Vincent Valentine

. DAIGOTSU ARAMARO. Surnom : Parents : Shoju père décédé, Kachiko mère décédée Age : 24 ans Village : Akatsuki ~ - ~  « Citation. » - I/: Informations d'ordre général. Date de naissance : 4 juillet Pays/Lieu de naissance : Takumi Signe astrologique : Cancer Qualités : Défauts :

II/: Descriptions du ninja.

Description physique (visage, corps, vêtements...) = 10 lignes minimum :
Aramaro est un homme d'assez grande taille et plutot mince.Une longue chevelure noir descendant assez bas dans le dos. Ses cheveux sont lisses et assez raides, et bien qu'ils ne ne soient pas particulièrement coiffés, ces derniers ne sont pas en bataille. Le tout encadre un visage assez fin, imberbe, et qui au premier abord ne dégage rien de méchant. Un air mystérieux semble tout de même émaner de sa personne
Il ne semble pas porter le moindre bandeau ninja. A la place habituelle de ce dernier Aramaro porte un entrelac de bandeau de cuir de couleur rouge, comme une sorte de pansement, qui fait le tour de son crâne.
Ses yeux ont une couleur des plus inhabituelles. En effet ceux-ci sont dorés, donnant l'impression parfois d'être enflammés.
Son nez assez peu marqué, est assez droit et de forme plutôt classique. Ses lèvres sont assez fines et bien dessinées. Quand à son menton il est assez carré comme chez la plupart des hommes et se démarque bien de la naissance du cou. On peut noter toutefois que le bas de son visage disparait quelque fois sous le haut de sa cape accentuant ce sôté mystérieux

Si l'occasion de le voir sans ses vêtements se présentait on ne pourrait que constater au premier abord que le corps d'Aramaro est couvert de cicatrices de tailles et de formes diverses. Ces dernières semblant toujours avoir été faites quelques heures auparavant. De plus Le corps de notre ninja semble parfois agité de remous bizarre comme si un gros ver se déplaçait sous la peau de ce dernier; Il s'agit là de la conséquence des techniques personnelles de ce dernier.

Sa première couche de vêtement est constitué d'une combinaison de cuir noir. Cette dernière possède de nombreuses sangles aux boucles argentées, et semble moulé son corps. Il porte aux pieds des bottes de cuir de même couleur que sa combinaison, également fermées par ces mêmes sortes de sangles.
Ses mains et ses avants bras sont soit recouverts par des longs gants en cuir de couleur noire, soit par des bandages classiques, qu'il doit changer régulièrement.
Sur le torse on peut voir une sorte de grosse cape en cuir rouge. Sur le devant du corps, elle forme come une sorte de manteau a col large et assez haut pour lui remonter jusque sur le bas du visage, ce qui cache parfois les expressions que peut former sa bouche.

Enfin, notre ami possède un kusarigama ( longue chaîne avec une boule a une extrémité, et un kama à l'autre bout). Ce dernier fait littéralement partie du corps de notre ninja. Quand il "sort" du corps , il est souvent recouvert de sang, et même quelque fois de petit bouts de viscère, mais sans que cela cause de réels dommages à notre ami. De plus quand il est dehors et que le kusarigama n'est pas utilisé pour une technique, ce dernier semble agité d'une vie propre, et se meut à la manière d'un serpent sans trop s'éloigner de notre ninja

Description psychologique (émotions, idéologie / nindô...) = 10 lignes minimum :
Tout d'abord, on peut peut dire d'Aramaro qu'il ne brille pas par ses talents en société, c'est à dire qu'il n'est pas très bavard.Il n'éprouve guère d'empathie pour les autres également.
Iln'aime pas se dévoiler
Notre ninja a d'abord été mû par un désir de vengeance profond. Mais cela a évolué vers une sorte de désir profond pour la justice, un désir qui paradoxalement n'a pas été perverti par les années ou presque. En effet après avoir accompli sa veangeance, il s'est cherché un but dans la vie et as fini par le trouver, faire régner la justice pure, nette, dure, et tranchante. Enfin sa vision de la justice.
Il n'accepte donc que les contrats sur des personnes notés dans le bingo book, ou alors il faut qu'on lui apporte la preuve que la personne à tuer est un criminel reconnu sinon il refuse de le faire. Par contre, il ne s'interdit pas les techniques d'interrogatoire les plus poussées pour faire avouer les coupables, ce qui fait que la plupart des personnes qui lui tombe sous lan main finissent au minimum dans un état pitoyable, ou mort s'ils avouent un crime

Pour le moment il reste dans l'akatsuki parce que seul il n'a aucune chance d'arriver à son objectif suprême de justice. On pourrait dire qu'il est relativment proche d'un autre membre de l'akatsuki du nom de hidan. En effet tout comme lui Aramaro est obsédé par la tenue de son objectif, a l'exclusion même des directives de l'organisation.

Notre ninja entretient une relation symbiotique avec son arme à plus d'un titre, tout d'abord au niveau physiologique, mais le plus important est que ce dernier est persuadé que son arme est intelligente, et surtout qu'elle est habitée par les esprits de sa famille, il lui arrive donc très souvent de faire sortir son arme et de discuter avec elle pendant de long moments, quelque soit les circonstances extérieures ( combat ou interrogatoire par exemple).
Aramaro est persuadé également que cette dernière lui répond. Ce qui donne lieu a des monologues assez longs et poussés; Interrompre un de ces monologues est une des meilleures façons de voir sa vie se raccourcir, car ça a la faculté étrange d'énerver notre ninja.

Malgré tout ce qu'on vient de voir notre ami est quelqu'un de relativement honorable. Il ne tue jamais de femme de sang-froid ( il faudra donc que ces dernières s'abaissent à l'attaquer en premier), sauf en cas de provocation. Dans ce cas là, il considèrera au même niveau que les hommes. Les enfants sont toujours des innocents à ses yeux, donc il ne cherchera pas à leur du mal volontairement. Les genins sont un cas particulier à ses yeux, il se contente généralement de les mettre hors d'état de nuire sans les tuer, estimant qu'ils n'ont pas le choix de leurs actes. Enfin ça c'est si le genin en question n'est pas encore un adulte.

Il n'entretient guère de relations amoureuses. En effet, lorsque vient le moment de conclure, l'excitation fait sortir la chaine, et comme elle est de nature jalouse c'est en tout cas l'opinion d'aramaro, la dite demoiselle finit souvent en plusieurs morceaux ce qui n'est guère pratique pour nouer des relations intimes.

Comme expliqué plus haut la chaîne n'est ni vivante, ni habité par quoi que ce soit d'extérieur à notre ninja. En effet cette dernière est tout simplement une sorte de réceptacle pour la personnalité dominante de notre ninja, car comme vous l'avez deviné ce dernier souffre d'une forme de schizophrénie, dû aux évènements traumatissants qui ont bercé sa prime jeunesse.

III/: Histoire du Ninja.

Passé du ninja :
Chapitre1 : de l'enfance au drame

Toute histoire commence par un début, et la mienne ne fait pas exception.
Je suis né il y a déjà pas mal de temps au sein de Takumi le village des artisans qui n'existe plus désormais.
Comme tout le monde, j'avais une famille, en l’occurrence un père, une mère, et deux sœurs. Dans notre famille on était tous forgeron, dans notre village c'était la norme puisque nous fournissions alors tout les village ninja du monde entier;
Je commençais donc ma vie de jeune garçon en apprenant le métier auprès de mon père et de ma mère qui étaient des artisans très courtisés parmi les habitants de notre village. Nous avions donc beaucoup de travail, et nous étions pas assez de cinq pour tout faire, nous
avions également des apprentis Jour après jour le travail s’enchainait, mais il n'était jamais vraiment monotone; Toujours est-il qu'un jour mon père vint me voir pour me parler d'un projet qu'il avait en tête;

Afin d'améliorer la qualité de son travail, et de répondre de meilleure façon aux attentes des clients de notre famille, mon père avait décidé qu'il serait bon que je suive une formation de ninja. J'acceptais naturellement. Aider la famille était quelque chose de normal pour les enfants du monde et je n'échappais pas à cette règle. Je partis donc suivre une formation qui ferait de moi un ninja accompli, enfin je le croyais. Par chance, un petit village village ninja se situait pas très loin de là où nous habitions; Il s'agissait du village caché des vallées. Je partais le cœur plein d'entrain, et surtout j'étais rempli de curiosité.

Mais mon entrain et ma curiosité furent bien vite désenchanté. Les autorités m’accueillirent avec respect, mais également en m'expliquant clairement que je serais particulièrement surveillé, et qu'en plus il me serait interdit d'apprendre certains jutsus. Des techniques secrètes qu'ils appelaient ça; A l'époque mon seul désir était de faire ce que mon père voulait que je fasse, rien d'autre. J'acceptais toutes les règles que l'on m'imposait avec tout le self-control qui était le mien.

Le plus dur ne venait pas des professeurs, mais des autres élèves de mon âge. On me traita de bien des noms que je préfère oublier? Il y eu aussi des brimades plus physiques, des sortes de bizutages très violent, auquel je répondais avec plus ou moins d’efficacité. Le temps passa, j'assimilais les techniques avec ni plus ni moins de facilité que les autres étudiants de l'académie, ce qui avait la fâcheuse conséquence de les mettre en rogne. Mais leurs colères et leurs conséquences ne faisaient qu'accroître mes compétences de combattant. Je développais un certain talent pour le maniement des armes. Enfin j'étais plus doué dans ce domaine que mes camarades de promotion.

Toujours est-il que ma vie prit vite une tournure routinière, malgré les tentatives récurrentes de mes camarades de me piéger de diverses manières. Ils finirent par abandonner quand ils s'aperçurent que je prenais trop régulièrement le dessus à leur goût. Je passais plusieurs années à assimiler ces fameuses techniques et leurs principes de fonctionnement. J’informais régulièrement mon père sur ce que je faisais, en omettant bien sûr les brimades que je subissais, cela l'aurait inquiété pour pas grand chose.

Finalement je fus accepté dans le village, et je commençais à m'y sentir bien, à défaut de m'y sentir comme chez moi. Et puis un jour, on nous annonça que nous allions passer un examen pour valider nos études à l'académie, ça nous donnait le titre de genin; j'étais content une fois cet examen accompli, je pourrais rentré chez moi, en ayant accompli les objectifs fixés par mon père.

Cet examen ne fut pas facile du tout en fait. J'ai même failli le rater en fait. Mais finalement je fus parmi les reçus, je ne brillais pas en haut du tableau cependant, mais cela m'importait peu les objectifs familiaux avaient été atteint; Après la cérémonie de clôture du dit examen à laquelle ma famille assista, nous rentrâmes tous chez nous à Takumi. Mon père était très excité car il avait reçu une commande spéciale, mais refusa d'en parler plus avant que nous ayons fêté dignement ma réussite.

Nous avons fait la fête tous ensemble, mon père avait même fait venir mes oncles, mes tantes ainsi que mes cousins. Une occasion comme celle-là ne représenterait sans doute pas avant des années, avait dit mon père. Au milieu de la nuit, nous fûmes attaqués par une bande d'assaillants d'origine inconnue. A ce moment la seule que je savais, c'est que comme moi c'étaient des ninjas.
Cette nuit là fut la nuit du cauchemar le plus horrible de ma vie. En effet les assaillants massacrèrent un par un les membres de ma famille. Je tentais de défendre ma vie avec ce que j'avais appris, mais j'étais alors bien trop peu expérimenté dans le domaine du combat pour faire quoique soit de réellement efficace cette nuit là. C'est ainsi que nos ennemis me laissèrent pour mort à l'intérieur de notre demeure.

Leur ignominie ne s'arrêta pas là cependant. Ils mirent le feu au bâtiment, acharné à ce que toute trace de notre famille disparaisse jusqu'au dernier morceau de cadavre des gens de ma famille. Heureusement, je réussi tant bien que mal à me hisser hors de ma maison avant que les flammes de cette dernière ne m'atteignent de manière irréparable.

Chapitre 2 : la vengeance est un devoir sacré, à l’exclusion de tout autre.

Je me réveillais plus d'une semaine plus tard, à l'intérieur d'une maison d'un voisin de notre famille. Ce dernier avait eu la gentillesse de me recueillir et de me soigner. C'est lui aussi qui se chargea de me dire que j'étais le seul survivant de ma famille. A la tristesse du deuil de mon entière famille s'ajouta alors un irrépressible désir de vengeance. Il fallait que les coupables payent pour leur crime. J'allais demander réparation au chef du village. Je savais que le village était riche, vu qu'on recevait des commandes de tout les villages ninjas du monde. Mais le chef du village avança des raisons politiques de neutralité, et ne put accéder à ma requête, ou ne voulut pas accéder à ma requête.

Je répondis alors que puisqu'il en était ainsi, je me débrouillerais seul, mais que malgré tout je vengerais les meurtriers de ma famille. Je me promis aussi à l'époque que je reviendrais au moins pour m'occuper d'un chef aussi lâche. Mais revenons à nos moutons. Je quittais la maison du chef totalement furieux de ce qui venait de se passer, et j'allais chez moi pour découvrir que la maison avait presque entièrement brûler. Heureusement pour moi les bâtiments de la forge étant en pierre, l'essentiel de cette dernière avait survécu. Je savais que mon père gardait dans la cave, un série de livre contenant diverses recettes spéciales pour fabriquer des armes qui l'étaient tout autant. La cave aussi avait survécu.

Après avoir parcouru quelques ouvrages, je tombais sur un livre dont l'écriture semblait remonter à avant la fondation du premier village ninja. Il contenait la recette pour fabriquer un alliage exceptionnel. Les ingrédients furent assez compliqué à réunir, je mis plus d'un an à accomplir cette tâche, je profitais des temps entre chaque récupération pour m’entrainer à affûter mes talents de combattant. Le dernier ingrédient je l'avais sous la main. En effet pour parfaire l'alliage, il fallait du sang du forgeron, des os et de la chair humaine également. Je récupérais les deux derniers éléments sur les cadavres enterrés de ma famille. Leurs âmes ayant rejoint un monde meilleur depuis longtemps. Dans les décombres de la demeure je trouvais un bandeau frontal comme en portaient les ninjas du village caché des vallées, mais le symbole était différent. Ne reconnaissant pas immédiatement le symbole, je le rangeais dans une des mes poches.

Je pus alors m'attaque à la création de mon alliage spécial. Une fois ce dernier au point, je me laissais guider par mon seul instinct, et à l'aide de l'alliage je fabriquais un kusarigama. Mais une chose d’extraordinaire se produisit alors que je finissais de forger mon arme. En effet la chaîne put parce qu'il semblait une volonté propre, se fraya un chemin a travers ma chair, et se fixa à l'intérieur de mon corps.. je fus terrassé par la douleur, mais je survécu tout de même. Je finis tout de même par m’évanouir, au milieu des ruines de la maison familiale. A mon réveil, je fus surpris de ne pas saigner, je cru même avoir rêvé, mais une voie résonna à l'intérieur de ma tête, me disant qu'il était temps d'accomplir ma vengeance.Je me demandais d'où pouvait provenir, quand je ressentis une douleur assez fulgurante, l'instant d'après, mon Kusarigama était sorti et serpentait autour de moi. Je compris alors que ma chaîne était habité par les esprits de ma famille qui réclamait vengeance ( cf description psychologique )

Cette voie intérieure m'indiqua qu'il fallait que je commence par punir la lâcheté du chef du village. Je me rendis donc à la demeure de ce dernier. L'enseignement que j'avais reçu au village caché des vallées avait porté ses frutis, puisque j'arrivais jusque dans la chambre de ce dernier sans avoir réveiller les gardes qui étaient censés veiller sur sa sécurité. Je réveillais alors cet immonde personnage qui avait refusé de m'aider à obtenir justice. La vengeance pour moi était la même chose que la justice.

Ma chaine sortit d'elle même de mon corps commençant à serpenter autour de moi et du chef du village. Après un discours enflammé, je m'apprêtais à le tuer, quand les "esprits de ma famille" s'adressèrent à moi, en m'indiquant que l'immonde personnage pouvait sans doute me renseigner sur l'origine du bandeau. Je lui dit alors que si il me renseignait sur l'origine du bandeau, je le laisserais en vie.

Cet immonde porc s’exécuta avec empressement, m'indiquant que ce bandeau appartenait au village d'Iwa. Je le fixait intensément et lui dit alors que comme il m'avait donné ce renseignement, il vivrait, mais je rapportais également que la justice voulait son dû pour son acte de lâcheté. Je lui arrachais son bras droit à l'aide de mon kusarigama. Mais je pris soin de cautériser la plaie avec les tisonniers de la cheminée chauffé à blanc, afin qu'il se souvienne durant le reste de sa vie que la justice finit toujours par trouver son chemin, tout comme ma chaîne d'ailleurs;

maintenant il ne me restait plus qu'à quitter le village avant que tout le monde se réveille et me coure après. Je pris le temps tout de même, de poser devant la porte du voisin, tout ce que j'avais pu récupérer de monnayable dans les ruines de l'habitation qui avait été un jour, celle de ma famille et de moi-même. Je pris donc la direction de la ville la plus proche, pour me faire indiquer la direction du pays ou se trouvait Iwa le village caché d'où venaient les assassins de ma famille.
Le renseignement au sujet du pays fut facile à obtenir, après tout. Je pris donc la direction que l'on m'avait indiqué. Je mis quelques semaines à atteindre le pays. Je m'arrêtais de temps en temps dans les villages pour aider les gens dans leur travail contre quelques pièces, qui me permettait de financer les étapes suivantes de notre voyage. Oui je dis bien notre, car ma chaîne et moi nous voyageons toujours ensemble.

Je finis un jour par rentrer dans le pays de la terre. N'ayant aucune idée de l’identité véritable des assassins, je me décidais tout d'abord par essayer de localiser le village caché, puis j'essayais d'avoir un plan, je ne pouvais pas me mettre à massacrer tout un village caché, même si j'en suis persuadé, ils avaient tous quelque chose à rendre devant la justice. Et puis il me fallait un plan pour passer les portes du village, en espérant que mes assassins ne figuraient parmi les gardes du village.

Tout comme précédemment je profitais de chaque occasion, chaque moment de calme pour m’entrainer, affûter mes talents de combattants. C'est d'ailleurs durant cette période que je m'aperçus que j'étais désormais incapable d'effectuer le moindre clonage. Ma chaîne m'expliqua alors que les techniques de clonage, c'était bon pour les faibles qui ne croyaient pas en la vraix justice. Et puis elle aouta que comme elle était là, je n'avais pas besoin de l'aide de qui que soit, ce qui était vrai, et qu'il est encore aujourd'hui dans la majorité des situations.

Je mis près de quatre mois à localiser le village caché d'Iwa. Mais ce temps fut bénéfique pour moi à plus d'un titre. En effet j'acquis une certaine réputation auprès des villageois des environs, et je pus finalement me joindre à une caravanne marchande qui se rendait au village caché.Nous fûmes bien entendu fouillé à l'entrée du village, mais naturellement les gardes ne trouvèrent rien sur moi. L'ambiance à l'intérieur du village ne ressemblait à rien de ce que j'avais connu. Tout était plus grands, et les gens avaient l'air plus sérieux, enfin je trouvais, ma chaîne restait calme, ce qui était une bonne chose, je ne tenais pas vraiment à me faire remarquer. Je me promenais un petit moment dans les rues du village, en jetant un coup d’œil dans différentes échoppes, comme si j’errais un paysan du coin. Cette technique semblait marcher au poil, du moins je le croyais.

Je me décidais enfin à aller demander une audience auprès du chef de ce village, qui portait le titre de TsuchiKage, afin d'obtenir les renseignements que je recherchais. Donc je me dirigeais vers ce qui me semblait la plus belle demeure du coin, et jugeant qu'il était imprudent de pénétrer dans ce lieu par disons des moyens détournés, je me présentais aux gardes présent devant le bâtiment.

Je leur fit part de ma volonté à voir le Tsuchikage, ils rirent une première fois. J'exposais mes griefs, ils rirent une deuxième fois. Ils s’apprêtèrent à rirent une troisième fois, lorsque ma chaine s'adressa à moi en disant qu'on ne pouvait impunément se moquer de la justice. Réagissant par instinct, je la laissais sortir de mon corps, et je commençais à me battre avec les gardes la maison. Ce fut là un grand déchainement de fureur et de violence. Je n'en avais jamais déclenché de tel auparavant. Tenir les deux gardes ne fut pas une mince affaire. Mais il reçurent très vite du renfort. Ma chaîne et moi, on était devennu très fort, plus que je ne le pensais. Mais cependant plus les renforts arrivaient, plus nos chances de survie diminuaient. Mais pour nous deux peu importait, tout ces gens était un frein à la vraie justice que nous voulions administrer ma chaine et moi.

Au bout d'un moment, je ne sais pas depuis combien de temps durait cet affrontement, je perdis connaissance. Je me réveillais quelques jours plus tard dans une chambre d'hôpital, attaché à un lit. Ma chaîne me fit remarquer que j'avais passer beaucoup de temps dans le coltard. Il y avait un espèce de petit vieux à côté de mon lit, et il était de mauvaise humeur. Enfin en tout cas il faisait la gueule.

Il fit tout de même preuve de politesse et se présenta comme le TsuchiKage. Je lui rendais la pareille. Il me demanda alors pourquoi j'avais mis une pareille pagaille devant sa demeure. Je pris donc un grand soin à lui expliquer le pourquoi du comment. Ma chaine qui serpentait à côté de moi, car elle n'avait pas confiance en qui que ce soit ici, ne semblait pas l’impressionner.
Cette dernière me rappela à l'ordre chaque fois que j'oubliais le moindre détail.

Au bout d'un temps qui me parut une éternité, j'avais finit mon explication. Le TsuchiKage resta un petit moment sans prononcer un mot. Puis il se décida à me parler. Il m'indiqua qu'il connaissait déjà les assassins de ma famille, mais que malheureusement il ne pouvait pas me dire où je pourrais les trouver, car il les avait banni depuis un moment déjà, pour un autre crime, obéissant en cela aux lois qui régissait ce village.

Cela me plongea dans un état de frustration immense, ma chaine réclamait du sang, mais je réussi à la contrôler ce jour-là. Cependant, il me laissa un parchemin avec la description des assassins. Et surtout il me déclara que je repartirais libre car je lui avait prouvé que son système de sécurité n'était pas infaillible, mais sous bon escorte, afin de s'assurer que je ne commettrais pas d'autres esclandre. C'est comme ça que je partis de ce village, vers lequel je ne suis plus retourner depuis.

Munis de ces maigres renseignements, je me remis en chasse. Mais cette chasse coûtait cher, donc je dus travailler pendant ce temps. Je me fis donc mercenaire pour ainsi dire, ou plutôt chasseur de primes. Ce travail me permettait d'accumuler les richesses nécessaire à l'accomplissement de mon objectif, et je pouvais aussi faire régner la justice en arrêtant des criminels. Sauf que j'eus la surprise un jour de me retrouver sur une de ces fameuses affiches. En effet mes méthodes pour faire régner la justice n'étaient pas appréciés de tous, en particulier des notables des régions que je traversais.

Je me retrouvais à mon tour chassé par d'autres chasseurs, mais jusqu'à présent aucun d'entre eux n'a réussi à me montrer que son sens de la justice était valable puisqu'ils sont tous morts plus ou moins vite.L'avantage c'était que cela me permettait d'affiner encore une fois mes techniques de combattant, j'avais mis au point des techniques spéciales avec ma chaine, une arme d'un type que je voyais rarement parmi les mains de mes ennemis.

Puis un jour après plus de deux ans de recherches, je finis par retrouver leurs traces. Non content d'avoir assassiné ma famille, ils s’étaient posé dans un village et y faisait régner la dictature. Je ne voulais pas risquer de mourir avoir d'avoir accompli mon devoir, aussi je me postais à l'extérieur du village, pour attendre une occasion où je pourrais en attraper un. Une occasion se présenta au bout d'une semaine. Un des assassins sortit du village en compagnie d'une femme qui ne semblait pas désireuse de l'accompagner. Je dus malheureusement attendre qu'il commence à faire ses affaires pour intervenir.

Ma chaine ne se fit pas désiré pour sortir. Nous avons alors lancer une attaque afin de l'enchainer, et nous l’entrainâmes au plus profond de la forêt qui bordait le village, sans nous montrer moi et ma chaine à la jeune femme, cela aurait été trop dangereux pour elle.

Une fois arrivé dans un lieu que je jugeais propice, je fis un feu dans lequel je mis à chauffer plusieurs tisonniers. J'avais également une grosse pince, ainsi qu'une grosse paire de cisaille. Je finis en réveillant mon invité gentillement, en lui mettant quelques claques. Il reprit conscience attaché par les pieds à une grosse branche. Attaché par mon compagnon le Kusarigama.

J'entrepris de l'interroger longuement en commençant par la plus importante. Pourquoi ma famille était morte. La réponse qu'il me donna était tellement évidente qu'elle me choqua. En effet, mon père avait conçu une arme spéciale pour le chef des assassins, un peu comme la mienne en fait. Ce dernier désirant en être le seul possesseur, il tua toute ma famille pour qu'une telle chose ne puisse se reproduire. Il m'indiqua aussi gentillement qu'ils étaient douze, plus leur chef.

Je suis resté perdu dans mes pensées pendant un moment, et durant tout ce temps, mon prisonnier implora ma pitié. Ma pitié, lui n'en avait pas fait preuve envers ma famille. Il mit longtemps à mourir. Tout d'abord il reçut une punition pour avoir tenté de violer la pauvre villageoise. Je lui prélevais ses organes génitaux à l'aide de ma pince, ce qui lui arracha un tel hurlement, que la justice commençait à être satisfaite. Mais ne désirant pas qu'il meure de suite, je cautérisais la plaie à l'aide d'un des tisonnier qui chauffait déjà depuis un moment dans le feu. Il s'évanouït sous le coup de la douleur, mais se réveilla tout aussi vite quand je me suis occuppé de sa langue avec la grosse pince.Il hurla des trucs, mais avec sa langue en moins c'était incompréhensible, et puis y avait du sang qui sortait en quantité de sa bouche.

Je pense qu'il est mort d'un choc cardiaque au moment ou je lui arrachais la jambe droite gràce à ma chaîne. Cependant je finis de séparer chacun des membres du corps du ninja et je finissais en décapitant le cadavre. Je pris alors tout les morceaux éparpillés que je réunis dans plusieurs sacs. Ensuite, utilisant mes plus grands talents de discrétion je me rendais jusqu'à la place centrale du village où j'abandonnais les restes à la vue de tous, avec un petit mot écrit avec le sang de la personne : "La justice finit toujours par rattraper les criminels".
Puis je repartis dans la fôret.

J'attrapais les onze suivant de la même manière ou presque. Je prenais de plus en plus d'assurance au fur et à mesure que la justice s'abbatait sur eux. Je me montrais imaginatif également afin d'instiller de plus en plus de peur dans le coeur du chef. Il put voir ainsi un de ses hommes pendu par ses tripes à l'entrée du village. Un autre encore se retouva avec mon petit mot gravé au fer rouge sur le torse. Je trouvais que cela devennait presque artisrique, en tout cas ma chaine et moi, étions très satisfait de la tournure de la situation.

Les trois derniers, je n'eus pas le plaisir de les tuer, car la population du village administra la justice comme je l'aime. Il était donc temps de me charger du chef des nunekenins. Il s'était retranché dans la maison centrale du village avec des otages. Mais sa lacheté ne m'arrêta pas, bien au contraire elle ne fit que m'enrager encore plus. Je rentrais dans la maison en faisant voler les portes en éclat, grâce à mon compagnon le kusarigama. L'otage était entre moi et le contrevennant à la vraie justice. Je pris donc quelues blessures pour pouvoir sauver l'innocent, et je pus enfin m'occuper du chef des assassins de notre famille à moi et au Kusarigama.

Le combat fut épique. L'ardeur dont fit preuve le chef des nunekenins n'avait rien à voir avec ses hommes. Il faisait preuve d'une grande technicité, et une puissance que je n'avais que peu rencontrer jusqu'à présent. Le combat dura longtemps, je pris un nombre impressionant de blessures. La maison ne survécut d'ailleurs pas à notre combat.. Mais nul ne peut se soustraire à la vraie justice. Je finis donc pas prendre le dessus, mais je ne le tuais pas immédiatement, il devait mourir comme mes parents, et le reste de ma famille était morte.

Afin de m'assurer qu'il ne pourrait pas s'enfuir à l'aide d'une technique ninja, le luis brisais les doigts un par un. Je cassais ensuite les os de ses bras et de ses jambes et pour être sur de mon coup, je l'attachais également à l'aide d'une corde bien solide. Je le plaçais ensuite au centre de la maison, pour qu'il est bien le temps de voir la justice s'abattre de son aile vengeresse sur sa personne. Je mis ensuite le feu à la maison et je la regardais brûler jusqu'à ce que le feu s'éteigne faute de combustible. Les villageois assistèrent à ce spectacle, totalement incrédules, mais quelque part soulagé que je les ai débarrassé de ces bandits.

Je repartis le lendemain, n'ayant plus rien à faire ici. Puis j'errais quelque temps sans véritable but à atteindre jusqu'au jour où je reçus une lettre étrange. Une organisation nommé Akatsuki désirait amené la vraie justice sur l'ensemble du monde entier. Cette organisation avait entendu parler de moi, et désirait requérir mon aide pour accomplir cette noble tâche. Je partis donc à leur recherche, avec la ferme intention de les rejoindre.

Connaissez-vous l'actualité politique du village que vous souhaitez intégrer ? (Faites un petit résumé de cela.) = 15 lignes minimum :

IV/: Qui suis-je ? (IRL.) [Facultatif.]

Prénom :

Nom :

Ce que vous aimez, ce que nous n'aimez pas :

Comment avez-vous connu ce forum :

Codes qui prouvent que vous avez lu les règlements : Validés par Juka.

Questionnaire :
- Que sont les points NNr', et à quoi servent-ils ? Ces points sont les récompenses obtenus lors des rps et ils servent a acheter des techniques, à monter de rang et de niveau
- Comment acquérir une technique ? Il faut payer le coût en points Nnr' et faire un rp d'entrainnement, et ne pas oublier d'en faire la demande sur ta fiche technique
- Que sont les Carnets de Bord et les Fiches techniques ?

ce sont deux outils facilitant la vie du joueur, lui permettant de centraliser ses demandes de points Nnr' et la validation de ses techniques.

Remarque :

J'aime le glauque, cette histoire me plaît, les description sont un peu courtes mais restent correcte.

Je suis pour un rang B level 19 Second avis

Test rp : " Akatsuki ? Qu'elles sont tes motivations, tes espérances, ce que tu en penses, ce que tu en attend ect ? "

up

Bonjour/Bonsoir.

|- Plus de deux semaines. Direction corbeille.

Hunk.

[Note hors jeu : désolé pour le temps que ça a prit mais avec pupuce on a eu de gros soucis IRL, j'avais prévenu Satoshi que je postais le test hier soir ou aujourd'hui. De plus pour ceux qui liraient mon test sans avoir lu ma fiche de présentation, sachez que ma chaine n'est ni vivante ni habité par une volonté propre. Elle est simplement le réceptacle de m folie.]



Assis Chez un vendeur de nouilles anonyme, dans un village qui l'était tout autant, je regardais encore une fois cette lettre qui était fort étonnante. Les gens qui m'avaient trans mis ce message savaient énormément de choses sur moi. Des choses que peu de gens dans le monde savaient en dehors de ma personne. Je levais les yeux de ma lettre quelques instants pour jeter un coup d’œil autour de moi.
Je n'étais pas particulièrement parano à ce moment là, mais au vu de mes dernières actions pour faire régner la justice, j'avais dû me faire un nombre d'ennemis assez important. Après tout, les assassins de ma famille avaient sans doute une famille aussi. Et peut être que les chasseurs de déserteurs d'Iwa étaient frustré ou jaloux que j'ai fait leur boulot, à leur place.

Les gens autour de moi ne faisaient attention à ce qui pouvait se passer autour d'eux. C'était la fin de semaine, y avait jour de marché, les rues étaient pleine de gens qui flânaient devant les étals, et évidemment plein de marchands qui vantaient les mérites de leurs marchandises. De plus le temps était du côté des marchands. Pas un nuage à l'horizon, et juste assez de vent pour pousser les éventuels récalcitrants parmi les nuages. Bref de côté là tout était parfait pour moi.

En effet le fait qu'il y ait beaucoup de gens m'apportait un avantage certain, il serait difficile à d'éventuels poursuivant de me repérer parmi tout de monde. Au loin, on pouvait voir un château en reconstruction après que les trois ninjas légendaires y avaient fait un combat qui fut parait-il épique. Mais bon cela s'était passé il y a quelques temps déjà. Voyant que je ne craignais rien pour le moment je me replongeais dans ma lettre, espérant que mon amie n'aurait pas de réaction trop violente en lisant cette dernière avec moi. En effet ma chaine pouvait se montrer quelque peu extrémiste dans ses opinions. Et là pour le coup ça aurait été le début des ennuis pour moi. Heureusement, elle était en train de dormir, ce qui m'arrangeait. Donc revenons a cette lettre.

Cette dernière n'était pas d'une longueur extrême, ce qui n'était pas une mauvaise chose, car je n'aimais pas lire. Mais le sujet était très intéressant. En effet l'Akatsuki, organisation qui s'était fais connaître lors de la dernière grande guerre, avait l'immense honneur de me faire part d'une invitation à rejoindre leurs rangs. J'avais déjà entendu parler de cette organisation, surtout pendant la dernière grande guerre Ninja. Ses objectifs m'avait paru assez éloigné des miens, mais les informations que j'avais eu n'étaient que de seconde ou troisième main, autant dire pourries et fausses en majorité. Ce que je savais c'est que cette organisation avait fait disparaitre de grands criminels. Ce qui pour moi était un point positifs, même si tout leurs membres connus étaient des criminels dont les noms étaient dans tout les bingo books des villages ninjas.

De mon point de vue, ils étaient des gens qui restaient semblable à moi, pour ce que j'en savais.
A ce fait, se rajoutait le suivant qui me concernait encore plus directement. En effet la guerre étant finie, les affaire courantes allaient reprendre. Et sans doute que nombre de fous présomptueux se lanceraient à ma poursuite. Avoir quelques alliés pourraient se révéler utile pour ma survie, et pour remplir mon objectif.;

J'étais très pensif, et mon esprit agité finit par réveiller celui de ma chaine. Quand elle était réveillée, je ne pouvais pas lui cacher quoique ce soit. Elle apprit donc ce que j'étais entrain de faire. Cette dernière commenta bien sûr, en commençant par le fait que je ne l'avais pas réveiller pour qu'on puisse réfléchir ensemble à la situation. Je n'opposais aucun argument à son discours, sachant pertinemment qu'elle finirait toute façon par avoir raison.

Comme je me savais en tort sur ce point, je fis preuve d'une extrême politesse dans la suite, et je lui demandais donc ce qu'elle pensait de cette lettre que l'on m'avait envoyé, et ce qu'elle pensait de ma décision. Car si jamais nous n'étions pas d'accord, il me faudrait sortir de la ville, afin de nous mettre au point. Nos mises aux points étaient toujours visuelles, et comme je l'avais dit précédemment, je ne tenais pas vraiment à me faire remarquer ici et maintenant.

Heureusement pour moi et dans une moindre mesure les habitants de la ville, ma chaine resta calme. Elle se mit à me parler. Tout d'abord elle dit que mon raisonnement était juste et bien pensé. C'était une bonne chose ça. Ensuite elle continua en ajoutant qu'elle était bien d'accord avec moi. C'était encore mieux que ce que j'avais prévu au départ. Enfin elle finit par conclure que de toute façon, il n'y avait que deux solutions possible. Soit cette organisation l'Akatsuki, et nous arrivions à faire coller nôtre principal objectif qui consistait à faire régner la vraie justice. Soit cette organisation se révélait décevante et il faudrait alors administrer la véritable justice aveugle.

Je savais ce que ma chaîne entendait par là. C'était un bain de sang qui satisferait ma chaine dans ce cas là, et donc forcément la mort des membres de cette organisation. Mais j'étais confiant. Ces gens là devaient connaître ma...pardon notre réputation de véritables justiciers du monde ninja, ils ne nous auraient pas contacté sinon. Après tout il existait nombre de criminels de par le monde qui ne faisaient partie de l'Akatsuki. De plus, ces gens là pourraient nous apporter la puissance qu'il nous manquait pour l'accomplissement de notre objectif final.

Ma chaine approuva de nouveau, ce qui me ravit, et qui aurait ravi les gens autour de moi si ils avaient été au courant de l'identité de la personne qui était pas très loin d'eux. Vu que nous étions d'accord, je n'avais plus qu'à me mettre en route pour le lieu du rendez vous. Mais ma chaine me rappela à l'ordre. En effet dans cette ville, vivait un marchand qui s'était permis des choses horribles avec des filles qui étaient trop jeunes pour ça, vraiment trop jeunes.

Nous sommes donc allés le voir chez lui, et lui tombâmes dessus alors qu'il s'apprêtait à attenter une nouvelle jeune fille, je laissais ma chaine sortir, et après avoir mis ses gardes hors services sans trop les abîmer. C'est à dire que je les laissais vivre, j'étais dans un bon jour. Je mis la jeune fille en sûreté. Et ensuite je laissais la véritable justice se déchainer. Contre le marchand. Il mit plusieurs à mourir ce qui lui permit de voir et de constater que nul ne pouvait se soustraire à sa colère, à notre colère.

Après avoir opéré, une ablation de sa langue et de ses parties génitales, je laissais le cadavre du marchand en pleine rue, afin que tous s’aperçoivent que la justice finit toujours par rattraper les criminels où qu'ils soient et quels qui soient. Je quittais ensuite la ville assez rapidement avant que les gens ne puissent se douter de ma présence.

Une fois sortit de la ville il ne me restait plus qu'à me rendre au rendez-vous fixé par l’organisation Akatsuki, afin que je sois intronisé auprès de mes nouveaux partenaires dans ma quête pour administrer la sainte et véritable justice que méritait ce monde.

Bonjour/Bonsoir.

|- Pour moi, cela est un petit oui. Mais un oui quand même. Par contre, par A/20. Mais A/19/18. A cause du petit oui.
|- Que d'autres personnes de l'Equipe Administrative viennent fournir leur avis, s'ils-vous-plait.

Hunk.

Euh Hunk A 18 n'existe plus le A 20 est le minimal du rang A prenant cela en compte à la limite rang B level 19.

Bonjour/Bonsoir.

|- Ah bon ? 'Encore du mal, moi. Excusez-moi. Alors oui, rang B/19/18. Pas A/19/18.

Hunk.

Rang B 19

Bonjour/Bonsoir.

|- Je valide. Et déplace.

Hunk.

Bonjour/Bonsoir.

|- Direction corbeille.

Izo. - Hunk. -