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Un moment de faiblesse devant une personne exceptionnelle ; une singularité. Sujet: Un moment de faiblesse devant une personne exceptionnelle ; une singularité. Sam 19 Nov 2011 - 21:57 | |
| Congé, quand tu nous tiens. Après avoir reçu mon congé payé, puis l'autorisation pour sortir du village du Kazekage, je dois inévitablement passé par le désert sous une cuirasse noire me protégeant bien du soleil sans pour autant me peser aux épaules étonnamment. Malgré le fait que je sois de Suna, je n'ai jamais vraiment apprécier le désert. Pourquoi ? Eh bien, juste parce que... c'est un désert. Enfin je pense que c'est une raison suffisante vu que certains détestent tant les déserts qu'ils n'y vont jamais. Remarque, c'est peut être en partie à cause du désert que je me suis éloigné de Suna pendant trois ans. Cependant, grâce -ou plutôt à cause- de ses trois années d'absence, la mélancolie a frappé. J'ai regretté le désert. Puis quand je suis revenu, je l'ai détesté. Quelle humeur changeante il faut dire. Je déteste cette partie de moi qui ne se tient pas à ses décisions. Un leader ne devrait pas avoir ses sautes d'humeur comme des sautes hormonales. Mais est-ce que ce manque ne frappe pas tout le monde de toute façon ? Si, vous savez... cette nostalgie que l'on ressent lors de nos derniers moments avec ceci ou cela. Ou bien ce regret qui arrive après des années sans cet élément qui vous manque. Bref. De par ce fait, on pourrait en conclure que ; le changement, c'est la vie. Et la vie, c'est la vie humaine : l'humain est une créature fantastique se démarquant des autres êtres vivants par sa complexité et ses vagues d'émotions. Bref. Au lieu d'épiloguer sur le désert inutilement, je devrais peut être avancer. Après tout, le désert est grand. Vais-je encore écrire un sujet de dissertation sur le désert maintenant ? Oh non. Je préfère largement avancer. Vous voyez ; j'aime cette fameuse devise d'une célèbre marque d'alcool « Keep walking. » - Walker. Continuer d'avancer, n'est-ce pas la meilleure chose à faire en tant qu'individu ? Cependant, tant d'entraves sont placés devant le chemin où nous devons continuer d'avancer que moi-même, je ne réussis pas à avancer quelques fois. Après le congé, c'est les pensées inutiles qui occupent toute la place dans ma tête. Heureusement, j'aurai bientôt autre chose à laquelle penser. En effet, ces pensées ont été si inutiles, si longues et si « captivantes » que je n'aie pas vu le temps passé et que j'ai bien avancé au final. Bien que je pourrais bien critiquer mes pensées sans utilité quelconque -mine de rien- elles m'auront bien aidé à passer le temps ; seul, dans le désert. Maintenant, les réflexions philosophiques devraient passer le relais, et ce, rapidement. Oui, derrière le flou dégagé par la chaleur environnante, je réussis à l'apercevoir... cette silhouette. Elle se rapproche et le moment où je verrais qui elle est est imminent. Remarque, c'est assez répétitif de formuler ceci comme ça. Enfin, je finis par voir cette personne qui s'avère être une femme. De ce fait, l'on dirait que j'ai bien fait d'employer le « elle ». Cependant, ce n'est pas n'importe quelle femme : c'est Catwoman. Elle a des oreilles de chat à la place des oreilles communes et -à y regarder de plus près- une queue à son derrière. En la voyant, je m'arrête car... eh bien, vous n'imaginez pas ce à quoi je pense à ce moment précis. J'en reste figé tandis qu'elle passe juste à côté de moi, m'ignorant comme on passe devant les gens que l'on rencontre tandis que l'on est en plein voyage. Ce qui est compréhensible vu que c'est exactement le cas ci-présent. Mais avec moi, rien ne se passe jamais normalement. Lorsqu'elle sort de mon champ de vision ; je sors de l'hypnose dans laquelle elle m'a plongé rien qu'en se montrant à moi pour ma part. Elle est étrange. Mais être bizarre n'est pas forcément un défaut. Chez moi, c'est d'ailleurs une très bonne qualité. J'aime l'excentricité, que voulez-vous. Suis-je aussi étrange pour autant ? A vous de me le dire ceci. Je me retourne après avoir été « déshyptonisé » et la voit partir. Pas question que je laisse cette chance de rencontrer de cette personne. Non pas que je ne le veuille pas -uniquement en tout cas- mais je ne le peux pas. Après qu'elle se soit déjà bien éloigné, je cours après elle tout en me dévêtant de quelques parties de mon armures ; plus précisément mon heaume et mon gantelet droit. Je mets mon bras gauche autour de mon heaume et tiens le gantelet dans la main -gauche aussi bien entendu. Lorsque je veux connaître quelqu'un, c'est un automatisme chez moi que de me présenter en dévoilant mon visage & ma main droite pour saluer. Je la rattrape facilement, elle n'y va pas à fond après tout, il m'est donc heureusement très facile de la rejoindre. Une fois retrouvée, je la stoppe d'un geste accompagné d'un sourire et pour ne pas passer pour une sorte de pervers harceleur pedobear & traqueur, je m'explique immédiatement oralement : « Bonjour. Capitaine Takeshi Tenjou. Et vous, qui êtes-vous mademoiselle ? ». De simples salutations accompagnés de sourire & d'une main tendue vers elle devraient suffire pour le moment. Je développerai une fois que j'aurai eu une identité ou au moins un surnom. En réalité, je suis intéressé et attiré par elle. Non pas avec amour -bien que son physique ne me déplaise pas- mais par ses caractéristiques adorables... je veux dire scientifiquement parlant très intéressant.
Dernière édition par Takeshi Tenjou le Sam 31 Déc 2011 - 20:33, édité 1 fois |
Kyoshiro Yang ~ Chuunin de Kiri ~ ▌Sanction : Aucune ▌Messages : 152 ▌Age : 28 ▌Inscription : 10/10/2011 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Chuunin / B / 15 | Points Naruto Ninja RPG | : (517/2000) | Âge du personnage | : 27 ans Sujet: Re: Un moment de faiblesse devant une personne exceptionnelle ; une singularité. Jeu 1 Déc 2011 - 12:14 | |
| «-MWRAOUUUUUU! Lâche moi sale humaine!»
Le silence imposé dans le village caché de la brume, où nous nous trouvons en ce moment même, se trouve à l'instant même réduit à néant cette seule phrase. Cette interjection, comme vous l'avez sans doute compris, provient d'un tout jeune félin. Il à réussit, il y à quelque jours, à convaincre une jeune femme ninja de l'adopter. Il comprend maintenant l'erreur qu'il à fait de choisir pour nouveau maître la panthère de glace de Kiri. D'apparence cette ninja était tout à fait normal, elle cachait assez bien ses caractéristiques hors de la portée de la compréhension humaine. Mais son sourire laissait assez bien deviner qu'elle n'avait pas usurpée son surnom. Il montrait à quel point son cœur était de glace et son moral d'acier. Toutes ses jeunes années n'avaient été qu'entraînement, tous les jours avec quatre maître différents elle s'exerçait. Le but de son père, et de tout ceux qui l'on élevé était le suivant: faire de cette jeune fille pleine d'énergie et de capacités la plus forte de son village. Le soleil émerge à peine à l'horizon, à croire que le cris de ce félin l'a tiré de son long sommeil. La brume ne disparaît pas pour autant, s’atténuant jusqu'à ne plus représenter qu'un simple filet opaque il reste néanmoins présent dans tout le village, alentours y compris. Enfin il est plus présent encore dans les alentours qui se résument, pour la plupart, de vaste étendue marécageuse. Mais revenons à notre sujet principal voulez vous? Ce jeune chat donc n'a pas émit ce cri pour simplement nous faire comprendre qu'il vit désormais dans la vieille bâtisse située juste derrière la grande bibliothèque de Kiri, cette dernière faisant la fierté du village. Cette étrange maison comporte deux étages, aussi spacieux l'un que l'autre. Elle semble vieille d'apparence car c'est l'exacte copie d'un bâtisse de plus de 26 ans mais elle n'a été construite que 6 ans au paravent. Surgit alors du deuxième étage de la maison le fameux chat, celui qui se plaignait quelques instants plus tôt. Enfin je vous rassure tout de suite, quand je dis '' surgit alors du deuxième étage'' je ne veux pas dire par la qu'il saute de la fenêtre du deuxième. Il surgit dans l'escalier. Avec à ses trousses la fameuse panthère de glace de Kiri. Une jeune femme d'une vingtaine d'années, les cheveux plutôt long et d'un couleur sang des plus singulière! Mais elle ne nous laisse guère le temps de l'observer plus longtemps, elle prend un peu d'élan et saute sur le félin bicolore. Ais-je vraiment besoin de vous donner la phrase qu'elle prononce une fois l'animal capturé?
«-Je te tiens! Cette fois tu n'échapperas pas à un bon bain bien chaud! Je ne te laisserais pas salir mon appartement impunément! -Mais lâche moi! Je ne sali pas ta maison si?? Si tu y tiens vraiment je m’essuierais les pattes avant d'entrer mais pas de bain! Miaouuuuuu!! -Ne rêves pas mon minou, cette fois tu n'y échapperas pas!»
Le félin bicolore dégluti, il essaya de faire craquer sa maîtresse avec ce petit regard implorant dont ceux de sa race avait le secret mais rien n'y fit. La jeune femme était décider à le laver, du bout des moustaches jusqu'à l'extrémité de la queue, et ce n'est pas une petit larme qui l'en empêcherait. Après tout elle avait renoncé à tout ses liens de sang, avait-elle encore le droit de s'émouvoir pour quelqu'un? Elle prit le chat par la peau du coup, tel un torchon ou encore un foulard, et se dirigea vers l'escalier. Elle soupira, le chat se plaignait de l'avoir pour maître alors que c'est lui même qui l'avait choisit! Ces animaux possèdent vraiment un égaux démesuré ainsi qu'un fierté hors catégorie... Enfin, les humains n'étaient pas mieux. D'un point de vue aussi scientifique que logique l'homme est le plus arrogant et le plus imbu de lui même de tous les animaux. A croire qu'il oublis même parfois qu'il en est un, lui aussi. Cette fois la jeune femme avance doucement, elle sait que le chat ne tentera pas de lui échapper. Elle possède d'ailleurs deux caractéristiques étranges, une queue ainsi que des oreilles de chat noir. Étrange en effet pour une humaine. Mais en était-ce vraiment une? Ça, même elle n'est plus en mesure de l'affirmer. Ses yeux n'étais pas de la même couleur, le droit était vert émeraude et le gauche rouge rubis. Mais sa pupille est exactement la même que celle d'un chat. Une fois arriver à l'étage supérieur elle traverse rapidement le couloir, le chat semble dévorer des yeux le moindre meuble passant à sa hauteur, signe qu'il n'est pas installé dans cette bâtisse depuis longtemps. Une fois les six chambre du second étage passées la jeune femme ouvrit la porte d'une autre pièce. Cette dernière entièrement bleu et blanche, carrelée aussi bien sur le sol que sur les murs. Sans doute s'agit-il de la salle de bain car à la seule vue de cette pièce le jeune chat commence à se contorsionner dans tous les sens. Mais un grognement fit cesser cette tentative désespérée du félin bicolore. Ce grognement signifiait que sa maîtresse commençait à s'agacer. Quoi de pire que la panthère de glace en colère? Rien. Le chat se laissa donc faire, à contrecœur.
Une demie heure plus tard le chat sort de la salle de bain, lavé et séché, propre comme un sous neuf. La jeune femme émerge à sa suite, les cheveux mouillés et quelques gouttes d'eau perlant ça et la sur sa peau plutôt blanche. Elle porte une serviette passé autour de son cou pour empêcher les gouttes de mouiller son débardeur noir, ainsi qu'une trousse à pharmacie dans sa main droite. Qu'allait-elle faire avec cette boite à médicaments? Était-elle malade? Un problème physique, blessure, entaille, égratignure... Le fait est qu'elle descendit l'escalier, le félin bicolore sur ses talons, et alla s'asseoir dans le canapé du salon. Le soleil envoyait ses chers petit rayon se promener dans la sympathique petite pièce. Il devait être au alentours de 9 heures ou alors un maximum de 10 heures. Une fois assise elle pose la boite blanche à côté d'elle et en extirpe des bandages et du désinfectant. Elle imbibe un coton de la solution antiseptique et commence à le passer sur son œil gauche, celui à la couleur rouge sang caillé. C'est alors qu'elle laissa apercevoir une cicatrice, apparemment assez profonde et ancienne. Pourquoi la désinfectait-elle encore si elle était si vieille? Sans doute refusait-elle de se refermer. Elle entoura rapidement son œil de bandages et referma la boite. Elle avait prévu d'aller rejoindre un ami dans le village caché du sable Sunagakure No Sâto. Ils avaient prévus de se retrouver depuis un moment déjà mais Kyo aime travailler, elle à donc l'habitude de prendre des mission et de les enchaîner sans prendre un jour de congé. Elle s'étira, habillée simplement et légèrement, elle avait l'air particulièrement en forme. Mais elle ne s'habillait pas légèrement uniquement parce que le soleil semblait annoncer une belle journée mais parce que, pour aller rejoindre son meilleur ami, elle devait traverser le désert de Suna. Le chat bondi à côté de la jeune femme sur le canapé et crut bon d'engager la conversation:
«-Hé bien Kyo! Une kunoichi avec un si joli minois, c'est idiot d'en bander ainsi une partie... La shinobi lui adressa un regard noir avant de lui répliquer sur un ton cinglant et désagréable. -Si je pouvait laisser mon visage entièrement découvert je le ferais de bon cœur! Ce n'est pas par plaisir que je met cette stupide bande! Apprends donc à connaître Kyoshiro Yang mon cher ami félidé! Mais le chat remua les moustaches et déchira d'un geste sec le bandage de la jeune femme à la chevelure écarlate, un cri de surprise échappa à cette dernière. Elle voulut protester, mais se retint. Le chat cracha les bandes et reprit la parole. -Moi je sais que tu n'en à pas besoin. Je ne suis pas dupe, ou simplement indifférent comme Kuro. Tu en as donc si honte que ça, de cet œil aveugle? -.... Non ce n'est pas ça. Ce n'est pas tant que j'en ai honte, je sent à chaque fois le regard pesant et lourd des gens, ninja ou pas, qui me fixe bizarrement à cause de lui. J'assume le fait d'être un monstre dépourvu d'humanité, ainsi que le fait d'avoir tout abandonné. Mais je n'accepte pas qu'on dise de ma sœur qu'elle à tout de même réussit à m'atteindre! C'est moi qui ai gagnée ce combat! Elle ne mérite pas les éloges dont elle joui. -Tu le pense vraiment? Elle n'est plus rien pour toi? Réfléchis y tout de même, avant de prendre une telle décision.»
Kyo ne répondit pas. A quoi bon se justifier? De toute façon les jumelles étaient et sont toujours de nature complètement opposées. L'une est chaleureuse et amicale tandis que l'autre est froide et distante. Et pourtant elles s'entendaient si bien étant gamines, mais après leur combat, il y à 10 ans, tout à changé. Ou dû moins, la mentalité de Kyo à changée du tout au tout. Elle soupira, que de souvenirs disparus... Bon ou mauvais elle ne se souvenais plus de grand chose. Elle se leva et extirpa un petit paquet, rouge et blanc, de sa poche. L'inscription sur la petite boîte étonna grandement le compagnon à quatre patte de la kunoichi. Il était simplement marqué ''Lucky''. Ou ''chanceux'' en anglais. Ce qui se trouvait être le contraire total de la jeune femme aux longs cheveux rouge sang. Elle sortir d'un geste sec et rapide une cigarette du paquet. Le félin soupira, sans doute ne comprenait-il pas pourquoi les humains éprouvait le besoin de se pourrir la santé. Mais ça de toute façon rare était les animaux qui le comprenaient. Kyo la porta à ses lèvres et se mit à chercher quelque chose dans ses poches. Elle en sorti quelques instants plus tard un briquet, sans quoi elle ne pouvait allumer la cigarette. Une fois cette dernière allumée la kunoichi commença à la fumer, pensive. Elle se leva du canapé et se dirigea vers la cave au armes, située au rez-de-chaussez également. Elle ne partirais pas sans son sabre adoré, son cher Ekiro. Une fois ce dernière équipé au côté droit de sa ceinture elle prépara son nécessaire dans son cher sac en bandoulière qui ne la quittait jamais. Son carnet de croquis, un nécessaire de dessin ainsi que quelques parchemins en tout genre. Elle partait voir son ami certes et Suna n'était pas vraiment un village ennemi mais on n'est jamais trop prudent si? Une fois munie des affaires qu'elle jugeait importante elle se recouvra d'une cape, emmitouflée dans cette dernière et la tête couverte de la large capuche elle prit son sac et sortie de la maison. A ce moment là, elle ne le remarqua pas mais, son chat bondis dans le sac qu'elle s’apprêtait à se passer à l'épaule. Un petit clandestin dans son sac? Ça ne rendrait la traversée du désert que plus intéressante! De plus son meilleur ami adore les chat, il y aura donc pas de problème.
Kyo avait donc traversée tout les marécages des environs de Kiri sans réellement dévorer des yeux le paysage qu'elle côtoyait depuis plus de 6 ans. Elle marchait désormais tranquillement dans le désert, couverte de la tête au pied d'un long manteau blanc cassé. Pourquoi pas blanc tout court? Parce qu'il lui était interdit de porter une couleur dite ''pure'', ces dernières réservées à sa sœur jumelle. Bref, Kyo avançait sans se presser, de toute façon elle avait envoyer un de ces corbeau à son meilleur ami pour lui dire qu'elle passerait lui rendre visite dans la journée, ne précisant pas d'heure pour pouvoir avancer à son rythme. Elle avait déjà parcourue une bonne partie du désert, d'ailleurs cette grande étendue de terres arides lui rappelait étrangement son cœur... A la différence du climat bien sur. Mais elle n'eut pas le temps de se perdre dans de sombres pensées que son cher clandestin sorti doucement la tête du sac pour pousser un long soupir:
«-PFOUA! Qu'est s'qui fait chaud là dedans! Tu pourrais faire des trous dans ton sac, on étouffe! Surtout en plein désert! Et ne penses même pas à me dire que je n'ai rien à faire là, tu ne laisserais pas un pauvre petit chat sans défenses errer seul dans le désert tout de même? La jeune femme préparait une réplique cinglante mais abandonna. A quoi bon répliquer à ce sac à puces que dans un désert c'est normal qu'il étouffe? Mais elle ne se retint pas de lui infliger une sévère pichenette sur le sommet du crâne, histoire de lui apprendre à parler sur un autre ton à sa maîtresse! Après un sonore claquement de langue méprisant un silhouette apparut dans le champ de vision de Kyo. Vu sa carrure c'était sans doute un homme, couvert par une épaisse armure qui ne permettait pas à la jeune femme de distinguer son visage. Elle se découvrit la tête, elle ne voulait pas passer pour une voleuse du désert ou une pillarde, et continua de marcher en enfonçant violemment la tête de son ami matou dans son sac.
-Maintenant tais toi! Il ne doit pas te remarquer est-ce clair?»
Le félin se tapit donc dans le fond du sac, retenant un grognement bougon pendant que la kunoichi continuait son avancée. Rien ne se produisit lorsqu'elle frôla l'épaule de l'homme, il semblait paralysé, hypnotisé. Elle n'avait pourtant pas lancé de genjutsu... Elle haussa les épaules, après tout si il ne voulait pas lui parler à quoi bon s'engager la première? Elle continua donc d'avancer. Comme si elle n'avait rien vu. Après tout ce n'est pas comme si elle avait croiser un kage non plus, elle fit donc comme si rien ne s'était passé et remis sa capuche. Or quelques instants plus tard l'homme semblait sorti de sa torpeur étrange. Il se découvrit partiellement: ôtant son heaume et son gant droit, sans doute pour serrer la main de la kunoichi. Il l'arrêta facilement, d'un geste un peu brusque sur le départ mais qu'il accompagna doucement. Kyo, sans qu'elle n'eut le temps de se rendre compte de la situation, se retrouvait donc désormais devant un jeune homme au cheveux châtain, à l'allure sympathique et au sourire charmeur. Il tendis sa main vers la jeune femme en prononçant des paroles de présentation assez formelles. Il se nommait Takeshi Tenjou, apparemment capitaine de quelque chose. Enfin, ce n'était qu'un détail, d'ailleurs pour Kyo cet homme lui même n'était qu'un simple détail. Elle serra tout de même sa main, son but n'étant pas de paraître impolie. Et agita les oreilles, signe d'une certaine irritation. Cette homme l'avait adroitement stoppé en posant sa main sur son épaule et s'était propulsé pour se retrouver devant elle. Quel crâneur! Kyo n'aimait déjà pas les hommes, mais alors se faire traiter ainsi par un membre du village de Suna était un comble! Elle savait son appartenance grâce à l'odeur que dégageait cet homme. D'ailleurs il portait un autre odeur, plus familière celle ci. Kyo se présenta à son tour:
«-Enchanté cher Takeshi Tenjou, je me nomme Kyoshiro Yang. Je suis une chuunin de Kiri. Je sent que vous faites parti du village de Suna. Le matou tigré sorti sa tête et répondit à son tour, en ignorant le regard courroucé de sa maîtresse qui lui avait interdit de parler aux autres humain: -Et moi c'est Tsutsuyo! Enchanté crâneur!»
Dernière édition par Kyoshiro Yang le Jeu 1 Déc 2011 - 15:20, édité 1 fois |
Sujet: Re: Un moment de faiblesse devant une personne exceptionnelle ; une singularité. Jeu 1 Déc 2011 - 15:18 | |
| " Two for one. "
En m'approchant d'elle, j'ai senti une douce flagrance émanant d'elle qui a pénétré dans mes narines ; un ravissement pour les sens. Ce parfum n'était pas accompagné de l'odeur sauvage de chat malgré les caractéristiques félines de la jeune femme. Une fois devant elle, je n'ai pas seulement senti sa douce odeur, j'ai aussi observé de magnifiques cheveux à la couleur assez excentrique qu'est le rouge sang, mais j'ai surtout remarqué son beau minois doté d'iris aussi singulière que ses attributs féminins à cause de leur couleur différente rouge & verte. Mais ce n'est pas tout. En effet, lorsque qu'elle me serre la main que je lui ai tendue, je sens le doux contact de sa peau sur la mienne : sa peau est magnifique à vue d'œil et au toucher, on ressent bien cette beauté grâce au fait que sa peau soit agréable à effleurer grâce au fait qu'elle soit lisse. Je ne traduis pas cette réaction de mes sens sur mon visage face à elle. Mais si je l'aurais fait, elle aurait sans doute vu un sourire encore plus grand que j'arbore déjà sur mon minois déjà assez beau sans un quelconque sourire & avec une quelconque expression dessus. A par peut être avec une expression triste. Non, je ne fais pas pitié lorsque je suis triste, mon visage est juste... déformé par cette émotion.
Puis, j'entends sa magnifique voix tandis que l'on se serre encore la main tout en continuant de sourire indéfiniment. D'après ses dires, elle se nomme Kyoshiro Yang. Kyoshiro, un nom plutôt masculin, mais qui lui va malgré tout assez bien. Pas qu'elle ait des traits androgynes, non non. Mais comme ce nom résonne avec classe, n'est-elle pas la parfaite personne pour porter ce prénom ? Cependant, son nom n'a pas l'air de lui aller bien. Après tout, à l'inverse de Yin ; Yang a une connotation mauvaise. Mais ce nom pourrait bien aller avec les piètres vêtements en lambeaux qu'elle porte. D'ailleurs, seuls ses vêtements sont un mauvais point pour cette singularité moitié-femme moitié-féline. Si j'aurais l'occasion de lui offrir de plus beaux vêtements, je le ferais, mais je n'ai sur moi que le strict nécessaire ; c'est à dire mes vêtements accompagnés de mon armure. Remarque, je pourrais lui donner ma veste si elle l'accepte. Bref. Par la suite, la dénommée Kyoshiro présente sa fonction de Chuunin de Kiri rapidement sans donner davantage de détails, juste ce grade & ce village. Juste après, elle s'engage dans des devinettes sans que je ne lui en pose, me démontrant ainsi des pouvoirs psy apparemment. En effet, elle découvre sans aucun indice à par le lieu où nous sommes que je viens de Suna. Soit elle a compté sur sa chance pour proposer cela, soit elle a bien des pouvoirs psychiques, mais je doute de cette seconde hypothèse. Enfin, tout est possible dans ce monde délirant, ce n'est pas moi qui dira le contraire vu ce que j'ai vu avec le Corsaire. Après cette dernière tirade, nous nous lâchons la main avant de commencer une poignée de main interminable & je m'apprête à répondre dans le vif du sujet avant que l'on m'interrompt. Je ne suis pas assez rapide à priori. Un chat sort du sac de Kyoshiro sans prévenir & parle comme si ça aurait été normal qu'un animal parle. M'insultant au passage de frimeur, il -ou bien elle remarque- se présente sous le nom de Tsutsuyo.
Bien que je sois passé par les quatre coins du monde, j'avoue n'avoir jamais vu deux pareilles étrangetés. Une femme chat & un autre chat parlant. Bien entendu, c'est la femme qui est la plus marginale, mais je me concentre pourtant sur le chat doté de parole en premier. « On dirait que je suis démasqué ; pris la main dans le sac. Je prends avec humour la façon dont me parle le chat. Après tout, il est vrai que je suis assez arrogant, mais n'est-ce pas tout à fait normal pour quelqu'un comme moi de toute façon. Oui, en effet, je me rends compte que je suis vraiment vantard en me disant cela. « Cependant... », je me penche vers le chat avant de continuer tout en le caressant avec ma main libre, « Un chat qui parle... n'est-ce pas tout aussi singulier que... vous mademoiselle Kyoshiro ? ». Je redirige alors mon regard vers la jeune femme, toujours aussi intéressé par la singularité qu'elle est elle. Tout en continuant à caresser Tsutsuyo sans m'intéresser à ce qu'il en pense, je me dis qu'il est temps de répondre à la personne mi-femme mi-chat après avoir répondu à l'autre chat si je peux dire « l'autre ». « C'est bien ça, je suis un ninja de Suna. Comment avez-vous deviné ? Je ne porte même pas mon bandeau. Suis-je aussi peu discret que ça ? » Non, je ne suis pas discret, c'est le cas de le dire. Enfin, quand il le faut, pour être discret, je peux revêtir mon armure sombre, mais sans elle, je marque assez bien les esprits. Après tout, vous avez vu cette gueule d'ange ? Comme pourrais-je passer incognito avec ce visage ? Je ne m'en plains pas cependant. Sans lui, je ne pourrais sûrement pas m'adonner à mes activités de flirt. Je ris un coup avant de reprendre. « Et vous. Comme vous êtes une ninja de Kiri, puis-je savoir ce que vous faîtes aux abords de Suna si je ne suis pas trop indiscret ? »
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Kyoshiro Yang ~ Chuunin de Kiri ~ ▌Sanction : Aucune ▌Messages : 152 ▌Age : 28 ▌Inscription : 10/10/2011 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Chuunin / B / 15 | Points Naruto Ninja RPG | : (517/2000) | Âge du personnage | : 27 ans Sujet: Re: Un moment de faiblesse devant une personne exceptionnelle ; une singularité. Jeu 15 Déc 2011 - 9:54 | |
| Kyo observait le jeune homme qui se tenait, droit et fier malgré son air détendu, devant elle. Lui aussi semblait la dévisager. Était-ce ses caractéristiques félines qui intriguait le jeune homme? Ou bien sa chevelure sang qui le troublait? Ses yeux également ne semblaient pas le laisser indifférent. En même temps il était assez rare de croiser quelqu'un avec des yeux de chat, l'un vert et l'autre rouge. Malgré tout l'homme continuait de sourire. Toujours, inlassablement à chaque fois que Kyo observait le visage de son interlocuteur elle y voyais cette étrange émotion... De plus ce n'était pas un de ces sourire dont la kunoichi rousse était encore capable: froid et sans vie la plupart du temps il n'était là que pour en partie rassurer des êtres qu'elle considérait encore comme ''chers'' à son cœur. La jeune femme remarque alors que son nom ne semble pas très.... Anodin aux yeux de son congénère. Il est vrai qu'il est du genre plutôt masculin. Mais de toute façon à la base elle devait être un homme. Son père le lui avait répété toute son enfance. Même au moment de rendre son dernier souffle il lui avait reprocher son sexe. Il lui avait placer dans le cœur du doute, du regret, de la culpabilité. Mais si c'était les enfants qui choisissaient leur sexe à la naissance ça se saurait! Son père n'avait jamais voulut entendre raison, jamais. Après cette assez longue observation Kyoshiro tourne la tête vers son protégé, bien assit confortablement dans son sac. Elle lui lance un regard accusateur et courroucé, elle lui avait pourtant interdit de parler aux humains comme ça pour le plaisir! Et si cette nouvelle parvenait aux oreilles d'un village ennemi? Pas qu'elle craigne spécialement que ce don de pacotille intéresse qui que ce soit mais tout de même, on n'est jamais trop prudent. De plus elle allait vraiment passer pour un phénomène de foire! Un chat qui parle et une femme-chat qui devine tout. Enfin, les hommes ayant quelques connaissances sur ces animaux étranges auraient sans doute put deviner que Kyo avait simplement détectée sur les vêtements de son interlocuteur l'odeur du village le plus proche. Le soleil de plomb ne gênait en rien la kunoichi, certes lorsqu'on vit à Kiri on à plus de facilités dans les milieux humides mais Kyo avait apprit à faire avec le climat. Tsutsuyo bailla, il ne semblait en rien affecté par la bêtise que lui reprochait sa maîtresse. Cette dernière soupira et finit même par se demander comme et pourquoi elle en était arriver à accepter d'être le maître de ce stupide animal. D'ailleurs la jeune femme eut peur que la réplique de son crétin de félin ne soit mal passée. Le rouquin avait la mauvaise habitude de toujours dire ce qu'il pensait en toutes circonstances. Chose que parfois certains ninja comprenait mal. Mais à sa grande surprise le dénommé Takeshi semblait le prendre avec un certain humour... Kyo continuait d'observer de ses grand yeux de chats l'étrange mâle qui se tenait devant elle «Les hommes sont vraiment des êtres amusant parfois... Celui-ci me paraît tout ce qu'il y à de plus divertissant!».
L'homme se pencha alors pour caresser Tsutsuyo, arrachant la jeune femme à ses rêveries. Le matou se laissa faire, après tout lui aussi était arrogant, sur de lui et manipulateur. Il aimait contrôler les humains, tirer d'eux tout ce qu'il voulait, puis les abandonner tranquillement et chercher un nouveau souffre douleur. Pourtant cet étrange félin ne semblait pas procéder ainsi avec Kyo. Il se laissait torturer par cette femme insensible et froide. Rien ne le dérangeait et toujours il affichait ce sourire qui voulait tout dire et qui signifiait qu'il savait tout. Le rouquin finit par ronronner, cet homme était intéressant. Il n'était pas courant que les réplique de Tsutsuyo passe aussi bien, à moins qu'elles ne rentrent par une oreille et ne sortent par l'autre. L'homme de Suna redirigea son attention vers la jeune femme. En effet sur ce point même Kyo ne pouvait décemment pas le contredire. Elle était bien plus singulière qu'un chat qui parle. Elle était capable de communiquer avec toute les formes de vie animales et avait un apparence hybride. Ses oreilles de chats lui conféraient une ouïe sans pareil et sa queue un puissant fouet parfois. La rouquine senti sans mal la lueur intéressées de Takeshi. Sa différence était souvent mal vue, on refusait de s'approcher d'elle, on la traitait de tous les noms et la maintenait à l'écart. Chez les ninjas ce n'était pas tout à fait pareil. Ses attributs étaient plus qu'intéressant pour les shinobis, ennemis ou non. Il finit par poser la question que Kyo attendait: comment avait-elle devinée son village? Elle ne put retenir un petit rire de lorsque l'homme demanda si il était i peu discret que ça. Ba, il était vrai que dans son attitude on voyait bien qu'il n'était pas du genre à tout faire pour passer inaperçu. Mais Kyo aimait bien ce trait de caractère. Ses oreilles tressaillirent lorsqu'il lui demanda ce qu'elle faisait dans les environs de Suna. Elle haussa les épaules, en temps normal ce genre de question l'aurait irritée et elle serait partie en disant que cela ne le regardait en rien. Mais maintenant qu'ils avaient fait un peu connaissance pourquoi ne pas creuser plus en profondeur? Ce jeune homme pouvait s'avérer être un jouet de première classe! Tsutsuyo s’apprêtait à devancer Kyo mais cette dernière lui pinça l'oreille, c'était elle qui parlerait en première. Pas question qu'une vulgaire boule de poil ne la devance! Après un regard pleins de reproches lancé vers son chat elle regarda de nouveau son interlocuteur, cette fois une lueur amusée et interrogative dans les yeux. Elle prit la parole à son tour:
«-Non vous n'êtes pas trop indiscret. Je suis venu aux abord du village de Suna pour voir mon meilleur ami d'autrefois. Nous n'avons jamais été du même village mais gamin nous nous entendions très bien. Mais cela fait bien des années que nous ne communiquons plus que par oiseaux. Corbeaux pour ma part et faucons pour lui. Et j'ai deviné votre village grâce à votre odeur, mon ami est membre de Suna également vous avez donc une partie de votre odeur en commun. Et vous mon cher que faites-vous dans le désert? Je ne voudrait pas vous retarder si vous avez une mission bien sur. -Au contraire moi je veux t'empêcher de faire ta mission! Ce serait drôle! Bon allez, si on parlait un peu plus? Moi j'aimerais bien qu'on fasse plus amples connaissances pas toi maîtresse? En plus on n'est plus trop loin de Suna moi je ne suis jamais allé dans ce village, tu nous ferais visiter blanc-bec?»
Kyo soupira une nouvelle fois. Ce chat était vraiment insupportable! A croire qu'il avait décidé de pourrir la journée de Takeshi et de Kyo. Enfin, la jeune femme était habituée, elle, mais sa curiosité prit le dessus. Comme cet homme allait-il réagir? Impossible de la savoir à l'avance et c'était ça qui était intéressant. Tout en cet homme donnait à la rouquine l'envie de se divertir avec lui. Par contre elle avait peur de ne pas arriver au bon moment pour son meilleur ami, elle avait envoyé son message il y à tris jours et toujours pas de nouvelles. Peut être était-il en mission? Elle haussa les épaules pour la énième fois, le regard perdu dans le vague. Avait-elle vraiment envie de le revoir? C'était l'unique vestige encore vivant de son passé joyeux. L'unique homme que sa famille avait accepté de lui laisser comme ami. Elle posa de nouveau son regard félin sur cet homme. Même si elle ne retrouvait pas son ami maintenant il était sur qu'elle n'allait pas perdre sa journée! Qu'allait-il décider? Il avait l'air d'un crâneur et surtout d'un gros dragueur. Mais pas au point de paraître trop frivole non plus. Un spécimen bien intéressant. Une étude approfondie semble s'imposer, après tout Takeshi aussi voulait sans doute mieux connaître le jeune femme. Elle aussi était tout ce qu'il y à de plus étrange. Ce jeune homme ne pouvait échapper à la règle. |
Sujet: Would you ? Mar 20 Déc 2011 - 18:52 | |
| " Would you Milady ? "
On peut voir entre les deux compagnons félins une certaine animosité. Alors que le plus petit félin s’apprêtait à parler, la plus grande lui pince l’oreille le coupant d’un coup sec dans son élan. Elle prend ainsi l’initiative de répondre à la pléthore d’interrogations que j’avais posées. Je suis très curieux, je le confesse, mais je ne compte pas régler ce défaut. Après tout, il fait partie de moi-même & de plus, c’est humain que d’éprouver la curiosité bien que je ne sois –pour ma part- pas un homme comme les autres tout comme cette femme aux oreilles de chat n’est pas une femme normale pour les caractéristiques que je viens de lui attribuer.
Pour me parler, cette femme me regarde bien entendu dans les yeux après avoir jeté un regard plein d’agressivité sur son compagnon roux. Bien sûr, elle aurait pu ne pas me regarder dans les yeux pour me parler, ça ne m’aurait pas plus gêné que ça. Après tout, peut-on soutenir le regard de quelqu’un comme moi ? La plupart du temps non, & je n’en tiens pas compte. Elle si, & ça prouve qu’elle a du caractère, je ne déteste pas. Tout d’abord, elle me débarrasse de mes inquiétudes en désapprouvant le fait que je sois indiscret bien que je ne me sois supposé ce défaut que par politesse : je sais bien que je suis parfait voyons. Non, je ne me contredis pas, la curiosité n’est pas un signe d’imperfection. De plus, je n’aurai pas été importun en demandant ce que Kyoshiro faisait à Suna, après tout, c’était une inconnue qui serait entrée dans mon village, je n’allais pas la laisser passer comme ça, risquant la sûreté de mon village au passage. Et ce, bien que ce soit une créature magnifique, en effet. De toute façon, on n’entre pas comme ça dans un village qui n’est pas le nôtre, en particulier lorsque notre village n’est pas allié à celui où l’on veut aller & que le nôtre a déjà un village sous son joug. En effet, je suis au courant du contexte actuel de notre monde, ce serait marginale que de ne pas savoir ces bases-là. Cependant, comme elle me confesse tout, je n’ai pas à m’inquiéter ; je ne vais pas non plus lui refuser l’accès à mon village sous prétexte qu’elle soit étrangère. Ce serait comme lui refuser l’accès à un lieu quelconque où tout le monde pourrait aller parce qu’elle a des attributs félins : ce serait absurde.
Donc elle avoue : son meilleur ami se trouve à Suna. Ils se seraient contactés à travers les frontières les séparant par volatiles d’après elle, original comme relation, mais pas comme relation à distance ; c’est l’un des seuls moyens de communication à si grande distance que l’on ait à l’heure actuel après tout. Elle apporte par ailleurs des précisions à ses dires : ses oiseaux seraient les corbeaux tandis que ceux de son ami seraient des faucons. Je dois avouer qu’ici, c’est original que d’avoir des oiseaux en particulier pour envoyer nos messages alors que de simples pigeons voyageurs suffiraient. Enfin, je sais que les villages usent aussi d’oiseaux différents en même temps grâce aux multiples voyages que j’ai moi-même fait donc ça ne me surprend pas non plus tant que ça. Elle révèle par ailleurs qu’elle vient d’un autre village comme le Sunajin qui est devenu son meilleur ami dans ce village. Comme quoi, elle doit être habituée aux voyages inter-villages. Cependant, son ami d’enfance m’intrigue. Déjà, j’aimerai bien savoir qui à Suna vient d’un autre village. Pour lui lancer des pierres ? Bien sûr que non, si j’ai envie de le rencontrer, c’est pour parler de son lieu de naissance. Qui sait ? A travers mon exil volontaire de 3 ans, je suis sans doute passé par son village, j’ai voyagé à travers le monde après tout ; ce qui m’a donné des connaissances précieuses sur le monde d’aujourd’hui comme sur le monde d’hier. Je suis effectivement devenu relativement cultivé en histoire grâce à mes voyages pendant les trois années qui précédèrent ma progression au grade de Chuunin. Mais bref, si je veux connaître cet homme, c’est aussi pour découvrir si comme sa meilleure amie Kyoshiro, il a des particularités spécifiques, auxquelles cas je suis sûr de ne pas l’avoir rencontré. Après tout, excepté un physique d’Apollon, la plupart des villageois n’ont rien en particulier. & dans le cas où il a ses quelques protubérances, j’aimerai bien le connaître comme j’ai voulu rencontrer cette Catwoman. Puis, dernière raison, c’est si sa beauté égale celle d’une personne dix fois moins belle que la Chuunin de Kiri accompagné d’un chat roux, j’aimerai bien apprécier son physique caché si vous voyez ce que je veux dire. Enfin, ce sentiment est aussi présent lorsque je vois Kyoshiro, je suis autant attiré par les femmes que par les hommes après tout.
Enfin. Par la suite, la jeune singularité mi-femme mi-chatte ou peut-être même mi-chat d’ailleurs –bien que je ne lui souhaite pas- enchaîne avec une autre révélation s’attribuant en plus de l’apparence de traits félins la même évolution d’un sens précis de l’animal : le flair. Elle dit m’avoir reconnu grâce à mon odeur typique des villageois de Suna ; j’en suis ébahi. Non seulement elle a une apparence non-conforme à celle d’humains, mais en plus, elle a des sens accrus comparé à ceux d’un chat. De multiples questions me viennent bien sûr à l’esprit à cette annonce, mais je dois me retenir. Je ne vais tout de même pas couper une demoiselle dans ses propos. Elle continue donc en me demandant ce que moi je fais ici après avoir échangé comme tribut pour me poser cette question mon interrogation lorsque je lui ai demandé ce que elle faisait ici. Elle fait elle aussi preuve de politesse en s’excusant d’avance dans le cas où je serais en mission. Bien entendu, le chat lui n’est pas aussi poli que nous deux & prend la parole sans attendre qu’un temps respectable se soit écoulé entre la fin de la réplique de Kyoshiro & celle d’un autre. Il dit vouloir m’empêcher d’effectuer une mission hypothétique que l’on m’aurait donnée par pure motivation d’avoir le plaisir de m’empêcher d’accomplir la tâche que l’on m’aurait confié. Quelle déception il affronterait quand je lui dévoilerais que je ne suis sorti de mon village que grâce à un congé.
Cependant, bien qu’il ne soit pas très empathique, j’aime bien ce chat. Il a autant de caractère que sa maîtresse pour être insolent avec moi. Ou bien c’est parce qu’il est un chat qu’il n’éprouve aucun respect naturel pour moi. Dans tous les cas, il a du caractère & comme je l’ai dit précédemment, j’aime ça. De plus, j’avoue avoir été flatté par sa volonté de me connaître davantage après m’avoir rencontré, ce qui est réciproque pour moi. Après tout, si j’ai abordé cette femme, c’est parce que c’était une curiosité & il en va de même pour ce chat parlant tel un humain. Ce pouvait certes être un chat ninja, mais il était spécial même dans ce cas étant donné que cette caste de créatures est elle-même exceptionnelle. Il me propose donc d’être leur guide bénévolement, chose insensée pour moi qui mérite bien mieux que cela comme job, mais j’accepterais avec plaisir vu les individus à accompagner. Mais m’insultant au passage pour mon teint de peau, il risquait bien de devoir se passer de la présence d’un homme comme moi à ses côtés. Heureusement pour lui, la femme valait largement le coup. & quelque-soit la situation, je n’allais pas me mettre en colère pour si peu, j’étais bien au-dessus de ça & je savais quel être parfait j’étais.
Je m’assure qu’ils aient bien terminé de parler pour prendre à mon tour la parole sans me la faire piquer une seconde avant comme le chat l’a fait, gardant ce sourire de charmeur intact. Je bouge alors de ma place pour me mettre à la gauche de la demoiselle avant de proposer avec galanterie mon bras à cette femme, acceptant tacitement de les accompagner durant leur visite dans mon village. En pensant à la politesse dont je fais à ce moment preuve, je me rends compte d’un oubli dans ces dîtes politesses. Je rectifie donc bien vite mon erreur, riant pour cacher cette imperfection de ma personne aux yeux des deux félins : Takeshi Tenjou - « J’en oubliais mes politesses envers une personne avec tout le plaisir que j’ai eu à pouvoir vous parler. Je suis bien entendu ravi de vous rencontrer Kyoshiro-san. Si vous le voulez bien, je me permets comme me l’a demandé votre compagnon, de vous servir de guide touristique, bien que je valle évidemment bien plus que ça, durant votre traversée à Suna. » [i]lui dis-je tout en continuant à tendre le bras pour qu’elle prenne dans le sien, acceptant ainsi mon invitation. Cependant, je n’ai pas juste envie de lui donner l’envie de m’accompagner, je peux après tout lui faire éprouver ce sentiment rien qu’en tendant sans rien dire mon bras, mon physique devrait suffire à accepter mon invitation ; je veux lui en faire éprouver le besoin. Non pas par besoin de ma part que quelqu’un ait besoin de moi, mais bien pour qu’elle comprenne que je serais là si elle a un problème. & encore non, ce n’est pas parce que je veux lui faire comprendre ça que je veuille forcément qu’elle tombe amoureuse. C’est bien pour son propre confort & pour qu’elle puisse profiter de ma présence en soi-même parfaite. Je reprends donc la parole, mais avec des arguments cette fois-ci.
Takeshi Tenjou – « Après tout, les gardes des portes de Suna ne vous laisseront pas passer comme ça même en sachant que vous avez des relations avec une personne de l’intérieur, surtout si celle-ci n’est pas importante comme le Kazekage. Et s’ils voudraient bien vous laisser passer pour cette raison, ils s’assureront de votre relation avec la dite personne en allant la chercher ce qui prendra bien évidemment du temps. De plus, j’aimerai m’assurer de votre protection jusqu’à votre rencontre avec votre ami & même plus si ma présence ne vous dérange pas par la suite pour qu’il n’y ait aucun problème entre nos deux villages & surtout pour assurer votre confort dans mon village & je l’avoue, aussi pour vous montrer uniquement les bons côtés de mon village. Et pour finir, si ça peut faire plaisir à votre chat, ce n’est pas pire. Je suis en congé pendant une semaine de toute façon, pas en mission donc il n’y aucun soucis à ce que je prenne mon temps pour vous accompagner. Ce serait un plaisir que de vous servir de guide en faite! Donc, acceptez-vous Milady ? » Bien sûr, je n’évoquais pas tous les arguments dans cette unique tirade, je parlerais trop autrement & je la lasserais sûrement comme je me fatiguerais moi-même ! Je n’avais donc pas évoqué mon vouloir de parler davantage à cette singularité de peur de passer pour un pervers car c’est évident, je ne passerais jamais pour un pervers. Qui plus est, si j’étais un pervers, je me demande si ça ne ferait pas plaisir à la gente féminine… autant qu’à la gente masculine d’ailleurs ! Bref. Je n’attends plus qu’elle mette son bras autour du mien pour l’inviter à Suna & avoir le plaisir de mieux la connaître & aussi de rencontrer son meilleur ami.
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Kyoshiro Yang ~ Chuunin de Kiri ~ ▌Sanction : Aucune ▌Messages : 152 ▌Age : 28 ▌Inscription : 10/10/2011 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Chuunin / B / 15 | Points Naruto Ninja RPG | : (517/2000) | Âge du personnage | : 27 ans Sujet: Re: Un moment de faiblesse devant une personne exceptionnelle ; une singularité. Lun 26 Déc 2011 - 21:19 | |
| Visiblement l'évocation du meilleur ami de Kyo par cette dernière ne laissait pas son interlocuteur indifférent. Pourquoi donc? Il était vrai qu'il portait différentes odeurs sur lui, certaines plus anciennes que d'autres. Avait-il voyagé? Sans doute, impossible pour un humain restant dans la même contrée toute sa vie de porter autant d'odeur différentes sur lui. Il semblait curieux de nature, la flamme de l'interrogation envahie peu à peu ses yeux d'un noir si profond. Kyo ne se lassait pas de le regarder, d'observer ses moindres mouvements... Ce n'était pas comme un sujet d'étude, elle le trouvait.. Différent. Pourquoi? Il était encore impossible pour la jeune femme de le dire. Mais elle sentait bien que ce jeune homme ne faisait pas tout à fait parti de la norme. Il semblait bien sur intelligent, informé et très sur de lui. C'était sans doute ce trait de caractère qui plaisait le plus à Kyo. La jeune femme ne peu se retenir de sourire lorsqu'elle voit la réaction de Takeshi suite à la révélation de son flair, plus développé que chez les autres humains. Il semble étonné.. Mais pas dans le mauvais sens du terme. Il ne réagit pas à la provocation de Tsutsuyo, peut être n'était-il pas en mission finalement. Le chat roux ronronnait tranquillement, visiblement il ne serait pas déçut de sa journée. Lui qui adorait se jouer des humains et chercher des noises à sa maîtresse le voilà comblé! Kyo sourit, ce jeune homme était plutôt agréable à regarder pour ne pas dire beau. Elle aimait bien ce genre de personnage avec un caractère et un physique pareil. Elle les trouvaient amusants. Allait-il accepter l'offre de Tsutsuyo? Ce serait amusant, elle n'était pas aller se promener dans Suna depuis un bon moment, faute de temps et puis sans doute d'envie aussi. Elle accompagnait parfois son ami dans le temps lorsqu'il lui fallait rentrer chez lui mais cela faisait maintenant 6 ans qu'il n'avaient plus eu d'autre contact que les oiseaux. Ce serait tellement amusant de visiter le village caché du sable en si charmante compagnie! Et visiblement cela semblait réciproque. Tsutsuyo remuait les moustaches, visiblement amusé par le caractère spécial de cette rencontre, qui semblait pourtant tout à fait ordinaire. Ce matou avait un don pour sentir ce genre de choses, il savait quand deux personnes étaient faites pour se rencontrer et quand elle ne l'étaient pas. Un devint? Peut être.. Mais ce n'est pas l'hypothèse la plus plausible. Ce félin était plutôt, comme sa maîtresse, un fin stratège. Il est également capable de jauger quelqu'un au premier coup d’œil. C'est pourquoi il savait bien que ce jeune dragueur n'était pas en mission, mais tant qu'il pouvait placer ses chers sarcasmes. Takeshi semblait attendre, ayant déjà cerner le matou il voulait probablement être sur que ce rouquin à quatre pattes ne lui couperais pas la parole ou ne l'empêcherais pas de placer sa réplique. Il se déplace alors, du côté infirme de Kyo. Mais ça, il ne peut pas le savoir. Elle ne porte pas son cache-œil et ce n'est pas en regardant ses deux yeux que le premier passant venu peut comprendre. Il se met à sa gauche, Kyo ne bronche pas, ne le suivant plus maintenant qu'à l'odeur. Elle se tourne tout de même, voyant l'homme lui présenter son bras. Elle le laisse parler avant de se décider:
« J’en oubliais mes politesses envers une personne avec tout le plaisir que j’ai eu à pouvoir vous parler. Je suis bien entendu ravi de vous rencontrer Kyoshiro-san. Si vous le voulez bien, je me permets comme me l’a demandé votre compagnon, de vous servir de guide touristique, bien que je vaille évidemment bien plus que ça, durant votre traversée à Suna. »
Oublier les politesses? Cela ne gênait pas la kunoichi, elle avait l'habitude de ne même pas être considérée par ceux qu'elle croisait alors ce genre de politesses.. Mais tout de même, elle trouvait cette attention adorable de la part de ce jeune homme. Elle était sans doute plus âgée que lui. Enfin, l'âge ne fait ni l'expérience ni rien d'autre. Alors pourquoi s'y attardait-elle? Elle ne savait pas bien. Elle hésitait encore à prendre le bras du jeune homme tandis que Tsutsuyo lui mordillait doucement le bras l'air de dire «allez vas-y!» Mais elle hésitait encore. Qu'est ce qui pouvait bien la faire douter? Elle était venu exprès pour voir son meilleur ami mais maintenant qu'elle pouvait visiter Suna en agréable compagnie elle hésitait. Takeshi reprit la parole, elle prêta plus d'attention à cette réplique de son jeune... «Ami»? Non, à part être un sujet d'étude intéressant il ne pouvait pas percer le cœur froid de Kyo ainsi. Quoique il avait l'air bien parti pour. Qui sait?
« Après tout, les gardes des portes de Suna ne vous laisseront pas passer comme ça même en sachant que vous avez des relations avec une personne de l’intérieur, surtout si celle-ci n’est pas importante comme le Kazekage. Et s’ils voudraient bien vous laisser passer pour cette raison, ils s’assureront de votre relation avec la dite personne en allant la chercher ce qui prendra bien évidemment du temps. De plus, j’aimerai m’assurer de votre protection jusqu’à votre rencontre avec votre ami & même plus si ma présence ne vous dérange pas par la suite pour qu’il n’y ait aucun problème entre nos deux villages & surtout pour assurer votre confort dans mon village & je l’avoue, aussi pour vous montrer uniquement les bons côtés de mon village. Et pour finir, si ça peut faire plaisir à votre chat, ce n’est pas pire. Je suis en congé pendant une semaine de toute façon, pas en mission donc il n’y aucun soucis à ce que je prenne mon temps pour vous accompagner. Ce serait un plaisir que de vous servir de guide en faite! Donc, acceptez-vous Milady ? »
Milady? Kyo ne put retenir un sourire, ce qui éclaira son visage. Ce sourire n'était pas son habituelle moue pour ne pas inquiéter son entourage et que celui-ci la laisse tranquille, l'attitude de ce jeune l'amusait beaucoup. Il avait d'ailleurs beaucoup de chance, rare sont les hommes qui ont vu Kyo sourire. Elle haussa les épaule, toujours ce même sourire joyeux étirant ses lèvres, et se retourna vers Takeshi. Ah oui pas facile de saisir le bras du jeune homme si il se trouve pile de son côté infirme! Elle ferma les yeux et lui sourit: pourquoi pas après tout? Tsutsuyo soupira, visiblement heureux et satisfait. Kyo prit donc le bras du jeune homme, un peu maladroitement et à tâtons.. Faut dire qu'en y voyant rien à gauche c'est pas facile pour elle.. Elle réussit tout de même à agripper doucement au bras de son interlocuteur et ils se mirent en route. Le chat riant doucement et agitant la queue, signe qu'il se sentait vraiment bien entre ce beau parler et cette femme d'ordinaire si froide. Tous trois prirent la direction de Suna.
Le soleil continuait de briller, fort et tapant. Kyo n'était pas dérangée par ce désert, elle avait l'habitude de venir y jouer et s'entraîner petite avec son meilleur ami. Tsutsuyo, lui, arborait toujours son sourire fier et arrogant. Il se lustrait le poitrail tranquillement, comme si de rien était. A croire que rien ne pouvait empêcher ce matou de sourire, pas même la chaleur accablante régnant dans cette étendue de sable. Kyo ne souriait plus, elle pensait à son passé. Elle essayait de comprendre pourquoi elle avait sourit ainsi à ce garçon qu'elle connaissait à peine. Elle restait pensive alors qu'il marchait toujours. Ils ne devaient plus être très loin du village. Elle regarda Takeshi, toujours sous son armure bien que découvert au niveau du heaume et du gant gauche. Comment pouvait-il tenir le coup la dessous?! Enfin après tout c'était un ninja de Suna, pas étonnant qu'il soit ainsi résistant à la chaleur. Mais à chaque fois qu'elle essayait de comprendre pourquoi elle avait sourit une image lui revenait en tête une fraction de seconde puis s'en allait. On aurait dit son père. Voyait-elle en ce beau garçon l'exemple masculin qu'elle n'a jamais eut? Peut être. Enfin, son père était présent bien sur mais jamais il ne l'avait regardé dans les yeux. D'ailleurs étant à sa gauche Kyo avait un mal de tout les diables à contempler Takeshi. Mais elle n'eut pas le temps de le lui faire remarquer, les portes du villages étaient déjà en vue.
«-Bon, j'imagine que je vous laisse faire Takeshi-san? Doit-ont vous attendre ici? -Non on t'accompagne glandu! Pas question que moi et ma maîtresse moisissions ici. Bon, on y vas?!» |
Sujet: Re: Un moment de faiblesse devant une personne exceptionnelle ; une singularité. | |
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