*Tu ma manqué...Tu sais... j'ai même versé des larmes en pensant à toi...Cette absence ma paru une éternité... Que ferai-je sans toi dans le noir qui me sombre... Tu es ma seul lumière dans la pénombre... Que serai-je venu si je ne pouvais plus sentir ton odeur, si je ne pouvais plus t'admirer à toutes heures... Je deviens fou ? Sa fait seulement 7 jours que je l'ai quitter... Et pourtant konoha me manque tellement. Ces rayons de soleil qui s’immisce à travers le feuillage de nos arbres. Suis-je fou d'avoir autant de compassion pour mon village ? Où peut-être est-ce tout se voyage qui ma travailler ? Qui sais-je....* Je marchais dans les bois, de retour de mission, en écoutant les oiseaux siffloter cette merveilleuse mélodie qui s'alliais correctement avec le bruit des feuilles d'arbres qui se mouvaient sur le léger souffle de vents. Perdu dans toutes mes pensées aussi stupide les unes que les autres, qui d'ailleurs, m’amena directement à la question suivante: "Suis-je fou ?". Une question qui trouvera ça réponse uniquement si elle est traité d'un point de vue extérieur au mien. Donc je peux en conclure qu'elle n'aura jamais de réponse... Je profitais de ce magnifique paysage qui entour mon village natale, Konoha, ce qui ralenti particulièrement ma marche. Mais bon, pourquoi faire les choses rapidement alors que je peux les faire à ma vitesse tout en remplissant mes yeux des délices naturel. Tout mes sens étaient comblés, la mélodie, la vue admirable et l'odeur de la forêt qui envahissait mes narines. *Ah, ma flemmardise est de retour, moi qui pensais m'en débarrasser, roh allez une petite sieste sur une branche d'arbre ne fait pas de mal*Aussitôt pensée aussitôt fait, en deux trois mouvement j'étais en haut de cette arbres ,si immense comparé à mes un mètre quatre-vingt, le dos appuyé contre le tronc et mes jambes étendues de tout sont longs sur la branche. Je repartie dans mes songes...Flashback Il était huit heures tapante,mon réveil venais de me réveiller en sur-saut, les yeux s'entre ouvraient doucement sous la peur que le soleil vienne me brûler la rétine de bon matin, mais loin de là...Le ciel était nuageux, sa m'avais foutu le moral à zéro, heureusement que les gouttes ne se sont pas mises à tombées. Enfin bref, j'étais convoqué dans le bureau de mon grand Hokage, probablement une mission à me confier. Alors, à peine ayant fini de me frotter les yeux, je sauta dans mes affaires de façon pressé puis ralenti le mouvement d'un coup. Faut pas déconner, l'hokage a bien quelques minutes pour m'attendre... Alors, je pris une bonne douche, un bon bol de lait et pris la porte direction le bureau du chef! A peine rentrer que je me fis réprimander, j'étais en retard de seulement trente minutes! Après une bonne engueulade, le sujet plus sérieux arriva... L'hokage commença son discours:-Takeo... J'ai une mission pour toi, je tiens à te la confier personnellement, selon des sources il y aurai un petit campement au nord de Konoha dans la forêt... Je veux que tu aille là-bas et te renseigner sur une personne qui apparemment aurais déserté Suna et monterai une petite équipe de voyous! Et cette personne ne serais rien d'autre que ton petit frère...Yoko... Renseigne toi et fait le nécessaire pour le retrouver et le ramener à la raison. Entendre cela m'avais ému mais surtout attristé, mon petite frère..sa fait quatre ans que je n'ai pas de nouvelle de lui et j'apprend qu'il passe du mauvais côté...Délaisser la lumière en lui pour sombrer dans l'obscurité. Je n'avais pas le choix, je me devais de le remettre sur le bon chemin, c'est le rôle du grand frère. Mais pourquoi? Que c'est il passé pour qu'un jeune homme puisse tout laisser tomber et viré dans le mal ? Alors que la journée avait déjà mal commencer, apprendre ceci ne fut qu'empirer la chose... J'approuva la mission d'un signe de tête et fonça à ma demeure prendre quelques affaires... Ceci fait, je me dirigea en direction des portes du village, pour partir à la recherche de ce fameux campement. Pour une fois dans ma vie je ne parti pas en traînant des pieds mais au contraire en accélérant le mouvement, des tas de pensées se percutais dans mon esprit, des souvenirs, des images, je revoyais mon frère jouer, tout ceci m’imprégna d'une grande tristesse et je ne pu contenir mes larmes en moi. Des rivières trouvais le jour sur mes joues, mais étais-ce réellement de la tristesse ou au contraire du bonheur, la joie de me rappeler de joyeux moments.... Malgré toutes ces pensées aussi négative que positive, je sautais de branche en branche, déferlais la forêt à grande vitesse en ayant comme objectif principale: retrouver mon petit frère Yoko. Plus j'avançais et plus le beau temps apparaissait, les nuages laissaient petit à petit place à un ciel bleuté et à des rayons de soleil. Suite à une journée complète de marche -ou devrais-je plutôt dire de course- en ne faisant que très peu de pause, la fatigue s'installa et se fut ressentir sur mes capacités physiques, donc le campement s'imposa. La nuit s'annonçais fraîche et dormir sur une simple branche d'arbres n'aurais pas été ce qu'il y avais de mieux, pas d'autre choix que de monté la tente et roupiller comme un bébé jusqu'au levé du soleil... Le roucoulement du hibou laissa place aux sifflotements des piafs, cela signifiais que la lumière vit le jour et que le départ devais reprendre au plus vite. Après plusieurs jours de marche intensif à exploré la face nord de la forêt à la recherche de bandit quelque qu’on-que qui pourraient me donner des renseignements au sujet de Yoko, j'avais enfin une piste ! Je voyais de la fumée! Oui de la fumée d'un campement, je mis mon ouïe à l'épreuve pour tenté de les entendre parler...et ce fut le cas, je m'approcha discrètement des voix pour essayer de distinguer leur paroles, j'entendais deux voix différentes et un ronflement, trois personnes minimum sont ici. Je monta en hauteur pour voir ce qui se tramais, je constata également qu'il n'y avais que trois tabourets, c'était confirmée, il ne sont que trois. Je les écoutais sans bouger, attendre le bon moments pour agir jusqu'à ce que j'entendis un des trois loubards prononcé le nom Yoko. D'un coup de folie je me jeta sur lui, le tenant d'une mains prise à sa gorge. Mes veines ressortais, c'était de la colère, je laissais mes sentiments prendre le dessus, rien de bon! A peine l'étranglement commencé que ces deux camarade était debout en position d'attaque. Je me mis à hurler : -Que savais vous de Yoko? je veux tout savoir, c'est très simple bande d'abruti, c'est vos information contre votre vie!
-Hum...Yoko est notre maitre, tout simplement, nous acceptons de le suivre dans le but qu'il nous enseigne sont taïjustsu... Certes sont objectif n'a rien de noble, anéantir des shinobis tout cela uniquement parce que sont père fut envoyer à une mission suicide. Il se venge et nous l'aidons. La plus part des shinobis qui finisse bandit ont été déçu par leur villages. Et puis qu'est ce que sa peut te foutre Idiot! Je te raconte tout ceci car nous allons également te massacré !!
-L'idiot est simplement le frère de Yoko, bonne chance...*Comment mon frère peut-il être tombé aussi bas, s'allier avec des abrutis de ce genre... Pourquoi? je ne peut pas laisser faire ça. Je ne dois pas laisser mes sentiments prendre le dessus, relâche cet ignare et reprendre une discussion amicale et trouvons un arrangement... Mais le meilleur moyens pour que Yoko ne revienne pas les voir... c'est qu'il soit mort *Je serrai la gorge de mon ennemi de plus en plus fort et fini par lui brisé la nuque, une mort rapide et non douloureuse pour celui-ci. Un de moins, je fis quelque signe rapidement et cria "Doton - Hiru Banshou" un cailloux se souleva du sol et fonça s'incruster directement dans le crane du deuxième adversaire, qui celui ci tomba raide au sol, pendant sa chute, j'admirais l'hémoglobine sortir en masse de sa boite crânienne, j'étais fasciné! Je laissais mon esprit à un Takeo psychopathe. Si les deux premiers mort était rapide, le troisième sera autrement et deviendra mon jouets durant quelque instant. Je fis un Shibari genjutsu, j'envoyais mon ennemie dans une terreur inimaginable, dans un premier temps je lui repassais la vision de ces deux compagnons entrain de mourir et le suppliant de les aidés durant que lui est immobile... Quelle atrocité de voir ces amis mourir et de ne rien pouvoir faire, sachant que le prochain mort sera sois même. Après que les larmes commença à s'écouler de ces yeux je lui fis imaginer Yoko, son soit disant maître, le tabassant, le rouant de coup à la figure pendant cinq minutes. Et pour finir, il se voyais prendre feu doucement, ressentant la douleur, les flammes prendre le dessus de son corps... le feu, si magnifique mais à la fois si douloureux... Après quinze minutes de torture mentale intensive, je le libéra de se genjutsu pour le retrouver totalement paralyser de peur et de douleur au sol. D'un acte remplis de sympathie j'allais abréger ces pire souffrance en lui poignardant un kunaï dans le tympan. Fin Du Flashback *Pourquoi? oui, pourquoi j'ai réagi comme ça? Et surtout pourquoi j'y est pris goût? Le pire c'est que j'ai apprécier faire ceci...Ceci est tout mon opposé et je me suis laissé à mon côté obscure...Qu'est ce qui ne va pas chez moi?*J'étais déboussoler, je ne comprenais pas pourquoi avoir agis ainsi, moi qui préfère la diplomatie à la violence... Durant ces minutes, je m'étais transformer en un monstre avide de sang et de violence... Perdu, voila ce que j'étais, seul face à moi-même. Pensant qu'une gorgé de saké pourrait arranger les choses, je dé-bouchonna ma gourde et bue une grande gorgé de cette alcool. Je sauta de ma branche et repris ma route en direction de konoha qui ne se trouvais plus bien loin. Je mis dirigeais en traînant des pieds comme un enfant ayant fait une bêtise. Après une longue heure de marche, je me trouvais devant mon hokage et me posa la question crucial :-Alors Takeo, ta mission... comment c'est elle dérouler? as tu peut obtenir des information sur ton frère ?
-Hokage... J'ai réussi à trouver le campement qui se situais à environs deux jours de marche au nord de Konoha. Il y avait trois individus, à peine eu-je le temps de lancé une conversation qu'il se sont jeté sur moi au corps-à-corps. J'ai tenté de les calmés mais je n'ai pas eu le choix que de riposter et les attaquer, mon but premier était de les immobiliser mais ne se laissant pas faire je n'ai pas eu le choix...par survie...j'ai dû leur privé de la vie sans tiré aucune information... Je suis navré, mais en explorant leur campement j'ai pu trouver quelque paperasse où le nom de Yoko y figurais, j'ai bien peur qu'il se soit lancé dans une chasse au shinobis... J'avais dû mentir à mon hokage dans l'unique but de ne pas recevoir de sanction ou pire...devoir quitter mon village natale pour mes actes de barbarie! Je devais me comprendre, et comprendre pourquoi un tel agissant... Cela n'allais pas être facile, comme toute remise en question... |