes les différences de rang, de langues, de classes, de religions étaient submergées, pour un instant, par le sentiment débordant de la fraternité. Des inconnus se parlaient dans la rue, des gens qui s’étaient évités pendant des années se serraient la main, partout on voyait des visages animés. Chaque individu éprouvait un élargissement de son moi, il n’était plus l’homme isolé de naguère, il était incorporé à une masse, et sa personne jusqu’alors insignifiante prenait un sens. Le petit employé de la poste qui du matin au soir n’avait fait que trier des lettres, le clerc, le cordonnier avaient soudain une autre perspective, une perspective romantique dans leur vie : ils pouvaient devenir des héros ; enfin pour l’heure ils devaient cesser de rêver.
Les hommes se sont toujours fait jusqu'ici des idées sur eux-mêmes, sur ce qu'ils sont ou devraient c'est d'après leurs représentations de Dieu, de l'homme normal, qu'ils ont organisé leurs relations. Les inventions de leur cerveau ont fini par les subjuguer. Eux les créateurs, ils se sont inclinés devant leurs créations. Délivrons-les des chimères, des idées, des dogmes, des êtres d'imagination qui les plient sous leur joug avilissant. Révoltons-nous contre cette domination des pensées. Apprenons aux hommes, dit l'un, à échanger ces illusions contre des pensées qui soient conformes à la nature de l'homme ; apprenons-leur, dit l'autre, à prendre à leur égard une attitude critique ; à les chasser de leur tête, dit le troisième ! Vous verrez alors s'écrouler la réalité existante.
Ces fantasmes innocents et puérils constituent le noyau de la récente philosophie jeune-hégélienne que le public, à Kumo, accueille avec épouvante et respect, et à laquelle, qui plus est, les héros philosophiques eux-mêmes, solennellement convaincus qu'elle menace le monde de la ruine, confèrent un caractère implacable et criminel. Le premier volume de cette publication a pour but de démasquer ces moutons qui se croient, que l'on croit loups ; et aussi de montrer que leurs bêlements philosophiques font simplement écho aux opinions des bourgeois du pays, que les vantardises de ces exégètes philosophiques reflètent simplement la misérable situation des hommes. Il se propose de déconsidérer et de discréditer ce combat philosophique contre l'ombre de la réalité où le peuple, rêveur et somnolent, se complaît.
Il y eut un jour un brave homme pour s'imaginer que si les hommes se noyaient, c'est qu'ils étaient possédés de l'idée de pesanteur. S'ils chassaient cette idée de leur tête, par exemple en la qualifiant de superstitieuse, de religieuse, ils seraient à l'abri du danger de noyade. Sa vie durant, il combattit cette illusion de la pesanteur, dont les conséquences fâcheuses lui étaient démontrées amplement par toutes les statistiques. Ce brave individu, était ce qu’on pouvait appeler un homme.
Nous comptons sur les ninjas les vrais ; les hommes ; qui dans les conditions les plus ardus arrivent à s’éveiller à une forme quasiment divine ; dans cette posture la phrase « tout les hommes sont égaux » prend tout son sens. Je sortais de ma douche ; mes sentiments semblent-ils avaient aussi coulé, ni l’angoisse, ni l’excitation et encore moins la peur ne m’abritait. Mon esprit patriotique ici était maître ; sur la grande place tout était prêt ; on avait installé les banderoles à l’effigie du village, je devais m’adresser à tout les ninjas, le son de ma voix serait amplifier à plusieurs kilomètres à la ronde ; je dois l’avouer c’était assez impressionnant. Enfin, en tant que geste symbolique je devais moi aussi porter le bandeau du village sur le front à la fin du discours, bien que j’ai toujours douté que ce genre de pratique puisse motiver qui que ce soit ; j’étais prêt à le faire ; et soudain, le silence… Impressionnant, le bruit de sa propre respiration était la seul chose qui nous attachait encore un peu dans ce moment. C’est vêtu d’une cape blanche, le message du Raikage entre les mains que je m’avançais vers les plus grands représentant de la foudre. Et au moment où je pris la parole un immense grondement se fit entendre ; je restais placide, encore un de leurs effets spéciaux… Je repris donc, me surprenant moi-même :
« Mes frères ! Nos compatriotes de Kiri, sont entrés en guerre contre les ninjas du feu. Nous remplirons ; notre devoir, en tant qu’allié il est de notre devoir de les assistés dans cette guerre. Le chef des armées se dirige en se moment même vers les lieux où seront scellé notre éclatante victoire ! Peu d’information ont circulés depuis ; il est temps pour Kumo de s’éveiller, et de rappelez à ces ninjas qui se targuent d’avoir une volonté de feu, que si la foudre à guider les hommes vers le feu, nous sommes aussi capable d’éteindre leurs misérable vie comme le ferait un océan face à une bougie. La volonté du feu sera démontée ; allons compagnons ! »
Nouveau coup de tonnerre ; les discours n’avaient jamais été ma spécialité, néanmoins l’essentiel avait été dit ; il fallait maintenant se préparer, ainsi sans perdre une seconde de plus ; nous partons vers le village du feu !
HRP: voilà j'ai tâché de faire court; c'est la guerre direction Konoha, désolé post fait vraiment rapidement; bon voilà ninja qui participez à la guerre (ce n'est pas facultatif é_è) postez à la suite de ce message puis aux porte du village de la feuille. Faite ce qui est nécéssaire et remportons cette guerre !
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Sujet: Re: Le tonnerre gronde Jeu 14 Juil 2011 - 19:14
Dernière édition par Kaleïs Maboroshi le Dim 17 Juil 2011 - 2:31, édité 1 fois
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Sujet: Re: Le tonnerre gronde Ven 15 Juil 2011 - 9:10