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Une halte au bar : la gifle des femmes, le faux début de bagarre.

InvitéInvité
MessageSujet: Une halte au bar : la gifle des femmes, le faux début de bagarre. Une halte au bar : la gifle des femmes, le faux début de bagarre.  Icon_minitimeLun 1 Nov 2010 - 10:40

C'était un plus long soupir que les autres que je l'entendis exprimer de sa bouche, cependant, il me fit un signe de la tête signifiant qu'il acceptait mon invitation au bar, et c'était sans dire un mot que nous partîmes du brouillard qui voilait le terrain jusqu'à la porte du village. J'avais très bien compris que sa réponse était un « oui », certes, mais un « oui » un peu forcé, enfin, je lui laissais le choix après tout, et comme il n'avait pas refusé et qu'il prit lui-même l'initiative d'ouvrir la marche, je n'y voyais aucun inconvénient étant donné qu'il acceptait. Et après tout, je pourrai lui faire changer d'avis sur les tavernes en l'y emmenant.

En faisant le chemin du retour, je me rappela de toutes les fois où j'avais fait ce chemin, dernièrement, j'avais fait le chemin sans difficulté, mais au début, c'était un cauchemar. Je ne faisais que tourner en rond en courant autour du village pour trouver l'entrée. De plus, la première fois, j'avais même campé trois jours et trois nuits pour trouver le village, le village était en effet assez bien caché dans l'épaisse brume le recouvrant, comme l'indique son nom, Kirigakure no Sato. Enfin, durant les cinq minutes qui me séparaient de la porte, je pensa aux trois jours de campement que j'avais enduré, j'étais donc finalement arrivé à Kiri trois jours en retard, ce qui n'était pas très commode pour mes premiers jours en tant que Shinobi, mais bon, au fil du temps, on oublia cet événement fâcheux. Finalement, Eichi et moi arrivâmes devant les portes, il salua les gardes d'une façon tout à fait normale, seulement en s'inclinant devant et ils firent de même. Cependant, moi, je cherchai à attirer les problèmes, en tout, je m'attirai des problèmes, ne me demandez pas pourquoi, je ne le savais moi-même.

« - Hey garde N°1, hey garde N°2, comment vous allez depuis la dernière fois ? La dernière fois, c'était... ah, à peine une petite heure avant... et quoi de beau depuis cette heure ? »
« -La ferme sale con N°1 ! Déguerpis de cette entrée ou on vient te mettre une correction ! »
« - Hm... moi aussi je vous aime les mecs... bref, c'est pas tout ça, mais mon camarade et moi allons se saouler, donc si vous voulez bien m'excuser. »

Dis-je d'un ton désinvolte tout en riant face à eux, juste histoire de les narguer un peu, et ce, même si je ne voulais pas du tout les narguer, mais bon, c'était plus fort que moi, j'avais hérité de caractère de ma maîtresse et il n'allait pas disparaître comme ça. Mais bref, le shinobi aux yeux cyans et moi avancèrent vers la foule, mais face à cette petite populace, Eichi prit le pas de course et sauta sur un toit, il me demanda de le suivre d'un signe de la main, et sans discussion, je le suivi, après tout, je pensais savoir pourquoi il souhaitait éviter la masse de gens. J'avais bien vu, en lui parlant, qu'il n'était pas très sociale et donc, qu'il avait des difficultés avec les autres gens l'entourant. Donc, je le suivi, sans dire un mot, je ne pensais à rien en le suivant, juste à le suivre, comme si j'étais sûr qu'il allait vers le bon chemin. Mais savait-il vraiment où était la taverne ? J'en doute maintenant, mais au moment, je ne me l'étais même pas demandé, plongé dans la tâche de suivre mon camarade Chuunin.

Puis, il s'arrêta, et je fis de même, il me dit qu'avant d'aller au bar, il devait faire une halte chez lui pour chercher de l'argent, et même si je pensais l'inviter, je ne dis rien, sans doute que je n'y avais pas pensé sur le moment, enfin on reprit la route vers une grande bâtisse, son domicile apparemment. On aurait dit qu'il avait confiance en moi en me conduisant directement chez lui, sans doute mon entrée au village lui avait donné plus confiance en moi. Une fois arrivé chez lui, il me fit signe de l'attendre sur le toit juste devant son appartement, et il rentra chez lui chercher sa monnaie. Je n'attendis pas une minute qu'il sortit de chez lui, il me donna alors le signe d'ouvrir la marche à mon tour tout en souriant, donc, je pris à la gauche tout en sautant à travers les toits, Eichi me rejoignit deux toits plus tard, j'entendis un petit rire provenant de lui, je vis bien vite son stress à l'idée de venir à la taverne, sans doute était-ce sa première fois au bar, après tout, il venait de finir sa minorité, il n'avait donc peut être pas eu le temps de faire une escale au bar. Qui plus est, je ne savais même pas s'il était riche ou pauvre, enfin, j'allais payer après tout, je détenais mes fonds d'une très riche personne, et grâce à ses fonds, j'allai quotidiennement à cette taverne. On arriva finalement au bar devant le bar, et juste avant d'y arrive, mon camarade se stoppa net et il prit la parole, en l'entendant, je me retourna vers lui et il me dit qu'il ne comptait pas sa saouler, mais juste boire, je l'interrompis alors et lui dit :

« - Très bien. Je t'oblige à rien tu sais, t'inquiète, mais par contre, je compte bien me saouler moi. Enfin, comme tu ne te saouleras pas et que tu boiras juste un peu, c'est toi qui te portera garant pour me ramener chez moi. Oh, et pour payer, si je suis pas apte à payer, bha, mon argent est... hm... nan, en faite, je pense que le barman doit très bien savoir où est mon argent, il se payera de lui-même... »

Une fois que j'eus dis tout ça, il continua de parler en disant qu'il ne voulait pas finir comme une certaine fille en buvant jusqu'à s'évanouir dans la rue. « Elle », c'est pas ce pronom qu'il l'a désigna, mais qui était cette fille ? Peut être sa copine, qui sait, enfin, je lui demanderai plus tard. Il finit par donner la raison pour laquelle il m'accompagnait avec un petit contrecœur : il voulait découvrir cet endroit qui nous attirait, son hypothétique copine et moi, il dévoila qu'il n'y était jamais entré comme je le pensais. Une fois qu'il finit de parler, nous reprîmes la marche vers le bar jusqu'à être devant , mais juste à cet instant, un homme sortit et vomit juste à côté du bar...

« - Oh franchement ! Putain, va vomir dans la ruelle, pas ici ! Ca fait de la mauvaise pub pour le bar, tu te rends compte ? Putain, allez, dégage d'ici, je veux plus te voir ! 'Tain, font chier les gens qui se soucient ni du client, ni de l'employé ! »

Dis-je la voix plein de colère. Qui plus est, j'emmenai un nouveau client pour le bar, et un ivrogne vomissant juste devant le bar, ce n'était sûrement pas le meilleur moyen de le faire entrer dans ce bar. Enfin bref, c'est là que l'ivrogne me jeta un regard noir, et quand il me vit plus attentivement, sa paupière s'ouvrit plus grand, et alors, il se jeta sur moi avec toute sa force d'ivrogne, il allait me donner un crochet du droit, j'essayai donc de me défendre de mes bras en les croisant devant ma tête. Mais rien ne se fit sur moi, le crochet du droit m'avait esquivé, m'avait complètement esquivé et était allé derrière moi. Je jeta alors un regard derrière moi et je fus surpris : l'ivrogne avait frappé Eichi, heureusement, il l'avait paré en prenant le poing dans sa main, je fus très intrigué par cet acte. Un dialogue s'échangea alors entre les deux, ils paraissaient se connaître, le dialogue fut un échange gratuit de méchanceté de la part de l'ivrogne disant qu'il espérait que le Shinobi à l'air fatigué avait péri lors d'une mission. Mon camarade répondit noblement en disant qu'il ne voulait combattre un homme affaibli par l'alcool, il indiqua bien à son camarade qu'il avait été chanceux de pouvoir devenir Chuunin. A cette phrase, l'homme retira son poing et partit quand soudain, quatre autres homme se pointaient, nous bloquant le passage autour du bras.

« - Oh oh... ça sent la galère alors que je me suis même pas encore saoulé... qu'est-ce que ça deviendra quand je me serai saoulé... »
« - Kai »

Répondit alors Eichi à ma phrase, soudain, les quatre hommes qui venait de se pointer s'effacèrent en retournant vers l'ivrogne : il avait utilisé du Genjutsu malgré son état ébriété, j'étais étonné de cette habileté. Alors, une fois son Genjutsu dissipé, l'homme au vomi partit d'un pas chancelant, le Shinobi aux yeux cyans s'excusa alors pour son contretemps désignant une vieille connaissance. Mais, eh bien, je n'allais pas le laisser partir comme ça après avoir non seulement manquer de respect au bar et au client, mais aussi à mon camarade. Je pointa alors le poing vers lui, me mettant en position de combat et je lui dis :

« -Hé sale con ! Tu crois pas que je vais te laisser partir comme ça après avoir montré cet irrespect pour le bar et ses clients... - Dont Moi ! -... et à ce Shinobi qui s'avère être mon pote ! Allez, viens te battre petite main ! »
« - Alors tu veux te battre petit con.... et contre moi qui plus est ?! Oh, ça, tu l'auras cherché, viens pas pleurer après ! »

Me répondit-il après avoir s'être lui même mis en position. Cependant, chancelant, il commença à progressivement perdre l'équilibre pour ensuite tomber dans son propre vomi, j'exprimai un gémissement de dégoût face au giclement du vomi autour et je dis « -K.O. Par, bha, euh... évanouissement ! ». Et je souris à Eichi pour le faire comprendre que cette affaire était réglée. Et finalement, après ce petit contretemps, nous entrâmes dans le bar. C'était un bar, et non un pub, ce qui faisait de lui, bien, un bâtiment sale à la décoration assez bonne, enfin, qui était assez bonne, maintenant sali par le vomi et l'alcool, d'ailleurs, on sentit vite l'alcool, en sentant l'odeur, je m'exalta rapidement et je me dirigea vers la table la plus propre lorsque deux femmes vinrent à moi, deux de ma connaissance d'ailleurs !

« - Yutsuki ! Dis-je en voyant la première femme qui venait à moi, en s'arrêtant devant moi, elle me donna une gifle qui retourna ma tête vers Eichi. J'suis pas sûr que j'la méritai. Katsumi ! Dis-je en voyant la seconde fille venir. - C'est qui celle là ? – Qui ? Lui répondis-je. Elle me gifla alors et une nouvelle fois, mon regard se tourna vers le Shinobi aux yeux cyans. J'l'ai peut être méritée celle-là. »

Après cette petite entrevue entre les femmes et moi, on continua notre chemin vers la table tant promise. Je commanda un Saké pour chacun de nous et nous attendîmes patiemment dans le bruit que la commande n'arrive. Je ne disais rien tant que je n'avais pas un verre devant moi, surtout vu les deux évènements qui venaient de se passer : le faux début de bagarre et la gifle des femmes. On attendit quelques minutes pendant laquelle on voyait à quel point notre table était propre quand aux autres, après tout, elle était spécialement faite pour moi. Cette table avait comme chaise, non pas des chaises ou des tabourets, mais un banc en bois très lisse. La commande arriva alors et je cria dans le bruit à Eichi :

« - Kanpaï ! A notre nouvelle amitié et à cette table propre qui m'est réservé ! A ce moment, tout le monde se tut et me regarda... Ok, je mens, c'est moi qu'ai dut la nettoyer après avoir vomi partout dessus... Ah ! Ca fait du bien de dire la vérité ! Nan, je mens encore, ça fait mal... »

Alors, après que j'ai dit la vérité, tout le monde se remit à parler comme si de rien n'était. J'en étais triste d'avoir avoué que c'était moi qui avait nettoyé après avoir sali la table, et donc, pour noyer cette tristesse, je bu un coup, et je tendu une nouvelle fois mon verre à Eichi, voulant réaliser notre Kanpaï, bien que j'étais maintenant triste.
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MessageSujet: Re: Une halte au bar : la gifle des femmes, le faux début de bagarre. Une halte au bar : la gifle des femmes, le faux début de bagarre.  Icon_minitimeMar 2 Nov 2010 - 3:50

Plus nous approchions du bar plus Akira semblait, stupide? Insouciant? Courageux? Aveugle? Dure de le dire, mais un changement avait déjà été observer dans son comportement et l'homme aux yeux cyan en prit note. Alors, plus un ivrogne s'approchait d'un endroit ou de l'alcool était vendu, plus il se préparait à être saoul? Ce n'était pas très intelligent de leur par, mais l'explication fessait tout de même du sens à ses oreilles. Alors vin la scène tant redouté, son "ami" narguait l'homme ivre sous la simple question de non respect, et puis quoi encore? Pourquoi cet homme cherchait tan les emmerdes? Un autre effet secondaire dû à la boisson et à la consommation? Pourtant, cet homme lui avait paru des plus saint quand il l'avait rencontrer dans la brume à l'extérieur du village. Ne connaissant pas le niveau des deux ninja qui s'apprêtait à s'affronter Eichi préféra rester en retrait et regarder de loin ce qui allais se produire, il recula donc de quelques pas au cas ou la bagarre ne se limiterais pas au Taijutsu, mais soudain l'adversaire d'Akira s'évanouit et le jeune homme voulu se frapper la tête contre un mur après avoir entendu ce qu'il avait dit.

« -K.O. Par, bha, euh... évanouissement ! »

Heureusement, il n'en ajouta pas plus et sa stupidité en resta là, la seule chose qu'il fit fut d'adresser un sourire à Eichi, qui ne répondit que par un regard découragé. Étais-ce de cette façon que se passait la vie normale? Il en doutait. Cet homme avait tout simplement le don d'attirer le problème, ou le don de les trouver, car dans l'un ou l'autre des cas il réussissait haut la main. Bref, quand ils entrèrent dans le bar le jeune homme aux yeux cyan se demandait toujours ce que l'ont pouvait trouvé à ce genre d'établissement. Même bien décorée, l'intérieur était salle, les tabourets soit couvert de bière ou de poussière, les tables de bave ou d'alcool, le plancher de.. il n'osait même pas y penser. Malheureusement, ce qu'il croyait impossible était arrivé, un lieux public était pire que son propre appartement! Et combien de fois pire! Heureusement que c'était bien décoré, car le nouveau venu se serait sauvé dès qu'il aurait vu une occasion. Akira se dirigeait vers la table la plus propre tandis qu'Eichi cherchait une raison à pourquoi elle n'était pas déjà occupée, mais ils furent aussitôt interrompu par deux femmes. L'homme ne comprit rien à ce qui suivit, pourquoi les deux femmes avaient-elles gifler son camarade et pardessus le marcher, il était Shinobi bon sens! Pourquoi se laissait-il faire de la sorte!? Probablement une histoire de cœur, il valait donc mieux pour lui ne pas être au courant.

Pour Eichi, c'était beaucoup trop, il ne comprenait pas les relations trop compliquée, quand à lui il aurait bloqué les coups en toute simplicité, puis se serait excusé pour une erreur qu'il n'était pas certain d'avoir commise. Peut importait, car cela lui aurait éviter deux coups au visage, donné par des amateur de surcroit, et il n'aurait pas passé pour quelqu'un d'encore plus abruti aux yeux des autres! Vous comprenez le sous entendu? Oui, plus le temps passait plus il le trouvait insensé, mais quelque chose chez cet homme l'empêchait de ne pas l'apprécier, tout ce qu'il pouvait faire, c'était tenter de comprendre en silence et rire face à cette façon d'agir qui lui appartenait. Après tout ces contre temps, ils arrivèrent finalement à la table dont il lui avait parler et le silence, ne permit non pas à Eichi de remarquer que la table était propre, mais lui fit plutôt voir à quel point les regards absent des ivrognes ne lui causait pas de mal. Habituellement, observer par tant de gens il se serait blotti dans un coin ou se serait enfuis sans hésiter, mais le regard troublé de ces hommes ne lui fessait rien, il n'y décelait rien de bien méchant. Aussi, il se sentit à l'aise très rapidement et oublia l'insalubrité des lieux. L'homme fut tiré de ses pensées par la commande qui arrivait. Heuu, un instant, il ne se souvenait pas avoir commandé quelque chose.. l'avait-il fait?

« - Kanpaï ! [...] Vomi partout dessus [...] ça fait mal... »

N'ayant pas vraiment porter attention à ce que son camarade disait, il ne comprit que des bribes de conversation, car il était bien trop paniqué par tout les regards, aussi éteint furent-ils, qui les fixaient intensément. Heureusement encore une fois, tout le monde reprirent leurs activité "normale pour des ivrognes" peut de temps après et Eichi put détourner son regard pour le porter sur le verre qu'il tenait entre ses doigt. Ce liquide qu'il haïssait tant, il pourrait maintenant dire qu'il y avait gouté, car c'est ce qu'il allait faire.. dans quelques secondes.. minutes.. heures? Non, il porta le verre à ses lèvres et prit une petite gorgée, mais surprit, il faillit la recracher sur le sol déjà si salle, prenant son courage à deux mains il avala sa gorgée et regarda Akira d'un ton désolé.

-Tu sais, je crois que j'avais raison en disant qu'il n'y à aucune raison pour boire ce genre de truck. Le goût est indéfinissable et ... l'arrière goût... pire! Enfin, j'en connais au moin beaucoup plus sur ces endroits grâce...

Ses paroles furent interrompu quand un dard vin renverser le verre d'Akira partout sur la table et sur lui, sachant ce qui allait probablement se produire, Eichi se cala confortablement sur son banc et observa la scène. Trois hommes poilu et assez costaud s'approchèrent de leur table et l'un d'entre eux tendit la main, sans même dire un mot, pas une excuse. Eichi voulut à nouveau se cogner la tête contre un mur, enfin, peut-être Akira agirait-il en homme civilisé cette fois-ci? Il en doutait par contre fortement après la façon dont il avait traité les deux garde et son ancien rival. Avant que celui-ci puisse bouger Eichi lui dit tout de même du même ton aussi posé et calme qu'à son habitude.

-Ne fait pas le fou, si tu t'en sens capable évidemment, ce n'est qu'un verre. Et puis tes vêtements sécheront sous peut.

Pour peser ses mots il prit une autre gorgée de sake, puis retint une grimace de dégout, le liquide passa dans sa gorge lentement tandis qu'il espérait que cet arrière goût désagréable quitte son palais. Puis, remarquant que le dard était sur lui, il le ramassa et le tendit à son camarade, intrigué par sa réaction, tel un scientifique étudiant l'animal le plus intéressant au monde, l'être humain. Il avait une place de choix, au premier rang et même si quelque chose venait à le menacer il était bien assez entrainer pour l'éviter, tout comme Akira était plus qu'apte à gérer ces hommes crasseux.
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Une halte au bar : la gifle des femmes, le faux début de bagarre. Une halte au bar : la gifle des femmes, le faux début de bagarre.  Icon_minitimeMar 2 Nov 2010 - 12:36

Citation :
Pas d'inspi' é_è

Je tendais mon verre à mon compagnon pour qu'il puisse cogner le sien au mien afin de célébrer notre amitié et son « dépucelage » alcoolique, mais il n'en fit rien, il m'ignora juste et colla son verre à ses lèvres et en bu une gorgée, et moi qui détournait le regard sur la table, la tête tournée vers le bas dût à la honte, je ne vis pas qu'il avait bu, ce n'était que quand j'entendis un bruit de dégoût venant de lui que je lui jeta un regard, je remarqua alors qu'il était tout pâle et qu'il avait bu. En premier, ce qui attira mon attention, c'est qu'il avait bu sans faire s'entrechoquer les verres. Mais c'est quand il parla que je vis qu'il était pâle comme un macchabée, il me dit qu'il n'aimait pas du tout cette boisson en définissant son goût comme indéfinissable et son arrière-goût encore pire tout en racontant qu'il en connaissait beaucoup sur les bars grâce à... grâce à quoi ? Ou à qui ? Je ne pu le savoir car c'était à ce moment que mon verre se brisa d'un coup dans ma main alors que je me préparait à le boire.

L'alcool, gâché, se versa sur toute la table, mais aussi sur mes vêtements, je puais ainsi l'alcool sans m'être à peine saoulé, ma rage n'avait d'égal, mais je ne l'exprimai pas, me taisant. Alors un homme accompagné de deux autres tendit la main, mais je ne prêta pas attention à eux, restant immobile comme une statue d'argile. C'est alors qu'Eichi me conseilla de ne pas faire mon taré si je pouvais l'être en essayant de faire passer cette attaque pour un simple petit verre gâché et des vêtements un peu mouillé. Bien sûr ! Pour lui qui n'aimait pas l'alcool, c'était un simple verre, mais pour moi qui ne pouvait être sobre plus d'un mois, c'était un problème d'État ! Cependant, malgré ma colère, je resta immobile sans dire un mot alors, l'autre Chuunin de Kiri me tendit un dard : sûrement l'arme du crime ; oui, car pour moi, casser un verre rempli d'alcool ET mon verre qui plus est, c'était un crime ! Donc, je pris l'arme du crime rapidement, et énervé, je le rendis de suite à l'homme à côté de nous tout en débordant de rage.

« Hm ! Peureux va ! T'es sans voix face à ça hein ! Comme ton camarade ! Trouillard va ! Allez, j'suis gentil aujourd'hui, j'te laisse tranquille »

Me dit-il en voyant que je lui rendais son dard alors que je n'avais pas dit un mot ou fait quelque chose, puis, il ferma sa main sur le dard et partit avec ses compagnons. Oh, alors il pensait que je n'allais rien lui faire, mais c'est qu'il allait voir après que je sois un peu saoul, car non, je n'allais pas me faire virer du bar sans m'être saoulé avant ! Mais je n'allais pas le laisser partir comme ça tout de suite, j'éclatai alors un bout de verre en petits fragments entre mes dents : Et ouais ! En ayant le verre cassé devant ma bouche, j'avais reçu un bout de verre dans ma bouche, heureusement, j'avais rétracté ma mâchoire à temps pour que je ne l'avale ; et c'était à cause de ce bout de verre que je ne disais pas un mot, sinon, j'aurai crier dans tout le bar ma rage afin qu'on attende ma voix du bureau du Mizukage, mais à cause, ou plutôt grâce au morceau de verre coincé entre mes dents, je me retins.

Alors, une fois le bout de verre concassé entre mes dents, je tourna ma tête vers la tête du gars qui avait gâché mon alcool et je recracha avec impulsion les bouts sur sa tête. En sentant les fragments de verre atterrir sur sa tête, il se retourna vivement, mais je fis de même en détournant la tête de l'autre sens tout en croisant les bras faisant comme si je boudais. L'homme baraqué échappa alors un « Tss » et reprit sa marche vers sa table. Je resta alors sans rien dire à ma table pendant une longue minute, boudant pour mon verre, mais aussi parce que je trouvai alors Eichi trop disons passif voire froussard, mais bon, de toute façon, je préférai régler mon problème tout seul. Et après de longues secondes passées à bouder, je me retourna avec entrain vers le barman et cria :

« Je veux une tour !! Et que ça saute !! »
« Et une tour pour Akira ! Une ! »

Répondit le barman en remplissant plusieurs verres l'un après l'autre, le serveur rapporta deux verres en même temps, six verres composèrent la base, en haut, il y en eut cinq, puis quatre et ainsi de suite. Une fois la tour formé, je ne puis plus voir les yeux cyans du Shinobi aux cheveux de la même couleur que les miens, alors pour régler le problème, je bu l'un après l'autre mes verres, en commençant bien sûr par celui au sommet afin de ne pas déséquilibrer la tour. Je finis cul sec chacun des verres : Rapidement et avec fluidité. Je les posa chacun violemment sur la table et m'arrêta juste à la base, tous les verres vides étaient étalés sur la table, après avoir bu tous ces verres, mes joues devinrent rouges signalant que j'étais maintenant pompette, mais je n'allai pas chercher la bagarre tout de suite, j'allais lâcher tout ce que j'avais à dire à Eichi en criant :

« Tu sais quoi mon cher Ecchi... tu savais que si on enlevait le « i » de ton nom pour mettre un « c » à la place, on pourrait t'insulter de pervers ? C'est drôle hein ! Et sinon, tu sais quoi ?! Tu devrais être plus actif et moins passif, sinon, tu ne deviendras jamais un homme ! Pour te donner du courage, crois-en moi qui crois en toi, m'kay ?!! Et pis, c'qui c'te « elle » ? Ta copine p'têt' ? J'suis sûr que m'entendrai super bien avec elle vu qu'on est tous les deux alcooliques ! Bref ! Donnes-moi ton verre si t'as pas d'alcool, tu me raccompagnera si je m'évanouis comme t'es sorbe ok ? T'es mon pote après tout ! »

Une fois tout ça de dit, je me retourna, troublé comme saoul. Et on avait très bien remarqué que j'étais saoul vu la façon dont je parlai, mais surtout les longues parties de mots que j'allongeai. Je vida alors le premier verre de la base, cul sec une nouvelle fois, et encore une fois, je le plaqua sur la table avec force et je m'étendis sur le banc, mais je n'attendais pas la réponse du Shinobi aux yeux cyans, trop saoul pour l'attendre, je regardai alors le plafond d'un air désabusé tout en tournant ma tête de gauche à droite faisant craquer ma nuque.
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Une halte au bar : la gifle des femmes, le faux début de bagarre. Une halte au bar : la gifle des femmes, le faux début de bagarre.  Icon_minitimeMer 3 Nov 2010 - 16:03


~~ Un bar ... une gonzesse ? Non, une déception ~~

Une mauvaise journée était commencée, d'autres auraient bien pus continuer. J'étais arrivé là, dans ce bar, à boire pour une raison bien précise ... Enfin évidemment je vais tout vous raconter depuis le début. Je ne m'étais même pas rendu compte que Aiku, notre Mizukage avait disparu ... oui ... disparu. Je peinais sous le poids des responsabilités, quel idiot je peux faire, ne même pas voir que son propre Kage, son supérieur et son ami ne pas être là ! Mais quel pitoyable je suis ! Que je sois bras droit ou pas, que je sois son ami ou pas, qu'il soit mon supérieur ou pas ... ça pourrait être pareil. Je me suis fourré ça dans la tête toute la journée. Je n'aurais jamais imaginer vous le redire ... ce moment m'est tellement triste ! Mais j'aimerais partager cela avec vous.

Dès le matin, une lettre m'a été envoyée annonçant la disparition et certainement la mort de Aiku. J'avais vécu tellement de choses, tellement de moments avec lui. Nous avions partagés histoires, rires, travail, ... déception. Maintenant nous ne pourrons plus rien partager puisqu'il n'est plus à mes côtés ! Aux premiers mots de cette lettre, mon estomac se tordit dans tout les sens, ma gorge était coincée comme si une boule m'empêchait de parler, mes yeux rouges faisant tout ce qu'ils peuvent pour retenir quelques gouttelettes qui voulaient sortir. De simples gouttelettes qui signifiaient pourtant tellement pour nous, ninjas et humains. J'étais tétanisé devant ce bout de papier, j'arrivais à peine à lire la suite tellement mes yeux me brulaient.

Je me retenais de faire cligner ne serait-ce qu'un seul œil, mais dès que ma lecture fut finie, une larme perla sur le bord de mon oeil, traversant par la joue mon visage. Venant par la suite s'écraser sur le papier puis se mélangeant avec l'encre noire, le chakra éclatant de celui d'Aiku représentait finalement mes larmes puis l'encre représentait le chakra noir de celui-ci ... ça voulait presque tout dire. Ces larmes ne voulait donner qu'un message, sa disparition, et cette écriture ... non, ça ne peux pas être de ma main qu'il est mort, je ne pourrais le croire. Il ne ce pourrait pas non plus que ce soit moi qui ai écrit cette lettre ... ma tête me fait tellement mal ....

Je sais que Aiku n'aurait jamais voulu me voir pleurer, serais-je vraiment digne d'être son bras-droit ? Ma journée s'est passée avec ce enthousiasme là, pas très réjouissant n'est-ce pas ? Je ne pus changer cette pensée, on pouvait me demander n'importe quoi, je n'aurais pas pu répondre, j'étais dans un autre monde. Je suis donc parti dans un bar, c'était la première fois que j'allais goûter aux alcools, je n'y avais jamais touché auparavant... Je me suis installé, puis j'ai commencé à boire, sans vraiment aimer ou détester ce que je buvais. Toute ce qui passait dans ma bouche brûlait un peu l'estomac mais le goût restait toujours le même. Ce goût neutre, le goût de la déception.
.PS : désolé petit post, mais c'est pour vous faciliter la réponse x)
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Une halte au bar : la gifle des femmes, le faux début de bagarre. Une halte au bar : la gifle des femmes, le faux début de bagarre.  Icon_minitimeMer 17 Nov 2010 - 9:27

~~Fin~~

C'était sans rétorquer que mon compagnon me laissa boire tous ces verres malgré l'abondance d'alcool que j'aurai absorber dans mon corps en les buvant tous. Eichi resta muet du début à la fin, même lorsque j'avais atteint les cinq derniers verres, enfin qu'est-ce qu'il pouvait dire de toute façon ? Et peut être avait-il dit quelque chose ! Après tout, j'avais déjà bu beaucoup plus qu'un autre en me farcissant une tour, et pas n'importe laquelle, pas celle avec de petits verres, mais bien avec des choppes ! Autant dire que ma vessie me démangeait déjà après les trois premières choppes, cela relevait d'ailleurs du sadomasochiste que de tenter d'en boire douze de plus et pourtant, j'en bu sept autres. Au bout de ces sept-là, j'étais déjà saoul et c'était compréhensible, par ailleurs, c'était mon but de l'être afin de ne pas être allé au bar pour rien. Je continua donc mon pèlerinage dans les choppes d'alcool avec courage, je bu lentement, mais sûrement. Cette fois, pas cul sec bien sûr, je n'en avais plus la force après tout cet alcool, non, même tout ce liquide qui s'était écrouler dans ma gorge, j'étais d'ailleurs sur le point de vomir, mais je me retins afin de ne pas salir toute ma table ; une nouvelle fois. C'était d'une lenteur accablante que j'essayai de finir cette tour, je finis malgré tout à en venir à bout après une demi-heure d'attente pendant laquelle je pensai que mon camarade avait été muet, je n'en étais pas sûr étant déjà saoul.

Bref, je me leva d'un coup sec, m'appuyant les mains sur la table pour m'aider à lever. A ce moment, le rouge des hommes saouls se dessinait sur mes joues et je commençai déjà à voir flou, mais peu importe, je resta tout de même debout et me tourna vers ma gauche pour sortir de la table, j'abandonnai la table d'une main, et tout de suite, l'effet de l'alcool se fit sentir et je chancelai déjà, par chance, je réussi à m'appuyer sur le banc avant tout. J'abandonnai ma seconde main de la table et chancelant encore, je fis tout pour ne pas tomber sur le banc car tomber signifierait que je m'évanouisse... donc ; une fois bien placé, je tourna la tête vers le Chuunin à l'affinité du Vide et d'un sourire, je lui montra mon pouce, le faisant signe que tout irait bien. Avant de partir de ma table, je m'assurai de bien tenir debout en enlevant mes mains de tout support pour me tenir, chancelant au début puis retrouvant peu à peu mon équilibre, je commençai à fouiller dans ma veste des deux mains : d'une je sorti une liasse de billet qui me servirait pour payer la consommation d'aujourd'hui, et les futures consommations bien sûr étant donné que la valeur de cette liasse pouvait bien payer la tour et les deux verres d'alcool ; tandis que de l'autre, c'était une carte que je sorti avec écrit dessus « Carte de membre de la Taverne Uka Beer », elle me permit bien sûr d'avoir des réductions, mais aussi les alcool d'anciens temps. Je posai les deux choses que j'avais sorties sur la table, et m'appuyant une nouvelle fois dessus, je dis à Eichi :

« Surtout mec... prends bien soin de bébés... je ne veux pas qu'il leur arrive malheur parce que là, je suis responsable d'eux... »

En parlant de bébés, je parlai de verres, peut être ne me comprendrait-il pas, mais j'étais trop bourré pour penser à ça ; là, je ne pensai qu'à une chose... foutre une raclée au mec qui m'avait humilié près de trois quart d'heures plus tôt. Je sorti donc de ma table et marchai en essayant tant bien que mal que de ne pas tomber, bien sûr, pendant le trajet ; je perdu l'équilibre nombre de fois, mais je me rattrapai bien sur les tables des autres clients, le chemin fut ardu pour l'état dans lequel j'étais alors que pour un homme sobre, ce serait d'une facilité incroyable qu'il pourrait passer le trajet entre ma table et celle où je tentai d'aller. Puis, pas à pas, je fini par arriver à la table si convoitée où je voulais aller, et je vis que ce cher mec qui m'avait attaqué se saoulait avec rigolade, donc en le voyant rire alors qu'il m'avait gâché mon arrêt au bar avec le ninja roux, la colère m'envahissait encore plus qu'elle ne l'avait déjà faite. Donc, alors qu'il s'apprêtait à boire le liquide si précieux ; je plaqua mon avant bras sur sa tête et poussa sa tête dans le choppe où était l'alcool et appuya sa tête sur la choppe afin qu'il pose cette dernière sur la table, et je cria donc à ses compères :

« Alors !!! Comment ça va depuis ?! Vous amusez bien ?! Moi, je pète la forme et je m'amuse comme un petit fou avec ce garnement !! »

Les camarades de cet homme costaud qui m'avait gâché mon après-midi restèrent bouche bée étant surpris par cette attaque en traître sur leur chef, ça allait donc être au chef de réagir au bout de quelques secondes au bout desquelles il commençait à se noyer dans son propre alcool. Ne voyant qu'une solution pour sortir de ce guet-pied après avoir tenter de pousser sa tête vers l'arrière malgré mon bras bien collé à sa tête pour qu'il ne réussisse par à en sortir si facilement ; il leva avec une grande force la table, mon bras se poussa alors et je recula pour ne pas rester bloqué entre lui et la table, mais en soulevant la table, il avait aussi fait glisser les choppes déposées sur la table vers, ces dernières se brisèrent au contact de son crâne ; c'était étonnant qu'il réussisse à résister à ce choc, mais il le fit malgré tout, et criant un grand cri de colère, sûrement après non seulement avoir été noyé dans sa propre choppe, mais aussi et surtout après s'être pris ces grandes choppes sur la tête, il positionna la table vers moi, par peur, je me recula jusqu'à ce que je sois bloqué par un mur. Un simple « Oh oh » sortit de ma bouche, il fonça alors vers moi avec la table tel un bélier, j'essayai donc de me protéger avec les bras et en faisant bien attention à ne retrouver aucune des parties de mon corps plaquées par les pieds de la table, je me pris donc la table, les pieds de celle-ci perçant, éclatant même le mur derrière moi, mais heureusement, plusieurs couches avaient été aménagées et la bagarre n'allait pas se dérouler à l'extérieur.

Quant à moi, j'avais résisté en me protégeant, mais ce n'était pas fini car le gros costaud avait lâché la table et levé la main sur moi pour me tirer vers lui, cependant, j'esquivai en me baissant, et pourtant il attrapa un bout de mon foulard avec ces deux doigts et tira, je senti que le tissu allait se détacher... à ce moment-là précis, je me souvenu que j'avais fait la promesse de ne pas me défaire de ce bandeau à la vue des autres... donc je poussa ma tête vers lui comme si j'avais été attrapé, le foulard ne s'enleva heureusement pas, je fonça donc tête baissée vers lui et je cogna la table assez fort pour la traverser avec mon crâne. Une blessure superficielle s'était dessinée sur mon visage comme une trace rouge ressemblant à une coupure, ma tête atterrit finalement dans le ventre garni du géant costaud et je poussa la table avec mes mains pour charger comme il l'avait fait, mais j'avais quelque chose en plus contrairement à lui : je l'avais déjà frappé au ventre. Il se laissa donc faire et je le plaqua au mur avec force ; il était alors assommé, la bave coulant de sa lèvre inférieure. Un ricanement sortit de ma bouche et j'essayai donc de sortir ma tête de la table... cela ne fit rien, je tenta une nouvelle fois, toujours le sourire aux lèvres et sûr de moi, mais toujours rien... je resta muet face à cette nouvelle... j'essayai encore une fois, rien ne fit...

« Hum... messieurs dames et demoiselles j'espère... je crois que je suis bloqué... donc si vous auriez l'aimable amabilité de me sortir de ce guet-apens, je vous en serai gré. »

C'est alors que les deux compagnons de l'homme que j'avais assommé commencèrent à me botter les fesses et me frapper au dos pendant que j'étais bloqué, en les sentant me frapper, je tentais tant bien que mal que de sortir ma tête d'ici en tirant avec mes mains et en poussant même mon postérieur vers l'extérieur, ce qui était une très mauvais idée d'ailleurs car je me fis botter le cul d'une force encore plus grande, je gémi donc en étant bloqué et en essayant malgré tout de m'en sortir... Je restai donc bloqué, me faisant frapper de toute parts ; j'avais même l'impression que d'autres me frappaient, c'est dire...


~~ … Ou pas ? ~~
Vijay Jagdish
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Eichi :
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Shnigami :
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