Je dois m'entrainer!!!

J’ai besoin de m’amélioré, oui, j’ai vraiment besoin de m’amélioré si je veux être près pour la guerre. Je ne le suis pas encore assez. Il faut obligatoirement que je hausse mon niveau sinon je peux dire adieu à la vie dès lord où nos ennemis commenceront l’offensive. Donc, pour augmenter mon niveau, je n’avais pas beaucoup d’option. Je devais, soit me rendre chez la mizukage et lui demander de m’entrainer, soit me heurter à l’endroit que je n’aimais pas beaucoup, la bibliothèque. Merveilleuse chose pourtant que ces bibliothèques, on y trouve tout ce que l’on désire trouver. Si il nous faut une information sur un quelconque sujet, vous pourrez être sûr que c’est là-bas que vous trouverez la dites information. Je me suis donc, non sans mal, à la bibliothèque de kir. Les locaux sentaient la fraicheur du nouveau bâtiment. Cependant, le bâtiment avait plusieurs siècles déjà et à ma connaissance, il n’avait pas été rénové récemment. Cela me donna à réfléchir et je me dis que il dut y avoir une rénovation mais pas assez importante pour qu’elle parvienne à mes oreilles. Donc, mon esprit déductif, se dit qu’ils ont sans nul doute, refait la peinture sur les murs. Personnellement, je vais souvent à la bibliothèque, je ne suis pas seulement un combattant je suis un érudit expérimenté. Je ne pense pas être un géni mais je pourrais dire sans trop me vanter que je suis d’une intelligence assez moyenne et peut être même un peu au-delà. Mais trêve de flagorneries, j’en reviens au fait, à savoir, la bibliothèque. Je suis donc entré à l’intérieur cherchant désespérément un ouvrage sur le ninjutsu et plus précisément tournant autour de mon affinité, à savoir le raiton. Quelle affinité géniale, le raiton. Elle favorise la vitesse et la frappe chirurgicale de façon à tout déchiqueter sur son passage si on sait le manier avec force et fluidité. Mon répertoire technique était un peu vide et je me devais de posséder une technique d’un niveau supérieur à savoir une technique de rang A. Je sais, une technique de ce niveau pour un simple Genin est une chose inconcevable mais je savais que j’étais capable de l’assimilé et puis je ne pouvais me présenter à cette guerre sans avoir un bagage de techniques assez puissant. Etant dans la bibliothèque, je me suis dirigé vers les manuels des ninjas. Je me suis approché des étagères en les inspectant soigneusement afin de ne pas rater le livre qui pourrait me servir. J’ai lus les couvertures une par une mais sans prendre les livres. Et finalement, entre un bouquin sur le genjutsu et un sur le mentale en guerre, j’ai trouvé mon bonheur. J’ai pris le livre et j’ai lus le titre : Techniques avancée du Raiton pour les adeptes de cette affinité. Je ne me suis pas fais prier, je me suis diriger vers la caisse et j’ai demandé à l’emprunter pour la journée. Je suis ensuite sorti de la bibliothèque, le livre à la main. C’était pour moi assez plaisant que de me retrouver avec un livre pour ninjas de haut volé sous le bras. C’était presque valorisant, gratifiant même. Mais bon, je tourne autour du pot depuis que je vous parle de cette fameuse envie qui est montée en moi et qui à fait que je me retrouve seul dans mon dojo tard le soir. Je suis effectivement, après être passé à la bibliothèque, rentré chez moi et me suis installé dans mon dojo. Arrivé là, j’ai posé mon livre sur le côté et je me suis placé sur le milieu de la salle. J’ai malaxé mon chakra de la façon la plus précise possible. J’ai ensuite concentré tout mon chakra dans ma chaine. J’ai contrôlé ma chaine, je l’ai fait se hausser puis se diriger de gauche à droite. Pour le moment, contrôle latéral bon. J’ai ensuite mis tout le chakra malaxé dans ma chaine. Elle devenait carrément instable. Je l’ai pourtant dosé au dixième près (juste une expression car bien sûr le chakra ne se dose pas). Etant instable, je redoutais se qui allait se passer. J’ai dirigé ma chaine avec mon chakra, de façon à ce qu’elle s’étire u maximum. Cela fut assez difficile car j’avais du mal à la contrôler. Ensuite, je marquai un temps, puis je la fis projeter vers le rayon inverse avec une force déconcertante. La chaine s’est pratiquement avéré plus puissante que moi ! Elle m’a projeté contre le mur. Finalement, la concentration de tout ce chakra dans ma chaine, s’est avérée bien plus prometteur que je ne l’aurai crus ! Après cet incendie mineur, j’ai repris mes esprits et je me suis levé et je me ressuis positionner au milieu de la salle. Sur ce, j’ai effectué quelques mudras et des clones sans consistances sont apparus autour de moi. Ils étaient au nombre de 10. Je sais, j’ai tendance à exagéré quand je fais mes techniques. J’ai ensuite concentré mon chakra dans ma chaine. Et là, tout à commencer. En effet, avant chaque entrainement, je fais un petit échauffement qui comme son nom l’indique, me chauffe assez. J’ai sauté à l’autre bout de la salle et j’ai projeté ma chaine de façon parfaitement droite à travers trois clones qui disparurent d’un coup. Je me suis ensuite accroché à l’un des piliers de mon dojo via ma chaine. Je me suis ainsi projeté sur l’un des clones que j’ai détruit d’un simple coup de tête. Ensuite, j’ai concentré mon chakra à l’intérieur de mon corps et je l’ai convertie en foudre. Et là, d’un coup, sachant que le sol était en bois, j’ai tout rejeté dans le plancher et ainsi, mon chakra raiton à traverser l’intégralité de la salle et ma technique détruit tout les clones restants. J’avais terminé l’échauffement. J’étais assez fier de moi je dois dire. Je me sentais assez bien après cet entrainement post apprentissage. Mais ma satisfaction fut de courte durée. En effet, juste après avoir fait quitter le chakra qui résidait encore dans mon corps, je suis tombé à terre, mort de fatigue. Ce n’est qu’après que je pus entamer l’apprentissage de ma technique dont je ne connaissais pas encore les caractéristiques… Oui, l’entrainement pouvait commencer !
Je pris le livre que j’avais laissé au coin du dojo. Je l’ai ouvert et j’ai commencé à lire. Il y avait différentes techniques dans cet ouvrage et toutes plus compliqués les une que les autres. Je n’étais pas près de finir. Néanmoins, je trouvais ces techniques fascinantes ! Elles avaient beau être d’un niveau bien supérieur au mien, elles n’en restaient pas moins accueille avec de l’entrainement vigoureux. Et j’étais près à tout pour réussir cette épreuve et en sortir vainqueur même si il n’y avait pas vraiment de concurrent à part moi. Après plusieurs minutes de recherche acharnée, je suis finalement arrivé à trouver une technique me convenant parfaitement. Je manquais d’attaque à distance et je me devais de remédier à cela. En effet, toutes mes techniques raiton étaient des techniques de corps à corps et je ne pouvais pas combattre des adversaires de type longue distance avec des techniques comme celles-ci. Je lus ce qui était écris sur la page et j’essayais au mieux d’analyser ce que je lisais afin de connaitre parfaitement la théorie de ma technique pour ensuite pouvoir passer au côté pratique qui sans doute se révèlerait plus compliqué et beaucoup plus difficile. Après avoir lus, je compris en quoi cette dernière consistait. Il fallait crée un phénix de foudre d’une taille assez imposante et ensuite, le faire tournoyer sur le périmètre de combat. Le seul inconvénient de cette technique de rang supérieur, c’est qu’elle ne fait pas de distinction entre ennemis et alliés et donc, il ne fallait pas que je l’utilise contre un ennemi quand je me bats aux côté de mes alliés. Je déposais mon cahier à terre, cette technique nécessitait 6 mudras et je devais mettre toute ma concentration dans l’exécution de ces derniers. Je me positionnais donc au milieu de la salle. Je concentrais mon chakra dans mes membres et ensuite, je le transférais dans mon corps entier. Je concentrais pratiquement tout mon chakra dans mon corps. Il ne me restait pratiquement plus une goute tellement j’en usais. J’étais presque à la limite de l’évanouissement ! Mais je devais réussir cette technique. Il en allait de ma survie en situation de crise. Le chakra émanait carrément de mon corps ! Je pouvais le voir à l’état pur. Mon chakra bleu comme le fond de l’océan et des abysses. J’étais près à en découdre ! Sur ce, j’ai effectué mes mudras avec une vitesse semblable à celle d’un colibri qui volent pour échapper à un de ses prédateur. Cela était certainement dû à l’adrénaline qui coulait en moi ! Je n’avais jamais été aussi motivé, non… jamais ! Quand mes mudras furent exécuté, un énorme phénix sortit de mon corps (par le haut) et commença à voler dans le dojo brulant tout les meubles sur son passage ! C’était ahurissant ! Je ne pouvais pas en détacher les yeux. Je le dirigeais avec ma volonté, j’avais du mal au début avec les directions mais finalement, je réussis à le faire rester à sa place. Sur cet instant, je voulais voir ce qu’il valait vraiment. Alors, dans un élan de connerie totale, je le fis foncer sur moi à toute vitesse. Je sais, c’était complètement idiot de ma part mais il fallait que je vois l’étendu des dégâts qu’il pouvait causé. Mais juste avant l’impact, le phénix qui était d’une taille gargantuesque explosa avec une force inquisitrice ce qui me projeta au mur d’un coup se et nette ! Je n’avais pas réussis à le faire foncer sur moi mais au moins je savais que je l’avais métrisé et rien que l’explosion était d’une violence inouïe. Dos au mur, un surir s’esquissa sur le coin de mon visage. J’avais réussis.
Quand je me réveillai après être tombé dans les pommes, je vis autour de moi des murs blancs. Rien que des murs blanc. Je fis pivoter ma tête non sans effort de gauche à droite et je vis mon père, assis près de moi avec des fleurs dans un vase qui étaient posées sur l’étagère à côté du lit. Je le regardais d’un air simple et il me dit avec toute la sagesse qu’un père peut montrer à son fils :
-Mon fils, tu es bien le fils prodigue de notre famille. Une technique de rang A, c’est bien, mais ce n’est pas assez pour moi et pour tes ancêtres, il en faut plus. Mais pour le moment, repose toi, tu l’as bien mérité. Mais sache que je suis fier de toi.
A ses mots, j’ai fermé les yeux, me reposant dans les bras de Morphée et lui laissant mon esprit mais en gardant en moi la fierté d’une réussite sans précédant dans ma vie. C’était assez agréable que de me sentir important pour une fois. Je me sentais carrément bien tellement je somnolais de plaisir. La prochaine technique restera à venir pour l’instant. Je dois juste encore peaufiner les détails de celle-ci mais au moins, je n’aurais pas l’air d’un bouffon sur le champ de bataille. Je sais, j’emploie un jargon assez familier, mais je crois qu’on parle tous comme ça sous l’effet de la morphine… et de la satisfaction.