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Une rencontre devant les reliques du passé...  Sujet: Une rencontre devant les reliques du passé...  Lun 22 Nov 2010 - 20:34 | |
| Je courrai rapidement dans la forêt à une vitesse phénoménale, j'étais habitué à courir et je commençai à aller de plus en plus vite après tout. Je finis par passer un amas de branches devant moi pour sortir de la forêt. La nuit éclairée par la lune et arborant mille étoiles s'offrait à mes yeux, ce vaste ciel recouvert d'étoiles était d'une beauté presque trop belle pour être réelle. J'admirai le paysage qui me faisait face, devant moi, une cascade faisait l'impasse et un peu plus loin, avec un peu près la même distance de la cascade jusqu'à la forêt que je venais de quitter, se trouvait une autre forêt ; avec une forêt d'un bout à l'autre, on voyait bien que l'on était dans le pays de Feu à la végétation luxuriante et paisible. Le son de la cascade dominait à cet endroit, je l'avais même entendu de loin car il écrasait les autres sons provoqués soit par les animaux, soit par le vent ou une présence extérieure, je ne m'avais d'ailleurs pas entendu courir et les branches bougés à mon contact. La roche assombrie par la nuit avait une couleur charmante qui pourrait inspirer un peintre, la nuit et l'atmosphère tranquille ainsi que les sons mélodieux de la cascade donnaient à cet endroit une grande nostalgie... oui, j'aimai ce genre d'endroit, malgré mon caractère, j'aimai la mélancolie que me procurait ces lieux aussi paisibles et calmes, ça me rendait calme et tranquille, je pouvais penser en paix... pourquoi étais-je ici, au pays du feu, hormis pour apprécier un tel endroit ? Car malgré le fait que cet endroit me convenait au mieux, je ne l'avais trouvé que par hasard, et c'était une chance pour moi qui avait besoin de me rafraîchir les idées et de me vider la tête.
C'était pour une raison bien simple que j'étais sorti du village de Kiri pour aller jusqu'au pays du Feu : tout simplement pour me dégourdir les jambes, non pas que j'étais en mission, mais juste que je voulais un air frais, du changement, je ne voulais pas rester planté à Kiri. Bien entendu, j'aurai pu prendre une mission mais... je n'avais pas de coéquipier et je n'aimai pas faire de mission seul, de toute façon, je n'appréciai guère exécuter des missions. Enfin, il fallait bien bosser pour gagner sa vie donc je ne rechignai pas à la tâche, mais à la seule condition que les missions ne se firent pas seul, pourtant je ne pouvais pas vraiment trouver de compagnon d'arme afin de me suivre en mission car, après tout, je n'étais à Kiri que depuis un an ; je n'avais pas vraiment eu l'occasion de me faire de fidèles camarades en ce laps de temps assez court. Oui, j'étais devenu Chuunin à Kiri en seulement une année, enfin mon âge y était pour quelque chose, mais j'avais aussi un don, un talent naturel pour suivre la voie du Ninja. Vous me demanderez cependant comment j'ai fait pour devenir un Ninja confirmé en seulement une petite année alors que je n'aimais pas les missions seul. Et bien, figurez-vous qu'heureusement, avant de devenir Chuunin, j'avais été placé dans une équipe, et grâce à la compagnie que me procurait mes deux coéquipiers, mais surtout mon Senseï comme il était de ma génération, j'avais accepté d'enchaîner les missions. Ainsi, je m'étais déchaîné et finissait les missions en un très court temps, je ne négligeai pourtant pas le travail d'équipe, et malgré mon enthousiasme à garder la solidarité de l'équipe intacte, mes deux coéquipiers échouèrent lors de l'examen Chuunin qui se passait à Konoha comme l'année dernière, ils avaient perdu à la troisième et dernière épreuve, j'étais le seul à avoir réussi, l'équipe fut alors dissoute car je la quittai, étant plus gradé qu'eux, et maintenant, je cherche encore des coéquipiers... à la fin, je voulu prendre congé car je m'étais fatigué en un an de missions en continu et une activité aussi grande, c'était le Mizukage Aiku qui m'avait autorisé à prendre ce congé afin de prendre repos amplement mérité avec toutes les missions que j'avais effectuées pour le village dans l'année.
Malgré cette fatigue, j'avais couru pendant tout le trajet qui représentait normalement dix jours, de plus, il y avait la mer à traverser et je n'avais pas pris le bateau, mais j'y étais allé à pied en marchant sur l'eau grâce à une technique que m'avait appris mon Senseï. La fatigue ne m'empêchait pas du tout de courir, j'avais appris à me servir de mes jambes depuis ma « tendre » enfance : je courrai pour me nourrir, aussi bien en travaillant qu'en volant, enfin la différence entre les deux est très minime si on les compare vraiment et que l'on voit qu'il y a le même objectif à la clef. Puis l'adolescence arriva et j'en avais eu marre de voler, je vivais donc la pauvreté lorsque cette « femme » arriva, elle me sortit des ghettos de mon village et ne je ne courrai plus seulement pour moi, je courrai même uniquement pour « elle ». Puis vint la rupture, nous allions faire une pause car on avait découvert notre relation, elle m'envoya alors à Kiri : je courrai maintenant pour devenir un grand Ninja... mais cette fois, c'était différent, je courrai pour moi et moi seul afin de pouvoir respirer un air frais. Cependant, avec toutes les courses que j'avais faites dans ma jeunesse, j'avais gagné en rapidité et en dextérité, mais surtout en endurance, et grâce à cette caractéristique, j'avais réduit le temps du voyage à seulement une semaine. Pour réduire de trois jours le voyage, j'avais couru nuit et jour en ne prenant que trois heures que sommeil, enfin trois heures me suffisaient bien pour pouvoir repartir le lendemain, moi qui n'était jamais aller au pays du feu, j'avais apprécié le paysage qui s'était offert à moi tout le long, ce que l'on disait sur le pays était bien fondé, mais je ne m'étais pas arrêté jusque là, c'était juste cet endroit qui m'attirait particulièrement.
Je n'étais pas épuisé à l'arrivée, au contraire, j'étais toujours bien en forme, j'avais la chance de ne pas avoir d'asthme et l'endurance me permettait de bien respirer pendant mes courses. Je me dirigeai alors vers la cascade, je monta une pente et observa le cours de l'eau. Je vis mon reflet éclairé par la pleine lune et les étoiles qui faisait de la nuit un spectacles de lumières. Je détourna mon regard du flot et vit la roche devant, je ne l'avais pas remarqué car elle était caché par la pente, mais cette roche... elle avait été sculptée pour dessiner une figure, mais en observant le tout, on voyait que pas seulement la figure avait été sculptée, mais c'était tout un corps, un géant travail d'artiste si j'ose dire. Mais je commençai à découvrir quelque chose de la pente que j'avais monté, pour m'en assurer, je me dirigeai vers le vide et me laissa tomber comme une plume, en tombant, je réalisa que la pente que j'avais monté était la tête d'une autre statue faisant face à celle que j'avais découverte en premier, en confirmant mes doutes, je me tourna et mis mon pied sur la roche pour le faire glisser tout le long, une fois un pied sur, je mis l'autre et glissa avec les deux ; proche du sol, je fis un salto et retomba sur mes pieds. Je marcha alors en m'éloignant de la cascade et une fois à bonne distance, je me tourna pour apprécier le panorama des deux statues entourant la cascade. Je resta une dizaine de secondes sans rien faire puis me rapprocha de la paroi du mur et m'assit, collant mon dos à mur et restant tranquillement ici avec un calme paisible...
« Qu'est-ce que... je fais ici ? » |
 
Hunk Moroshi~ Chef Anbu de Kumo ~ ▌Sanction : Aucune ▌Messages : 2427 ▌Age : 29 ▌Inscription : 29/06/2010 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang A ; Level 23 | Points Naruto Ninja RPG | :     (1377/2000) | Âge du personnage | : Inconnu. | Sujet: Re: Une rencontre devant les reliques du passé... Mer 24 Nov 2010 - 18:32 | |
| La maladie. Une maladie qui ronge. Qui ronge une Clan. Lentement, membres par membres. Que cette personne est réalisée de grande chose pour son village ou qu’il soit un membre s’occupant juste de la paperasse du Clan. Cette maladie qui vous attrape violement par la cheville et vous entraine lentement dans les bas-fonds de la terre, rejoignant les autres damnés pour subirent les miles et un supplice d’un vice démon, une affection. Des supplices plus immondes et pervers les uns que les autres. Des supplices qui vous subissez tout les jours, au quotidien. Des tortures qui vous pourrissent de l’intérieur. Comme un ver qui serait longé dans votre estomac. Un ver qui vous grignoteriez morceaux par morceaux. Ce nourrissant de votre intérieur chaque jour de votre misérable vie. Vie qui ne sera de plus en plus difficile chaque seconde, chaque minute, chaque heure. Chaque fois la douleur augmente, vous rendant faible, vulnérable.
Un mal exploitable ? Peut être. Du moins c’est sur quoi était entrain de débattre certains membres au gradé dans la hiérarchie du Clan Hantaa. Quatre, ils étaient quatre. Pour l’instant. Chaque membre représenté une branche du Chapitre. Les apothicaires sanguins représentés par Sicarus. Grand médecin reconnu des siens, ainsi que des habitants du village de la feuille. Kando, il représentait les membres des escouades Dante. Rapide et efficace de par sa précision à éliminé les ennemies à distance, il monta rapidement en grade. Le troisième était le chef symbolique des ninjas des escouades Astorath. Skrike. Skrike était son nom. D’une brutalité sans pareille, il sait mener ses hommes au combat d’une main de fer. Et finalement le dernier mais non des moindres. Le représentant des Gardiens des Egarée, Coteaz.
Ils étaient quatre dans une pièce. Une pièce rectangulaire seulement meublé d’une grande table basse, éclairé à la bougie. Un silence révérencieux tomba lentement sur l’assemblé et chaque personne présente posa un genou à terre quand l’une des icônes du Chapitre pénétra dans la pièce. Coteaz se sentit faiblir à la vue du Dieu vivant, revêtue de sa magnifique armure à la couleur d’un métal précieux jaunâtre. Enveloppé dans sa bure d’une pureté sans pareil. Sans dire un mot, le nouveau venu désigna du doigt le seul meuble de la pièce. Lentement, comme s’ils rechignaient à ne plus témoigner leur vénération, les représentants se remirent s’avançant d’un pas lourd vers la table basse, pour finalement s’assoir en face.
L’être d’or s’avança lentement vers la petite assemblée et se posa à son tour dans un cliquettement métallique. Il les regarda tour à tour toujours dans rien dire. La tension qui régné dans la pièce était tendu. Un être si mystérieux du chapitre était venu on-ne-sait-comment dans la bâtisse du Chapitre. Il était là, point. D’une voix grave, il annonça :
" Mes frères, si je suis venue en ce soir bénie c’est pour une seule et même raison. Comme vous le savez tous, la Rage du Sang menace notre Clan et nous devons la réinvestir pour ne pas sombrés dans l’oublie et la honte. "
Les confères se regarderaient tour à tour. Ils connaissaient tous les risques de provoquer cette maladie. Et notamment Sicarus ainsi que Coteaz. Avec un sourire discret le Garde du Sang leva lentement son bras et d’un pas commun quatre personnes pénétraient dans la sombre pièce. Les deux premiers étaient habillés d’un simple bout de tissu sale. On aurait put les comparer à des animaux. Poussant des beuglements et tirant sur les chaines qui étaient enroulées autour de leur cou. Les deux hommes derrières retenaient d’une main de fer les deux possédés. La même cagoule mortuaire que portait le Hantaa Coteaz était sur leurs tête à la seule différence que eux, ils n’avaient pas de lunettes.
Le plus jeune Hantaa ce levant immédiatement écrasa de table basse de ses deux poings fermés telle des boulets de canon. Serrant les dents il regarda l’être mystérieux dans les yeux. Le Gardien des Egarée avait compris où il voulait en venir. Leva violement le bras et désigna d’un doigt fautif les deux choses.
" Vous…Vous voulez les utiliser sur le champ de bataille !? Mais vous avez perdu la raison ! Ils sont bien trop instables ! "
Sicarus ce leva lentement et posa une main sur le jeune homme, l’invitant à s’assoir alors que les deux autres commandants avaient portés leurs mains sur leurs glaives. Grommelant de rage, il s’assied lentement. L’être d’or regarda les deux guerriers et leurs demanda d’un hochement de tête de sortir de la pièce. Ce levant, ils portèrent un dernier regard sur Coteaz. Un regard remplie de haine et de méchanceté. Les quatre nouveaux venus les suivirent sans un seul mot. Le géant annonça d’une voix monotone :
" Je peux comprendre ton sentiment Coteaz. C’est pour cela que dans la mesure où tu es le plus compétent des Gardiens des Egarés disponible. Tu les mèneras le plus souvent en mission avec toi. "
Il approcha sa main de la bougie et d’un geste vif l’éteignis avec son doigt. La pièce fût brusquement plongée dans l’obscurité la plus totale. Le Gardien des Egarés resta de marbre. Sans dire un mot. D’un geste lent et sûr, L’apothicaire sanguin ralluma la bougie. A la grande stupéfaction des deux guerriers le dixième Garde du Sang avait disparu en une fraction de seconde. Un soupir s’empara des lèvres du jeune homme. Sicarus quitta la pièce, adressant un dernier sourire à Coteaz. Le ninja sortit à son tour. Une fois qu’il eu sortit, il aperçu les deux animaux précédemment rencontrés. Une brève vision aperçue dans son esprit. La vallée de la fin… Oui. Cela sera parfait. Pensa-t-il. Cela sera leurs fins ! Attrapant les deux membres par leurs colliers respectifs et s’avança vers la sortie du Clan Hantaa. Engendrant le pas, il sortit enfin de la bâtisse du Chapitre et se retrouva dehors, dans la rue. Balayant la scène du regard, Coteaz essaya d’avançait une nouvelle fois. Les beuglements des animaux commençant à lui taper sur les nerfs. Le ninja serrant le poing et l’envoya violemment sur l’un des deux humains. La seule réponse que le Juunin reçus fût un autre beuglement et la réaction ahuri d’une vielle dame qui passait malheureusement par là.
Coteaz laissa échapper un grondement. Pour lui, ces animaux devraient mourir simplement. Ne pas être utilisé dans des combats sanguinaires. Le Gardien des Egarés ataman alors le voyage. Il dura plusieurs jours. Enfin. Le jeune homme ainsi que les deux démons étaient finalement là. Dans la vallée de la fin. Ce lieu culte. Où étaient-ils précisément ? En haut de l’un des deux géantes statues… Sur la tête. Le ninja d’une vingtaine d’années avait ‘’ volé en quelques sortes un Crozius Arcanum. Une sorte de petite masse énergique. Les deux animaux, eux. Etaient au bord du précipice. Criant comme des possédés tout en donnant des coups dans le vide. Coteaz soupira, entamant un début de prière et donna un premier de masse et atterrie dans la mâchoire inférieure du plus proche des deux. Il tomba. Envoyant un deuxième coup le deuxième tomba à son tour dans un fracassement d’os…
" Amen… "
Coteaz s’approcha d’un bord et remarqua les deux corps brisés. Le ninja descendit tranquillement de la statue. Il arriva près des deux corps inerte. Le jeune homme remarqua alors un autre ninja, mais lui, n’était pas mort. Il écouta ses paroles.
" Excuse-moi… Pour les deux corps qui viennent de tomber… "
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| Sujet: Re: Une rencontre devant les reliques du passé... Mer 24 Nov 2010 - 21:26 | |
| De grands cris m'extirpèrent de ma méditation dans laquelle je m'étais plongé en me trouvant dans cet endroit, ces cris résonnèrent dans toute la vallée où j'avais décidé de m'arrêter, ils étaient fortement semblables à ceux d'animaux, mais on entendait une légère différence, des cris d'humain donc ? Des cris si semblables à ceux d'animaux pourraient donc être ceux d'humains ? On aurait pensé qu'ils avaient atteint leur limite en tant qu'Homme et s'étaient transformés en féroces animaux sauvages sans cervelle après avoir franchi un pas devant la frontière qui séparait les hommes des animaux. Dérangé par ces bruits, je n'eus d'autre choix que de me lever pour faire taire ces cris, je serai même allé jusqu'à employer la force, voire le Ninjutsu car ce n'était pas le moment de me gêner, moi qui voulait du calme sans bruits parasites, et encore moins de cris aussi bruyants que dérangeants. Je mis mes deux mains au sol et prit appui sur elle, plaçant ensuite la main droite contre la paroi, la poussant vers le bas pour réussir à me lever, je me tourna par la suite vers la cascade entouré des deux statues représentants deux hommes habillés de la même tenue et faisant un signe incantatoire d'une main. Je regarda alors en haut pour voir si les cris venaient d'en haut, et j'avais effectivement raison, mais c'est au moment où je regardai qu'un homme tomba alors au sol, on entendit ses os craquer d'ici, il était sans nul doute mort, mais était-il bien mort de cette chute ? Il était fort probable, mais je n'étais pas complètement sûr, et pourtant, malgré le fait qu'un homme soit tombé, les cris continuaient, ils avaient pourtant diminué de volume, et là, un autre homme tomba, ses os craquants aussi au sol, ils avaient tous deux péris, c'était sûr.
J'allai alors m'approcher d'eux pour vérifier leur état, voir s'ils étaient vraiment morts de la chute, certes il était quasiment sûr qu'ils étaient morts à cause de leur chute, mais je voulais en avoir la preuve, une intuition me poussant à les observer, et de toute façon, j'allais quand même aller voir comme j'avais assisté à leur mort. Cependant, quand je m'approcha, c'était encore un autre homme qui chuta, mais lui, réussit son atterrissage en beauté, on voyait bien qu'il savait ce qu'il faisait, il jeta un rapide coup d'œil aux deux cadavres inanimés et sans vie. Cet homme avait à la tête une cagoule, ce couvre-chef donnait de l'ombre à son visage et on ne pouvait le voir caché par ce voile sombre créé par la cagoule ; cependant, en voyant de plus près, on distinguait deux lumières, étaient-ce les reflets de ces yeux ? Non, ces reflets étaient trop voyants pour être le reflet de ses yeux, alors j'observai plus attentivement et en voyant de plus près, je vis des lunettes, des lunettes de soleil, celui qui me faisait face portait des lunettes de soleil ainsi qu'une cagoule, on avait l'impression qu'il voulait cacher son visage du monde. Il me sortit de mes pensées qui se concentrait sur son examen en prenant la parole :
« Excuses-moi.. pour les deux corps qui viennent de tomber... »
D'après ses paroles, il semblait que ce soit lui l'investigateur des faits, mais je ne pouvais en être sûr sans lui poser la question. Cependant, demander à un inconnu qu'on vient juste de rencontrer s'il avait fait tombé intentionnellement ces hommes ou pas n'était en aucun cas recommandable. Ainsi, je me devais avant tout de briser la glace en répondant à la question de l'homme qui me tutoyait sans utiliser aucune formule de politesse, même pas un bonsoir, enfin, ça me convenait très bien comme ça car je n'aimai pas passer par tout ce tralala pour finalement arriver à tutoyer mon interlocuteur. Et puis, quel meilleur moyen d'introduire une conversation par le tutoiement ?
« Hm, ce n'est pas ça qui m'a gêné le plus, c'est surtout les cris qui m'ont gênés... répondis-je à sa tentative d'excuse. A propos de ces cris, ils venaient de ces hommes n'est-ce pas ? »
Je n'attendais pas une réponse immédiate à cette question, d'ailleurs, je ne voulais pas d'une réponse immédiate, car avant toute chose, je souhaitai demander s'il était la personne qui avait causé la mort de ces deux hommes. Je poussa donc un soupir à l'idée de poser cette question, après tout, c'était une question délicate à poser, qui plus est, je n'avais aucune preuve, je ne pouvais cependant laisser la mort de ces deux personnes sans explication. Pourtant, je rechignai à l'idée de demander à un inconnu qui n'avait peut être rien fait s'il avait tué les camarades qui, visiblement, l'accompagnaient. Malgré tout, l'endroit où l'on se trouvait, lui et moi, m'aida à poser ma question, car après tout, nous étions dans une vallée, et il était facile de tuer les gens par ici en faisant passer cela pour des accidents, qui plus est, il y avait aussi les statues : ces statues qui se faisaient face, montrant chacune un mudra qui, en approfondissant un peu plus, voulait dire que les deux hommes montrés sur cette statue allaient combattre tous les deux, et dans ce duel, sûrement y avait-il un mort comme dans quasiment tous les duels. Donc, quelle plus belle mort que d'être tué dans un lieu où la mort était déjà venu ? Je prenais maintenant un peu plus confiance en mon intuition maintenant, car vu l'endroit où les deux hommes étaient morts, on pouvait facilement penser que cette mort avait été préméditée...
« Et autrement... j'ai une question assez délicate à te poser... ces hommes qui ont chuté de la falaise... comment sont-ils tombés ? Ou bien.. étaient-ils morts avant de tomber voire destinés à tomber et donc, à périr ? »
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Vijay Jagdish~ Fondateur & Ninja de Jiyuu ~▌Sanction : Aucune ▌Messages : 5547 ▌Age : 31 ▌Inscription : 09/03/2008 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang S ; Level 25 | Points Naruto Ninja RPG | : (203/1000) | Âge du personnage | : 26 ans  | Sujet: Re: Une rencontre devant les reliques du passé... Lun 20 Déc 2010 - 22:51 | |
| Akira :
- 27 pts NNR.
- 21 pts NNR.
Total = 48 pts NNR.
Coteaz :
- 24 pts NNR. |
Hunk Moroshi~ Chef Anbu de Kumo ~ ▌Sanction : Aucune ▌Messages : 2427 ▌Age : 29 ▌Inscription : 29/06/2010 Feuille de Ninja | Rang / Niveau | : Rang A ; Level 23 | Points Naruto Ninja RPG | : (1377/2000) | Âge du personnage | : Inconnu. | Sujet: Re: Une rencontre devant les reliques du passé... Mer 17 Aoû 2011 - 20:06 | |
| Bonjour/Bonsoir.
Direction corbeille.
Hunk. |
| Sujet: Re: Une rencontre devant les reliques du passé... | |
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| | Une rencontre devant les reliques du passé... |  |
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