Description physique :
Je mesure environ 1 mètre 90 cm pour 85 kg je suis de morphologie athlétique.
Mes cheveux sont mi-long, de couleur noir. Mes yeux passe du marron au vert foncé quand le soleil les frappent.
Mon visage n’a pas de signe particulier... il peut paraître parfois un peu froid de première abord, mais se réchauffe au contact d’un ami un peu comme un feu de joie au contact de sa buche .
Description morale :
Je suis un jeune homme déterminé et très calme.
L’un de mes point fort est mon esprit d’analyse et de réflexion ainsi que ma sincérité.

Je suis venu rejoindre le village dans le but de découvrir la vie et de me perfectionné afin de remplir le rôle que ma confié la nature.
J’accorde toute confiance a qui devient mon ami, mais la moindre erreur et ma confiance peut se transformer en une haine virulente et durable.
Je suis pour la paix par la guerre. La nature, a travers les ages, a vu que l’Homme ne pouvait être unifié que derrière un Homme aux grands pouvoirs et a la grande bontés... j'essaierai de toutes mes forces d'être cet homme ...

Son histoire :
Kuroshi Saku
Le shinobi vert ...



Un a un , petit a petit, chacun de mes yeux s’ouvraient. Levant pour la première fois le voile sur le monde qui m'entourai.

La douleur martelée mon crane. Tout mon être me semblais engourdi, lourd, comme après un trop long sommeil. Puis, doucement, les couleurs s’affichèrent et ma vision se fit de plus en plus net. Enfin, pour le première fois je vit.

Tout était ...tout était quoi ? J'étais incapable de répondre a cette question! Incapable de poser un mot sur ce que je voyais, lorsque que soudain une douleur me traversa la tête tel un coup de poignard venu répondre a mon incompréhension, venu extirpé quelque chose de ma tête. Et maintenant je savais ... Tout était vert!
j’étais entouré de vert! Mon corps, en suspension, flottait au milieu d’un liquide d’un vert... un vert de folie!

J’étais dans l'incompréhension la plus total. Alors, pour dissiper ce trouble, je me mis a observer ce qui m’entourais: J’ étais en fait emprisonné par une paroi de verre que la poussière venu si coller avait fini de noircir.
A travers ce voile de ténèbres, venait traverser ça et là l’ombre d’une lumière rouge, bleu ou jaune clignotant d’un rythme régulier.
Une multitude de questions vinrent alors se poser a moi:
Ou étais-je ? fut la première.
Vu l’aspect étrange de l’endroit, Pourquoi suis-je enfermé ici ? fut la seconde (et non des moindres) de mes interrogations .
Alors captif de ce tourbillon de questions, confiné dans ces ténèbres verdâtre, une seule réponse me vint a l’esprit ... IL FAUT QUE JE PARTE !!!!

Ainsi, prit d'une soudaine frénésie, je serrais mon poing. Je le serrais de toute mes forces, mais mon corps encore endormi avait du mal a m' obéir. Je me mis tout de même a frapper la vitre en y mettant toute l'énergie qu'il me restais mais rien n’y fit. J’abandonnais et décidais de me reposer le temps de récupérer ne serai-ce qu'un peu de vigueur.
L’attente fut longue. Attente durant laquelle je remarquais la présence d'un tube qui était fixé a mon dos. Sa présence était discrète et indolore. Peut-être était-ce lui qui me permettais de respirer sous cette concoction verdâtre?

Le temps passa me rendant petit a petit mes forces. Je ressentais une énergie nouvelle qui commençait a bouillir dans mon ventre, lorsque, pour la deuxième fois depuis mon réveil, une douleur atroce me traversa le crane. Elle répondit, comme pour la première fois, a ma question muette... Cette énergie était donc mon chakra. Je ne savais pas d’où me venez ces réponses, mais elles m’ étaient utiles. Ainsi je me concentrais, faisant remonter ce flux d’ énergie... ce flux de chakra, le long de mon bras jusqu'à mon poing. Puis je frappa la vitre. Elle explosa me transperçant la main d’un gros éclat de verre .
J’arrachais, dans le même temps, le câble de mon dos m’infligeant une douleur atroce qui me fit perdre connaissance.
Un long, très long moment après je me réveillais baignant dans mon sang. Un léger murmure, un chuchotement lointain m’ appelais...
Alors je me suis levé difficilement mon dos ne saigné pas beaucoup mais ce montré affreusement douloureux. Contrairement a ma main que je ne sentais plus mais, elle, saigné abondamment. Je pût regardais plus attentivement qu'auparavant le cadre qui m'entourais: de nombreuses structures de métal clignotais dans tout les coins, des morceaux de cadavre d’arbre étaient gravé de symboles étranges... encore cette douleur dans ma tète! c'était des feuilles! et les symboles étaient en fait un texte... je n’y comprenais rien, strictement rien... mais elles étaient marquée d’une flamme avec deux yeux noir. Qu’importe ces .. feuilles respiraient la mort, elle me mettais mal a l’aise.

Je me détournais donc de ces abominations pour foncer vers...vers cette voix, ce murmure. Je courrais encore et encore, inlassablement, je courrais sans un regard en arrière. Mes jambes devinrent d’abord lourde puis légère, ma tête tournée et je perdais beaucoup de sang. Mais rien, aucune sorte de douleur n'aurait pu m'arrêter: il me fallait sortir de cet enfer! Ce bruissement dans ma tête me guidais, m’ appelais. Après avoir traversé un long couloir, enfin j’aperçu la sortie. La voix m’avait donc belle et bien indiqué la sortie... des gouttes de sueurs perlées de mon front venant écraser sur les dalles en pierre qui marqué l’entrée de ce dédale de couloir souterrain.

Ma gorge me brulais et mes jambes peinais a me porter. Il me fallait me réhydraté... justement, non loin de la, a l’ombre d’un cerisier courrait un petit ruisseau d’une eau cristalline. je regardais aux alentour de ce magnifique cerisier: que faisait-il au beau milieu de cette épaisse forêt? je ne m' attarda pas sur la question. Je m'agenouillée devant le ruisseau et me désaltéra. L’eau était douce et fraiche je la sentais parcourir mon corps et me redonné vie. A présent, il fallait me reposer. Le sang que j'avais perdu m'avais épuise, et le creux que formé le tronc du cerisier semblait m’appellais si aimablement que je ne put refusé l'invitation de m’y installé. Plus je m'approchais plus le chuchotement ce fit mieux entendre. Plus clair, plus précis. Sans un mot, sans un geste je parlais avec le cerisier... Enfin le mot juste était que je communiquais avec lui... une sorte d' osmose entre l’homme et la nature, état de transe qui me fit m’endormir.
Étrangement cela me parut naturel. Je le savais au fond de mon être, je me sentais en communion avec la forêt qui m’entourais. Chaque pousse chaque fibre je la ressentais.

Alors l’arbre se mit a me parler dans un monologue ou, moi, simple élève, j’écoutais respectueusement.

J’appris que la nature était un tout. la conscience collective de chaque être composant la forêt. Et que des esprits représentais chaque facettes de la forêt et la protéger ainsi.
L’esprit du Chêne représentait la force protectrice et le calme. il était le gardien de la forêt, le rempart infranchissable a ceux qui lui voudrait du mal.
L’esprit du saule, lui, représentait L’immortalité. il peut faire naître la vie même sur la plus aride des terres . Ainsi un homme bon, même au bord de la mort, se verra guérir sous le feuillage du grand esprit des saules.
L’esprit du Cèdre était un arbre fougueux, impulsif et téméraire. Avec un courage sans faille et une grande confiance en lui. il peut paraître parfois imbu de lui même, mais c’est un arbre bon. L’esprit du cèdre est un grand combattant de la foret de par sa taille et son habilité.
L’esprit du grand cerisier est, quand a lui, le maitre de l’illusion et le gardien des secrets de la forêt. son aspect physique renferme une grande puissance spirituel, il est l’un des guides de la forêt. Si un homme est prit dans une pluie de pétales de cerisier il peut y vivre le plus beau des rêves comme le pire des cauchemar.

De nombreux autres esprit protègent la forêt mais le cerisier m’explique qu’il me faudra grandir et le découvrir par moi-même, que les esprit eux même, peuvent naître de puissants sentiments.
Après ces explications j’osais enfin lui poser mes questions: mais comment me connaissait vous? pourquoi m'étais-je réveillé dans ces ruines? et enfin, qui sui-je ?
L’arbre me demanda de me calmer et pour répondre a mes nombreuses questions me fit le récit de ma naissance.
Dans ces ruines, vivait un scientifique fou, un hérétique qui avait volé une part de l’essence même de la nature... celle-ci ne doit jamais ce montrer d’elle même aux hommes mais dans ce cas précis les esprits eux même le pourchassèrent. Alors le scientifique s’enferma dans cette cachette protégé par un sceau. Une fois a l’interieur, il implanta une part de l’essence de la nature a diffèrent nourrisson dans le but de créer une arme *moi une arme ?* il utilisa des méthodes différentes pour chaque enfant. Ainsi toi l’essence a été injecté dans ton cœur le jour de ta naissance, puis tu fut placé dans un de ces sas le temps de t'étudier et de voir la fusion qui ce passais en toi.
Le scientifique réussi a créer des monstres dont il perdit le contrôle et qui le massacrèrent. Ce qu’il ignorait, c’est que chaque être faisant parti de la nature se voit acquérir des dons unique avec celle-ci. Néanmoins, il dépend aussi de sa volonté. c’est pour cela que ne désirant pas voir vivre de telles abomination, la nature les rejeta et ils se desséchèrent pour ne devenir que de vulgaire statut de bois.

Alors pourquoi moi ai-je eu le droit de vivre ?

Car ton cœur pur a permis a la nature de se développer en osmose avec toi. Or, les autres étaient en conflit avec elle créant déséquilibre mentale et transformation physique. et la nature a besoin d’un homme pour la représenter dans le monde des humains et la protéger des hommes tel que ce fou... car aucun humain ne doit avoir accès a notre essence. Ainsi je te met en garde: si tu abandonne les missions que seront les tiennent et si tu nous trahi toi aussi tu te desséchera devenant simplement une statut de bois mort.

Sur ce, le cerisier m’expliqua nombre de chose sur la forêt et la façon de m’en servir pour m’aider tout d’abord a me nourrir. je faisais pousser des figues où bon me semblait. Il me soigna aussi... en effet de minuscule racine pousssère au milieu de ma plaie refermant la peau et les cicatrisant. Il m’expliqua que, plus tard, moi aussi j' en serais capable.
C’est ainsi que durant 10 ans, le grand esprit du cerisier m'inculqua tout ce que je sais de l’art ninja et du monde des humains. Il y avait des chose que je savais qui m’apparaissais lors d’un flash de douleur, l’arbre ne su me l’expliqué et me dit que c’est en découvrant le monde que je découvrirais mon histoire.

Ainsi passa 12 année.

Puis le jours de mes 18 ans, l’esprit du cerisier me parla. il m’expliqua qu’il était temps pour moi de partir, de vivre dans le monde des humains car c’était aussi ce que j’étais. il me mis en garde
«le monde des hommes et emplit de guerre et de haine et il te faudra y trouver ta place et y survivre. Toutefois, tu y découvrira aussi des sentiments qui vous rendent unique tel que l’amour et l’amitié. Alors intègre toi a eux et surtout n’oublie jamais que tu es une part de la nature, qu’elle sera toujours la pour toi comme tu devras l’être pour elle. ainsi nos chemins se séparent ici kuroshi. nous nous reverrons quand tu aura le pouvoir de faire appel a moi. En attendant voici un don de cette forêt»
soudain une plante germa a mes pieds. Une rose gigantesque, elle atteigna ma taille quand elle éclot pour laisser découvrir en son centre une grande lance verte dont le manche était fait de nombreuses tiges entrelacés. la lame de bois était brillante et tranchante. l’esprit repris alors
«Cette lance représente la nature. Quand celle-çi aura besoin de toi elle te parlera a travers elle. De plus elle n’obeira qu'a toi. quiconque voudra la prendre se verra transpercé par ces épines. son manche peu se montrer dur comme l’acier ou flexible comme le bambou... il te suffira de penser... Il est incassable, mais sa lame ne tranche pas plus que l’acier car son pouvoir réside dans le fait qu’a travers elle tu pourra exercer ton ninjutsu: faire naître la plus belle des roses comme d’immenses racines capable de faire s'écrouler des murs. cela ne dépendra que de toi, alors maintenant adieu ... mon ami» sans avertissement la présence de l’esprit avait disparut me laissant en face d’un simple cerisier mais c’est mots avait raisonnée en moi ... mon ami
Voila mon Histoire et c’est pourquoi je me présente devant vous aujourd’hui désireux de rejoindre votre village.