* Shoton Rokkaku Shuriken

Le temps, il file, il passe sans que forcément je m'en rende compte. J'étais un ignorant en ce sujet, j'avais toujours tendance à me dire on verra plus tard tu as tout ton temps mais j'avais bien tort. Comment je m'en étais rendu compte ? Parce que j'ai regardé autour de moi, j'ai ouvert les yeux un jour d'ennuit profond je réfléchissais sur le futur, sur ce qui m'attendais et j'ai compris dès cet instant que déjà je m'étais armé d'une solide expérience. J'ai repensé à tout mes exploits, tout mes combats... Tant de nostalgie en faite que j'avais préférer arrêter d'y penser. Trop de chose me manquais, Fujita Kodo, mon passé. Quand je n'étais encore qu'un juunin parmis tant d'autre et non le Bras-Droit de l'enfer.

De l'enfer, car je n'ai pas trouvé d'autre appelation. J'étais l'homme qui avait promit fidélité à un monstre de sang, de cruauté. Il tyrannisait sans gêne ses semblables, le peuple de Konoha qui n'avait pas eut le choix de leurs Hokage. Il s'était imposé avec toutes les conséquences que cela engrengeait malheureusement. Je n'en revenait pas d'avoir aider cet homme dans son devoir de tueur seugnenue. Quand je regarde en arrière 'jai honte de mon comportement mais le maître du clan avait jugé cela judicieux de rester à Konoha car selon lui l'on restait du coté de la feuille. Je ne sais pas trop quoi dire avec réfléxion sur ces événements.

J'avais fait à mainte reprise le bilan de cette période de ma vie ou j'avais touché la reconnaissance d'autant d'année de labeur pour enfin me dire que je n'avais que perdue mon temps. J'avais enchainé les missions bien entendu et cela m'offrais un savoir militaire incomparable mais je 'navais dévellopé aucune technique depuis ce temps et j'avais l'affreuse sensation de stagner dans ma capacité qu'était le shoton. L'art de maitriser le cristal, pas mal heiin ? J'en étais assez fière c'est bien vraie mais en même temps il faut bien avouer que ça à de la gueule.

J'avais décidé de remédier à cette impasse. Ne pas avoir développé de techniques depuis si longtemps était un drame ! Et je dois bien avouer que j'en avais grandement honte. J'avançais donc pensivement dans les rues du village, de nombreux regard croisant mon chemin j'étais devenut habitué. Parfois j'avais même la triste impression d'être craint. Je passais là-dessus en passant la main dans ma chevelure hébène. J'avais déjà songer plusieurs fois à de nouvelle technique et un jour l'idée de créer des shuriken de cristal m'avait parrut sympathisante. Arrivant face aux terrains d'entraînement j'avais trouvé ma technique.

* Shoton Rokkaku Shuriken

Passant le "seuil d'entrée " des terrains terreux et herbeux de Konoha. Je jettais un bref coup d'oeil aux alentours. Il y avait quelques enfants d'une dizainne d'années tout au plus je leurs adressais un signe de main en guise de bonjour en me dirigeant vers une lignée de mannequin de paille à l'autre extrêmité du terrain. Les mannequins en eux-même m'en rappelait des souvenir, des bons et des moins bons mais c'était toujours agréable de regardait en arrière surtout lorsque la période de sa vie observé était plaisante. Un sourire amusé aux lèvres je m'avançais à la hauteur de celui du centre. Il avait une tête sans yeux ni même bouche juste des pailles indisciplinés, conclusion sa tête me plaisais bien.

J'inspirais profondément avant de lever mes bras au ciel, penchant la tête evrs l'arrière et fermant les yeux j'étandais mes jambes. Je laissais retomber mes bras dans un bruit sourd puis sautillant pour rapprocher mes jmabes je remettais ma tête bien droite. Fixant le mannequin j'allais commencer par quelques frappe puis allait enchainer sur des jets de shuriken pour bosser ma précision. Serrant mes poings jouant sur mes deux jamabes je balançais vers l'avant mon poing droit dans un choc bref. Je réitérais ce mouvement mais en lançant vers l'avant mon poing gauche dans ce même bruit et peu à peu j'intensifiais mes coups. Au bout de quelques minutes j'alternais les poings et les jambes dans un rythme véloce avant de me stopper soudainnement.

Un shuriken de cristal ? L'idée était bonne mais la forme banale, je voulais la stylisée en me complicant la tâche. Un shuriken à six branche un peu comme flocon ... Cette idée me plaisais d'avantage. Dans un petit rire enthousiaste je reculais de dix mètres environ et sortait de ma sacoche deux shurikens. J'en prenais un dans chaque main et me disant inétrieurement que si je ne touchais pas le centre de la tête du mannequin je ferais dix pompes je me concentrais. C'était débile comme punission je savais pertinamment que je ne le ferais pas mais certain grands ninjas de Konoha avaient cette méthode. Bien sur je parlais de Gaï Maito et de Lee.

Je lançais à l'aveuglette mes deux kunais dans un mouvement circulaire et même sans grande concentration quand je reposais mon regard sur le manequin les deux shurikens étaient planté l'un à coté de l'autre parallélement dans le cnetre de la tête du mannequin. J'étais un ninja d'élite après tout dur pour moi de rater une cible non mouvante. Je marchais vers le manequin une fois à sa hauteur je reprenais l'un des shurikens et laisser le deuxième. Mon but était de viser exacteemnt la même place que le shuriken normal. Reprenant mon écart de base je joignais mes deux mains y laissant un creux entre les deux puis concentrais mon chakra dans mes mains. Je faisais le vide autour de moi et bientôt les rires des enfants n'étaient plus j'étais seul face à mon défi. Au bout de quelques minutes trois environ j'écartais mes mains pour voir un solide difforme y reposant. Ce n'était pas concluant, laissant tomber le morceaux à mes pieds je réitérais ma concentration. Je me visualisais la forme d'un flocon de neige encore et encore. J'avais répété trois fois cela sans réel résultat même si la forme approché le shuriken. Et c'est au bout de quelques minutes environ dix que le flocon fut crée. Il n'était pas bien épais et semblait fragil mais il était là. Le serrant entre mon pouce et mon index je l'observais satisfait puis le lançais plus précisément. Je ne m'étais pas loupé. Quelques entraînement et ma nouvelle etchnique sera au point pensais-je.