Prénom et Nom : Aemi Aburame
Age : 19 ans

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Sa description Morale : Passé, avenir, souvenir. Tout est relatif. Aemi autrefois si pure et fraîche, brillant de son innocence et de son tempérament enfantin, est dorénavant une jeune femme au vécu qui lui aura gravé un caractère stoïque et sans âme. Elle n’est pas née ainsi, on l’a forgée, mutilée jusqu’à se qu’elle se plie aux souhaits de sa vie emplie de pourritures et de déchets. Elle n’avait qu’un seul intérêt, lui, Kogi, l’être qui lui aura donné un semblant de paix et de bonheur. Lui qui lui a été arraché par les griffes empoissonnées des ninjas de nos jours, qui tuent sans savoir. Ainsi, sa vie ne se résume qu’à un choix, combattre la mort par la mort. Elle se donnerait toujours totalement lors de ses affrontements, ne craignant guère la mort, attendant juste patiemment qu’on la lui donne. Elle allait rejoindre Kogi, lorsque son combat serait terminé. Ses pensées sont loin d’être noires, juste réalistes. Le monde ninja est un monde rongé et souillé par la perversité, l’avidité et la haine des autres. Nul ne peut-être en paix, même s’il le souhaite de tout son cœur et se battra pour. La vie seule est morne et sans intérêt, il faut trouver sa paire et fonder avec lui, un monde utopique dans lequel personne ne pourra intervenir. Sa moitié étant partie trop tôt, Aemi a perdu son monde, et ne peux plus rêver. Elle est telle un papillon, jeune étant chenille, on lui marchait dessus, se moquait d’elle, on lui faisait ressortir sa laideur alors qu’elle était simplement différente. Puis elle a crée son cocon, sa protection, loin de tout ce monde, une barrière invisible que seule elle pouvait franchir. Cette barrière brisée, elle en ressort papillon. Kogi lui a peint ses ailes, et lui a donné sa splendeur. Elle s’est envolée, avec lui sur son dos. Au dessus de tous ces problèmes qu’ils pouvaient avoir. Mais un papillon ne vit qu’une semaine tout au plus. La mort est vite survenue, et Kogi est partit. Ainsi, perdant son éclat, Aemi retombant à terre, face à ses rêves écourtés, et une réalité qui fera d’elle une femme de combat, et d’acharnement.

Mélancolique ? Jamais. Aemi sait qu’elle doit avancer, faire des choix, elle est une femme stoïque et d’envergure, admirée et admirable. Elle aime les malins plaisirs charnels, mais n’en profite plus depuis la mort de son bien aimé. Elle hait l’alcool, cette drogue malsaine qui rend l’homme dépendant, vil et sans honneur. D’une mocheté inconcevable. Elle admire la vie sous toutes ses formes, mais préfère l’animal à l’homme, car l’instinct elle pour elle beaucoup plus merveilleux que la sournoiserie. Bien qu’elle en use de temps en temps, après tout, elle est un être humain, pire, une ninja.

Sa description Physique : Aemi, grande femme. Aemi, belle femme. Ses charmes sont inqualifiables. Les hommes ne regardent qu’avec passion interne son corps doucement voluptés et dessiné. Ce dos dénudé de tout habit, d’un blanc opalin, cette nuque fine qu’il parait si facile à briser. Ces cheveux d’un noir charbon, raide, indomptables, qui tombent au-delà de ses côtes. Ses hanches, gracieusement arrondies, une femme, perchée sur de longues jambes qui ne paraissent pourtant pas si puissante pour une femme ninja. Son regard est indescriptible, intouchable, et tellement séduisant, de part ses prunelles rouges sang qui s’amusent à percer les cœurs d’un regard furtif et court. Sans réelle expression, son visage montre juste l’âge de celle-ci à la perfection, une femme mure, mature, et munie d’expérience, glorieuse ou non.

Ses membre semblent s’allonger indéfiniment avec une parfaite courbe, tandis que ses mains, telles celles des pianistes, se trémoussent lentement et avec élégance. Ses vêtements sont divers et variés, mais, lorsqu’elle n’est pas en mission, elle ressemble plus à une geisha qu’à une simple femme. De longues toges noires, ou kimono, ornés de fleurs aux multiples couleurs, réveillant alors cette attirance que les gens peuvent avoirs pour les femmes.

Son Histoire : Je suis face à lui. Il me regarde, de ses yeux empreint d’une lueur passionnée. Son corps est beau, grand. Le vent vient secouer ses cheveux marbrés, donnant encore plus de puissance à l’éclat émeraude de ses prunelles. Ses poumons ne battent plus, sa respiration est close, ses désirs meurent petit à petit. Une larme coule, larme infime, larme transparente. Je cours vers lui, il sourit, je suis à bout de souffle. Ses pieds ne bougent pas, mais il s’éloigne. Bientôt, la lumière transperce sa silhouette divine. Il disparait en un million d’étoile, une nuée de poussière lumineuse, emportée aussitôt par le vent.

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L’orage était puissant. Si puissant qu’aucune lanterne ne pouvait être maintenue allumée, et ce même à travers la maison Aburame. Konoha, village vert, doté de ses arbres d’une beauté sans pareille, arborait aujourd’hui un minois quelque peu lugubre, chaotique. Les troncs d’arbres déchaussés s’entassaient les uns après les autres sur le chemin qui menait jusqu’à l’immense bâtisse. Heureusement, la maison avait été construire au milieu d’une prairie, donc dénudée de tout arbre à proximité.

Saine et sauve donc, Ayumu Aburame se rue en direction de la salle de réunion : le seul endroit encore sous protection du domaine. Sa femme est là, allongée au sol, hurlant, gisant, mourant.. Ses mains sont crispées et arrachent peu à peu les draps bras sur lesquels elle est alitée. A la vue de son amant, la jeune femme s’apaise. Son unique présence suffit à lui redonner un semblant de paix. Elle lui tend la main, tendis que les sages femmes s’attèlent à examiner son ventre rebondi. Il lui tend la sienne, observant le sang qui tâchait dorénavant le blanc opalin du lit. Une des sages femmes s’excite, elle affirme que l’enfant est coincé. Que seule une césarienne pourrait lui laisser la vie sauve. Mais cette opération n’était pas sans risques pour la mère, au grand malheur d’Ayumu. Lui hésitait, elle, trancha derechef : il fallait faire cette opération, pour le bien de sa progéniture, de son sang, sa chère et son héritage. La soignante s’exécuta ; elle mit en place l’anesthésie, puis sortit la lame désinfectée d’une trousse noire. Le manque de lumière était plus que gênant, c’est pourquoi l’Aburame vint sortir de multiples lucioles de ses doigts longs et forts. La lame trancha. Le père ferma les yeux, et posa ses lèvres sur le front de sa bien aimée, qui, dans un unique souffle, parti rejoindre ses ancêtres aux Cieux.

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Aemi fut prénommée ainsi par son père. A l’époque, il tentait par-dessus tout de l’aimer malgré ses pensées noires qui le ravageait. Elle lui manquait, elle était sa vie, maintenant, une partie de lui c’était envolée loin, si loin de lui. Il se souvenait encore de leur deux corps, blottit l’un contre l’autre, l’union parfaite de deux âmes qui surent répondre aux tourments de l’autre. Leurs pires défauts devenaient qualités lorsque leur peau se frottait, et que leur regards se croisaient.

Il l’aimait encore.

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Petit à petit, il devint paranoïaque. Il croyait la voir au loin, dissimulée entre deux arbres. L’appelant à lui, lui hurlant de revenir. Aemi n’avait que 5 ans qu’il sombra dès lors dans l’alcoolisme. Il aimait le saké, il voulait trouver refuge dans cette drogue qui lui faisait tout oublier. Il pouvait même être en contact avec d’autres femmes une fois saoul. Il pouvait se permettre de tout, même jusqu’à ignorer sa propre fille, qui le réclamait à ses côté. Elle avait besoin d’un père, mais lui, n’était jamais là. Elle se sentait isolée, abandonnée. Lorsqu’elle allait à l’académie, elle observait avec envie et jalousie ces enfants qui étaient tous accompagnés. Elle n’avait plus de mère, elle ne l’avait jamais connue. Et son père n’était plus qu’un ivrogne qui l’oubliait chaque jour un peu plus. Aemi n’avait guère plus l’envie d’aller en cours, car on la regardait étrangement. Les humains étaient déjà si compliqués, même à cet âge là. Elle aurait préféré naître sous une autre forme, quelque chose que tout le monde admirait.

C’est ainsi que la jeune Aburame, très précoce, se trouva une puissante affinité avec les papillons, ces êtres si merveilleux qu’ils en étaient intouchables, toujours au dessus de tous. Toujours si parfaits, si uniques. Ils fascinaient enfants comme adultes, étaient sources de rêves et d’utopie.

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Sept années, et Aemi se découvrit le don de la contrôler. Elle ignorait encore comment, mais ces être irrésistibles semblaient l’avoir choisie. Ses yeux rouges sang lui donnant encore plus l’air d’une jeune fille étrange, elle changea alors brusquement de comportement. Ses tenues vestimentaires devinrent noires avec des couleurs éclatantes en forme de papillon. Ses cheveux dorénavant long, lui balayant le visage à chaque fois que sa nouvelle famille venait lui voleter à côté. En revanche son côté jovial et enjoué se perdit en chemin. Elle était.. Différente, beaucoup plus calme, sereine. Son regard était devenu beaucoup plus terne, malgré sa couleur. Stoïcisme et indifférence vinrent remplacer gaieté et enthousiasme.

Alors que les années passaient, elle grandissait, murissait, utilisait son don et sa capacité à des fins personnels. Elle évitait les contacts avec d’autres enfants, préférant s’abandonner dans une fusion incontrôlée avec ces insectes qui la comprenaient mieux que personne. Elle s’isolait du reste du monde ; la chenille fait son cocon.

Un jour ou son père rentra encore éternellement saoul à la maison. Il se stoppa net lorsqu’il fut en face de sa fille. Ce visage, ces yeux, cette expression. Il reçu comme un poignard dans le dos, et dans le cœur.. Des pulsions malsaines et moches parcoururent son corps. Il se rapprocha de l’enfant, et au dernier moment, fit demi-tour, en courant (enfin, comme un alcoolique pourrait courir). Aemi, encore trop jeune, ne compris pas le vrai fond de cette histoire, et continuation simplement son chemin jusqu’à sa chambre.

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L’adolescente sortit de sa coquille à l’âge de ses 13 années. Elle rompait la coquille qui l’enveloppait. Elle était grande, belle, et portait des échoppes qui la valorisait très bien pour son âge. Elle devenait papillon.

C’est également cette année là qu’elle le rencontra. Kogi. Il était l’opposé d’Aemi. Il riait, était gentil, sociable et tellement frivole. Sauf ce soir là, où Aemi se promenait près d’un grand canyon qui passait à côté de son village. Elle l vit au loin, voulant au départ faire demi tour, elle fut retenue par quelque chose qu’elle ne comprenait pas encore. Se retournant à nouveau, elle vit son expression. Tellement indifférent. Comme enfermé dans un autre monde, il ne l’avait pas même vu s’approcher de lui.
Il sursauta lorsqu’elle posa sa main sur son épaule. Et il planta ses yeux d’un vert puissant dans les siens si rouge. Ils restèrent ainsi durant au moins une minute. C’étaient comme s’ils se connaissaient déjà, ils se comprenaient, ils n’avaient nul besoin de parler. Elle rougit. Lui resta de marbre. Puis, en un temps record, ils reprirent tous les deux leur masque de fer, elle, tout à coup si stoïque, lui, avec un sourire montant jusqu’aux oreilles, qui désormais, semblait si faux aux yeux de la jeune kunoichi.

Une fois rentrée chez elle, Aemi s’en voulu d’avoir baissé sa garde ne serait-ce que pendant une simple minute. Elle refusa toute visite. Son père compris, qui de toute façon, l’évitait depuis quelques temps. La demoiselle défoula son mécontentement sur son corps. Elle en voulait plus, plus de force, être seule et dominante, surplomber, pour ne rien voir autre chose que le ciel et ses anges échoués. Alors, elle se posa, assoupie dans les bras de Morphée. Et cette nuit là, elle ne rêva plus de ses papillons et de son monde utopique, mais de lui.

Le lendemain, il n’était plus à l’académie.

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Aemi avait maintenant 17 ans. Elle était encore plus sublime que ce qu’on aurait pu imaginer. Plus aucun homme ne résistait à ses charmes. Même pas son père.. A nouveau, celui-ci la croisa un soir dans les couloirs du logis. Encore complètement pété, il murmura des choses incompréhensibles, son regard était cerné, pervers. Il tituba jusqu’à sa fille, approchant sa main de ses lèvres.

N’y étant point habituée, et choquée sur le coup, la demoiselle n’osa bouger le moindre membre. Dégoutée, écœurée, offusquée. Sa main sale s’amusa alors à caresser le visage soyeux d’Aemi, tendis que le corps de son propriétaire se rapprochait dangereusement. Les yeux étincelants de vices, il maintient sa fille par la taille, la déshabille scrupuleusement, alors que les larmes emplissent les yeux de celle-ci. Elle commence à se débattre, mais il la tient. Elle pourrait le tuer sur le champ, elle est forte, mais cet acte la vide de toute sa volonté. Elle rompt ses rêves, elle ne pourra jamais voir les cieux, elle commet l’inceste. Il l’attache aux poignets, et enlève son pantalon ; Aemi ferme les yeux et attend que l’enfer et la parricide viennent bruler son être.

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Pendant un an. Elle décrépit. Elle n’a plus le choix, il vient la voir souvent. Il est malsain et vicieux. Il lui fait des choses dures et insoutenables. Elle sent la fin venir. La lame de la faucheuse sous le coup. Elle se rend, avec le peu de force qui lui reste, à l’endroit ou l’a l’a vu. Au bord du canyon, la chute serait si simple et si rapide, la tentation est grande. Alors qu’elle allait se résilier à partir, une main se pose contre son épaule. Sa tête pivote et elle l’aperçoit. Kogi. Il est encore là. Pourquoi fallait-il qu’il soit partout. Il a grandi, est encore plus beau, et son visage ne sourie plus comme avant. Les yeux d’Aemi s’emplissent de larme, alors qu’il pose ses lèvres contre les siennes, et l’emporte avec lui, loin de la douleur, de la tristesse et de sa vie actuelle.

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Il a su la consoler. Lui redonner goût à la vie, lui faire connaitre le bonheur. Tout était parfait. Kogi était l’ange déchu qui lui avait faire comprendre que le paradis était sur terre. Il l’aimait, elle l’aimait. Il sont bien ensemble, ils décident de partir. Quitter cet amas de pourriture et de larmes sèches. Vivre un nouveau départ, une nouvelle vie. Ils partent de Konoha, à jamais.

Mais l’humain est pervers. Le bonheur ne peut exister indéfiniment.

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Je suis face à lui. Il me regarde, de ses yeux empreint d’une lueur passionnée. Son corps est beau, grand. Le vent vient secouer ses cheveux marbrés, donnant encore plus de puissance à l’éclat émeraude de ses prunelles. Ses poumons ne battent plus, sa respiration est close, ses désirs meurent petit à petit. Une larme coule, larme infime, larme transparente. Je cours vers lui, il sourit, je suis à bout de souffle. Ses pieds ne bougent pas, mais il s’éloigne. Bientôt, la lumière transperce sa silhouette divine. Il disparait en un million d’étoile, une nuée de poussière lumineuse, emportée aussitôt par le vent.



L’Oi-nin qui a transplanté son cœur sourit. Il signe son arrêt de mort. Kogi n’était pas un shinobi, moi oui. Mon cœur lui, était brisé à nouveau. Je ne pleurais pas, je ne pouvais plus. Il passa sa main dans mes cheveux et me sourit, il était si beau. Une fois de plus, nous ne parlions point, seuls nos regards nous suffisaient. Il s’endormit alors, dans mes bras, serein, très certain que je le rejoindrais, mais pas tout de suite, je devais avant accomplir ma vie. Il me regarderait juste de loin, comme il l’avait fait pendant toutes ces années.

Je n’appartenais qu’à moi-même, les villages n’étaient pas mes alliés. Je rencontrai bientôt un groupuscule qui supportait une idée qui me toucha. L’Akatsuki était prometteuse, cependant, je ne pouvais ni voulais accorder ma confiance à nouveau. Je signai donc un engagement vis-à-vis d’eux, je serais la leur, mais ils n’auraient aucune influence sur moi. J’étais leur espionne, leurs yeux.

Village / Organisation désirée : Nukenin à la solde de l'Aka (espionne)
Question à répondre qui prouve que vous avez lu le règlement* :
- Quelle est la différence entre le grade et le rang en puissance d'un membre ? Disons qu'un rang c'est plus un "titre" qu'autre chose, tandis qu'un rang définit littéralement le niveau d'un ninja. Par exemple un ninja pourra être grade B, mais pas forcément marionnetiste ou autre. En gros, un peu comme l'histoire de Sasuke qui logiquement est Genin mais très puissant, donc de rang A ou S (jsais plus xD)
- Comment passe-t-on d'un rang à a un rang suivant, par exemple de rang E à rang D ? C'est un examin organisé. Il faut avoir assez de points NNR aussi (je crois >w<)
- Comment fais-t-on pour faire sa fiche justu ? Après la validation, on poste un sujet dans la partie Fiche Jutsu (selon le modèle) avec les techniques que l'on souhaite dedans, en respectant également la limitation de techniques.
Comment avez-vous connu ce forum : Jsais plus xD Par le parrainage je crois oO Enfin, en surfant sur le net, comme à mon habitude
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