→ Le Commencement ...

Nous étions donc déjà la journée. La nuit était passée si vite, la lueur blanche qu'est la Lune, redonnant au soleil la suprématie qu'il à toujours sur le ciel. Cet astre qui peut être considéré comme la vie et qui peut pourtant si facilement apporter la mort. N'est-ce pas là un bel oxymore de la part de notre joyeux et si imposant maître de la lumière ? Les rayons lumineux avaient portant du mal à traverser ce jour là. Le temps était comment dire, aussi triste que pouvait l'être notre jeune Nara. Ce serai possible que les larmes que le garçon ne pouvait pleurer tombaient alors du ciel, comme si Dieu, la nature partageaient ses sentiments ? C'est ainsi donc qu'il avait passé sa nuit, à regarder à travers les carreaux le changement des nuages dans le temps éclairés par les rayons de la lune et suivant par ceux du soleil. Scrutant méticuleusement chaque gouttes dégoulinant du morceau de verre cherchant elle aussi sa voix. Natsu serai lui aussi en train de chercher sa voix ? Son destin en tant que Shinobi ? Une chose surement remise en question depuis l'arrivé au pouvoir du certain Moroshi Hunk. Ce nouvel Hokage et sa nouvelle Politique. Du moins celle que le Village de Kiri veut bien accepter. Rien que d'avoir cette pensée, le jeune garçon à envi de se donner des coups d'avoir ainsi laissé faire les choses. Mais maintenant, il est trop tard pour les actions directes, de front. Il faut maintenant agir dans l'ombre et devenir aussi vil et sournois que peut l'être le nouvel dirigeant. Mais s'il est contre ce nouveau régime et contre ces nouvelles méthodes, pourquoi s'engager dans la fameuse Police Politique ? Est-ce pour s'intégrer au mieux dans le nouveau Village ? Ou par pur devoir en vers sa structure de naissance ? Des questions qui vont être rapidement éclaircies. Quelqu'un frappa alors à la porte, une chose dont le jeune garçon se soucia même pas. C'est sans même en faire cas, qu'il prit son chapeau, le posa sur sa tête de façon à se que l'on ne lui voit plus que sa bouche et se dirigea vers la porte. Il était l'heure de partir pour la mission que l'on lui avait confier ...

C'est dans un geste des plus commun qu'il entreprit d'ouvrir la porte, la main sur sa tête pour tenir son couvre-chef du vent. Mais c'est à peine s'il avait eu le temps d'ouvrir le rectangle de bois que le voilà, avec un garçon de 10 ans entre les jambes entrain de lui matraquer le ventre de ses petits poings, ses yeux laissant échapper des torrents de larmes. C'est tant bien que mal qu'il essaya de dire quelque chose.

Lavi : Tu n'est qu'une ordure Nee-san ... Toi qui veut tant sauver le village, tu part aujourd'hui pour devenir un de ces Policiers bouseux qui font du mal à tout le monde ... Ze veux pas que tu fasse du mal à tout le monde, ze que tu reste gentil ... moi ...

Ce petit triste mais courageux jeune garçon n'est autre qu'un petit jeune du quartier qui passe ses journées à ne rien faire. Bien qu'un jour Natsu décida de jouer avec lui pour passer le temps et c'est dès lors qu'ils jouent régulièrement ensemble depuis des années maintenant. C'est pourquoi Lavi à pris pour habitude d'appeler notre Ninja " Grand frère ". C'est un peu comme s'il était de la famille. Bien que pour l'instant le Juunin n'avait guère la peine d'expliquer au jeune garçon ses réelles intensions. Mais c'est ce jour là, sous la pluie tombante qu'il se décida de sécher ces larmes avec ses explications. Il se mit alors à regarder Lavi droit dans les yeux, avec le léger sourire dont il a le secret, approcha sa main libre de l'épaule de son opposant et son discours débuta.

Natsu : Je suis désolé Lavi de ne pas te l'avoir dit. Je pensais que tu étais trop jeune pour comprendre, trop jeune pour voir la vérité en face. Mais on dirait que non Ahah. Tu sais si je rejoint les bouseux comme tu dis, ce n'est pas par plaisir. Bien au contraire, mais c'est le moyen le plus efficace de me rapprocher de Hunk et de ses affaires. Si j'arrive à rejoindre cette police je pourrais épargner bon nombre de souffrance au village et ainsi débuter l'opération dont je t'ai parlé. Donc ne t'inquiète pas, je ne vais pas devenir un méchant, du moins au fond de moi. Et qui sait, si je renverse l'Hokage, peut-être se sera moi qui serai nommé à la place. Mouahahahah ... Aller il est temps pour moi de partir, sache une chose ... Mon coeur et mon âme appartiendrons toujours à ce village et à ses habitants ...

C'est donc ainsi que notre jeune héros laissa son pseudo-petit frère sur le pallier de sa porte. Le petit garçon regardant alors le ninja s'en aller au loin, ses bagages sur l'épaule. Le Juunin était donc en train de marcher sur le chemin, l'air serin sur le visage, il avait espérait durant toute la nuit que Lavi vienne taper à sa porte. Maintenant que tout était clair, pour ses proches et pour lui même il pouvait partir l'esprit léger même pour la raison de son départ. On pouvait voir à l'expression du visage du jeune garçon qu'il était lui aussi rassuré d'avoir entendu de tel propos de la bouche de son grand frère, lui qui est surement l'exemple qu'il aura toute sa vie dans sa mémoire en tant qu'idole ou plutôt que modèle à suivre. Et pourtant, un tel modèle ne devrait pas s'abaissait à faire des actes aussi tragiques qu'il va faire prochainement. Mais ils seront tous pour le bien du village, surtout pour ça prospérité. Nous retrouvions donc notre héros devant les portes du village. Il était là figé toujours à réfléchir sur sa destiné. La pluie dégoulinait de plus en plus sur son visage. Son couvre-chef se trouvait dans ses mains, son regard posé de dessus comme s'il tenait son fils dans ses bras. Il attrapa alors son baluchon et en si peu de temps pour le dire, il mit son chapeau à l'intérieur. Pourquoi donc ? Lui qui considère ce chapeau comme la prunelle de ses yeux, il est même plus important que sa propre vie.

Natsu : Je ne te reporterais que le jour où je me sentirais digne d'être un Ninja de Konoha ! Parce que combattre pour cette patrie est un honneur ...

Il se retourna alors vers la montagne des Hokages avant de disparaitre en un fraction de secondes. La quête à donc commencé, le sang va couler ... C'est certain. To be continued ...