On a tant d'amour à faire, tant de bonheur à venir, autant de bénignité que l'humain a le devoir présentemment de s'en délecter plausiblement. Quelques ingénus citeront le doigt crédule pointé aux cieux que l'après guerre sombre baigne le biotope de l'Humanité mais foutaise que voici. Eplorant horizons, le crédule se doit de faire valoir son humanité, c'est une destiné de la pronée impunément comment lui faire gage de cette ignorance qui lui est propre. Une poignée d'être s'en acquitte mais la masse est insignifiante, factice et ne demeure qu'un idéal huileux et inconvenant. Quelques contraintes s'en dégage, être mûre, être stoïcien .. Que de jobardise hurleront d'une voix, d'une même unité mais là est la simple vérité. Nul homme n'est parole d'évangile mais voilà les quelques bribes de la pensée du vieil homme. Il pense sagement que l'après guerre et c'est méandres sont d'hors et déjà estompé par la novation de sa nomination au statut élitiste de Kage. Un élitisme zélé que l'homme ne perçoit que d'une vision cauteleuse, circonspecte, le pouvoir n'aspire que les viles sentiments de l'homme. Sous le tapis de velour règne le tas de poussière, sous les cendre le feu dort paisiblement dans un climat de candeur et même de cautèle. Le vieillard ne questionne que la raison et livre ses plus pures hostilités à la présemption de la vanité. Cet homme n'est certainement point un ignard utopiste ou quand bien même un ignorant vulgaire. Une ample connaissance, une culture où faille n'est pas commune, expérience aux grands abords s'il d'aventure il se devait d'aspirer à la nature d'ignorant, on lui octroirait le statut d'ignorant savant sans désinstence imaginable. [S'en référer à Kant] A tort ou à raison il est indéniable d'obscurir ses prouesses et ses quelques qualités de moralistes plausible et justifiable de son vivant. Un homme d'âge avancé il est clair mais louable son ses exploits de shinobis. Fondé est sa répuation, certain est son nom, grande est sa puissance, enviable est son statut. Qui l'eut cru, un homme de 78 ans au main de Kiri. Eprit de patriotisme, éprit de justice l'homme d'experience de front son âge grandissant signe un absout de défaut profil de dirigeant. Le chef à la tête d'un empire véritable, d'une annexion incomprise et d'une probante masse de talent, il devra régner en maître, s'imposer, se faire respecter. Vivre en homme d'histoire, exclure ses travers d'érudie égocentrique... Une vague de novation pour un habitué de la singularité. La pluralité se profile comme obstacle de béton sur son chemin mais la flamme de la prospérité en lui, dévoré par le feu ardent et prometteur de la pluralité l'homme aura les épaules larges du pouvoir. Un stratège, un homme d'état, un être humain nominé pour assurer les courbes dérisoires du paysage brumeux de sa nativité. Les muscles souples le corp du vieillard repose sur un fauteuil aux abords luxueux et ouaté. Sa main droite refermé sur un ouvrage épais et jaunit par les années, la gauche vagabonde au grès de sa barbe dénué de teinte. Il faut lorgner la beauté de l'âge pure, la sagesse conforte son regard sic il dégage cette aura de dirigeant fiable à qui l'on confit sa vie sans broncher. L'on devine ses lèvres tirés s'entrouverirent et laché un soupire qui vient de loin. Kirijin lognez votre Kage. Il est l'attout de la brume, le savalteur des âmes perdues, l'homme de la situation.
« Je suis Mizukage.
»