Prénom et Nom : Izaki Yoshida
Âge : Inconnu
Village/organisation désirée : Actuellement à Kirigakure no Satô

Description physique :

Du haut de ses 1m80, Izaki possède une corpulence assez svelte, sous son air empli de prestance et de noblesse dédaigneuse. Cette dernière se reflète aisément sous ses traits harmonieux, délicats et d’une pâleur laiteuse. Ce visage qui pourrait vous paraitre doux à décrire, mais la réalité nous le révélait sévère et impassible, contrastant avec ses cheveux de jais, soigneusement emprisonné sous ses Kenseikaan, coiffe témoignant de son rang et de son appartenance au sein de la noblesse. Seules trois de ses mèches retombent fièrement au devant de son front, accentuant cette impression de sérieux qui orne ses traits, laissant entrevoir des yeux aux pupilles anthracite.

Un regard aux allures insondables, tout en laissant refléter une lueur faussement indifférente envers toute personne qui se présentait à leur vue. Ce n’est qu’à l’ abri des regards, ou lors qu’il se recueille au devant de l’autel de son épouse, que ses yeux si ombrageux, ne s’empêchaient d’exprimer une tristesse ancrée et indicible, sous le silence résolument tenu par ses lèvres closes et fines, retenant avec volonté ces mots qui pouvaient trahir cette nostalgie qu’il éprouvait chaque jour.

Son menton, se cache par moment sous le revêtement du "Ginpakukazaharu", cette écharpe d’une blancheur immaculée et qui se transmet depuis la troisième génération, au sein du clan Yoshida. Ses pans restent impeccablement en son dos, afin de ne point le gêner en ses gestes. Son kimono est semblable aux uniformes officiels de sa famille, bien que démarqué par l’Haori blanc, marqué par le seau de la sixième génération, cette même faction qui est devenue presque une tradition envers cette haute maison. Ses mains aux phalanges longues et fines, est sur et habiles sous la protection conféré par ces gantelets blanc.

Sa démarche est emplie de noblesse et de précision, sous une impulsion certes lente, mais dynamique. Sa posture se révélé droite, voir stoïque et dédaigneuse, surtout quand le voile de ses paupières vient à couvrir ses orbes grises, lorsque l’on vient lui parler. Démontrant une certaine déférence. Aucun tic au niveau de la gestuel, ne désirait trahir sa personne, toute implicite qu’elle est. Ce qui peut, je le concède énerver plus d’une personne un tant soit peu….plus énergique.

Pourtant question réflexe, Izaki n’en était nullement dépourvu, surtout lorsqu’on savait sa célérité en ce qui concernait la vitesse. Il était donc malvenu que de se leurrer sur son apparence si lattant, et arrogante.


Description morale :

Izaki est un personnage au caractère sévère et inflexible. Du moins c’est ce qu’il cherche à laisser transparaitre en se faisant distant et froid socialement, que ce soit avec son entourage proche ou éloigné, ne tenant pour compagne que cette solitude si fidèle. Cela peut donner à penser qu’il cherche ainsi à créer une distance respectable entre ce qu’il ressent et ce qu’il doit faire, cherchant un discipline plus qu’irréprochable envers son clan et son devoir de Shinobi.

Mais quoi de plus étonnant, lorsque l’on n’ignore point que nos faits et gestes sont en constante observation et soumit au jugement autres, soulignant ainsi une forme de transparence. C’est quelque peut ironique, lorsque l’ont sait sans peine, que tout n’est qu’apparence, omission volontaire et arrogance, sous un manteau de justice et d’exemples. Cependant, Izaki n’était pas de ses nobles avilies par l’argent ou dépourvu de volonté.

Non en vérité, beaucoup de ses « amis » possèdes certes de l’arrogance et une fierté des plus poussé, concernant sa personne, mais aussi un sens de l’honneur et de la droiture. Choses qui dans un sens le faisait passer outrageusement pour un homme bien trop stoïque, sous cet aspect calme et sage. Sagesse caché sous le rideau de l’indifférence, qui fait de lui un être réfléchit et non une personne des plus téméraires. Habile de son esprit l’analyse des faits étant en soit un exercice des plus habituels, parvenant ainsi à résoudre les problématiques et les équations qui s’imposent à lui.

Cependant, fort de son individualisme, il lui arrive parfois de s’enliser en un silence plus que persévérant… ignorant toute forme d’aide sous le carcan de sa fierté, et c’est dans ces instants précis que l’on perçoit enfin ses failles… ouvertures certes minimes mais qui nous permettent d’entrevoir l’être qu’il est. Izaki est en réalité une personne empli de tristesse et de silence, ne se faisant comprendre de que de manière implicite que se soit en actes comme en paroles. Des mots qui ne sortent qu’avec parcimonie de ses lèvres pâles. C’est là un art qu’il n’emploie point à outrance, sous une tonalité des plus monocordes, ne dépassant point le décibel adéquat d’une conversation des plus posées. Il en est de même en ce qui concerne, le combat, jamais le noble Yoshida ne se livre à des élucubrations plus qu’inutile face à l’ennemi, bien au contraire, son silence est le maître mot, tout comme l’ironie.

Son sens de la logique et de la stratégie lui offrent un atout conséquent, jusqu'à prendre une longueur d’avance sur les tentatives de ses opposants, bien que parfois, cela ne paye pas toujours, car sous le joug de son orgueil il n’est pas rare que cela lui fasse défaut.
Fière de sa puissance, Izaki ne supporte pas que l’on soit familier envers lui et ne se prive pas de rabaisser avec verve et cynisme cinglante ses adversaires. Seul trois personnes ne se privent point de familiarité envers sa personne, et curieusement, son grand-père ne s’avise plus à lui en faire la réprimande, car cela est une chose bien inutile, et la futilité était un affront à sa patience.

L’impatience… Voila un fait qui lui était resté propre aux files des ans. En effet, malgré ce que l’on peut imaginer, Izaki ne fut pas toujours ainsi. En effet dans sa jeunesse, il était d’une impulsivité é déconcertante et d’une colère surprenante, ce qui ne plaisait pas toujours à son grand père, qui espérait le voir un peu plus réfléchit dans ses manières afin qu'il remplisse au mieux ses devoirs envers la maison qu'il représenterait plus tard, soutenir ce qui est fort et non ce qui est faible, autrement dit ne point céder à la précipitation et agir avec réflexion, concédant enfin que la facilité de l’emportement était mère de toute stagnation.

Pour en revenir au présent, il n’est point rare que de remarquer l’absence de Izaki dans le village, lorsque la nuit vient à tomber sur le Village. Aller savoir pourquoi… mais cette obscurité égaillé par les étoiles et la présence plus que maitresse de la lune, pourtant si veule, avait le don de l’apaisé, en son fort intérieur, alors qu’il s’éloignait sans réel but... juste pour une simple promenade. En vérité c’est l’un des rares moments, ou il peut enfin être seul avec lui-même.

Réfléchir aux décisions sans que nul ne vienne l’interrompre, voir à ne se laisser emporter par ses réminiscence plus anciennes, et qu’ils n’aient marqué un pan de sa vie. Ses pas le mènes souvent jusqu'à cette étendu d’eau, ce bassin artificiel qui se trouve en son domaine, abritant sous son bras liquide, ses carpes Koï. Cela semble être un ravissement que d’observer le mouvement lent et élégant de ces poissons, laissant l’astre nocturne, faire reluire par moment leurs écailles. Du moins c’est ce que l’on pourrait croire, si il désirait nous laisser être le témoin de cette scène, et ce en sa propre présence. Mais comment concède-il à cela, sachant qu’il révélerait un attrait plus fragile de son être.

Non cela est plus qu’impensable. D’ailleurs pour donner le change, il s’adonnait aussi à un tout autre loisir, celui de la calligraphie. Chose peu étonnante pour un homme qui appréciait la précision et le dénie pour les gestuelles inutiles ou de trop.
Ses yeux se voilent parfois sous ses paupières, en présence d’autrui, comme s’il désirait garder certaine chose silencieuse et secrète… des promesses qui ne pouvaient point être proférés, mais respecter. Une forme de conduite qui devait être la file de son existence.

Son histoire :

Afin d’être digne d’un historien, il suffirait de commencer, par le fait que Izaki est le 28eme héritier d’une des grandes familles nobles du village. C’est donc en ces lieux, qu’un certain 31 janvier, que notre auguste personnage vint au monde et bien que l’on ne connaisse pas grand-chose sur son enfance, il est assez simple pour nous d’imaginer, qu’il eut droit à une éducation strict et conséquente à la fois, promulgué par son grand père.

Si les autres petits nobliaux jouaient entre eux, Izaki, lui n’avait de cesse que de s’entrainer à l’art du Katana et à parfaire son éducation et ses entrainements seul. Cependant on nous apprend qu’il eut pour professeur et ce durant un temps, son père. Ce dernier lui confia certaines techniques avant de disparaitre de son univers, de manière brusque et silencieuse.

Ainsi fait il resta donc uniquement sous l’enseignement de son Senpaï de l’époque, autrement dit Atsukei Yoshida, son grand père. Aux files des années, Le jeune garçon grimpa bien vite les échelons, sous l’aisance de ses facultés et son application, se rapprochant ainsi de l’image que sa famille voulait imposer. Un futur chef de famille des plus puissants et des plus aptes à respecter les lois qui régissaient le village.

20 ans plus tard environs, il épousa une jeune femme habitant elle aussi le village. Chose totalement incongrue et impensable envers la noblesse, certes…mais il est utile de vous dire que cela avait suscité bons nombres d’esclandres au sein de la famille, face à la « folie » de leur héritier. Ce dernier cependant, férue de son esprit entêté, qui lui venait sans doute de son ancien mentor, resta planté sur sa position, réfutant les divers avertissements des anciens, concernant leur réputation et le fait de observer un sang pur.

Hélas, cinq ans plus tard, Dame Kurana décéda suite à une maladie incurable, accompagné d’un surmenage plus que certain. Ce n’est que dans ses derniers instants, elle parvint à requérir auprès de son mari, lui demandant de tenir le ciel dans sa main, en ramenant la paix en ce monde. C’est donc un an plus tard, qu’Izaki décida de mettre à exécution la dernière demande sa défunte épouse, ayant connue, l’amour & la tristesse, il été l’homme parfait pour connaître les hommes, est ainsi ramené cette paix tant attendue en ce monde de Shinobis…

Après ce drame, Izaki dut s'exiler de la demeure de sa famille et du dojo de son clan pour habiter dans les quartiers les moins fréquenter pour y réfléchir. Vivant désormais dans des quartiers peu fréquenté de son village qu’il appelait toujours par le nom de "trou à rat", Izaki passa de la demeure plus que luxueuse de son clan à une petite cabane en bois. Là où habitait Izaki, bagarres, vols, pauvretés et désespérance y résignaient. Gin réussit à s'en sortir sans pour autant se mêler à cette violence... Il gagnait son pain et son eau ce qui lui suffisait pour vivre.

Après ça, il espérait devenir le grand Shinobi dont son épouse lui avait fait la demande de devenir pour devenir l’Homme qui tient le ciel dans sa main et mettre un terme à toutes ces guerres et conflits qui sont aujourd’hui encore actuelle. Lors des années où il habitait dans les mauvais quartiers de ce village, Izaki marchait dans les sentiers battus, comme à son habitude lorsqu’il trouva un petit étang particulièrement magnifique du fait des éclosions des ces quelques pétales qui ne devrait pas avoir lieu cette saison, Izaki trouvait ça particulièrement bizarre et resplendissant à la vue d’un telle spectacle qui n’était pas donné à tout le monde.

Il s’approcha pour y méditer, comment refusé devant un telle temple naturel. Lorsqu’il vue une ombre y reflétait à la surface de l’eau renvoyant les rayons du soleil pour atteindre les prunelles de l’homme qui admiré pour lui brûlé les yeux, jetant les yeux sur sa gauche pour y voir un peu mieux il se pencha pour voir ce que se renflait si chaud pouvait bien être, il vut un tsuba de forme rectangulaire avec trous à l’intérieur, à la couleur qui apparemment reflété la couleur de l’or. L’intrigue homme y plongea sa main pour attraper cette chose qui reposait tendrement au fond de l’étang. Il serra la chose fort dans sa main pour quelle prenne forme, il la retira doucement de l’eau pour ne pas crée de chocs accidentelles possibles.

Il y découvrit un resplendissant Katana avec une garde rectangulaire, la lame semblant forgée du meilleur acier, reflétant parfaitement la carrure que le Katana dégagé, son manche entourée du meilleur tissu, ainsi que, pour finir, son fourreau impeccablement poli, donnaient à cet objet de mort une élégance rare, ainsi que trompeuse. Ce sabre ne pouvait pas être tombé ainsi sur Izaki par erreur, était-ce un cadeau ? Un compagnon pour le suivre dans sa quête pour la paix du monde Shinobi ? Son cœur et son âme lui dictame de le gardé, comment aurait-il put refuser une telle chose.