Le Monarque de Sang a l'apogée de la tourelle de la brume réside des plus feutré en ce jour d'averse, il ne trouve d'attrait dans oncque de ses célérités habituelles, les songeries idéalistes l'ennuit, les réfléxions sur l'essence du monde le rende désappointé, le vieil homme est d'humeur revêche. Il a tout pour être en un climat de joie, un poste qui lui confère une ascendance sur autrui, une famille aimante, deux filles qui ont réussis. Nombre de gens se sont cassé la tête à comprendre de peu ce buté homme. Jusqu'à nos jours singulière la personne fut, sa défunte femme. Il lâche un soupire profond peut être est là, la source de ses peines. Après tant d'année on aurait put boire l'utopie que le deuil est fait, qu'il ne reste que des souvenirs éteints sans flamme qui intempestives viennent réveiller des sentiments enfouis. Visiblement et sans appel l'on se fourvoit ce vieil homme n'a oncque laisser à l'abandon ses quelques vestiges d'une vie jouace à présente derrière lui. Sans mentir il y pense bien souvent, il ressasse un amour passé & des satisfactions bien bennette comme élever un enfant, consoler un enfant, aimer sa femme ... Des gestes banale du quotidien qui le pourchasse dans son présent puisque les appliqués sont devenus impossible. Et si dans un souffle de préjudice c'est une fausseté, alors ils sont du moins peu probable. Positioné de front la large fenêtre de son bureau l'ancêtre sa pipe de grande valeur en main laisse s'échapper d'entre ses lèvres un accariatre nuage de fumée grise qui vole au grès d'un courant d'aire. Il s'accoude sereinnement au bord de celle-ci et lorgne de pupilles enflammés par la nostalgie d'un jadis éteint la nation de Kiri. De la brume comme toujours pense-t il. La météologie ne change guère en généralité mais peu importe cela pour le vieux tous ses souvenirs les plus heureux sont accompagnés de cette brume. Elle est sa salvatrice mais aussi son pire cauchemar, lui souvenir de bon comme de mauvais souvenirs. La vie est ainsi faite n'est-ce pas. Le grand homme referme la fenêtre puis d'un pas au rythme tertiaire puisque jamais il se sépare sans Osamu son fidèle épieu. Il y adresse un regard élogieux puis tire son fauteuil vers lui pour mieux y déposer son fessier. Il prend un premier dossier, celui de l'examen Juuni nqui se déroule en 'linstant même. Il y repense rapidement et celà lui fit penser qu'il reçoit aujourd'hui un juunin pour une mission. Il prend sic sa plume un parchemin vierge et commence à y déposer quelques lettres pensif lorsque trois toquements retentissent. « Allez-y .» dit l'homme d'une voix sereine mais autoritaire.

Le vieil homme en son fort intérieur a accusé une ouïe décadante lorsque les toquements retentirent puisqu'il eut crut qu'ils provenaient de la fenêtre mais cette idée d'avoir prit de l'âge a bien rapidement prit ses jambes à son cou lorsqu'il a relevé la tête. L'homme en question fit une entrée très seugrenue, tout êtres avec un minimum de convenance utilise la porte pour entrée lui préfère la fenêtre c'est son choix mais cela irrite l'homme au plus au point. Il imagine que sa façade à dut être bien salopée. De prunelles lasses il l'observe faire une courbette de respect alors que l'on devine bien que l'homme n'en n'a que faire puisqu'il passe par la voie la plus mauvaise et la plus irrespectueuse. C'est une possible fausse interprétation du grand homme mais il y croit du moins. Aiji lui répond par un signe de tête léger puis trempe sa plume dans l'encrier avant de tracer quelques lettres avec diligences. Ombrage rouge, le vieux allie élégance et teinte ensanglantée par goût et quelques fachots y verrons un hommage à ce surnom : Le Monarque de sang. Pour Aiji cela est juste une affaire de bon goût et d'apparence sic de qualité, le rouge tient mieux que le bleu ou noir sur le long terme point final. L'homme pose sa plume sur le coté de la feuille de manière parallèle afin qu'aucune gouttelette ne vienne entachée cet ordre de mission puis observe le dénommé Tatsuya. Ses prunelles profondes et observatrice ne décèle rien de bien particulier ete sans le dire ou le parraître Aiji est fière de son choix. Shinsuke est un excellent juunin c'est vrai et même recommandé par le conseil, c'est pour dire mais Tatsuya n'a pas eu l'occasion de montrer ses véritables prouesses contrairement à Shinsuke qui a déjà participé à deux examen juunin dans le passé. Finalement choisir Tatsuya est un parti comme un autre. « Vous pouvez prendre place .» dit-il de sa voix usée mais forte. Il reprend la plume appose un rang à celle-ci, le rang A c'est une tâche importante qu'il confie là. Il l'enroule avec soin et l'entoure d'un mince ruban pourpre. « Salutation Tatsuya, la raison de mon appel est bien simple.» ajoute le Mizukage avant de prendre une pipe aux valeurs sans nombre entre ses doigts et d'y apposer ses lèvres dans une fumée grise. « Après mûre rélféxion deux choix de Juunin s'offraient à moi dans un passé proche pour cette mission de rang A. Shinsuke vivement recommandé par le conseil et quelques autres Juunins. Je 'nai put m'empêchai de remarquer que tu l'on ne t'as pas donné la possibilité de faire tes preuves pour dire grossièrement et je t'en donnes sic l'occasion.» Il lui tends le rouleau dans un nouveau nuage. « Bon courage jeune homme .»