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Aika KanashiiSujet: Aika Kanashii Sam 20 Nov 2010 - 20:40 | |
| Présentation de [ KANASHII - AIKA] . Les coups de pieds, de poings me sont indolores. Seuls les coups portés au cœur me blessent.
Prénom et Nom : Kanashii Aika Âge : Indéterminé Village / organisation désirée : Kumo MON PERSONNAGE
Description Physique
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Premier jet L’homme en général apporte une extrême importance à l’aspect physique. Limité dans les choix et dans les raisons de son explication, il étreint des règles dites sélectives, agençant tout particulièrement l’image corporelle à celle du mental. Ainsi, nombreux sont ceux qui, quelques fois représentatifs de leur propre organisme, sont pliés de force aux idéologies souvent faussées du monde extérieur. Concluons une bonne fois pour toute, mesdames, messieurs, le physique à beau primé sur vos consciences souvent explicites, il n’en reste rien car l’apparence n’est que la tapisserie de l’âme, et non pas l’âme elle-même.
►Moi, je ne suis que l’image de mes passions, de mes principes, de l’addiction que je porte à ma volonté dans sa globalité. Pourtant je suis vêtu de blanc, masquant plus en avant la noirceur que je réprouve en mes peines, en la vie. Sous mon aspect sage et angélique, j’ai connu les rebellions pour en avoir payé de ma jeunesse. La blancheur de mes cheveux n’est là que pour rappeler au monde que, si ma longue chevelure offusque l’idée que l’on se fait des hommes, c’est bien comme homme que j’avance pas à pas. Et plus encore dans mes détails, mon regard fige la triste de ma vision. Dans le bleu clair de mes yeux bridés, je noie sous une pluie de mélancolie le sourire des plus amoureux. Pourtant, et s’il ne mettait livré que ce reflet béat de mes mirettes, le restant de mon visage serait des plus courants. La finesse de mon nez présente une bouche aux lèvres ternes, toutes aussi fines et relevées que ce dernier. Mon menton, tombant en pointe, effile l’ovale juste de mes traits doux. Mon torse, lorsqu’il n’est couvert de mon kimono, libère la pure blancheur de mon torse aux muscles ressortant, et ce, malgré mon jeune âge. Car toute forme représente la concrétisation du travail des années. Et moi, voilà treize hivers que je pousse.
Description Mentale
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Second jet La psychologie humaine est fascinante. [Wikipédia : Pour Ryle, matérialisme et idéalisme pêchent de façon inverse: le matérialisme opèrerait une réduction des états mentaux aux états physiques, tandis que l'idéalisme réduirait le monde matériel aux états mentaux. Or ces deux positions antinomiques présupposeraient, selon Ryle, la disjonction exclusive « soit il existe des corps, soit il existe des esprits. »] En outre, la plastique psychologique de l’âme n’affecte l’état matériel, puisque l’un peu subsister sans l’autre, c’était du moins ce qu’en pensait Ryle… Toutefois, il nécessite d’expliquer avec attention que le mental se détache en partie de l’âme, chose souvent égarée, car la réduction des prothèses anatomiques implique l’organe encéphalique. On conclura donc que l’âme, si elle est, affecte en partie les sentiments, mais dans sa diction, est rejointe par le mental.
► Pour comprendre mes choix, il vous faut concevoir mes maux. J’ai longtemps éprouvé la joie de vivre, j’ai souvent joins mes exultations à l’allégresse de mes comparses. Pourtant, c’est de litiges incessants que mon corps c’est accaparé au fil des années durant. Pour piller les tombeaux de mon passé, il faut suivre le récit de ma vie, et ainsi, jouir de la chance, ou non, qui en résulte aujourd’hui. C’est de cette manière, et seulement de celle-ci, que vous comprendrez le codage abrupt de mon psychisme. Pourtant, je me vois dans l’obligation d’en avancer ici même les grands points de ma personne actuelle. Bien que jeune, je suis conscient de ce qu’est réellement la vie, et l’attrait quelle représente. Mais j’ai perdu la flamme qui brulait de milles-feux en mon cœur, et aujourd’hui, seul le trouble nourrit mes jours comme mes nuits. Je ne pense pas, je ne sais que faire de mon futur. Je me dois d’y trouver réponse, car sans réponse, je n’aurais d’avenir…
Histoire
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Jet final Loin, le temps coule, perdant son arôme vivifiant et délicat. Un zest de bons sens, une goutte de compassion… Les gens naissent, les gens meurent, la vie n’est que l’ivresse d’une banalité totale. L’existence humaine, qu’est-elle réellement ? Un soupçon d’antipathie ronge les plus misérables, car la spirale du temps n’offre pas à tous les mêmes privilèges… D’un côté les bons, de l’autre les mauvais. D’une part les riches, d’une autre les pauvres… Cependant la classification des êtres vivants en reste bien plus complexe… Dieu aurait créé l’homme… Soit. Alors pourquoi ne pas offrir à ses pareils dessins des droits égaux ? Le jeu, La passion, l’envie d’envenimer les choses… Dieu est-il irrévocablement bienveillant ? Par ailleurs, la différence creuse l’écart chez les hommes. Chacun suit ses propres idéaux, mais tous ne sont que les pions d’une infâme société tortionnaire. L’état, les rois évoquent des dictateurs… Leurs appellations changent, mais leurs privilèges et droits restent identiques. La conscience humaine est erronée. Il est bon de croire en ses ambitions, mais rares sont ceux qui y aboutissent. L’histoire d’un homme serait-elle donc tracée ? Le milieu de vie en donne une approche quelconque, mais le changement est naturel… Le riches peuvent devenir pauvres, les gentils peuvent devenir mauvais… Et les mauvais, puissent-ils (re)devenir bons ? Kanashii Aika, traduit par Tristes Élégies… Celons-vous, dans quelle catégorie se classe-t-il ?
On compte les histoires de qui le veux avec plus ou moins d’intérêt, privilégiant, de droit, la narration de ses proches. S’il n’en est là qu’un détail, la ponctuation joue un rôle primordial sur les consciences, et de ce fait, agence les respects à l’image de ces mots. Moi, je n’ai que peu de vécu, et si ce n’est Akira, personne n’est apte à comprendre mon ressentis à l’égard des hommes. Je suis née au sein du pays des rizières, non loin du piètre village caché du son. C’est derrière neuf années de paix que j’ai vraiment commencé à murir, et déversé mon dégout sur les pays guerriers. Avant cette haine, je vivais de paix, illuminé par ma mère qui seule, avait sut s’occuper avec brio de moi et de mon jeune frère. Mon père lui, ne ressortait que le soir, de la bouche de ma génitrice qui berçait mes songes de ses doux mots. Je me contentais de peu, ma famille et mes amis, dont celle qui me sauva la vie quelques années après notre rencontre. Elle était de trois ans mon ainée, et représentait à mes yeux la grande sœur que je n’avais jamais eue. Et vite cette alliance dépassa mes attentes, car je voyais en elle, un modèle, et presque même une rivale. A côté de ça, je ne savais pas encore si elle éprouvait tant d’affection à mon égard, jusqu’au jour fatidique ou nos vies se virent balayer, pareillement à un simple revers de main. Son nom était reconnu au cœur de notre bourgade retranchée, même au-delà des frontières, chez ces hommes qu’on appelait ninjas. Dans l’empressement du temps, cette sœur de cœur me fut enlevé, temporairement, avant que ses proches ne réagissent. J’aurais voulut participer à son rappel, mais mon jeune âge couplé à mon incompétence m’empêchait toutes actions, gênant plus encore celles des autres. Alors j’attendis, qu’elle me fut restituée… Puis, l’ayant récupérée, ce fut vite un déluge de tourmente qui s’abattit sur nos deux carcasses de jeunots. Le pays, humilié par le clan Yuurei, décida d’envoyer ses troupes aux frontières fragiles de nos portes de bois, réduisant à feux et à sang, ce que chacun de nous avait apprit à aimer. Présentant le danger, Akira sauva ma vie, mais dans sa hâte, y laissa celle de sa famille, comme de la mienne. Nous n’étions plus que deux, seuls au monde, à attendre… Que le sourire nous revienne un jour.
Peu de temps après notre périple concurremment solitaire, notre route croisa celle de bandits et truands. Pour tout vous dire, je n’apprécie guère avoir à relater le passer de la sorte, plus encore cette partie redondante. Les jours passaient en boucle, durant lesquels je voyais mon amie devenir plus forte, creusant de ce fait l’écart entre nos deux personnes. D’amont en avale, elle dépassait en puissance nombreux de nos compagnons d’infortunes, qui prirent de panique, cherchèrent à se débarrasser de nous. Mais les facultés de la belle, nous permirent, et ce jusqu’à ce jour, de rester en vie, tout en gardant les séquelles de notre passé commun. Finalement, et en quête de puissance, nous rejoignirent le village caché de la foudre. Une nation guerrière comme celle qui élimina nos comparses, mais qui vite nous l’espérions, illuminera notre futur hasardeux.
MOI Question à répondre qui prouve que vous avez lu le règlement* :
-Validé, par Ryu Comment avez-vous connu ce forum : Via le top site naruto vs sasuke Connaissez-vous les RPG : Depuis plus de trois ans. Decrivez-vous dans la vie réel : Je garde ma vie réelle pour moi si vous n'y voyez pas d'objection. |
Sujet: Re: Aika Kanashii Sam 20 Nov 2010 - 21:52 | |
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Sujet: Re: Aika Kanashii Sam 20 Nov 2010 - 23:14 | |
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Sujet: Re: Aika Kanashii Sam 20 Nov 2010 - 23:20 | |
| Pour moi Rang B, grande élégance dans ton vocabulaire. |
Sujet: Re: Aika Kanashii Sam 20 Nov 2010 - 23:34 | |
| Son age est 'indéterminé', mais, si tu devrais citer un chiffre, ce serais lequel ? Oui, ce sera rang B. Je t'aurais bien donné le rang A, mais on ne le donne pas au départ, donc bon... Voici ton test, et je m'excuse d'avance, s'il peux paraître assez banal, m'enfin...
- Un soir, alors que vous veniez de vous coucher, deux de vos compagnons vinrent vous accoster. Ils voulaient se débarrasser de vous. Raconte nous comment toi et Akira avaient remédié a la situation. |
Sujet: Re: Aika Kanashii Dim 21 Nov 2010 - 0:41 | |
| On compte les morts par millier, sur un champ de bataille imprécis. On lit les pages de l’histoire comme si elles n’étaient qu’une forme de passation. Mais leur atteinte reste présente. La souffrance qui en dévalent est pleine, consumée par la rage des hommes. L’abolition apolitique d’un temps appâté, c’est là, la représentation juste d’un mal inquisitorial… Puis les hommes nourrissent leur espoir de joie, croyant éperdument en la justice… La justice, effet impropre débité d’un tas de conneries… Ensuite, on comprend nos faux, on accepte nos maux. Le bien ne nous à rien offert. Si ce n’est d’avoir cru en lui, en rien, comprenant, mais être berné plus encore par l’effet boomerang d’une vide mentalité. Il fallait accepter d’être faible, ou au contraire glorifier sa force. Ici bas, sur une terre dépravée, mon pouvoir, ma diction flétrissait. Je sentais l’impotence de mes droits entraver mon cheminement, ma course exaltante, qui faisait de moi l’orphelin qui se complétait d’injure. Affirmé de thèse, j’en conclu sans peine que l’état actuel dans lequel je perdais la réelle nature de mon âme, obstruait la dévolution de ma force. Il fallait mettre fin à cette étreinte, m’en débattre pour la fuir, me repaître de la sensation mortuaire, qui jour après jour, avait monté en moi pareillement à une bouffée d’adrénaline. J’étais prêt à dérégler l’horloge psychique de ma personne, pour rendre à mon caprice la turpitude qu’il méritait.
La nuit livrait bataille, affrontant d’une défaveur puérile l’abondance des scintillements du ciel nébuleux. Ses louanges palpaient d’avances la clarté des étoiles, écrivant d’une plume les mots délivrance et liberté. Elles, ses pointes jaunâtres du haut des plafonds terrestres, percevaient les dégâts pittoresques d’une dictature malléable. Errance d’un périple abandonné, elles étaient soutenues par l’astre lunaire, froid et fiable, qui d’un changement brutal, guidait sa fraicheur sur d’autres continents, aveuglant par le manque de son noir, les yeux carnassiers avides de mon âme. Accompagné du chaos, elle jetait son dévolu d’un élan transitoire, assaillit de part l’intolérance de ceux d’en bas : nous autre cafards à deux pattes. C’est ainsi que la conclusion fut faite sur la réalité de l’espace. Les dieux ombrageraient le globe pour punir la farce malsaine de l’être humain. Toutefois, nombreux sont ceux qui aujourd’hui, préfère au jour, la nuit… moi y faisant partit. Une brève dérogation, juste pour rappeler que les soit dis seigneurs n’ont plus de peine à offrir, car la pénitence fait à ce jour partit intégrante du clan fermé des ninjas. Pour ma part, je ne prêtais ni d’intentions au soleil, ni même à la lune. Je vivais de noir, car il flattait mon art démentiel, sans surplus, je me moquais donc du destin, tant qu’il mettait offert de façonner le mien.
Cette soirée me fut longue et pénible : sur mon arbre, perché, je fixai cette pâle lumière, s’élevant, haute dans les cieux étouffés. Vite, les étoiles furent masquées par la présence de grossiers nuages compacts, elles que j’aurai tant aimé contempler jusqu’au petit matin. Quant à l’astre lunaire, symbole du jour de la nuit, il demeurait plein, j’avais espoir qu’il me guide, qu’il me réchauffe… Mais sans retour, j’attendais. Je perdais la flamme amoureuse de mon âme, le froid givrait mon pardon, jamais, je ne réussirai à tourner la page de mon actuel présent. Toutefois, je m’efforçais de garder les yeux grands-ouverts, priant qu’un moment ou un autre, la brume se dissiperait. Je ne cessais d’être rattrapé par les tourments de la vie, qui jour après jour, flagellaient mon esprit. Je ne pouvais dormir, au risque d’être achevé durant mon sommeil, si bien que rapidement, mon corps changea du tout au tout, pour me faire perdre le repos. Je faisais mes nuits, couché dans notre tente, tout deux : moi et Akira, à l’abri des regards, fuyant l’adversité, perdant de vue l’addiction que je portais pour mon salut. Et j’attendais, établi, que le jour ne se lève, que ma diction reprenne, que de mon corps le changement s’épreigne...
Alors que je mettais assoupi un court instant, dure me fut la vision atrophiée de mon émergence, que celle de voir l’un de nos compagnons d’infortune, au milieu de nous, un kunaï à la main. D’un geste fluide et rapide, je repliai mes jambes en avant, les tendant aussi haut que possible pour ainsi courber mon abdomen, qui évita de peu un coup adverse. Tournoyant sur mes mains, j’exécutai une figure acrobatique, saisissant du bout des orteils la chemisette d’Akira, avant de la tirer en direction de la sortie. Ceci-fait, je repoussai de mon second pied le corps agressif au fond de la tente, propulsant de ce fait, ma carcasse fragile auprès de ma grande sœur qui s’éveillait déjà. Remuant à l’intérieur de la tente qui c’était retourné suite à mon assaut, cherchant désespérément à trouver la sortie, Akira ne prit pas la peine de me consulter pour faire ce qui lui semblait le plus juste : bruler cette dernière, avec l’homme à l’intérieur. Alors que son jet enflammé rejoignait les cries horripilants du martyr, un second puis un troisième Nuke-Nin bondissaient dans ma direction. J’étais bien trop jeune pour tenir tête à ses deux hommes, mais je possédais pourtant un certain avantage : je les avais déjà vu à l’œuvre, et connaissais en détail leur mode d’agissement. Alors que tous deux se hâtaient dans ma direction, je me laissai tomber en avant pour permettre à Akira de diriger ses flammes dans cette même direction. Bondissant en l’air pour éviter la brulure ardente de la demoiselle, aucun d’entre eux ne prêta attention à moi une fois la Yuurei engagée. Filant hors du champ de bataille, j’observais, de loin le moment propice pour percer. Focalisé sur le plus faible des deux comparses, j’attendais qu’il ne se substitue comme à son habitude, pour trancher sa main, lui qui c’était caché dans les hauteurs. Alarmé par le crie strident de son camarade, le second oublia le temps d’une seconde la jeune femme, qui elle, ne le perdit en rien pour conclure au plus vite l’affrontement. Laissant au sol le corps mutilé du dernier rescapé, nous filions tout deux dans la forêt, loin du feu qui se propageait, alarmant la présence de notre passage aux nations frontalières…
Voilà, test rapidement établit, j'espère toutefois qu'il vous en conviendra. Pour ce qui est de l'âge de Kanashii, disons qu'il n'en reste pas moins jeune et avancé. Étant désireux de le faire progresser le plus rapidement possible, je ne voudrais pas abuser en lui fixant un âge trop léger, d'où le doute parut plus haut. Pour un rang de Juunin, j'aimerai si possible avoir le même âge que Kakashi à ses débuts, soit 13-14-15ans... S'il n'est possible, alors je le vieillirait.
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Sujet: Re: Aika Kanashii Dim 21 Nov 2010 - 10:22 | |
| Humm pour moi ce sera rang B, Juunin de 15-16 ans (parceque 15 ans ça fait un peu jeune je trouve) |
Sujet: Re: Aika Kanashii Dim 21 Nov 2010 - 10:55 | |
| Ouais, Juunin de 16 ans. Va faire ta Fiche Jutsu x) |
Hunk Moroshi~ Chef Anbu de Kumo ~ ▌Sanction : Aucune ▌Messages : 2427 ▌Age : 29 ▌Inscription : 29/06/2010 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang A ; Level 23 | Points Naruto Ninja RPG | : (1377/2000) | Âge du personnage | : Inconnu. Sujet: Re: Aika Kanashii Sam 24 Sep 2011 - 13:36 | |
| Bonjour/Bonsoir.
|- Direction corbeille.
Hunk. |
Sujet: Re: Aika Kanashii | |
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