« UNE SURPRISE DE TAILLE »

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Je venais d'être nommé à la tête de ce village et je me trouvais dans mon bureau. J'avais une pile assommante de documents à lire, à signer et à faire trier. Mon dieu, je ne suis pas sortie de l'auberge. Je soupire en voyant la pile de dossier... Cela me soulait déjà rien que de regarder... Comment je vais faire pour aller me détendre un peu avec out ça sur le dos ? Naaaaaaaaaaaaaaaa, faut que je trouve un truc... Mais je vais devoir me dépêcher et ne pas faire de gaffe. C'est donc à regret que je me mets à la tâche. Des papiers... des papiers... Toujours des papiers... C'est chiant. Finalement, il arrive un moment où on frappe à ma porte et je lève la tête pour laisser entrer le ninja. Il s'agit d'un des gardes qui se trouve devant ma porte pour me signaler qu'un chef de clan désire me voir et souhaite discuter avec moi. Je n'aimais pas du tout ça mais je finis par accepter. Me levant de mon bureau, je laisse mon chapeau là où il est.. Je vais encore devoir montrer qui est le chef ici... Génial... Soupirante, je regarde ce bureau avant de prendre la route vers ce domaine. Arrivant sur place, je remarque le nom ... Ichimaru... Je connais ce clan et je suis encore plus méfiante. Bien entendu, les ANBU avaient pour ordre de me suivre discrètement. C'était comme ça et pas autrement...

Puis je suis le messager dans la maison. Tout était aussi calme que d'habitude. Je n'avais rien senti de suspect mais rien du tout. Suivant le messager, je reste moi-même et je ferme la porte derrière moi. Retirant mes chaussures, ce n'était pas la première fois que je me déplaçais dans un domaine appartenant à un clan du village de Kiri. Et ce ne sera pas la dernière fois. Puis, je me rends devant le chef du clan et je ne vais pas par quatre chemins. Je n'ai rien à foutre ici alors qu'il se dépêche de m'expliquer ce qu'il veut. Restant ainsi debout, je n'avais pas l'intention de rester très longtemps. J'avais bien d'autres chats à fouetter. Je l'écoute et il me parle de ma situation encore instable et tout le bordel. Je montre un sourire et je lui fais clairement comprendre que ce ne sont pas ses affaires et que je dois m'en occuper seule... Du moins, je ne lui dis pas que je n'en occuperais avec des ninjas de confiance mais cela reste quelque chose qui m'appartient et autant dire que je ne porte pas son clan dans mon cœur. Depuis que je suis à la tête de ce village, ce clan ne fait que me mettre des bâtons dans les roues.

C'est alors qu'un ANBU se manifeste et je l'ai sentis arrivé. Je savais ce que cela voulait dire et je lui fais un signe discret des yeux. Ainsi dont le discours était assez terminé. Puis, je lui dis que j'ai assez joué avec lui et qu'il est temps de sortir les cartes de nos manches. Tandis que je m’apprêtais à quitter la demeure des Ichimaru, je me vois devant un refus. Je demande à plusieurs reprises que l'on me laisse sortir... Mais rien n'y fait...

« LE CLAN ICHIMARU PASSE A L'ACTE ! »

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C'est alors que le Leader actuel du clan Ichimaru et aussi le père de Gin s'interposa.

"Eh oui, très cher Mizukage, vous ne quitterai pas cette pièce et cette pièce sera même la dernière que vous verrez."

Prononça le père de Gin avec un petit sourire, qui avait presque l'air de... sympathise envers le Mizukage.
C'est alors que plusieurs personnes du clan Ichimaru arrivèrent. Chaque personne présente dans la pièce vues instantanément que le Mizukage avait comprit ce qui allait ce passé.

Après quelques minutes de discussion entre les membres du clan, ils emmenèrent le Mizukage dans une seconde pièce, à l'intérieur et en même temps à l'extérieur de la demeure du clan Ichimaru, la salle se composait de végétations avec un lac de jardin.
Après lui avoir attaché les mains et les pieds, les membres du clan amenèrent le Mizukage au centre de la pièce violemment côte à côte avec le lac de jardin. Mais le Mizukage remarqua tout de suite que l'eau n'était pas aussi bleu quel devait être, mais que celle-ci été aussi rouge que son sang.

Une fois dans la pièce, Gin arriva, toujours avec le même sourire rabaisseur,
et dégaina son Katana.

Gin prononça ces quelques paroles :

"Etes-vous prête, Akari-sama ?"

« MON HEURE A SONNE »

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Je voulais simplement repartir... Sans guerre, ni faire couler le sang... Maintenant qu'on avait ce qu'on voulait, je n'avais plus rien à faire ici. Je ne voulais pas en arrivé là mais on ne m'avait pas vraiment demander mon avis. Je n'avais fais qu'un simple usage de parole. Bien qu'armée, je n'aimais pas du tout ça... Je soupire avant d'entendre la voix du chef de clan. Celui-ci s'était levé et il s'était adressé à moi. Le son de sa voix... Je m'en doutais et je suis venue quand même. Je devais bien être naïve pour avoir foncé tête baissé dans ce piège. Je suis vraiment trop naïve. A ce moment là, je comprends et je n'hésite pas à sorti mon arme de sa planche, c'est à dire suspendu à ma taille derrière moi. Je n'aime pas spécialement en faire usage mais on ne me laisse pas trop le choix. Puis des membres du clan se manifestent et la bataille fait rage. Un... Deux... Trois... Le nombre s’agrandit de seconde en seconde.

Je n'ai jamais voulu ce qui se passait sous mes yeux et pourtant, j'étais là en train de me battre contre un des clans qui est censé me soutenir et non pas me faire la guerre. Mais de ce que je sais, c'est le premier et ce n'est pas le dernier. J'étais venue pour régler des conflits qui ne cessent de grossir. Mais ils ont abusés de ma confiance... Je ne peux m'en prendre qu'à moi et moi seule cette fois-ci. Rapidement je me fais attaquer par deux et ensuite par trois... A partir d'un moment, les membres du clan parvienne à me coincer. Dos contre un mur, ma gunblade est sur le sol, les membres du clan parviennent à me maitriser et à me mettre à genou afin de me tenir tranquille. J'avais compris que je venais de signer mon arrêt de mort. Forcée au calme, ils étaient plusieurs à me tenir tranquille. L'un d'eux me tenait un bras en clé et il semblait prêt à me casser le bras. Mais je ne suis pas suicidaire non plus. Surtout qu'au moindre geste, il me faisait regretter ce que j'essayais de faire.

A plusieurs reprises, je tente de leur échapper mais ce fut des échecs. L'un d'entre eux m'a valu d'être retenu par les cheveux. Ça fait mal... Sans libérer de cri, je serre les dents et je donne des coups de poing et pieds avant que l'un d'eux me calme avec un coup à un endroit bien précis. Cessant mes gestes, je place mes bras au niveau de mon ventre et je me mets à genou où je recrache un liquide étrange. Cela me brûlait la gorge et tous en profite pour me contenir tandis que l'un d'eux était parti chercher de la corde. Je me débats tant que je peux mais encore une fois, je suis maitrisée. Ligotée de la tête aux pieds, je ne pouvais plus rien faire et pendant que j'avais fait tout ce bordel, le clan s'était réuni... Probablement pour choisir ma sentence... Je ne voulais pas mourir si jeune. ET avec les mains liés, je ne peux rien faire... Sans parler des pieds. Finalement, je finis par trouver quelque chose. Tandis qu'on me transportait vers une autre salle, je trouve le moyen de frapper celui qui tenait mes pieds et je parviens à me libérer mais je n'avais pas ce qu'il fallait pour me détacher. Je me mets alors à me sauver en sautant pied joint... Mais je ne suis pas assez rapide et je me fais rattrapé plus vite que je ne le pensais. De nouveau maitrisée, je ne pouvais plus aller bien moins ou trouver des stratagèmes pour me sauver.

Puis on me lâche dans une salle qui était agréable à regarder... Ainsi j'allais subir le seppuku du clan... Mais est-ce vraiment ma fin ? Autant dire que j'ai clairement provoquer la Mort en agissant ainsi. Allongée sur le sol, j'avais les yeux rivés vers les jardins, je vis avec horreur que l'eau qui était se trouver là n'est pas de l'eau... Ou alors il était tâché ou souillé par le sang. Je ravale ma salive en voyant ça. Mon sang allait couler aujourd'hui... C'est alors que la porte glisse et je vis Gin s'approcher tandis qu'il dégaine son Katana. Levant la tête, je ravale ma salive... Il me demande si je suis prête... A passer dans l'autre monde ? Jamais de la vie... 

« - Je ne suis pas prête à partir vers l'aù-delà ! »

C'est alors que je me jette sur lui. Je ne pouvais pas utiliser mes mains ou mes pieds. Pas grave, j'ai encore mon corps. A défaut de dire, je suis peut-être légère mais la gravitation multiplie mon poids par lui même lorsque je suis en chute. N'allez pas me croire qu'un gennin comme lui pouvait me porter seul ? Ils ont du s'y mettre à plusieurs pour me changer de pièce alors là, je ne vous croirais pas. Récupérant son katana, je profite de son temps d'absence pour tenter de couper les liens... Mais j'ai le temps de rien ça rapidement, je me fais de nouveau maitrisée. Fait chier. Décidément, ses chiens sont très rapides...

« NOUS ETIONS TOUJOURS SOUDÉS »

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« Quel immense bonheur de pouvoir mettre un terme à celle qui empêche son clan de prospérer. Gin est un membre de clan et il doit obéissance à son père sans aucune forme de procès. Katana en main, il avait posé sa question à la Mizukage qui ne semblait pas y voir du même œil. »

Je pensé, moi, pensé ? Tch, je suis un serpent j'agis toujours sans réfléchir. Mais... cette phrase dont elle avait eu l’audace de me sortir il y a encore quelques minutes... Comment pouvait avoir tant d'espoirs dans une telle situation ? Une telle envie de vivre, c'était terrifiant pour quelqu'un comme moi, dont la vie n'était qu'un guère passage de l'âme, avant de se retrouvé sur un autre chemin appelé la mort, mais ne sachant pas l'autre chemin qui attend après la mort... Encore un long chemin ? Cette femme face à moi n'a que fiche de la mort et n'est basé que sur l’intérêt d'un seul chemin.. comment peut-on être aussi naïve ? Au fond de moi, je ressentais quelque chose, je ne savais pas quoi, et cela me paraissait impossible, comment pourrais-je ressentir quelque chose alors que je n'ai jamais rien ressentis, serais-ce cette femme ? Si étrange, elle éveillait quelque chose en moi, ça m'énervait pourquoi me fait-elle ressentir cela ? Rien qu'a la vue de son comportement je peux voir son cœur chaud & remplis d'espoir, tout en voyant la nom "survie" prenant place dans son âme !

Je voyais mes cousins et mes cousines en train de... Non ! Ce n'était pas mes cousins et mes cousines, ça c'est que mon père ma toujours dit, mais ce ne sont que des inconnus, des membres, faisant partit d'un même groupe, rien de plus ! J'ai toujours obéit aux ordre, mon père ma toujours appris, a n'avoir aucun sentiment, que c'était pour les faibles, qu’imitez le serpent serait toujours le plus juste pour moi. Étant mon père je les toujours écoutait imaginant qu'il ne voulait que mon bonheur, qu'il m'apprenait la vie dès mon plus jeune âge pour que je sois près. Mais non, il ne faisait que m'enfoncer dans les ténèbres les plus obscures de ce monde, moi, ignorant tout cela & continué à descendre dans les ténèbres, voilà où j'en suis arrivé.

Elle me mordait, la chaleur de son corps transperça le miens, qui n'avait jamais ressentit une telle sensation, c'est dents était décidé à me faire mal, plus que tout, cette sensation quelle voulait me faire transmettre, elle l'avait réussi, la douleur imprégné tout mon corps, ceci n'était qu'une morsure, mais quand même, c'était tellement bizarre de ressentir tant de vie, ça m'énervait !

Mais mon corps bougea tout seul, il allait aider les membres de ce clan, de ce j'allais replacer le Mizukage, pour lui trancha ça jugulaire, sur les ordres de mon père, qui d'ailleurs ne m'avais jamais dit pourquoi je devais faire ça, il ne me disait jamais rien, ça m'énervait, mais c’était son choix je ne pouvais rien y faire, que je le veuille ou non. De cette phrase que je pensais, mon corps envoya le sabre en direction de sa jugulaire, c'est partit, les ordres de mon père allait être mis à exécution, le Mizukage allait périr et le village allait ce retrouvé sans chef à ça tête, mais cet instant me fis alors brièvement pensé au plan de mon père, qui était quand même un haut placé de la hiérarchie, mais, c'était a lui de tracé son propre chemin, même si il condamné celui de son fils.

Sa y est, mon sabre & a quelque centimètre de la gorge du Mizukage, l'heure et venue !

« L'APPEL DE LA MORT... »

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Nul est véritablement insensible... Les humains ne sont que des êtres voués à mourir un jour où l'autre... J'étais parmi ceux là mais contrairement à d'autre, mon heure n'était pas encore venu. Le temps s'efface pour laisser la volonté prendre le dessus. L'espace et le temps n'ont plus aucune importance. Prisonnière d'un clan traitre, je tentais de lutter mais je ne pouvais lutter seul face à 4 ou 5 shinobi qui me maitrisait sur le coup. J'en rageais et j'en libère un cri de rage. Je tente de lutter avec l'aide de mes propres forces mais autant dire que le Taijutsu n'est pas du tout mon fort. Bien au contraire mais je devais lutter. Ayant les liens fragiles, je tente de les rompre et j'en grimace de douleur... Cela brûle et cela fait mal mais je ne devais pas me plaindre. Rattrapé par le passé, je me voyais sur le point de mourir aussi bêtement. J'étais essoufflée à force de lutter et je sens une main sur les miennes tout en tournant la tête. Je reçois alors un coup de poing sur le visage et celui-ci parti de l'autre côté. A tout les coups, c'est pour que je me tienne tranquille.

Soupirante, je voulais me frotter le lieu où j'avais reçu le coup afin de calmer la chose. Mais je sentais une chaleur à cet endroit. Ce n'était pas la première fois que je me prenais un coup. Portant ce coup semblait avoir un signification précise mais la question est laquelle ? Je ne savais pas et je n'aurais probablement pas le temps de le savoir. Ravalant ma salive, je vis la lame s'abattre vers ma direction et je ferme les yeux. Mais finalement, je ne sentis aucune lame sur moi... Après plusieurs secondes, je me décide à ouvrir les yeux et je vis les corps sur le sol. Observant plus loin, je remarque des hommes masqués et l'un d'eux me tend une arme. Soulagée de le voir, je prends l'arme et je reste silencieuse. Passant à côté des corps, je me dis que finalement tous ses hommes aurait pu m'aider dans mon avancée mais leur crétin de leader en a décider autrement. Tant pis pour eux... Quel gâchis. Finalement, je rejoins les autres et je passe devant. Malaxant mon chakra, je rends les lieux aussi glaciales que les neiges éternelles. Je voulais me battre contre le chef de ce clan qui va être décimés à jamais.

Me collant contre un mur, je me tais tout en gardant mon arme contre moi et je ressens une brûlure au niveau des poignets. Mais je devais y faire abstraction afin d'en terminer une bonne fois pour toute. Tel était mon courroux et je ne leur laissais pas le choix... Pourquoi devrais-je être clémente alors qu'ils ne m'ont pas laissé le choix ? Je ne suis pas suicidaire non plus. De plus, en laissant le clan en vie, je cours le risque d'une nouvelle tentative de leur part. Tout cela doit cesser... Et le plus tôt sera le mieux... Sortant de mon coin, j'avance difficilement mais sûrement vers mon objectif. Des coups d'armes qui se croisent, du sang... Je me suis tâchée avec le liquide des Dieux mais qu'importe après tout... Je n'essaye pas de tester les dieux moi... Avançant dans la maison, je leur donne l'ordre de tout détruire et de tout brûler après leur passage et que je m'occupais du chef de clan... Du traitres... Il allait comprendre pourquoi on m'a nommer à ce poste... Et cela va lui causer la perte. Sachant où il se trouve, je pénètre la salle où il se trouvait et contrairement à ce que l'on m'avait dit il était seul. Mais j'étais méfiante... Très méfiante car il pouvait me préparer de sale coup et je ne suis pas des coups bas en perspective. Le livre devait se terminer... C'est lui ou moi... Un choix qui allait se faire avoir.

Restant derrière lui, je remarque qu'il tient entre ses mains un katana. Vu sa position, je pense qu'il va se suicider. De toute façon, son clan n'existera plus après sa mort. Je l'ai décidé ainsi. Puis il me demande si j'allais l'empêcher de poursuivre son rituel... Je bouge la tête de droite à gauche pour lui dire que je préfère le respect des coutumes et des traditions. Néanmoins, je reste présente pour bien vérifier qu'il est mort... Trois... Deux ... Un... Je vis le corps s'allonger et je m'approche de lui afin de vérifier les battements cardiaque qui n'était plus qu'un lointain souvenir... Fermant les yeux de l'homme, je m'éclipse vers l'extérieur où je rejoins tout le monde.

« - Allez s'y ! »

J'avais ordonné et on obéit.... C'est comme ça que ça marche... Apparemment dans ce cas... Mais bon. Dès lors, je vois une explosion et je souris. Encore un clan de rasé... Peut-être que les autres comprendront qu'il leur arrivera la même chose s'il tente quoi que ce soit. Et bien que je sais que cela recommencera, je vais me battre pour ce que je croire juste.