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Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : |B/ 14| | Points Naruto Ninja RPG | : (569/2000) | Âge du personnage | : 22 ans
Sujet: Shigure no Suzaku Dim 2 Sep 2012 - 10:31
Shigure no Suzaku
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Je déposais tranquillement mes affaires dans ma modeste cavité, partagé avec Ryukâ, un des jeunes chacal de la meute. Son pelage était d’un brun virant à l’or et, le bas du ventre était beige tandis que, ses yeux étirés lui donnait un regard perçant quoique peu profond, assez naïf mais, ce dernier point n’était du qu’à son jeune âge. Il paraîtrait qu’il n’ait pas né dans les environs de la fôret des brumes et, que c’était Ooba-san, la vieille chacal, qui l’avait trouvé dans le désert de Suna, petit et frêle. Il était assez sympathique et, nos rapports étaient conviviaux, il faisait partie de la famille après tout. Je finissais de mettre mes affaires sous mon baldaquin que, je m’étais aménagé tandis que mon compagnon, s’apitoyait encore sur mon pauvre sort d’homme, nu et incapable de vivre sans manteau. Je lui fis remarquer que, cela pouvait faire de nous de véritable prédateur, chassant non pas que pour nous nourrir. Il semblait acquiescer d’un regard sombre. Le pauvre Ryuka avait du voir les méfaits des hommes, subissant de plein fouet l’une des terrible bataille de la 4ème grande guerre. Il fallait dire que, de ce point de vue, le pays de l’eau n’avait subi aucun dégâts matériel : je pouvais dormir sur mes deux oreilles. Quoique Ryuka se releva doucement pour sortir de la pièce et, rejoindre les autres. Je me demandais un instant pourquoi avant de, me dépêcher de le rattraper. Il était la pleine lune et, nous allions hurler pour marquer notre présence et, notre possession du territoire aux autres animaux. Dans la fôret des brumes, j’avais pu voir les phacochères ainsi que leur chef-mère mais, la meute n’avait pas de réel contact avec les autres animaux. Ils vivaient ensemble, chassant, se prélassant et, vivant leur vie paisible dans cette loi naturel, profondément ancré au cœur de cette fôret, protégé des humains par la brume. En hurlant, je repensais à cette fontaine que, jadis j’avais vue, cette merveilleuse fontaine de jouvence. Et dire qu’elle était là, juste sous les yeux des hommes et, pourtant impénétrable. Ayant passé l’épreuve de m’être plongé dans la fontaine, j’avais rencontré mon mi intérieur, Akaito, mon Oku. Malheureusement, les liens que j’avais avec ce dernier n’étaient pas encore incroyables et, nous n’étions que deux colocataires d’un même corps. Je tentais au mieux de m’entendre avec lui mais, il était arrogant et, peu sociable, ne daignant parler que, si cela en valait la peine. Notre dernière discution avait été sur mon cas, le fait que j’avais tué. Akaito étant une partie de mon âme, il en avait été affligé et, m’avait fait des remontrances et, remarques cinglantes que, je ne lui avais jamais connues, histoire que je ne recommence plus ceci. C’était tout de même assez frustrant qu’ensemble, nous n’ayons pas mis de technique au point mais, mon vœu fut exaucé. Akaito m’en fit les remarques après le repas. J’allais sous la cascade à l’entrée de notre caverne, finissant la bouchée de cerf frais à pleine dent. J’avais oublié quelque peu le goût de la nourriture crue mais, ce n’était pas plus mal. Intelligent qu’ils étaient et, avec leur maîtrise du katon, ils auraient pu faire cuire le repas mais, seul la haute caste avait le droit car, il ne fallait pas complaire la paresse et, rabaisser les compétences naturels de la nouvelle génération. C’est pourquoi les plus jeunes de la meute vivait en simple bête, les anciens avaient quelques privilèges tandis que les chefs avaient leurs chambres à part, avec un lit et, tout le matériel nécessaire d’une maison !! La caverne était remarquablement aménagée ! Ceci dit Akaito me rappela à l’ordre, je m’asseillais sous la cascade pour me recentrer sur moi-même au cours d’une séance de méditation. C’était aussi le meilleur moyen pour parler en face à face, sur les décombres de Kiri, noyés sous ses eaux pourpres, au fond un coucher de soleil ; Akaito me regardant d’un air hautain, ses cheveux rouges ne bougeant pas d’un millimètre, debout, le torse gonflé et, la tête légèrement penché en arrière pour me regarder de haut, les mains sur les hanches.
Il est temps de t’apprendre une technique.
Ceci dit l’eau l’embruma complètement, se propageant sur la totalité de son corps, comme pour l’aspirer au fond des océans. Une fois que le liquide fut arrivé au sommet de son crâne, son écharpe rouge s’embrasa et, cette eau pourpre semblait réagir et, s’embraser à son tour. Les flammes crépitaient devant moi, criant le nom d’Akaito. Puis me rappelant auparavant d’un couvenir, je compris quelquechose. Je le regardais d’un air éberlué, mon regard curieux et, quelques peu surpris de sa phrase, lui demandait anxieusement ce que signifiait cela. Alors que je faisais une tête complètement perdu, ce dernier s’énervait et, son écharpe rouge s’embrasait pour laisser place à un oiseau ressemblant fortement à une hirondelle enflammé.
Je représente Suzaku. Tu n’as toujours pas compris mes mises en garde ?
C’était arrivé peu avant que je recontre Ayuka, il m’avait dit la même chose. J’avais compris quelquechose qui, m’effrayait quelque peu mais, je ne dévoilais pas immédiatement cette pensée. Suzaku, oiseaux de feu, dirigeant tout animal à plume et, surveillant le sud du palais du roi impérial dans la voûte céleste. Akaito représentait donc cet être flamboyant. L’oiseau fonçait sur moi à vive allure et, je roulais sur le côté, enfonçant quelques peu mes pieds dans l’eau. Ma maîtrise du chakkra n’était pas encore totalement parfaite. L’oiseau revînt à la charge et, je m’efforçais de m’écrier pourquoi il faisait cela, surlignant cette question de son véritable nom « Suzaku ». Ceci dit l’oiseau s’arrêta un instant puis, recommençais à foncer sur moi. Je regardais ce beau ramage d’or enflammés perdre de sa splendeur, des plumes embrasées tombant derrière l’animal. J’esquivais à nouveau son assaut et, couru me mettre à l’abri dans ce qui semblait être un étage d’immeuble. Tous Kiri no Kuni était noyé dans cette mer pourpre et, seul les bâtiments les plus grands, bien que dévasté, montraient le bout de leur nez. Je serrai définitivement Shigure Kintoki, si Akaito le prenait comme ça. Je souriais de bonheur, depuis le temps que je voulais affronter sa véritable forme, sa me rendait plus énergique rien qu’à cette idée en tête. Je sortais me demandant où il pouvait bien se trouver, dégainant mon épée. Il semblait pleuvoir, des gouttes de pluie. Cette pluie était spéciale et, reluisait d’un chakkra rouge. On aurait dit une pluie de sang. Je levais ma tête au ciel et, fut surpris de voir Akaito volait au dessus de ce paysage, déversant cette pluie grâce à son chakkra. Suzaku Akaito avait d’étrange pouvoir. Ceci dit l’oiseau cria un instant avant que, l’eau ne se mette à se mouvoir autours de moi, recréant le même mouvement qu’avec Akaito, tentant de m’enfermer en son sein. Je tenais fermement le pommeau en main, ce dernier étant en avant et, la lame derrière moi, abaissé. Mes genoux étaient fléchis et, espacé de la longueur de ma lame, ma tête droite et, mon buste bombé. Je respirais un instant.
~7ème pose :Shibuki Ame (poussière de pluie)~
J’étais en plein milieu d’une mer pourpre, quoi de mieux pour le célèbre style Oto-ryu de l’eau (Shigure Souen Ryu). Un véritable amas d’eau se formait autours de moi, me protégeant de l’eau controllé par Suzaku qui, tentait en vain de m’absorber dans les tréfonds. Puis la rotation s’arrêta et, d’un coup l’eau autours de moi fut expulsée. C’était remarquable et, parfaitement exécuté. L’eau présente était en telle quantité que le style Shigure Souen Ryu s’épanouissait d’une manière incroyable et, fascinante. Ceci dit, je vis Akaito, ou plutôt Suzaku, descendre en piquée sur moi. C’était une technique remarquable, on aurait dit une corne flamboyante. Je retirais mon additivité à l’eau pour m’enfoncer dans cet or bleue tandis que Suzaku s’écrasa contre l’eau mais, au contraire de ce qui se passerait au dehors, Suzaku traversa l’eau et, comme si ce liquide était un catalyseur, l’oiseau flamboyait de plus belle traversant mon corps tout entier et, laissant un trou béant et, cendré dans mon corps. Je comprenais enfin ce que voulait Akaito Suzaku ! Il désirait me léguer sa volonté ! Dans d’autre légende, Suzaku, cet oiseau de feu, était aussi apparenté au phénix, oiseau légendaire capable de renaître de ses cendres. Ce même animal représentait l’espoir, se relevant à chaque échec, toujours plus fort. C’est cette volonté de se relever qui m’avait été légué. Je rouvrais les yeux sur le monde, il devait être aux alentours de 4heures du matin, j’étais extenué et, mon corps frigorifié me faisait signe de me retirer de sous cette eau glaciale. Heureusement que j’avais appris à endurcir mon corps durant 3ans auprès de ces animaux. Il est clair qu’en humain normale, j’aurais attrapé une rhino-pharyngite aigu mais, ce n’était point le cas, un simple rhume seulement qui s’en irait d’ici quelques jours. Ceci dit, j’étais heureux, j’avais compris le message d’Akaito. J’avais tué, certes mais, je pouvais tenter de me racheter toute ma vie et, j’avais endossé ce mauvais rôle pour ma patrie. C’était impardonnable et, ma vie seule ne suffirait pas à racheter mes péchés mais, je donnerais ma vie tout de même et, quoiqu’il en coûte je protégerai ce qui m’est cher. Je renaissais tels un phénix. Il ne me restait plus qu’à faire apparaître le dit phénix dans ce monde à proprement parler, si j’en étais réellement capable. Je me plongerais dans l’incommensurable bibliothèque de Kiri no Kuni pour m’approprier ma propre technique et, vision du Suzaku et, de cette volonté. Akaito m’avait bien aidé. Je devrais me pencher sur le ninjutsu et, l’apport des mudras et, leur combinaison très sérieusement pour ma technique mais, je savais que le gérant de la bibliothèque était un expert en la matière, il m’aiderait très surement. Je reprenais mes affaires et, repartait deux jours plus tard, après avoir pris congé de la meute, vers les miens.
Je voulais avec ma technique, créer cet oiseau mais, je n’avais pas le chakkra katon pour faire un oiseau de feu mais, cette apparence flamboyante pouvait être donnée par le chakkra lui-même, sans pour autant être du feu, une sorte d’aura bleu. Je pensais à la base à un oiseau géant fonçant sur les adversaires et, les assaillants comme Suzaku Akaito avec moi. Dans la bibliothèque, je potassais en vain. J’avais seulement acquis les connaissances de bases du ninjutsu, je ne connaissais pas très bien les relations des mudras, leur sens, la charge et, le pouvoir physique et, symbolique qu’ils avaient. Cela exigeait des années d’études. Le vieil homme de la bibliothèque vînt me voir. Il était courbé, le front dégarnis et, des cheveux blanc assez long sur le côté, ces lunettes marron était semi-circulaire, le haut semblait coupé. Il portait une chemise blanche avec son badge et, un pantalon bleu. Il s’asseyait à côté de moi et, écoutait ma requête. Je lui parlais de l’art Rônin de mon processus à scindé mon âme en deux, d’Akaito. Ce simple fait le fasciner, d’un point de vue ninjutsu. La seul personne qui fut capable à ce jour d’utiliser le ninjutsu des Jouvence était une vieille de Suna, une conseillère, m’informait-il qui, avait utilisé leur kinjutsu pour sacrifier son âme au profit de Gaara. Il acceptait de m’aider à parfaire cette technique si, j’acceptais de passer des tests (rémunéré tout de même) chaque semaine dans le centre de recherche en Inton. J’acceptais, ne pensant qu’à ma technique. Je lui expliquais qu’Akaito Suzaku pouvait se transformer en espèce de phenix et, que j’aimerais créer ce phénix en chair et, en os. Il me regardait pensif.
Cela demanderait une quantité de chakkra non-négligeable de créer le dit oiseau géant mais, il pourrait y avoir une alternative qui, consisterait à créer un petit oiseau assez vif composé de chakkra uniquement et, cet oiseau pourrait bien avoir une certaine particularité avec ton chakkra mais, tout dépends de toi, c’est ta technique mais, au vu de ce que tu m’as raconté, Suzaku faisait pleuvoir des flammes contrôlant l’eau. Le petit oiseau que tu créerais pourrait être capable de déverser son chakkra sous forme de goutte. Après tout, tu a l’affinité suiton. En d’autres termes, il faut bien définir ta technique. On va dire qu’elle créerait une hirondelle gorgée de ton chakkra et, capable de créer une certaine quantité d’eau avec ce dit chakkra.C’est un processus assez complexe en clair.
Je le regardais étonné. Ce n’était pas exactement ce que je voulais mais, il est clair que si je suis capable de créer de l’eau sans présence d’eau, ce serait un atout formidable pour le style Shigure Souen Ryu qui, se révèle plus fatale en présence d’eau. Je voyais le vieil homme froncé les sourcils puis, cherché un livre avant de sortir un parchemin de suiton et, me montrer une technique de suiton usité de nos ninjas de Kiri.
Citation :
Nom : Kyuukansei Traduction : Contrôle de la sphère Description : Le ninja va créer une sphère d'eau qui le suit continuellement. Cette sphère permet l'utilisation de certaines techniques de type Suiton si on a le niveau suffisant et à défaut permet de lancer une attaque de faible puissance. La bulle varie selon le grade et donc permet un à plusieurs jutsu selon le grade.
Je regardais le vieil homme lire avec attention des remarques et, des notes concernant les mudras et, les échanges du Yin et du Yang pour le chakkras. Des choses complètement incompréhensible pour moi et, certainement pour bon nombre de ninjas qui, utilisait leur ninjutsu sans rien comprendre de comment cela se passait. Le vieil homme m’expliquait alors que ma technique ressemblerait fortement au Kyuukansei mais, que nous devions y ajouter la forme et, que pour ceci nous devrions travailler mon dosage du chakkra qui, est le rapport des sommes du Yin et Yang. C’était ma partie Ying que je devais mettre en avant dans mes premiers mudras et, ensuite revenir à une équivalence entre les deux charges pour finir la technique. Je ne comprenais pas bien comment faire ceci et, lui faisait remarquer. Il me fit essayer des suites de combinaison pour utiliser cette technique ( nous étions sortis bien entendu !), en vain. Il m’arrivait même que de l’eau apparaisse et, m’explose à la figure…Charmant ! Je ne savais pas comment faire et, Akaito se foutait littéralement de moi… rigolant d’un rire narquois et, fort qui, me dérangeait au plus haut point. Finalement le vieil homme, en réfléchissant un instant, eu une révélation. Apparemment mon Yin était différent d’une personne normale puisque séparé. De plus Suzaku savait se transformer en oiseau et, était à la base de ma volonté de créer cette technique. Il changeait alors d’optique.
Nous n'allons utiliser que des mudras pour des combinaisons simples mais, tu va demander à Akaito de faire les signes en même temps que toi.
Il est vrai que ce dernier gérait aussi une partie de mon chakkra, à sa manière. Ce serait donc un défis de synchronisation autours d’une combinaison que nous trouvâmes (plutôt le Viel homme que moi) 10 minutes plus tard, cheval-chèvre-singe-coq. Je m’entrainais avec Akaito et, à la fin de la journée, il se trouvait que le vieil homme avait raison et, notre synchronisation parfaite me permit de créer une bulle d’eau qui peu à peu formait une firondelle gorgée de chakkra suiton, c’était incroyable ! Je remerciais le vieil homme qui, me jaugeait d’un regard emplie de nostalgie. Je ne savais pas vraiment pourquoi mais, j’apprendrais plus tard qu’il s’agissait du père de mon défunt sensei en kenjutsu.
Citation :
Nom : Suiton! Shigure no Suzaku Rang : C Condition : avoir un Oku, maîtrise du Suiton Effet : une hirondelle composé uniquement de chakkra suiton est créé. Cette hirondelle est inconsistante puisque composé de chakkra suiton (et ne peux donc pas interagir avec les autres, comme arrêter un coup par exemple). L'hirondelle lâche en dessous d'elle une fine pluie de chakkra apparenté à de l'eau, rendant ainsi possible l'utilisation de quelques techniques suiton ou du style Shigure Souen Ryu de rang C ou inférieur.
Deux techniques de rang C max Ou trois techniques de rang D max
Spoiler:
~7ème pose :Shibuki Ame (poussière de pluie)~ Général-Le Katana est alors tenu lame vers l'arrière. En tournant sur lui-même, Emishi peut créer un tourbillon d'eau qui fait office de bouclier. Technique dépendant là aussi de la quantité d'eau présente. La particularité de cette pose défensive étant qu'en tourbillonant rapidement, en plus de la protection de l'eau, les attaques sont repoussées. Bien évidement cette attaque est dépendante de la quantité d'eau présente sur le lieu comme pour Sakamaku Ame. Pour les plus érudits-cette technique adopte une garde assez spéciale comme pour « Shigure ». On se positionne comme si l’on était au baseball (oui c’est puéril) et l’on frappe en tournoyant sur un même axe. Sa peut sembler banale mais tournoyer en restant sur un même point, demander à des danseurs si c’est facile… Bref… Cette technique est loin du pur kenjutsu.