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Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori}
Thrys Ω Hachidaime Kazekage Ω▌Sanction : Aucune ▌Messages : 2466 ▌Age : 30 ▌Inscription : 23/07/2010 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | :     (1133/2000) | Âge du personnage | : 20 ans  Sujet: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori}  Mar 12 Juil 2011 - 13:46 | |
| La situation était problématique... Voilà quelques temps que les ANBU de Suna envoyaient au Kazekage des nouvelles de l'extérieur. Ces tensions entre Konoha, Kumo et Kiri devenaient très difficiles à gérer, et tout présageait qu'un seul incident deviendrait la goutte d'eau qui fait déborder le vase... l'élément déclencheur d'un tout nouveau conflit... Le Village caché du Sable ne pourrait pas empêcher une telle catastrophe d'éclater, certes, mais il pouvait essayer de limiter les dégâts.
Assis derrière son bureau, le col du manteau déboutonné pour que l'on voit son visage, la tête reposant sur ses mains croisées sur le meuble, il écoutait avec attention ce que lui disait l'homme en face de lui. Choisi par tous les membres du Conseil de Suna, en accord avec les dignitaires du Pays du Vent, ce politicien ferait office de médiateur... d'ambassadeur, qui apporterait un message de paix à Kirigakure no Sato. La Mizukage actuelle, Akari Hasegawa, semblait très déterminée à vouloir pourfendre l'Hokage Fujita Kodo, et Suna devait tout faire pour empêcher une nouvelle guerre. Y prendre part serait impossible, et même suicidaire, compte tenu des récents événements qui chamboulèrent plusieurs choses au sein de Suna, voire même au sein de Kaze no Kuni. D'une oreille attentive, il écoutait son interlocuteur, qui lui expliquait comment il comptait remédier à cette folie :
" Maître Kazekage... Le Village caché de la Feuille est l'un de nos alliés... les laisser tomber en de pareils moments serait déshonorer nos accords... Je suscite donc de leur apporter une aide !"
Thrys décroisa la mains, leva la tête, et posa ses bras le long de la table. Il prit une grande inspiration, et annonça, sans détour :
" Participer à toute cette folie serait mettre en danger la sécurité de Suna ! Avec la passation du pouvoir, nous ne sommes pas en état de mener une guerre contre Kiri, qui plus est, est allié avec Kumo. Nos ressources sont diminuées, et nous devons revoir l'ensemble de notre défense et de notre politique. Je propose d'envoyer un émissaire sur les lieux pour parvenir à un accord avec l'investigateur de ce conflit : Akari Hasegawa.
- Vous laisserez tomber Konoha ?! Comment oseriez-vous rompre notre pacte d'amitié comme ça ?!"
Thrys se sentait agressé par un homme qui ne semblait pas comprendre ce qu'il se passait. Serrant les poings, il le fixa droit dans les yeux, et lui expliqua alors sur un ton déterminé :
" Notre Village court à sa perte si nous décidons de venir en aide à notre allié ! Ne pas leur venir en aide est d'une grande lâcheté, je suis d'accord, cependant, si nous faisons cela, nous pouvons nous attendre à des représailles ! Au lieu de nous jeter à corps perdu dans la bataille, nous devrions envisager une approche... diplomatique..."
Sur ces mots, le conseiller se rétracta, croisa les bras, et grommela quelque chose. Il soupira alors, et reprit alors la conversation :
" Bien... je suppose que nous ne pouvons pas y faire grand-chose... Je vais partir pour l'heure à Kirigakure no Sato, m'entretenir avec Akari Hasegawa...
- Sage décision, monsieur... je vais vous attribuer deux de mes éléments pour exécuter cette tâche. Les routes ne sont plus très sûres avec tous ces événements..."
Sans plus attendre, Thrys se leva, posa un rapide coup près de la porte, et scruta le garde qui attendait dans l'ombre la fin de la conversation. Il l'observa alors quelques secondes, et lui lança alors d'une voix calme et posée :
" Faites venir Moeko Takata, ainsi qu'Hisoka Satori, je vous prie..."
Sans dire un seul mot, l'homme hocha la tête, ouvrit la porte, et partit chercher les deux ninjas assignés à cette mission. Thrys retourna s'assoir sur la chaise derrière son bureau, et attendit la venue des deux Shinobis...
{A suivre !}
RP court, puisque je ne fais que vous donner la mission... |
| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Mar 12 Juil 2011 - 15:43 | |
| Assis sur le toit d’un immeuble de Suna, une silhouette observait en contre bas les passants qui parcouraient le marché du village, beaucoup d’entre eux se stoppaient, restaient plusieurs minutes à observer des produits sans pour autant en acheter, ce qui, à la mine des marchands les dépitaient. Ils ne se laissaient cependant guère aller, ils reprenaient presque aussitôt leurs cris attracteur, vantant leurs produits comme uniques. C’était amusant de les voir se tirer la bourre pour savoir lequel parviendrait à tirer son épingle du jeu. Force est de constater que le plus souvent tout ceci relevait surtout du hasard. Un sourire étira les lèvres d’Hisoka. Le jeune homme était habillé d’un pantalon sombre, des protections en cuirs recouvraient ses cuisses, ainsi que ses mollets. Il portait une poche à rouleau dans le bas de son dos, au niveau de ses fesses. La partie supérieure de son corps était recouverte d’un t-shirt brun renforcé par des lanières de cuirs censés protéger les endroits vitaux. Il portait des gants en cuir, le dessus était recouverte d’une plaque de métal, ils remontaient jusqu’à la moitié de ses avant-bras. Son t-shirt était recouvert de plusieurs morceaux de tissu de couleur sombre pour protéger sa peau des rayons du soleil. Cependant, on pouvait facilement distinguer les courbes de son corps athlétiques, ce genre de tenue était souvent utilisés par les voyageurs, portés en dessous des capes du désert, elles permettaient de tenir la distance sans avoir véritablement chaud. Bien que l’efficacité des tenues récupératrices d’eau était bien plus importante. Il était dommage que son ancienne tenue, celle qu’il avait utilisé pour traverser la mer de sable il y avait de cela dix années ne soit plus à sa taille. Contemplant de nouveau le marché, il maudit légèrement ces revendeurs, qui se prônaient qu’ils avaient tout est n’importe quoi, mais qu’ils ne vendaient pas la seul chose véritablement utile dans le désert. Cependant il savait où s’en procurer, dans le désert profond, seuls les nomades connaissaient le procédés de fabrication est ils ne le vendaient pas à n’importe qui… Il y avait peu de chance qu’il récupère un jour un tel habit. Cette pensée le rendit maussade.
Il laissa un soupire s’échapper de sa bouche, puis se redressa finalement, passant sa main droite sur son genou, il prit appuis avec l’autre, puis se releva. A présent il pouvait même distinguer les murailles du village, ses yeux se froncèrent en voyant ce spectacle, cependant il ne laissa aucune pensée agiter son esprit. Ces derniers jours n’avaient pas été facile pour lui, il était en pleine introspection depuis le départ de la maison de Moeko, il y avait de cela un peu moins deux semaines. Le temps avait passé, il avait pris suffisamment sur lui, se remémorant à chaque instant de calme son entrevue avec la jeune femme, ainsi que les rêves qui découlais de tout ceci. Il se sentant bouleversé dans les fondements même de tout ce qu’il avait appris, les premiers jours avaient été très compliqué à vivre, plusieurs fois il s’était retenu en revenant de mission, ou en pleine nuit, de retourner la voir, sa présente lui procurait une chose qu’il avait perdue il y a bien longtemps. Cependant il savait une chose, c’était que pour l’heure il ne devait pas la revoir, cela ne changerait absolument rien, il devait prendre le temps de remettre ses idées en place, d’accepter que tout ce qu’il avait vécu n’était pas vraiment ce qu’il avait désiré. Que sa nouvel personne devait prendre le pas sur l’ancienne, apprendre de ses erreurs pour ensuite naître de nouveau. Il avait eu cette étrange sensation en arrivant ici, sa seconde vie… Il s’amusa en pensant qu’il était bientôt près à débuter sa troisième, il se compara au phénix, en définitive il laissait une parcelle de son âme s’éteindre, pour que son esprit s’adapte pour faire renaître celui qu’il était vraiment. Depuis le début de la semaine, il ne faisait plus de rêve, ses nuits étaient d’une tranquillité assommante, tout comme sa manière de voir ce qui l’entourait. Le changement s’opérait… Il ne partagerait sans doute jamais la religion de Moeko, mais certaines croyances ne dépendaient nullement d’un caractère religieux, il pouvait apprendre le calme, la stabilité de son être, il ne s’en priverait pas.
Il sortit de ses pensées, il observa le ciel, d’un bleu éclatant, il n’y avait presque aucun nuage, le soleil était haut dans le ciel, l’après-midi s’annonçait très chaud, il se demanda l’espace d’un instant ce qu’il allait pouvoir bien faire, il n’avait aucune mission d’assigner. Ce qui n’était étonnant, dernièrement le Kazekage avait été remplacé, l’ancien, qu’il n’avait jamais véritablement eu la chance de rencontrer avait été remplacé par un homme avec qui il avait fait équipe. Thrys, il avait pu lui parler lors du retour de sa mission, il lui semblait très capable, mais comme il l’avait souvent lu, les changements politiques ralentissaient forcément l’activité d’un village. Il faudrait plusieurs semaines, voire plusieurs mois pour que tout ceci se stabilise. Suna n’était clairement pas dans une bonne passe, avant le changement de Kage tout n’était pas vraiment rose, mais à présent les cartes étaient redistribuées. De ce qu’il avait entendu en bruit de couloir, certains ninjas considérait le nouveau Kage comme trop inexpérimenté pour régner, c’était vrai qu’il était jeune… Mais dans des temps bien plus reculés certains chef de clan avait à peine dix ans avaient mené leurs troupes avec succès pendants plusieurs longues années. Hisoka avant de critiquer attendrait de voir ce que cela donnerait, la patience avait des vertus, il était inutile de se précipiter, la réalité n’était pas toujours tel qu’on l’imaginait, c’était notre propre conception de celle-ci qui la définissait, si nous devions abattre les murs conventionnel qui étreignait nos esprits, il fallait voir avec un tout nouveau regard chaque situation. On ne pouvait comprendre un processus en l’interrompant, la compréhension devait rejoindre le cheminement du processus pour grandir avec lui, ainsi nous pouvions donner un véritable regard sur une situation donner, délimiter, sans pour autant se mettre des œillères.
Le jeune homme sauta d’un bond habile du toit, il atterrit au milieu des passants, sa maison qu’à quelques pâtés de maison, marcher lui ferait le plus grand bien. Quelques personnes l’observèrent lorsqu’il tomba au milieu de la rue, sans pour autant montrer un signe d’étonnement, les ninjas aimaient souvent faire cela, ils le savaient tous. Est puis tout le monde le connaissait dans le coin, il fréquentait souvent cette parcelle du marché. Il salua quelques connaissances, puis plaça ses mains dans ses poches, en arpentant la rue lentement. Il observa les étalages qui se présentaient autour de lui, bien qu’il voyait bien plus les personnes autour de lui que les produits en eux même. Une échoppe attira particulièrement son attention, haussant un sourcil il s’avança vers le regroupement de personnes qui étaient en train de marchander. Il tenta de voir par-dessus le groupe sans réellement comprendre ce qui déchaînait les passions. Après quelques minutes de traversé, quelques bousculades, quelques grognements, il parvint à se hisser au second rang, il avait une bien meilleur vue sur l’étalages de marchandises. Il se laissa aller à un gloussement en voyant ce que le marchand vendait. Des places pour un spectacle ? Voici quelque chose d’inhabituel, Hisoka écouta la description que faisait le marchand à propos de la troupe qui allait se reproduire. Il s’agissait de saltimbanques qui faisaient le tour du monde. Un homme a côté de lui, outré de voir qu’il ne connaissait pas cette troupe lui expliqua brièvement leur particularité. Ils mêlaient le Ninjutsu, avec des danses est des pièces de théâtres, d’après ses mots, ils étaient capable de transcender l’imaginable pour imposer leurs sentiments dans le corps de chacun. Haussant les épaules, le jeune homme laissa sa place à ceux qui ne cessaient de le pousser depuis tout à l’heure, puis sortit finalement de l’attroupement. Il se dirigea finalement vers chez lui.
Après un petit quart d’heure de marche, le Jounin parvint dans la rue où se trouvait sa bâtisse, ici tout était déjà plus calme, il détailla rapidement la rue, il y avait quelques enfants qui s’amusaient, un vieil homme assis sur un banc les observant, un groupe de femmes en train de parler entre elles, ainsi que des hommes affublés à réparer un toit un peu plus loin. Tout était si calme, prenant une bouffée d’air, le ninja finit par s’avancer. Il gravit rapidement les escaliers qui le menaient à son appartement. Sautant les marches deux par deux, il se retrouva devant sa porte d’entrée en quelques secondes. Pénétrant à l’intérieur, il apprécia la fraicheur conservé dans sa maison, s’approchant de la table au centre de la pièce, il porta sa main à la poche à rouleau pour la détacher de son bassin, cependant quelqu’un frappa au même moment à la porte. Ses yeux se froncèrent de nouveau, il laissa quelques secondes passés, puis plusieurs coups dans la porte tintèrent de nouveau dans l’appartement. Il savait à ce moment précis que son après-midi de repos était déjà terminer, les rares visites qu’il recevait était toujours faites par des envoyés des conseillers, du bras droit du Kazekage, il reconnaissait entre mille le poing du ninja venant chercher quelqu’un. Abandonnant la main qui était posé sur sa ceinture, il s’avança vers la porte, de nouveaux coups frappèrent, il ouvrit la porte au même moment ou la main de l’homme qui était derrière allait de nouveau s’abattre sur la porte en bois. Il s’agissait d’un ninja, comme il en était sûr, en tenue complète qui plus est, il savait pertinemment ce que cela voulait dire, un envoyé du manoir du Kage.
L’homme se présenta rapidement, il était envoyé par le Kazekage en personne. Cette information intéressa le jeune homme qui ne cacha pas sa surprise en haussant un sourcil de stupéfaction. Il lui demanda de se rendre directement dans le bureau, que tout ceci était urgent. Il lui demanda également de prendre immédiatement des affaires, qu’il allait certainement devoir partir immédiatement après. Il le remercia de l’information, puis referma la porte, il s’approcha de son armoire, en tira une cape brune couleur sable. Il la passa autour de ses épaules, lia les attaches l’une dans l’autre au niveau de son épaule droite, fit quelques mouvements pour observer qu’elle n’entravait pas ses mouvements, puis observa son appartement. Il fit rapidement le tour de celui-ci, sortit des vivres, de la viande desséchés, de l’eau gardés dans une gourde en terre, des nécessaires de soin, ainsi que quelques autres objets importants, puis il prit un parchemin vierge qui était en bas de son dos sous sa cape, l’ouvrant habilement, il composa plusieurs signes, puis posa sa main dessus. Des signes se formèrent sur le papier blanc, alors que les objets qu’il avait préparés disparaissaient à l’intérieur du sceau nouvellement formé. Refermant le parchemin, il le fit rouler dans sa main puis le rangea.
Il se dirigea finalement vers la sortie de son appartement, refermant la porte derrière lui, il descendit les escaliers, les gens présents dans la rue avait vu l’envoyé venir chez Hisoka, à présent il observait l’homme affublé de sa désormais légendaire tenue de mission partir en direction du manoir du Kage. Le vieil homme lui fit un signe de tête, en passant près du groupe de femmes, celle-ci l’observèrent en lui sautant bonne chance, il les remercia sans s’arrêter, conscient que cela devait être une affaire très urgente. En faisant le chemin, il ne put s’empêcher de penser que quelque chose de grave devait s’être produit, Thrys, enfin le Kazekage qui envoyait directement un dépêché pour venir le chercher. Jamais il ne s’était fait convoqué par le chef du village, il avait toujours été contacté par Ryu Datenshi. Il décida finalement de ne pas supposer, cela ne servirait à rien, il serait de toute manière bientôt fixer sur l’origine de cette appel. Il prit finalement appuis sur le sol, puis sauta en direction d’un toit, en coupant il irait bien plus vite, bond après bond, il sautait de toit en toit, son ombre apparaissant en contre bas, ce qui attirait l’attention des passants les plus observateurs qui observaient immédiatement vers le ciel. En a peines quelques minute, le jeune homme venait de traversé la ville, se retrouvant sur une maison en face de la tour ou régnait le Kazekage. Il n’y était pas retourné depuis le changement, tout semblait si calme, d’habitude tout grouillait de vie, il n’y avait tellement d’indice montrant que les missions n’étaient pas légion en ce moment.
Bien entendu rien d’anormal, les particuliers qui demandaient des missions à Suna, tout comme les nations subordonnés au village du sable, devaient voir que la puissance du village était toujours intacte. C’était triste, mais en tout temps la confiance tenait sur la durée, l’homme avait plus tendances a accordés sa confiance lorsqu’il voyait quelqu’un tenir un poste pendant longtemps. C’était ainsi qu’entrait un jeu les facteurs politiques, sociales est stratégique pour l’élection d’un nouveau chef. Pour remplacer quelqu’un qui avait tenu un poste durant une longue durée, il fallait choisir du sang neuf, capable de résister aux années, d’instaurer une politique stable, de courtiser la confiance de nouvelles personnes, tout en conservant celle des anciens alliés. Tout ceci en étant capable de soutenir le poids du changement qui effrayait d’une manière maladive l’homme en général. Le facteur de l’inconnu était sans doute le plus terrifiant pour notre race. Une faiblesse indélébile en somme. Tout ceci nous liaient a la recherches constantes de notre besoin primaire, le changement effraie l’homme, par conséquent, il cherche de manière frénétique dans ce même futur ce qui pourrait lui permettre de ne plus avoir peur. Idiot qu’est l’homme, chercher dans le futur, c’est repousser le moment ou les choix doivent être fait. Finalement, la plus part des gens passent leur vie en cherchant toujours quelque chose d’autre, ils traversent l’existence persuadés que leurs objectif est éloigné alors que tout autour d’eux se trouve la clef de leur changement. Sortant de ses pensées, Hisoka sauta finalement du toit, puis une fois dans l’allée principale s’avança vers l’entrée.
La secrétaire, en voyant arrivé le Jounin le salua poliment d’un signe de tête, elle avait pris l’habitude de le voir arrivé ainsi, il était souvent appelé lorsqu’il devait ne pas être là. Ce qui la faisait souvent sourire, s’en suivait généralement quelque moquerie sur la chance du jeune homme, cependant aujourd’hui fit exception. Son visage était grave, ce qui indiqua à Hisoka à quel point la situation devait être critique. Elle lui pria de rejoindre directement le bureau du Kage. " Allez tout au fond, puis tournez sur votre droite Hisoka-San. Les gardes vous laisseront rentrés. S’il vous plait, hâtez-vous. "
Il observa la jeune femme, elle semblait terrifiée, qu’est ce qui pouvait bien avoir un tel effet sur elle ? Il fit un signe de tête sans prendre le temps de répondre, puis se dirigea vers le fond du couloir. Le manoir était presque vide, quelques dignitaires, quelques anciens, ou conseillés étaient présent, mais comparés a d’habitude tout ceci était d’un vide affligeant. Hisoka parcouru la distance entre l’entrée et les imposantes portes du bureau en quelques secondes, quelques gardes se trouvaient présent, donc celui qui était venu le chercher, les deux hommes se firent un signe de tête, alors que le garde s’acquittait déjà d’ouvrir la porte, juste avant, il se tourna vers Hisoka, lui demandant d’attendre que Thrys prenne la parole avant de parler. Hochant la tête, il prit note de cette remarque bien qu’il soit déjà au courant des convenances envers un supérieur. Juste avant de pousser l’imposante porte en bois, il lui signala qu’un second ninja devait arriver. Cela piqua sa curiosité, qui cela pouvait-il bien être ? Une mission en duo ? De quoi pouvait-il bien s’agir… Finalement la voie fut dégagée. Hisoka remercia les deux gardes, puis entra dans le bureau. Il le détailla rapidement en le parcourant d’un regard, un imposant bureau, beaucoup de paperasse, une décoration rapide, on pouvait voir que le nouveau Kage venait seulement de prendre ses fonctions. Le jeune homme s’avança jusqu’au centre de la pièce, se stoppant a dix pas du bureau, il baissa légèrement la tête en signe de respect vers Thrys, puis vers un autre homme, qui de toute évidence était tout sauf un Shinobi. Ce dernier détaillait Hisoka avec assistance. Peut-être était-ce lui le client de la mission ? Le Jounin reporta finalement son attention sur le Kazekage, puis prit la parole. Malgré le code, il coupa l’herbe sous le pied de son interlocuteur, ce n’était nullement une preuve d’irrespect, mais au vue de la réaction de toutes les personnes présentes, la situation semblait grave, il fallait savoir s’adapter aux circonstances. " Kazegage-Sama, vous m’avez fait demander ? " Au même moment, il put entendre des brides de discussion derrière la porte, les gardes semblaient parler à quelqu’un, son regard se porta vers la porte, tout en faisant face au Kage. Son coéquipier pour cette mission ?
Dernière édition par Hisoka Satori le Dim 17 Juil 2011 - 19:09, édité 1 fois |
| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Jeu 14 Juil 2011 - 17:09 | |
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Ce matin là, le jour avait commencé très tôt pour moi. Comme avec une certaine habitude, j’avais pris une autorisation de sorti pour quitter le village, pour pouvoir refaire ma réserve de plante du désert. Officiellement, ses herbe faisait parti de rituel Zenchist, se qui n’était pas faut, officieusement, ses herbes pouvait plus être classé dans le psychotrope qu’autre chose. Illégale ou simplement introuvable, j’allais moi-même les chercher dans le désert. Mes yeux habitué au étendu sableuse savait reconnaitre les emplacements ou les plante poussait. Un profane aurait pensé que le désert est vide de toute vie, alors qu’un autochtone sait que la vie est partout, mais que comme l’homme, elle se cache du soleil brulant qui aurait tôt fait de la bruler. Les structures rocheuses contenaient des tunnels creusé par le vent ou de simple niche, protégé du soleil et nourrie par la condensation, les plantes voyaient le jour dans ses endroits.
Pour marcher dans le désert, j’affectionnais ma tenue de nomade. D’un point de vue théorique, je n’en avais plus besoin, j’avais des réserves d’eau à outrance, comme la plus part des sédentaires dans les zones civiliser. Mon corps était gorgé d’eau et ma tenue était plus pour le folklore que pour ma survie. Je me sentais plus vivante dans cette tenue, plus moi-même, plus nomade. Ma liberté me manquait, ainsi que mon clan, mais pour leur liberté, je me devais d’être ici au service du corps shinobi du pays du vent, c’était ainsi et je ne me plaignais pas de ma situation, je faisais se qui devait être fait. Récemment, le village avait subie quelque changement qui avait bousculé quelque peu les habitudes des shinobi, un nouveau Kage avait été nommé et les critique positive et négative avait tôt fait de se répandre dans tous le village. Moi, je n’en avais pas grand-chose à faire, je faisais mon devoir ni plus ni moins et ses futilité, car sa en était a long terme, ne m’intéressait pas plus que cela. De plus j’évitais de jugé un homme sur de simple rumeur ou seulement sur son âge.
La matinée avait été satisfaisante, la cueillette été abondante. Voilà déjà bien quelque temps que je connaissais tout les coins ou poussait les herbe que je cherchais au alentour du village cacher de Suna. J’en avais même planté moi-même dans certain endroit pour donner un petit coup de pousse à l’écosystème fragile du pays du vent qui peine à s’étendre. En tant que nomade, j’avais appris à préserver et aider l’écosystème dans les régions les plus brulantes du désert. Je savais reconnaitre les bons endroits, les coins d’ombre, tendre des piège a vent pour nourrir les plantes par la condensation, piéger l’humidité de l’air pour aider au développement. Dans la région du village caché, la chose était plutôt facile, le soleil n’était pas aussi dangereux et l’air moins sec, de plus il existait de nombreuse source souterraine. De mon point de vue, c’était un endroit fertile à souhait.
En retournant vers le village, je mis toute ma cueillette dans un sac. On ne me fouillait pas au porte de Suna, mais je préférais ne prendre aucun risque, j’ignorais se que pouvait être la réaction de mes supérieur si on me surprenait avec des plante illégale et souvent classé dans les drogue dur. Je préférais donc éviter tout problème. Je décrochai alors, sur mon bras gauche, une parti de ma Tekika, ma tenue du désert, pour avoir accès au tatouage qui se trouvait sur mon avant bras. Je fis ensuite quelque saut rapide avant de mettre en contact le sac d’herbe et le sceau. Le sac se volatilisa alors se retrouvant sceller dans mon sceau jusqu'à se que je l’invoque. Je remis ensuite soigneusement en place ma Tekika qui me recouvrait entièrement des pieds au menton, une tenu a même le corps épousant les formes de sont porteur pour en conserver la moindre goutte d’eau. La Tekika possédait aussi une poche dans le d’eau ou s’accumulait l’eau, un masque facial permettant de sauver l’humidité du souffle de son porteur et un labyrinthe complexe de tuyaux, telle des veines distillant l’eau du corps pour la purifier et rejetant les déchets par une petite valve au niveau de la cheville droite. Les Tekika était une tenu que tous nomade du désert profond, plus que par tradition, c’était par survie. Les réserves d’eau d’un nomade se trouvent dans son corps et le perdre c’est mourir. Les Tekika était donc de conception complexe et soigner, prouvant du savoir faire des nomades.
Sa ne fut qu’a l’approche que je retirai mon masque le rabattant par-dessus mon épaule pour le fixé dans mon dos pour qu’il ne me dérange pas. A ma grande surprise, mon arrivé semblait créé un certain remue ménage parmi les sentinelles veillant sur les portes du village. Je vis l’un d’entre eux me pointer du doigt, avant qu’un second ne se précipite dans la cabane de la garde. A peine dix seconde plus tard la sentinelle et un autre homme en sorti et ce dernier se précipita vers moi. Je me demandai se que pouvais signifier toute cette agitation et surtout pourquoi en étais-je la cause. Je continuai à m’approcher sans crainte, quoi que se soit, cela ne pouvait être une véritable menace pour moi. Je laissai donc l’homme arrivé a moi sans accéléré pour lui raccourcir son trajet.
- Moeko Takata, enfin, cela fait un petit moment que je vous cherche et je craignais que vous ne reveniez pas avant plusieurs heures. Le Kazekage vous a fait appelé dans on bureau, vous êtes déjà en retard vue le temps que j’ai mis pour vous trouver. Pressez-vous vers le palais en vous attend de toute urgence.
Je fus plutôt étonner de tout se que le messager venait de me débité à moitié essouffler et je voulu posé quelque question, mais je fus mise au silence d’un mouvement de la main agacé du messager qui me fait rapidement comprendre qu’il ne savait rien de plus et que je devais me hâter. Quelque peu prise par surprise de cette nouvelle, je laissai sur place le messager pour partir au pas de course vers le palais du Kage. Il ne semblait pas du totu plaisanté en me disant de me dépêcher, je pris donc au sérieux son ordre de me hâter. Je franchis les portes au pas de course, sans qu’aucunes sentinelles ne disent quoi que se soit. Ils étaient sans doute au courant de ma convocation vue que le messager était venu leur quérir de mes nouvelles, ils savaient donc que je n’avais pas le temps de m’arrêté au poste de garde a l’entré.
Une fois a l’intérieur de Suna, je chargeai mon corps de chakra et bondis pour pouvoir avancer plus facilement sans rencontré personne sur les toits. La curiosité autant que le messager me pressaient en avant, je me demandais se que pouvait bien me vouloir le Kage et a mon souvenir, depuis que j ‘étais une Kunoichi, jamais je n’avais été convoqué directement par le Kazekage et encore moins de manière si pressante. Prenant appuis sur un pignon, je me lançais en avant pour atteindre les toits d’une autre série d’habitation me conduisant droit au palais du Kage. Même le jour de ma promotion au rang de Chuunin, les autre nominer et moi-même avions été convoqué par le second de Kage et non par lui. Je trouvais tous cela étrange et intéressant à la fois. Mais rien ne servait de faire des spéculations, j’avais trop peu de donner pour pouvoir deviner quoi que se soit.
En arrivant au bout de la série d’habitation, je pris mon élan pour me jeté dans le vide et finir par une roulade pour amortir le choc. J’avais fais plutôt vite pour traverser le village, le messager avait du a penne retourner au porte de Suna. Je pris tout de même un petit moment devant les gardes du palais quelque peu surpris de mon arrivé, pour épousseté mes vêtement, pour être un minimum présentable. Ma Tekika, lisse et moulante, ne laissais pas la saleté s’accrocher, mais je tentai d’évacuer ua maximum le sable de mon short et de mon haut, j’assurai ensuite les accroche de mon épée que j’avais presque tout le temps avec moi et franchie les portes sous l’œil quelque peu amusé des gardes. En arrivant a l’intérieur, la secrétaire, que je croisais souvent quand j’allais prendre ou rendre mes ordre de mission, me fis un petit sourire tout en m’indiquant la direction ud bureau du Kage, me faisant comprendre que j’avais un peu de retard. Je gravie alors deux a deux les escaliers franchie les différentes antichambres occupé ou non pour me présenter devant la porte du bureau de Kage. Je franchis alors la dernier garde qui m’ouvrit la porte pour me laisser entrer.
En entrant dans le bureau, mes instinct de combattante enregistrai tout de suite tout les détaille de l’endroit, la position de meuble, les différente sorti, les différents angles mort et surtout els différente personne présente. Le Kazekage se trouvait là, depuis sa nomination je ne l’avais vue que durant la nouvelle promesse de loyauté qui faisait parti de la cérémonie de promotion, un autre homme se trouvait un peu a l’écart du bureau, je ne l’avais jamais vue mais il n’avait pas l’apparence d’un combattant. Un troisième homme se trouvait en face du Kazekage, il me tournait le dos mais avais sa tête tourné vers moi, je reconnu tout de suite Hisoka Satori, l’homme qui avait débarqué chez moi en pleine nuit. Je savais que nous finirions par nous revoir. Je m’avançais alors dans la pièce, me mis a la hauteur d’Hisoka et m’agenouilla en baissant la tête attendant qu’on demande mon intention.
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Thrys Ω Hachidaime Kazekage Ω▌Sanction : Aucune ▌Messages : 2466 ▌Age : 30 ▌Inscription : 23/07/2010 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | : (1133/2000) | Âge du personnage | : 20 ans | Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Ven 15 Juil 2011 - 0:11 | |
| Voilà quelques secondes que Thrys avait demandé à l'un de ses subordonnés d'aller quérir les deux ninjas, si bien que le messager était parti en trombes dans les couloirs du Palais Kazekage. Ses pas résonnaient dans tout le bâtiment, et bientôt, après plusieurs tremblements, le bruit cessa... sans doute était-il enfin sortit du Palais ! Thrys, qui patientait assis sur sa chaise, croisa les bras, s'enfonça le plus qu'il pouvait dans le siège, et attendit... l'information ne devrait pas tarder à passer, et le message serait transmis en moins de temps qu'il ne faut pour le dire ! Voyant que son interlocuteur semblait s'ennuyer, il priait pour que les deux ninjas qu'il avait choisis pour cette mission n'allait pas tarder. Gardant son impassibilité qui avait fait de lui un homme plutôt sombre et mystérieux, il ferma les yeux, et imaginait les choses qu'il devra mettre en œuvre pour la bonne marche du Village caché du Sable. Désormais, c'était lui qui était aux commandes... Il y avait tant de choses à faire, cela, il en était parfaitement conscient... mais difficile de savoir par où commencer. Cette mission à Kirigakure no Sato était cependant un excellent début ! Il fallait essayer de limiter les dégâts, et éviter que la guerre ne se propage de trop. Il lui fallait par la même occasion renouveler les pactes et les accords avec ses autres voisins, les pays qui n'apparaissaient pas comme de véritables puissances, mais qui savaient se rendre utiles en temps voulus... après tout, en ce monde complexe, il fallait posséder dans son jeu quelques alliés, influents ou non...
Soudain, après quelques minutes d'attente, Thrys entendit résonner derrière la porte la voix de l'un de ses gardes, qui semblait converser avec un nouvel arrivant... quoique ''converser'' n'était pas le mot approprié à la situation. Non, l'homme lui avait, si notre ninja avait bien entendu, prodigué un conseil, comme quoi il devait attendre que le Kazekage prenne la parole, pour ensuite s'exprimer à son tour. « Je passe pour un dictateur... enfin bon... » songea le Shinobi du Sable en affichant un sourire amusé, et en se massant le front à l'aide de sa main. Puis, la porte s'ouvrit, et un jeune homme, ayant entre dix-huit et vingt ans... tout comme Thrys d'ailleurs. Une chevelure plutôt noire et sombre couvrait le haut de son crâne, et qui se terminait sur le long de son cou en fines mèches. Aucune attitude particulière, si ce n'est un certain respect envers son supérieur hiérarchique. Voilà ce que Thrys n'aimait pas énormément dans ce rôle : être considéré comme quelqu'un de plus puissant, de plus responsable... Le Kazekage, après avoir ouvert les yeux pour observer l'arrivant des pieds à la tête, afficha un sourire, heureux de rencontrer à nouveau un camarade de mission. « Hisoka Satori... » songea-t-il en se rappelant la mission qu'ils avaient effectués à Yutakana, en compagnie d'Akimoto. Suite à son entrée, le jeune homme s'avança au centre du bureau, s'arrêta un peu avant le meuble principal de la pièce, et inclina légèrement la tête, saluant ainsi Thrys avec respect. En retour, l'intéressé hocha la tête, lui rendant ainsi ses salutations. Après avoir observé la pièce, Hisoka fixa de nouveau son attention sur le Kazekage, et lui dit alors d'une voix calme et posée :
« Kazekage-Sama, vous m’avez fait demander ? »
Alors que Thrys allait répondre à cette question, de l'agitation se fit entendre de l'autre côté de la porte. Les gardes parlaient avec un nouvel arrivant, si bien que notre ninja s'attendait à voir surgir le second Shinobi assigné à cette mission d'escorte. Enfin, la porte s'ouvrit une nouvelle fois, et une jeune femme pénétra dans la pièce. Tout comme le précédent, elle devait être âgée d'une vingtaine d'années au maximum. Thrys restait perplexe... voilà quelques jours qu'il épluchait les fiches ninjas de ses effectifs, et il ne cessait de remarquer que tous les Shinobis sous ses ordres étaient d'un rang assez élevé, et d'un jeune âge. Rang A et âgée de vingt ans... Rang A et âgé de vingt ans... Voilà pour ces deux là, Moeko Takata et Hisoka Satori... Sans perdre une seconde, la nouvelle arrivante s'avança alors, s'agenouilla, inclina elle aussi la tête, et ne bougea plus d'un cil, attendant qu'on la congédie de tous mouvements militaires. « Et voici... Moeko Takata... » songea-t-il en voyant la kunoichi s'agenouiller tranquillement... Durant ce court instant, Thrys examinait la ninja, voulant se faire une idée de chaque Shinobi qui allaient travailler pour lui... ou plutôt, qui allaient travailler pour le village. D'une taille ni trop grande ni trop petite, Moeko ne semblait pas très complexée par cela, et l'assumait parfaitement. Partant du haut du crâne jusqu'au milieu du dos, une longue chevelure noire coiffait sa tête. Ce n'est, qu'après quelques secondes, que notre Sunajin prit la parole, afin de saluer les deux nouveaux arrivants :
« Bien... Voici Moeko Takata et Hisoka Satori, les deux ninjas qui vous escorteront... »
Sur ces mots, la jeune fille se releva, et vint se placer aux côtés de son futur coéquipier. L'ambassadeur, chargé de la mission diplomatique, observa ses deux gardes du corps, et resta silencieux. Thrys décroisa les bras, et colla bout à bout ses doigts, prenant une posture montrant ainsi sa conviction. Il n'avait pas choisi ces deux ninjas au hasard, loin de là. Convaincu de leurs capacités, ils mèneraient à bien leur mission... Il afficha un léger rictus de satisfaction, et annonça alors sur un ton très serein :
« Vous serez en parfaite sécurité, je m'en porte garant ! »
Sur ces paroles, le conseiller se leva, remercia le Kazekage, et sortit du bureau, accompagné de quelques gardes. Avant sa sortie, il annonça qu'il lui fallait régler quelques affaires en cours, et que dès que cela sera terminé, le groupe pourra partir pour le Pays de l'Eau. Restant seul avec les deux ninjas ainsi qu'un garde toujours dissimulé dans l'ombre, Thrys en profita pour expliquer l'objectif de mission aux Shinobis, ainsi que la situation actuelle des choses :
« D'après nos ANBU disséminés un peu partout, les relations qui lient Kiri et Konoha sont au plus mal... certains envisagent même l'éclatement d'une guerre entre les deux nations. Cependant, comme vous devez le savoir, la situation du Village caché du Sable est plutôt houleuse, suite à divers changements politiques... C'est pourquoi, nous suscitons une approche diplomatique entre le Sable et le Brouillard... L'homme que vous venez de croiser est l'ambassadeur qui ira porter notre message de paix, afin de calmer les tensions actuelles... Votre mission est simple : escorter cet homme, et faire en sorte qu'il arrive à bon port, et si possible, en un seul morceau... »
Il lança alors un regard aux deux ninjas, qui ne semblaient pas perdus suite à ce petit exposé introductif. Il ajouta alors d'une voix calme « Vous avez des questions ? », et ne reçut aucune réponse, si ce n'est un hochement de tête négatif de la part des Shinobis du Sable. Voilà qui était parfait ! S'emparant du document officiel dans lequel était retranscrit l'objectif de la mission, il l'obsera quelques secondes, puis le tendit devant lui, afin que l'un des deux ninjas ne le récupère. Hisoka prit l'initiative, et prit le rouleau de parchemin, et le rangea. Thrys termina alors cette réunion :
« Vous travaillerez en duo, je ne vous impose pas de chef d'équipe, ni quoi que ce soit d'autre... bonne chance ! »
Sur ces mots, Hisoka et Moeko remercièrent le Kazekage, puis sortirent à leur tour de la pièce. Thrys, quant à lui, se replongea dans sa paperasse, et se prépara alors à organiser son temps, de façon à ne pas être submergé de travail...
La mission des deux Ninjas du Pays du Vent allait pouvoir débuter !
A suivre ! =) |
| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Ven 15 Juil 2011 - 13:15 | |
| L’homme qui se tenait à la gauche du Kazekage était un politicien, c’était aussi clair que l’eau de roche, les yeux du Jounin avait balayé la pièce en un instant, tout ce qui le préoccupait c’était cette personne. Que faisait-elle ici ? Les personnes à escortés ne se trouvaient jamais dans le bureau du chef du village, pourquoi lui avait un passe-droit ? Hisoka ne laissa rien voir de sa réflexion, se contentant d’observer silencieusement. Il reporta ensuite son attention sur Thrys, il respirait de lui un certain charisme, malgré ce qui se disait sur lui dans le village, malgré que son élection avait scindé l’opinion public. En voyant cet homme, d’à peu près son âge, assis derrière ce bureau immense, il pouvait voir l’avenir d’un Suna radieux. Bien sûr tout ceci serait difficile, mais un nouveau sentier était en train de se créer, l’arpenter serait dur, ne pas en tomber tout autant, mais le village reprendrait des forces, cela était aussi sur que la lune laissait place au soleil chaque matin. Le Jounin occulta presque le fait qu’une autre personne était attendue, il était resté droit comme un i devant les deux hommes qui le fixait, de son hochement de tête envers le Kage, celui-ci lui répondit de la même manière. Patientant quelques instants, le jeune homme finit par entendre, ainsi que tous les autres membres présents dans cette pièce, des voix s’élever derrière la porte. Hisoka reconnut immédiatement le garde qui lui avait conseillé d’attendre que le chef du village prenne la parole. Un sourire s’afficha sur son visage, il se demandait bien qui apparaîtrait dans l’embouchure de l’immense porte. Akimoto peut être ? Son lien avec le Kazekage n’était un secret pour personnes, ils étaient très amis, qui plus est le Jounin avait déjà fait une mission avec lui, cependant au bruit de pas qui résonnèrent en premier dans la pièce, il lui fallut reconnaître son erreur. En voyant que tous les visages étaient tournés vers la porte, le Jounin consentit à en faire de même, se retournant de moitié, ses yeux se baladèrent sur le corps de la jeune femme. Pour finalement se poser sur son visage alors qu’elle s’avançait vers lui. Se stoppant a côté de lui, elle posa un genou au sol.
Moeko Takata. Les traits du Jounin prouvaient sa surprise, il restait fixé sur elle pendant plusieurs secondes, détaillant son corps, son visage, ses cheveux. Il se surprit à observer plus lentement les courbes de son corps, mises en valeurs par sa tenue. Il avala sa salive lentement, puis finalement, lorsque Thrys prit la parole, sa voix eu l’effet d’un électrochoc, renvoyant le ninja dans ce monde. Il secoua légèrement la tête, alors que la jeune femme était en train de se redresser. Il lui fit un simple hochement de tête, imaginant sans mal son visage plein de surprise. Il tenta de maîtriser ses traits, n’y parvenant qu’au bout de plusieurs est interminables secondes. La première fois qu’il l’avait vu, il était poussé par son désir de compréhension, mais la voir apparaître ici est maintenant, c’était si étonnant. Il la fixa encore du coin de l’œil pendant quelques secondes, puis se concentra sur l’ordre de mission. Si on pouvait appeler cela ainsi, le Kazekage parla à l’encontre de l’émissaire, désignant ses deux ninjas, qui avaient pour mission de l’escorter. L’homme resta silencieux, Thrys ajouta qu’il se portait garant de ses deux éléments, ce qui eut pour effet de faire partir l’homme. Il annonça qu’il avait plusieurs choses à faire, avant d’être prêt à partir pour le pays de l’eau. Le pays de l’eau songea Hisoka. Déjà son esprit tentait de former des centaines d’hypothèses en vues de comprendre ce qui se déroulait sous ses yeux. Un émissaire venant de Suna qui devait être escorté jusqu’au pays de l’eau ? Pourquoi faire ? Alors que la porte du bureau se refermait sur l’homme, le Jounin avait déjà sa petite idée, fixant encore pendant quelques secondes la porte qui venait de se fermer derrière lui. Kiri est Konoha avait semblait-il, du mal à s’entendre dernièrement, certains pessimistes parlaient même d’un conflit entre les deux villages cachés. Le village du sable était l’éternel allié du village de la feuille, peut-être était-ce une manière de calmer les ardeurs des deux villages concernés ? Se retournant finalement vers le Kazekage, il observa qu’ils n’étaient plus beaucoup dans la pièce, le chef du village, un anbu tapis dans l’ombre pour le protéger ainsi que les deux ninjas qui avaient été convoqués un peu plus tôt. Toutes les questions de l’héritier des Satori trouveraient certainement bientôt des réponses. En effet, le Kage prit la parole pour expliquer plus en détail ce qui se profilait à l’horizon.
Écoutant attentivement les informations qui arrivaient de manière clair est précis, le jeune homme hochait la tête pour montrer qu’il avait tout comprit une fois que son interlocuteur eu finit de parler. Il résuma la situation dans son esprit, classant les détails importants comme ceux qui en avaient moins. Comme il l’avait soupçonné la relation entre Konoha est Kiri était au plus mal, dans un ultime espoir, le sable tentait de négocier une sorte de paix provisoire en envoyant un émissaire. C’était un jeu dangereux, une telle visite pouvait également exacerber les tensions. Qui plus est Hisoka ne faisait nullement confiance aux hommes de politique, ils étaient imbus d’eux même, ne pensait qu’à leurs propres salvation. Est-ce que le Kazekage en avait conscience ? Très certainement, le Jounin prit note de garder un œil attentif sur la cible de leur mission. Il devait vivre, mais il devait également ne pas faire sombrer Suna dans un côté comme de l’autre du conflit. La neutralité était évidemment la plus sage décision, celle d’ailleurs que semblait avoir choisis le Kazegage, Après avoir fini d’expliquer la mission, il attrapa sur son bureau un parchemin dans lequel était consigné quelques informations, ainsi que l’ordre de mission. A peine le geste fut-il esquissé que le Jounin s’avança de quelques pas pour l’attraper. Le pesant dans sa main droite, il le fit tourner entre ses doigts, puis le passa sous sa cape, au niveau de ses fesses, le rangeant dans sa poche à rouleau. Il retourna à sa place, jetant par la même occasion un coup d’œil à son coéquipière. Au même moment, Thrys annonça qu’il n’y aurait aucun chef d’équipe, c’était logique, les deux jeunes gens étaient tous deux suffisamment matures pour prendre les bonnes décisions. Il demanda enfin s’ils avaient des questions, le Jounin signala que non d’un signe de tête, puis finalement, la fin de l’entrevue arriva à son terme après une dizaine de minutes passé dans le bureau. Hisoka se retourna, puis s’avança vers la porte, faisant un signe de tête au Kage alors que ce dernier retournait s’afférer à ses occupations.
A peine furent-ils sortit de la pièce, qu’Hisoka referma la porte derrière la jeune femme qui le suivait. Faisant un signe de tête au deux gardes qui encadraient l’entrée, ces derniers leurs souhaitèrent bonne chance, saluant au passage les deux Shinobis. Ils allaient devoir attendre que l’émissaire ait finis ses préparatifs, ils ignoraient pendant combien de temps ils en avaient. Il proposa donc à Moeko que chacun retourne dans son coin préparer ses affaires. Ils se rejoindraient devant les portes. S’éloignant de la jeune femme, il ne put s’empêcher de regarder de nouveau cette dernière, se retournant finalement lorsqu’il déboucha dans le couloir qui menait à l’entrée, il se maudit lui-même de sa faiblesse. Soupirant, il posa sa main droite contre son front, reprenant son calme, il s’aventura dans le couloir du manoir, s’avançant vers la sortie. Il avait déjà préparé ses affaires en conséquences tout à l’heure, au vue de la mission, il n’avait besoin de rien d’autre qu’il n’avait déjà sur lui. Une fois dehors, il leva son regard vers le ciel. Le soleil était haut, le départ allait être très chaud, une bonne demi-journée de marche… Ils devraient passés par les étendues ensablés, la mer blanche, puis après ? Il passa sa main droite dans sa sacoche tout en marchant vers l’entrée du village. Il en tira un parchemin qu’il déplia habilement. Observant la carte, ils n’avaient aucun trajet obligatoire, ils devaient en profiter. Moeko était une nomade de sang, Hisoka la laisserait juger du meilleur chemin, cependant il s’amusa à choisir un itinéraire précis. Suivant du doigt les différentes villes, ou endroit susceptible de leurs fournir de quoi se reposer. Le meilleur moyen d’aller à Kiri était de se rendre à Tabuk, une ville portuaire, à l’extrême sud de Suna. Ce village était bordé par la mer, le Jounin avait déjà eu l’occasion d’y aller lorsqu’il n’était qu’un Genin, il avait été impressionné par le nombre de bateau qui était en partance vers les différents pays. Il savait également que c’était cette imposante plate-forme monétaire qui permettait l’échange entre les pays éloigner et Suna. Sans aucun doute ils trouveraient un bateau pour Kiri no Kuni. Le chemin le plus court était de franchir les dunes interdites de Saël, suivis par les gorges arides, puis les quelques centaines de Kilomètres de désert qui les séparaient du village. Acquiesçant à son idée, il en parlerait un peu plus tard à sa coéquipière.
Sa coéquipière, cette idée créa un sourire sur son visage, il était sûr qu’il la reverrait, mais dans ces conditions ? A quoi pouvait-elle donc pensé en ayant vu le Jounin tout à l’heure ? Étendant ses bras, il se retrouva au niveau de l’intersection qui menait chez lui ainsi qu’à l’entrée du village, il se décida à faire un léger détour pour passer une dernière fois dans son habitat. Une fois à l’intérieur, il ouvrit son armoire, en tira une cape brune comme la sienne mais beaucoup plus vieille. Il retira celle qu’il portait, puis l’échangea contre l’ancienne. Attrapant le bout de tissu qu’il venait d’enlever, il le plaça sous son bras, puis sortit, se dirigeant vers les portes de Suna. En quelques minutes ils se trouvaient en position, prêt à attendre durant un long moment s’il le fallait. Cependant contrairement à ce qu’il pensait, la silhouette de la jeune femme ne tarda pas à apparaître un peu plus loin, débouchant d’une rue, elle devait également être prête pour n’avoir mis aussi peu de temps à le rejoindre. Il la regarda s’approcher, puis lorsqu’elle s’arrêta près de lui, il la fixa en lui lançant un simple sourire.
" J’aimerais que tu regardes le trajet à emprunter, j’ai rapidement détaillés la région, je pense que le mieux serait de passé par le Saël, les gorges arides, puis le désert sans fin. Pour nous rendre à Tabuk, je sais qu’il y a des bateaux là-bas. Mais tu dois certainement en connaître plus long que moi sur la route à prendre. Je te laisse décidée. "
Après avoir dit ces mots, le Jounin s’avança vers un groupe qui semblait escorté un homme, il le reconnût facilement, sa stature, sa manière d’être. Une dizaine de ninjas l’encadraient. Un sourire apparut sur son visage, se moquant ouvertement des consignes de sécurités excessives. En arrivant près des deux jeunes gens, les ninjas se reculèrent, puis formèrent une sorte de barrage empêchant l’accès direct par derrière à l’homme. Il s’avança vers Moeko est Hisoka. Il n’était habillé qu’une simple toge, quelques fioritures à ses poignets, une belle bague trônait sur son pouce. Il était bien en chair, son corps était gorgée d’eau, a cette pensée il se retourna légèrement vers la jeune femme, elle devait avoir eu la même pensée que celle-ci en le voyant la première fois. L’homme se présenta, il se nommait Jakis Sitar, il demanda aux ninjas de garder leurs places par rapport à la sienne. Il leurs interdit directement toute familiarité avec lui. Leur demandant de simplement les amener à bon port et que le reste ne les regardaient pas. Le visage du Jounin ne reflétait qu’un sourire, alors qu’il s’était retourner pour faire face à sa coéquipière, il s’avança vers elle, puis arriver à son niveau, il se retourna et jeta la cape qu’il tenait dans ses mains depuis le début, a Jakis qui la rattrapa au dernier moment. " Très bien, vous allez laisser ici tous vos bijoux est objet de valeurs, vous allez… "
Il désigna du doigt l’un des ninjas derrière l’ambassadeur, après avoir regardé ses pieds, il lui fit un signe de main d’échanger leurs sandales. Il mit suffisamment d'intonation dans sa voix pour laisser voir qu'il se moquait ouvertement de l'homme qui était face a lui. " Échangez vos chaussures, mettre la cape que je vous aie confié, puis gardez sur vous, cette arme. "
Il lui jeta un kunai, qu’il lui demanda d’attacher à sa ceinture par mesure de sécurité. L’homme semblait déboussolé, outré de recevoir des ordres de cet homme il s’apprêta à reprendre la parole, mais fut coupé par son interlocuteur qui s’adressait à Moeko. Il reprit sa voix normal, laissant tomber la moquerie en s'adressant a elle, marquant très bien les différentes situations présentes dans cette scène. " Si tu as d’autres demande à faire à notre modeste émissaire, n’hésite pas Moeko. Je suppose que tu seras beaucoup plus dur que moi… "
Il le pensait vraiment, elle venait du désert, elle devait certainement voir d’un mauvais œil un habitant de Suna penser qu’il pourrait traverser les étendues ensablés ainsi, il comptait également sur le fait que l’autorité de la jeune femme fasse effet. Vu la personne qu’ils avaient en face d’eux, il avait besoin d’être remis à sa place, de ce qu’il avait vu de l’héritière des Takata, elle se retiendrait certainement pas devant ce rustre. Se retournant, il laissa les deux personnes finirent leurs petites affaires, il s’avança vers l’escorte de l’ambassadeur, puis leur demanda de quitter les lieux, en demandant à l’un d’eux d’aller faire un rapport a Thrys, pour lui dire qu’ils étaient enfin partit. Les hommes acquiescèrent en silence puis disparurent dans un tourbillon de sable. Se retournant finalement, il observa Moeko qui terminait de donner ses recommandations a l’homme qui s’était visiblement tu devant elle. Un soupire de satisfaction se fit entendre de sa bouche, puis il se stoppa devant Moeko. Il l’invita à passer devant. Ils sortirent de Suna en vitesse, les deux Shinobis l’un à côté de l’autre, Hisoka écoutait ce que la jeune femme lui disait à propos du chemin à suivre, l’homme qu’ils devaient protéger était derrière eux. Il commençait certainement à entrevoir la difficulté est la longueur de la traversée. En voyant que les deux jeunes gens ne parlaient plus, il prit le risque de demander combien de temps le voyage durerait jusque Kiri. Restant silencieux à cette question, il laissa tout le loisir à sa coéquipière de lui répondre. Il observa le soleil de nouveau, dans six ou sept heures à peine, le soleil se coucherait, c’était le meilleur moyen de traverser plus rapidement le désert. Utiliser la nuit, dormir le jour, mais est ce que ce politicien gâté accepterait de changer son rythme biologique ? Les yeux du Jounin furetèrent sur l’homme, sa démarche n’était pas assuré, il usait des forces à tenter de marcher comme il le faisait. Il allait contre le sable, ne se laissait pas porter par lui. Dans quelques heures à peine il serait déjà à bout de souffle. Hisoka prit l’initiative de lui faire remarquer, mais se fit gentiment envoyé sur les roses. Il se narguait que dans sa jeunesse il avait traversé de long est en large les étendues de sable, se retournant pour observer devant lui, un sourire non dissimulé s’affichait sur son visage. Il parla à l’attention de Moeko, assez bas pour qu’elle soit la seul à entendre.
" Un parfait politicien notre Jakis, apte à mentir en toutes circonstances. " |
| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Mar 19 Juil 2011 - 17:43 | |
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Voilà donc se que signifiait toute cette agitation. J’avais été choisit pour une mission de rang supérieur, une escorte d’ordre prioritaire. Une fois la discussion débutée, je me redressais pour me mettre au côté de mon nouveau coéquipier, tout en écoutant attentivement notre Kage parlé a l’homme que nous devions escorter. La mission était apparemment simple, nous devions faire en sorte que l’homme arrive à bon port pour débuter les négociations sur une tentative de paix entre Konoha et Kiri. Mais si les rumeurs était vrai, se que pouvait justement prouver cette mission, la guerre entre les deux pays majeur était imminente. Si Suna agissait c’est que tout était en place et qui simple étincelle suffirait à mettre el feu. Je fus plutôt étonner du fait que cette mission me soit confié, j’étais encore chuunin et une escorte prioritaire était au moins de rang A, pour un juunin au minimum. Y avait il une possibilité qu’on teste mes capacités par cette mission ou mieux encore qu’on est justement confiance en elle pour m’envoyé faire cette escorte. J’avais remplie avec réussite mes missions précédente, mais l’escorte n’était pas ma « spécialité », j’avais plus l’habitude de transporté des objets ou encore d’arrêté des criminel ou des groupuscules. Je n’avais pas refait d’escorte depuis que j’étais devenu chuunin, mais je ne me faisais pas trop de soucie, j’avais confiance en mes capacité à réussir cette mission.
Se qui me stressait plus que la mission, était le voyage lui-même. Je n’avais jamais quitté le pays du vent, je ne connaissais que les étendu désertique et certaine frontière du pays, un peu plus fertile. Mais là, notre mission allait non seulement me faire quitter le pays, mais me faire découvrir le pays le plus a l’opposé du notre, le pays de l’eau. Un pays ou l’eau est si présente dans l’atmosphère qu’elle forme une pellicule vaporeuse a la surface du sol, se qu’il appelle le brouillard. Je connaissais bien sur les autre pays par les livres et des images, mais je n’y avais jamais mis les pieds. Rien que l’idée de devoir mettre le pied sur un bateau, l’un de ses véhicule circulant sur des étendu d’eau si grande qu’on ne pouvait en voire toute les rives. Cela allait radicalement me changer des quelque arbre sec poussant au bord des rare oasis. J’étais quelque peu anxieuse a l’idée de me retrouver au milieu de l’eau, beaucoup de légende, que je pensais juste la infondé, me revint en mémoire. Parmi les nomades du désert on parlait du mal de l’eau, des hommes étant mort après avoir pris un bain dans une oasis si grande qu’elle semblait infinie. Je n’avais jamais fait trop attention a ses légende, au mieux le type de la légende c’était noyé dans l’océan en découvrant la première plage de sa vie. Mais maintenant que j’allais y être confronté moi-même, j’étais moi assuré de l’inexistante de se soit disant « mal de l’eau ».
Je me retins naturellement de faire voir la moindre anxiété sur moi durant notre entre vue avec le Kage. Moi, qui avait gagné le semblant de réputation d’être froide et de ne jamais douté, je n’allais pas commencer à craindre de partir en mission a cause d’une étendu d’eau… une très grande étendu d’eau…une étendu d’eau si grande qu’on peut croire qu’elle est infini… Je concentrai mon esprit sur d’autre facteur de la mission, pour ne pas me laisser distraire par mes peurs primaires de nomade. Je me demandais si le manque de détaille de la mission était volontaire ou non. Les explications de notre escorte laissaient un large choix de compréhension et j’ignorais si cela était volontaire. Pouvait-il y avoir un bute cacher derrière cette escorte, un double sens. Il me semblait apercevoir de nombreuse manière d’effectuer notre mission. Le Kazekage avait sans doute préparé cette explication pour nous laisser plus de marge durant notre mission, se qui m’allait parfaitement. Je préférais agir à ma façon que de suivre un programme trop stricte. L’entretient ne dura pas bien long, une fois le résumé de la mission dévoilé, un rouleau passa de main en main avant que nous soyons prié de prendre congé. En m’inclinant respectueusement, je fis volte face et sorti du bureau derrière les deux hommes. Nous n’allions pas tarder a quitté Suna, mais l’émissaire désigné avait besoin d’encore un petit peu de temps pour se préparer. Nous nous séparâmes donc chacun de notre côté pour retourner a nos domicile respectif.
En arrivant chez moi, je ne pus m’empêcher de sourire en pensant à mon coéquipier. Je savais que j’allais revoir ce Hisoka Satori et je me demandais si ce n’était pas lui a avoir proposé mon nom pour cette mission. De mon côté j’avais fais quelque recherche sur cet homme, je n’avais pas appris grand-chose en dehors du fait qu’il était un juunin. Il ne semblait pas appartenir a une section spéciale, sa visite chez moi était donc très personnel. Point intéressant, j’avais appris qu’il tentait de percer dans le domaine du Fuuinjutsu. Les utilisateurs de sceaux n’étaient pas nombreux et j’étais intéressé par ses travaux. Je tentais moi-même de confectionner des sceaux pour mon style de combat et j’y avais une certaine facilité. Je travaillais d’ailleurs sur des sceaux complexe que je n’avais pas encore terminé. Nous allions bien voir si nous pouvions nous entendre, côtoyer une personne durant une mission en dit plus sur elle qu’une simple rencontre durant la nuit. J’étais curieuse de le voir en action, même s’il n’y avait que peux de chance de véritable action durant notre escorte.
Mais affaire fut promptement faite, la plus pars de mon matériel de mission était stocké en permanence dans mon sceau de scellement d’objet et j’étais une partisante du minimaliste, je voyageais léger, mise a pars mon épée, toujours accrocher dans mon dos. Je pris tout de même le soin de retiré ma Tekika pour m’assuré de son état et d la purgé des résidus qui pouvait s’y être stocké. Une fois propre et vérifier je me revêtis avec préférant la prendre avec moi durant mon voyage au pays de l’eau. Je gardai mes vêtement de combat habituelle que j’enfilais par-dessus ma tenu du désert et pris une tenu de rechange. Une fois mon équipement complété et vérifier, je quittais mon domicile pour me rendre au point de rendez-vous. Durant mon allé vers l’une des portes de Suna, je repensais a cet océan que j’allais découvrir. Comme tout shinobi, je savais nager, j’avais appris dans une piscine ou même dans certain lac qu’il existait dans l’Est du pays, je savais même marcher sur l’eau grâce à une technique de Ninjutsu et pourtant me retrouver sur un bateau ne préoccupait. J’allais devoir faire un travaille sur moi-même pour laisser glisser cette peur.
Quand j’arrivais au point de rendez-vous, Hisoka Satori se trouvait déjà sur place. Visiblement, il était prêt au départ et n’avait pas vraiment eu besoin de temps pour complété son équipement. Vu se qu’il portait, il devait lui aussi utiliser une technique Fuuin pour transporté son matériel, de quoi voyager léger tout en étant équipé. Quand j’arrivais a sa hauteur, il me présenta une carte et m’indiqua les trajets qu’il avait choisit pour se rendre a Kiri en me laissant le soin de finaliser la décision. J’observai une seconde la carte, quelque peu perdu sous les noms donné par les sédentaires au certaine parti du pays qui en avait d’autre chez les nomades. Je connaissais plusieurs point d’eau durant le trajet pour nous faire éviter un maximum les habitations, mais je du bien avoué que plus nous marcherons vers l’Est et moins je connaissais le pays. Je dû aussi lui avouer que je n’avais jamais quitté le pays et qu’au delà des frontière du pays du vent, j’ignorais se que pouvais valoir mes instincts nomades.
A peine avais-je commencé de notifier la carte avec les points de repos que je connaissais que l’émissaire fit son apparition. J’en fus surprise en bien m’attendant a plus de préparation inutile de sa pars. L’homme n’avait rien d’un natif du désert, sa peau, même sombre, ne connaissait que peux la brulure du soleil, ses yeux brillant d’illusion ne connaissais pas la puissance des tempêtes quand elle s’abat. Le ventre rond et le corps saturé d’eau de l’homme ne laissais aucun doute sur la vie de cette homme, il n’était pas un véritable natif du désert, il ne connaissait ni la faim ni la soif et n’avait aucun effort à fournir pour être nourris. Il était l’un de ses représentants du gouvernement sédentaire du pays du vent que les nomades méprisaient. D’ailleurs, je ne doutais pas que s’il apprenait mes origines, il me mépriserait à son tour. Le gouvernement n’aimais pas les nomades, ils les pensé arriérer et stupide, ils ne comprennent pas notre mode de vie et crois que nous obliger à vivre comme eux est pour nous une évolution positive. Si nous ne vivions pas dans un parti dit « inhabitable » du désert, on nous aurait sans doute déjà tous chassé comme ils l’ont déjà essayé.
Hisoka prit tout de suite en main le fait de lui retiré sa richesse trop ostensoir sur sa personne. Je ne savais pas si cela était vraiment utile, même déguiser personne n’irait croire qu’il pouvait être un natif du désert. Il était l’un des habitants des grandes villes du Sud, c’était visible. Le camouflé ne pouvait qu’attirer le regard des observateur les plus minutieux. Le faire passé pour un riche marchant du sud avec ses bijoux dérisoires aurait plus été ma politique, mais je ne voulais pas contre dire Hisoka maintenant qu’il avait commencé à modifier l’apparence de l’émissaire. Après une rapide observation de l’émissaire, je me repenchai sur la carte pour modifier quelque peux les point de repos. Vue l’allure de l’émissaire, nous allions sans doute avancer moins vite que je l’avais espéré et devoir faire plus de pause. Je me demandai si nous avions une chance de louer des montures dans l’un des villages que nous allions croiser. J’allais en faire par a Hisoka dés que possible. Avec notre bandeau de Shinobi, nous pouvions réquisitionner dans beaucoup d’endroit du pays du vent du matériel ou des montures. Des chevaux n’allaient sans doute pas être de trop pour atteindre l’océan. Une fois qu’Hisoka avait finit avec l’émissaire quelque peu dépiter de sa nouvelle allure, il me laissait voir avec lui les dernières prédispositions. A la différence d’Hisoka, je n’avais aucune envie de m’amuser de cet homme et lui parla d’un ton froid et professionnel.
- Comme vous l’avez fait remarquer un peu plus tôt, n’oubliez pas ou est votre place et ou est la notre. Nous sommes votre escorte et non pas des hommes de main a votre service. Les ordres que vous pouvez nous donner son limité et vous devrez suivre les notre, cela pour que l’on puisse efficacement assurer votre survie. Seul chose importante, si je dis « terre » vous ne vous posez pas de question, vous sautez au sol et ne bouger plus jusqu’à prochaine ordre. Peut importe dans quoi vous devez vous coucher. De votre temps de réaction peut dépendre votre survie, j’espère que vous le comprenez. Une fois au sol ne bouger plus et laisser nous vous protéger. Mon coéquipier vous a camouflé du mieux qu’il pouvait, tenter de gardé le rôle, ne nous faite pas repéré. En cas d’attaque nous irons jusqu'à sacrifier nos vies pour vous protéger. Si vous nous trahissez par votre manque de discipline, nous ne lèverons pas le petit doigt pour vous aider. La discipline est el maître mot, tous se que nous pourrions vous demander est pour assuré votre survie.
J’essayais de ne pas mêler mon mépris que j’avais déjà pour cet homme avec mon devoir professionnel. Même si ce n’était pas facile, il fallait que je suive mon propre conseil et reste discipliner. Une fois le trajet clarifié, nous nous mîmes rapidement en route. Nous allions marcher le reste de la journée et sans doute la nuit pour se reposer de jour. Du moins la première partie du voyage. Plus nous allions vers l’Est et moins le soleil serait agressif. Tout en avançant, je fis par de mon idée de réquisitionner des montures dans le premier village que nous croiserions pour le bien de notre mission. L’émissaire n’allait jamais pouvoir tenir le rythme de son escorte et le voyage devait être le plus court possible. Vu les capacités physique apparente de l’émissaire, la guerre allait avoir dix fois le temps de débuter avant qu’il n’arrive a destination. Les montures étaient la meilleure option. L’émissaire se trouvant sans doute quelque peu délaissé par son escorte demanda combien de temps nous allions mettre pour atteindre Kiri et je lui répondis plus sèchement que je ne l’aurais désiré.
- Beaucoup plus longtemps que si je m’y rendais seule. Nous sommes entrain de mettre au point le meilleur trajet possible pour arriver le plus rapidement par rapport à notre rythme de marche.
Il ne fallut pas longtemps avant qu’Hisoka face une remarque sur la démarche de l’émissaire qui allait pas tenir l’heure si continuait à avancer comme il le faisait. Mais je fus plutôt impressionner de le voire mentir sans même une hésitation sur ses performances physique. Il niait l’évidence avec un tel naturel que je ne pus que garder le silence a sa réponse. Quand il parlait du désert de long en large, c’était sans doute dans les régions les plus hospitalières et a dos de chameau. Mais je gardai mes remarque pour moi, je n’avais pas envie de commencer une discussion avec l’émissaire.
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| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Mer 20 Juil 2011 - 16:20 | |
| Le voyage commençait de toute évidence avec une tension réel qui se dégageait entre Moeko est l’émissaire, cela n’avait réellement rien d’étonnant, la jeune femme faisait partie des Nomades, bien que son « ennemi » n’était guère au courant, elle, éprouvait de l’amertume, de la rancœur quand à cet homme qui faisait partit de ceux qui voyaient son peuple comme des simplets, ou bien des hérétiques. Il était si simple de généraliser aujourd’hui, en observant la jeune femme faire remarquer à Jakis qu’il était d’une lenteur effrayante, l’homme se laissa aller à ses pensées. Après tout ils avaient le temps, qui plus est parler en marchant dans le désert était une perte d’humidité, mais également de forces. Si il avait des questions a posés ils les garderaient pour le soir, lorsque le climat se sera rafraîchit. Inconsciemment il songea au devenir des nomades, a ce qu’ils représentaient. Les sédentaires, avaient peur d’eux, car ils les voyaient comme une marche en arrière, des hommes qui n’avaient pas les mêmes idées, qui pensaient ouvertement, qui pratiquaient des relations sexuelles de manière différentes. Bien sur Hisoka avait depuis longtemps oublié ce qu’il avait vu dans sa jeunesse, lorsque ces clans, ces marchands venaient faire du commerce avec son village, il s’amusait à les épier de manière fortuite, il les trouvait si intéressant, ils étaient l’apogée même de la civilisation.
Il se souvint qu’un jour alors que lui est quelques un de ses amis s’amusaient dans l’oasis situés à quelques centaines de mètres du village, ce jour-là, l’un de ses camarade s’était fait mordre par une araignée, diablement dangereuse, tous les enfants ignoraient que faire, ils n’avaient tous que pour la plupart cinq ou six ans, sept peut être pour le plus grand. Alors qu’ils pensaient tous voir la mort de l’un des leurs se produire sous leurs yeux, un nomade arriva. Il était habillé d’un pantalon qui était faite dans une matière très rêche, en dessous de sa cape on ne voyait qu’une tunique de cuir taillé dans une peau très sombre. La cape qu’il portait englobait la totalité de son corps, une sorte de foulard entourait son visage, masquant le bas de celui-ci, ne laissant que ses yeux gris apparent. Il s’approcha d’une démarche féline, il n’avait aucune difficulté à se mouvoir dans le sable, une fois proche de l’enfant, il tira de sa ceinture un poignard, qu’il chauffa a blanc avec une technique Ninjutsu de type feu, puis après divers mouvements d’une fluidité qui impressionnait dès lors le futur Jounin, réussit à tirer son ami de ce mauvais pas. Il attendit, les rassurant légèrement, puis leur demanda de rentrer chez eux, il rejoignit ses compagnons qui étaient en train de faire le plein d’eau à l’oasis.
Maintenant qu’il y repensait, il voyait en eux une générosité exceptionnelle, qui n’attendait nullement de récompense. Tout comme Moeko une semaine plus tôt avait offert à Hisoka un gîte pendant la tempête de sable qui avait secoué Suna. Ses yeux se posèrent sur la jeune femme, elle semblait dur avec l’homme, mais il comprenait pourquoi, les raisons qui la poussait à être ainsi. Il se demanda si il éprouverait lui aussi autant de haine envers les sédentaire si un jour il parvenait à retrouver la flamme qui brûlait en lui. Est-ce qu’elle le détestait également avec tant de hargne ? Il secoua légèrement la tête pour chasser ses pensées, puis se concentra sur la route qu’ils avaient à faire. Kiri était loin, ce voyage ne serait pas de tout repos, qui plus est, il fallait jouer avec les dangers qui allaient peut être s’abattre sur le groupe.
Y en aurait-il ? Il se posa la question, techniquement a première vue, ici a Suna personnes n’avaient quelque chose à gagner d’une guerre entre Kiri est Konoha, cependant il avait appris par expérience qu’il ne fallait pas se fier à ce qu’il y paraissait. Le village de la feuille est depuis toujours fut une sorte de symbole qui enragea les autres pays. Depuis le commencement de l’ère politique actuel, celle qui régit actuellement tous les pays, mettant sous le couvert des Seigneurs féodaux, les villages cachés, puis les Kage suivis du système Shinobi, depuis le début de tout ceci, la feuille représentait la ligne de départ. De ce pays avait émergé les premières instances politiques, les premiers conflits, les premiers modes de colonisation. La disparition même des clans tels qu’ils existaient durant l’ère de la guerre perpétuel amena un changement qui se voulu acceptable dans un premier temps. Comme un os à ronger a un chien. Les hommes qui durant ce temps n’avaient connus que la guerre des clans, les conflits incessants, avaient trouvés en cette situation diplomatique, en ce système une improbable sécurité. Tout ce qu’ils avaient rêvé venait de se réaliser sous leurs yeux. La paix, même éphémère, leur offrait une fin de vie heureuse, douce si l’on pouvait dire. Mais aujourd’hui les mœurs avaient changés, l’homme également. Tout comme il y a tant d’années, nous avions besoin d’un changement radical, loin de l’hypocrisie malsaine des politiciens qui jouaient avec les vies de leurs subordonnées. L’idée qu’un ninja était l’arme de son pays s’était incrustés très fortement dans chaque état, beaucoup des anciens pensaient ainsi, avec la jeunesse, la tolérance, l’accoutumance également avait permis de dédaigner cette idée sans pour autant l’omettre de nos idées. Serions-nous prêt à donner notre vie pour notre pays, même si tout ceci allait contre tous nos idéaux ?
Hisoka repensa immédiatement à des mots qu’avaient prononcés sa coéquipière un peu plus tôt lorsqu’elle lui disait ses consignes de sécurité. Nous serions prêts à sacrifier nos vies pour la sienne, se retournant légèrement, feintant de vérifier l’état de leurs protégés, Hisoka ne pus s’empêcher d’esquisser une grimace sous son masque. Il n’était pas ses idéaux, il n’était pas ce en quoi il croyait, si Hisoka mourrait rien ne changerait, mais si il vivait il avait peut-être une chance d’enseigner ses idées à d’autres, c’était ainsi qu’allait le changement. De la conviction de certains, naissait la philosophie d’autres. Mais il devait le protéger au péril de sa vie, qu’il ne soit pas d’accord avec le terme d’arme ne valait rien si au moment de faire ses choix il n’assumait pas ses idées. Dans la vie, concilier son devoir, ses envies, ses fantasmes n’avaient rien de facile, c’était si compliqué, qu’au final ceux qui y parvenaient était les plus libres de tous.
Quittant ses pensées, les yeux sombre du Jounin se posèrent devant lui, du sable tourbillonnaient a plusieurs centaines de mètres devant eux, les grains commençaient à s’élancer dans l’air, tournoyant sur eux même, fendant l’air chaud de cette fin d’après-midi étouffante. Il était le premier du convoi, se retournant, il posa ses yeux sur Moeko, mais ne jugea pas nécessaire de la prévenir, elle devait avoir déjà remarqué cela bien avant lui, les mouvements de son corps, ses yeux alertes lui confirmèrent rapidement cette pensée. Il recula légèrement puis s’approcha du politicien. Celui-ci ne put voir la tempête se lever, cacher par le corps du Jounin qui s’avançait vers lui. Tirant le masque qui lui couvrait la bouche pour parler plus facilement, Hisoka faisait attention de ne pas gaspiller d’humidité. Les arrêts étaient déjà fréquents, faute du manque d’endurance de l’émissaire, il était inutile dès lors d’en ajouter encore par la mauvaise manipulation de l’eau de son corps. Il lui expliqua brièvement la situation, parlant rapidement, articulant le plus possible, tout en faisant attention de ne quasiment laisser aucun souffle sortir de sa bouche. Puis il pointa du doigt en direction de la tempête pour montrer de quoi il s’agissait à l’homme. En voyant cela, cette vision du sable qui s’élevait à présent a plusieurs dizaines de mètres de hauteurs, l’émissaire esquissa un mouvement de pas en arrière, puis un second, la main du Jounin attrapa son avant-bras avec force, l’empêchant de bouger, leurs regards se croisèrent. Il le tira vers lui, puis une fois déséquilibrer le poussa pour le forcer à marcher.
Sans dire aucun mot, les yeux montraient la sévérité intérieure de l’homme, il n’avait nullement eu besoin de parler pour faire comprendre à Jakis qu’il était hors de question de retourner. Hisoka jaugea rapidement sa coéquipière, il avait déjà vu des tempêtes de sable bien plus énormes, celle-ci était minuscules, la passer n’aurait rien de compliquer pour peu que le politicien ne faisait pas de bourde. Il demanda à la jeune femme de passer devant, tandis qu’il tirait la manche de sa cape qui recouvrait son bras gauche. Il posa son index sur un symbole tatoué sur son poignet. Une corde apparut alors dans une petite explosion de fumée dans la main droite du Jounin. Il porta un regard vers la silhouette de Moeko qui s’avançait vers la tempête. Il vérifia la solidité de la corde, puis la passa autour de la taille de Jakis, nouant le tout avec fermeté, puis il enroula plusieurs fois l’allonge de corde autour de son bras gauche, puis tourna le reste autour de son propre bassin. Il devait y avoir à peu près moins de deux mètres de corde qui reliait les deux hommes. Il expliqua brièvement a l’homme ce qui allait se passer, ils allaient devoir avancer, tout en allant tout droit, simplement traversée cette tempête. Il le rassura en lui expliquant qu’elle n’avait rien d’affreuse, mais que perdre plus de temps était inacceptable, contre tout attente l’homme accepta après avoir avalé bruyamment sa salive. Tirant la capuche qui recouvrait son corps de sorte à ce que le tissu descende le plus bas possible, il remonta également ce qui lui couvrait la bouche, puis s’avança vers Moeko qui était déjà à plusieurs dizaines de mètres. Finalement le groupe s’enfonça dans la bourrasque brune.
La traversée de la tempête fut plus longue que ce à quoi s’attendait le jeune homme, pour être franc il pensait que le vent avait pris plus d’ampleur en cours de route, cependant après une demi-heure de marche, pénible, longue, rude, le groupe finit par en ressortir. Le vent se calma, les yeux dansant devant eux retomba, une fois en sécurité, le Jounin se retourna, jugea où devait se trouver la tempête à présent, puis après avoir regardé tout autour de lui, dénoua le nœud de la corde, demandant à son compagnon de fortune d’en faire de même. Il récupéra la corde, l’enroula entre sa main gauche est son bras puis, reposa son index sur le sceau qui ornait l’intérieur de son poignet. L’objet disparu instantanément.
Jakis demanda alors quelques secondes pour se remettre de ses émotions, demandant son avis à la jeune femme, elle lui rétorqua qu’ils ne lui laissaient pas plus de deux minutes, l’homme sembla parler dans sa barbe devant la dureté de la jeune femme mais accepta sans rien dire les conditions. Hisoka épousseta rapidement sa cape, puis observa le soleil, il commençait à descendre, la chaleur se faisait moins présente. Une marche de nuit, puis au petit matin une pause serait nécessaire pour l’homme. Faire la traversée nocturne leurs permettraient de gagner du temps, ils devaient rejoindre Kiri le plus vite possible, après tout c’était d’une guerre qu’il s’agissait. Le politicien s’en rendait-il véritablement compte ? Quelque part le Jounin en doutait fortement. Pour lui tout ceci n’était qu’une mission diplomatique, il ne semblait guère croire en la réussite de leur tâche, n’y même y accorder plus d’importance que cela. Il se demanda alors ce qu’avait à gagner cet homme d’aller en personne jusqu'à Kiri ? Il n’avait rien d’un aventurier, alors quoi ? La gloire ? La popularité ? Peut-être si jamais la mission avait une chance de réussir, mais vu le contexte actuel il était clair que tout ceci était de la poudre aux yeux. Peu importe, en reportant son attention devant lui, le Jounin sortit la carte qui était dans sa poche a rouleau, puis la déroula, il se repéra rapidement. Une oasis était marquée à plusieurs dizaines de kilomètres de l’endroit où ils étaient. Avec un peu de chance, en ne lambinant pas trop, ils avaient peut être une chance de la rejoindre en début de matinée prochaine. Là-bas ils pourraient faire une pause. Moeko se redressa brusquement après avoir vérifié plusieurs choses, puis s’avança vers l’homme en lui ordonnant de se relever, il grogna quelque peu mais finit par obéir, traitant au passage la jeune femme de sorcière. Regardant la scène d’un œil désintéresser, Hisoka laissa ses yeux voguer sur la jeune femme lorsqu’elle passa devant lui pour reprendre la marche, puis après une seconde de réflexion interne, suivit le pas.
Le reste de la journée se passa relativement bien, le soleil était tombé quelques heures après leurs dernières pauses, suite à cela, lorsque la lune prenait son droit sur le désert, ils avaient fait une pause pour sortir des vivres. Des viandes séchées, riche en protéine, en sucre lent est bourrative. En quantités calculées pour ne pas éprouver l’organisme avec une digestion lente et pénible, mais suffisante pour donner l’impression de ne plus avoir faim. Hisoka avait sorti cela du sceau de son poignet, en avait tendu une portion a l’homme, puis n’attendit pas qu’il ait finit de manger. Ils allaient manger en marchant, vu la nourriture, ils pouvaient largement se permettre de la manger en traçant leurs route. Ainsi ils gagneraient peut être une heure, conscient que la marche nocturne était peut-être plus aisé car moins chaude, mais plus pénible du fait de la visibilité moindre est des pics de températures très froid a certain moment de la nuit. En effet quelques heures plus tard, lorsque la lune éclairait le plus possible les étendues ensablés qui se profilaient a pertes de vue à l’horizon, la température avait dangereusement chuté. Recouvrant les quelques parties de son corps qui étaient nues avec sa cape, Hisoka frissonna légèrement, non pas de froid, mais d’un sentiment oublié.
A chacune de ses marches dans le désert la nuit à son apogée avait cet effet sur lui, par rapport à cette nuit terrible où il avait perdu ses compagnons. Il chassa ses pensées moroses, puis s’approcha du politicien qui grelotait. L’habitude du voyage avait rendu Moeko est Hisoka plus résistant aux différences de température, pour leur homme s’était une toute autre histoire. Pour lui faire oublier un peu le froid durant les quelques heures à venir, le Jounin lança un sujet de conversation. Ce qui intrigua l’homme, depuis le début de la mission les deux Shinobis s’étaient montré particulièrement froid avec lui, ce qu’il lui fit remarquer, occultant par ailleurs le sujet de base que le Jounin avait tenté de mettre en place. Un sourcil se leva, il observa longuement l’homme puis ricana légèrement. C’était vrai, il ne lui avait pas vraiment permit de lui montrer quel homme il était. Ils s’était arrêter sur des aprioris de base, au moment où il allait s’en excuser, ses yeux se posèrent sur l’amazone qui marchait devant eux, à plusieurs pas des deux hommes. Fermant presque instantanément sa bouche, aucun son n’en sortit, il fixa le dos de cette femme, puis il porta lorgna sur l’homme qui semblait attendre des excuses de la part du jeune homme.
Moeko était ce genre de personne qui n’avait pas besoin d’excuse, de pardon ou de tout autre chose, il se rendit compte qu’il avait été antipathique avec l’homme tout simplement par égard pour sa coéquipière. Il savait sans vraiment lui avoir parlé pourquoi elle détestait cet homme, il la comprenait réellement même. Etait-ce par solidarité ou car il se sentait lui-même produit des nomades ? Il ne pouvait, a l’heure actuel nullement en décider, choisir le pourquoi de son attitude, mais il se contenta de froncer les sourcils. Que ce soit par solidarité, par envie, ou car il se sentait concerné, cela n’avait nullement d’importance, nombres de gens ne respectaient pas la population d’où venait la Takata, ce manque de tolérance l’infligeait, comment pouvaient-ils eux croire en des personnes qui ne faisaient pas l’effort de les comprendre ? Voilà toute l’étendue du problème, les deux camps pensaient que l’autre n’était que de fief arrogant, rejetant les croyances de l’autre, quoi que pour les nomades cela devaient être diffèrent. Il ne pouvait s’excuser de son attitude, alors qu’il la considérait comme celle qu’il devait avoir. Secouant la tête, il ne pouvait cependant pas faire remarquer son idiotie à l’homme sans lui avouer qu’elle était une nomade, ce qui accroitrait les tensions déjà bien prononcés dans le groupe. Il se contenta de lui dire que parfois il était plus dur de supporter une personne que de la comprendre, puis s’éloigna de lui. Le laissant seul pour réfléchir à cette réflexion. Augmentant la cadence de ses pas, il hésita à aller parler avec elle, puis finalement se ravisa. Dans quelques heures ils seraient à l’oasis, ils auraient dès lors tout le loisir de communiquer entre eux.
En effet, quelques heures plus tard, alors que la dernière avait été pleine d’une longue est incessante, plainte de l’homme qui demandait à pouvoir s’arrêter, le groupe arriva finalement à l’oasis. Il devait être à peu près quatre heure, cinq heure tout au plus, le soleil se lèverait d’ici une ou deux heures. L’endroit était un petit oasis luxuriant, quelques arbres tropicaux avaient poussés autour d’une marre qui faisait quelques mètres. L’eau était clair, elle semblait propre est fraiche, ce qui éveilla le désir de boire d’Hisoka, il l’enfouit au plus profond de lui, si il buvait maintenant, il aurait toujours plus envie. Ils étaient ici pour Jakis, uniquement pour lui. Ce dernier s’élança vers l’eau, but pendant de longues minutes, puis s’avança vers un arbre, s’enfouissant dans le sable à son pied comme le Jounin lui avait expliqué, il ne tarda pas à s’endormir. Hisoka après avoir fait un rapide tour de l’oasis, s’avança vers l’étendue d’eau, puis sortit la gourde qui pendait a sa ceinture sous sa cape, il la remplit, but une légère gorgée pour se réhydraté, puis combla le manque, referma la bouteille, puis la remit a sa place. Il observa autour de lui, ils étaient encore bien loin de Kiri, mais avec cette marche, ils avaient réussis à prendre un peu d’avance, le tout allait être de ne pas la perdre demain. Il observa alors la silhouette de Moeko se dessiner un peu plus loin, elle semblait avoir été faire un tour elle aussi pour s’assurer que tout était calme, elle se dirigea alors vers la marre. Le Jounin l’observa, puis s’approcha finalement d’elle. Restant debout à ses côtés, ils restèrent immobiles pendant plusieurs minutes, puis finalement il se décida à prendre la parole.
" Nous avançons lentement, à ce rythme, il nous faudra au moins trois, voire quatre jours pour rejoindre le port. Nous devrons nous montrer certainement plus durs avec Jakis dans les jours qui suivent. "
" D’ailleurs à ce propos, il m’a demandée pourquoi nous étions si froids avec lui… Tu as souffre d’être enfermé a Suna n’est-ce pas ? "
Il attendit pendant plusieurs secondes une réponse, légèrement en retrait par rapport à elle, il ne voyait d’elle que ses cheveux, peut-être avait-il lancé un sujet trop personnel ? Ce qui expliquerait le silence de Moeko. Hochant la tête pour lui-même, Hisoka recula d’un pas en voyant l’absence de réponse de la jeune femme, puis…
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| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Ven 22 Juil 2011 - 14:44 | |
| Hisoka allait s’en aller dormir, pensant que la jeune femme avait été vexée de sa remarque qui n’avait pourtant rien de désobligeante, alors qu’il n’avait fait que quelques pas, la voie de la jeune femme retentit derrière lui. Se stoppant, il se retourna lentement, rebroussant chemin, il arriva à son niveau alors qu’elle se redressait. Pour elle il ne pourrait pas allez plus vite, bientôt il deviendrait une gêne est les tensions entre Kiri est Konoha ne s’apaiserait pas pendant qu’ils étaient dans le désert. C’était évident, le regard du Jounin se posa sur l’homme qui était en train de dormir protéger par le sable qui lui recouvrait une grande partie de son corps. Oui, il n’y avait pas à en douter, bientôt il les ralentirait, la situation n’en serait que pire. Cependant en écoutant sa coéquipière, elle semblait avoir un plan au cas où ils prendraient trop de retard, il se contenta d’un signe de tête tout en serrant les bras contre son torse. Il pouvait lire en elle, bien plus que les précédentes fois, elle se laissait un peu plus aller que lors de leur dernière rencontre, ce qui dans un sens le rassura. Se souvenant du rêve qu’il avait fait, il se demandait dès lors à quel point cette femme deviendrait importante pour lui ? Il resta quelques secondes silencieuses, puis acquiesça lorsqu’elle lui proposa de prendre le premier tour de garde. Il resta immobile quelques instants, puis elle lui annonça qu’elle devait vérifier sa tenue du désert. Une Tekika, il lui précisa alors qu’elle s’éloignait que cela faisait bien longtemps qu’il n’avait plus eu la chance d’en porter une. On pouvait lire dans sa voie une certaine nostalgie, il se surprit même à penser à cette traversée qui l’avait conduit à Suna. Il savait se mouvoir dans le désert, son endurance était surprenante pour quelqu’un de Suna, son corps était resté vigoureux, il détenait encore la force du désert profond en lui, elle devait certainement le voir, cependant sa tenue lui faisait plus ressembler à un marchand itinérant plutôt qu’a un véritable nomade.
Lorsqu’il sortit de ses pensées, il remarqua que la jeune femme n’était plus a son côté, il la chercha durant quelques instants, puis ses yeux se posèrent sur une silhouette non loin de là. Ses yeux s’écarquillèrent lentement, sa bouche s’entrouvrit. Il resta complétement immobile, les rayons du soleil se levant se mourraient derrière la jeune femme, se reflétant dans l’eau à son pied, sa tenue Shinobi ainsi que sa cape en bas de ses jambes, celle-ci recouvertes encore par la Tekika, cependant la partie du haut était détachée, tombant au niveau de son bassin. Ses cheveux d’ébène descendait jusqu’au milieu de son dos, sa peau était d’une couleur brunâtre prouvant sa vie dans le désert, il voyait les courbes de son corps se dessiner devant ses yeux. Oh, il n’y avait rien de provoquant là-dedans, elle tournait le dos à son coéquipier, il ne pouvait décemment rien voir, cependant ce bref aperçu du corps de l’amazone, lui avait fait perdre ses moyens. Pourtant ce n’était pas la première fois qu’il voyait une femme dénudé, mais cette fois ci fut différente. Tel un choc, son espace s’était rapetisser, effaçant ce qui l’entourait pour ne laisser que Moeko devant lui. Il lui fallut un long moment pour se rendre compte qu’il fixait la jeune femme, reprenant ses pensées, il se tourna, marchant vers l’oasis. Alors que plusieurs mètres les séparaient, il se retourna de nouveau, pour apercevoir la jeune femme s’atteler au bas de sa tenue. Se retournant immédiatement, il songea que tout ce qu’il savait des nomades était très mince. Il avait un désir inassouvie d’en savoir plus, de retrouver ses racines, pas celle de son clan, mais celle a la base de celui-ci. Qu’étaient réellement les Satori ? Il se surprit à en vouloir à ses parents d’être mort sans le lui avoir dit, arrivant près d’un arbre mitoyen à celui où s’était assoupis Jakis, le jeune homme se courba pour se laisser tomber par terre. Posant sa main contre son menton, il frotta sa peau, une barbe naissante était en train d’apparaître sur celle-ci. Il laissa tomber sa tête contre le tronc de l’arbre derrière lui. Il était un homme à présent, pourtant il continuait à vivre selon des enseignements qu’on lui avait dispensés étant enfant. Peu importe ce qu’était les Satori, il était le dernier à en porter le nom, il était capable de donner la tournure qu’il désirait a son clan. Méditant là-dessus, il se laissa aller, profitant des quelques heures de repos qui lui étaient offertes. Remontant le tissu qui entourait le bas de son visage sous son imposante cape, il prit garde à ne laisser aucune partie de son corps a découverte, tira la capuche sur son visage, puis s’endormit très rapidement.
Ses rêves furent perturber par plusieurs pensées, il sembla revivre cette journée entièrement, mais il resta coincé sur les dernières images qu’il avait enregistré. Moeko, elle lui était étrangement familière, ils ne se connaissaient que depuis peu, pourtant il ignorait pourquoi un tel besoin de s’unir a elle l’oppressait. Il se retrouva debout, au sommet d’une dune en forme de dôme, son regard surplombait le lointain, le soleil était en train de se lever. Il portait une Tekika qui recouvrait tout son corps, les tuyaux presque invisible lui permettaient de recycler l’eau de son corps est d’en disposer à sa guise. Il portait un masque qui lui permettait de boire directement est d’économiser l’humidité de sa bouche. Son visage était encadré par le reste de sa tenue qui collait ses cheveux contre son crâne. Peu de parcelle de son corps était visible, seulement ses yeux, sombres, semblant appartenir à quelqu’un d’autre au vue de leurs expressions. Sa Tekika était recouverte par plusieurs morceaux de tissu enroulé autour d’elle, claquant au vent. Eux même recouvert par une Ersatz de couleur brun clair. Il portait dans sa main un bout de tissu couleur pourpre, sa main le serrait fort. Devant lui, le soleil faisait enfin son apparition, les rayons du soleil touchèrent son corps, le réchauffèrent, ses yeux se plissèrent sous la lumière qui envahissait le lieu sombre. Un brusque coup de vent frappa la silhouette, montant son bras, il lâcha sa prise qui virevolta puis disparue au loin. Hisoka s’avança, descendant la dune, avec une agilité qu’il ne se connaissait pas, il arriva presque en bas de celle-ci, puis prit une impulsion pour atterrir un peu plus loin. Un homme apparut alors de sous le sable, il était habiller tel que lui, sa peau était plus brune, ses yeux d’un gris profond. Il se releva est sembla se mettre au garde à vous. D’un geste de la main, le Jounin lui intima l’ordre de cesser cela. L’homme pointa dès lors du doigt un versant d’une dune au loin. Un groupe de personnes étaient en train de s’approcher. Sans rien dire, le Satori s’approcha d’eux, il détailla rapidement les personnes présentes. Ils étaient une dizaine, mais seule une personne l’intéressait. Une jeune femme, la troisième du groupe sortit de celui-ci et s’approcha d’Hisoka. Fier, forte, tout dans sa démarche montrait son appartenance au désert, elle était une nomade, elle possédait la volonté du désert. L’ibad. En arrivant l’un en face de l’autre, les deux personnes semblèrent s’échanger un regard intense, bien plus fort que toutes les étreintes ou les mots existants. Tout autour d’eux, s’élevaient alors du sable des centaines d’hommes, tous portant l’apanage du désert. A perte de vue, des hommes, des femmes, des enfants, armées pour le combat. La femme face à Hisoka lui fit un signe de tête, puis leva son bras droit, commençant à marcher, chaque personne présente sembla suivre la volonté de la femme. Le jeune homme resta pensif, observant cette scène, puis une fois que ses yeux se décollèrent du bas du dos de la jeune femme, prit lui aussi la marche présente.
Les yeux d’Hisoka se rouvrirent tout naturellement, dans un sursaut, il se rendit compte que Moeko se trouvait devant lui, sa main droite posée contre son épaule, c’était donc elle qui l’avait réveillé. Il espaça d’un geste habitué sa capuche est son masque improvisé. Il détailla le visage de la jeune femme, puis regarda autour de lui, le soleil était déjà haut dans le ciel. Se redressant, Hisoka jeta un coup d’œil à l’émissaire, celui-ci dormait encore le mieux du monde. Il fit signe a sa coéquipière de prendre sa place. Puis lui sauta de bien se reposée. Il lui lança un sourire chaleureux, puis s’éloigna vers le bassin. S’accroupissant devant ce dernier, il retira le tissu qui recouvrait sa bouche, joignit ses mains l’une dans l’autre, puis commença à boire plusieurs grosses gorgée. Une fois sa soif passée, il essuya ses lèvres avec sa manche, puis se redressa. Il allait les laisser dormir encore une ou deux heures, puis ils devraient reprendre la route. Sortant de sa poche a rouleau sa carte, il passa le temps en vérifiant, puis en estimant le temps qu’ils leurs restaient. Moeko avait raison, leur homme ne ferait que les ralentir… Mais ce fut autre chose qui encombra son esprit pour l’heure. Ce rêve. Un sourire naquît sur son visage, il ne le comprenait pas, mais ses yeux se posèrent sur la jeune femme qui était en train de s’assoupir. Oui il était un Satori, mais il n’avait d’or est déjà plus rien à voir avec ceux de son clan. Sa main se stoppa tout naturellement avant de ranger la carte, il la fit revenir devant ses yeux, fixant le rouleau qu’il tenait. Son esprit divagua, mais pourtant il se sentait prit d’une impression de liberté immense, il était le plus lucide possible. Serrant ses doigts autour du papier, il brandit son bras puis jeta le rouleau dans le centre du bassin qui était devant lui. La carte se disloqua rapidement, ne laissant que les bordures de cuirs est de métal qui composait le parchemin, flotté a la surface, puis finalement coulée. Le sourire sur ses lèvres se fit plus présent, alors que ses yeux changeaient.
Deux heures passèrent, le Jounin était resté immobile, fixant l’eau devant lui, il avait eu le temps de remplir les gourdes de l’émissaire, puis finalement était resté là, sans pensée a autre chose qu’à leur voyage. Alors qu’il pensa aller réveiller sa coéquipière, celle-ci apparut derrière lui. Bien sûr cela ne le surprenait pas, les nomades ne dormaient jamais que d’un seul œil. Il ne lui parla pas, restant silencieux, il lui tendit simplement une gourde déjà bien entamé, certainement celle qu’il avait gardé près de lui pour son tour de garde. Puis il se leva, s’avança vers celui qu’ils devaient protégés. Posant un genou au sol, il le secoua sans ménagement pour le réveiller. Celui-ci cria de peur, ce qui fit installer du dépit sur le visage d’Hisoka. Qui lui somma de se lever au plus vite. Retournant vers Moeko, il prépara les affaires de l’homme, qui finit par arriver. Jakis s’étendait de tout son long, puis prit la gourde que lui tendait la jeune femme pour boire les dernières gouttes d’eau encore présente dedans. Une fois fait, il la tendit vers la jeune femme, mais avant qu’elle n’ait eu le temps de dire quoi que ce soit, Hisoka s’interposa, attrapant brusquement le poignet de l’homme, il posa son regard sombre dans le sien.
" Il serait plutôt commode pour vous d’apprendre les usages du désert, celui qui vide un récipient d’eau doit le remplir. Dépêchez-vous, nous partons d’ici cinq minutes. "
Sa voie avait été clair, haute, puissante, une fois qu’il s’était assuré de s’être bien fait comprendre, il relâcha sa prise. Jakis quelque peu surprit de cette réaction s’avança vers le bassin, remplissant la gourde tout en se massant le poignet avec son autre main. Hisoka s’avança vers la sortie de l’oasis, suivit de près par la jeune femme, puis par le politicien qui suivait en courant pour rattraper les deux personnes. Le voyage reprit ainsi, après plusieurs longues heures, le soleil tombait lentement vers un coucher magnifique, les deux hommes n’ayant pas la tenue de Moeko semblait plus peiner à cause de la chaleur ambiante. Hisoka lui faisait montre d’une résistance assez impressionnante, se voulant digne du choix qu’il avait fait la nuit dernière, il continuait à marcher, ses yeux fixant le lointain, ne se concentrant sur rien d’autre que sur le désert. Quelque part en lui, il retrouva l’émotion qu’il avait ressenti dix années de cela. Il se sentait reprendre des forces, redevenir lui-même, tout en étant profondément changer. Il tentait de méditer sur ce qu’il avait décidé, sur sa vie, sur ses croyances, mais les plaintes de Jakis l’empêchait se concentrer. La voix fluette de l’homme gorgée d’eau commençait à l'insupporter au plus haut point. Déjà Moeko lui avait fait plusieurs remarques, elle était la moins patiente des deux, mais n’avait toujours pas explosée, ce qui allait évidemment bientôt arriver.
Levant son bras, sa main serrée en un poing, il stipula au groupe de s’arrêter, ils étaient devant des imposantes gorges qui s’enfonçaient dans le sable qui devenait roche. Des canyons, là-dedans, enfermés entre les rochers, la chaleur y était étouffante, il pensait plus prudent de prendre quelques minutes pour boire est reprendre des forces. Selon ses souvenirs, ces tunnels duraient au moins une heure est demi de marche à bonne allure, avec Jakis, deux heure tout au plus. Il serait hors de question de se stopper là-dedans, c’était bien trop dangereux. Consultant rapidement sa coéquipière, elle semblait approuver le choix, le politicien heureux d’enfin pouvoir se stopper, bu plusieurs gorgée d’eau. Puis une fois hydratée rangea sa gourde sa ceinture. Il demanda alors où ils se trouvaient. Vu que personnes ne lui répondaient, il reposa la question. Dans un soupire, le Jounin passa devant Moeko, puis lui annonça qu’il n’en avait aucune idée. Qu’il était sur la bonne route. L’émissaire laissa échapper un rire moqueur, puis désigna du doigt le bassin de l’homme, en lui faisant remarqué qu’il avait une carte, qu’il lui suffisait de la regarde. Pestant en silence, Hisoka se retourna, puis s’avança vers Moeko, Jakis relança un appel, visiblement il ne le lâcherait pas avant d’avoir eu une réponse. D’une voix calme, Hisoka lui parla alors.
" Je l’ai jetée, nous n’en avons pas besoin, le désert nous guide. Maintenant silence Jakis, économise ton eau. "
Jakis s’apprêta à prendre la parole pour se plaindre du fait qu’Hisoka ait jeté la carte, mais il comprit qu’il ne devait pas parler. Hisoka lui jeta un coup d’œil vers Moeko qui semblait le regarder du coin de l’œil, remontant son masque pour recouvrir le bas de son visage, le Jounin accompagné de sa coéquipière pénétrèrent dans les Canyons. Ceux-ci étaient composé de roche aussi tranchante que des rasoirs, du sable grossier étaient dispersés un peu partout. La roche s’élevait a plusieurs dizaines de mètres, des stalactites, des stalagmites étaient présents est menaçaient de tomber à la moindre vibration. La chaleur à l’intérieur de ses murs naturel était étouffante, si bien qu’Hisoka malgré toute sa bonne volonté fut contrait de doubler sa consommation d’eau. De la sueur était apparu sur la peau qui n’était pas recouverte de tissu, mêlé à la poussière, cela lui donnait un teint grisonnant. Il observait les deux personnes qui l’accompagnaient. Moeko faisait montre d’une maîtrise incroyable, sa tenue aidant, elle buvait sa propre eau, ce qui lui permettait de limiter ses pertes d’humidités. Quel habit incroyable, songea Hisoka. Quant à l’émissaire, il trainait, mais tenait mieux que ce que l’héritier des Satori aurait pensé. En effet, il semblait réussir à tenir l’allure, visiblement la remontrance d’Hisoka est de Moeko avait fait son petit effet, il se tenait à carreau, peut être que la chaleur y était également pour beaucoup dans son silence, ce qui n’était d’ailleurs pas plus mal.
Cela faisait presque une heure et demi que le groupe arpentait en silence les canyons, au vu des roches qui étaient en train de s’espacer a vu d’œil, du sable qui redevenait plus fin est de la chaleur qui retombait, il devait y en avoir encore pour un petit quart d’heure en maintenant cette allure. Contre toute attente le groupe avançait rapidement aujourd’hui, ce qui semblait avoir calmé les ardeurs de sa coéquipière, bien qu’il ne cesse de se demander ce qu’était ce plan dont elle lui avait parlée la nuit dernière ? Jakis ne prit la parole qu’une fois, pour demander s’il était possible qu’il prenne une portion de viande pour se nourrir. Le Jounin ne prit pas la peine de répondre, visiblement est ce fut surprenant d’ailleurs, le politicien s’adressait à la femme du groupe. Ce qui amusa énormément le jeune homme, bien que rien ne paraisse avec le tas de tissu qui recouvrait son corps, il était impossible de discerner la moindre trace d’esquisse de sourire.
Dernière édition par Hisoka Satori le Dim 24 Juil 2011 - 14:28, édité 1 fois |
 
Vijay Jagdish~ Fondateur & Ninja de Jiyuu ~▌Sanction : Aucune ▌Messages : 5547 ▌Age : 31 ▌Inscription : 09/03/2008 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | : (203/1000) | Âge du personnage | : 26 ans  | Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Ven 22 Juil 2011 - 18:16 | |
| Thrys :
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| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Mar 26 Juil 2011 - 19:01 | |
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Voilà des heures que nous marchions sous un soleil brulant. Je prenais la tête guidé par mon instinct nomade, suivant les courbes du désert qui m’indiquait la direction à suivre. Hisoka, lui restait plus proche de Jakis. L’émissaire souffrait de cette marche forcé. Cela ne pouvait que lui faire du bien, sont corps gorgé d’eau était une insulte au pays au qu’elle il appartenait, la souffrance du désert ne pouvait que le conduire vers l’humilité face au force supérieur de la nature. S’il prenait quelque stigmate du désert, cela ne lui ferait que du bien. Je marchais en silence, bien contente qu’Hisoka s’occupe de l’émissaire, ses questions souvent inutile ou déplacé avait l’art de m’agacer. Malgré son manque d’affection évident pour l’homme, Hisoka restait diplomate l’aidant quand il devait ou lui faisant remarquer la futilité de ses soucies. Personne n’avait encore perdu son sang froid et plus nous allions avancer vers des régions hospitalière, moins le risque serait élevé. Pour un petit groupe, une marche dans le désert demande une grande cohésion si on ne veut pas mourir ou s’épuiser inutilement. Jakis perturbait cette cohésion par son ignorance du désert. Il allait se rendre au pays de l’eau comme représentant le pays du vent mais ignorait jusqu'à la survie dans le désert. De mon point de vue cella était une aberration. Mais de toute manière, toute cette mission était une aberration. Mes semblants de connaissance en politique me suffisaient à comprendre que tout cela était une mascarade. Jakis devait négocier avec Kiri juste pour montré que Suna agissait. Suna pouvait donc rester neutre sans que son alliance avec Konoha ne soit menacée. Tout cella n’était que poudre aux yeux, Jakis n’étais pas la pour réussir à négocier mais juste pour faire croire que Suna agissait. C’était une politique hypocrite que je conchiais.
Malgré mes craintes, nous avancions à un rythme respectable. Nous aurions sans doute été deux à trois fois plus vite sans Jakis, mais il fallait faire avec. Observant l’horizon, j’avançais droit devant sachant parfaitement ou me conduisait mes pas, j’avais confiance en Hisoka pour me suivre, s’il n’était pas d’accord avec notre route, il lui suffisait de m’en faire part, mais il avait été claire, il faisait confiance a mes origines nomades pour nous conduire sur le meilleur chemin. Je ne savais plus exactement depuis combien de temps nous avions repris notre marche et en y réfléchissant, je n’avais pas le souvenir qu’on se soit arrêté. Pourtant nous avions quitté Suna en après midi avant de marcher de nuit pour dormir le jour. Je me perdais soudainement dans mes pensé ne sachant plus exactement depuis quand nous avions quitté Suna. Surprise par se manque de concentration anormale, je me tournai vers Hisoka pour lui faire part de mon soudain état d’esprit. Se pouvait il que le soleil m’ai tapé sur la tête, ce n’était pas impossible même pour une nomade. Mais quand je tournai sur mes talons plus personne ne me suivait, seul mes traces se trouvait derrière moi s’effaçant déjà après quelque mètre. Je ne comprenais plus rien, depuis combien de temps pouvais-je bien marché seule ou était passé Jakis et Hisoka. Je n’avais pas pu les semé c’était impossible, même si j’avais gardé une allure trop rapide Hisoka me l’aurait fait remarquer. Je scrutai l’horizon à la recherche d’un indice qui aurait pu m’aider dans la situation présente, mais le désert était à perte de vue et aucune vie ne semblait vouloir se montrer.
Je pris alors la décision de retourner sur mes pas, Hisoka ne devait pas être loin, peu être juste dans le creux d’une dune. Jakis avait du tombé et Hisoka c’était porté a son aide. Mais comment cela avait il pu m’échapper. Mes sens en alerte aurait du m’avertir qu’on ne me suivait plus, ce n’était pas normal. Je retournai d’une cinquantaine de mètre sur mes pas, avant de douter de la direction d’où je venais. Je n’aurais pas du faire face aux dunes, j’avais suivie la crête depuis le début et maintenant je leur faisais face, j’avais du me tromper en croyant suivre mes pas. Je remontai sur la crête d’une dune puis regardait de chaque côté. Il me fallut un petit moment pour me rendre compte que je n’avais pas la moindre idée de la direction à prendre, d’où je venais et ou je devais aller. Je levai la tête vers le soleil, pour observer sa position, mais tout aussi traitre que le désert, il se trouvait exactement a son zénith, pile ne dessus de moi. Jamais je ne m’étais perdu dans le désert, jamais. Comment cela pouvait-il m’arriver ici. C’était impossible, tout simplement impossible. Je sentie le doute et la peur m’envahir. Ne trouvant aucune autre solution, je retirai mon masque pour libérer ma bouche et appelait a plusieurs reprise mon coéquipier. Mais le vent semblait emporter mes paroles quand elle franchissait mes lèvres. N’aillant plus rien à perdre et sentant la panique de me gagner je poussai un crie en espérant qu’on m’entend et me réponde, mais le souffle du vent fut le seul retour.
Je remis alors mon masque en place et pris quelque long inspiration. Je devais en premier lieu me calmer, il y avait sans aucun doute une explication logique a tout cela. Le désert fait parti de moi, est comme l’extension de mon corps, je ne pouvais pas me perdre. J’avais juste eu un coup de chaleur un vertige et une perte d’orientation momentané rien de plus. Mais ou était donc passé Hisoka et Jakis alors. Il n’avait pas pue disparaitre d’un seul coup comme engloutie par le désert. Je m’assis alors en tailleur dans le sable, essayant de calmé mon esprit quelque peu perturbé par les événements. Je pris de longue inspiration et fermai les yeux. La peur est la petite mort de l’esprit, je dois la ressentir, la laisser me traverser me parcourir puis passé pour qu’au final il ne reste que moi. J’eu plus de mal que je le pensais pour retrouver une respiration normale et pour que la panique me quitte, une fois calme, je me concentrai sur les bruit alentour, le vent allait rapidement me montré la voie à suivre.
Je me redressai d’un bon quand j’entendis un étrange bruit, un bruit que je n’avais jamais entendu avant grave et sourd. Un bruit qu’il m’était impossible d’identifier. Observant les alentours, je réussie à découvrir la direction d’où provenait le son qui semblait se rapprocher, mais sans que je ne puisse identifier son origine. N’aillant pas vraiment d’autre option, je plongeai entre deux dune pour me rapprocher du bruit sourd qui gagnait en ampleur et masquait peu à peu le souffle du vent. Alors que je remontais difficilement la dune qui me faisait fasse, à cause du sable instable qui semblait s’écouler de plus en plus vite entre mes doigts, le son devint un grondement puissant et très proche. Je me tortillai tend bien que mal pour gravir la dune qui semblait s’effondré sous mon poids et je du me mettre a quatre patte pour atteindre son sommet. Mes jambes s’enfonçaient dans le sable de manière déconcertante et anormal pour la région, un peu comme si je me trouvais dans du sable mouvant, alors qu’il n’en existait pas dans cette zone du désert, même s’il fallut bien me l’avoué, j’ignorais dans qu’elle zone du désert je me trouvais.
Ma main pris enfin un appui peu sur au sommet de la dune, même si je m’embourbai de plus en plus je pu me hissé vers le haut, mais la surprise de se qui m’y attendait me fit basculé en arrière retombant quelque mètre plus bas à moitié ensevelie par le sable. Une énorme structure en bois surgit alors du sommet de la dune dans un grondement assourdissant, fendant la dune comme du papier. L’énorme structure était comme une lame plongeant dans le sable suivie d’un long arrondit qui glissait en grondant sur la dune. Je restais au sol surprise de cette apparition titanesque. La chose pointa vers l’horizon avant de piquer en avant et de s’écraser sur la dune suivant le coupant elle aussi en deux, se qui fit se redresser la structure qui recommença à pointer vers le ciel et l’horizon. La structure défila en dessus de moi un moment, long de plusieurs centaine de mètre, je n’avais jamais vue quelque chose d’aussi gros au milieu du désert. La structure en bois finit par disparaitre derrière la dune.
Je me redressai alors d’un bond pour gravir avec facilité la dune derrière la qu’elle l’étrange structure avait disparut. Une fois en son sommet, je pue apercevoir la chose qui s’éloignait rapidement bondissant de dune en dune, comme une lame géante a travers le sable. Sa ne fut qu’avec un peu de recule, que je reconnu la structure. Un grand navire de ligne était entrain de s’avancer sur le désert, c’est énorme voile déployer comme un oiseau mythologique gigantesque. Je restais abasourdie devant cette apparition qui me semblait aberrante mais que mon cerveau refusait d’effacer de devant mes yeux. Se fut alors que j’aperçu deux silhouette sur l’arrière du bateau, deux silhouette familière qui me faisait de grand signe de leur bras. Je reconnu alors Jakis et Hisoka qui semblait m’appelé mais leur parole était perdu dans le grondement du navire. Comprenant qu’il allait me semé, je me mis à courir dans l’espoir de rattraper le bâtiment, mais celui-ci fendait le désert a grand vitesse et plus je courais, plus il m’était difficile d’avancer. Je me sentais m’enfoncer de plus en plus dans le sable à chaque pas.
Les dunes se mirent alors doucement en mouvement mais prirent rapidement de la vitesse. Je les voyais se gonflé vers le ciel avant de s’écraser doucement vers l’horizon. Tout le désert semblait soudain prendre vie autour de moi. Les dunes se déplaçaient a vue d’œil et leur vitesse accélérait encore. Je fus poussé en avant par la dune sur l’a qu’elle je me trouvais avant qu’elle me rejette dans un creux. Je fus alors soulevé par la dune qui suivi. Je me sentie impuissante au milieu de ces dune en mouvement et le sable continuait à m’engloutir. Je me débattais de toutes mes forces, plus poussé par la rage qu’autre chose. Il fallait que je me redresse il fallait que je rattrape le navire avant qu’il ne s’éloigne trop. Les dunes continuaient à se gonfler et à se déplacer me repoussant comme une poupée de chiffon. Usant de toute ma détermination je finis par me redressé pour apercevoir à nouveau le navire qui avait pris une bonne longueur d’avance. Je me lançais alors à sa poursuite.
Mais quand je fis mon premier pas, le sable m’engloutie d’un seul coup et je chutai en avant. Je disparus entièrement sous le sable qui m’avala sans que je puisse faire quoi que se soit. Je vis alors la surface en dessus de moi s’éloigner peu a peu alors que je me sentais coulé. L’espace translucide autour de moi n’avait plus rien à voir avec du sable, du désert je me retrouvais au fond de l’eau, une eau si profonde que seul les ténèbres se trouvait sous mes pieds et que la lumière était doucement étouffer par les tonne de liquide qui me séparait de la surface. Je me noyais et j’étais incapable de faire quoi que se soit. Je me sentais doucement attiré vers les profondeurs sombres de l’océan alors que le navire disparaissait à l’horizon, m’abandonnant sur place à mon triste sort. Je pris conscience que je retenais ma respiration depuis que j’avais plongé et j’atteignais mes limites. Tout était calme et silencieux autour de moi, je ne me débattais plus, je n’en avais plus la force. Un autre combat était entrain de se dérouler, un combat entre mon corps et mon esprit. Je savais que je ne pouvais reprendre une respiration, j’allais me noyé, mais mon corps réclamait de l’air. Je ne savais pas pourquoi je luttais encore, si je prenais une respiration, je mourrais, si je n’en prenais pas, je mourrais. Sous ma faiblesse le corps finit par prendre le dessus sur l’esprit.
Je m’éveillai alors en sursaut cherchant l’air qui pourtant remplissait mes poumons. Je jetais un œil autour de moi et aperçu le soleil qui se couchait doucement à l’horizon alors qu’Hisoka veillait immobile au bord de l’eau. Voila que je me mettais à faire des cauchemars, il manquait plus que cela. Je me dégageai alors du petit monticule de sable qui m’avait protégé du soleil, époussetai un peu mes vêtement et me dirigea vers l’étendu d’eau. Hisoka me tandis une gourde avant d’aller réveiller l’émissaire. Alors que je portais la gourde a mes lèvres, je sentie mon esprit faire le tri entre mes rêves et la réalité. J’étais quelque peu remuer de la nuit que je venais de passé, mais heureusement mon corps me semblait reposé. Nous allions pouvoir marcher toute la nuit sans arrêt, en espérant que Jakis tienne le rythme. S’il l’avait tenu la nuit avant j’avais des doutes qu’il continue à cette allure et risquait de ralentir a tout moment. Mais mieux valait ne pas s’en occuper pour le moment. Levant la tête pour boire une longue gorgé d’eau, j’aperçu en dessus de nous un grand oiseau, un rapace a l’envergure non négligeable qui faisait des rond autour de l’oasis. Il était sans doute déçu de nous revoir en mouvement espérant que nous étions de la chaire morte avec la qu’elle il aurait pu se régaler. D’ailleurs vue sa taille, je me demandais comment il survivait dans une région si peut fertile, dans le désert profond les rare rapace sont de taille bien plus petite car les proies sont petites.
Une fois l’émissaire réveillé un peu en sursaut et debout, je lui tandis la gourde pour qu’il se désaltère. Mieux valait qu’il profite de boire pendant que nous avions un point d’eau. Notre prochaine arrêt allait être dans une cache de nomade et nous allions pouvoir remplir nos gourde mais non en abusé. La nuit allait être longue avant d’arriver à couvert pour le jour, mais notre temps de repos en sera bien plus agréable. Jakis bu de longue gorgé d’eau pour vidé la gourde avant de me la rendre. Voilà qui était typique de se genre d’homme s’attendant a se que tout leur soit servie a leur besoin et retiré quand il n’en désir plus. Je voulu prendre la gourde, mais Hisoka me pris de vitesse attrapant le poignet de l’homme pour lui demander de manière impérative de remplir lui-même la gourde qu’il avait terminé. Une fois de plus je ne ressentie que du mépris pour l’homme qui allait nous représenté a Kiri. Il n’était pas étonnant que les nomades n’aillent jamais vraiment pu négocier d’égale a égale avec le gouvernement, il se sentait supérieur et avait l’habitude qu’on les voie ainsi. Une fois la tension dissipée et les gourdes pleines, nous nous remîmes en route.
Les premières heures furent les plus pénible, le sable, aillant cuit toute la journée sous le soleil, était encore brulant et la chaleur étouffante. Mais plus nous allions vers la nuit et plus le temps allait se rafraichir. Il pouvait même faire très froid la nuit au milieu du désert, mais le temps était calme, le vent faible et le ciel dégager, dans peut de temps nous marcherions a une température des plus agréable. L’émissaire n’arrêta pas de se plaindre de la chaleur et du sable qu’il avait partout, a des endroits ou j’aurais préféré ne pas imaginer qu’il en ai. Je n’étais pas étonner vue sa tenu et la tempête que nous avions traversé le jour avant, il devait mâcher du sable toute la journée et quand ce n’étais pas le sable, c’était la chaleur et je présentais que quand la température serait plus basse se serait sa fatigue. Il n’avait pas idée de la quantité énorme d’humidité qu’il perdait à chacune de ses plaintes inutiles. Même de nuit, jamais il n’aurais pu voyager dans le désert profond, il aurait fait un parfait repas pour le rapace que j’avais aperçu plus tôt. Mais je restais calme et diplomate, lui faisant remarquer que ses plaintes ne servaient à rien et que nous ne pouvions pas y remédier. Mais mes remarques ne le faisais que marmonner d’autant plus dans sa barbe tout en vidant beaucoup trop rapidement sa gourde. Je sentais que ma gourde allait bientôt remplacer la sienne.
Nous finîmes par arriver devant l’entré d’un étroit canyon au sol meuble se qui allait nous permettre d’avancer plus vite. Le soucie était que le canyon avec ses longues parois rocheuse de chaque côté était comme un four à cuisson durant la journée et même la nuit la chaleur y restait étouffante. En plein jour, il était impossible de traverser. Hisoka pris l’initiative d’imposer une petite pause avant de s’engager dans le passage, pour profité de se reposé une seconde et de boire un peu tranquillement. J’en profitai aussi pour vidé au maximum les réserve d’eau que ma Tekika avait accumulé, le corps humain étant le meilleur endroit pour garder l’eau. Je souris aussi en entendant Jakis et Hisoka discuter, l’émissaire semblait s’inquiété de l’endroit ou nous nous trouvions alors qu’Hisoka lui faisait remarquer qu’il avait jeté la carte car il n’en avait pas besoin. Jakis était un imbécile, a quoi pouvait bien lui servir de savoir ou nous étions sur une carte, cela n’aurait rien changé a notre trajet. Hisoka, par contre me surprenait. Ma première impression sur lui avait été son côté discipliné et ordré. Ne plus avoir de carte, cela ne devait pas lui ressembler. J’ignorais s’il l’avait vraiment jeté ou seulement s’il ne prenait pas la peine d’assouvir la curiosité futile de l’émissaire.
Quand nous reprîmes la route, se fut d’un pas rapide, bien décider à traverser cette gorge brulante le plus rapidement possible. Je n’y avais jamais mis les pieds, mais je savais ou nous nous trouvions et je savais qu’en temps normal une heure et demie était amplement suffisant pour traverser l’endroit, mais avec l’émissaire qui trainais un peu les pieds, je craignais qu’il nous en faille un peu plus. Mais je ne m’inquiétais pas, si l’allure de l’émissaire restait notre seul ennuie durant le voyage, nous pourrions nous sentir heureux. Notre route évitait tout axe marchant ou village, se qui nous rendait le plus furtif que nous pouvions l’être et aucun pilleur n’allait attaquer trop personne au milieu du désert. Le butin serait trop petit d’abord et personne ne voyage en si petit groupe dans le désert a pars les shinobi. La chaleur dans le canyon montait plus haut que je me l’étais imaginer et je sentais ma Tekika travailler pour distiller l’eau recueillit sur ma peau. Jakis et Hisoka avançait toujours d’un pas rapide, mais je les voyait peiner sous l’effort, leur perte d’eau était, a mes yeux colossale. Nous allions devoir prendre sans doute plus d’eau que je l’espérais une fois arriver à l’ abri nomade. J’allais devoir prendre du temps pour trouver les pièges à vent disséminé autour de l’abri pour remettre un peu d’eau dans la citerne.
Par bonheur, l’émissaire garda le silence durant le trajet, sans doute conscient, après toute les remarque que nous lui avions faites, qu’il allait moins se déshydrater en restant silencieux qu’en se plaignant inutilement. Il allait peut être finir par marcher en silence même dans le désert avec un peu de chance, mais je n’y comptais pas trop, il avait sans doute déjà accumulé dans son esprit une petite série de plainte bien agaçante qu’il désirait nous faire par en espérant qu’on puisse les résoudre. Sa ne fut que vers la fin du canyon qu’il finit par parlé, espérant un petit morceau de viande pour étouffer quelque peu sa faim. Je fus étonné, en me tournant vers lui de voir qu’il s’adressait a moi et non pas a Hisoka. Il avait pourtant du ressentir le mépris que je lui portais tout en ignorant sans doute sa provenance. Je soupirais en silence devant la demande de l’émissaire avant de porté la main a ma hanche pour plonger celle-ci dans l’une des poche de ma tenu pour en sortir une petite bourse que je lançai a Jakis qui la rattrapa au vol.
- Se sont des fruits secs, évitez la viande en marchant. Mâcher longuement pour tromper la faim… et ne vidé pas la bourse.
Je me détournai alors de l’émissaire, qui eu le bon sens de me remercier silencieusement avant d’ouvrir la bourse pour mâcher quelque fruits secs. Nous reprîmes alors notre marche approchant de la sortie des gorges. J’étais plus tôt contente de voir le bout arriver, même si le sol dur était plus agréable pour se déplacer, le désert était plus rassurant, plus familier. Une fois les pieds à nouveau dans le sable, nous pûmes constater que la nuit était bien avancée et que des éclaircies apparaissait déjà à l’horizon. L’abri n’était plus très loin, mais nous allions sans doute avoir droit au levé de soleil. Sa ne fut qu’une fois a l’air libre que je me permis de boire quelque gorgé de ma réserve d’eau qui c’était doucement reconstituer, elle avait encore un gout un peu salé, mais c’était toujours mieux que rien. J’en profitai aussi pour reprendre la bourse à Jakis avant que l’idée d’engloutir tout les fruits secs ne lui vienne. Vu la quantité qu’il en avait engloutie, il ne devait pas avoir pris bien au pied de la lettre ma remarque sur le fait de bien les mâcher, mais je restai silencieuse.
Il ne nous fallut pas long pour que les structures rocheuses que je cherchais apparaisse à l’horizon. Je savais que la bas se trouvait des grottes ou nous pourrions nous reposé au frais et ou nous pourrions remplir nos gourdes dans une citerne cacher des nomades. J’espérais que la place soit libre et qu’aucune caravane nomade ne c’était arrêté pour la journée, je ne connaissais pas les clans dans cette parti du désert, mais je doutais qu’il apprécie de voir un homme comme Jakis rôder autour de leur citerne d’eau si précieuse. D’un point de vue théorique, les citernes étaient pour tous voyageur, qu’importe ses origines. Mais les citernes étaient cacher et seul a nomade savait ou les trouver. Alors que le soleil se levait devant nous, nous finîmes par atteindre les piques rocheux déchiqueter par les tempêtes de sable. A première vu aucun clan ne semblait être présent et j’en fus soulagé. Il ne fallut pas long pour que je reconnaisse des signes de passage humain sur les rochers alentour et que je nous découvre une grotte peu profonde mais assez largue pour nous accueillir tous trois.
Jakis fut heureux de constater qu’il n’allait pas avoir besoin de s’ensabler pour dormir et que cette fois nous nous trouvions à l’abri du vent et de la chaleur du jour. Le bivouac fut rapidement mis en place par Jakis et Hisoka alors que prenant les gourde, je parti seule a la citerne pour les remplir. Je préférais que Jakis ne voie pas la citerne de peur qu’il ait soudainement l’idée d’y prendre un bain. Rien que l’idée m’hérissait le poile. Mieux valait qu’il ne se l’imagine même pas. L’entendre le proposer m’aurait sans doute fais exploser. J’en profitai aussi pour faire le tour de la zone cherchant les pièges a vent, mais un clan avait du s’arrêté ici peu avant nous car il était tous presque vide. Une fois le tour de la zone faite, je retournai vers la petite grotte ou Jakis avait pris ses aises en observant Hisoka préparer le frugal repas. Nous nous assîmes alors silencieux mangeant un peu de viande sécher de pain et de fruit sec. Une fois le repas terminé, je donnai à Jakis un baume pour enduire ses pieds de quoi soigner les deux cloques qu’il s’était fait. Après cela il parti se coucher sans demander ses restes et s’endormie comme une masse. Je me posai alors en tailleur au côté d’Hisoka qui semblait bien décidé à prendre le premier tour de garde.
- Je crois que nous sommes suivis.
Je lâchai cette phrase de manière neutre, laissant un temps de silence pour laisser à Hisoka le temps d’assimiler l’info. Je n’étais pas tout à fait sur de se que j’avançais, mais je ne devais pas ignorer la menace tout cela par se qu’elle ne tenait que sur un détaille. Mieux valait être prêt au pire que de se faire surprendre. Je préférais donc prendre en compte se détaille. Une fois Hisoka attentif, je continuai.
- Hier soir à l’oasis. Il y avait un rapace qui nous survolait. Je n’ai pas pris garde sur le moment et sa n’est peut être rien. Nous nous approchons de la frontière nord et l’oiseau peux venir de n’importe où. Il avait une envergure plutôt impressionnante par rapport au rapace natif du désert. Ce n’était pas un oiseau du désert sa taille doit indiquer qu’il vient d’endroit ou il peut attraper des proies plus grosse que des truites des sables ou des souris. Il y a une possibilité pour que cet oiseau nous survolait car il nous cherchait. Des shinobi sont spécialiste dans la symbiose humain-animal, nous devrions rester sur nos gardes. Il ne doit pas avoir foule au courant de notre mission et la menace la plus présente peu venir d’autre pays shinobi mineur voyant leur intérêt dans une guerre entre deux pays majeur, surtout après ses dernière année. Certain pourrait voir une opportunité de gagner en puissance et en influence. Je doute que se soit des shinobi de village caché qui nous suive, si on nous suis. Mais plutôt d’ancien Shinobi reconvertie en mercenaire. Je doute qu’un village mineur prendrait le risque d’envoyé un des leur, si il est identifier le retour de manivelle pourrait être très douloureux. Au final sa ne peut être qu’un oiseau venu du nord, mais mieux vaux rester attentif et si jamais guetté la présence du rapace.
Sur le coup, je me demandais si Hisoka allait me prendre pour une parano. Un oiseau restait un oiseau, mais mon raisonnement n’était pas faux non plus. Si des mercenaires avait été envoyé a nos trousse, il était sans doute spécialiste en en traque. Elever un rapace pour qu’il soit les yeux des mercenaires dans le ciel était un atout de poids. J’en faisais peut être trop, mais le fait que le détaille de l’oiseau m’ai marqué me poussait a la prudence.
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| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Mer 27 Juil 2011 - 15:46 | |
| La traversée du Canyon était longue, éprouvante, même pour un corps aussi solide que celui d’un Shinobi entraîné et rôdé aux mécanismes du désert. Hisoka souffrait, sans rien dire, se cachant dans son épaisse cape, il avançait, son visage transpirait, il était conscient de la perte d’eau immense que son manque d’équipement causait. Cependant il ne pouvait rien n’y faire non plus, il se devait simplement d’avancer, plus vite ce coin du désert serait passé, plus vite son eau ne serait plus gâcher. Il n’échangea aucunes paroles avec les deux autres personnes présentes pendant tout le long de la route cernée de roche. Se contentant d’écouter Jakis demandant à Moeko si il pouvait prendre à manger. Elle lui confia sa propre ration de fruits secs. Ce qui était surprenant au vu de son attitude envers lui. Les yeux sombres d’Hisoka se risquèrent à contempler la jeune femme, peut-être n’était-ce pas si étonnant, le désert était rude, il avait formé son clan au rudiment de la survie en territoire hostile, bien qu’elle respire la difficulté, elle restait capable de faire preuve de beaucoup de discernement ce qui était à la fois impressionnant est courageux. Cet homme ne méritait pas qu’elle prenne sur elle autant pour satisfaire ses caprices, bien sûr si il avait mangé des portions de viandes il aurait ralentit au final tout le groupe, cependant il ne pouvait s’enlever de l’idée de tout ce que les sédentaires avaient causés au nomades durant tant d’années. A cette idée un malaise survint en lui. Il analysa tous les éléments qu’il possédait, ce qui lui permettait d’oublier la souffrance que lui imposait la chaleur étouffante de la gorge.
Moeko Takata, provenant du clan Takata, un fier peuple de nomade, pratiquant d’une croyance dont il ignorait le nom mais qui semblait rythmer bien plus qu’un simple désir de croire en quelque chose, elle semblait donner un sens à cette vie, une manière de comprendre, de voir des choses bénignes. L’espace d’un instant sa pensée se stoppa, s’arrêtant sur ce désir de croyance, elle croyait en quelque chose, la ferveur qu’elle avait eue chez elle revenait s’insinuer en lui. Mais lui, en quoi croyait-il ? Il n’avait jamais été mis au contact de quelques religions que ce soient, il avait même suivis les enseignements de sa génitrice lui interdisant de croire en quoi que ce soit. Bien sûr, il était capable de dire que tel ou tel croyance lui plaisait, lui était plus intime, mais en quoi croyait-il ? Ce profond vide en lui, cette flamme qui s’éteignait semblait de plus en plus s’éteindre, alors que d’un autre côté son choix de se débarrasser de la carte lui redonnait une toute autre force. Le changement s’opérait, bientôt il pourrait être capable de voir autrement, mais en attendant il devait se fier à ses yeux, à ce qu’il avait appris de lui-même. La confiance qu’il avait placé en ses parents s’effritaient petit à petit, il entrevoyait sans le vouloir le but, la finalité de son éducation, si il voyait juste… Ses yeux étaient toujours posés sur Moeko, légèrement devant lui, oui s’il voyait juste elle était d’une importance capitale, tout comme lui. Il se risqua a terminer son observation, la guerre entre Suna où plutôt entre le seigneur du pays du vent est les nomades étaient aussi vieilles que la création du pays, mais plus les clans de Ninjas se rassemblaient sous la bannière des villages, plus ils oubliaient les anciennes coutumes, plus les nomades perdaient de membres. Leurs forces drastiquement diminués, ils étaient en position de faiblesse, au bord du génocide en ces temps reculés, la chasse au nomades n’était-elle pas un sport sacro-saint ? Cette idée étira les lèvres du Jounin d’une moue de dégoût. Pour éviter la mort, ils avaient conclu ce pacte, que chacun connaissait, sans pour autant se rendre compte de son importance.
Les nomades étaient de constitution rude, ils avaient un physique endurant, leurs vies leurs permettaient de devenir très fort, ils étaient, dans l’ancien temps, lors des guerres incessantes des premières années d’existence des villages cachés, de très bonne première lignes. Puissant, résistant, en dehors de la société, qui viendrait pleurer ceux que tous considéraient comme des barbares ? Personnes bien entendu, ils avaient servis la glorieuse Suna de bien des façons, aujourd’hui encore avec ce maudit pacte, chaque chef de clan nomade réputé, devait envoyer son enfant pour servir le village. Une manière de coupé les futurs éléments nomades de leur maison, de les empêcher de prendre de l’importance est donc avoir une chance que le clan s’éteigne, tout en ayant un exemplaire unique de personnalités du désert. Il n’en avait pas encore parlé à Moeko, mais il était sûr qu’elle était victime de ce contrat injuste est rabaissant envers son peuple. Loin de chez elle, elle ne devait pouvoir y retourner que lors de ses permissions, sachant que celui-ci vivait dans le désert profond, donc que ce n’était pas la porte à côté, elle ne devait pas souvent y rentrer. Il savait simplement des ouï-dire, que les nomades envoyés à Suna avaient le droit de retourner chez eux lors des événements spéciaux. Fête, cérémonie, rite en tout genre. Sa connaissance sur cette accord entre les premiers nomades est les premiers conseillers du pays était plutôt faiblarde, il ne connaissait que les grandes lignes, cependant il se doutait que cette femme qui marchait devant elle devait en savoir bien plus. Elle était victime des choix est des faiblesses des premiers nomades ayant préférés renier leurs racines pour s’engager dans le mouvement général. En cet instant, il fut pris d’un profond sentiment d’antipathie envers Jakis. Oh bien sûr il n’avait rien à voir là-dedans, cependant il cautionnait cette idée, que les nomades n’étaient rien de plus que de vulgaire sous-hommes. Alors qu’il allait se retourner pour prendre la parole à son encontre, d’imposantes grottes apparurent au loin, alors que la sortie du Canyon se profilait un peu avant, ce qui réjouit Hisoka est lui fit oublier son amertume durant quelques secondes.
Le groupe se stoppa à la sortie du Canyon, le Jounin porta sa main sous sa robe, décrochant de sa ceinture l’attache qui la reliait à sa gourde. La portant à sa bouche, il en but de longue gorgée, les espaçant suffisamment pour que l’eau l’hydrate correctement. Il soupira de plaisir en remettant son récipient en place, puis fit un pas en avant pour aller vers le repaire. C’était Moeko qui lui avait parlé un peu plus tôt dans la journée de cet endroit, c’était dans ce genre de lieu que les nomades venaient recueillir de l’eau qui était préalablement piégé dans les pièges à vents, ils se reposaient, puis partaient continuant leurs routes interminables. L’idée de se retrouver en ce lieu ne pus que lui faire un pincement au cœur, son peuple, son appartenance venait ici, lui-même pour la première fois allait fouler la terre de ces lieux. Son corps s’élança le long de la dune, sa main légèrement en retrait, ses pieds s’élevant par à-coup pour éviter les chutes de sables. En quelques secondes son corps était déjà en bas de l’imposante masse de sable, il observa en arrière, ses deux compagnons étaient eux aussi en train de descendre. Il se retourna pour prendre le chemin vers le refuge.
L’impression de proximité ressentit entre les roches du Canyon avait trompé le Jounin, le refuge était encore bien loin, la nuit arrivait à son terme, on pouvait déjà deviner les rayons du soleil qui apparaissaient au loin derrière les imposantes Duna qui couvrait l’horizon. Ils dormiraient certainement dans le refuge, quelques heures puis reprendraient la route, ils avaient bien avancé, dire le contraire serait mentir. Bien sûr si les deux Shinobis avaient été seuls, ils seraient déjà bien plus loin mais qu’importe pour le moment tout se passait relativement bien, mis à part les répliques incessantes du politicien, ce qui commençait a véritablement agacé le Jounin. Se retenant de tout son être pour ne pas lui dire ses quatre vérités, il se retourna, voyant que Moeko est l’homme en question était justement en train de pratiquer un échange. Il rendait la bourde a sa coéquipière, celle-ci jaugea au poids le contenu du petit sac, une mine dépité apparue sur son visage, il comprit rapidement qu’il n’avait guère prit gare à ce qu’elle lui avait dit lors de la traversée du canyon. Laissant couler cependant, la seul hâte du ninja était que l’émissaire n’aille dormir, offrant ainsi un moment de répit à ses deux gardes du corps. Ils avançaient rapidement, une demi-heure plus tard le refuge était à portée. Le sable devint dur sous leurs pieds, la roche remplaçant les grains de sable. Observant autour d’eux, Hisoka nota les traces apparentes de mouvements, quelqu’un était passé ici dernièrement, quoi de plus anormal pour un refuge ?
Cependant l’idée que le terrain n’était pas immédiatement sûr lui était déplaisante, il demanda alors à Jakis de rester près de lui avec un ton impératif, l’homme ne demanda pas son reste, devinant qu’un changement s’était opéré chez le jeune homme. Lui qui au début de la mission lui parlait est tentait de faire le lien entre lui est la jeune femme, était devenu peut être plus froid que cette dernière. Mettant sa sur le fait qu’ils étaient certainement éreintés par cette mission est sa difficulté, il haussa les épaules tout en restant près de son protecteur. Ce dernier voulu observer où était Moeko mais celle-ci s’était déjà emparée des gourdes pour aller faire le plein. Certainement un réservoir caché que seul les nomades connaissaient. Jakis demanda où elle était, détournant son attention, le Jounin ne lui répondit qu’en lui demandant de le suivre. Soupirant, il se laissa cependant faire. Les deux hommes pénétrèrent dans une grotte aux alentours.
C’était d’un confort plutôt spartiate, rien de plus étonnant après tout, mais le politicien semblait s’attendre à mieux, il grogna légèrement, mais finit par aller s’asseoir près d’un mur naturel, s’adossant a celui-ci, il observa le Jounin en train de sortir ses affaires. Quelques morceaux de viandes, un peu de pain, quelques rations de fruits secs, il tira également la gourde d’eau qu’il avait gardée sur lui, la posant a côté de lui. Il s’attela donc à préparer un semblant de repas, définition même, il séparait les divers aliments est les répartissaient en pars égal. Une fois fait il leva son regard vers l’entrée de la grotte, sa coéquipière n’était toujours pas revenue, elle devait certainement s’assurer que l’endroit était sûr. Le politicien commença alors à parler sur la jeune femme, donnant un léger coup taquin avec le bout de son pied sur Hisoka pour qu’il l’observe. Un sourire pervers s’affichait sur le visage rempli d’eau de l’homme, il lui lâcha comme une simple constatation, qu’il trouvait cette Moeko Takata très accueillante, s’il voyait ce qu’il voulait dire. Le visage d’Hisoka réprima une moue dédaigneuse, affichant un froid calculé, sa main gauche qui était posé sur la portion de Jakis, se serra autour des aliments enveloppés dans un bout de tissu puis il lui tendit d’un coup sec en lui ordonnant de se la fermer une bonne fois pour toute. Au même moment la jeune femme apparaissait près du bivouac improvisée, ce qui surprit le jeune homme qui réprima un sursaut. L’avait-elle entendue ? Peu importe après tout. Il attrapa les aliments de l’amazone puis lui tendit calmement. Attrapant sa nourriture, il s’assit sur un rocher posé en face du politicien. Mangeant lentement, il prit le temps de savourer les aliments, mâchant longuement, peu importe qu’ils étaient en train de faire une pause, si il pouvait conserver un peu de ration en plus c’était toujours ça de pris.
Une fois le repas terminé, le politicien retira ses sandales, se massant les pieds, deux cloques étaient apparues sur chacun de ses pieds, il n’eut pas le temps de se plaindre, que déjà Moeko lui tendait un baume qu’elle lui recommanda d’appliquer dessus tout en se massant. Ce que l’homme fit immédiatement la remerciant en lui lançant un sourire hypocrite a la jeune femme. Le jeune homme lui était occupé, il retirait le sable qui était rentré sous ses habits, s’étant mis debout, il s’était enfoncé quelque peu dans la grotte, quelques mètres tout au plus. Les rayons du soleil étant maintenant assez importants, pour qu’une ambiance tamisée se forme pour éclairer la grotte. Retirant son imposante cape, il la posa a côté de lui après l’avoir fait claqué d’un coup sec. Retirant son pourpoint de cuir qu’il portait par-dessus une tunique faite d’un tissu qui semblait plutôt rêche. Il l’épousseta également, ainsi que la tunique elle-même après l’avoir retiré. Il savait que la nudité chez les nomades n’était pas un tabou, Moeko lui avait montré, bien qu’elle semblait avoir retenue sa nudité pour ne pas choquer l’homme derrière elle. Frappant du plat de la main son pantalon sombre, il finit par le retirer, ne portant plus qu’un sous vêtement cachant son intimité, il frappa rapidement de manière frénétique le pantalon pour enlever toute traces de sable à l’intérieur. Il se détailla rapidement, cette traversée éprouvante l’avait fait transpiré, son corps luisait sous l’humidité encore présente dessus, soupirant, il remit finalement ses habits satisfait, il ne serait plus gêner pour le moment par le sable. Si irritant lorsqu’il était en contact prolongé avec la peau, surtout lorsque celle-ci suait de tout son être.
Resserrant les lanières de cuirs pour maintenir sa protection autour de son torse, il remit immédiatement sa cape, s’enveloppant à l’intérieur, il fit bien attention que chaque parcelle de son corps soient cachés, il était inutile qu’a peine nettoyer le sable revienne à cause d’une mauvaise fermeture. Il ne tira cependant pas sa capuche sur son visage, la laissant pendouiller dans son dos. Lorsqu’il se retourna, Jakis venait de finir de s’appliquer le médicament, Moeko quand a elle le récupérait. Il arriva près d’elle, puis se remit à sa place. Silencieusement, ses yeux fixaient devant lui. Il resta ainsi quelques minutes, seul le mouvement du corps de Moeko se levant le tira de sa torpeur. Il remarqua alors que leur protégé était déjà en train de dormir un peu plus loin dans le fond de la grotte. La nomade se plaça en tailleurs a ses côté, un sourire apparut sur le visage d’Hisoka, elle lui annonça alors d’un ton neutre qu’elle les pensait suivis. Les yeux d’Hisoka se froncèrent légèrement, il n’avait rien remarqué, cependant il savait que les nomades avaient un véritable sixième sens pour repérer de petit détails insignifiant pour tous. Il lui prêta alors l’oreille, d’un mouvement de tête lui signalant qu’il l’invitait à poursuivre. Elle lui expliqua longuement son point de vue, ainsi que les éléments qu’elle avait recueillis. Une fois qu’elle eut finie de parler, Hisoka tourna son visage vers le sien, il la détailla, elle semblait craindre qu’il ne la prenne pour une folle ou une paranoïaque. Cependant en assemblant tous les éléments, plus la confiance qu’il mettait en son jugement, tout cela était plausible. Il ferma les yeux, se concentrant pour ranger les nouvelles informations.
Ses énormes oiseaux n’étaient pas natifs du désert, c’était sûr, ici les animaux étaient plutôt de petites tailles, du fait du manque de nourriture, leurs corps s’étaient adaptés, un tel rapace ne pouvait survivre ici. Qui plus est le Kazekage les avaient prévenus d’un risque d’une attaque, dès le début du voyage le Jounin avait pensé aux raisons possibles que des hommes s’en prenne a Jakis, mais tout ceci était largement cohérent, bien sûr en enlevant ceux qui voudraient l’assassiner juste car il était complétement idiot, le reste eux ne voudraient certainement pas le laisser aller à Kiri. La guerre profiterait au village mineur, si aucun émissaire n’était envoyé, le statut de Suna serait incertain, bien que les négociations allaient échouer entre Kiri est Suna, le village du sable pouvait se prononcer neutre, ce qui ne mènerait pas la guerre sur le désert. Ainsi les plus petites communautés ne pourraient profité de la discorde majeure entre les puissants. Cependant, le visage d’Hisoka se tourna vers l’entrée, il y avait peu de chance qu’ils n’attaquent ce matin, le refuge ne permettait qu’une seul entrée, de ce fait les attaques à revers contre des ninjas, qui étaient encore le meilleur moyen de les vaincre étaient impossible. De son avis, ils attaqueraient plutôt de nuit, la nuit prochaine si une attaque devait avoir sa serait certainement cette nuit. Plus tard, le groupe serait trop proche du port, avant cela serait une folie, le soleil ne leur permettrait pas d’attaquer furtivement, qui plus est, les ninjas de Suna étaient doués pour se battre sous la chaleur du désert, ce qui n’était pas le cas de nombreux hommes. Mercenaires qui plus est comme l’avait dit Moeko. D’un signe de tête approbateur, il se retourna vers la jeune femme, l’observant dans les yeux, il lui lança un simple sourire pour la rassurer puis prit la parole.
" Très bien, si tu nous penses suivis je m’en remets à toi. Je te crois Moeko. "
Laissant quelques secondes se passés, Hisoka attrapa la gourde d’eau à ses pieds pour la portée a sa bouche, essuyant ses lèvres avec son avant-bras, il reprit la parole.
" Tout l’intérêt des pays mineurs résides dans le fait que la discorde entre Suna est Kiri pourrait leurs êtres favorables, en temps de guerre, le marché est limité, les produits du désert, étoffe, arme, herbes ou épices que l’on ne trouve que dans nos régions arides est dont le monde raffole ne pourraient plus être fournis par une nation en guerre. Je pense aussi que seul des communautés plus petites pourraient trouvés leurs compte dans une attaque sur Jakis. Cela leur permettrait de prendre le monopole de Suna est si le conflit dure assez longtemps, s’épanouir suffisamment pour ensuite prendre définitivement sa place. Les pays à proximités ont eux aussi accès au désert après tout. "
"Si nous devons essuyés une attaque, cela viendra de mercenaire, de déserteur tout au plus. Nous ne nous ferons pas attaquer par des Shinobis sous serments. Là est notre force, notre avantage. Nous sommes chez nous, ils en ont conscience, je pense qu’ils tenteront de nous attaquer de nuit, gardons un œil ouvert, mais le soir est le plus probable. Si jamais nous nous faisons attaqué, j’aimerais que tu gardes Jakis, j’ai lu ta fiche est certains de tes rapports, tu es une experte au corps à corps. Tu serais plus apte à le protéger. "
" Je vais faire le premier tour de garde, tu peux allez dormir si tu veux. "
Il lui lança un énième sourire, il savait qu’elle s’inquiétait, oui le fait était que bientôt le groupe devrait prendre la mer, l’attitude de l’amazone au fur et à mesure qu’ils se rapprochaient de cette éventualité changeait, il parvenait à lire en elle des signes d’inquiétudes qu’elle ne semblait pas contrôlé. Cependant, Hisoka était sûr qu’elle savait qu’il avait lu sa sur elle. Peut-être lui laissait-elle voir un peu de son inquiétude ? Reportant son attention devant lui, le Jounin porta sa main droite sur le sceau tatoué sur son poignet, un kunai en sortit dans un léger pouf de fumée. Le glissant dans la manche de sa cape, le jeune homme se releva, s’avançant vers l’entrée de la grotte. Il se stoppa à quelques mètres, là où le soleil tombait en ombre, puis se posa contre les parois de la grotte. Assis, adosser au mur, il regardait devant lui. Il n’était pas difficile de voir que quelque chose le préoccupait. Il se tourna vers la jeune femme une dernière fois, elle allait certainement aller se coucher, ils allaient dormir que très peu de temps. Le matin s’avançait déjà plutôt bien. Deux heures, trois heures de sommeil tout au plus. Cela suffirait. La tension que des personnes soient sur leurs traces n’était pas surprenant, cependant Moeko rien qu’en voyant un oiseau avait pu voir cela, Hisoka pouvait toujours essayer de simuler sa connaissance du désert, mais par rapport à elle, il avait encore tout à apprendre. L’ignorance est un don, car elle ouvre la voie de l’apprentissage. Il apprendrait d’elle tout ce qu’il devait savoir, il redeviendrait un Nomade, il ferait oublier son clan de sédentaire. Sa tête s’appuya contre le mur encore frais, il sentait sa main s’enlacer le long de la poignée du Kunai.
Quelques heures plus tard, rien ne s’était passé, il se releva lentement, s’aidant du mur, il marcha jusqu'à Moeko, celle-ci était encore en train de dormir, cependant rien qu’en s’approchant d’elle, ses yeux s’ouvrirent, il posa un genou près d’elle, puis lui expliqua que s’était son tour. Il jeta un rapide coup d’œil vers l’émissaire, ce dernier enfouis au fin fond de la grotte était couvert d’ombre, sa respiration était bruyante, plusieurs fois durant le sommeil de sa coéquipière, il avait été pris de l’envie d’aller le réveiller tellement le bruit était assourdissant. Il lança une plaisanterie pour sa coéquipière, lui demandant si elle pensait qu’il dormirait toujours aussi bien s’il savait qu’ils étaient pourchassés. Un sourire étira ses lèvres, puis un bâillement envahit son corps. Passant sa main gauche devant sa bouche, il devait bien avouer que la traversée du canyon l’avait épuisé sans les habits adéquats. Il tendit sa main pour aider la jeune femme à se relever, pour aller se reposer un peu lui aussi, puis reprendre la route, une rude journée les attendait demain, surtout le soir…
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| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Jeu 28 Juil 2011 - 18:16 | |
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Hisoka prit directement au sérieux mes soupçon, se qui ne me surpris guère. J’avais bien vu qu’il avait beaucoup d’estime pour mon origine nomade. Tout comme il me faisait confiance pour retrouver mon chemin au milieu de plaine de dune, il me faisait confiance pour remarquer un détaille déplacer. Le risque d’une attaque, quoi que faible, était présente. Jakis avait voyagé sous lourde escorte des villes du Sud jusqu'à Suna avant de partir avec nous. Un groupe avec la mission de l’éliminer l’avait peut être déjà repéré durant son voyage vers Suna. Ils leurs avaient suffit d’attendre un peu pour nous voir sortir du village cacher. Notre furtivité avait donc été plutôt inutile. Ils avaient sans doute attendu qu’on soit trop loin du village cacher ou de tout autre civilisation avant de pensé à attaquer ou peut être que la tempête lors de notre départ avait masqué nos traces se qu’ils leurs avaient fait perdre un temps précieux. Cella expliquait alors l’oiseau, si la tempête nous avait camouflé, ils n’avaient eu d’autre choix que d’envoyé l’oiseau au risque qu’il soit repéré. Mais au final tout cela n’était que théorie ne tenant que sur la présence d’un oiseau au milieu du désert. Nous devions rester sur le qui vive mais sans tourné a la paranoïa.
Vu que mon coéquipier me le proposait si gentiment, je le laissai faire le premier tour de garde. Je me mis donc au fond de la grotte ou nous nous trouvions pour me coucher dans ma cape. L’endroit n’était pas tout confort, mais restait plus agréable que l’oasis ou nous avions dormie le premier matin. En voyant Jakis coucher de tout son long sur la dalle de roche, je me réjouis d’avance d’entendre ses plaintes sur son mal de dos. Il allait sans doute s’éveiller courbaturé et nous en faire profiter comme a chaque fois que quelque chose le dérangeait. Je me mis en boule pour dormir, dos contre le rocher. Je n’étais pas épuiser mais le sommeil me pris tout de suite, je n’avais pas beaucoup d’heure de repos, mieux valait de pas en perdre. Ce jour la je ne rêvai pas, ou du moins j’ne n’en gardai aucun souvenir. Mon sommeil fut calme et reposant, malgré les ronflements de Jakis qui ne tardèrent pas à envahir notre abri.
Quand je sentie une présence prêt de moi, je m’éveillai d’un seul coup identifiant tout de suite la présence comme étant celle d’Hisoka. Sont tour de garde devait être finit. Il s’agenouilla a côté de moi me confirmant mes soupçons et me faisant une remarque amusante sur Jakis. Mieux valait qu’il ignore se que j’avais vu. Déjà insupportable en temps normal, s’il se sentait menacé, il risquait de devenir pire encore. Je m’étendis alors me redressant et laissant Hisoka trouvé un coin ou dormir. Je pris alors position prêt de l’entré ou je m’assis en tailleur. La garde de « nuit » était une chose utile, mais tellement ennuyeuse. Il fallait être prêt a faire face a toute menace, mais la plus après du temps la garde ne consistait qu’a resté assis pendant que ses coéquipier dormait. Je n’osais pas méditer, car même si mes sens restait en éveille, un shinobi spécialement discret pouvait tromper mes sens. Je devais dons resté éveiller.
Durant les premières heures, je restai tranquille observant les deux autres personnes qui se trouvaient dans la grotte. Jakis, malgré ces vêtements de circonstance, faisait tâche. On pouvait lire sur lui qu’il n’était pas de se monde. Il n’avait pas l’habitude du sable, de la survie ou même de marcher des heures durant. Il n’avait rien d’un natif du désert et pourtant, de pars les droit gouvernemental, il représentait plus le pays du vent qu’Hisoka ou moi. Je me redressais alors et m’approchai de l’homme qui ronflait inconscient que par se fait il nous rendait facilement repérable. Mais il ne savait pas se qu’était le risque de se faire égorgé ne pleine nuit, ni celui d’attiré des bêtes sauvage et affamé pendant son sommeil. Il n’était habitué qu’au luxe et à la richesse qu’il pensait avoir gagné et mérité. Si je n’étais pas une Kunoichi, si je n’avais pas donné mon allégeance au Kazekage et donc indirectement au gouvernement du pays du vent, il n’aurait eu droit à ma clémence. Je m’accroupi prêt de l’homme inconscient de ma présence, même ses instinct de survie n’avait plus d’emprise sur son corps gras. Je rejoignis mes mains devant moi avant d’effleurer le sceau que je portai sur l’avant bras, un petit « pouf » se fit entendre et un Kunaï se matérialisa dans ma main. Je jetais un œil vers Hisoka, mais il était trop loin pour que le son ait pu le réveiller et il ne semblait pas réagir. Une fois le kunaï en main, je me penchai sur Jakis et posai délicatement la lame froide sur sa gorge.
Il n’eu aucune réaction, son ronflement continuai de remplir la grotte, sans qu’une seul seconde il ne se doute de la menace qui pesait sur lui, sans qu’il se doute qu’une lame était posé sur sa peau prête a l’égorgé au moindre mouvement. Cet homme était pathétique et me dégoutait. Je retirai alors ma lame de sa gorge me redressant au dessus de lui. Voilà encore une tâche qui allait a l’encontre de ma morale. Protéger les faible était un devoir, mais cet homme se vautrait dans sa faiblesse à mes yeux il n’était qu’un animal esclave de la luxure et des richesses illusoire. Si j’étais libre de mes actions, je l’aurais sans doute tué sur place, sa personnalité était une insulte a l’esprit humain et ce n’était que compassion que de lui ôté la vie. D’ailleurs, nous n’avions pas vraiment besoin de lui pour cette mission. Je me remémorai les parole du Kazekage et a aucun moment il n’avait parlé d’amené Jakis en vie a Kiri. Le bute de la mission était d’assuré que les négociations ait lieu. Hisoka et moi-même étions bien plus apte a parvenir a un accord, car nous étions des shinobi tout comme ceux avec qui nous allions négocier. L’idée me séduit un moment, mais j’ignorai la réaction d’Hisoka si je prenais l’initiative pour cela. Je préférai donc ne rien faire pour le moment et observer l’évolution de notre mission. Avec un peu de chance, Jakis allait mourir dans une embuscade ou de fatigue.
Je retournai alors contre le mur de la grotte pour me rassoir. J’observai maintenant mon coéquipier Hisoka Satori, l’homme qui avait dit m’avoir vu en rêve. Il était peut être fou, c’était une explication plausible, mais dans le monde ou nous vivions, comment faire la différence entre la folie et la sagesse. En tend que Zenchist, je croyais parfaitement aux visions des rêves, la vie trouve toujours un moyen d’avancer vers l’harmonie. Il avait peut être été attiré vers moi pour une raison précise, une raison que ni lui ni moi ne pouvions comprendre, mais une raison tout de même. Je ne croyais pas au destin, chaque homme suis son propre chemin et l’assume par ses choix, mais je croyais en l’harmonie naturelle, celle qui pousse toute vie vers l’avant. Il m’avait vu en rêve et je le croyais. A se moment là, j’étais peut être aussi folle que lui. Nous commencions à peine à nous connaitre, mais il y avait de forte chance pour que notre nouveau binôme tienne quelque temps, nous allions donc faire connaissance plus intimant. Il y avait, par contre, une tension sexuelle qui c’était déjà installer entre nous, je la ressentais en le voyant et j’avais bien sentie son regard sur moi surtout l’autre jour a l’oasis alors que je me dénudais. Comme tous nomade Zenchist, je n’avais aucun tabou sur le sexe et j’assumai le fait d’être sexuellement attiré par cet homme tout comme lui était attiré par moi. Je ne parle pas d’attirance pervers comme Jakis qui, je le savais, observait mon corps, mais d’une attirance naturelle entre deux êtres pour atteindre un plaisir partager. Sa pudeur de sédentaire, qui lui faisait voir les relations sexuelles comme des instants très intimes et privé, m’amusait quelque peu.
A l’extérieur, la journée déclinait doucement et je mis un pied à l’extérieur pour observer les alentours. La chaleur n’était pas désagréable mais un peu lourde. Le soleil tapait beaucoup moi ici que sur mes terres d’origine. Nous allions bientôt pouvoir marcher de jour se qui devrait satisfaire Jakis qui se plaignais souvent de l’obscurité. Bientôt nous allions atteindre des portions du pays moins stérile, ou des arbres poussait et même de l’herbe par endroit. Je m’étais déjà rendu de ses régions mais cette fois j’allais traverser la frontière du pays. Je chassai de mon esprit tout de suite mon anxiété envers la traversé de l’océan pour le pays de l’eau. Cette peur primaire m’agaçait, mais je devais faire avec, ne pas l’étouffer et l’accepter. Ma peur avait pris ancrage sur mon ignorance, une fois sur le bateau, j’allais facilement pouvoir évacuer tout cela, mais pour le moment, il me fallait mis accommoder. Je profitai aussi d’être a l’extérieur pour me dégourdir les jambes, laissant un clone de boue a ma place a l’entré de la grotte, je m’éloignais un peu pour trouver une zone dégager. J’avais toujours vu sur la grotte ou nous avions fait notre bivouac et mon clone de boue était sur place, il n’y avait donc aucun risque.
Prenant alors position, je débutai alors un Kata basé sur mes attaque de type atemi waza. Même si le Genjutsu restait la voie vers la qu’elle je voulais me spécialiser, je ne pouvais laisser de côté mon affinité naturelle au combat au corps à corps. De plus j’étais bien plus doué pour le Taijutsu et le Genjutsu que pour le Ninjutsu. Ma réserve de chakra n’étant pas des plus grandes, le Ninjutsu m’épuisait vite, alors que mon contrôle quasi-parfait de mon flux de chakra me permettait de bien m’économiser sur les attaques de type Taijutsu et Genjutsu. Je suivais aussi un apprentissage sur les sceaux ninja, qui de mon point de vue était un domaine parfait pour servir de lien entre mon Taijutsu et mon Genjutsu. De plus ses spécialisations peu communes me permettaient souvent de surprendre mon adversaire. Mon Taijutsu restait pour le moment mon atout majeur durant un combat, mais bientôt cet atout serait surpassé par mon Genjutsu, mais sans qu’il en devienne désuète pour autant.
Les kata sont un bon moyen de se libérer l’esprit tout en laissant agir le corps, répété des mouvements encore et encore pour que celui-ci s’en imprègne et qu’en combat, ils en deviennent naturelle. Je connaissais par cœur mes kata et m’y adonnait souvent. Mes pieds glissaient sur le sable, formant des sillons autour de moi. J’avançais d’un pas pivotais reculait tout en restant sur la même zone, si mes mouvement était parfait et que je répétais mon kata, mes pied devait repasser exactement dans les même sillons que la première fois. Durant un Kata tout mon corps devenait une arme, l’atemi waza était basé sur la frappe des point vitaux de l’adversaire, de parfaite technique pour un combat au corps à corps. Mon pied droit glissai vers l’avant alors que mon gauche était fermement planté au sol mon bras droit frappa un torse imaginaire dans une attaque rapide et direct pour se replier immédiatement avant que tout mon corps ne devienne un ressort me propulsant vers l’avant pour frapper à nouveau, mais cette fois le cœur de mon adversaire fictif. Tout n’était que position déplacement puis attaque l’atemi était sensé mettre rapidement fin a un combat et cela en tuant de manière rapide l’adversaire.
Je m’adonnai au kata une bonne heure, avant de revenir vers notre abri ou mon clone surveillait sereinement l’ouverture. Le soleil tirait de plus en plus vers l’horizon et j’allais bientôt devoir réveiller mes compagnons pour préparé notre départ, mais il me restait encore une bonne heure même un peu plus. Je pris donc le temps de respiré pour me reposer de mon petit entrainement. Après ce petit effort physique, je me sentais bien, je me sentais éveiller et prêt a tout. J’avais les idées claires et j’avais hâte de reprendre la route. Je doutais fortement que Jakis puisse tenir le rythme aujourd’hui, il allait sans aucun doute commencer à devenir un boulet que nous devrions trainer. J’avais toujours ma petite idée pour nous éviter cela, mais je préférais m’en passé tend que ce n’était pas vraiment nécessaire. Une fois le soleil flirtant avec l’horizon je réveillai Hisoka et Jakis qui comme le jour avant sursauta a son réveille.
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| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Ven 29 Juil 2011 - 15:49 | |
| " Il suffit à présent ! Tes plaintes incessantes m’exaspèrent ! "
" Mais… "
" Il n’y a pas de mais ! Il n’est pas seulement ton fils, il est l’enfant de tout notre clan, tu le savais en te proposant pour le mettre au monde Jaina. "
La discussion semblait se terminer entre les deux participants, celle-ci se passait sous une sorte d’immense tente, de très grandes peau d’animaux étaient tendu entre les immenses piquets de bois qui soutenais l’armature en métal de la tente. Le sol était recouvert d’une sorte de paillasse faite de paille séché est coloré avec soins pour former des motifs tribaux ainsi qu’à chaque coin du tapis des scènes bien particulière. Parmi celle-ci, on pouvait distinguer des hommes est des femmes marchants à travers les dunes du désert, puis en tournant dans le sens des aiguilles d’une montre, on pouvait voir, une scène dépeignant la mort de nombreuses silhouettes dessiner dans l’encadrement précédent. Celui d’après montrait les survivants érigeant des toiles, des bâtisses vulgaires, s’installant sur un endroit fixe. Celle d’après montrait leurs village détruit, un seul être s’éloignant de celui-ci. Les motifs tribaux au centre, représentait des formes bien particulière, nombreuses, inconnues, elles devaient pour la plupart venir d’ancienne croyance, cependant on pouvait reconnaître, au centre même de tous ces traits, un animal bien particulier. Un phénix, c’était tout du moins ce à quoi il faisait penser. Les côtés de la tente étaient recouverts par des teintures religieuses, désignant des hommes accroupis, priant devant une immense dune recouverte d’un soleil. Celle tout au fond, était cependant différente, on pouvait y voir les esquisses grossières, d’un désert immense, le dessin bien que simpliste dégageait une atmosphère bien spécifique, qui poussait chaque personnes posant ses yeux dessus à méditer en son for intérieur sur qui avait pu donner autant de caractère a de simple traits.
Juste devant, un siège, simpliste, grossier, monter avec du bois, recouvert d’une peau qui d’origine devait être verte mais qui avec le temps s’était assombrie. Un homme, vieux, les cheveux blancs, le visage tiraillé par les rides, de grands yeux sombres, significatif du clan Satori fixait son interlocutrice. Ses lèvres fines formaient une moue d’agacement. Il était habillé par une robe blanche est pourpre, en dessous de celle-ci on pouvait distinguer un autre habit, collant son corps, une Tekika grise. La femme en face de lui était habillée d’une robe jaune, sans manche, ses poignets étaient cerclés par de nombreux bracelets de couleur argenté. Son visage, possédait des traits fin, elle était encore jeune, très belle, elle aurait donné envie à n’importe quel homme, avec ses cheveux d’ébène, couper au niveau de ses épaules, ses grands yeux noirs observaient l’ancien avec suspicion est un peu de colère certainement. Elle soupira, en passant son index sur le haut de son front, une habitude pour elle lorsque quelque chose la préoccupait ou la contrariait elle parvenait à se calmer avec ce simple geste que son père lui avait appris. Elle retenta de prendre la parole, une énième fois, cependant le vieil homme la stoppa immédiatement en levant d’un geste sec sa main droite. Sans avoir besoin de parler cette fois, Jaina compris qu’elle ne devait plus prendre la parole. Il avait toléré ses écarts de conduite et de respect tout le long de la conversation mais cette fois ci s’en était visiblement trop. N’importe qui aurait abandonnée, mais cette jeune femme semblait avoir le diable au corps, ses poings se serrèrent alors qu’elle s’avança au-delà de la limite autorisé par les conventions lors des réunions entre le peuple est l’ancien.
Ce dernier haussa un sourcil en voyant cet affront, puis soupira de mécontentement. Elle n’était à présent plus qu’à quelques mètres de lui, elle ne cessait nullement vouloir s’arrêter. Il haussa la voix, d’un ton sec, impératif, qui cette fois, eu l’effet escompté. Le corps de Jaina se stoppa de lui-même, elle était comme complétement bloquer, c’était très rare que l’ancien ne fasse preuve d’autant d’autorité, elle reconnaissait enfin qu’elle avait dépassé les bornes. Ses yeux s’embuèrent alors, ses jambes flagellèrent, ne soutenant plus son poids elle tomba vers le sol, observant la paillasse sous elle, la dame répéta dans sa moustache plusieurs paroles. L’ancien se leva de son siège, malgré son âge il n’eut aucun mal à s’extirper de celui-ci. Une fois debout, il s’avança vers sa cadette, puis l’aida à se relever en lui tendant sa main, puis il lui posa sa main droite sur son épaule. Chassant toute colère en lui, il la remplaça par une infinie bienveillance, beaucoup de compassion ressortait dans sa voix, ce qui apaisa la jeune femme a vu d’œil.
" Jaina, Jaina, Jaina. Je ne puis que comprendre ton ressentiment, il est mon fils tout autant que le tiens. Tout comme chacun à donner de sa personne pour que ton enfant naisse. Il est le produit complet de notre lignée, avec lui, nous pouvons disparaître. Nous lui donnons les clefs de notre devenir. Le comprends-tu ? "
La jeune femme essuya les larmes qui perlaient de ses yeux, descendaient le long de ses joues rosés, puis tombait sur le sol. Elle fit un signe de tête, elle s’excusa, puis reprit la parole. Cependant l’image de cette femme se tarit. Il était impossible d’entendre ce qu’elle disait, peu à peu, les formes, les couleurs disparurent, ne laissant plus que le tapis au sol encore visible. Se tortillant sur lui-même, les scènes sur les côtés disparurent, les symboles autour du phénix s’animèrent, sortirent de la paille, pour s’avancer au-dessus de l’oiseau légendaire. S’accumulant, ils prirent formes, une forme humaine. Un jeune homme, était apparu, tout autour de lui, la nuit noir. Seul une faible lueur l’éclairait, il détailla l’oiseau qui était sous ses pieds, puis l’encre qui le dessinait s’anima à son tour, montant sur ses jambes, s’emparant de lui. Sa forme changea, d’un jeune homme, il devint un homme plus vieux, ses habits changèrent, il se retrouva habiller d’une imposante cape noir, recouvrant tout son corps. Son visage était caché par son capuchon, seulement on pouvait distinguer ses deux grands yeux sombres. Dans sa main, il tenait un livre, derrière lui, un mur apparut, porteur de centaines de dessins racontant plusieurs récits, passé, présent ou futur. L’homme fit un pas en arrière, puis un second, puis plusieurs jusqu’à arriver au niveau du mur. Alors qu’il aurait dû être bloqué, le prochain pas le fit rentrer à moitié dans la façade, puis le second le fit disparaître à l’intérieur. Une voix s’éleva, charismatique, puissante, encore plus impératrice que le vieil homme un peu plus tôt.
" J’atteins le moment où je montrerai que je suis l’ultime serviteur du désert. Je lui offrirai mon eau, ma substance. Car toute ma vie, ainsi que toute ma mort n’a été qu’une servitude pleine de réciprocité. "
Les yeux d’Hisoka se rouvrirent, se fixant sur le plafond de la grotte, il se redressa machinalement, il voyait sa coéquipière s’avancer vers lui pour le réveiller, mais une fois qu’elle eut vu que ce n’était plus la peine elle se dirigea immédiatement vers Jakis. Posant sa main au sol, il prit appuis, puis s’extirpa de l’endroit où il avait dormi. Bizarrement, ces rêves devenaient de moins en moins éprouvants, bien qu’il ne puisse en saisir l’impact, leurs raisons, il les voyait comme un don, comme un signe que son clan lui avait laissé. Il avait revu sa mère, c’était elle, Jaina. Il avait presque oublié son visage depuis tant d’année, mais durant ce moment de répit, il avait eu le loisir de la voir, jeune, fringante. C’était un contraste effrayant avec celle qu’il avait connu, qui lui avait dispensée ses enseignements. Elle avait pleuré pour lui, pour quel raison ? Il n’en savait rien, mais les paroles de l’ancien vibraient en lui. Il était le fils de chacun, le produit du clan, il avait les clefs de l’avenir des Satori. Alors que la journée précédente il avait décidé de prendre en charge cette avenir, le fait qu’il rêve ainsi n’était certainement pas une coïncidence. L’idée que son clan avait placé en lui via l’art Ninja des souvenirs devant se déclencher à certains moments lorsqu’il faisait tel ou tel choix ne lui paraissait plus si ridicule. Il était cependant intéressant si c’était le cas, de voir à quel point sa propre psyché influençait le résultat. Il doutait que la vision de son sauveur lui parlant était elle aussi un produit de son clan, c’était bel et bien de son propre chef qu’il l’avait placé ainsi. Mais il avait déjà son hypothèse sur lui, depuis sa dernière mission. Son identité, si elle était ce qu’il pensait qu’elle était, concordait avec le déroulement de ses visions. Il avait cherché durant de longues années, un héritage que son clan avait pu lui laisser, ils les avaient maudits de l’avoir laissé vivre, mais aujourd’hui, il prenait conscience de sa faiblesse. Ils lui avaient laissés le plus grand héritage qu’un homme pouvait rêver, la suite, l’avenir, le futur. Il portait leurs noms, car ils en avaient décidés ainsi. Il se sentait apaisés, ce qui le préoccupait la veille semblait s’être calmé. Son visage avait retrouvé son calme, même les plaintes de Jakis ne lui tapèrent pas sur le système. S’avançant vers la sortie de la grotte, il passa devant sa coéquipière, le soleil s’éloignait vers l’horizon. Il était temps de partir. Attrapant une gourde que Moeko lui tendit, il en but quelques gorgées, puis la rangea sous sa cape.
Une fois le groupe prêt, chacun s’avança, quittant le repère nomade. Une fois une centaine de mètre fait, Hisoka ne pus s’empêcher de se retourner en arrière pour le contempler. Il se sentait chez lui ainsi, il avait détesté le désert tant d’année est aujourd’hui c’était au milieu de lui qu’il se sentait vivant. Il porta son regard sur l’amazone, elle souffrait a Suna, cette balade en plein désert devait également la revigorée. Hormis bien entendu le fauteur de trouble, cependant il avait été une bonne excuse pour les deux jeune gens pour revenir si loin dans les étendues ensablées. Ainsi, il ne lui demanda pas de se taire, quand pendant une heure il se plaignit de son mal de dos, en dessous de sa capuche, un sourire se dessinait même sur ses lèvres. Il savait que Moeko aussi l’avait vue, la manière dont il s’était couché la veille ne pouvait que lui apporter ce genre de souffrance, mais aucun des deux ne l’avaient mis en garde. Les deux ninjas étaient au même niveau, le Jounin se rapprocha imperceptiblement d’elle, de sorte à ce qu’elle soit a portée pour qu’il parle le plus bas possible. Non pas pour que Jakis n’entende rien, mais pour économiser son eau.
" Merci Moeko, ce repaire de nomade m’a permis de me souvenir de ce que j’avais oublié. "
Il stoppa sa phrase, il n’en dit pas plus, s’éloignant immédiatement pour reprendre sa position, il voulait simplement lui faire part de ce qu’il ressentait, ne pas la remercier pour son don serait égoïste de sa part. Qui plus est, ces deux personnes allaient former un binôme pendant plus longtemps qu’ils ne le pensaient. Cette mission était leur première coopération, mais dans l’esprit d’Hisoka il était évident qu’elle ne se finirait pas après. Ils allaient continuer de se côtoyer, faire des missions ensembles, évolués, c’était comme le nez au milieu d’un visage. Il avait trouvé une personne avec qui il s’accordait, il ne la connaissait que depuis peu de temps, mais un lien se tissait entre eux, leurs échanges, bien qu’anodin mènerait vers bien d’autres choses. Il pensa l’espace d’un instant à elle, quelques jours auparavant lorsqu’elle s’était dénudée près de l’oasis, il repoussa cette pensée aussitôt qu’elle vint a lui, mais déjà l’image du corps de l’amazone restait gravé dans son esprit. L’attirance corporel qu’il éprouvait pour elle le tiraillait, ce n’était pas dans ses habitudes, mais peut être que son côté nomade reprenait le dessus en posant ses yeux sur elle. Il mélangeait également ses visions qu’il avait eues d’elle avec les événements qui s’étaient déjà produit.
Cela n’avait rien de facile, de trier les images qui l’avaient conduites jusqu’à elle, de celle qu’il avait par simple attirance. Il devrait faire la part des choses, cependant, cela ne serait pas facile, il était cruellement attiré par Moeko. Son visage caché dans sa capuche scrutait de nouveau sa coéquipière, elle avait été capable de voir un oiseau qui n’avait rien à faire là, il ne doutait pas qu’elle ressentait son regard. Tout comme lui avait déjà ressenti le sien. Il se demandait simplement, cependant, si elle le regardait tel que lui la regardait, ou bien si elle se demandait si il était fou. Il ne pouvait le savoir, mais il viendrait un moment ou les deux jeunes gens seraient amener à faire des choix, il l’avait vu, aucun doute qu’elle était celle qui commandait au nomade dans sa vision de la veille. Son clan ? Peut-être, elle était l’héritière, si son père venait à mourir ne serait-elle pas celle qui devait devenir la meneuse ? Ou bien était ce réservé au homme ? Il se rendit compte qu’il savait bien peu de chose sur son clan, il n’avait pas vraiment eu le temps de lui en demander plus cela dis. Le peu de paroles qu’ils échangeaient avant de se coucher étaient portés sur la mission, qui plus est avec Jakis à leurs côté, il était loin d’être aisé de parler d’origines nomades. Il remit donc ses questions à plus tard, se rassurant en se disant que sur le bateau de Kiri ils auraient un peu plus de temps. Il reporta donc son attention sur le soleil, celui-ci était déjà en train d’amorcer sa descente pour laisser place à la lune. Cela faisait quelques heures que le groupe traversait le désert, Jakis avait déjà beaucoup plus de mal à tenir la distance, où peut être était ce les deux Shinobis qui avaient sans le vouloir augmenter l’allure ? Cependant, ils étaient bientôt arriver au village côtier, une fois sur le bateau, Kiri ne serait plus très loin. Qui plus est, Moeko est Hisoka se pensaient suivis, inconsciemment il était possible qu’ils aient cherchés à semer un peu leurs poursuivants. Bien qu’ils sachent tous deux, que cette nuit, la probabilité de se faire attaquer était très importante.
Une heure passa de nouveau, le groupe était à la moitié du désert noir, c’était ainsi que nommait les marchands cette partie du désert qui menait à la côte. La raison était simple, on disait que beaucoup de gens perdu dans le désert, marchaient vers l’eau dans l’espoir de survivre, mais que c’était sur les derniers kilomètres que la mort les prenait. Ici même, cette portion du désert, était, selon les dires la plus mortels de toutes, bien que les conditions ici n’avaient rien de particulièrement difficile. Avec l’espoir, arrivait bien souvent la mort, les gens se relâchaient en se sentant arriver au bout du chemin, ce qui les condamnait. L’idée de combattre ici, verser le sang de leurs adversaires sur un tel terrain, faire un don du sang est ainsi de l’eau au désert dans un tel endroit… Il était évident que Moeko y pensait également, combattre serait perdre de l’humidité, les derniers kilomètres seraient plus éprouvant, moins pour elle, étant équipée d’une Tekika, mais Hisoka lui, souffrirait d’avantage si il perdait de son eau. La suée que piquerait le politicien suite à la tension qui s’échapperait des combats le desservirait également. Il était déjà en train de ralentir le convoi, mais s’il allait plus lentement… Hisoka repensa alors à ce que sa coéquipière lui avais dit quelques jours plus tôt, elle avait un plan si jamais il les retardait. Il ignorait ce que c’était, mais peut-être faudrait-il y avoir recours ? Le véritable danger d’une attaque cette nuit n’était pas de perdre le politicien ou d’être blessé, mais bel est bien la perte d’eau énorme que le combat causerait.
Soudain, le corps de Moeko se stoppa en même temps que celui d’Hisoka, les deux ninjas observaient devant eux, le politicien pus alors reprendre son retard est demanda pourquoi se stopper ainsi en plein milieu du désert. Aucun des deux ne répondis, restant stoïque, les yeux d’Hisoka parcouraient toute la zone qui se trouvait devant lui, puis a portée de regard. Sept… Non huit combattants les entouraient. Cachés sous le sable, attendant leurs heures, ils avaient dû marchés durant le repos du groupe, puis avaient calculés soigneusement où leurs itinéraires les amèneraient. Hisoka ne détachant pas son regard de devant lui, prononça simplement le nom de sa coéquipière, qui fit un signe de tête. Ils étaient préparés, un sifflement se fit entendre dans la nuit qui les entourait. Jakis fut propulsé au sol par Moeko, alors que le bras gauche d’Hisoka se posait sur le sceau posé sur le sceau sur son poignet droit. Trois Shuriken apparurent dans sa main, en jetant rapidement instinctivement dans la direction d’où provenait le sifflement. Un bruit juste après, un bruit de métal s’entrechoquant. Les deux autres Shuriken furent envoyés vers la droite vers la gauche, à quatre-vingt-dix degrés de sa position actuel. Un autre bruit de métal se fit entendre sur sa droite, cependant sur la gauche, un cri de douleur se fit entendre suivis d’un bruit de corps tombant sur le sable du désert. Visiblement découvert, leurs tentatives de surprise échoués, les hommes camouflés sortirent de sous le sable. L’homme blessé se redressa se jetant alors sur Hisoka. Le clair de lune montrait plusieurs silhouettes fonçant sur le groupe. Certains se dirigeant immédiatement vers Jakis. Les autres semblèrent hésiter mais finalement tentèrent de contourner le Jounin pour en faire de même. Mue d’un réflexe instinctif, Hisoka fit un pas sur le côté, suivis d’un bond rapide pour barrer la route des hommes provenant de la gauche. Il devait empêcher que Moeko ne se fasse encerclés, là était son rôle. Couvrir un côté, puis lui faire confiance pour l’autre. Détachant son regard de sa coéquipière, l’héritier des Satori observa longuement ses adversaires qui le jugeaient eux aussi. Visiblement impressionner de son jeté de Shuriken à travers l’obscurité.
L’observation sembla duré une éternité, mais les bruits de combat derrière lui poussèrent les mercenaires a jetés enfin leurs attaque, l’un d’entre eux, le plus vigoureux s’avança, véritable masse, il sortit de son dos une imposante masse dont l’un des côtés était pourvu d’un pic acéré. Jetant son attaque sur lui, le Jounin n’eut aucun mal à l’esquiver, sautant rapidement sur le côté, sa main se posa sur le sol, puis d’un coup de pied calculé, frappa son bassin pour le faire reculer suffisamment pour que sa futur attaquer ne soit pas assez longue pour le touché. Reprenant son impulsion avec sa main, il se redressa aussitôt pour voir arriver deux autres des mercenaires arrivés sur lui, l’un sur sa droite, l’autre sur sa gauche. S’accroupissant avec un geste calculé, les deux attaques des hommes passèrent au-dessus de lui, alors que ses jambes étaient en train de se fléchir, sa main se reposait sur son sceau, un kunai apparu dans sa main d’attaque. La lame du métal se retrouva alors englobé est entouré par du chakra, un léger bruit strident, prouvant l’importante capacité d’attaque de ce Ninjutsu Fuuton apparut. D’un geste rapide, la lame du Kunai légèrement allongé par la technique du Jounin trancha d’un coup net la jambe gauche de son adversaire qui était sur sa gauche. Un cri se fit entendre alors que son corps tombait en arrière dans une versée de sang. Au même moment, le colosse revint à la charge, tentant d’assener un coup vertical avec son arme de destruction au protecteur du politicien. L’ennemi qui avait attaqué en même temps que celui qui venait de s’effondrer, lui avait finis de composé des mudra, il porta ses mains sur le sol devant lui, vu la proximité des deux attaques, les esquiver ne seraient pas une mince affaire.
Ils suivaient un schéma simple, basique, mais terriblement efficace. Ces hommes étaient peut être des hommes a loués, mais ils avaient souvent combattu ensemble. Alors que son corps s’arc-boutait pour préparer son esquive, son regard se posa sur l’homme qui était resté à distance, c’était celui que son shuriken avait blessé. Il jugea rapidement au vu de la position du sang sur ses vêtements de l’endroit de sa blessure. Il l’avait eu à l’épaule. Ce qui expliquait pourquoi il ne venait pas au corps à corps. Cependant il était en train de profiter que ces compagnons occupent le Jounin pour composer des mudras. Il devait se donner suffisamment de temps. Il devait agir de manière logique, réduire les fronts d’où pouvaient provenir les attaques, puis ensuite éliminer ceux qui étaient les plus dangereux. Ses jambes une fois fléchies prirent une impulsion sur le sable, agilement le corps du Jounin s’éleva dans les airs, la masse ne passant qu’a quelques centimètres de son corps, alors qu’il était dans les airs, il se retourna sur lui-même puis envoya le Kunai chargé de chakra Fuuton sur celui qui était resté à distance. Surpris par cette manœuvre, il fut contraint de stopper sa composition pour esquiver la lame. Bien sûr, se prendre un Kunai était une chose, mais se prendre une lame gorgée de vent en était une autre. Lorsqu’il retomba au sol, il vit le Jutsu que venait de lancer son troisième adversaire. Une attaque Doton. Un bras de terre s’éleva alors du sable, pour venir le frapper. Il tenta tant bien que mal d’esquiver, cependant la vitesse de frappe d’un tel bras le surpris, il fut repousser un peu plus loin.
Se protégeant en plaçant ses bras devant lui pour réduire l’impact du coup. Les trois hommes reprirent leurs formations, ne laissant pas le temps au Jounin se reprendre ses esprits. Ce qui était inutile, il avait analysé leur style de mouvement, cette attaque adversaire lui avait permis de prendre de la distance pour utiliser l’attaque qui lui permettrait de lancer sa stratégie. Sa main se reposa immédiatement sur son sceau, une demi-douzaine de Kunai apparut dans sa main. Les jetant un par un de manière à stopper le rythme d’avancer de ses attaquants, il était évident qu’il ne cherchait pas à les blessés. Uniquement à réduire leurs mouvements. Une fois débarrassé de ses armes, il prit une impulsion sur le sol et fonça sur ses ennemis en composant des signes.
En arrivant à quelques mètres d’eux, sa composition fut terminer, il se jeta alors vers le sol, posant ses mains l’une contre l’autre. Un bruit de vent s’échappa d’elles, avant de frapper le sol avec force. L’impact, très violent eu pour effet de soulever le sable tout autour de la zone de combat qui opposait Hisoka est les hommes. La poussière recouvrait le champ de bataille empêchant les participants d’y voir quelque chose. Une petite explosion de fumée se fit alors entendre pour ceux qui étaient assez proche. On pouvait entendre des jurons des mercenaires échappé de la sphère de poussière. Un bruit sec retentit, suivis d’un mouvement de corps tombant au sol dans un cri étouffé. La panique commençait à prendre le pas sur leurs coordinations, la masse qui usait de la masse restait sur ces gardes lorsqu’il vit devant lui une silhouette s’approcher. Il se détendit cependant en reconnaissant son compagnon. Il lui demanda à voix basse si il savait où était passé leur adversaire. L’homme lui répondit que oui, alors que son bras armée d’un kunai chargé de chakra tranchait sa tête. Celle-ci roula un peu plus loin, le corps tombant à genou puis s’affaissant complétement. La poussière était en train de se dégager, on pouvait commencer à voir des ombres à travers la poussière.
Il devait profiter des derniers moments de sa diversion. Alors que sa transformation disparaissait est qu’il reprenait sa véritable apparence, il s’empara des kunais qui étaient plantés dans le sol, les chargea de chakra, puis profita du peu de vision qui commençait à apparaître pour voir où se trouvait l’homme resté en retrait. Il envoya alors rapidement six kunais vers sa position. L’homme surpris par ce qui venait de sortir du nuage de fumée ne pus tous les esquiver. Trois passèrent à côté de lui, les trois autres le transpercèrent complétement, laissant le corps tombé à son tour dans une mare de sang. Il prit une impulsion, puis sortit de sa couverture par le haut, son ombre apparut alors derrière l’homme à qui il avait tranché la jambe un peu plus tôt. Ce dernier ne bougeait plus. Il jugea de son état, il s’était visiblement donné la mort. Dommage, il aurait été intéressant de l’interroger. Redressant son visage vers l’endroit où sa coéquipière était en train de combattre, il reprit une impulsion sur le sol puis entama une course vers elle. Il ne lui fallut que peu de temps pour arriver sur le champ de bataille. En arrivant, visiblement le combat venait de se stopper, Moeko semblait indemne, il s’approcha d’elle, constatant l’étendue des dégâts. Les corps avaient été malmenés, la puissance relaté dans son dossier n’était pas exagération… Se tournant sur lui-même, il sonda le terrain pour sentir si d’autres étaient présent, mais il ne ressentait rien, il porta son regard sur Moeko pour voir si elle sentait quelque chose, puis franchis la quinzaine de mètres qui les séparaient, en profitant pour observer un peu plus en détail l’endroit où avait eu lieu le combat.
" Moeko. Tout vas bien ? "
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| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Jeu 18 Aoû 2011 - 17:18 | |
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Marcher, mettre un pied devant l’autre et recommencer de manière interminable jusqu'à atteindre un objectif, un lieu donné. Par se mouvement répétitif, je me sentais reposé. J’étais une nomade et depuis le moment ou je m’étais tenu sur mes jambe, je m’étais mise à marcher pour ne m’arrêté quand de rare occasion. Voila le fondement de mon existence passé, mettre un pied devant l’autre, marché, simplement marché. Chaque pas étant comme le rythme de notre vie de voyage. Marcher m’aidait à réfléchir, à me calmer ou même à prendre des décisions. C’était la qu’était mon existence, au milieu du désert. Hisoka comme Jakis ne pouvait comprendre cela, ils étaient issu de peuplade sédentaire, même s’ils voyaient le désert d’une autre manière l’un et l’autre, jamais ils ne comprendront la signification profonde d’avoir du sable sous les pieds et de s’avancer, d’avoir un horizon identique de tout côté, de marcher sans objectif ni itinéraire, mais en sachant toujours ou l’on va. Même si Hisoka pouvait le ressentir plus que Jakis, il ne pouvait vraiment comprendre.
Je sorti de ma rêverie, surprise par le fil de ma pensé. Voilà que je devenais nostalgique, la traversé en bateau à venir me perturbait vraiment. Il fallait que j’écarte cella de mes pensées pour le moment pour rester concentré sur notre mission. Ce n’est pas que ma vie qui était en jeu ou celle d’Hisoka, mais bien celle de Jakis, qui sans notre aide se retrouvait sans défense. D’un point de vu tactique, nous avions de forte chance de rencontré nos poursuivants, si poursuivants ils y avaient. Nous arriverions sans doute le matin même ou durant la mâtiné au port. Nous ne nous arrêterons sans doute pas pour dormir avant la ville. Avec l’océan tout prêt, l’atmosphère allait radicalement changer d’ici peu pour se rafraichir considérablement. Nous pourrons donc nous déplacer de jour sans aucun problème. Il était donc plus facile, a nos poursuivants d’attaquer maintenant en nombre au milieu du désert, plutôt qu’en ville avec la foule. Il y avait aussi la possibilité que nos poursuivants soit plutôt un poursuivant, un assassin seul qui lui attendra d’être sur le bateau pour tenter d’atteindre directement Jakis. Du moins c’est se que je ferais si j’étais a sa place. Jakis n’était pas encore au courant de la menace que j’avais peut être identifié et plus tard il l’apprendrait et mieux cela serait. Le fait que nous ne nous arrêterons plus jusqu'à la ville le perturbait déjà assez, surtout qu’il commençait à atteindre ses limites.
Hisoka, de son côté, semblait s’épanouir de jour en jour, comme si le désert le faisait revivre après des mois d’enfermement a Suna. Ses origine m’était encore trouble et je n’avais pas cherché de manière officiel, ni dans le dossier, ni en le lui demandant simplement, mais il gardait une affinité particulière au désert, il affinité qu’il semblait ignoré ou qu’il avait oublié. Le soir même quand nous avions repris notre marche, il était venu me remercie pour notre abri qui soit disant lui avait rappelé des choses. Difficile a dire s’il était un esprit déranger ou juste un peu fou, juste se qu’il faut pour être sage. Il devait exister une déchirure dans son passé une douleur tourmentant son esprit, une blessure que seul la sérénité pouvait doucement guérir. Mais malgré cela, je l’appréciais en tend que coéquipier, il était gentil et professionnel, même s’il c’était laisser aller a quelque bassesse avec Jakis, comme je l’avais fait moi aussi. J’ignorais encore sa valeur ne tend que frère d’arme, mais j’avais été amusé de voir qu’il portait un sceau similaire au mien sur son avant bras à l’endroit exacte ou je portais le mien. Mais cela ne disait pas grand-chose, beaucoup de shinobi utilisait des sceaux de stockage pour alléger leur paquetage et cela sans utiliser d’autre technique de Fuuin.
La nuit était bien avancer quand une soudaine tension stoppa le petit groupe. Hisoka et moi, commandé par notre instinct guerrier, nous fîmes halte en même temps scrutant les alentour. J’ignorais se qu’i lavait sentie, mais pour ma par c’était une sensation d’être observer, d’être attendu. Nous nous déplacions quasiment en droite ligne vers notre destination. Si nous poursuivants nous avaient dépassé, ils auraient pu tendre une embuscade. La menace était donc possible et le fait qu’Hisoka lui aussi ressente quelque chose prouvait que la menace était réel. Jakis, qui avait prit un peu de retard se plaça entre Hisoka et moi se demandant pourquoi nous nous étions arrêté. Vu que ni Hisoka ni moi ne le savions encore précisément, il n’eu que le silence ne réponse. Puis je les vis, les monticules discrets mais visible a l’œil exercé. Nos poursuivants nous attendaient disséminer dans le désert pour nous attaquer par surprise en nous entourant. Mais la menace avait été détectée avant de pénétrer dans le cercle d’ennemis. Les secondes semblaient s’étirer, l’adversaire nous observait, comme nous les observions, chacun attendant que l’autre agisse. Hisoka prononça mon nom et dans sa simple prononciation je compris que lui aussi avait trouvé nos adversaire et qu’il était prêt au combat.
L’ennemie pris alors l’initiative, comprenant que nous n’allions pas avancer plus et que nous les avions détecté. Je dis alors « terre » à Jakis, comme je lui avais expliqué lors de notre départ, mais me doutant d’une hésitation de sa part, je l’attrapai en même temps par le col pour le faire basculer a terre. Une fois au sol je me redressai en joignant mes main devant moi avant de faire glissé mon doigts sur le sceau qui ornait mon avant bras, se qui fit apparaitre dans un « pouf » mon épée de taille impressionnante qui se ficha d’elle-même dans le sable. J’étais prête au combat et je n’allais pas laisser ses salopard touché un cheveu de Jakis, même si je n’avais aucune sympathie pour l’homme. Hisoka avait déjà attaqué avec un lancé rapide et précis qui avait blessé l’un des agresseurs. Les ennemis au nombre de huit, prit la décision de se séparer en deux groupe de quatre l’un passant a notre gauche, l’autre sur notre droite. Nous allions donc devoir nous battre chacun de notre côté, tout en gardant en tête que leur cible restait Jakis et non l’un de nous deux. Hisoka se tourna de lui-même vers le groupe qui passait de son côté, je me concentrai alors sur le groupe de mon côté les observant s’avancer et se placer sans réagir. Je préparai une autre technique les laissant le temps de prendre position.
Je fis alors apparaitre un clone parfait de moi-même, un clone de boue pour rester prêt de Jakis comme ultime rempart s’il l’un des agresseurs réussissait a passé sous notre défense à Hisoka ou a moi. Puis je me concentrai sur mon propre corps pour ouvrir la porte initial et la porte de la guérison, de quoi avoir une forme physique parfaite sans que la fatigue de notre voyage ne me touche. J’activai aussi ma technique de Suimen Hokou no Gyou, même si la technique s’utilisait généralement sur l’eau, elle pouvait être très utile sur la sable pour ne marcher que sur la surface et non pas en s’enfonçant, se qui m’aurait ralentie et se qui ralentissait mes adversaires. Les autres hommes qui me faisaient face étaient hésitant me jaugeant pour savoir qu’elle tactique utilisé et mon manque d’agressivité pour le moment avait de quoi les perturber. J’avais pour idée d’utilisé mon Gen’ei akuma, technique que j’affectionnais. Mais Cella allait toucher aussi Hisoka et cella je ne pouvais me le permettre sans le prévenir à l’ avance. J’allais devoir lui montré ma technique si nous devions faire équipe qu’il puisse si préparer et résister. Mes adversaire c’était placé en position de losange, l’un en face de moi armé de deux kunaï deux autre de chaque côté un peu en retraite, celui de droite possédant un Katana et celui de droite étant resté les mains vide, mais pas moins dangereuse et le quatrième en arrière possédant deux sabre jumeaux. N’étant pas des armes courantes, je me doutais qu’il savait parfaitement les manier.
La patience est une vertu, du moins seulement si celle-ci ne nous ôte pas l’initiative. Je savais attendre, mais je savais surtout quand agir. Trouver le point de rupture, la ou les adversaires allaient se dire que je n’montrais pas a l’assaut, le moment ou il relâche leur défense pour passé a l’assaut, ou il passe d’une tactique défensive a une offensive, la petite seconde du changement de position. J’attendis le temps qu’il fallut pour voir le point de rupture, le moment ou les trois hommes jetèrent un œil rapide au chef de leur groupe, l’homme aux deux sabres pour qu’ils leurs indique la stratégie a suivre. Se fut a se moment précis que je m’élançais telle la foudre sur mes adversaire. Attrapant le manche de mon épée tout en utilisant ma technique de déplacement rapide pour me propulser en avant, je fis disparaitre en une fraction de seconde la distance qui me séparait de mon adversaire le plus proche. Il n’eux que le temps de me voir bouger du coin de l’œil avant de subir mon attaque. Utilisant mon propre élan pour lancer mon épée en avant avec puissance, je fis une découpe de bas en haut à travers l’homme au kunaï. D’une puissance phénoménale grâce à l’élan donné par ma technique, ma lame pénétra la chaire au niveau de la cuisse gauche de l’ennemi pour ressortir au niveau de son épaule droite, le coupant en deux avant qu’il n’ai pu réagir. Pas de doute possible, mes adversaires n’avait pas mon niveau, même s’ils étaient sans aucun doute entrainer au art shinobi, ils n’avaient que des base et ne faisait pas le poids face a une Kunoichi de mon niveau.
Mon épée, toujours dans son élan s’éleva sans que je ne puisse lutter contre. Bien trop lourde et imposante pour que je puisse la manier avec mon style rapide et précis, je ne tentai même pas de résister à son élévation, au contraire, je relâchai la poignée de l’épée la laissant s’envolé pour prendre pour cible un autre de mes adversaires, celui aux mains vide, qui me semblait être la menace principale. Utilisant encore une fois le Shunshin no jutsu, je me retrouvai devant mon adversaire qui fut plutôt surpris de me voir abandonné mon épée pour attaquer directement. Voilà encore un effet de surprise bien préparé. Par se que je possédais une épée imposante, mes adversaires pensaient tous a tord qu’elle faisait parti intégrante de mon style. Mais comme je l’avais appris, pour que l’ennemi ne voie pas le poignard que l’on cache dans le dos, il suffit de mettre bien en vue une arme impressionnante et mortelle. Malgré l’effet de surprise, il ne fut pas impuissant devant mon assaut et tenta de se protéger de ses bras de mon assaut. Mais c’était sans compté sur mes tactique de Taijutsu, m’accroupissant au sol, je relevai la jambe passant sous sa défense pour le frapper au menton, de manière a le propulser dans les airs dans un magnifique arc de cercle. Me lançant derrière lui, je me plaçais dans son dos, prête a lui donné le coup de grâce rapidement alors qu’il se trouvait impuissant.
Mais c’était sans compter la réaction rapide du chef de meute avec ses deux sabres qui se lança à ma suite pour profiter que je m’occupais de son coéquipier pour m’attaquer d’un autre angle. Je n’eu donc pas le choix de remettre mon coup à plus tard pour changer de tactique. J’attrapai alors le col de l’homme que j’avais frappé pour le tiré sur le côté et le propulser vers l’homme aux deux sabres qui bondissait a notre rencontre. Il du alors écarter ses sabres pour ne pas blesser son camarade qui le heurta sans trop de dégât mais en le repoussant en arrière de manière a qu’il ne puisse pas m’attaquer directement. Je me redressai alors dans les airs pour retomber sur mes deux pieds, prête à la suite des événements. Si le premier homme avait été rapidement battu, celui au sabre allait être plus coriace. Mais il allait devoir attendre, car l’homme au Katana profita de cela pour se jeté dans al mêlé. En quelque pas il effaça la distance qui nous séparait pour bondir vers moi dans l’intention de me coupe dans le sens de la longueur.
Je fis alors une roulade sur le côté tout en portant ma main droite à mon bras gauche, le « pouf » qui en suivie fut masquer par le son du combat. L’homme au Katana, coupa alors l’air à l’ endroit ou je me trouvai une fraction de seconde plutôt avant de pivoté vers moi pour remonté sa lame dans ma direction en espérant me taillader en passage. Mais je fus plus rapide que lui, je me jetai en avant, tout contre lui pour l’empêcher d’utiliser son Katana. Ses deux main accrocher au manche de son arme et son hésitation a la lâché ma permis d’agir. Je plaquai ma main droite sur son torse avant de le frapper de la main gauche pour le projeté en arrière. Mais je ne le laissai pas s’effondré en arrière, je l’attrapai alors par les poignets alors qu’il titubait en arrière pour le tiré vers moi avec force avant de visé ses deux camarades et de le projeté vers eux. L’homme parti en avant ma réussi à rester debout quelque pas avant de rouler au sol au pied de ses deux camarades qui c’était relevé. Je leur fis alors face pour leur parlé avec froideur.
- Vous n’avez pas le niveau.
Mes paroles n’avaient pas vraiment pour bute de les impressionné ou de leur faire peur, je n’allais pas utiliser se genre de tactique avec eux. Mes paroles avait pour simple bute de camouflé le petit « pshiiiiiit » que produisait soudain leur camarade au sol. Avant qu’il ne comprenne quoi que se soit, il était trop tard. Je fis un bon en arrière au moment pile ou le parchemin explosif que j’avais collé sur le torse de l’homme au Katana durant notre corps à corps, explosa. Je ressentie la détonation qui donna un peu de vitesse a mon saut en retraite, mais sans m’atteindre. L’explosion par contre souffla littéralement les deux agresseurs encore debout qui furent balayé chacun de leur côté pour s’écraser lourdement dans le sable. Seul restait au centre de l’explosion le corps de l’homme au Katana, qui, s’il n’était pas mort sur le coup, devait avoir plusieurs os cassé et des brulures grave. Mais je ne pris aucun risque, avant que mes deux adversaires se redresse, j’avais rejoins le corps quelque peu disloquer de l’homme au Katana qui gisait sur le sol, mon épée a nouveau en main et plantai celle-ci dans le sol, faisant glissé ma lame sur la gorge de se dernier qui s’ouvris sans peine pour laisser couler a flot de sang qui mit rapidement fin a ses souffrances.
Même si j’avais parlé dans le seul bute de cacher l’activation du parchemin explosif, mes dire n’était pas faux pour autant. Nous étions a quatre contre un et j’avais déjà éliminé deux de mes adversaires sans avoir subit de véritable attaque. Les huit hommes auraient du se replier en voyant leur embuscade mise a mal. Qu’elle mercenaire irait donc jusqu'à la mort pour un contrat comme celui-ci. D’ailleurs en observant bien, les autres hommes m’avait prit pour cible prioritaire alors que les quatre autre hommes d’Hisoka semblait l’avoir prit pour cible exclusive. Aucun des combattants ne semblait tenté une percé pour atteindre directement Jakis. Voilà donc une formation étrange, soit ils étaient stupide, soit Jakis n’était pas véritablement leur cible. Etait-il possible qu’il ne soit la que pour nous fatiguer et nous observer, mais la moitié d’entre eux gisaient sur le sol, alors pourquoi continuer. Un autre détaille vint se placer de lui-même dans l’étrange schéma, le rapace qui m’avait permis de repéré nos poursuivant n’était pas présent. Si je devais lancer une supposition c’est que les hommes que nous combattions ne sont que des sous-fifres au ordre de personne bien plus puissante, qui les on envoyé pour, soit nous observer soit nous fatiguer ou encore les deux en même temps. Il nous fallait donc prendre garde. D’autre ennemis se cachait sans doute quelque pars.
Mes deux adversaires c’étaient redressé, aucun des deux ne semblaient grièvement blessés et tout deux semblaient plus déterminé que jamais a me faire mordre la poussière. Il allait devoir jouer un peu mieux en équipe s’ils voulaient m’atteindre. L’homme sans arme fut le premier à agir, rejoignant devant lui ses mains pour former des symboles. En voilà un qui connaissait un peu plus que les bases des arts shinobi, il me fallait donc rester prudent. L’homme aux mains libre pris alors une grande inspiration avant de cracher par la bouche une sphère d’air qui pris rapidement de l’ampleur et de la vitesse pour tout balayer sur sont passage. Il utilisait donc des techniques de type Fûton, plutôt pratique au beau milieu du désert. Il allait falloir que je me débarrasse rapidement de celui-ci, ses attaque a distance risquait rapidement de devenir une gêne surtout si l’autre était spécialiste en maniement de sabres. La main posé sur le manche de mon épée je laissai mon chakra me parcourir pour ouvrir la troisième porte, le Sei Mon, la porte de la vie. Mon chakra s’épanouie alors autour de moi comme une lueur verdoyante. L’afflux puissant de chakra à travers mon corps boosta mes capacités physiques. Utilisant à technique de déplacement rapide je me volatilisai de mon emplacement avec mon épée laissant passer la boule fûton qui continua sur sa trajectoire sans rien toucher.
Si mon épée, en temps normal, était trop lourde pour convenir a mon style rapide, une fois les trois premières portes ouverte, je pouvais la manié avec une facilité déconcertante, ma force décuplé par ma technique. Mon déplacement rapide, augmenter par ma technique me fit me déplacer presque instantanément au prêt de l’homme au technique fûton. Sans attendre j’attrapai mon épée a deux main a coupa a l’horizontal dans la ferme intention de tuer sur le coup mon adversaire. Mais sous le stresse ou pousser par sont instinct de survie, ce dernier créa une nouvelle boule fûton entre nous, bien trop prêt l’un de l’autre, la sphère ne pu prendre son ampleur maximal, mais celle-ci créa tout de même une explosion d’air qui nous propulsa tout deux en arrière. Il avait du agir par simple reflex, mais cela venait de lui sauver la vie. Le souffle n’était pas assez puissant pour me blesser véritablement et projeté en arrière, je n’eu aucune peine à retomber sur mes pied prêt a un nouvel assaut. Mais l’homme aux sabres était déjà sur moi ne me laissant pas retourné contre son coéquipier.
Lançant ses deux sabres dans une taille diagonal de bas en haut, je du levé mon épée pour évité de me faire couper en trois. Mon adversaire était rapide et maniait parfaitement ses lames. A peine ses deux sabres avait il frappé mon épée qu’il pivota sur lui-même pour tenter une taille de l’autre côté. Mais le Sei Mon ouvert, je pouvais rivaliser avec sa vitesse armé de mon épée. Ma lame changea de position et les sienne frappèrent une fois de plus ma lame sans me toucher. Il pivota à nouveau de l’autre côté tentant une nouvelle taille tout en s’approchant d’un pas. Je du reculé pour gardé une distance respectable, ses sabre lui permettait de se battre plus prêt que mon épée qui me demandait une bonne place de manœuvre. Ses sabres frappèrent à nouveau mon épée sans m’atteindre et une fois de plus il pivota pour attaquer de l’autre côté, mais changea son mouvement au dernier moment pour me prendre par surprise. Alors que l’une de ses lames arrivait sans conviction sur ma gauche, il changea de trajectoire sa seconde lame pour la faire passé en dessus de sa tête pour une taille verticale. Il savait vraiment utiliser ses armes, mais il ne devait pas avoir l’habitude de combattre des shinobi. D’un mouvement du pied je me propulsai en arrière, pour me mettre hors de porté de ses deux attaques. Mon adversaire ne trancha que l’air continuant son mouvement jusqu'à s’accroupir au sol, mouvement que je ne compris que trop tard.
Reprenant appui un peu en arrière, je vis mon adversaire s’accroupir au sol, dans une étrange posture, posture que je compris quand une nouvelle sphère fûton passa juste en dessus de lui. Ses deux salopard savaient belle et bien se battre ensemble. Je n’eu que le temps de levé mon épée pour me protéger avant d’être frappé par la sphère qui me propulsa avec violence en arrière, me coupant le souffle sur le coup. Je retombai lourdement au sol au milieu d’un nuage de sable que le souffle de la technique avait soulevé. Mon épée m’avait protégé du choc directe, mais sa technique n’en restait pas moins douloureuse. Il allait me payé cella. Le souffle court, je pris tout de suite conscience de mon soudain avantage et agis rapidement en conséquence. Mes adversaires ne me laissèrent pas vraiment beaucoup de temps et une nouvelle sphère fûton passa à travers le nuage de poussière sans rien toucher. M’attendant à cette action je m’étais déporté, mais la sphère explosa d’elle-même, soufflant cette fois le nuage de sable qui se dissipa. Je pris alors mon épée à deux mains prête à agir, une nouvelle sphère fûton se préparait dans la bouche de mon adversaire, mais j’avais bien l’intention de le prendre de vitesse. Je pivotai sur moi-même pour lancer de toutes mes forces mon épée en l’air vers l’utilisateur fûton au même moment ou il cracha sa sphère qui prit rapidement de l’ampleur. Mon épée parti en tournoyant dans les airs dans une course imprécise alors que la sphère fûton passa sous elle pour venir me percuter. Je me lançais de côté pour évité l’attaque, mais trop tard et je fus projeté avec violence en arrière et dans le sable ou je restai couché.
L’utilisateur de fûton semblait plutôt satisfait de son attaque, alors que celui qui maniait les sabres sentie la supercherie. Il bondit alors dans l’air, ses deux lames au claire pour intercepter ma lame tournoyante, conscient que la était la vrai menace, sans savoir en quoi exactement elle consistait. Mais il eu vite remarqué le chakra suintant de la lame qui était pourtant inerte un peu plus tôt. Se jetant vers l’épée, il prépara ses sabres pour frapper la lame et la faire changer de trajectoire, mais il n’eu pas le temps de faire contact que la l’épée se dissipa dans un « pouf ». Profitant du nuage de sable j’avais créé un clone de boue et j’avais utilisé ma technique de mutation pour prendre l’apparence de mon épée. Mon clone devait alors me lancer par-dessus mes adversaires pour les prendre à revers. Mais l’homme aux sabres avait agit avant cela, mais il scella tout de même son destin. Surpris par cette soudaine mutation, ses lames ne coupèrent que du vent alors que je pivotais dans les airs pour le frapper à mon tour de mon épée. Il tenta bien de se défendre, mais dans les airs, pris par surprise et moi boosté par ma technique de Taijutsu, il n’eu aucune chance, ma lame lui ouvrant une largue entaille a travers le torse, le condamnant a la mort. Je retombai lestement sur mes pieds arme en main alors que l’homme s’écrasa dans le sable derrière moi. Plus qu’un seul adversaire me faisait face.
Je me reculai alors d’un bond pour rester a bonne distance de se dernier tout en mettant le corps encore gémissant de l’homme aux sabre entre nous deux. L’utilisateur fûton hésita, ne sachant trop quoi faire, ne réalisant pas que son coéquipier était condamné et que s’il le touchait avec sont attaque cela ne ferais que mettre fin a son agonie. Je plantai mon épée a mes côté et l’observai mon dernier adversaire qui hésitait a passé a l’action, intrigué aussi par mon absence soudaine d’agressivité. Mais sans manque de réaction scella aussi son destin. Je restai immobile alors qu’il se décida enfin à attaquer. Rejoignant ses main devant lui, il fit quelque mudrâ, mais il n’eu pas le temps d’achever sa technique. Mon clone de boue, aillant survécu a l’attaque fûton, c’était glissé derrière mon lui en utilisant la technique de la projection du corps dans le sol. Il avait alors resurgit silencieusement derrière l’utilisateur fûton. Mon clone frappa l’homme au niveau des genoux le faisant basculer à quatre pattes. Puis s’accroupissant derrière lui, mon clone passa un bras à travers son coup et attrapa sa tête de l’autre dans une prise mortelle. Avec une certaine lenteur, mon clone fit pivoté doucement la tête de l’homme qui tenta tend bien que mal de résister en attrapant les bras de mon clone pour essayé de se libéré. Mais telle un étau, les bras de mon clone ne relâchèrent pas et continuèrent à faire pivoter la tête de l’utilisateur qui se mit à gémir présentant son destin funeste. Je pus alors lire toute la terreur de la mort de mon adversaire, il lâcha un borborygme qui devait être un ultime supplice a son bourreau avant que sa nuque de se brise dans un craquement. L’utilisateur fûton se relâcha alors dans les bras de mon clone devenant telle une poupée de chiffon. Mon clone lâcha sa prise avant de disparaitre.
Je jetai un coup d’œil vers Hisoka, qui lui aussi avait terminé sont combat et qui semblait observer l’horizon a la recherche d’une autre menace. Je m’approchais alors de l’homme aux sabres respirant bruyamment. Au sol, désarmé, une main sur son torse, comme s’il tentait de tenir fermé sa plaid béante qui lui ouvrait le torse. Il n’en avait pas longtemps avant de succomber, juste assez pour que je l’observe. Je ne voyais pas l’intérêt de lui posé des questions, il refuserait de répondre et aux portes de la mort, il n’avait rien à perdre. Il lui fallut un petit moment pour que son regard se fixe sur moi, sa conscience était déjà entrain de le quitté, mais ses yeux finir par m’observer tout comme je l’observais. Il remua alors les lèvres, mais aucun son ne franchit sa bouche. Mais je devinais ses paroles, une malédiction silencieuse devant sa défaite, marqué le dernier moment de sa vie de toute sa rage et sa frustration. Cella était inutile et la clémence me poussa à l’action. Me penchant sur lui j’attrapai sa tête pour la faire pivoté d’un coup sec, de quoi lui abréger ses souffrances. Il c’était bien battu, mais il n’avait pas le niveau. Se combat, il l’avait perdu d’avance. Se combat n’était de toute manière pas le sien, il devait être manipulé, j’en étais persuader. D’autre yeux nous observaient apprenant notre style par se combat pour connaitre nos faiblesses et nos forces. Qui pouvait donc mettre tend d’énergie à éviter ses négociations, qui avaient donc tend à gagner que Suna ne se mêle de rien, qui n’avait donc pas compris l’illusion de notre action. Notre ennemi n’avait pas toutes les informations, mais il était déterminé.
Je me redressai alors pour me tourner vers Hisoka qui c’était approcher de moi me demandant si j’allais bien. Sur le coup je trouvai sa question étrange, nous venions d’être attaqués, nous avions du tué pour survivre et il me demandait si j’allais bien. Sa question avait un largue spectre et de nombreuse réponse souvent contradictoire, mais je savais qu’il s’inquiétait pour ma santé. Je lui répondis que je n’étais pas blessé, du moins rien de grave. Je ne lui retournai pas la question voyant par moi-même qu’il semblait indemne après sont affrontement. Ses quatre adversaire avait connue le même sort que les miens, mais cela ne voulait pas dire que le combat été terminé. La menace était toujours présente mais cacher et peut être le resterait elle encore un moment attendant une autre opportunité. Il fallait alors agir, peut être prendre l’ennemi invisible de vitesse de quoi perturber ses plans. J’observais alors Jakis tout en faisant quelque mudrâ de mes mains jointes avant de toucher mon épée qui se volatilisa à nouveau. Je recommençai alors les mêmes symboles avant de toucher mon avant bras se qui fit apparaitre cette fois une corde.
- Finit les embuscades, on va faire sortir l’ennemi de son trou ou le laisser sur place. Jakis venez par ici et je ne veux aucune plainte de votre part.
Fort heureusement, le combat sanglant au qu’elle Jakis venait d’assisté combiné au fait qu’ils étaient venu pour le tuer lui, le gardait dans un mutisme presque reposant. Docilement il s’approcha de moi et je lui expliquai mon idée, qui avait été mon plan de secoure au cas où Jakis ne tenait pas l’allure. L’idée ne lui plaisait pas, mais il ne discuta pas et obéie. Je pivotai alors et le pris sur mon dos me servant de la corde pour le maintenir le plus solidement possible. Dans cette posture, nous avions sans aucun doute l’air ridicule, mais au milieu du désert, qu’elle importance. Même si Jakis était plus gros et plus lourd que moi, je pouvais le porté sans aucun soucie, du moins tend que la porte de la vie restait ouverte. Le dernier bout de voyage jusqu’au port allait sans doute bien entamer sur ma réserve de chakra, mais j’aurais le temps de récupéré durant notre traversé. De plus je n’allais ressentir la fatigue qu’une fois ma technique désactivé pas avant, alors mieux valait en profité. Une fois prête, je me tournai vers Hisoka pour l’informé qu’on était prêt au départ et qu’on allait pouvoir effacer rapidement la dernière distance dans le désert.
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| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Sam 20 Aoû 2011 - 12:00 | |
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A dire vrai il ne s’attendait pas à trouver quoi que ce soit, mais il devait le faire, il était inutile de passer à côté d’un détail important. Tout en se relevant, il se fit interpeler par sa coéquipière qui lui expliqua qu’elle était prête. Se retournant, il vit alors la scène quelque peu déroutante, Moeko portant Jakis. Si les circonstances étaient différentes, sans doute aurait-il sourit a cette image, cependant l’heure n’était pas à la plaisanterie. L’air sérieux qu’il affichait sur son visage contrastait avec celui qu’il avait montré depuis le début de la mission. Il n’était nullement inquiet, c’était seulement une autre facette de son personnage. Il ne servait à rien de se relâcher, tout ceci était loin d’être fini, il redoutait une attaque à l’intérieur du village, cela limiterait les possibilités des deux jeunes ninjas, cependant le risque qu’une milice quelconque intervienne était également grand. Si le village était un mauvais choix, le bateau lui n’en était pas un, il représentait la dernière ligne droite de leur voyage, là où ils seront le plus épuisés, éloignés de leurs repère du désert, loin de leurs affinités, ils devenaient des cibles plus faciles. Le commanditaire, celui qui voulait la tête de Jakis était-il prêt à sacrifier les autres personnes qui voyageraient sur ce bateau ? Cela n’aurait rien d’étonnant. Alors que Moeko avait déjà commencé à avancer, le jeune homme lui restait en arrière, observant le ciel. Moeko avait activé les portes, elle voulait en tirer profit jusqu'à la fin, le reste du voyage se ferait donc de manière éclair, ils allaient brûler beaucoup de force pour rejoindre le village portuaire, c’était dangereux d’agir ainsi, cependant laisser plus de temps à leurs adversaires l’était tout autant. Ils ne devaient pas pouvoir préparé leurs embuscades, il fallait imposés son rythme à l’autre, hors de question que ce soit ces assassins qui parviennent à placer le leur.
Soupirant, l’héritier des Satori reprit sa route, tournant les talons à la triste scène qu’ils laissaient derrière eux. Déjà le bruit des rapaces venant dévorés les restes de ces malheureux se faisait entendre. Il prit une impulsion sur le sol, puis d’un coup sec concentra son chakra dans ses pieds, ne s’enfonçant plus dans le sable, il commença sa coure. L’amazone était déjà loin, il allait devoir mettre les bouchées doubles pour la rattraper. Mais il savait pertinemment que pour le moment ils étaient en sécurités. Si tenté que l’on puisse dire cela après une attaque. Le tout étant de savoir se préparé à la suite des événements. Il se rapprochait de la jeune femme, il distinguait à présent nettement son corps plus frêle portant celui plus épais de l’émissaire, ce dernier bien que piquer au vif de ce faire porter ainsi par une femme, semblait apprécier le contact avec la belle prédatrice. Ce qu’il avait dit d’elle dans le refuge revint alors en tête à Hisoka, ce qui lui laissa un sourire sur son visage. Lui qui trouvait ce corps si jolie, il devait être au ange de pouvoir le toucher ainsi. Le touché était peut être un bien grand mot, mettons que la proximité des deux corps pouvaient se révélés aguicheuse pour le politicien. Après quelques secondes, le Jounin arriva enfin à leurs niveaux, légèrement en retrait cela dis, il se contentait d’observer la scène, puis reposa son regard au loin. L’air se rafraichissait si vite… C’était certainement moins prononcer pour Jakis, cependant les personnes ayant pour habitudes de bouger dans le désert, sans spécialement parler des nomades, pouvaient ressentir un tel changement de température, ainsi que l’humidité qui gonflait outrageusement l’air. Bien entendu, les nomades eux le ressentaient avec bien plus de fort, il y avait fort à parier que Moeko déjà depuis un long moment se sentait s’approcher des côtes.
La fin de la mission était perceptible, le groupe était en train d’aborder les derniers kilomètres qui les séparaient des ports, lorsqu’ils seraient enfin dans le village, il ne faudrait plus que prendre un transport maritime, puis se diriger vers Kiri No Kuni, normalement une escorte devrait les attendre au débarquement, s’en suivrait la rencontre avec la Mizukage ou bien directement le seigneur féodal du pays de l’eau. La suite des événements paraissaient trouble, il ne savait guère comment se placer par rapport au enjeu qui était censés se trouvés dans ce débat. Cependant tout ceci était stérile, la guerre ne serait pas éviter, Suna se contentait simplement de faire bonne figure face à cette événement, Jakis allait-il tenter de renverser la situation pour glaner quelques informations, ou quelques alliances secrètes avec le village de Kiri ? D’un œil avisé, Konoha n’avait que très peu de chance de remporter cette guerre, l’annexassions du village de la feuille paraissait inévitable. Le sable étant l’allié de la feuille, si aucun signe n’était donné de leur part, le village de l’eau pourrait très bien penser que Suna resterait fidèle à son alliance. Ce qui serait idiot, dans un tel cas, les alliances ne tiennent plus, Konoha s’étant lui-même mis dans le pétrin, il n’y avait aucune raison valable pour que Suna subisse les conséquences de leurs manque de tact.
C’était ce qui était le plus simple à se dire, cela dis, la moral voudrait que l’on ne laisse nullement tombé ses alliés, mais où pouvait-on donner une quelconque moral dans le monde d’aujourd’hui ? La moralité est synonyme de pitié ou de faiblesse dans la plupart des cas pour la majorité des gens. Qui serait capable de percevoir concrètement la différence réelle entre ses différentes formulations ? Le monde avait tourné ainsi, alors que bien des années auparavant l’honneur, la moral est l’éthique était ce qui dirigeait ce monde… Aujourd’hui, l’entièreté du système se centralise sur le profit, la décadence est la surenchère. Un système bien triste, ne laissant que peu de place pour les personnes qui le subissent. Les villages avaient été créés suite aux incessantes guerres de clan dans l’ère féodal des ninjas, mais aujourd’hui tout ceci n’avait plus aucun sens. Nous souffrons moins qu’avant ? C’était une excuse qu’Hisoka avait mille fois entendue dans la bouche de personnes qu’il surprenait, au détour d’une rue, dans l’académie, même dans la bouche de vétéran. « Nous souffrons moins qu’avant… » Ou il existait également le célèbre, « Il y a plus malchanceux que nous. » Tout ceci, ce n’était que de la poudre aux yeux, rien de consistant, un blasphème pur est simple. Pour la première phrase, trouvaient-ils vraiment que nous souffrions moins que dans les anciens temps ? La souffrance est tout simplement différente, mais elle est toujours là, présente, lacérant, obnubilant les forts, persécutant les faibles. Voilà où était le crédit que nous apportions a la souffrance, nous la banalisions, nous la formions pour qu’elle rentre dans un moule bien définis. Sans doute pour avoir un tant soit peu de contrôle sur quelque chose qui n’est pas définissable, qui n’est nullement contrôlable.
La seconde phrase était peut-être la plus amusante de toute, la plus hypocrite à la fois, ainsi nous ne devons pas nous plaindre de notre malheur car il existe toujours autre part quelqu’un de plus malheureux que nous ? C’était noble, véritablement, mais d’une hypocrisie sans nom. Ainsi nous pouvions choisir quand nous occupé des autres ? A quel moment leurs vies peuvent rentrés dans la nôtre, à quel moment notre profond égoïsme laisse place à une piété forçant le respect des idiots. Arrêtons avec les mots criés haut et fort, arrêtons de mentir impunément, tout le monde se fiche de son voisin, tout le monde se fiche du monde qui l’entoure, aucun geste fait à l’encontre d’une personne n’est faite sans désiré une contrepartie palpable. Il y avait tant de manière d’être remboursé par nos bonnes actions : L’argent, la gloire, la célébrité, ou bien encore le sexe. Rien que sur ces quatre désirs, nous pouvions nous calqué pour voir que chacune de nos actions ne sont faites que dans le but précis d’atteindre un objectif qui nous permettra de vivre un peu mieux durant quelques temps. Voilà où était le monde d’aujourd’hui, le futur ne laissait rien présager de meilleur, du moment que nous restions ancrés dans ce système de privation et d’auto satisfaction de soit même. La destruction de ce qui est, mène au renouveau, c’est le changement qui effraie, ce sont les sacrifices nécessaire qui nous pousse à nous dire que cela n’en vaut pas la peine. Alors qu’il faudra bien, qu’un jour, quelqu’un face le nécessaire pour changer ce qui est. Sera-t-il vu comme un Tyran ? Sans aucun doute, mais l’histoire est comme le temps, au final, le Tyran deviendra héro, puis dans plusieurs centaines d’années, un Dieu. Les croyances est les modes de pensées change, lorsque la souffrance causé par un être ne touche plus directement le monde.
Revenant à lui, Hisoka observa autour de lui, il s’était plongé dans ses pensées, cela dis il n’y avait rien d’urgent, il sentait cependant sur sa peau l’humidité qui s’accentuait, quelques minutes encore, une quinzaine certainement. Le port était déjà en vue au loin. Jakis avait tenté de parler avec Moeko mais celle-ci restait stoïque, ne lui répondant que brièvement ou par un simple hochement de tête. Elle réfléchissait aussi à ce qui allait suivre. Hisoka l’observa, du coin de l’œil, il ne cessait d’observer ses traits, sa peau, ses yeux, ses cheveux, son corps, les courbes de son corps. Là encore il se perdit dans le fil de ses pensées, il occulta complétement l’émissaire, laissant son regard vagabonder sur la jeune femme. Il ignorait pourquoi elle l’attirait autant, elle était une sorte d’aimant, elle représentait son passé, là d’où il venait, du moins c’était ce qu’il se disait au début, une explication comme une autre qui lui permettait de la regarder simplement sans chercher d’autre excuses, mais à présent, il savait que cela n’avait rien à voir. C’était une tension qui s’installait entre eux, il se demandait si la jeune femme le ressentait également de cette manière, ou si c’était le désert ainsi que ses rêves qui l’induisait en erreur. Il ne savait que pensée, soupirant légèrement, il ferma un peu les yeux, puis se laissa embarquer dans un songe très court mais très intenses. Il entendit alors un son rauque, des bruits de contact, plusieurs autres bruits, difficilement compréhensible dans leurs contexte. Il entrevoyait des ombres, qui semblaient danser ensemble dans un balai ininterrompu. Il semblait sentir une odeur de transpiration enivrante, derrière une senteur qui le paralysait. Son corps se mit à réagir tout seul, de lui-même il le sortit de cette transe dans laquelle il avait plongé l’espace d’un soupir. En revenant à lui, il semblait troublé, ne sachant que penser de ce qu’il venait de voir, ou de moins de percevoir, il ne savait ce que c’était, tout était si sombre. Cependant il posa sa main droite sur son avant-bras droit gauche, il avait des frissons, toute la température de son corps quand elle semblait avoir connu une hausse non négligeable. Sa bouche était sèche est-il sentais dans son bassin une tension s’installer. Il fut tiré de son analyse, par Moeko qui se stoppa, elle relâcha Jakis qui tituba sur quelques pas le temps de trouver son équilibre. Avalant sa salive est tentant de retrouver sa contenance, le Jounin s’approcha de sa coéquipière. Elle se tenait devant une porte fais de bois, au-dessus on pouvait lire le nom du village. Cela dis le sable avait à moitié effacé les gravures, il était presque impossible d’en savoir plus. Le groupe pénétra finalement à l’intérieur de l’enceinte qui entourait les bâtisses. Jakis restait entre les deux ninjas, qui eux maintenaient une distance raisonnable de sorte à pouvoir se couvrir au moindre danger.
Devant eux se trouvaient un village plutôt pauvre, relativement calme, Hisoka se faisait une autre idée de cet endroit, en tant que l’un des seuls ports du pays du vent, il voyait une grande ville, d’où arrivait plusieurs centaines de produits tous les jours, avec du monde s’afférant à droite à gauche, cependant au lieu de cela, il n’y avait ici que quelques maisons faites dans des matières qui semblaient prête à s’effondrer au moindre coup de vent trop fort. Au centre du village se trouvait une fontaine qui racontait une bataille qui mena au fondement du pays du vent. Tout comme la pancarte d’arrivée, les statues avaient souffert du temps est de l’érosion. Un mince filet d’eau coulait le long de la lame d’un homme en armure typique de l’ère féodal. En face de lui, se trouvait plusieurs dizaines d’hommes, gravés avec des visages apeurés. En tournant autour de la fontaine on pouvait voir la seconde partie de l’histoire. Finalement l’homme en armure se retrouvait au sol, la lame planté dans son corps, sa main droite tendue vers le désert au loin. Tout autour de lui des dizaines d’hommes. La fondation du sable s’était jouée sur le sacrifice de cet homme, contemporain à ceux qui avaient créé Konoha. Son histoire était triste, bien souvent chanté par les bardes, où bien dans bien des contes pour enfant. Plus ou moins embellis, personnes ne savaient réellement comment se terminait l’histoire de ce Shinobi. Certains disent qu’il tua de lui-même la femme qu’il aimait pour fonder le sable, qu’une fois ses larmes taris, il pleura du sable qui devint le désert. C’était du pur folklore populaire bien entendu. D’autres relataient que sa bien-aimée, aurait fuie dans un autre pays en voyant ce que devenait le ninja, ce dernier ne supportant pas le départ de la femme de son cœur, créa plusieurs guerres qui façonnèrent le pays du vent durant bien des années. Ceux qui raconte cette version, aiment rajouter la touche dramatique final, expliquant que l’armée qui terrassa l’homme était dirigé par l’enfant de son aimée. Hisoka préférait personnellement cette version, certainement plus proche de la réalité que bien d’autres. En pendant à ce qu’il avait dû vivre, il ne put s’empêcher de se laisser envahir par un terrible sentiment de pitié.
Le repoussant cependant, il se tourna vers son groupe, Moeko avait appelé un habitant qui semblait être pars chance l’une des personnes capables de leur loués un bateau. Lorsqu’il arriva à proximité il pus entendre la fin de la conversation. Elle lui avait expliqué qu’ils devaient traversés pour le compte de Suna, sans en dire plus. C’était très bien ainsi, le fait que ce soit des ninjas qui réclament le bateau pour le village éviterait les négociations avec ce genre d’individu. Pour lui prouver ce qu’elle disait, elle lui désigna son bandeau frontal, le Jounin en fit de même, le sortant de sa poche, il le laissa pendre le long de sa main droite, puis le rangea. Le villageois leur demanda de rester là en attendant qu’il se renseigne pour savoir si un bateau était prévu. Avant qu’il ne s’éloigne, Hisoka le héla, il lui demanda alors s’il y avait eu dernièrement des étrangers qui seraient venu au village. L’homme sembla chercher dans ses souvenirs puis finalement lui annonça qu’il ne pensait pas. Le remerciant, il se retourna vers Moeko qui semblait pensive. Se retournant, il put voir ce qui la préoccupait, l’eau s’étendait à présent à perte de vue, le relief était intéressant, d’un côté le désert de l’autre l’océan. Bien qu’impressionnant, la beauté du lieu n’était pas négligeable, malgré que le village soit en piteux état tout ici respirait l’air marrant, ce qui faisait du bien à Hisoka. Sa tenue n’était pas aussi efficace est perfectionner que celle de Moeko, sa peau avait souffert de cette traversée, bien qu’il ne le montrait pas, les yeux experts pouvaient voir que sa peau s’était légèrement assombrie, qu’elle était devenue sèche. Le simple contact avec cet air frais lui faisait le plus grand bien. Il laissa alors sa coéquipière avec Jakkis, en lui disant qu’il allait voir le bateau et s’assurer que tout allait bien.
Il s’avança dans la rue que l’homme venait de prendre, puis tourna sur lui-même, il vérifia que personne ne le suivait, ce n’était pas le cas, d’ailleurs il n’aurait eu aucun mal à le voir, la ville était tellement vide que le premier qui se serait amusé à le suivre aurait été découvert très tôt. C’est à ce moment qu’il comprit qu’il n’y aurait aucune attaque dans le village, tout ici était trop désolé, trop ouvert. Se stoppant près du port, juste au bord du muret qui surplombait l’océan, il croisa les bras au niveau de son torse. Sur sa droite il observait le bateau qui était en train d’être chargé, les passagers montaient à l’intérieur. Il y en avait un sacré nombre, voilà où était donc passé la plupart des habitants ? Peut-être certains faisaient le trajet tous les jours, si ils étaient tous matelot, il ne serait pas étonnant qu’ils naviguent tous en tant qu’équipage. L’homme que Moeko avait interpellé tout à l’heure sortit alors du bateau, puis en voyant Hisoka lui fit un signe de la main en s’approchant de lui. Il lui expliqua que le bateau était sur le départ est que tout était réglé, la note serait directement envoyé au village de Suna. Il le remercia puis lui demanda d’aller prévenir la femme avec qui il était tout à l’heure. Celui-ci s’exécuta, alors qu’Hisoka s’avançait déjà vers le bateau. Sans hésiter il gravit le passerelle qui permettait de monter à l’intérieur. C’était un grand navire, tous les passagers étaient agglutinés sur le pont, en train de chercher l’escalier qui leurs permettraient de descendre dans leurs cabines. Hisoka se fraya un chemin rapidement dans la foule, puis arriva à l’embouchure d’un couloir, se tournant, il remarqua le numéro de sa chambre. La traversée allait durée une journée complète. Ouvrant la porte de la cabine avec la clef qu’il avait récupérée a un matelot, il remarqua les trois couches. Deux étaient superposés sur sa gauche, une autre au fond de la cabine était entouré par un rideau. Il supposait déjà que Jakis voudrait celui-ci pour son intimité personnel. S’avançant il posa sa main sur le mobilier, une table banal, une armoire, quelques meubles de rangement, tout était plutôt précaire, mais cela serait suffisant pour simplement voyager à Kiri.
Il repensa alors à Moeko, elle devait être en train de chercher l’endroit où était Hisoka, il se demanda quel serait sa réaction en voyant toute cette eau autour d’eux ? Pour le moment tout allait bien le bateau n’était pas encore partit, mais dans quelques minutes cela ne serait plus le cas. Soupirant, il attrapa sa gourde à sa ceinture puis l’ouvrit en buvant quelques gorgées. Une fois désaltéré, il la rangea, puis se retourna en entendant du bruit sur le palier de la porte. Un léger sourire s’installa sur son visage lorsqu’il reconnut sa coéquipière, cette dernière était suivie par Jakis qui semblait aux anges de ne plus avoir à marcher. Comme prévu il se dirigea immédiatement vers la couche solo. Hisoka s’approcha alors de Moeko de sorte à ce qu’elle seul puisse entendre ce qu’il pouvait dire. Il n’y avait que quelques centimètres de distances entre eux, le Jounin légèrement sur sa gauche, son visage était près de son oreille.
" La traversée va durer une journée, nous devrions nous faire discrets, puis élaborer une stratégie. Je sais que tu penses aussi que l’attaque de la nuit dernière n’était qu’un leurre. Nous devrions faire attention. "
Se reculant légèrement, le Jounin reporta son attention sur l’émissaire qui était en train d’enlever sa cape du désert, tout en enlevant ses sandales. Il riait est parlait seul, vu d’ici il paraissait légèrement déranger, mais cela prêta tout de même Hisoka à sourire. Il regarda de nouveau Moeko puis reprit la parole cette fois avec une voix plus audible.
" Tu l’as assez surveillée, qui plus tu dois ressentir la fatigue de l’ouverture des portes. Tu devrais te reposées, je garderai un œil sur Jakis. J’ai entendu parler de cette technique, elle est puissante mais la contrepartie est douloureuse, inutile que tu sois réduite si jamais… " |
| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Lun 5 Sep 2011 - 17:56 | |
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Ma technique me permettait de me surpasser, une fois la troisième porte céleste ouverte, rien ne m’était vraiment impossible. Jakis, plus lourd et plus largue que moi devenait un poids plume sur mon dos, un poids qui ne me causait aucun problème pour courir en toute liberté. D’ailleurs je du vite ralentir l’allure de manière a ne pas distancer Hisoka. Si nous devions nous dépêcher nous devions tout de même resté grouper. Sous peine d’offrir une magnifique opportunité a l’ennemi que nous tentions de fuir. Les porte céleste était une technique enivrante, a chaque porte ouverte un nouveau palier était franchie, donnant de nouvelle possibilité, de nouvelle capacité. Durant mes entraînements, j’avais atteint la septième et avant dernière porte, celle qui confère une puissance énorme tout en se nourrissant non seulement du chakra de l’utilisateur mais de son énergie vitale. La septième porte reste donc très dangereuse pour la santé de l’utilisateur qui se voit doucement détruit par sa puissance. Mais ce n’était pas pour rien que cette porte se nommait « Kyo Mon » la porte de l’extase, nombreux shinobi si sont perdu gardant la septième porte ouverte jusqu'à se que mort s’en suive savourant cette puissance, cette nouvelle perception de l’existence a travers nos sens décuplé. J’avais du apprendre la discipline et le contrôle de moi-même avant d’ouvrir la septième porte et même en gardant le control, le risque demeurais présent. C’était une technique a double tranchant, un tranchant aiguiser et mortelle pour l’adversaire et un autre plus subtile et lent pour l’utilisateur. J’avais conscience que de gardé la troisième porte ouverte pour finir le voyage n’allait pas être bon pour mon organisme. J’allais bien entendu être épuisé en arrivant sur place, mais cela pouvait être facilement réparé par un peu de repos, mais mon corps allait sans aucun doute passé dans un état de manque comme si l’ouverture des portes céleste était une drogue qui me rendait dépendante. J’allais ressentir le besoin d’utiliser ma technique, le besoin de sentir cette puissance. Heureusement, mes origine de nomade Zenchist m’avait, dés mon plus jeune âge habitué à consommer de la drogue pour libéré mon esprit. Nous ne la consommions pas en masse comme des drogué dépendant, mais en petite quantité de quoi se libéré quelque peu de l’étreinte physique. Je savais donc me défendre face au sentiment de besoin et de dépendance.
Plus nous avancions et plus le désert changeait, de manière drastique pour mes yeux. L’humidité ambiante atteignais des sommets que j’avais que peux connu. L’air était froid et une odeur salée venait chatouiller mes narines pourtant protégé par mon masque de respiration. L’océan n’était plus très loin et j’allais bientôt faire face a cette étendu d’eau qui peuplait les rêve et les histoires des enfants de mon clan. C’était la première fois que je me trouvais si loin de mon désert natale, j’étais existé et nerveuse de se que j’allais voir et ressentir. Jakis sur mon dos ne semblait pas avoir le même genre de pensé, il était fatiguer par la marche d’avant et sa position peux agréable et plutôt humiliante de maintenant. Durant les premières minutes de notre avancé rapide, il avait vite trouvé l’avantage d’avoir ses main collé a la naissance de ma poitrine, mais il c’était vite lassé de se contacte futile et au final peux excitant, se qui n’était pas pour me déplaire, l’idée de contact physique avec cette homme me dérangeait quelque peu. Mais une fois son semblant de lubricité évanouie, il commençait a s’ennuyé et voulu posé des questions sur notre voyage, sur la nature de ma technique et sur le combat au quelle il venait d’assister. Je le fis rapidement taire en lui faisant croire que j’avais besoin de concentration pour gardé ma technique active et l’idée de finir a pied semblait plus l’ennuyé par le silence car il se tut.
Le village apparut après seulement quelque heure de course, alors que nous serions arrivés que le lendemain dans la journée en marchant normalement. C’était un soulagement de voir la silhouette des premières habitations qui, une fois atteinte, me permettrait de refermé la troisième porte et de me reposer, sans oublier le fait que j’allais reposer Jakis a terre. En jetant un coup d’œil vers Hisoka, je vis qu’il était quelque peu absent, comme perdu dans ses pensé, peut être une technique pour étouffer la fatigue qu’il devait ressentir. Les porte céleste ouverte, il ne m’était pas facile de voir les limites, j’ignorais dans quel état de fatigue j’allais me retrouvé en refermant les trois portes, c’était une chose difficile a calculé, surtout pour cette utilisation peu ordinaire de la technique et normalement déconseiller a cause de l’effet de dépendance que pouvait donner la technique. Mais j’assumais les risque que je prenais et était prête à y faire face. Il nous fallut moins d’une heure pour atteindre enfin la prote du village ou je pu déposer Jakis qui se plaignis tout en massant ses muscle fatigué par l’immobilité et le manque de confort de sa position. Je refermais alors aussitôt la troisième porte céleste tout en gardant les deux premières ouvertes. La seconde porte appelé la porte de la guérison, stoppait mon état de fatigue et décuplait l’activité régénératrice de mon organisme. J’allais les gardé ouverte jusqu'à se que je puisse méditer ou dormir un moment. Je sentais au seuil de mon esprit la fatigue accumulé qui n’attendait que la fermeture de la seconde porte pour se déversé en moi.
Le village côtier était plus petit que je ne l’avais pensé, étant l’un des principale port commercial de la zone désertique, il avait sans doute un bon nombre de marins et de marchands qui passait par là et sans doute y avait il plusieurs relai disséminer dans la ville pour accueillir les marins fatigué de l’océan a la recherche de plaisir simple de la bonne chaire et aussi pour accueillir les marchands qui venait ici pour prendre possession de leur marchandise. Mais visiblement a pars cette circulation, peu de monde vivait véritablement sur place. Un minimum vitale pour faire tourné les différent hôtels qui se trouvait dans la ville, quelque pécheur et sans doute un menuisier navale quelque pars. Mais a pars cela la ville était plutôt petite et simple, pour ne pas dire quelque peu pauvre. Sa construction avait aussi un côté intéressant, elle avait sans doute été bâtie a la base par des marchant voulant étendre leur zone d’influence et n’avait donc que peu de connaissance du désert a se moment là, se qui expliquait la détérioration de la plus pars des structure d’origine. La zone du côté du port était bien mieux entretenu et la plus après des bâtiments semblait de bonne facture, la zone était plus vivante et nous nous retrouvâmes rapidement parmi le petit monde de cette ville. Les quais était plutôt imposant capable d’accueillir une dizaine de bateau et plus au Nord de des quais se trouvait une grande zone ou de nombreux entrepôt était aligner.
Je ne perdis pas trop de temps en contemplation, j’arrêtai rapidement un homme dans la rue pour savoir ou nous pourrions obtenir un passe pour l’un des bateau en départ pour le pays de l’eau. Je fus rapidement dirigé vers un jeune homme, un des nombreux gamins qui faisait office de coursier en échange de quelque pièce. Je lui expliquai donc rapidement que nous cherchions une cabine pour trois dans un bateau en direction du pays de l’eau et je lui glissais dans la main quelque pièce de quoi le motivé a trouver se que l’on cherchait. Par-dessus mon épaule, Hisoka lui posa une question sur des étrangers qu’il aurait pu apercevoir. Même si le jeune homme répondu que non, je me doutais bien qu’il y avait peu de chance pour qu’il puisse avoir vue nos poursuivant, la ville, par son port, recelait de nombreux étranger qui venait et passait tout les jours, un port marchand comme celui-ci ne décelait que peu d’habitant. Une fois la question répondu, le jeune homme fila, sachant exactement ou il devait se rendre pour nous trouver se que nous cherchions.
Une fois cela réglé je me tournai vers l’horizon. L’océan dans toute sa grandeur me faisait face. Par mon œil de nomade, l’océan avait beaucoup de similitude avec le désert. Son étendu sans fin, c’est vague parcourant sa surface en suivant le vent. L’océan était comme un désert mais ou seul l’eau avait sa place. Voir toutes cette étendu d’eau alors que des gens mourrais de soif au milieu du désert, c’était étrange dérangeant, mais aussi merveilleux par sa beauté par ses reflet. Mais je remis mon masque respiratoire en place, l’air saturé de sel agressant mes sens. Je savais que j’allais devoir retirer ma Tekika, l’humidité et le sel allait abîmer ma tenue, et je n’en avais plus besoin pour survivre même si son contact me rassurait. Il fallait que je prenne sur moi. Je devais me concentré sur la mission avant de me perdre dans une contemplation qui pouvait faire baisser ma garde, je devais rester méfiante devant l’ennemis encore invisible qui était a nos trousse.
Quand je me détournai de l’océan, je vis qu’Hisoka n’était plus là, il m’avait laissé seule avec Jakis sans me donner d’explication, se qui ne me rassurai pas. Ce n’était pas le moment de se séparé, surtout en ignorant la menace qui nous guettait. Jakis, lui était assis sur le bord d’une fontaine qui ornais la place, sont air fatigué et soulagé de se reposé me dérangeai sans savoir pourquoi. Quelque chose clochait mais je n’arrivais pas à mettre le doigt dessus. Je le fis alors se relevé lui expliquant qu’il fallait mieux rester en mouvement et se déplacer vers les quais. Il n’eu pas l’audace de se plaindre de mal de pied ou d’autre douleur imaginaire vue qu’il avait finit le voyage sur mon dos. Je sentais au fond de moi que les portes céleste étaient resté ouverte trop longtemps, il me fallait me reposé. J’avais espoir que le coursier trouve vite une place sur un bateau qui quitterait le port tout aussi vite.
Alors que Jakis et moi marchions vers les Quai, notre coursier réapparut au milieu de la rue et je lui fis un petit signe de la main pour lui indiquer notre présence. Il s’approcha alors de nous et me donna les détaille sur se qu’il avait trouvé. Manque de chance pour moi, il avait acheté les billets pour nous et m’avertie qu’Hisoka se trouvait déjà à bord. J’aurais du précisé que je voulais acheter moi-même les billets. J’aurais pue utilisé un Genjutsu pour payé avec de la monnaie de singe et mieux encore pour échanger un numéro de cabine contre un autre. Mais le mal était fait et je ne pouvais pas arnaquer se jeune coursier qui ne vivait que de ses différente course. Je lui remboursai alors les billets en lui donnant un petit quelque chose pour qu’il file avec le sourire aux lèvres. De cette manière, il ne parlerait sans doute de nous à personne, du moins je l’espérais. Si je ne lui avais rien donné et vue la question d’Hisoka, il aurait vite compris que l’information aurait un prix pour quelqu’un d’autre et il se serait empresser de la vendre.
Une fois tous cela régler, nous nous retrouvâmes sur le bateau, dans notre cabine en compagnie d’Hisoka. Le bateau ne payait pas de mine, mais semblait être habitué au trajet à travers l’océan. Les différents ponts était plutôt petit et les couloirs très étroit sans parlé des cabines qui manquait cruellement d’intimité. D’ailleurs le seul lit de la cabine qui semblait avoir un semblant d’isolement avait été rapidement pris par Jakis qui y déposa ses affaires sans se soucier de son escorte. Sa place ne me plaisait pas, il allait se retrouvé droit en face de la prote et à côté d’un hublot, il allait vite falloir lui expliquer qu’il ne fallait l’ouvrir sous aucun prétexte. Mais sur le moment je n’avais qu’une seule envie et c’était de me reposé pour reprendre mes forces. Hisoka, comme lisant dans mes pensée, me fit justement la remarque qu’il fallait que je me repose, qu’il allait jouer les babysitteurs un moment avec Jakis. Il ne fallut pas m le dire deux fois.
Je déposai mes maigre affaire sur ma couchette avant d’aller m’enfermé dans la très étroite salle de bain de notre cabine. Une fois à l’intérieur, je retirai soigneusement ma Tekika avant qu’elle ne se remplisse de sel. Une fois celle-ci retiré et plier, je la scellai avec le reste de mes affaire dans mon sceau avant de réenfilé mes vêtements. Une fois plus a l’aise je ressorti d la salle d’eau et m’assis en tailleur sur ma couchette pour refermé les deux première protes céleste. Au moment où j’annulais ma technique, la fatigue se déversa dans mon corps comme si on avait ouvert une vanne en moi. Je crus une second que j’allais m’effondré sur ma couchette et j’aperçu l’œil vigilant d’Hisoka sep osé sur moi. J’avais sans doute pali sous la fatigue, mais je me repris très vite utilisant un exercice de respiration pour se calmer et reprendre contrôle. Je n’avais qu’une envie c’était dormir ou entré dans une méditation régénératrice, la seconde option étant sans doute la plus sur vue la situation. Mais je devais avant tout veiller à al sécurité de notre client.
Dés que je pue refoulé ma fatigue pour un moment, je me redressai sous le regard surpris de mon coéquipier qui s’attendait sans doute a se que je m’endorme. Je lui expliquai alors que je sortais une seconde et que je dormirais ensuite, puis sans autre détaille, je quittai notre cabine. J’observais alors uen seconde les différent passager qui comme nous s’installait dans leur cabine avec peu ou prou de bagage à faire entré dans les minuscules cabines. Je ne sentais aucune menace directe mais je préférais m’en assuré avant toute chose. Mine de rien j’attrapai la pogné de la cabine voisine a la mienne et entrai. Celle-ci n’était pas verrouiller et je surprise un jeune couple entrain d’essayé de casé leur bagage dans un coin de la cabine. Je m’excusai de mon intrusion, trouvant l’excuse d’une erreur de numéro de cabine. Je fis ensuite de même sur la cabine de l’autre côté de la notre. Pour tombé sur un vieille homme en plein lecture, je lui sorti la même excuse que précédemment. Je fis un rapide tour sur le pont supérieur pour voir que notre cabine se trouvait juste en dessous d’une place de détente pour les passagers aimant l’air marin. Je me rendis pour finir au pont inférieur à notre cabine pour voir qu’elle se trouvait juste en dessus des cuisines du navire. Une fois se petit tour d’inspection fait, je retournai a notre cabine.
Je fis un rapide contre rendu à Hisoka lui expliquant se que j’avais vue de chaque côté de notre cabine, mieux valait avoir se genre d’information que de les ignoré totalement. Une fois tout cela fait, je pue enfin me posé sur ma couchette. Je me serais bien laisser tenté par une herbe qui m’aiderais a me reposé, mais il y avait trop de risque que sa émousse mes sens et j’avais besoin de toute ma vigilance. Je m’assis donc en tailleur sur ma couchette dos appuyé contre le mur d’acier du navire et fermait les yeux me laissant glisser vers un semi sommeil réparateur. Grâce a cette forme de méditation je pouvais me reposé tout en restant vigilante a se qu’il se passait autour de moi. De plus la médiation n’offrait aucun rêve et vu que je me trouvais sur le bateau qui avait hanté mon sommeil, je préférais ne pas subir des cauchemars qui entameraient mon repos pourtant mérité. Avec un peu de chance, nous aurons pris de vitesse l’ennemis et notre bateau aura pris le largue avant qu’il n’arrive au port, mais je n’étais pas du genre a me reposé sur la chance, je préférais les certitudes.
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| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Mar 6 Sep 2011 - 15:51 | |
| Moeko s’en alla rapidement de la chambre, une fois qu’elle eut fini de se mettre à son aise elle se posa quelques secondes sur sa couche, puis comme son instinct la guidait, elle se redressa est alla certainement faire un tour de garde et s’assurer que tout allait bien autour de leur chambre. Hisoka ne releva pas, la laissant simplement faire ce qu’elle avait à faire, il reconnaissait une volonté qui lui était supérieur, il ne pouvait nullement prétendre canaliser une tel force d’esprit. Elle devait se reposer, mais c’était à elle de poser les limites qu’elle devait suivre, personnes d’autre. Une fois sortie de la chambre, l’émissaire se redressa, s’avançant vers le Jounin qui était en train de retirer la cape dans laquelle il s’était camoufler depuis le début du voyage. Il la posa alors sa couche, puis posa son index sur le sceau qui était présent sur son avant-bras. Dans un pouf de fumée, un autre habit apparut dans sa main. Il s’agissait d’une cape plus épaisse, il avait lu plusieurs livre sur Kiri est de ce qu’on lui avait raconté, il valait mieux avoir ce genre d’habit pour se protéger de la pluie lorsque l’on s’y rendait. De plus le climat qui régnait dans l’air était très humide, après une tel période dans le désert, il valait mieux habituer son corps tout en le protégeant, il ne s’agissait pas de tomber malade. Enfilant l’habit, il l’ajusta rapidement, resserrant une imposante ceinture de cuir autour de sa taille qui coupait la cape en deux, il y rangea quelques affaires dans les emplacements disponible, replaça sa poche a rouleau au-dessus de ses fesses, puis une fois prêt, observa le diplomate qui était en train de l’observer.
Il lui lança un sourire qui se voulait rassurant, il tentait tant bien que mal de lui faire comprendre qu’il ne risquait plus rien, bien qu’il était évident que même un homme comme lui comprenait l’urgence de la situation est que la dernière attaque était loin d’être la dernière. Il lui demanda alors, de manière naïve pourquoi ces hommes voulaient tant le tuer, pourquoi ils voulaient l’empêcher de parler au seigneur du pays de l’eau. La question interloqua Hisoka, Jakkis ne semblait pas du genre à se poser de tel questions, surtout lorsqu’elles sont complétement stupide. Il savait très bien la réponse, les avantages des guerres étaient nombreux pour tout autres pays mineurs ou villages voulant faire du profit. Se retournant légèrement, Hisoka observa la porte que Moeko avait refermée derrière elle, il soupira longuement, puis s’avança vers le hublot qui était prêt de la couche intime de l’émissaire. Il insista d’ailleurs pour qu’Hisoka lui réponde, expliquant qu’il savait très bien comment fonctionnait le monde mais qu’il désirait surtout savoir ce que pensait des ninjas tel que lui. Un sourire naquît sur le coin de son visage, il trouvait cela particulièrement gonflée, le protocole ninja, le code mis en place depuis que les villages sont villages réclamaient des Shinobis d’être des armes, d’obéir aux ordres sans regarder les dégâts collatéraux ou tout autre chose qui aurais pu permettre au monde de ne pas s’enliser de la manière dans laquelle il l’était actuellement. Ce sont des hommes tels que Jakkis qui l’avait envoyé exterminer tout une colonie sous le seul soupçon qu’ils étaient des terroristes, c’était ce genre de politiciens qui avaient créé la tension entre nomades et sédentaires. Est plus que tout c’était ce genre de personnes qui étaient les premiers à sauter sur une occasion de faire gravir leurs pays, leurs villages, leurs économies au détriment de tous les autres. Il ne se posait ses questions uniquement car sa vie était menacer est c’était à Hisoka est Moeko de protéger un homme qui avait fait du tort à leurs peuples.
Hisoka n’avait pas eu l’occasion de grandir comme sa coéquipière, il avait dû se réfugier a Suna très tôt, pourtant la simple question de Jakkis mettait le Jounin hors de lui, il le canalisait comme il le pouvait, observant la mer qui frappait contre la coque du bateau, la fine pluie qui tombait sur l’eau, le bruit des vagues, du large, l’odeur de sel dans l’humidité ambiante, il était loin de tous ses repères. Il avait du mal à imaginer ce que devait ressentir Moeko, il retint ses doigts qui voulaient se resserrer en un poing. Il se tourna alors vers Jakkis, l’observant avec une intensité nouvelle, ses yeux semblaient avoir encore changé.
" C’est notre pénitence, notre punition pour ne pas avoir rétablis la situation. Vous seriez le premier a vous octroyez le droit de vie ou de mort sur quelqu’un du moment qu’il pouvait servir l’intérêt de votre pays. "
" C’est être patriote, vous êtes encore jeune vous ne pou… "
" Le patriotisme ce n’est qu’une conviction que votre pays est supérieur aux autres car vous y êtes née, au fond cela ne flatte simplement que votre propre égo est nous en revenons à l’égoïsme. "
Jakkis sembla toucher au plus profond de son âme par cette attaque non retenue du jeune homme qui le foudroyait du regard, les deux hommes se faisaient face, scrutant les yeux de l’autre, cherchant à faire céder son interlocuteur. L’émissaire devinait alors à présent qu’Hisoka n’était pas qu’un simple habitant de Suna, comprit-il ses origines ? Le Jounin n’aurait pu l’affirmer, cependant il n’eut pas le temps de plus se pencher sur la question, car le ton s’éleva, le diplomate allant contre toute les recommandations que lui avait fait Moeko est Hisoka, éleva la voix, se transformant en un cri d’énervement, il lui rétorqua à celui qui lui faisait face en posant son index sur le torse de ce dernier. Celui-ci resta relativement calme, la porte s’ouvrit alors que la discussion battait son plein, le Shinobi ne porta pas son attention sur Moeko qui peut être attiré par le haussement de volume était venu voir ce qu’il se passait, ou peut-être avait-elle simplement finis sa tournée d’inspection ? En tout cas elle se dépêcha de fermer la porte de la chambre de manière à couvrir un peu le bruit que faisait l’homme.
" Espèce de petit enfoiré ! Pour qui te prends-tu pour juger de nos actes, tout ce que nous avons fait, nous l’avons fait par amour de notre pays, pour protéger notre peuple, pour vous protégez vous ! Les sacrifices sont nécessaires pour la paix de chacun, certains doivent mourir ! De cela en ressort la gloire de notre mouvement ! "
" Sacrifice est patriotisme, gloire et honneurs… Fumisterie ! Ces mots ne sont que des sophismes qui envoient des hommes à la boucherie Jakkis. "
Jakkis tenta alors de répliquer, mais Hisoka lui tourna le dos, terminant la conversation, ce dernier posa la main sur l’épaule du jeune homme l’obligeant à lui faire face, il observa ses yeux, on pouvait lire toute la colère du politicien qui observait le visage calme du Shinobi. Il le menaça alors, lui promettant qu’à son retour il ne manquerait pas de parler de son manque de respect au conseil. Le Jounin se contenta de porter son regard sur la main qui était posé sur son épaule, la retirant en posant sa propre main au-dessus de celle de l’homme en colère, il se sortit de son étreinte forcé, puis sortit de la proximité qu’il avait eu avec le politicien. Ne répondant pas à sa menace. Il eut une envie irrépétible de sortir de la chambre pour s’éloigner le plus possible de cette personnalité exécrable, il ne parvenait plus à supporter ses idées, sa manière d’être, tout en lui le répugnait. Cependant il savait également que si il devait partir maintenant cela mettrait en danger le bien de leur mission, plus important encore, il avait promis à Moeko de surveiller l’homme du moment qu’elle se repose, il tiendrait donc parole, il était surtout peiner qu’elle ait assisté à cette altercation. S’approchant de la jeune femme, il la regarda, puis il lui lança un léger sourire, voulait-il tenter de la rassurer ou se faire pardonner d’avoir poussé l’homme à s’énerver de la sorte ?
Quoi qu’il en soit, il se retourna, puis demanda à l’homme de le suivre. Il prétexta que Moeko avait besoin de se reposée, tout en grommelant Jakkis s’avança vers la porte, enfilant une veste au passage, il lorgna sur la silhouette de Moeko une nouvelle fois, il ne semblait même plus faire attention au fait qu’on le voyait dévoré des yeux le corps de la nomade. Avant qu’il ne parte, elle lui raconta ce qu’elle avait vu autour de leur chambre, il lui fit un signe de tête puis la remercia, il lui souhaita alors un bon repos en lui lançant de nouveau un sourire. Il referma la porte derrière lui, jetant un ultime coup d’œil vers elle. Une fois dans le long couloir du bateau, les deux hommes ne se regardèrent pas, ils prirent une direction au hasard, le tout était de la laisser de reposée durant une heure, si elle pouvait dormir pendant ce laps de temps cela lui ferait le plus grand bien. Le Jounin ne faisait guère attention au comportement de Jakkis, celui-ci observait les gens du bateau avec un certain dédain, beaucoup n’étaient pas de Suna, son « patriotisme » ou bien simplement racisme pour le Jounin lui donnait un certain malaise. Il n’avait aucun poids ici, dans cette mer il était comme tout à chacun, un homme comme les autres sans pouvoir diplomatique, sans personnes derrière lui pouvant l’aider, hormis le jeune homme qui se tenait à côté de lui est qu’il avait menacer un peu plus tôt. Peut-être réalisait-il son erreur ? Vexé, ou simplement promettre a son garde du corps qu’une fois sa mission finie il aurait un rapport sur lui n’était peut-être pas la meilleur approche qui soit.
Hisoka lui était déjà loin de tout cela, il observait les personnes qui étaient présentes sur ce bateau, profitant de ce petit tour pour remarquer qui pourrait être suspect, pour le moment il devait avouer n’avoir vu que des personnes que l’on pouvait qualifier de lambda, aucune d’entre elles ne semblaient être là pour assassiner Jakkis, mais même si c’était le cas, il serait certainement très difficile de le remarquer cette fois ci. La leçon qu’ils avaient donnés aux hommes dans le désert allait certainement leurs servir de leçons, ils seraient plus prudent est très certainement d’un tout autre niveau. Un groupe de jeune femme bifurqua alors au fond du couloir, les deux hommes reportèrent leur attention sur elle, Jakkis lui scrutait leurs formes, Hisoka lui voyait en ce rassemblement de personnes une couverture idéal, ils devaient s’éloigner. Poussant sur la gauche Jakkis, il prétexta de la galanterie pour les laisser passer. S’inclinant légèrement, le groupe de jeune dame se stoppèrent au niveau d’Hisoka, le remerciant de sa galanterie, il put entendre certains murmures à son encontre qui provenaient des femmes alors qu’elles s’éloignaient qui le firent sourire. Il se retourna, cette fois ci il eut la même réaction que Jakkis, il observa les courbes des jeunes femmes, plus par réflexes qu’autre chose. Elles étaient habillés de longue robe noire, légèrement fendue sur le côté, un corset serrés entourait leur poitrine et la mettait en valeur, un style qu’il n’avait jamais vu à Suna, mais qui était vraiment ravissant… Une classe, une élégance, il se surprit à imaginer Moeko portant une telle tenue, l’idée de la voir avec une telle robe alors qu’il l’avait vu dans sa combinaison l’amusa légèrement. Non pas qu’il doutait de sa féminité bien au contraire, elle lui sautait aux yeux, mais le fait que ce genre de tenue étaient si éloignés de ce qu’il avait vu sur elle, lui procurait un certain plaisir personnel. Sortant de sa rêverie, il remarqua que celui qu’il devait protéger n’était plus a son côté, fronçant les sourcils, il le chercha puis le vit près du pont un peu plus loin à quelques mètres. Soupirant il s’approcha de lui, alors qu’il n’était plus qu’à quelques mètres, son corps se stoppa machinalement, ses sens en alerte, quelque chose clochait.
Il eut juste le temps d’attraper le bras de Jakkis est de l’amener vers lui avant qu’une gerbe de flamme ne frappe les barrières ou étaient appuyés un peu plus tôt le politicien. Le lançant derrière lui, le Jounin porta immédiatement sa main sur le sceau qu’il avait à son poignet, un kunai apparu dans sa main, le plaçant de manière à se mettre en position de garde, il observa l’endroit d’où provenait l’attaque. Cependant tout était confus, il n’y avait rien sur l’étage supérieur est les gens qui avaient vu la lancée de flamme couraient à présent dans tous les sens, provoquant une crise de folie, des cris commençaient à se faire entendre de parte est d’autres du bateau, les gens couraient autour d’Hisoka est de Jakkis qui se redressait lentement. Plaçant sa main libre en arrière pour lui faire signe de rester accroupis, le ninja tentait de trier mentalement les personnes affolés de tout agresseurs possible, il n’eut cependant pas le temps de visualiser plus que cela, car un choc important le propulsa à l’endroit où la barrière avait été frappé par les flammes. Son corps sous l’impact lui procura une importante douleur, il se sentit alors tombé en arrière, il comprit alors qu’il était en train de tomber dans l’eau que les barres fragilisés par les flammes n’avaient pas résistés a l’impact. Il concentra son chakra dans sa main gauche, puis l’approcha de la coque du bateau, il fut trainer sur plusieurs mètres encore puis finalement réussi à se stabilisé. Il du cependant lâcher l’arme qu’il tenait dans son autre main, celle-ci tomba dans l’eau, il entama alors une progression rapide vers le pont du bateau. Une fois à quelques mètres du haut, il prit une impulsion avec ses pieds puis atterrit à l’endroit même où il était tombé un peu plus tôt.
Il constata alors que le politicien était en train de se trainé en arrière, toujours assis sur le sol, le mercenaire qui devait le tuer le pointait de son imposante arme. Une sorte de claymore dans le même genre que celle que possédait Moeko. Sans crier gare, Hisoka se jeta dans la bataille, l’homme ne sembla pas le voir approcher, le genou du Jounin se ficha alors dans le visage de son adversaire, alors qu’il empoignait avec dextérité le dessus de son crâne avec sa main gauche. Sous le choc l’homme recula de plusieurs pas, du sang coulant de sa bouche est de son nez qui venait se briser sous le choc. Le jeune homme retomba alors au sol devant la cible de sa mission. Se plaçant en garde, il prit bien garde à observer autour de lui, il n’y avait personnes d’autres. Il ne comprenait toujours pas comme le coup de tout à l’heure lui avait été asséné, mais qu’importe, il devait se débarrasser de lui. Point positif, la cohue avait disparu, les gens avaient dû aller se réfugier dans une salle, ou dans toute autre endroit susceptible de leur offrir un peu plus de protection. Le pont était dorénavant vide, la pluie s’accentua au fur et à mesure que le bateau s’avançait dans les eaux du pays de l’eau. Le vent se faisait plus intense, la cape d’Hisoka claquait sous l’effet de celui-ci, laissant découvrir les habits qu’il portait en dessous. Ses yeux concentrés sur le mouvement que ferait son adversaire au visage ensanglanté. Il semblait avoir oublié la douleur que lui avait causé son nez cassé est était prêt à en découdre, un sourire arrogant teinté sur ses lèvres.
Il empoigna alors son imposante arme est se jeta sur Hisoka, une attaque aussi frontal ? Ce n’était pas logique, cependant il devait l’esquiver, il s’apprêta à faire un pas de côté, cependant il sentit une présence arriver sur sa se côté. Ses yeux s’écarquillèrent en voyant une silhouette apparaître juste à côté de lui. Des doigts posés contre sa bouche, il n’eut le temps de ne rien dire que déjà une flamme sortait d’entre les doigts de son agresseurs, il fut obligé de suivre le courant de la flamme pour minimiser les dégâts de celle-ci. Plaçant ses avant-bras devant son visage pour le protéger, il recula en plusieurs bonds. Il sentit la peau de ses bras se brûler par l’attaque.
Lorsque celle-ci se stoppa il était au bout du pont, un genou au sol, les manches de sa cape avaient été disloqués par les flammes, découvrant ses bras brûlés. Le souffle court, il s’était pris l’attaque de plein fouet la douleur était important. Mais plus important il tenta d’analyser la situation, il chercha immédiatement du regard celui qui venait de l’attaquer, mais déjà il avait disparu. C’était donc un ninja capable de se camoufler ? Ou bien utilisait-il des techniques d’espaces temps ? De plus il savait parfaitement sur quel côté il allait esquiver, tout se dessinait, l’attaque dans le désert était un test. Pour voir quels réflexes les deux ninjas avaient. Il pensa immédiatement à Moeko, elle avait dû être réveillée par le bruit des gens s’enfuyant, il espérait seulement qu’elle n’avait pas été prise durant son sommeil. Il devait analyser la situation, comprendre comment le binôme devant lui marchait. Il allait hurler a Jakkis de venir vers lui, que déjà celui-ci était en train de s’enfuir, voyant que son protecteur était en mauvaise posture, il entama une course vers l’endroit d’où venaient les deux hommes. L’homme au sabre se prépara alors à courir après pour le rattraper, par réflexe, le ninja sauta de sa position, il devait au moins couvrir sa fuite, en espérant que Moeko tomberait dessus est parviendrait à le protéger. Retombant sur le dos de la bête, il le fit tombé au sol, alors qu’il allait lui donner de nouveau un coup de pied, il entendre le bruit caractéristique de flamme arrivant dans son dos, jetant un rapide coup d’œil, il observa son adversaire au bout de la flamme qui se dirigeait vers lui. D’un geste rapide, il empoigna le col de son adversaire au sol, puis bascula au-dessus de lui, avec le contrepoids il l’obligea à se relever, bloquant avec son autre main, le bras qui guidait sa lame l’empêchant de contre-attaquer.
L’attaque de feu frappa de plein fouet le dos de l’homme qui hurla de douleur. Une fois terminés, les mains d’Hisoka attrapèrent chacune une partie du haut de l’homme au niveau de son torse, puis prit appuis dessus pour que dans un bond, il place ses pieds contre son buste est ne le frappe violemment de sorte à le propulser en arrière. Le mastodonte retomba sur le dos ce qui lui provoqua une nouvelle crise de douleur. Se courbant légèrement pour avoir de meilleur réflexe, Hisoka était déjà en train de tenter de percer à jour la technique de son adversaire. Il pensait d’ailleurs avoir déjà trouvé la faille, mais il devait être capable d’agir en conséquence, il devait réussir à porter en un seul coup, le coup de grâce. Se retournant, il tenta alors de fuir pour suivre Jakkis mais de nouveau une gerbe de flamme lui barra la route, l’obligeant à sauter sur le côté alors qu’il allait s’engouffrer dans le couloir. Il observa alors immédiatement le sol. La surface du pont était recouverte d’eau à cause de la pluie torrentielle qui s’y abattait. Quelque chose clochait avec cette technique ou avec l’utilisateur.
Il n’utilisait que des techniques Katon, pourtant l’eau qui tombait réduisait considérablement leurs puissances, c’était en partie pour cette raison que le Jounin n’avait que les bras brûlés est non pas tout le corps. Pourquoi ? Etait-ce sa seule affinité ? C’était bien possible, une technique rendant invisible devait être épuisant, ainsi il ne pouvait utiliser que l’affinité qu’il maîtrisait le mieux, le Katon. Quand bien même il en aurait plusieurs l'écoulement d’action prouvait qu’il n’était en mesure que d’utilisé les flammes est que pendant ce laps de temps très court sa technique de camouflage se rompait. Il ne pouvait donc pas utiliser d’autre Jutsu, il devait la rompre l’espace d’un instant pour attaquer. Au début le Jounin pensait a une technique d’espace-temps, mais ce qu’il venait de voir sur le ponton du bateau lui prouvait le contraire, il avait vu l’eau qui stagnait dessus bougé lorsque le corps invisible s’était déplacé. Il pouvait le suivre ! Est-il savait comment l’avoir, peu importe si il pouvait le voir du moment qu’il savait où il était. Le mastodonte se releva alors dans un grognement, il lâcha son arme est composa des mudras, les yeux d’Hisoka se portèrent sur lui, il ignorait tout de lui… Le poing droit de l’homme se transforma alors en pierre, un utilisateur du Doton ? Il devait l’éliminer en premier, il ne semblait pas du genre à rester calme, si jamais il s’énervait dieu sait ce qu’il pouvait faire au bateau ! Il tenta alors une charge sur le Jounin, contrairement à ce qu’il pensait ce n’était pas seulement son poing mais tout son corps qui se transformait en pierre, chacun de ses pas creusait le bois qui composait le pont, il ne devait pas se prendre une tel charge ! L’attaque était simpliste mais les dégâts que cela lui occasionnerait seraient trop conséquents ! Fléchissant ses jambes, il observa l’homme foncé sur lui, tout en cherchant du coin de l’œil les pas de l’autre homme, il devait attendre, être sûr que les deux allaient pouvoir être touché, il allait devoir utilisé avec une parfaite synchronisation ses techniques, tous ses sens étaient à l’affut. Soudain, comme si il ne voyait que cela, il vit l’eau sur le ponton bouger, à quelques mètres de lui, l’homme de pierre n’était plus qu’à quelques mètres de lui, ça allait être court, peu importe si il se prenait le coup, il devait réussir à les stopper, des attaques Doton est Katons était trop dangereuse pour le bateau en lui-même, les pertes civils seraient inacceptables !
L’air se rafraichit alors d’un seul coup, l’eau qui était sur le sol, sembla se durcir immédiatement, ainsi en une seconde a peine, toute la surface aqueuse qui recouvrait le pont se transforma en une épaisse plaque de glace, le golem continua sa charger sur plusieurs mètres, s’approchant dangereusement d’Hisoka qui était toujours courbé, prêt à esquiver, observant surtout le résultat de sa technique. Il composa alors deux signes avec ses doigts et de la glace qui venait de naître, un clone en sortit juste devant le golem, l’homme de pierre poussa un grognement sourd est d’un coup sec de son poing le détruisit, sa charge avait été considérablement réduite, bien qu’il avançait toujours péniblement vers Hisoka qui observait toujours. Il hurla qu’il allait le buter est au même moment, les débris de glace qui provenait de la destruction de son clone une seconde semblèrent se stabilisé dans les airs. Le Jounin concentré dessus, fit un signe avec son index est son majeur de sa main droite, répondant à ce signaux, tous les cristaux vinrent s’empaler dans le dos du golem qui se stoppa immédiatement, alors qu’il n’était plus qu’à quelques pas du Jounin. La roche qui le recouvrait disparue lentement, redonnant son apparence normal à l’homme qui cracha une gerbe de sang avant de juré tout en s’écroulant sur la couche de glace. Soufflant, le Jounin reporta immédiatement son attention sur son autre adversaire. La distorsion dans la glace prouvait a un œil avertit de sa présence, ce dernier, cherchant certainement a resté caché ne sembla pas se rendre compte qu’Hisoka connaissait sa position. Jouant le jeu, le Jounin continua de rester sur ses gardes, semblant attendre la prochain attaque, l’homme au même moment voulu jouer sur l’effet de surprise est composa lentement des mudras, cependant il ne comprit que trop tard son erreur, en effet la pluie qui tombait au-dessus de lui était en train de se transformer en pieux de glace qui s’abattirent sur le malheureux avant qu’il n’ait le temps d’aller plus loin dans son plan. La transformation de l’eau en glace était la spécialité de chaque utilisateur du Hyoton qui révélait son véritable potentiel dans un climat tel que celui-ci. Une simple pluie était du pain béni pour ce genre de Ninja, leur erreur avait été de croire que ce qu’ils avaient vu dans le désert était la totalité de la capacité des deux ninjas de Suna. Le ninja invisible tomba lourdement au sol, du sang coulant de tous les endroits transpercés de sa peau. L’héritier des Satori rompit alors la glace qu’il avait créé en lui rendant son aspect liquide, la couche de glace, les débris est les épieux de glace se liquéfièrent presque instantanément. Prenant une seconde, il vérifia que ses deux adversaires étaient bel est bien mort, puis se retourna vers l’endroit où la cible de sa mission avait disparu quelques minutes plus tôt, puis se lança à sa recherche dans une course effréné, il priait surtout pour que Moeko l’ait trouvée est surtout que sa coéquipière aille bien…
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| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Dim 18 Sep 2011 - 15:37 | |
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Quand je revins dans la cabine, juste avant de me plongé en état méditatif, je surpris une dispute entre Hisoka et Jakkis, sur le sujet si sensible du patriotisme. Deux hommes aussi différent ne pouvait pas s’entendre la dessus, le patriotisme peu prendre tellement de forme et au final n’est qu’un mot qu’on colle sur des actions bonne ou mauvaise prouvant l’attachement a son pays ou la xénophobie latente en chaque être. Je préférais ne pas me mêler de se genre de sujet, ma propre idée du patriotisme devait aussi être complètement différente que celle des deux hommes et ce n’était pas le genre de discussion que j’appréciais. L’archiviste de mon clan m’avait a plusieurs fois dit « N’est pour patri que ton esprit et comme abri que ton corps. » cette phrase pouvais quelque peut résumer mon point de vue du patriotisme. Même si j’aimais le désert, cela ne restait qu’une étendu de sable, moi j’étais bien plus, je pouvais m’adapter, changer, évoluer. Nul besoin de sable, nul besoin de tradition, nul besoin de notoriété, je suis ma propre patri, mon « chez moi » à jamais. Mais je doutais que les deux hommes puisse comprendre, Jakkis penserais même, sans doute, au mot « trahison ». Mais je n’avais cure de leur point de vue. Les laissant se disputé, j’expliquai se que j’avais vue a Hisoka avant de plongé dans ma méditation.
Je laissai alors mon corps se détendre, mon esprit se reposé, l’énergie refluer en moi. Même si j’avais l’apparence de l’inconscience, j’entendais tous se qui se produisait autour de moi, même si j’en prenais conscience qu’au moment ou je sortirais de ma transe régénératrice. J’entendis alors Hisoka trouvé l’excuse de me laisser me reposer pour quitter la cabine avec Jakkis. Si mon esprit avait été alerte a se genre de chose je me serais sans doute éveiller pour lui expliquer que ce n’était pas une bonne idée de se séparer et de plus de faire sortir Jakkis de la cabine. Mais je restai en état de méditation, laissant mon corps reprendre sa force. La conscience du temps dans cette état se trouve faussé, chaque respiration semble une éternité mais sans perdre son rythme régulier. Il est toujours difficile au réveille de savoir combien de temps c’est écoulé durant al méditation, se qui peut être quelque peu perturbant si on n’y prend pas garde. Mais j’avais l’habitude de se genre de chose. Ce fut ainsi que quand mes sens identifièrent les bruit du couloir suspect et que je m’éveillai, que je n’eu aucun mal à reprendre mes esprit, sans me posé la question du temps passé.
Mon esprit serein plus attentif aux modifications de tension dans l’air, m’éveilla une seconde avant que les premiers groupe de personne arrive dans el couloir de manière paniquer. Il c’était produit quelque chose sur le pont supérieur et les gens courait se mettre à l’ abri. Je jetai un œil dans la cabine, mais Hisoka ne semblait pas être revenu avec Jakkis. L’ennemi avait profité que nous étions séparés pour agir. D’un bon je me remis sur pied bien décidé de rejoindre Hisoka en espérant que tout n’était pas encore joué. Mais je n’eu pas le temps de pester contre mon manque de vigueur a cause de l’utilisation abusive de ma technique qu’une explosion me projeta au sol me coupant le souffle et me criblant de petit morceau métalliques. La coque du navire donnant sur notre cabine venait d’exploser ouvrant un trou béant en dessus du niveau de l’océan. Visiblement peu de temps c’était produit depuis le début de ma méditation, car je ressentais encore la fatigue de notre arrivé. Il n’aurait pourtant pas fallut bien long pour retrouver mes forces, mais ce n’était pas le moment de me lamenté, il me fallait agir. Je me redressai faisant face a l’ouverture qui avait remplacé la couchette de Jakkis, avec un peu de chance ils c’étaient attendu a le trouvé ici et avait raté leur cible, se qui laissais une chance a Hisoka ne veillé a la sécurité de Jakkis. Une silhouette était visible par l’ouverture, debout sur l’eau qui malgré la distance m’observait, je le savais. Mais avant que je puisse réfléchir a mes priorité une nouvelle explosion, bien plus faible et faisant volé des morceaux de bois, retentis derrière moi. Je compris alors qu’on venait de fracassé la porte de la cabine et alors que je me retournais pour faire face a la nouvelle menace, un poing d’une dimension impressionnante s’abattit sur le côté de mon visage. Sa puissance colossale me projeta à travers l’ouverture, droit vers l’océan.
Le choc puissant ne me permis pas de me reprendre en plein vol plané et je me fracassai sur l’eau qui semblait soudainement très dur avant de m’enfoncé sous la masse liquide. Mon premier acte fut d’exiger à mon corps de ne pas reprendre d’air. Après un tel coup, mes poumons c’était vidé de l’air qu’il contenait et par pur réflexe j’allais reprendre ma respiration. Il fallait que je résiste pour ne pas boire la tasse et me retrouvé en encore plus mauvaise position. Je me concentrai alors uen seconde avant de remonté vers la surface ou je pue remplir mes poumon d’un air humide et salée qui m’agressa la gorge. Mais je n’eu pas le temps de me réjouir de cella qu’un pied, qui vu la taille, devait appartenir au même homme qui m’avait propulsé hors du bateau, me frappa au visage m’enfonçant à nouveau sous l’eau. Je maudis mon manque de rigueur et le relâchement de ma concentration qui avait permis que je me fasse encercler sans même le remarquer. J’étais maintenant en situation plus que précaire menacé de noyade si je ne faisais rien et menacé par deux ennemis encore inconnue si j’agissais. Mais mourir sans me battre n’était pas vraiment dans mon caractère. Je plongeai ma main dans mon étui a Kunaï, qui contenait peu d’arme vue que la majorité était scellé dans mon sceau et les sorti tous pour les attrapé dans ma main gauche, il m’était impossible de les lancé depuis sous l’eau, mais j’avais quand même moyen de leur faire prendre de la vitesse. Les prenant tous dans ma main gauche je pointai leur lame vers la surface identifiant la silhouette flou qui me menaçait avant de chargé mon poing droit de chakra. La puissance n’allait pas besoin d’être énorme, juste de quoi remettre l’équilibre en place. Je frappai alors le manche des kunaï, utilisant l’explosion de chakra pour les projeté avec puissance vers la surface. Sans me posé de question sur la réaction de mes adversaires, je me propulsai avec mes jambe vers la surface pour reprendre à nouveau mon souffle. Aucune botte vint me remettre tout de suite sous l’eau et je pue sortir de l’eau, utilisant l’art de marcher sur l’eau pour me retrouvé debout sur la surface, comme mes adversaires.
Je n’avais pas pue entré longtemps en méditation, je voyais encore le port pas si loin que cela. Nous adversaires, pris de vitesse par notre soudaine avancé, avait du rejoindre le bateau a pied. D’ailleurs on y songeant, il fallait que je surveille le bateau d’un œil car il finirait par me semé si je ne restais pas a sa hauteur, malgré son impression de lenteur il se déplaçait plutôt rapidement. Mais ma priorité restait mes adversaires. L’un deux, sans nul doute celui qui m’avait frappé a deux reprise se trouvait en face de moi a une dizaine de mètre, accroupie a la surface de l’eau. Même dans cette position sa taille était impressionnante, l’homme était une véritable montagne de muscle, une machine de puissance brute. Une seul de ses main pouvait m’attrapé la tête sans soucie. Il m’observait d’un air calme, sur de lui, un petit sourire aux lèvres prêt a en découdre. Mon second adversaire se trouvait sur ma gauche, a une bonne distance, bien trop loin pour que je puisse l’attaquer directement. Se tenant droite sur l’eau mon ennemi avait une silhouette féminine mais camouflé dans une longue cape à capuche qui la recouvrait presque entièrement. Je ne pouvais voir véritablement ses trait mais sa posture transpirait la sérénité et le calme, je n’étais pas en face d’amateur, mais de combattant aguerrie.
- Le serpent montre enfin sa tête.
- Non pas sa tête, nous ne sommes que les crocs, des armes vivantes rien de plus.
La voix de l’homme au muscle impressionnant était grave mais chaude. Il ne semblait brulé d’aucune rage envers moi ou envers notre combat à venir, se qui me surprit de la pars d’un mercenaire. Les déserteurs shinobi devenant des mercenaire était rarement des combattant calme et posé, mais plus des brute sans foi ni loi, ne sachant se faire entendre que par leur poing. Même si l’homme à la silhouette monstrueuse et à l’énorme cicatrice qui lui traversait son crâne rasé avait l’allure d’une brute sans cervelle, il devait sans aucun doute cacher son jeu. Son apparence était un leurre, je le sentais au fond de moi, un peu comme je le faisais avec mon épée pour faire croire que j’utilisais plus la puissance que la vitesse.
- Ce n’est pas dans nos habitudes de nous attaquer à des gamines, mais tu as survécu à notre premier assaut. Tu n’es pas aussi frêle que ta taille le laisse supposé. Mais un contrat est un contrat, tu vas mourir ici.
- Un…. Mais de quoi parlez-vous ?
- Tu n’as pas à connaitre se genre de chose, prépare toi. Je t’ai vue combattre dans le désert j’ai hâte de comparé nos Taijutsu respectif.
Une nouvelle pièce du puzzle fit sont apparition, mais une pièce qui n’allait nul pars, différente de toute les autres. Mais avant que je puisse y réfléchir mon adversaire était sur moi. Malgré sa taille impressionnante, il se déplaçait avec une grâce féline et une grande vitesse. Je du bondir en arrière pour esquiver son poing qui s’abattit telle une masse à l’ endroit ou je me trouvais une fraction de seconde plus tôt. J’allais devoir attendre avant de démêlé les fils de mes pensées, il me fallait me concentré sur le combat car mes adversaire n’était pas des imbécile et avait un très bon niveau a première vu. Il me fallait penser a une stratégie en me basant sur se que je savais. L’homme était un combattant au corps à corps, il m’avait lui-même révélé sont talent dans le domaine du Taijutsu, la femme, elle devait être une combattante a distance, se qui expliquais sa position et sont apparente inactivité. Elle allait sans doute attendre que les ouvertures apparaissent pour m’attaquer à distance alors que j’étais concentré sur son coéquipier. Si je voulais avoir une chance, il fallait que je la mette hors combat en premier. Je savais aussi qu’il m’avait observé durant le combat dans le désert, il savait donc que j’utilisais le Taijutsu et sans doute aussi mon affinité Doton. J’allais devoir les surprendre.
L’homme ne se fit pas attendre, la gerbe d’eau qu’il avait soulevé avec sa première attaque n’étais pas encore retombé, qu’il était à nouveau sur moi, me dominant de sa taille et essayant de ma balayé de sont poing. Il était rapide pour sa taille, c’était indéniable et sa puissance était impressionnante. Mais exactement comme moi qui était plus rapide que puissante, il était plus puissant que rapide et au niveau de la vitesse, je le dominais, de peu, mais assez pour l’utiliser a mon avantage. Sont poing droit ne balaya que l’air, me laissant presque tombé au sol, j’appuyai mes main sur l’eau, ma technique me permettant d’y trouvé appuie, avant de frappé avec mon pied le menton de mon adversaire, passant sous sa défense. Je crue frappé un roc quand mon pied atteignis la mâchoire de l’homme et je crue ne jamais pouvoir lui faire quitté le sol. Le Kage Byou était sensé envoyé dans l’air mon adversaire, mais sous la masse de celui-ci, je ne pue que le soulevé légèrement pour qu’il retombe en arrière. Sa masse était considérable. Je n’allais pas avoir d’autre choix que d’utilisé une fois de plus les portes céleste.
Même si je m’étais faite une ouverture par mon assaut, j’optai pour un repli stratégique. Ma seconde adversaire, qui aurait pue profité de la distance entre son coéquipier et moi pour attaquer, ne fit rien. Je me demandais à quel moment elle allait agir. Profitant de se court repos, j’activai ma technique des portes céleste ouvrant la première et la seconde, pour me permettre d’utiliser mon corps au maximum de ses compétences. Je préférais laisser la troisième porte fermé, je ne l’avais ouverte que trop longtemps et trop récemment et la suite de ma stratégie que j’étais entrain de mettre en place risquait d’échouer si je l’ouvrais. La prote de la guérison ouverte, je sentie la fatigue m’abandonné, même si je savais que ce n’étais qu’illusion, la fatigue était étouffer momentanément et me reviendrait que plus forte a la fermeture de la porte céleste.
Mon adversaire était à nouveau sur ses deux pied, souriant et sur de lui. Il semblait apprécier le combat. Je me demandais si l’inactivité de sa coéquipière n’était pas de sont fait au bout du compte. Désirant mettre au défie mon Taijutsu, il avait pu demander a sa coéquipière de resté en retraite et de n’agir que si je le surpassais. C’était peut être un point positif pour moi, je pouvais l’utiliser a mon avantage, mais fallait il encore que se soit un fait et non une intuition. Mon adversaire était a nouveau sur moi, toute sa puissance œuvrant a ma perte. Il frappa un direct de sont poing droit que j’esquivais d’une pirouette sur ma droite, sont poing gauche ne se fit pas attendre et une nouvelle fois, il tenta de ma balayer d’un crochet que j’esquivai aussi en me penchant en arrière faisant le pont de mon corps souple, laissant le poing de mon adversaire passé en dessus de moi avant de prendre appuie sur mes mains pour relevé mes jambe et frappé mon adversaire une nouvelle fois à la mâchoire. Mes pied continuèrent leur course pour retrouvé le sol et me permettre de me redressé. Mon adversaire ne fit qu’un demi-pas en arrière sous le choc de mon coup, mais cela était suffisant. Je me laissai a l’assaut bondissant dans les airs pour le frappé de toutes ma force pendant qu’il titubait encore. Mais il fut prompte a réagir et son bras, tel un serpent, s’élança vers moi pour m’attrapé a la gorge se qui eu pour effet de me couper le souffle en m’arrêtant de manière brutale. Avant que je ne puisse faire quoi que se soit, sont autre poing vint frapper douloureusement mon ventre, me faisant craché du sang. Mais alors qu’il se préparait a un nouveau coup, je m’accrochai a son bras musclé qui me tenait la gorge pour y prendre appuie et frappa de mes deux pied joint dans le visage, qui eu pour effet qu’il me lâcha pour basculé en arrière. Je tombai à la surface de l’eau le souffle court et fit une roulade en arrière pour prendre un peu mes distance, le temps que je retrouve mon souffle.
- Tu es rapide gamine, mais tu manque de puissance. Tu peux m’attaquer autant que tu le veux, il te faudra du temps pour me battre, alors que moi, en deux assauts je suis sur de te faire perdre. Vas-tu pouvoir esquiver assez longtemps ?
Comme seul réponse, je me lançai à l’assaut du colosse, chargeant de front de manière téméraire. Il referma alors ses poings prêts à me recevoir. Je serrai moi aussi le poing, le chargeant de chakra, bien décidé a lui montré ma puissance. Quand je fus a porté, il abattit son poing droit sur moi, déjà prêt a mon esquive avec son poing gauche pour m’accueillir. Mais au lieu d’utilisé une simple esquive, je chargeai mon corps de chakra et utilisa ma technique de déplacement rapide pour décupler ma vitesse et passé derrière mon adversaire, se qui le prit au dépourvue. Prenant appui sur l’eau, je me lançai dans les aires pour frapper le dos à découvert de mon adversaire, le poing chargé de chakra. La tactique était simple, mais prenait l’adversaire par surprise. Elle fonctionnait donc efficacement uniquement au premier assaut. Il me fallait donc frappé fort avant qu’il ne trouve une parade. Mon poing chargé de chakra, il allait voir si je manquais de puissance de frappe. Mon poing s’abattit alors avec vitesse, vers le haut de son dos presque sur sa nuque.
Un mur d’eau surgit alors de nul pars, se plaçant entre mon poing et le dos de mon adversaire. Mon poing frappa alors le liquide en suspension dans l’air, faisant exploser la charge de chakra que j’avais accumulé. La protection d’eau s’en trouva détruit et mon poing continua sa course, mais au ralentie. Quand mon poing s’abattit sur le dos de mon adversaire, c’était à peine une touchette qu’il ne du même pas sentir. Le colosse commença alors a pivoté sur lui-même pour m’attaquer, mais toujours sous la force de mon élan, je pu utiliser mes jambe pour prendre appuie sur mon adversaire et me propulsé en arrière, hors de porté de ses deux poings. Une fois à nouveau face à face, je vis le colosse jeté un bref coup d’œil à sa coéquipière. Comme j’étais entrain de le comprendre, c’était elle qui était à l’ origine de cette protection Suiton. Mais comment avait elle pue agir de si loin avec une si grande précision et rapidité. Je ne connaissais aucune technique Suiton capable de parcourir la distance qui nous séparait aussi vite, même une technique Raiton aurait eu de la peine. Comment avait-elle pu savoir se que j’allais faire. La technique Suiton ne venait pas du colosse, j’en étais persuadé. J’avais vu sa nuque au moment ou j’étais passé derrière, je l’avais pris par surprise et il n’avait pas eu le temps d’esquissé le moindre mouvement. Même S’il pouvait contrôler la technique par la pensé, il n’aurait pu la placé avec autant de précision en me tournant le dos. D’une manière ou d’une autre, c’était sa coéquipière qui avait agis.
Comme je m’en étais douté, la femme devait être mise hors combat en premier à plus juste titre, si elle pouvait protéger à distance son compagnon. Comme avait dit le colosse, peut de ses assauts serait utile pour me mettre hors combat, même si j’étais plus résistance qu’il semblait le croire. Je ne pouvais pas me battre contre leur combinaison presque parfaite, lui au corps à corps et elle le protégeant tout en restant hors de porté. Il allait falloir que je m’occupe d’elle. Mais je me doutais qu’elle n’allait passe laissé approcher aussi facilement et que le colosse ne me laisserais pas faire, car c’était la le point faible de leur combinaison, elle était vulnérable. J’allais devoir utiliser une excellente stratégie pour parvenir à mes fins, si je désirais survivre à cet affrontement. Mais j’avais déjà une petite idée sur la question. Mais je devais faire un minimum de préparation avant. Je regrettais sur le moment mes technique Doton, mais sans la moindre parcelle de terre dans les environs, impossible de créé, ne serais ce que le moindre clone de boue. Même le font marin était trop éloigné pour que je puisse l’utilisé. J’allais devoir faire sans.
Le colosse reparti alors a l’assaut, toujours souriant et sur de lui et maintenant je savais pourquoi il avait autant de confiance en lui. Peu d’adversaire avais pu résister a cette combinaison, du moins peut d’adversaire au corps a corps. Il se jeta alors sur moi de toute sa puissance, tentant de m’envoyé son genoux dans el ventre. Son poing m’avait déjà assez fait souffrir pour que je laisse son genou faire de même. J’esquivais de côté prêt a frappé d’un crochet mon adversaire. Mais celui-ci avait prévu le coup et pivotant sur le pied qu’il avait reposé a la surface de l’eau pour prendre appui, il se pencha en arrière se mettant hors de porté de mon coup et m’envoya son pied vers ma hanche a découverte. Sa ne fut que par pur réflexe que je chargea mon corps de chakra, utilisant a nouveau ma technique de déplacement rapide pour faire un bon en arrière et esquivé de peu le pied puissant du colosse. Je vis alors une nouvelle ouverture et bondis en avant. Mon adversaire encore sous l’inertie de son assaut, ne pue agir pour m’empêcher de passé sous sa défense. Il retrouva alors rapidement son équilibre pour me faire fasse, mais mon assaut était lancé sans qu’il ne puisse l’esquivé. Une nouvelle fois je tentai le Kage Byou, mais cette fois en utilisant mes deux pieds pour frappé sa mâchoire de toute ses force. Le Kage Byou s’effectuant très prêt de l’adversaire, la coéquipière du colosse ne pue agir pour empêcher l’impact. La force de mon attaque décuplé par l’ouverture des portes célestes et par le fait que j’utilisais mes deux pieds fit cette fois décollée mon adversaire du sol, le faisant dessiné dans l’air un arc de cercle parfait. Bondissant a sa suite, je me plaçai sous se dernier, hors de porté d’une contre attaque ou d’une défense. Une nouvelle fois sont dos vulnérable me faisait face. Je chargeai mon poing de chakra avant d’appuyé ma jambe droite sur la hanche de mon adversaire pour pouvoir me donné uen force d’inertie et pivotant sur moi-même. Mon poing droit replié contre moi et le gauche, chargé de chakra prêt a frapper, je pivotai sur moi-même pour faire un tour complet et me retrouvé en parallèle avec le colosse. Il me suffit alors de déplié violemment mon bras droit pour frappé mon adversaire au niveau de la gorge, lui coupant net le souffle et créant une ouverture. Il me suffisait alors d’abattre mon poing gauche chargé de chakra sur se dernier pour le faire s’écraser avec puissance au sol. Le choc de mon poing chargé de chakra allait faire de gros dommage et même si le sol était fait d’eau, le second choc allait tout de même être douloureux.
- OOZORA DOKI !!!
Tel un crie de guerre, le nom de ma combinaison retentie comme pour frappé plus fort encore mon adversaire a ma merci. Le coup allait être puissant et sans appelle, mais je me doutais de se qui allait se produire et j’étais prête. Mon poing s’abattit alors sur le colosse qui cherchait encore son souffle et a ma grand surprise rien ne vint se placé entre mon poing et le corps de mon adversaire. La charge de chakra concentré dans mon poing explosa au contact du corps de l’homme le propulsant d’une puissance impressionnante vers le bas pour l’envoyé a la rencontre de l’eau, qui a cette vitesse allait être dur comme de la pierre. Mais se fut à cet instant que mon autre ennemi agit. Le bouclier d’eau apparut autour du colosse l’englobant et le protégeant du choc avec la surface de l’eau. Se qui n’empêcha pas a mon adversaire et a la sphère liquide de plongé entièrement dans l’eau. Alors que je retombais souplement sur mes pieds, je compris enfin la nature de la technique Suiton uqi protégeait mon adversaire. C’était belle et bien la femme qui utilisait la technique, mais sa technique était lié a son coéquipier, l’eau n’avait pas besoin de parcourir la distance entre elle et lui, elle maitrisait le liquide se trouvant autour de son compagnon, se qui expliquait sa rapidité d’action et sa précision. Mais sa technique avait une zone d’action limité, elle ne pouvait maitriser l’eau que dans une zone de moins d’un mètre autour de son coéquipier, voila pourquoi elle n’avait pu le protéger de mon dernier assaut, mais qu’elle avait réussie a lui évité le second choc. Se qui expliquait aussi pourquoi elle n’utilisait pas cette technique pour attaquer.
Toujours protéger par le bouclier liquide, le colosse revint a la surface de l’eau, le souffle court et encore vulnérable. La vulnérabilité de se dernier m’importait peu sur le moment, le bouclier de toute manière le protégeait, mais il n’était pas ma cible ou moment ou je me jetai en avant. Je pue voir alors le mur d’eau se renforcé du côté ou j’arrivais, prêt à résister a mon assaut. Effaçant rapidement la distance uqi me séparait de mon adversaire, je frappai du plat de la main droite la protection du colosse qui ne broncha pas sous mon assaut. Je me reparti tout de suite ne retraite après cela, hors de porté de mon adversaire qui se redressait déjà, mais blessé. Je n’étais pas aussi faible qu’il le pensait, ma technique de l’Okasho l’avait pris au dépourvue et il n’était plus aussi souriant qu’avant. Non seulement j’avais réussie a le touché, mais j’avais aussi réussie a contourné leur combinaison pourtant si parfaite et cela ne semblait guère lui plaire. Mais même si j’avais réussie une fois, je doutais d’avoir l’occasion de retenté l’expérience. Il allait être sur ses garde maintenant et la joué moins offensive pour utilisé au mieux sa puissance physique. Mais a se moment la, ma stratégie se mit en marche et je doutais qu’il puisse s’y attendre, j’allais encore le prendre par surprise et affirmé ma supériorité dans cet affrontement.
- Impressionnant, j’ai fais l’erreur de te sous estimé. Malgré que tu sois une Chuunin, ton niveau est plutôt élevé. Mais je ne me laisserais plus avoir, finit de jouer.
- Sa c’est se que tu crois.
Sur ses mots je me mis en garde, attendant son assaut. L’obligé a attaqué était a mon avantage, ma rapidité me permettait d’esquivé. Si je passais a l’assaut, je devais passer sa robuste défense et risqué beaucoup pour réussir a le touché, sans que cella ne lui coûte beaucoup. De plus le combat venait de changer du tout au tout, mais mes adversaires ne l’avait pas encore remarqué, resté a distance du colosse était ma stratégie présente, je devais en premier m’occupé de sa coéquipière, mais en agissant de manière subtile sans qu’il puisse ni l’un ni l’autre m’arrêté. Mon adversaire ne se fit pas attendre pour passé a l’assaut, il me chargea d’un bloque dans l’espoir de me percuter de l’épaule, d’un souple mouvement j’esquivais le boulet humain reprenant mes distance avec lui, sans essayé de profité d’une ouverture. Je me doutais qu’après sa menace il y avait peut de risque qu’il retente la même action qu’un peu plutôt, il me tendait un piège est avait sans doute espéré que je profite de l’ouverture qu’il m’offrait. Arrêtant sa charge, il pivota sur lui-même et je pue apercevoir que ses mains était jointe devant lui formant encore un mudra. Il en avait terminé avec notre petit duel de Taijutsu et allait utiliser ses technique de Ninjutsu, se qui n’eu pas pour effet de me rassuré. Une fois face a moi, il positionna ses mains devant sa bouche formant un triangle avant de poussé un crie a travers celui-ci. L’air se fit alors tellement dense, qu’il en devenait trouble de regardé a travers et la pression fut si énorme qu’un largue sillon partagea les eaux se dirigeant avec puissance droit sur moi. Il fallait que je prenne garde, avec se genre de technique il aurait tôt fait de sentir la supercherie. Je bondis alors aidé de ma technique de déplacement pour me mettre hors de porté de la technique.
A peine mes pieds avaient il à nouveau touché la surface de l’eau qu’un second crie se fit entendre. Je ne pue que me retourné pour apercevoir le souffle destructeur balayé la surface de l’océan sur un bon demi mètre tout en fonçant sur moi. N’aillant pas de manière réaliste d’échappé au vent destructeur, je ne pue que subir l’assaut de mon adversaire. Le choc fut si puissant qu’il aurait sans doute pu me couper le souffle. Je fus projeté en arrière sur une bonne dizaine de mètre heurtant l’eau avec violence, pour ricocher dessus avant de m’arrêté enfin au second plongeant. Je n’avais jamais vue sa technique Fûton avant aujourd’hui, mais sa puissance et sa rapidité d’action était impressionnante. De plus, sur l’océan, le Fûton trouvait toute sa puissance, exactement comme les technique Suiton de sa coéquipière. Satisfait de son assaut, le colosse s’approcha de mon corps encore inerte sous le choc violent de la technique. De toute sa hauteur, il me toisa, retrouvant son sourire et sa confiance en lui. Il se pencha alors pour m’attrapé par le col, pour me soulevé comme un trophée qu’il aurait gagné. Mais au moment ou sa main se posa sur mon col, sa main passa en travers à son plus grand étonnement. Il ne fallut pas longtemps pour que sont esprit comprenne que c’était la du Genjutsu. Mon double illusoire se dissipa alors sans laisser une ride sur la surface de l’océan. Le colosse se redressa, fouillant autour de lui à la recherche de ma présence et il ne fut pas long à ressentir un chakra concentré en un point précis. Il tourna alors le regard vers la zone d’où provenait se chakra pour apercevoir sa coéquipière au loin. Une seconde de plus suffit pour qu’il comprenne se qui se produisait et il poussa un crie d’alarme a sa coéquipière. Mais sont crie parvint déformé par le vent marin et le grondement de l’océan, cella ne fit que détourné sont intention.
La faiblesse de mes adversaires fut de pensées tout connaitre de mon style de combat après mon affrontement dans le désert. Mon Doton était inutile sur l’océan et contre mes deux adversaires, mon Taijutsu n’aurait pas fait très long, même si j’avais donné l’apparence de contrôlé un petit peu la situation. Comme il l’avait dit, le colosse c’était amusé jusque la et si je n’agissais pas vite, je me serais retrouvé en très mauvaise posture. Mais se que mon combat dans le désert ne leur avait pas montré était mon talent dans le domaine du Genjutsu, art que je préférais mais que j’utilisais avec subtilité. Sachant cette avantage depuis le début du combat, j’avais gardé caché mon genjutsu pour l’utilisé au moment le plus opportun, surtout si je voulais mettre hors combat rapidement l’un de mes deux adversaires. J’avais été patiente attendant le moment propice. Le colosse ne se doutait de rien, le prendre dans la toile de mes illusions n’allait pas être difficile. Sa coéquipière par contre me posait soucie. A la distance ou elle se trouvait, je ne pouvais la prendre dans un Genjutsu, il me fallait être plus prêt d’elle ou alors d’utilisé mon sceau de vol de chakra pour pouvoir lié mon Genjutsu directement a elle. Une fois que j’avais compris leur combinaison, j’avais poussé la femme a utilisé sa technique Suiton pour protéger son coéquipier et au moment ou le bouclier était apparut, il m’avait suffit de plaquer ma main droite dessus, la ou se trouvait le sceau, directement sur la surface liquide chargé de chakra. Après cela, je n’avais eu qu’à prendre dans mon Genjutsu le colosse d’un regard et sa coéquipière en utilisant son chakra. Mon Jitsuzai waikyokusuru no jutsu était une technique de genjutsu avancé, capable de créé des illusions visuel autant qu’auditive. Je m’étais alors créé un double illusoire quasiment parfait, mon illusion créé les rides et le reflet sur l’eau qu’une réel présence aurait fait ainsi que le son. Si les technique était fragile et qu’un simple Kai pouvait la dissiper, fallait il encore pouvoir remarquer que c’était un Genjutsu. J’avais ensuite utilisé mon illusion pour masquer ma présence visuelle et sonore, pour me déplacer en toute discrétion sous les yeux de mes adversaires.
En m’approchant de mon autre adversaire, je compris pourquoi elle se tenait à une telle distance de son coéquipier. Sa technique Suiton a distance semblait lui coûté beaucoup en concentration et se fut une jeune femme tendu au maximum que je découvris. Elle ne m’aurait sans doute pas aperçu approcher même si j’avais laissé tombé mon illusion, tant sa concentration se portait sur le colosse et le moi illusoire. En m’approchant de la jeune femme et en quittant la zone de combat du colosse je me mis a chargé mon point de chakra. Je n’allais pas me contenté d’une frappe puissante, j’allais frappée de toute la puissance que je pouvais mettre dans mon poing, de quoi mettre hors combat la jeune femme. Tout ne chargeant mon poing et en me déplaçant vers mon autre adversaire, il me fallait rester concentré sur mon illusion pour qu’elle continue a esquivé les attaque du colosse, le temps que j’arrive a porté de sa coéquipière. Quand l’homme effectua sa seconde attaque Fûton, je me trouvais presque a porté de la jeune femme et je du bien me résigné à devoir attaquer au plus vite. Le colosse ne fit pas long pour découvrir la supercherie et se tourné vers sa coéquipière et par défaut vers moi aussi. Il eu un moment d’hésitation avant de poussé un crie qui déconcentra sa coéquipière. Profitant de cette ouverture, j’annulai mon genjutsu réapparaissant au côté de la jeune femme qui n’eu rien le temps de faire avant que mon poing s’abatte sur elle. Vue que mon illusion fut rapidement percé, je n’eu pas le temps de chargé au maximum mon poing, mais la puissance restait considérable, bien supérieur de se que j’utilisais d’habitude. L’explosion de chakra fut tel, que je ressentie le choc a travers tout mon corps. Mon adversaire fut projeté à une telle puissance qu’elle ricocha sur la surface à une centaine de mètres de moi. Même si je ne l’avais pas éliminé, je me doutais qu’elle était hors combat, un coup d’une telle puissance porté par surprise avait de quoi mettre au sol un bon nombre d’adversaire, surtout une combattante a distance. |
| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Dim 18 Sep 2011 - 15:38 | |
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Me replaçant en posture de combat, je vis la jeune femme retombé dans l’eau loin de moi et se fixé dans une position peu gracieuse. Je doutais l’avoir tué sur le coup mais sans doute assommé et vu notre champ de bataille elle avait de forte chance de terminé noyé si son coéquipier ne faisait rien. Avec un peu de chance, il placerait sa vie avant son contrat sur ma tête. D’ailleurs, il me fallut me reconcentré sur le colosse car celui-ci ne resta pas stoïque devant l’assaut faite sur sa coéquipière. Poussant un crie de rage, il utilisa une nouvelle technique de type futon pour accéléré son déplacement et foncé droit sur moi. Quand mon regard sa fixa à nouveau sur lui, il était déjà presque sur moi. Sont poing s’abattit avec une telle force qu’une gerbe d’eau monta à plusieurs dizaine de mètre de hauteur. J’avais esquivé de justesse l’assaut en bondissant de côté. Si sa technique lui permettait de se déplacer très rapidement, elle semblait limité aux lignes droite et ne lui permettait pas non plus de s’arrêté de manière net, car une fois sont poing abattue a l’endroit ou je me trouvais, il continua a avancé sur bien dix mètre avant de se stoppé. Utile pour attaquer des combattants à distance, la technique se trouvait plus inutile au corps a corps. Le colosse avait perdu sont petit sourire arrogant et gardait un masque de rage, mon assaut contre sa coéquipière l’avait mise hors de lui, se qui pouvait être a mon avantage. Il fallait que je tente de désamorcer le combat ou que j’attise sa rage pour lui faire commettre des erreurs. Je fis donc face au colosse.
- Si tu ne fait rien, elle va se noyer. C’est elle ou moi, ta coéquipière ou ton contrat. Notre affrontement est inutile, je n’ai pas tous les détailles, mais on se joue de nous. Je sais d’où tu viens et comme moi, tu sais que nous ne sommes pas ennemis. J’ignore le pourquoi de se contrat, mais vaux il vraiment la vie de ta coéquipière. Va la sauvé, laisse-moi partir. De toute manière il y en a d’autre sur le navire qui sont sensé s’occupé de mon coéquipier et s’ils l’ont déjà tué, ils me cueilleront a mon premier pas sur le pont. Elle n’a pas besoin d’être sacrifier sur l’autel de vos devoir.
Le colosse semblait hésité, j’ignorais si mes arguments avaient touché, mais il s’inquiétait pour sa coéquipière et sa mort ne lui plaisait pas, malgré ses obligations de mission. Mais je ne restai pas pour continué a parlé et attendre sa décision. Je me détournai du colosse et parti en direction du navire qui avait prit une bonne longueur d’avance sur nous. Je partais à l’opposé de la jeune femme inconsciente dans l’eau et le colosse allait devoir rapidement faire un choix, avec peu de réflexion, il irait sans doute sauver sa partenaire. Je courue sur une bonne centaine de mètre sans rien entendre qui me poursuivait et je fis un rapide volte-face pour voir se que faisait le colosse. Utilisant une nouvelle fois sa technique de déplacement rapide, il était parti en direction de sa coéquipière, se qui me soulageai quelque peu, mais sa ne me m’était pas en sécurité pour autant. Il pouvait belle et bien s’assuré de la survie de sa coéquipière et me rattrapé avec sa technique futon avant que j’arrive au bateau. Je devais rejoindre Hisoka au plus vite en espérant que, s’il était tombé dans le même genre de piège, il avait pu s’en sortir. Il me fallait aussi trouver Jakis, car il avait beaucoup de chose a me raconté. Dans ma course je jetai un nouveau regard derrière moi, pour voir ou se trouvait le colosse et je fus si surprise de ne le voir nul pars que je m’arrêtai pour observé. Je voyais encore la silhouette flou de la jeune femme flottant a la surface de l’océan, complètement inerte, mais el colosse n’était visible nul pars, qu’es que sa pouvait signifier. J’entendis alors un crie perçant dans le ciel, qui me fit levé les yeux. En dessus de moi un oiseau de proie d’une taille impressionnante piquait vers moi. Je reconnu l’oiseau que j’avais déjà vu dans le désert. Je du plongé sur le côté pour évité ses serre acéré. Son attaque échoué, l’animal ne repris pas de l’altitude comme je m’y était attendu mais se volatilisa dans un « pouf ». Je ne compris la nature de al technique que trop tard, le colosse surgit de l’endroit ou avait disparut l’oiseau pour venir me frappé de toute sa force pour me projeté en arrière. Le colosse pouvait utiliser une technique de permutation animale, une technique plutôt rare.
Malgré que les deux première portes céleste soit ouverte, je sentie sont coup de poing a travers tout mon corps. Je fus projeté en arrière retombant lourdement dans l’eau. Se salopard m’avait tendu un piège, me faisant croire qu’il abandonnait la chasse pour me faire baisser ma défense et en profité. Le combat allait, hélasse, duré plus longtemps que je l’aurais voulu. J’avais espoir qu’Hisoka ne se trouvait pas en mauvaise posture, mais je ne comptais pas sur le fait de le voir venir a mon secoure. Il n’allait à aucun prix pouvoir laisser Jakis sans surveillance, que je sois en danger de mort ou non. Il fallait surtout que je termine se combat avant que le bateau ne soit trop loin pour que je puisse le rejoindre, car malgré l’impression de lente lourdeur de son déplacement, il avait prit une bonne distance sur ma position. Je devais faire en sorte que le combat se déplace vers le large, pour ne pas perdre le bateau de vue. Mais mon adversaire n’était pas à prendre a la légère, en début de combat il c’était contenté d’utiliser sont Taijutsu, il allait maintenant avoir recours a sont Ninjutsu qui me semblait bien efficace. Mais moi aussi je changeais de style pour utiliser ma véritable spécialisation, le Genjutsu. Au combat un contre un, le Genjutsu reste une discipline dure à maîtriser mais très efficace. L’art de l’illusion permettait d’avoir el dessus sur des adversaires bien plus forts. Spécialiser dans le Magen, les visions démoniaque, je n’allais pas épargner mon adversaire.
- Comme tu l’as remarqué, ma coéquipière est une utilisatrice de Suiton, tu n’as pas pue le voir mais c’est une virtuose dans se domaine, elle ne peu se noyer. Tu l’as frappé avec puissance et c’est à cause de moi et de mon petit plaisir de mettre nos deux Taijutsu en concours, mais maintenant on arrête de jouer et tu vas vite comprendre que tu n’as pas le niveau. Si tu résiste assez longtemps pour que ma coéquipière reprenne conscience, tu gouteras aussi à sa puissance. Tu es perdu gamine, tes jeu de passe-passe sont terminé.
- Alors c’est ainsi, tu refuse d’ouvrir les yeux, tu préfères obéir aveuglement au ordre qu’on te donne sans te poser de question.
- Nous sommes des armes, rien de plus. On ordonne, j’obéie.
- Nos place aurait pue être inversé tu sais. Tu aurais pu être de l’autre côté du miroir. Cela ne te dérange pas ? Regarde se bandeau que je porte, je sais que tu as eu le même a une époque et je sais que tu ne l’as jamais trahie et que si tu ne le prote plus aujourd’hui, c’est par se que tu as changé de maître pour passé dans une division plus secrète. Mais au final, nous sommes dans le même camp, nous sommes des shinobi du pays du vent, agissant pour le bien de notre nation. Mais voilà, toi tu es une arme et moi je suis un leurre, je n’ai pas encore saisie la finalité de toute cette mascarade, mais même sans cela, je voie l’absurdité de notre affrontement.
- Nul besoin de continuer, je connais la finalité, je suis volontaire dans cette mission. Je ne sais pas qui tu es, mais je sais pourquoi tu dois mourir, tout comme ton compagnon.
- Alors notre combat e finira sur la mort de l’un d’entre nous… Peu tu… Pourrais-je juste savoir une chose ? Le Kazekage est-il au courant, nous a il jeté le dedans conscient de se qui se produisait.
- Non, le Kazekage ne connait rien de tout cela. La finalité atteint un domaine qui lui est supérieur.
Je rejoignis mes mains devant moi, prête au combat qui allait sans doute se terminé sur la mort de l’un d’entre nous. Si je survivais a cela, Jakis allait devoir me donné des explications sur ses agissement. Prête au combat, je commençai a formé de mes mains quelque mudra. Mon adversaire ne se fit pas attendre, d’un geste brusque, il me lança quatre shuriken pour m’empêcher de finir ma technique, tout en chargeant directement derrière ses projectiles. Refusant d’écarté mes mains, je terminais mes mudra tout en bondissant dans les airs pour esquiver les projectiles. Le colosse se lança alors dans les airs à ma suite, bien décidé à prendre le dessus sur cet affrontement. Mais trop tard, alors qu’il n’était plus qu’a un mètre de mois, ma technique se déploya telle une fleure obscure en pleine éclosion, se répandant comme un poison de l’esprit autour de moi. Mon Gen’ei akuma était une illusion de mon invention, elle créait autour de moi un aura maléfique, un aura de peur de violence, un aura oppressant et brutale, un pison insidieux pour l’esprit. Cette technique avait ses limites, mais elle permettait de baisser considérablement la concentration de mes adversaires. Si elle ne touchait que la concentration d’un adversaire puissant, elle pouvait faire détaler en hurlant des adversaires de très bas niveau. Spécialiser dans le Magen, la peur et l’obscurité était mon arme la plus mortelle. Pris par surprise par mon aura obscure, je vis le colosse écarquillé les yeux, sa concentration soudainement brisé. L’ouverture ne serait pas longue, une seconde a peine, mais cela m’était suffisant. Toujours dans les airs, j’attrapai mon adversaire au colle pour me tiré vers lui brutalement. Prenant appuie sur sa masse, je me fis pivoté pour le frappé sur le côté de la tête avec mon genoux et le propulsé de se fait à nouveau vers le sol liquide. Mais se reprenant rapidement, il retrouva son équilibre pour amerrir sur ses pieds, avec un peu moins de grâce que moi tout de même. Telle une damnée des dieux, l’aura obscure continuait de m’entouré.
Mon adversaire format alors de rapide mudra devant lui et sa ne fut que quand il format en triangle de ses deux mains devant lui, que je reconnue la technique qu’i lavait utiliser plutôt contre mon reflet. Je me déplaçai alors sur ma gauche, restant en mouvement pour devenir une cible moins facile. Il poussa un crie qui, en traversant le triangle de ses mains, se changea en puissante pression de l’air balayant tout sur sont passage. Il semblait pouvoir être des plus précis avec sa technique car la pression de l’air m’arrivait droit dessus. Il m’aurait sans doute suffit de bondir pour passé en dessus ou d’accéléré ma vitesse pour réussir à l’esquiver, mais je savais qu’il pouvait aligner deux assaut dans un délai très court et que si j’esquivais la première vague la seconde ne me louperait pas. Je m’arrêtai alors d’un seul coup faisant face a la technique de mon adversaire et avec un petit sourire aux lèvres, je laissai celle-ci me traversé sans qu’elle ne me touche. Comprenant l’astuce que j’avais déjà utilisé, le colosse bondit en arrière, ne s’attardant plus sur mon reflet pour se préparer a mon attaque qu’il allait sans doute pas tarder, se qui fut belle et bien le cas. A peine avait il bondit que mon pieds apparut la ou une fraction de seconde plus tôt se trouvait sa gorge, mais a la place de celle-ci se fut son ventre que je frappai d’un puissant coup de pied. Se repliant sur lui-même, le colosse encaissa le coup en serrant les dents et au passage se replia complètement sur ma jambe pour la maintenir contre lui. Ma jambe prisonnière dans l’étau de mon adversaire, il fallait que je me libère avant qu’il ne me la brise, chose qui ne lui aurait pas été difficile vu sa force. Quand il se déplia, tenant ma jambe d’une main et soulevant l’autre pour frapper avec force dessus, je pris appui sur sont bras qui me tenait pour me donné de l’élan et pivoté sur ma jambe fixe pour le frapper de mon autre pied au visage. Je réussie à lui faire lâché prise, retombant a plat dans l’eau. D’une roulade suivie d’une pirouette, je fis de nouveau face au colosse.
Mon coup de pied, a pars l’avoir fait lâcher prise, n’eu pas d’autre effet durable, se qui permis au colosse de repartir directement a l’assaut. A peine je me redressai que sont poing s’abattit sur moi d’une force incroyable, rompant mon équilibre sur l’eau pour me faire plongé dans l’océan. Le choc avait été brutal, mais je tenais bon. Il fallait que je mette fin a cette affrontement ou la fermeture de la seconde porte céleste pourrait m’être fatale. J’avais usé trop de mon énergie pour rejoindre le port, même si j’avais pu me reposer un petit moment, même si ma réserve de chakra n’avait pas été trop entamé, mon épuisement était fort et je n’allais pas pouvoir continué a se rythme longtemps. De plus, une fois le combat terminé, il me fallait encore rejoindre le bateau. Mais mon adversaire était trop fort pour que je puisse m’en débarrasser rapidement, il me fallait ruser et cela me coutait beaucoup d’énergie. Mes petit tour de passe-passe que je lui avais fait gouter me coutais chère et ne semblait pas l’affaiblir plus que cela. Il me fallait trouver un moyen de frappé fort. Je pris un peu de distance avec mon adversaire avant de remonter à la surface, il fallait que je reprenne appui sur l’eau avant qu’il ne m’attaque. Bondissant hors de l’eau, je fus accueilli par le sourire du colosse qui m’observait a travers le triangule que formait ses mains. Je n’eu pas le temps d’esquivé que sont cri retentie et que la pression d’air fut sur moi. Le choc fut douloureux et je sentie tout l’air de mes poumon s’échapper. Je ricochai sur l’eau comme une vulgaire pierre a plusieurs dizaine de mètres en arrière. Je n’eu que la concentration de ne pas plongé a nouveau dans l’océan me gardant a sa surface. Je m’arrêtai lourdement, mes membres douloureux malgré ma technique qui aurait du étouffer cella, ce n’était pas bon signe.
Seule ma combinaison de la fureur du ciel avait véritablement blessé le colosse, tout le reste n’avait été qu’égratignures. Alors que lui, avec sa force, chaque fois qu’il m’atteignait, il frappait fort et ses technique futon n’arrangeait rien, elles comblaient même son manque de rapidité. Il fallait que je tourne la situation a mon avantage, il fallait que je l’empêche d’utilisé ses technique de type futon pour retrouver tout l’avantage de ma vitesse. J’étais sur la mauvaise pente et il fallait que je redresse la barre pour ne pas sombrer ici. En tend que nomade, mourir en pleine mer n’était pas vraiment acceptable. Cela pouvait même prendre un air comique. Mais je n’allais pas mourir ici, je devais me battre et gagner. Il fallait que je touche un point faible et comme tout shinobi, je connaissais l’un des points les plus vulnérables de tout utilisateur de Ninjutsu. Je glissai alors mon doigt sur le tatouage que je portais à l’avant bras gauche, pour faire apparaitre un kunaï. Il allait falloir que je frappe vite et fort. Je chargeai alors de front le colosse qui souriait devant mon assaut. Il me laissa faire le gros du trajet qui nous séparait et je n’en fus pas déçu. Attrapant mon kunaï avec mes dents, je rejoignis mes mains devant moi pour former quelque mudra au même moment, mon adversaire fit de même, bien décider à me faire gouter encore de sa technique futon. J’allais le prendre de vitesse, formant le dernier mudra, mon corps s’illumina dans un flashe aveuglant, prenant mon adversaire au dépourvue. Pendant un cours lapse de temps le colosse serait aveuglé, a moi d’ne profité. Je me déportai sur la gauche une seconde avant qu’il n’utilise sa technique futon a l’aveuglette. Je sentie la pression d’air passé juste à côté de moi. Je bondis alors vers mon adversaire aveugle, prête a frappé pour reprendre l’avantage. Le kunaï toujours entre les dents, je filai droit vers mon adversaire, chargeant mon poing gauche de chakra. Ma tête passa juste à côté de ses mains formant toujours le triangule pour sa technique futon, d’un mouvement de tête, je fis jaillir le sang. Continuant dans mon mouvement, je frappai de toutes mes forces avec mon poing droit dans le bas ventre du colosse qui se plia en deux sous le coup. Le final allait faire très mal. Mon adversaire se courbant sur lui-même, je relevai violemment mon genoux vers sa mâchoire et abattit tout aussi violemment mon poing gauche chargé de chakra vers le sommet de son crâne. Un craquement horrible se fit entendre au moment de ma frappe que j’eu presque mal pour mon adversaire. Mon assaut prenant fin, je pris le kunaï que j’avais dans la bouche pour el lancer a l’aveuglette sur mon adversaire tout en bondissant en arrière pour reprendre mes distance.
Le colosse tituba avant de s’effondré a moitié, ne se retenant que d’une main, accroupi sa face a quelque centimètre de l’eau. Je n’apercevais pas l’étendu de se qu’avait causé mon attaque, mais cette fois je lui avais vraiment fait mal. Sa main gauche était replié contre sont ventre et j’aperçu le petit morceau de chaire qui sombrait dans l’eau pas loin, morceau de chaire qui avait du être un ou peut être deux de ses doigts. Sa main incomplet, il allait avoir du mal a réutilisé ses technique de Ninjutsu. Penché en avant, je le vis cracher de la bave et du sang, je lui avais sans doute fracassé la mâchoire avec mon attaque, il ne risquait plus d’affiché sont petit sourire supérieur. Je pue voir aussi mon kunaï, fiché dans son épaule gauche. Je l’avais lancé pour qu’il l’esquive et ne puisse pas suivre mon replie tactique, mais sa avait été inutile, il n’avait pas pue me suivre, il n’avait même pas pue esquiver le Kunaï. Moi qui pensait reprendre l’avantage, j’avais peut être même mis fin a notre affrontement. En utilisant mes techniques avec patience et tactique, j’avais réussie à prendre plusieurs fois au dépourvue le colosse, c’était le secret de mon style, ne dévoilé qu’une chose a la fois et utilisé au maximum l’effet surprise du changement subtile du style de combat. A ma grande surprise, mon adversaire ne s’effondra pas, mais repris son équilibre pour se redresser et me faire face. Malgré qu’il titube un peu, il était a nouveau debout face a moi. Je pue voir alors sont poing fermé sur sa poitrine n’aillant plus que trois doigts et son visage ensanglanté avec sa bouche a moitié ouverte a cause de sa mâchoire fracasser. Je ne pouvais qu’imaginer la douleur qu’il devait ressentir, mais je lue dans ses yeux une rage sans limite. Sa fierté était bien plus blessé que sont physique, il ne tenait debout que par sa rage. Il tenta alors de parler, mais seul un borborygme inepte sortie de sa gorge. Il voyait sa fait, mais ne pouvait si soustraire. Il chargea alors droit vers moi. Il n’était plus aussi rapide, plus aussi puissant, il n’était qu’une masse poussé par sa rage. J’allais devoir l’éliminer. Je le laissai chargé sans réagir, concentrant mon chakra à travers mon corps. Je me volatilisai a la dernier seconde, m’accroupissant sur le sol pour relevé mon pied sous la défense de mon adversaire, frappant une nouvelle fois sa mâchoire détruite. La douleur du le traversé comme le foudre, car il ne poussa pas un crie en s’effondra de toute sa masse en arrière.
Le colosse resta immobile un long moment, j’eu même l’hésitation de le laissé sur place pour retourné au navire. Mais un adversaire blessé restait bien plus dangereux qu’un adversaire mort. Comme il l’avait dit, j’étais un contrat et lui juste une arme. A peine serait il remit sur pied qu’il repartirait a ma poursuite. De plus j’avais profondément blessé sont ego, le laissé vivre lui serait comme une humiliation. Au final, il avait choisit son camps. Je m’approchais du colosse, alors qu’a ma grande surprise, il tentait de se redressé. Cet homme était vraiment un concentré de puissance brute alimenté que par sa rage. Je me plaçai alors derrière lui pendant qu’il se redressait pour s’assoir sur son séant. Avec un semblant de douceur, je retirai le Kunaï de l’épaule de mon adversaire qui ne sembla même pas le sentir. Je passai alors mon bras gauche par-dessus son épaule pour attraper la mâchoire supérieur de mon adversaire, avec sa mâchoire inférieure détruite, il n’y avait aucun risque qu’il me morde. Je tirais alors sa tête vers l’arrière pour me dégager sa gorge et fit passé la lame de mon kunaï sur celle-ci. Le sang jaillit alors se rependant sur son torse et dans l’océan. Je maintenu durant quelque seconde mon adversaire pour bien el laissé se vidé de son sang avant de le relâcher pour le laisse s’effondré et coulé. L’océan se teinta de rouge sous mes pieds alors que le corps du colosse disparaissait doucement sous la surface. Se combat était enfin terminé ou presque. Je me tournais vers le bateau pour voir ou il se trouvait, puis de l’autre côté, vers la jeune femme que j’avais assommé, la laissé en vie n’était pas une bonne idée, mais le bateau s’éloignait trop vite pour que je puisse retourner jusqu'à elle et revenir. Il me fallait courir vers le navire avant qu’il ne disparaisse à l’horizon. Je me mis à courir à la suite du bateau, laissant l’utilisatrice de suiton en vie. Cette saloperie de navire avait prit une bonne distance sur la zone de combat et j’avais espoir qu’une fois arrivé à bord, je n’allais pas devoir faire face au deux adversaire d’Hisoka.
Il me fallut un temps interminable pour rejoindre le bateau. Je n’osais pas refermer la seconde porte céleste persuadé que j’allais m’effondré a se moment là. De plus j’avais gardé ma technique de la vision du démon activé, cela pour faire une petite surprise à notre ami Jakis pour qu’il décide rapidement de se mettre a table. Quand je me retrouvai sur le pont du navire, je vis tout de suite des marques de combat et surtout l’absence de tout passager. Il avait du s’enfermé tous dans leur cabine et refusait de sortir. Ce n’était pas un mal, j’allais devoir mettre la main sur Jakis au plus vite pour pouvoir mettre au clair cette histoire. Je descendis sur le pont inférieur et commençai à fouiller. Dans notre cabine éventré, je ne trouvai aucune trace de Jakis ou d’Hisoka et je continuai a cherché. Jakis avait du se réfugier au plus profond des entrailles de se navire pour resté bien éloigné des combat. Je ne pris donc même pas la peine d’essayé d’ouvrir les autres cabines, laissant les autre passager en paix. Je descendis encore d’un étage pour trouver dans la cantine du navire un petit groupe de passager et de membre d’équipage qui se cachait. Ils m’observèrent passé tétanisé par mon illusion démoniaque et passa rapidement mon chemin ne trouvant nul pars la face bouffie de Jakis. Je descendis un pont de plus, pour me retrouvé au milieu de caisse de marchandise. Un endroit sombre et plein de cachette, Jakis devait être par là et Hisoka sans doute aussi. Bondissant de caisse en caisse, je fis le tour de la zone de stockage et ne m’arrêtai qu’en entendant un crie de terreur. Jakis avait aperçu mon Genjutsu, je n’avais plus qu’à le débusquer. Il ne fallut pas long pour que je trouve l’origine du crie et que je découvre un Jakis lamentablement recroquevillé sur lui-même contre l’une des caisses de marchandise, terrifier par les effets de mon Genjutsu. Sans aucune douceur, j’attrapai l’homme à la gorge pour le soulevé et le plaquer contre une caisse de marchandise. Il ne touchait le sol que de la pointe des pieds et devait garder son équilibre pour ne pas s’étrangler sous ma prise. Je lui parlai alors d’une voix d’une froideur mortelle, lui laissant bien comprendre qu’une réponse déplaisante signerait son arrêt de mort.
- Tu nous as trahis, Jakis.
- Non, non, je ne vous ai pas…
Sachant qu’il mentait, je le soulevai du sol un centimètre de plus le laissant comiquement gigoter sur ses pieds qui effleuraient le sol. Je voyais la terreur dans les yeux de notre homme et cette fois elle n’était pas feinte, comme il l’avait fait durant notre arrivé. Il me manquait des pièces de l’intrigue, mais j’en avais assez pour voir sa culpabilité dans tout cela.
- Ne me ment pas, Jakis. Mon adversaire a été trop bavard, je sais se qui se passe, alors parle.
- Vous ne comprenez pas… votre mort aurait permis au pays du vent de devenir une puissance supérieur a ses voisins… n’avez-vous pas juré de donné votre vie pour le bien de votre pays ?
Je relâchai ma prise, le laissant s’effondré au sol. Il était encore plus pathétique maintenant qu’il ne l’avait été durant notre voyage. Mais maintenant, il allait devoir faire tomber le masque pour expliquer exactement la nature de sa mission.
- Parle, explique se que signifie tous sa.
- Non, je …
- Parle te dis-je !
- La mission diplomatique n’était un leurre, une manière de faire croire que le pays du vent agissait devant le menace qu’encoure notre allier du pays du feu. Je me devais de faire gardé la face a Suna, ne pas s’impliquer directement dans la guerre, mais ne pas faire croire qu’on laisse tombé notre allié.
- Cela, je l’avais compris par moi-même. Mais pourquoi ses assassins.
- Pour éradiquer les Shinobi !
- Quoi ?
Je fus surprise par sa déclaration, ou voulait-l en venir. La terreur que je lisais dans ses yeux se changeait peu à peu en folie. Jakis était un homme plus dangereux que je ne l’avais imaginé.
- Voilà depuis des générations que le monde subit vos petits conflits. Les clans d’abord puis les villages caché aujourd’hui. Vous sortez a peine d’une guerre shinobi qu’une nouvelle pointe a nouveau a l’horizon. Vous autre les shinobi n’étaient qu’une plaie en se monde, ne sachant que vous entre tuer et détruire se qui vous entoure. Depuis longtemps des groupe se forme pour abolir les villages cacher, des groupe qui on trouvé leur place dans la politique de presque chaque pays. Les seigneur féodaux sont trop faible, ils ont trop peur de se qui se passerait s’il supprimait leur village cacher. Mais ils ne comprennent pas a qu’elle point nous devenons dépendant de vous autre shinobi. Une ouverture c’est fait apercevoir et on en a profité.
- Quand est-il des assassins ? Quelle ouverture ?
- Les subtilités de la politique t’échappe complètement, tu es taillé pour te battre et mourir et non pas pour comprendre se qui t’entoure. Tu ne peux comprendre toute la subtilité que peux avoir une guerre entre Kiri et Konoha. Ma mission officiel était de faire signé une déclaration de guerre au deux parti, pour limité la casse, mais d’autre possibilité s’offre a nous. Nous avons donc préparé autre chose, je devais me rendre sous escorte shinobi à Kiri pour négocier. Mon escorte devait se faire tuer durant le voyage. En arrivant a Kiri, je n’aurais lus qu’à négocier avec la Mizukage ou du moins le faire croire. Le principe étant de mettre malencontreusement en avant la faiblesse présente du village caché de Suna, en utilisant un ennemi fictif que représentaient les assassins. Avec ces ennemis illusoires que devait combattre le pays du vent, Kiri n’aurait trouvé aucune menace pouvant se mettre entre eux et Konoha. La guerre aurait donc éclaté dans toutes sont ampleur et devant l’apparente faiblesse de Suna et l’inaction d’Iwa, Kumo aurait demandé sa pars du butin.
- En quoi cela renforce Suna ?
- Je n’ai jamais parlé de renforcé Suna, mais le pays du vent. Réfléchie un peu aux conséquences d’une guerre entre plusieurs pays majeurs. L’escalade de la violence ne ferait que croitre, Kumo et Kiri devenant deux monstre lié l’un a l’autre mais refusant de se mélanger, les pays mineurs essayant de trouver des opportunités dans tout se chaos. Avec deux pays majeur complètement passif devant la guerre, le chaos total ne manquerait pas de s’installer. Combien de temps, dite-moi, le monde acceptera votre domination sanglante. Nous sommes le cœur de la révolte, nous bâtissons un avenir sans shinobi au pouvoir destructeur. L’humanité doit retrouver sont équilibre d’antan et non plus s’appuyer sur des être se croyant supérieur. Konoha sera détruite et Suna devrait suivre, la créature a deux tête que deviendra Kumo et Kiri ne manqueront pas de s’entre dévoré. Les mondes shinobi s’effondreront et l’homme retrouvera sa place. Des armés privés se sont déjà réunie au Sud du pays du vent, de puissante armée prête à faire basculer la balance quand les shinobi seront faible a force de s’entretuer. Nous sommes patient et c’est un don devant l’ennemi que vous êtes.
Jakis était-il complètement fou ou existait il vriament un groupe organiser pour mettre a exécution se plan étrange. Serais ce possible que cela se produise comme il venait de me le raconter. Visiblement, il était sur de lui, la folie mélanger a la terreur que je lisais dans sont regard ne permettait pas de doute sur sa sincérité. Il me crachait ses bute au visage comme s’il désirait m’assommer avec. Se qu’il venait de me dire était tout a fait possible, mais cela demandait beaucoup d’agent infiltré dans beaucoup de pays, une force commune pouvait faire basculé les pays shinobi dans un telle chaos, mais je doutais qu’une telle force existe a l’insu des villages cacher. Soit Jakis était fou, soit son groupe politique était moins vaste qu’il le pensait. Mais le doute subsistait. Les assassins avait été des shinobi bien entrainer et il avait réussie à être responsable des négociations a Kiri. Tout n’était pas du au hasard. Je présentais que Jakis ne divaguait pas autant que sont air de folie le laissait croire. Si se groupe d’extrémiste existait belle et bien, il allait falloir que nous en parlions au Kazekage. Si une force politique œuvrait pour mettre à mal la réputation des villages cacher, nous étions tous menacé de la révolte. Mais la première chose à faire était d’arrêté Jakis avant qu’il ne corrompre les négociations à Kiri. De plus il nous avait utilisés, Hisoka et moi, pour nous conduire a la mort. J’attrapai l’homme gassouillait par la gorge et le souleva à nouveau du sol pour le plaquer contre la caisse de marchandise, se qui le fit gémir de plus belle.
- Qui était ses assassins, y en a-t-il d’autre à notre poursuite ?
- Se sont des agents de l’unité secrète du seigneur féodale. Grâce a notre influence, il n’a pas été difficile de recruté ses quatre shinobi pour vous tuer.
- Pourquoi nous ?
- Vous ? Ce n’est qu’un hasard. Nous avons demandé au Kazekage de mettre a ma disposition une petite escorte et c’est vous qu’il a choisit. Ne vous croyez pas si important, cela aurait pu être n’importe qui.
- Vous souvenez vous de se que je vous ai dit sur le cas ou vous nous trahiriez ?
- Ahahah, vous parlé de me tuer ou de m’abandonné ? Je suis membre de la noblesse, l’un des négociateurs attitré de sa seigneurie, mon rang vous surpasse et de loin. Vous ne pouvez pas me tuer, les retombés sur votre réputation en seraient catastrophiques. Vous n’avez pas le choix, fermé les yeux et conduisez moi a Kiri. Si vous vous la fermez, je veux bien être clément sur mon rapport. Vous pourriez même gagner quelque gallon. Quand dite vous ? Je pense même que notre seigneur va devoir engagé quelque shinobi pour sont unité secrète. Les shinobi qui savent être efficace et se taire sont très apprécier pour se poste.
- Sachez que je n’ai que faire de ma réputation et que ma dignité n’a pas de prix. Des shinobi de grandes valeurs sont mort par votre faute et vous avez attenté à ma vie et à celle de mon coéquipier. Le châtiment d’un tel acte est la mort.
- Mais… mais vous ne pouvez pas. Que dira votre Kazekage quand il apprendra ma mort. Si vous me tuer vous en pâtirez je vous le dit. Vous n’avez pas l’autorité de me mettre a mort, je suis un membre de la noblesse…
- SILENCE ! Je n’ai que faire de votre autorité et de votre noblesse. Je suis une nomade du désert dans mon corps et mon esprit. La trahison est un crime des plus ignominieux et vous le payerez de votre vie.
La suite des paroles désespérées de Jakis furent complètement inutile. Trop habitué a la soumission des gens qui l’entoure, il avait finit par se croire intouchable. Jamais il n’aurait imaginé qu’Hisoka ou moi levions la main sur lui. Au final nous étions de Sunajins, des armes au service du pays du vent, rien de plus. J’ignore comment aurais réagit un autre shinobi, j’ignorais même comment aurait réagit Hisoka, c’était d’ailleurs pour sa que je préférais son absence en se moment. J’étais seule responsable de se que j’allais faire a cette homme et si je devais en subir les conséquences, je le ferais seule. Jakis n’était pas aussi puissant qu’il semblait le croire, sa vie se trouvait entre mes mains et j’allais la lui retiré d’un seul mouvement. Je sentais qu’Hisoka et moi allions devoir mener nous même les négociations. Nous étions trop engagé pour retourné en arrière et la guerre risquait de débuté avant notre arrivé si un autre négociateur devait être désigné. De plus le Kazekage avait été claire dans sont choix de mot, nous devions assurer que les négociations aille lieu, a aucun moment il n’avait parlé d’amené a Kiri un Jakis en vie. Mon choix était fait, d’un mouvement de ma main, je tordis la nuque de Jakis qui grimaça sous la douleur avant que sa nuque ne se brise le tuant sur le coup. Je relâchai ma prise laissant l’homme s’effondré au sol de manière inarticulé. J’attrapai alors le colle de l’homme, bien décidé a balancé son corps dans l’océan, mais que je pivotai sur moi-même, je fis face a Hisoka qui se trouvait la depuis un temps indéterminé. Je ne savais pas se qu’i lavait vu ou entendu et j’ignorais sa réaction devant cette scène. Je désactivai sur le coup mon Genjutsu pour ne pas perturber mon coéquipier. J’étais plutôt heureuse de la voir, il ne semblait pas dans un trop sale état, du moins il était en meilleur forme que moi, qui devait avoir triste allure entre le sang qui avait coulé de ma bouche et les énormes bleu que m’avait fait le colosse durant notre combat. Je savais que je ne tenais debout que grâce à la seconde porte céleste et qu’une fois refermé je risquai bien de m’effondré, mais il fallait se débarrasser du corps de Jakis avant en espérant qu’Hisoka comprenne se que je venais de faire.
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| Sujet: Re: Mission diplomatique {Moeko Takata / Hisoka Satori} Mar 27 Sep 2011 - 16:18 | |
| Le rythme des pas d’Hisoka s’accélérait en même temps que sa respiration, il était sorti de sa confrontation avec les deux hommes relativement en forme, ce qui lui paraissait étonnant. Ses ennemis avaient été grossier, leurs styles portaient plusieurs lacunes, il s’attendait à bien pire, mais peut être que le simple fait qu’il soit d’un élément rare avait joué en sa faveur ? Certainement, qui s’attendrait à voir un ninja de Suna utilisé le style Hyoton ? Très peu de monde, il fallait l’avouer. Depuis qu’il était parvenu a lié ses deux affinités, il n’avait eu que très peu d’occasion de les testés en combat réel, cette escarmouche lui avait révélé le potentiel futur de son style de combat qui se précisait. Il devait réussir à comprendre son nouvel élément, puis faire en sorte de l’incorporer avec son style de combat de manière judicieuse, ce qui n’allait pas forcément être simple. Peu importe, les images de son combat disparurent de son esprit, il parcourait avec rapidité le pont supérieur du bateau, il avait descendu quelques escalier qui l’avait mené à l’étage inférieur, puis avait tourné dans chaque coin ou Jakkis aurait pu se réfugier, malheureusement il n’avait nullement retrouvé sa trace. Pestant contre ce maudit diplomate qui avait paniqué, il lui avait pourtant dis depuis le début de la mission qu’il ne devait pas s’éloigner de l’un d’entre eux ! Sur le moment il était en rage contre cette homme, bien plus car il ignorait ou était Moeko, peut être qu’elle était avec lui ? Mais cela voulait dire que la jeune femme devait le protégée est que certainement elle aussi s’était fait attaquée. Elle était alors en danger, se battre tout en protégeant quelqu’un était extrêmement difficile, il fallait qu’il se dépêche de la retrouver. L’idée aussi qu’elle ne soit pas avec lui n’était pas à exclure, dès lors Jakkis était en danger car seul. Se stoppant alors, Hisoka observa devant lui, il se trouvait sous le pont principal, le chemin qui menait au première série de chambre, sur sa droite, le mur du bateau était parsemer d’hublots ci est là. Devant lui, un jeune garçon était adossé à une porte de chambre.
Hisoka stoppa alors sa course, arrivant devant l’enfant, il l’observa, il était recroquevillé sur lui-même, ses genoux pliés de sortes à ce qu’ils protègent son visage, son corps était pris de soubresaut, il était aisé de deviner qu’il était en train de pleuré. S’approchant de lui, il posa un genou au sol, la proximité avec le Jounin tira l’enfant de ses pleure, relevant la tête il jaugea Hisoka. Son visage était plein de larme, sa chevelure brune était collée sur son front à cause de la pluie qui tombait sur le bateau. Il lui demanda ce qui lui arrivait, il lui expliqua qu’il avait été séparé de sa sœur lors de la cohue est qu’il ignorait où aller. Fronçant les sourcils, il ne pouvait pas le laisser ici, la mission avant tout, mais rien ne l’empêchait de prendre l’enfant avec lui. L’éventualité que Jakkis se soit rendu avec la foule pour se cacher à l’intérieur était loin d’être à exclure. Observant autour de lui, Hisoka jetait un coup d’œil sur l’océan qui entourait le bateau, l’air était saturé d’humidité, l’odeur du sel s’échappait de l’eau, le vent puissant, frappait violemment la coque du bateau, ce qui rajoutait un effet dramatique incroyable a la scène spectaculaire qui se jouait sur le bateau. Dehors la pluie s’écrasait, tout était si lointain du désert natal du Jounin. Il était impossible pour lui de mourir ainsi, il avait rêvé de sa mort depuis sa jeunesse, il s’était vu, son corps inanimé au milieu des dunes de sables, les charognards du désert se repaissant de son cadavre, puis il se serait fait recouvrir, ainsi aurait dû se passer sa mort « idéal ». Bien entendu il était impossible que cela se passe ainsi. Soupirant, il tendit la main vers le jeune garçon qui après une légère hésitation lui attrapa vivement. Les deux personnes reprirent leurs routes.
Tout en courant, traversant les escaliers, les couloirs du bateau, ouvrant les portes des chambres entrouvertes, ou bien encore aidant certains passagers à rejoindre les chambre les plus éloignés du lieu de combat d’Hisoka, ce dernier cherchait du regard avec un œil perçant sa coéquipière ainsi que la cible de cette attaque. Tout ceci était si délurant, comment pouvaient-ils mettre en danger un bateau ainsi que tous ses occupants uniquement pour un homme tel que Jakkis ? La guerre entre Konoha est Kiri pouvait permettre bien des choses, mais est ce que les pays mineurs étaient capable de se payer des hommes qui iraient à de tels extrémités ? Le principe même du mercenaire, ou du déserteur ninja, était que plus la mission, plus l’acte a réalisé relevait de péril ou de sanction plus le prix était élever. Qui plus est, quand bien même il s’était débarrassé rapidement de ses derniers adversaires, l’un d’entre eux avait une technique redoutable, sa seule chance avait été qu’il se mette à pleuvoir au même moment. Dans d’autre circonstances tout ceci aurait été bien diffèrent, il en avait conscience. Stoppant sa course, Hisoka fit signe aux personnes qui l’accompagnaient qui était au nombre de cinq de l’attendre ici, aucune d’entre elles ne protestèrent. L’homme s’approcha de la chambre ou ils devaient résider. La porte était entrouverte. Sa main droite se posa contre le bois de la porte puis la poussa d’un coup sec, laissant dévoiler l’énorme trou dans la coque du bateau qui laissait place à l’océan. A l’endroit précis où se trouvait la couche de Jakkis, une attaque surprise ? Sans doute, peut être avaient-ils déjà repéré l’endroit où le politicien allait dormir est avait compté l’avoir ainsi ? Il y avait tellement de paramètre inconnu. Machinalement, l’homme se tourna vers la couche de sa coéquipière qui était bien sur vide. Cela le rassurait-il ? Difficile à dire, il savait déjà qu’ils ne l’avaient pas eu dans son sommeil, le fait qu’elle puisse se défendre était déjà un atout. Cependant il y avait peu de chance qu’elle soit encore sur le bateau, en observant la structure même de la pièce, il était évident que l’attaque avait été faite par un Ninja, certainement très puissant, Moeko n’avait sans doute pas eu le choix est avait certainement dû être entraîné à l’extérieur. S’approchant du trou, il pencha la tête est observa en arrière, cependant avec la pluie torrentiel qui s’abattait est le vent, il arrivait à peine à voir a une vingtaine de mètres. Se redressant, il sortit de la pièce, il ne pouvait que faire confiance à l’amazone. Il l’avait vu combattre dans le désert, c’était une tigresse qui ne se laissait pas vaincre facilement. Faisant signe à son groupe, ils reprirent leurs routes vers les dernières chambres. Une bonne majorité du bateau avait déjà été fouillé mais toujours aucune trace du politicien, cela devenait inquiétant. Sans vraiment le vouloir, l’idée que Jakkis se soit fait prendre émergeait dans l’esprit d’Hisoka…
Le groupe avançait rapidement, cependant, alors qu’Hisoka était devant eux, les dépassants de quelques mètres alors qu’ils étaient en train de s’engager dans les escaliers qui descendaient dans les derniers sous-sols, il fut stoppé comme par réflexe. Levant sa main droite pour faire signes aux personnes qui le suivait de se stoppées. Il resta fixe, ne bougeant plus d’un pouce, ses sens en alertes, quelque chose clochait. Cette sensation, il la connaissait que trop bien, il n’était pas un ninja sensorielle, loin de là, il n’avait jamais eu le moindre talent dans cette branche, en revanche, le temps passé dans le désert l’avait entraîné. Il avait appris à réagir automatiquement est de manière presque immédiate a un événement qui dans un ensemble clochait. Est ici c’était le cas, quelque chose dans tout cette amalgame de possibilités clochait. C’était gênant car il ignorait la provenance de son malaise, mais il savait que quelque part, ici, autour de lui, un risque, un danger s’était éveillé. Le groupe derrière lui restait sans voix, n’osant pas prendre la parole pour demander ce qui se passait, tous étaient déjà paniqués, ils savaient que n’importe où sur ce bateau le danger était présent, c’était peut-être par peur qu’aucun d’entre eux ne voulaient évoqués la possibilité que la mort pourrait être proche. Une manière de se rassuré en soit, l’ignorance accorde sa bénédiction a bien des égards a ceux qui savent l’accueillir. Une ombre apparue alors à droite du Jounin qui resserra sa position. Il se cambra bien plus, passant ses mains devant lui, serrant ses poings, l’un d’entre eux légèrement en avant alors que l’autre trônait près de son torse. Oui il savait où il avait ressenti cette sensation. Quelques minutes plus tôt sur le pont du bateau lorsqu’il s’était frotté aux ninjas. Mais pourquoi ne l’avait-il pas reconnue immédiatement ? La cadence du combat avait peut être perturber ses sens… Si tel était le cas alors il avait fait une grave erreur en pensant avoir eu si facilement un ninja qui était capable de se rendre invisible. Pestant contre lui-même, il n’eut pas le temps d’aller plus loin dans son analyse qu’un violent coup le projeta sur sa droite. S’écrasant contre la paroi du bateau dans un bruit sourd, il retomba lourdement au sol, un genou sur ce dernier. Il secoua sa tête pour reprendre ses esprits. Le groupe derrière lui allait partir en arrière, le souvenir de Jakkis qui s’enfuyait en voyant Hisoka au sol quelques minutes plus tôt lui revint en tête. D’un ton autoritaire il leur ordonna de rester ensemble est de ne pas bouger. Sa voix s’éleva plus comme un cri, un haut commandement qui bloqua les plus impétueux qui avaient déjà commencé à reculer. Restant groupés, ils écoutèrent le Jounin qui leur ordonna de rester dos au mur le plus proche est de rester colmater ensemble. Il savait que son ennemi l’entendait mais à quoi bon maintenant, sa position était délicate, bien plus que sur le pont de tout à l’heure.
Tout en se relevant, il essuya le sang qui coulait le long de sa lèvre, il organisa ses pensées, elles étaient bien trop dispersées pour rester concentré sur ce qui lui faisait face. Il s’inquiétait pour Jakkis, mais également pour Moeko qu’il n’avait pas encore trouvé, l’idée qu’il avait avancé un peu plus tôt est qu’elle devait combattre hors du bateau était une éventualité grave. Il repensa a son combat, évidemment un homme capable de tel prouesse n’aurait pas fait l’erreur de montré son point faible si facilement… Il avait reproché à ces hommes d’avoir pensés connaître Hisoka en l’ayant vu combattre une seul fois, pourtant il avait fait la même erreur ? C’était une erreur de débutant, sa confiance en ses nouvelles capacités l’avait leurré est avait mis en péril la vie de Jakkis mais également celle du groupe qui était dorénavant une pièce central de la partie d’échec qui allait se mettre en place. Si il voulait pousser le Jounin a l’erreur il allait tenter de maintenir une pression constante sur ce groupe, naviguant entre le Jounin est eux pour le poussé à l’erreur. Est cette fois ci il savait quel affinité avait son adversaire, ce qui n’était pas forcément vrai pour l’inverse. Il allait s’attendre au Hyoton, par conséquent au Suiton est au Fuuton. Si il voulait prendre les devants il allait devoir jouer sur ce qu’il ignorait de lui. Ici il ne pourrait pas non plus utiliser ses attaques de Ninjutsu a plein potentiel, il risquerait de blesser les passagers, où bien d’endommager la structure du bateau qui a cette endroit provoquerait certainement un naufrage. Une mauvaise posture en somme, qui n’était due qu’à son manque de sang-froid.
Il savait cependant déjà comment sa tactique allait se mettre en marche est-il avait vu un peu de quoi était capable de technique de dissimulation, elle avait également des points faibles, il avait su le battre une fois, aucun doute qu’il y parviendrait de nouveau si il était capable d’agir avec logique. Il se rapprocha lentement du groupe derrière lui, longeant le mur qu’il venait d’heurter pour éviter d’être attaqué de dos. Après quelques secondes il arriva au niveau de ses protégés, ils étaient dans un état de panique qui n’augurait rien de bon, il devait vite montrer qu’il était capable de vaincre son adversaire au risque de perdre le peu de cohésion qui pouvait encore exister entre ses personnes qui ne se connaissaient ni d’Eve ni d’Adam. Depuis l’attaque qui l’avait propulsé contre le mur il n’y avait plus eu aucun signe de vie de la part de son adversaire, seul le bruit des pas d’Hisoka sur le plancher qui craquait à certain endroit avait brisé le silence ambiant. Lorsqu’il se stoppa ce dernier reprit sa place, scrutant le moindre bruit, le Jounin tentait tant bien que mal de faire la différence entre les bruits qui venait de dehors est qui était les vagues s’écrasant contre les parois du bateau, est le bruit de la pluie qui s’écrasait sur les ponts supérieurs. Était-ce une des raisons qui avaient poussés l’homme à attendre que le groupe soit aussi bas ? En se rapprochant des derniers sous-sols, ils s’étaient également rapprocher d’imposants bruits qui devaient certainement couvrir le peu qu’il faisait. Un fin tacticien au plus grand dam du Jounin qui ne voyait aucun bon point pour lui dans toute sa stratégie. A première vue il n’avait fait aucune erreur, tout avait été calculé, si ce n’était une chose.
Pourquoi s’acharner sur lui ? Il n’était pas la cible est cette dernière n’était pas avec lui justement. Pourquoi ne pas se contenter de chercher Jakkis est de l’éliminer, au vu des capacités de ce ninja il n’aurait eu aucun mal à le trouver est l’éliminer sans qu’il s’en rende compte. Il devait certainement être le mieux placé parmis le groupe de mercenaire pour accomplir cette tâche, mais au lieu de cela, au lieu de chercher à faire disparaître le politicien de Suna il continuait à pourchasser un simple garde du corps… C’était étrange, cette mission toute entière n’avait rien de logique. Un piège ? Mais pour quel raison en voudraient-ils aux ninjas chargés de le protégé ? Il y avait bien trop de zone d’ombre dans toute cette situation, sans indice supplémentaire il ne pourrait que spéculer est les hypothèses ne pouvaient que troublés un peu plus son esprit qui ne parvenait pas a retrouvé son calme. Qui plus est si lui était autant attaqué alors sa coéquipière devait l’être tout autant. Avait-il déjà tué Jakkis ? C’était une possibilité, mais la question restait tout entière, pourquoi tenter de tuer Hisoka ? Non cela ne collait toujours pas, il ignorait tout d’eux, il n’aurait jamais pu dire qui les avaient employés où d’où il venait, il ne craignait rien de sa part. Il était la cible de cette attaque, voilà pourquoi Jakkis avait survécu dans le désert. De la poudre aux yeux, obligés à regarder dans un sens pour faire une toute autre chose dans l’autre direction.
La devise des Ninjas même. Un sourire naquît sur son visage, il était parvenu à démêler quelques questions importantes, cela voulait dire qu’il parvenait a retrouvé son calme, pourtant il ne se sentait toujours pas prêt à affronter son adversaire, dans l’état actuel des choses il ne ferait que des erreurs, il devait trouver le calme, trouvé le juste équilibre entre ses sens affutés est son adrénaline qui grimpait. Un souvenir s’imposa de lui-même dans son esprit, la traversée du désert qu’il avait faite en compagnie de Moeko, il avait réussi plusieurs fois a repoussés ses rêves, il avait avancé sur le chemin qui était le sien. Il ne s’était pas trompé, elle était la clef, elle lui permettrait de comprendre ce qu’était les Satori est ce qu’ils cachaient pour avoir abandonné ce qui caractérisait chaque nomades. Si il devait imager sa vie il était sur un chemin désertique avec autour de lui plusieurs personnes qu’il ne faisait que croisés. Combien était capable de comprendre ce que cela voulait dire de chercher le propre sens de son existence ? Les clans sont ce qu’ils sont depuis le commencement de l’ère ninja, mais Hisoka lui n’avait hérité de son clan que son nom, que son sang, il n’avait appris aucune coutume qui régnait chez eux, un étranger parmi les siens. Il revit le vieil homme dans sa robe rouge qu’il avait vu en songe quelques jours plus tôt, l’ancien du village qui l’avait désigné. « Il n’est pas que ton fils… Il est l’enfant de tout notre clan. » Le sang est le nom, voilà son héritage, il était libre de rebâtir son clan tel qu’il le désirait, mais il était lié à son passé, pour quel raison ? Car celui qui ignore son passé est condamné à refaire les mêmes erreurs sans jamais avancer. Le chemin,… Son chemin le menait inéluctablement vers une vie de solitude est de désolation. Il voyait la mort autour de lui, ses décisions, non, les décisions que Moeko est lui prendrait allait influencer sur beaucoup de choses. Il se revit entourer de tous ces nomades, Moeko a leur tête. Que devait-il comprendre ? C’était simple, qu’il ne devait pas mourir ici, peu importe si cette mission n’était qu’un piège pour le village de Suna, il devait arriver à Kiri, faire son rapport a Thrys. Sa coéquipière est lui devait revoir leurs désert, ce n’était pas là, pas ici est maintenant qu’ils retourneraient au néant. Cette pensée finit par le calmer, il n’avait jamais eu peur de la mort, ici il n’avait eu aucun repère, cela l’avait déstabilisé, mais peu importe l’endroit, peu importe si tout ceci ne lui rappelait rien qui venait de chez lui. Cela ne changeait en rien d’où il venait est ce qu’il était, à plus forte raisons, si ils s’étaient fait piéger, cela voulait dire que la politique de Suna était encore plus vile qu’il ne l’avait imaginé.
Il inspira longuement, souffla l’air pas sa bouche, puis d’un coup sec sa main droite se posa contre le poignet de sa gauche, dans un pouf de fumée un kunai apparut, l’enlaçant de ses doigts, il décrivit un arc de cercle devant lui avec son arme. Un bruit de métal s’entrechoquant se fit entendre dans le couloir. Le bras du Jounin exerçait une pression importante pour combattre l’attaque de son adversaire toujours invisible. Il l’avait vu venir, ou plus exactement il l’avait senti approché. Comme si le périmètre autour de lui n’avait été qu’une bulle de savon, au moment où il avait approché, il avait alerté les sens du Jounin. Il sentit la respiration de son adversaire, chaude, humide contre sa peau, il pouvait le sentir près de lui. Son autre main vint attraper l’endroit où devait être le bras qui tenait l’arme de son adversaire, il n’eut aucun mal à l’enlacer de ses doigts. Il était invisible mais bel est bien présent dans cette espace. L’autre bras du mercenaire vint frapper l’avant-bras d’Hisoka, lâchant un léger grognement, il tourna sur lui-même cessant de combattre contre sa lame, puis prenant un appui avec son pied gauche, élança son pied droit au niveau du torse de son adversaire alors qu’Hisoka était en train de tourner sur lui-même du a l’élan qu’il s’était donner, il envoya immédiatement l’arme qu’il tenait dans sa main vers l’endroit où avait été projeté l’homme invisible. Immédiatement ensuite, il posa ses deux mains au niveau de son cou, près à le réceptionner, de cette manière, au moment même où son dos toucha le sol, il reprit appuis pour se redresser dans le même moment. D’un geste habile il se releva en faisant une pirouette élégante est ainsi atterrir devant le groupe qu’il devait protéger.
Il eut tout le loisir d’observer si son arme avait touché son adversaire, visiblement légèrement déçu, les yeux du Jounin trouva son arme un peu plus loin, planté dans le mur en face de lui, il avait réussi à l’esquiver malgré son déséquilibre. Il n’était pas mauvais en Taijutsu est avait de très bon réflexe. Il avait un plan mais il devait être en mesure de le localisé, cependant il n’eut pas le temps de penser plus longtemps a une manière de le mettre à exécution que déjà une vive douleur s’empara de son torse, cette fois ci il ne l’avait pas senti approcher, il avait dû faire plus attention à sa présence. Le coup de genou le propulsa légèrement en l’air, où il fut accueillis par ce qui semblait être un coup de coude qui se figea dans le milieu de son dos, poussant un cri de douleur il fut immédiatement propulsé vers le sol, mais sa chute fut stoppé d’un coup sec, il venait de se faire empoigner ses habits par son adversaire qui le fit tournoyer sur un arc de cercle puis le projeta de l’autre côté de la pièce. Tombant au sol lourdement, le Jounin entama plusieurs tonneaux qu’il ne pus stoppé, déjà car il était surpris, puis également à cause de la douleur qui le traversait, il avait frappé des points stratégique, il lui avait coupé la respiration lors du premier coup est avait empêché son corps d’agir par réflexe avec le second. Pour cette raison il s’écrasa lourdement sur le mur en bois en face de lui. A quelques centimètres du Kunai qu’il avait envoyé une minute plus tôt. Un bruit de main claquant l’une contre l’autre l’alerta, il ne pus définir sa position que grossièrement, il se trouvait juste devant le groupe de passager, de là, il apparut brièvement lorsqu’il approcha ses mains devant sa bouche, jointe dans le signe du tigre. Une attaque Katon, ses yeux s’écarquillèrent. Il était prêt a utilisé une attaque Katon au risque de brûler le bateau est de le faire couler ? Machinalement Hisoka observa derrière lui, puis finalement dû se résoudre à esquiver l’attaque, qui était bien trop violente pour être encaissé. Qui plus est un peu plus tôt il avait déjà souffert d’une attaque de feu qui lui avait brûlé ses bras, il ne pouvait se permettre de perdre plus de vivacité s’il voulait pouvoir s’en sortir.
La gerbe de flamme s’écrasa contre le mur où était le Jounin qui lui avait sauté sur sa droite, tombant lourdement au sol, il se réceptionna comme il pouvait pour ne pas rester en position défavorable, puis se redressa en un bond pour voir les dégâts de l’attaque Katon. Celle-ci avait creusé la coque du bateau qui, bien que épaisse est qui n’avait pas été désagrégé par l’attaque avait beaucoup souffert. Le mur était brûlé, est ci est là on voyait le bois qui gondolait, laissant passer l’eau qui entourait le bateau. Il ne faudrait qu’un seul coup de plus ou bien quelques minutes pour que le tout lâche soit que le liquide s’infiltre dans les cales du bateau. Une fois fait il ne faudrait plus qu’une bonne dizaine de minute pour que tout soit inonder est que le navire coule. Hisoka n’allait certainement pas en mourir, en utilisant la technique du marché sur l’eau il pouvait rejoindre la rive si il s’en sortait, cependant les passagers eux n’étaient pas des ninjas est il y avait également Jakkis qui, si il n’était pas mort n’allait pas tarder à y être si le bateau coulait. L’eau commençait à s’infiltrer lentement, par un petit conduit, un mince filet d’eau s’écoulait à l’intérieur du couloir. Le groupe de personnes observaient le spectacle avec désarrois comprenant la gravité de la situation, certains voulurent partir, tenter de s’éloigner de l’endroit de rupture cependant les plus trapus du groupe les retinrent, leurs rappelant les ordres d’Hisoka. Ils avaient confiance en lui, cette vision le conforta dans son idée, il devait a tout pris empêcher le bateau de couler. Sa mission, cette mission qui n’était peut-être qu’une énorme supercherie ne devait pas coûter la vie de malheureux, le monde était assez injuste comme cela s’en rajouter aux fourberies politiques de quelques arrivistes la mort de personnes extérieures à tout ceci.
Il entendit les bruits de courses de l’homme qui se précipitait sur lui, visiblement il voulait économiser son chakra, il était donc prêt à faire couler le bateau mais avait conscience qui retourner à la terre ferme avec la marche allait lui coûté du chakra, c’était un bon point pour le Jounin qui devait profiter autant que possible de cette situation délicate. Si il parvenait à maintenir cette pression, ce danger de mort est cette envie de garder son chakra a son adversaire alors il pourrait renverser la situation a son avantage. Mais il ne devait pas non plus mettre en danger la vie des passagers. Son jonglage promettait d’être complexe, mais c’était sa seul chance d’en sortir. Avec la course de son adversaire, sa technique d’invisibilité sembla s’affaiblir en effet ses traits apparurent aux yeux du Jounin. Comme si tout le contour de son corps apparaissait, de lignes exiguës, difformes qui décrivaient une sorte de corps. Une faiblesse en plus a rajouté sa la liste que le Jounin tenait mentalement. Il ne pouvait donc pas envoyer de technique en restant dissimulé est-il ne pouvait courir vite si il ne voulait pas que sa couverture « s’effrite ». Deux points faibles importants qu’il pouvait utiliser contre lui. En pouvant voir sa silhouette le Jounin pouvait également en profiter pour commencer à renverser la situation, le poussé à l’erreur, imposer son rythme, c’était la seul tactique viable. Ignorant la douleur qui lui lacérait le dos est tentant tant bien que mal de reprendre son souffle, Hisoka se prépara à recevoir son adversaire qui une fois à quelques mètres de lui, d’un bond leste tenta de lui décocher un coup de pied au niveau du visage. Levant ses bras autant que possible, il parvint à attraper sa cuisse et le faire redescendre de son saut, plaçant son propre genou là où il voulait faire réceptionner la jambe du mercenaire. Un cri de douleur se fit entendre dans le couloir, l’attaque d’Hisoka avait porté ses fruits, titubant en arrière, il manqua de tomber au sol sous la douleur qui venait d’apparaître juste en dessous de sa pauvre cuisse. Cette fois ci un autre détail apparut aux yeux du Jounin, cette technique était loin d’être si parfaite qu’il l’avait pensé. Un sourire de satisfaction apparut sur ses lèvres, tournant sur lui-même, remettant ce détail dans sa tête pour l’analyser plus tard, il voulait le vérifier est-il avait un très bon moyen de savoir si son hypothèse était juste. Ses poings se serrèrent alors que le Jounin tournait sur lui-même, les deux coups se fichèrent tour à tour dans le visage du malheureux mercenaire qui fut propulsé en arrière, l’une de ses mains vint encadrer sa mâchoire qui venait de recevoir les deux coups de poings tandis que l’autre tenait fermement sa jambe.
La jambe de l’héritier des Satori pris appuis sur le sol, puis s’élancer dans un bond, son genou se plia puis vint frapper en direction de l’abdomen de l’homme qui cette fois ci ne pus résister à la projection. S’écrasant sur le sol, il glissa sur un mètre vers les passagers. Retombant au sol, le Satori composa des signes avec ses mains, puis s’élança dans la foulée vers lui, en une seconde sa technique était prête, s’élevant dans les airs, alors que le malheureux ne pouvait que voir la silhouette de son agresseur se dresser au-dessus de lui, il tenta tant bien que mal de l’empêcher de s’écraser sur lui, sa jambe valide se dressa de sorte à empêcher sa bonne réception, la main gauche du Jounin l’attrapa puis la rejeta. Le corps du Jounin tomba lourdement sur celui du mercenaire, le genou droit vint se ficher dans son ventre, se cambrant en avant sous l’impact, du sang jaillit de sa bouche alors qu’il redevint totalement visible avant de disparaître partiellement de nouveau. La main droite d’Hisoka sembla s’armer, se levant derrière lui, elle s’abattit tel un coup de poignard au niveau de son visage. Elle empoigna le bas de son visage, ses doigts s’agrippèrent a sa peau, le visage du malheureux sous le choc fut rejeter en arrière, alors que tout le bas de ce dernier était recouvert par la main droite du Jounin qui utilisait la technique préalablement préparée. Une sensation de légère brûlure s’empara de l’homme, puis disparue immédiatement. Par peur de l’ignorance il se débâtit bien plus fort est parvint à repousser Hisoka d’un coup sec, qui dû battre en retraite.
Il n’avait plus de raison de rester ici maintenant de toute façon. Retombant un peu plus loin d’un geste agile, il observa avec satisfaction son hypothèse se vérifier tandis que le mercenaire se redressait péniblement du au coup qu'il venait de se prendre. Un brouhaha s’éleva du groupe derrière lui ce qui attira son attention, il entendit des brides de conversations dites de manières furtives. Il comprit bien vite alors que quelque chose clochait, en s’observant il se rendit compte que sa technique de dissimulation n’était plus active, il était totalement visible cette fois ci. Il voulut la relancer immédiatement mais sentit au moment où il allait joindre ses mains l’une contre l’autre une démangeaison intense au niveau du bas de son visage. Ses yeux s’écarquillèrent comprenant que son adversaire avait compris le gros point faible de sa technique. Il ne lui fallut qu’une seconde pour comprendre ce qui le déstabilisait autant, à l’endroit où la main du Jounin avait entouré son visage, un sceau venait d’apparaître. Plusieurs inscriptions trônait sur sa peau, enroulés les unes sur les autres, comportant plusieurs signes que seuls les spécialistes du FuuinJutsu étaient capable de produire. Tout autour du sceau qui faisait un peu moins de dix centimètres sur dix, toutes les veines étaient exacerber, on pouvait les deviner à travers sa peau. La sensation était étrange, il ne s’agissait pas réellement de douleur mais d’un gêne intense, d’une démangeaison importante. Avec un tel Fuuin sur lui il ne pourrait pas utiliser sa technique. Ses yeux se froncèrent alors que automatiquement sa main droite vint se poser à l’endroit où le sceau se trouvait. Les démangeaisons, ou les piqures, se faisaient de plus en plus intenses, ses doigts se cramponnèrent a sa peau est-il fut tenté irrémédiablement de se gratter comme si des fourmis se trouvaient sous la peau de son menton. Pour la première fois, il observa Hisoka sans être dissimuler, il voyait son adversaire avec un sourire narquois sur son visage qui s’estompa bien vite, il ne se laissait pas décontenancer par la réussite. Il finit par prendre la parole.
" Comment tu as su ? "
Le Jounin fut surpris de le voir prendre la parole à son égard, restant stoïque, il laissa quelques secondes passés, puis observa son adversaire, sa main droite recouvrait le sceau qu’il avait posé sur la partie inférieur de son visage. Le Fuuin ne tiendrait pas longtemps, il devait profiter de cette opportunité pour appliquer son autre stratégie, il ne se ferait autrement plus avoir. Cependant parler pouvait également être un bon moyen de mettre la pression sur son adversaire. Il avait sous-estimé Hisoka autant que ce dernier ne l’avait sous-estimé la première fois en l’ayant cru mort. Il ne devait pas refaire la même erreur. Sans quitté sa position de garde, son corps légèrement fléchis prêt à toutes éventualités, il prit la peine de lui répondre.
" C’est tout un ensemble, depuis le début ta technique comporte des failles. Tu ne peux envoyer des Jutsus sans apparaître est tout à l’heure lorsque tu as courus vers moi après avoir endommagé le mur du bateau tu étais devenu visible partiellement. Je pensais qu’il s’agissait de plusieurs points faibles dans ta technique, mais j’ai compris juste à temps qu’il ne s’agissait en fait que d’un seul. " " Lorsque tu m’as attaqué en l’air est que je t’ai contré, tu as pris le coup de plein fouet est tu étais apparu totalement, tout comme quand je t’ai sauté dessus. J’ai donc compris que mes dernières observations n’avaient rien à voir avec ce que je pensais au début. Le seul point faible de ta technique, c’est que tu as besoin d’être intensément concentré. Utilisé du Ninjutsu, courir où tout autre geste qui diviserait ta concentration te rend plus ou moins visible. En t’empêchant de te concentrer sur ta technique avec le sceau que j’ai posé sur toi, je te rends visible. "" Ingénieux, tu m’avais surpris en utilisant le Hyoton sur le pont, mais tu surenchéris en étant un spécialiste du FuuinJutsu. "" Je te retourne le compliment, une telle technique de dissimulation n’est pas donnée à tout le monde. "" C’est dommage que tu ne puisses vivre Shinobi. "" Désolé, je ne peux mourir ici, j’ai une mission à mener à bien. " " Ahaha, n’as-tu pas compris ? Ta mission, c’est bien pour cette raison que les Shinobis disparaîtront, vous êtes bien trop prompte à vous cacher derrière vos précieuses missions, même quand celle-ci n’ont aucun sens. "
Les yeux du Jounin se froncèrent, il avait peut être un moyen d’en savoir un peu plus sur la vérité, serait-il prêt à parler ? Allait-il lui donner comme cela les renseignements qu’il lui manquait pour comprendre l’ampleur de cette mission ? Il n’eut pas le temps de lui répondre, que l’homme composait des signes. Évidemment sa technique furtive était une facette de sa technique de combat, en le lui privant il lui permettait simplement d’utilisé ses autres techniques. Hisoka le savait, il ne ferait pas la même erreur que son adversaire. Il devait remettre tout cela à plus tard, mais cet homme était le seul moyen pour lui d’en savoir plus. Il ne devait pas le tuer sans lui donner l’occasion de parler. Lorsque sa composition fut finie, l’homme joignit ses mains l’une contre l’autre, un crépitement se fit entendre derrière le Jounin, à l’endroit où le mur avait été brûlé auparavant. Lorsqu’il se retournât, il n’eut pas le temps de bouger que déjà un dragon de flamme s’échappait du mur calciner. Ses yeux s’écarquillèrent de stupeur, qu’est-ce que cela voulait dire ? Quel était cette technique, le rire de son adversaire attira son attention, alors que le dragon de flamme frappait de plein fouet le Jounin devant les cris des passagers.
L’homme enleva la main qui recouvrait le Fuuin de son menton, puis tira de son dos un cimeterre, l’épée courbée se dressa devant lui, le dragon de flamme sembla s’engouffrer à l’intérieur, comme attirer par l’arme. La faisant tourner dans ses mains, une fois le déluge de feu passé, le corps du Jounin était sur le sol, ses bras le soulevant lentement. L’homme s’approcha lentement de lui, puis le nargua avant de lui planté sa lame dans le dos. Un cri de douleur se fit entendre en même temps que les cris d’horreur du groupe présent. Soudain il se figea, comme transpercer par une lame invisible. Son rire également se stoppa net. Ses yeux se posèrent sur la silhouette posé sur le sol, lorsque celle-ci releva le visage il se vit lui-même dévoré par son dragon de flamme est transpercer par sa propre épée. Il voulut reculer, lâcher son arme, comprendre ce qui arrivait mais il en était incapable. Son expression, son corps, plus rien ne voulait l’écouter, il était tel une statue, bloqué dans cette position, la vision de sa propre mort l’observant. Il s’était terrassé lui-même ? Une silhouette se dressa alors au-dessus de lui dans son dos, retombant lourdement sur lui, le plaquant au sol, sa main droite se posa dans son dos, un nouveau sceau apparu sur son corps, alors que celui sur son menton s’était presque résorber. Le choc de chakra qui venait de rentrer dans son corps sortit de la stupeur du Genjutsu le mercenaire qui une fois reprit son esprit hurla de colère. Le Jounin qui allait s’emparer d’une de ses armes pour le finir fut obligé de battre en retraite, le corps de son adversaire s’empourprant, une sphère de flamme sortit violemment de son corps, expulsant près des passager l’héritier des Satori. Se relevant lentement, il éprouva quelques difficultés à se relever. Son adversaire quant à lui, honteux de s’être fait prendre dans cette illusion composa de nombreux signes.
" Tu vas me le payer petit enfoiré ! "
Une fois sa composition finie, les yeux du Jounin observèrent l’attaque de son adversaire. Il s’agissait de plusieurs clones fait de feu qui sortait de son corps est qui s’élançait vers lui, ils étaient fait de flammes intenses qui semblaient incontrôlable, comme si il était prêt à exploser est répandre le feu qui les composaient autour d’eux. Au nombre de trois, Hisoka observa derrière lui, une tel déflagration toucherait les passager, il devait les empêcher d’avancer plus, commençant à composer des signes, il vit que son adversaire venait de se rendre compte que le fuuin qui l’empêchait de se dissimuler venait de disparaître. Immédiatement il plaqua ses mains l’une contre l’autre est redevint invisible a vu d’œil, disparaissant partiellement puis finalement totalement. Nous étions à la fin du combat, toute la stratégie d’Hisoka se tenait sur ce moment, il n’avait cependant pas prévu ses clones de feu. Il devait d’abord se chargé d’eux avant d’aller plus avant.
Terminant sa composition, il devait être dans un timing parfait, il encercla sa bouche avec son pouce est son index de sa main droite et visa le sol devant les clones qui étaient à mi-chemin. Il cracha alors un liquide bleuâtre qui sembla devenir collant immédiatement au contact de l’air extérieur. Les clones firent quelques pas dans cette colle qui venait de se placer sur une bonne moitié de la pièce, puis finalement furent stoppé. Fermant immédiatement les yeux, la sensation de la position de son adversaire lui apparut clairement, comme si il voyait la scène, comme si il voyait la silhouette de son adversaire teinté d’un jaune intense.
Lui aussi avait été pris dans la glu, c’était une bonne chose, il était légèrement en retrait derrière ses clones, de sorte que si ils avaient été touché Hisoka il n’aurait pas été pris dans la déflagration. Confiant dans son invisibilité, il n’avait pas remarqué que le Jounin avait posé un tout autre Fuuin sur lui qui lui permettait de savoir sa position. Les sceaux étaient dangereux, surtout lorsque bien utilisé. C’était fini… Le Jounin prit une impulsion sur le sol puis s’élança sur la glue, ses pieds s’enveloppèrent de chakra, il parcourut la distance qui le séparait de son adversaire en un rien de temps ? Si vite que les clones n’eurent pas le temps d’exploser que déjà l’héritier des Satori était devant le mercenaire. Il sembla comprendre trop tard qu’il connaissait sa position, car la main droite du Jounin se posa sur son poignet gauche une nouvelle fois. En sortit alors une lame légèrement plus longue qu’un kunai, d’un coup sec la lame vint sectionner la gorge de son adversaire. Qui redevint immédiatement visible. Le sang qui s’échappait de sa blessure était très important, les clones de feu qui étaient en train de préparer leurs explosions disparurent dans un pouf de fumée. La vie le quittait, le coup avait été profond, il ne lui avait laissé aucune chance. La main droite de l’homme vint tenté de serrer sa gorge, stoppant sa technique de la glue, l’homme fit quelques pas dans le liquide qui était redevenu de la simple eau. Puis son corps ne sembla plus pouvoir supporter son poids, il tomba genou au sol, tout autour de lui n’était plus que du sang. Hisoka l’observa se vider de son sang, il en avait encore pour quelques secondes. Il n’aurait pas les aveux qu’il voulait…
Son plan avait été tout autre, il voulait l’emprisonner dans la glace pour l’obliger à lui révéler ce qu’il savait sur cette mission, mais sa dernière technique l’avait obligé à mettre un terme au combat. Il ne pouvait pas se permettre de jouer avec la vie des passagers. Leurs survies étaient la priorité, il pensait également, ou plutôt espérait que Moeko avait eu des informations à ce sujet ce qui aurait rendu caduque la torture de cet homme. Relevant sa tête vers le groupe qui avait assisté au combat, beaucoup détournait les yeux devant cet homme qui se vidait de son sang, le spectacle était assez horrible, bien que la coupure était caché par les mains ensanglanté de l’homme qui tentait de parler, ce qui prenait plus l’apparence de son difforme est de bulle de sang qui sortait de sa bouche plutôt que de vrai paroles. S’approchant de lui dans son dos, le Jounin arma le bras qui tenait sa dague, puis l’abattit contre le malheureux. Stoppant son agonie, il s’effondra sur le sol, mort immédiatement avec ce coup de grâce. Posant un genou au sol, l’héritier des Satori, posa sa main droite au niveau des yeux de son adversaire puis les lui ferma.
" Je me souviendrai de toi, va mon ami. "
Se relevant, le Jounin tituba sur quelques pas, puis repris une démarche normale. Il n’était plus loin des derniers sous-sols du bateau, ils reprirent donc leurs routes, laissant là le malheureux. Avant de quitter les lieux le Jounin prit le temps de consolider la brèche fais par la technique de feu du malheureux en crachant un jet de glace qui vint empêcher l’eau de s’infiltrer. Une fois fait, il suivit les passagers qui après quelques tournants se retrouvèrent dans une immense salle. Les retrouvailles se voulurent chaleureuses, nombreuses furent les accolades, le Jounin observa autour de lui si il voyait l’un de ses deux coéquipiers, mais dû se résoudre en ne voyant ni l’un ni l’autre. Lorsqu’il eut fini de s’assurer que tout le monde allait bien, il donna des consignes aux personnes présentes, de rester là où elles étaient est d’attendre qu’il revienne. Il se voulut rassurant en leur expliquant qu’il y avait peu de chance qu’il reste encore d’autres intrus a bords mais qu’il fallait être prudent. Tous l’écoutèrent, fort du respect que le groupe qu’il avait protégé avait pour lui. Il en profita donc pour demander si personne n’avait vu l’émissaire qui était avec lui. Il le décrivit rapidement, ce fut une jeune femme, du groupe qu’il avait vu sur le pont avant l’attaque, qui portait un corset qui s’approcha de lui. Il lui demande de venir avec lui, s’éloignant légèrement des autres qui reprirent leurs retrouvailles, il demanda à la jeune femme ce qu’elle avait vu.
Elle lui expliqua qu’un peu après l’attaque elle avait été se réfugier dans sa cabine mais qu’une explosion avait fait trembler toute sa chambre, de peur elle avait pris la fuite et s’était retrouvé à courir avec l’homme qu’elle avait vu avec Hisoka. Elle lui avait conseillée de venir avec le gros des passagers mais avait stipulé qu’il ne devait pas être dans une telle salle que c’était trop dangereux. Finalement il était descendu au niveau inférieur, dans les salles où les cargaisons étaient stockées. Hisoka posa sa main sur l’épaule de la jeune femme est lui sourit en la remerciant. Puis sortit de la salle, une fois dans le couloir il regarda autour de lui pour courut vers sa gauche. Il descendit rapidement les escaliers en métal puis quelques minutes après arriva au niveau le plus bas du bateau. Il descendit silencieusement les marches de l’escalier et pus entendre au loin, tout au fond, des bruits de paroles. S’approchant lentement, une fois assez proche, il se plaqua contre une caisse, il entendait nettement Jakkis, sa voix était tremblotante, était-il au prise avec un mercenaire ?
Finalement lorsque son interlocuteur prit la parole, il reconnut parfaitement la voix féminine de sa coéquipière bien que furieuse, Moeko l’avait trouvée en première… Cependant au vu de ce qu’il venait d’entendre cela ne semblait pas être une si bonne chose que cela. Visiblement elle l’en avait plus apprises qu’Hisoka. Sortant de sa cachette, il put voir la scène, la Kunoichi tenait Jakkis, près d’elle, lui faisant face, le ton montait visiblement entre les deux personnes, il pouvait voir le visage du politicien qui avait changé. Il ne semblait plus si niais que lors de leur traversée, on pouvait lire une haine profonde pour celle qui lui parlait. La discussion reprit de plus belle, se taisant, le Jounin savait que quoi qu’il arrive, il ne devait pas les interrompre, il n’en savait pas assez pour se permettre de stopper la jeune femme. Il remettait entre ses mains le reste. Il lui faisait assez confiance pour lui donner le bénéfice du doute. Après quelques secondes, la violence des propos du politicien exacerba la colère de Moeko, qui après lui avoir ordonné de se taire, le réduisit au silence d’un coup sec. Le craquement du cou du politicien se fit entendre dans toute la salle. Observant la vie quittée le corps de Jakkis, il observa son corps tomber au sol lorsque sa coéquipière le lâcha. La jeune femme attrapa alors le col de l’homme qui ne ressemblait plus qu’à un pantin désarticuler. Puis elle se retourna, tombant nez à nez avec le Satori qui l’observait sans rien dire.
Il porta son attention sur la jeune femme, elle était dans un piteux état, bien plus qu’Hisoka est ses quelques brûlures. Elle saignait est avait de nombreux hématomes, son adversaire n’avait pas dû faire dans la dentelle. Lorsqu’elle se retourna, une sensation étrange parcouru le corps d’Hisoka qui s’estompa très vite, une technique ? Oui cela devait être un Jutsu de la jeune femme, il n’avait cependant pas eu le temps de le comprendre, elle l’avait désactivée immédiatement. Un silence s’installa entre les deux personnes, après quelques secondes, Hisoka s’approcha de Moeko, quelques pas les séparaient, il observa le corps qu’elle tenait, puis finalement posa sa main droite le long du bras de l’amazone. Descendant de sorte à poser sa main sur celle qui agrippait les habits de Jakkis. Puis finalement, les doigts du Jounin attrapèrent à son tour le col de l’homme, quittant ainsi la peau de la jeune femme, d’un habile mouvement, il le fit basculer tel un sac qu’il vint poser sur son épaule. Le visage du cadavre dans le milieu de son dos, ses jambes descendant le long de son buste. Il observa Moeko alors qu’il venait de lui retirer le fardeau qu’elle semblait vouloir s’acharner à transporter malgré ses blessures.
" Inutile d’en faire de trop, je vais me débarrasser de lui. Va te reposer, tu m’expliqueras après ce que tu as découvert sur notre mission est sur le véritable objectif de Jakkis. "
Visiblement Hisoka n’avait pas assisté depuis le début à votre entrevue, il l’avait prise en cours de vue, il semblait avoir des soupçons sur la mission, il était intelligent il n’y avait rien d’étonnant à cela a vrai dire. Il lui manquait des informations, mais malgré cela il te faisait confiance. Sa dévotion envers tes origines ? Il voyait en toi une nomade, une des rares personnes qu’il semblait être en mesure de respecter envers est contre tout, votre voyage dans le désert avait été constructif a bien des égards pour votre équipe. Bien qu’il venait de te voir tuer la cible de votre mission, il continuait à te faire confiance les yeux fermés. Il était étrange, la folie ou la sagesse ? Peut-être un peu des deux. Un homme qui t’avait dit t’avoir vu dans ses rêves, il était armé d’une conviction solide a ton égard, comme si il avait vu bien plus qu’il ne te l’avait dit. Alors qu’il s’éloignait de toi, portant le corps sur son épaule, il se retourna vers toi, puis te sourit simplement en te demandant d’aller te reposée est de ne pas faire ta tête de mule. Finalement il disparut de la pièce, te laissant seul. Cette mission était éprouvante, les combats n’avaient pas été facile, le reste du voyage vers Kiri vous permettrait de rechargés vos batteries. Sans Jakkis sur le dos…
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