Jours de repos ce matin. Réveillé par les sons que faisait émettre les pas de mes parents, je me tournais dans tous les sens, les yeux fermés. Le nez rempli de croûte, je respirais par la bouche lentement. Les mains jointes, au dessus de ma tête, je m'étirais en baillant sans me hâter. En effet, ce matin-là c'était un jour de repos. Pas de missions, pas d'entrainement. Une journée pour moi. Sans me presser. Après quelque seconde, j'ai reposé mes mains sur mes genoux, je restais immobile pendant une minute. Mes yeux enfin rétablis, je pouvais sortir de mon lit en, évidemment me cogner la tête sur la partie supérieure du lit superposé. La main me grattant la chevelure de mon crâne balafrée. Je sortais de ma chambre presque à nus. Seul mon caleçon recouvrais mes parties intimes. Le regard encore affaiblis et presque refermé, je ressentais une sensation de fraîcheur. Un coup de vent qui me percutait le dos. Mais également une claque qui me fouettait l'arrière-train avec gentillesse. Je râlais d'une voix rauque à cause de mes blessures. J’avançais en direction des toilettes pour mon pipi matinal. Les mains en dessous du nombril, je regardais tomber ce liquide jaunâtre coulait lentement et abondamment. Une fois ma vessie vidée et mon corps calmé je me rendis dans mon salon la marche silencieuse, tel celle d'un grand-père. Les pieds raclant le sol je me suis assis à une chaise verte, laide, la plus sale. Mes yeux commençaient à distinguer un nombre de couleurs de plus en plus élevé. Je trempais mes biscottes dans mon café sombre. Enfin, je repris l'usage et le contrôle de mes membres et de mes cinq sens. Désormais je pouvais allais dans ma salle de bain, pensif. En réalité je pensais à mon emploi du temps de la journée je ne savais pas quoi faire. Les yeux rivés dans le miroir de la pièce, je ressentais cette fois-ci, une lueur de chaleur intense. Je ne savais pas vraiment d'où sa venait mais je m’en moquais. Je continuais à réfléchir tout en prenant d'un geste rapide et violent la brosse à dent gisant à proximité du lavabo de marbre. Une fois dans ma main, je la recouvris de dentifrice avant de la brosser sur mes dents blanche. Une fois mes dents lavées et ma bouche rincée, je pus m'introduire silencieusement et lentement dans la cabine de douche. Le jet d'eau dans la main et le savon dans l'autre, je me frottais normalement mon petit corps d'enfant. Lorsque que je sis sortis de cette cabine, j'ai ressentis un léger vent froid me parcourant le corps et me caressant la nuque. Je me vêtis rapidement de mon caleçon qui se voyait tachait par les gouttes d'eau restante sur mon corps. Deux trois enjambement et j'atteignis ma chambre, puis mon placard. Mes vêtements dans mes mains, je pouvais, enfin, m'habillais. Une fois mes affaires vestimentaire enfilaient, je pouvais aller saluer mes parents. Avec Gentillesse, j'ouvris la porte d'entrée qui donnait sur le jardin, à ma mère. Les yeux plissés accompagnés d'un sourire sincère, je sortais avec elle. Juste quelque kunaï et trois étoiles dentelée me tenais compagnie dans cette promenade matinale. Les mains dans les poches, la dixième heure sonnait à peine. Les marchands sortaient de leurs habitations. Certain avaient déjà installé leurs stands. On entendait la foule qui se bousculait rapidement et violemment pour accédé aux dernière tomates restante et les enfants pour récupérer la sucette gisante dans le bocal. Le regard baissé, désespérer, je m'ennuyais terriblement. Je regardais le sol boueux à cause de la pluie de la veille. Je pensais à m’entraînais, en effet j'avoue que sa me ferais du bien d’expérimenter mon lancé de shurikens. Mais aujourd'hui, ma flemmardise remportait sur ma volonté. C'est pour quoi, je continuais ma route en direction de l'inconnu. J'avançais dans le village sans une réelle direction. Après plusieurs mètre et minute de marche, je m'épuisé. La onzième heure sonnée, lorsque que je vis ce bâtiment. Imposant, grand, majestueux. C'était le quartier général des A.N.B.U. Je voyais uniquement des ninjas de grandes renommée. Les unités spécial. Je les admirais les yeux illuminaient par une lueur d’émerveillement. Silencieux, je les scrutais, rêveur. D'ailleurs, j'avais pris ma décision, je voulais les rejoindre. Je progressais sur le chemin menant au seuil de la porte du bâtiment lorsque que je fus interpellés immédiatement. Une main se posée brusquement sur mon front doux et fin.
- Qui es-tu ?
Le regard humidifier, je restais immobile et silencieux devant cet personne. C'était un membre des unités spéciales qui s'adressait à moi. Ému je ne pouvais que apprécier ce moment peut-être unique dans ma vie. La voix hésitante et bégayante, je répondis lentement.
- J..j..Jizo Kai monsieur.
Il fredonna quelque mots incompréhensible derrière son masque. Je le fixais avec des yeux doux avant de les baisser. Il prit soudain un fou rire et passa rapidement sa main dans mes cheveux pour les frotter intensivement.
- Qu'est-ce que tu fais ici bonhomme.
Vexé par son allusion à son faible âge, je préparais mes mots d'une voix, cette fois-ci déterminé. Mon dignité était en jeu sur ces paroles. Les bras le long du corps, je serrais mon poing pour lancer rapidement ces mots.
- Moi ? Bonhomme ?! Pff eh ! C'est vous le gamin d'abord et je suis sur que vous avez tricher à l'examen A.N.B.U vous ne savez même pas vous battre.
J'ai ramené mon avant-bras en arrière pour tenter de lui mettre un coup de poing, accompagné d'une rage intense. L'homme restait silencieux, je pouvais, derrière son masque, devinait ce qu'il ressentait. De la curiosité. J'ai donnais un élan un mon poing pour qu'il atteigne son estomac. Les sourcils froncés, je donnais toute la haine et ma puissance dans ce coup de poing ma foie rapide. Sans un mot, il leva son bras pour me contrer. Il serra son poing. Je poussais des cris de douleurs, j'avais l'impression qu'il me brisé les os. Dans la même seconde, il plaçait son pied derrière mon genoux pour me faire tomber. Il sortis son épée et la dégaina devant moi. Sa lame pointée en ma direction, j'étais terrifié. Après une dizaine de seconde, il a prononcé ces mots que je n’oublierais pas le moins du monde.
- Petit, tu as de l'arrogance, nous avons surement affaire un l'un de tes plus grand défaut. Mais ta rage et ta colère peuvent faire de toi un excellent ninja. Si un jour, quand tu seras plus puissant, tu veux nous rejoindre, alors nous t’accueillerons les bras ouverts. Gamin !
Je frissonnais de plaisir à l'idée de rejoindre les unités spéciales. Mais, je savais qu'un jour je pourrais le faire. Des images fantasmagoriques défilaient dans ma tête. Des images paradisiaque, où je me voyais portant le masque tant convoité. Les fesses touchantes le sol goudronné, je passais rapidement ma main droite sur mes yeux pour essuyer la larme de joie qui coulait le long de ma joue. Un appuie brusque sur mon bras opposé et je me suis relevé. Les mains derrière la tête, je me retourné, feintant de ne pas mintéresser. Je marchais lentement en direction de marché. Je marchais, je marchais lorsque soudain, J'ai levé la tête avant de disparaître. Avec toute ma vitesse je me suis dirigé brusquement au terrain d'entraînement de Kumo. Je ne pouvais accepter d'être aussi faible. Une fois arriver, l'heure du repas sonnée mais je n'avais aucunement envie de me rediriger chez moi, j'ai commençais l'entraînement. Un kunaï dans chaque main, j'évitais de les lancer. En effet, j'en avais sur moi. Je courais en feintant d'esquiver des attaques en direction d'un épouvantail de bois. Une fois en face de lui, j’enchaînais le maximum de coup avec toute ma vitesse. Droite, gauche, je changeais régulièrement les point d'impact. Je rythmé tout sa par des jutsus offensifs tels les sphères de boues ou autre. Les minutes passés, je continuais a m'entraîner intensivement face au mannequin qui s'abîmer au fur et à mesure de mes coups. Mon chakra s’épuisait, mais je n'abandonner pas pour autant. Ma volonté était revenue à son stade maximal. J'enchaînais les jutsus sans m'épuisé. Soudain, je fus interpellé par une dizaines de shurikens que j'esquivais avec agilité. Je me retournais et je pouvais remarquer une silhouette familière. Celle de mon père. Il marchait vers moi lentement, une épée à la main. Il courut vers moi avec une rapidité remarquable. Il tenta d’insérer son épée dans mon ventre en, évidemment esquiver les points vitaux. Instantanément, j'ai joins mes mains pour utiliser la technique du mur de terre et pour me protéger. Sans plus tarder, j'ai pris un appui sur le mur de chakra pour placer ma main droite sur ma joue du même coter. J'ai réaliser un salto arrière tout en restant sur la même verticale. Le corps allongé dans les airs, je cracher une quinzaine de boules de boues dans le corps de mon père. Les pupilles illuminait de regrées, je ne pouvais accepter d'avoir blesser mon père. Sans plus tarder, j'ai sortis le maximum de médicament et autres objets de soin pour le guérir. Mes capacités en iroujutusus m'ont permises d'évaluer les dégâts. Faible, je pouvais le soigner facilement. Heureusement, je pouvais le transporter pour l’emmener à ma mère.