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Assurer l'avenir, anéantir le passé (topic solo)Sujet: Assurer l'avenir, anéantir le passé (topic solo) Ven 3 Juin 2011 - 14:09 | |
| Le temps est une chose étrange qui semble se perdre dans le fin fond d’un néant impossible à imaginer clairement, une créature fantasque dont la ramure d’argent s’étend sur une toile infinie que seuls la lumière et les ténèbres peuvent caresser de bout de leurs corps immatériels et si pesant. Agissant comme une forme de vie même sur chaque être de ce monde, le temps est la balance qui guide l’univers lui-même sur une route tissée par un démon nommé destiné. Il est étrange de voir comment parfois les deux s’unissent pour créer des choses complètement ahurissantes, des évènements auxquels jamais nous ne pouvions vraiment nous attendre, une fin inéluctable qui ne tend qu’a créer un monde où seul l’incertitude du lendemain prédomine, mais qui tend ainsi à créer un univers dans lequel la vie peut être douce à accepter seulement car il est impossible d’en concevoir le futur. Ainsi, il m’était réellement étrange de voir comment mon propre destin s’était finalement dessiné sachant que pourtant je répugnais à accepter l’existence d’une chose aussi puissante et fantasque qui à mes yeux n’était qu’une chimère manipulée par les démons qui siégeaient dans les grandes forteresses du ciel et que l’on nommait couramment les dieux. Mais pour une fois, même si c’était étrange et fascinant de tenter de faire une lecture de cette si terrifiante entité, je ne pouvais qu’être étrangement surpris de la façon dont mon propre destin s’était ainsi tissé afin de rejoindre une toile nouvelle qui allait à présent devoir dicter ma conduite et mes actes car je n’étais plus l’électron libre qui a vais comme grande liberté de pouvoir choisir ce pour qui et pour quoi il voulait travailler, mais un homme qui devait se montrer en tant que chef d’un troupeau d’humains qui pourtant n’avaient comme attribut que d’être des rampants se prosternant et rampant dans une boue infecte. Toutefois, je prônais souvent la règle de l’évolution qui devait obliger mes ennemis à s’adapter à ma propre personne, le loup chassant les moutons, une règle qui imposait aussi à ceux qui me côtoyaient de s’adapter à la situation que j’imposais à ce monde par ma seule et unique présence, et à présent je devais aussi me l’imposer, car en tant que dirigeant, si je ne voulais pas perdre cette place que j’avais gagné par le prix d’une tragédie qui avait été nécessaire mais qui pourtant ne m’inspirait qu’une certaine forme de dégouts, je me devais de me conduire en dirigeant de nation et de protéger ce peuple, ces moutons que pourtant je craignais et voyais indigne de ma propre personne.
Ce rôle d’ailleurs de chef, de dirigeant était bien difficile à endosser car le travail qui allait de paire avec n’était pas des plus communs, et je n’avais jamais eu à faire à ce genre de responsabilités, moi l’homme qui n’était habitué qu’a vivre dans son éternelle et satisfaisante solitude, la lame de mon katana reposant contre moi, le garde sur mon épaule, adossé à un arbre lors des nuits froides et solitaires, seul face au feu, dormant avec l’appréhension et le désir de ressentir le danger frapper à l’improviste. A présent bien que je savais que le danger pouvais aussi frapper à l’improviste même dans cette situation, ayant moi-même fait chuter le précèdent raikage lors d’un assaut surprise brutal et expéditif, je me sentais entouré d’une étrange sensation de sécurité à laquelle je n’étais plus habitué, celle d’une sorte de foyer qu’il était étrange mais pas forcement déplaisant de côtoyer. Oui, suite au meurtre violent et implacable que j’avais effectué sur l’ancien Raikage qui à présent nourissait les vers de son corps de pêcheur céleste, j’étais à présent devenu le nouveau chef de ce village qui avait pas mal souffert de cet assaut que j’avais lancé avec la complicité de ces bêtes de foires qui servent de piétailles au groupe d’Hakumei, et j’avais aussi pu avoir l’aide des chacals qui faisaient partie du conseil du village et qui était en grande majorité corrompu à ma cause. D’ailleurs en parlant d’eux, trois d’entre eux n’étaient plus, assassinés le soir même de l’attaque à coups de kunai, bien que leur mort ne m’attriste guère, c’était une perte tout de même regrettable. Même si ils ne méritaient guère leurs places, et même la bénédiction de ma protection, ils étaient utiles à leurs façon, car j’arrivais à tirer d’eux tout ce que je désirais, les agitant comme de vulgaires pantins de chaires et de sang, ce qui leur convenait d’ailleurs le mieux, telle était la place de créature aussi répugnante que ces vers corrompus par leur propre terreur. Les premiers jours de ce règne, qui n’avait été acquis que par la tragédie et le sang chaud coulant le long des parois de verre de la destinée, avaient été des plus difficiles car en plus de devoir supervisé la reconstruction du village dans les secteurs les plus touchés par l’attaque du groupe pour lequel je travaille sous contrat de mercenariat et mes propres assauts, je devais aussi emmagasiner une quantité faramineuse d’informations en rapport avec l’économie du village, sa situation vis-à-vis du monde ninja lui-même et ce qui était en rapport à ses trésors et coutumes même, une quantité de choses à retenir et à travailler qui n’était guère simple parfois à retenir ou enregistrer parfaitement. Ainsi, de par les documents qui m’avaient été donnés et que j’avais du travailler, j’avais pu découvrir que peu avant son exécution, Kanna avait eu une entrevue avec la Mizukage afin de créer avec elle des relations diplomatiques visant à améliorer l’entente entre les deux nations et ainsi à un compromis de non agression, et même d’alliance d’après ce que j’avais pu en juger. Ce qui venait de se dérouler ici aurait tôt fait de parvenir aux oreilles des autres villages, et particulièrement de Kiri qui ainsi était censé être l’allié premier de la nation de la foudre, ainsi je me devais d’envoyer un courrier afin que la nouvelle parvienne à la Mizukage de façon officielle que par des rumeurs parfois déformées. Un bureau m’avait été dévolu de façon provisoire en attendant que le sommet de la tour soit reconstruit, car je n’y avais pas été de main morte, et tout le sommet du bâtiment s’était écroulé, entraînant dans sa chute les deux étages précédents. La pièce en elle-même était assez rudimentaire et appartenait à un des membres du conseil récemment éliminés par cette femme que j’avais laissé survivre… Je n’avais aucun grief particulier contre elle, mais il fallait à présent lui donner la chasse avec forte vigueur, tel était le souhait de ce maudit conseil. Le bureau qui m’avait été dévolu en attendant la fin des réparations était ainsi peu spacieux et rempli d’armoire contenant nombre de dossiers auxquels j’avais bien du mal de comprendre grand-chose, mais il était nécessaire ainsi d’en prendre connaissance… Toutefois je n’aimais guère cette pièce du fait qu’elle ne portait aucune identité réelle et n’appartenait réellement qu’à un stupide gratte papier dont le seul intérêt jusqu’à sa mort n’avait été que le sien. Adossé à une chaise de bois dont le confort était lui aussi plus que rudimentaire, j’étais donc penché sur un morceau de parchemin sur lequel je griffonnais rapidement un message à porter à la Mizukage, tentant de rapidement trouver les bons mots car une autre tâche des plus importantes m’attendait en rapport à une chose que j’avais tantôt découvert en rapport aux légendes du village et qui devait être le plus rapidement traité avant cette possible entrevue. Trempant une plume d’aigle dans un petit encrier, je me mis à rédiger un rapide message :
« Chère Mizukage, Ayant connaissance des entrevues effectués avec l’à présent ex-raikage Kanna, je sollicite une entrevue avec vous afin de prendre compte des engagements effectués et de la possibilité de les faire perdurer à présent que le régime à changer. Kanna a été abattu lors d’une bataille qui visait à son élimination, afin de sauver le village des griffes d’un tyran qui avait perpétré d’après certaines informations un génocide. Je vous informe ainsi que moi, le nouveau Raikage joindrait votre village sous peu. Je vous pris de prendre en considération mes respectueuses salutations. Setsuri Hazu, Rokudaime Raikage. »
Le message était terminé, aussi après l’avoir enroulé et scellé avec un sceau officiel, je le confiais au pigeon messager que j’avais tantôt récupéré, et après lui avoir attache le rouleau à la patte droite, je le jetais dans le ciel par la fenêtre de ce ridicule bureau. Le départ se ferait d’ici quelques jours, le temps de laisser le message arrivé, et de régler ainsi cette affaire qui était des plus importantes. Mais une mesure devait être prise afin d’assurer une certaine surveillance du village en mon absence qui pourrait durer un certain temps. Je ne faisais encore guère confiance au conseil lui-même, ni aux ninjas du village… Après quelques minutes à tourner et virer dans le petit bureau, une idée me vint tout simplement, les seuls êtres en qui j’avais encore une confiance absolue étaient les invocations qui étaient miennes. Les deux démons qui étaient les plus aptes à réaliser ce travail de maintiens du village en mon absence étaient évidemment le roi des créatures maudites ayant sombrés dans les abysses du mal, Kuroshi le roi des bêtes démoniaques, et la créature sombre qui avait reçu la direction des archives et des connaissances du monde infernal, Eishi. Toutefois il m’était aussi nécessaire de faire appel à une personne de type humain afin d’assurer une certaine forme d’interim, car peu nombreux sont les humains capable de soutenir le regard d’une bête maléfique comme ces deux là… Aussi je portais mon choix sur une jeune femme de mon service d’espionnage, celle en qui j’avais à présent le plus de confiance, du fait que celle qui me servait le mieux avait été tuée durant l’attaque par cet abruti de Gargonith qui allait comprendre sous peu qu’il n’était que bien peu avisé d’éliminer ma main d’œuvre, et surtout en traître. Les espions de qualité se faisaient rares, c’est pourquoi il m’était insupportable de perdre de bons soldats dévoués. La jeune femme en question était une bleue pour les autres qui travaillaient secrètement sous mes ordres, mais elle m’était dévoué, et montrait de grandes aptitudes dans l’art auquel je l’avais affilié… Aussi, je lui fis parvenir un message lui demandant de se tenir prêt à assurer une forme d’interim conjointement à Eishi, ainsi deux personnes dirigeraient le village selon mes vœux durant mon absence.
A présent que cette affaire était reglée, une autre m’attendait… |
Sujet: Re: Assurer l'avenir, anéantir le passé (topic solo) Ven 3 Juin 2011 - 23:07 | |
| Il y a des choses qui ne devraient jamais être, des choses qui appartiennent parfois au futur, au présent lui-même ou tout simplement au passé. Les choses du présent sont les plus difficiles à combattre car il faut alors se dresser contre elles et les affronter sois même afin de s’assurer un avenir dans lequel une créature chimérique plus redoutable que les ténèbres elles mêmes n’auraient ainsi plus aucune place. Il existe des créatures qui viennent d’époques différentes qui à elles seuls peuvent représenter des menaces parfois bien plus grande encore que l’espèce humaine, alors que pourtant elle représente elle-même la menace la plus pesante qui soit, les hommes se laissant corrompre par leurs pêchés et leur orgueil démesuré. Si les créatures du présent sont celles qui sont le plus difficiles à combattre, celles du passé et du futur ne sont pourtant pas aussi simple qu’on pourrait l’espérer, car les démons de l’avenir ne peuvent être combattus qu’en éradiquant les menaces du présent, ou du passé, tandis que les chimères du passé ne sont que des démons affaiblies par le temps mais dont les crocs restent encore assez aiguisés pour réussir à arracher le cœur du plus fort des guerriers. Il est des choses qui ont existés et qui pourtant jamais n’auraient du avoir leur place en ce bas monde, car étant d’une nature trop dangereuse pour se permettre d’avoir le droit d’être touchés par les mains odieuses de l’homme qui aurait tôt fait de s’en servir pour assouvir une cupidité sans nom qui lui est inhérente depuis sa création. Il existe en ce bas monde des légendes, des monstruosités, des armes qui possèdent un tel potentiel destructeur qu’elles représentent par leur simple existence un risque tel qu’elles ne sont plus qu’une menace à éradiquer de toute urgence. Et de ces menaces, il en existait quatre qui se trouvaient être les trésors national du village caché de la foudre et que l’on nommait les ‘armes du sage des 6 chemins’, la première se trouvait être une sorte d’éventail portant le nom de Palme Banane et qui avait l’étrange capacité de pouvoir recréer divers effets liés aux 5 éléments sans effort aucun. La seconde se nommait la Corde de Clarté qui permet de soustraire l’âme de la personne touchée avec la corde afin commencer le rituel de scellement, la troisième arme nommée l’Epée des 7 étoiles a la capacité d’enregistrer le mot favori de la personne touchée par la Corde Clarté après avoir tranché l’âme en partie extirpée par cette dernière, et la dernière des 4 qui se nomme la Gourde Cramoisie aspire le fragment d’âme découpé pour l’enregistrer et aspirer le reste si jamais la victime venait à garder le silence trop longtemps ou à prononcer son mot favori.
Ces armes à elles seules représentaient une menace telle qu’il était intolérable à mes yeux de les laisser en circulation, elles étaient une menace trop évidente si jamais elles tombaient entre de mauvaises mains, ou entre celles de ceux qui auraient tôt fait de tenter le tout pour le tout pour venger la mort du précèdent Raikage, car je le savais, il devait rester dans le village des pro-Kanna qui allaient probablement tenter d’organiser une certaine forme de résistance. Aussi lorsque je pris connaissance en même temps de l’existence de ces armes et de la rencontre de Kanna avec la Mizukage, en plus de décider d’obtenir une entrevue avec elle, j’avais pris la décision de sceller ces armes dangereuses afin de les cacher à la vue des indésirables et de mes potentiels ennemis, j’allais les faire mienne, et les cacher pour l’instant… Grâce aux documents et aux renseignements des survivants du conseil, corrompus comme non corrompus, j’avais pu apprendre qu’elles étaient enfermés dans les tombes des deux guerriers de légende qui autrefois avaient eu entre leurs mains ces armes terrifiantes, les Cornes d’Or et d’Argents, Kinkaku et son frère cadet Ginkaku. D’après le folklore, en plus d’avoir en leur possession ces armes redoutables, ils avaient pu obtenir une réserve de chakra proche de celle de Kyuubi lui-même après avoir été avalé par ce dernier, et avoir dévoré des morceaux de son estomac, et de son chakra. C’était d’ailleurs cette monstrueuse particularité qui leur donnait la capacité de maîtriser ces armes exceptionnelles qui nécessitaient des quantités phénoménales de chakra pour activer leurs pouvoirs et effets. Pour le bien du village et de ma propre personne, elles devaient disparaître, du moins pour l’instant…
Lorsque j’eusse enfin envoyé ce message à la Mizukage, je partis en compagnie d’un membre du conseil qui avait accepté de me guider, vers les tombes de ces deux monstres qui se trouvaient dans une sorte de sanctuaire protégé à l’arrière des bâtiments officiels et de la tour du kage ce qui fit qu’il ne nous fallu que quelques minutes pour rejoindre une arche de pierre à même la roche de la montagne et qui se trouvait non loin de la tour et qui était protégée par une dizaine d’anbus. L’arche de pierre en elle-même était de confection plutôt simple, mais semblait porter des runes et symboles qui avaient la forme de sceaux gravés à même la pierre… Ce qui d’ailleurs devait probablement être le cas afin d’empêcher de petits malins de tenter de voler un trésor aussi dangereux que puissant et qui aurait ouvert des portes incroyables à celui qui en aurait prit le contrôle. Lorsque nous arrivâmes, un des anbus s’approcha de nous, puis après s’être légèrement incliné sans prononcer le moindre mot, fit signe à deux de ses coéquipiers de libérer le passage, et ce dont je me doutais se révéla alors être vrai, car ceux-ci se mirent à composer une rapide série de mudras puis posèrent leurs mains sur les pavés de roche qui composaient l’arche, qui se mirent alors à lui et à faire s’effondrer ce qui semblait être une barrière invisible qui rendait impossible toute tentative de pénétration dans cette antre du diable. Ces trois là restèrent à l’entrée, tandis que le reste de la division, soit sept anbus, nous suivirent en s’engouffrant dans la caverne à notre suite. Après quelques minutes dans un dédale sombre où la seule lumière provenait de petits flambeaux accrochés par-ci par là contre les parois rocheuses et projetant des ombres et lumières aux formes des plus inquiétantes, nous arrivions enfin devant deux stèles de marbres sur lesquels étaient gravés les noms des deux cornes d’Or et d’Argent du village caché de la foudre. Après un bref signe de main du conseiller, les anbus attrapèrent divers instruments situés dans des failles rocheuses afin de commencer à déterrer les deux diables du village, ainsi le silence pesant qui régnait dans cet endroit, qui à présent n’avait été troublé que par le bruit de nos pas et le crépitement des quelques troches présentes en ce lieu, fut déchiré par le fracas des pelles et pioches qui soulevaient terre molle et fracassaient divers caillards qui composaient les tombes de fortunes des deux héros, ou plutôt bandits qui avaient autrefois étaient les meilleurs soldats de ce village. Assis sur un rocher, j’attendais patiemment que les anbus aient enfin finalement terminés leur besogne lorsque le conseiller vint s’asseoir face à moi afin de tenter d’engager une discussion :
-Êtes-vous sur de vouloir faire cela ? Nous pouvons encore faire marche arrière. -Je n’ai pas à me répéter, ces armes sont trop dangereuses et seront cachés dans un lieu que seul moi peut atteindre d’une façon et d’une autre. -Mais ce sont les trésors de notre village quand même. -Peu m’importe. -C’est dommage quand même. Sinon, vous êtes vous habitué à votre nouvelle fonction ? Pour un mercenaire, ce ne doit pas être simple de s’accoutumer à la vie de dirigeant de village. -Il est vrai que c’est fatiguant, cela ne fait que quelques jours, mais j’ai du mal à poser mes repères. -Ne vous en faites pas, cela viendra progressivement, et vous serez meilleur je pense que ce demeuré de Kanna, il est bien dans sa tombe celui-là, il n’avait pas l’étoffe d’un vrai kage, un minable comme cela ne devrait jamais accéder au pouvoir. -Si vous le dites…
Je ne savais guère pourquoi, mais le faites qu’il reparle de cela me mettait mal à l’aise, me jetant à la figure ce drame que j’avais moi-même créer et qu’au fond je regrettais un peu, même si pourtant je le savais nécessaire pour le bien de ce village, et pour tant d’autres raisons que je ne pouvais énumérer… Alors que je m’apprêtais à reparler au conseiller afin de lui faire comprendre qu’il n’avait plus à mentionner cette exécution devant moi, un anbu m’interpella pour me signaler que la besogne était terminée, les armes avaient été arrachés aux dépouilles de Kinkaku et Ginkaku, et en effet cela se sentait que les tombes avaient été ouvertes, car une fétide odeur de putréfaction envahit la pièce. Je me redressais alors, et vit sur le sol rocheux ces artefacts tant redoutés, si puissants et qui pouvaient assurer une victoire quasiment assuré dans n’importe quelle bataille. Mais il ce n’était pas le moment de rêver à ce que ces armes pouvaient offrir, il était temps de les sceller dans un monde où nulle autre personne que moi pourrait les récupérer. Aussi, je composais à mon tour une rapide série de mudras et invoquait Blados, un de mes démons, certes il était faible, mais se révélait être un démon de confiance et qui faisait tout pour accomplir sa tâche, peu importe la difficulté de cette dernière. Après lui avoir expliqué ce que j’attendais de lui, la créature poussa un profond mugissement qui se répercutait en écho dans la caverne, ramassa les quatre artefacts, et disparut dans un nuage de fumée. Ma tâche était accomplie, Blados allait les cacher dans le palais du roi des démons, là où nul humain ne pourrait les trouver et les reprendre.
HRP : en gros, j'ai en ma possession les 4 armes de Kinkaku et Ginkaku, mais je les caches dans en endroit inaccessible. Je ne les sortirais que si il le faut, ou si le staff le juge nécessaire x) |
Sujet: Re: Assurer l'avenir, anéantir le passé (topic solo) Dim 5 Juin 2011 - 20:36 | |
| Évaluation RP : - Citation :
- Rappel :
Pour les rps simples, sans combat, ils seront notés de 0 à 30 points, quelque soit votre rang. Ainsi, un membre de niveau 5 qui fait un Rp sérieusement et en s'appliquant, gagnera plus de point qu'un membre de niveau 15 qui a fait un Rp à la va-vite. Grâce à ce système, il n'y a pas de préférence de niveau/rang et on permet l'égalité des membres afin d'éviter que les membres de rang inférieur se sentent dévalorisés et abusés. Setsuri Hazu : 18 + 15 = 32Aucun bonus. |
Sujet: Re: Assurer l'avenir, anéantir le passé (topic solo) Dim 16 Oct 2011 - 16:54 | |
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Sujet: Re: Assurer l'avenir, anéantir le passé (topic solo) | |
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| Assurer l'avenir, anéantir le passé (topic solo) | |
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