|
On se connaît non ... ? | Rain & Prinny |Sujet: On se connaît non ... ? | Rain & Prinny | Sam 22 Jan 2011 - 12:14 | |
| Sang . Cri . Espoir ... Mort. La guerre est injuste. Mais qu'y pouvons nous ? Nous ne sommes que des pions dans un jeu dont nous n’avons pas l’ampleur. Ne vous plaignez pas. Vous n’êtes qu’évincer du plateau de jeu. Malheureusement, vous ne reviendrez pas pour la prochaine à la prochaine partie. Si vous n’êtes plus sur le plateau c’est que vous êtes mort. Et ce n’est pas un détail négligeable non ? Bien le bonjour, je me nomme Rain. J’espère que cette précision pour affecte. Il est encore tôt mais, ne ditons pas que le monde appartient à ceux qui se lèvre tôt. Je n’aime pas dormir. Je ne considère pas cela comme une perte de temps, mais je n’aime pas les cauchemars dont je suis victime. Je ne les hais pas, je ne les crains pas, mais je ne les apprécie pas. Voilà vingt ans que je suis hantée de cauchemars, et rien ne semble changé, ni même s’améliorer. Je n’aime pas dormir. C’est long, et fastidieux d’atteindre le sommeil, surtout si ce n’est pas pour en profiter pleinement. Vous profitez bien de vos nuits, vous vous affalez dans votre lit, et vous dormez, vous ronflez, vous donnez même parfois des coups à votre partenaire de vie parce que votre sommeil est bien trop passionnant. Dormir n’a qu’une fonction, se reposez. Le soleil décide de se lever, comme quoi, lui ne nous laisse pas le choix, il va falloir quitter nos draps, ils seront secs et doux si votre sommeil a été réparateur, ou froid et trempé de sueur si votre cauchemar n’est pas assez loin pour vous réveiller durant la nuit. Quel cas de figure choisissez vous ? Le second bien entendu. C’est seulement à ce moment là, que je me réveille en sursaut, haletante, l’ensemble des tissus qui ont animés ma nuit sont froissés, les vêtements que je porte colle à ma peau, voilà un spectacle bien affligeant. La tête entre les mains, les cauchemars donnent mal à la tête, et encore ce matin, cette affreuse migraine me reprend. Mes sourcils se froncent, mes yeux se ferment, ne serais-je donc jamais tranquille ? Quel est le but de ses nuits agitée ? Me culpabiliser ? Je n’y arrive même pas. Qu’ils me laissent en paix. Je décide de faire face, comme chaque matin. « Tous les matins du monde sont sans retour. »
Aujourd’hui est un jour à marquer sous le signe de la couleur rouge. Aujourd’hui, des milliers d’espoirs vont s’envoler et s’écraser pitoyablement au sol, sous les coups de l’Akastuki, l’organisation de la Lune Rouge, une organisation crainte. Que savons nous de ces membres ? les membres eux même ne savent pas qui est qui véritablement ? Nous n’avons pas les même relations que pourraient avoir les ninjas des villages les plus banales. Nous sommes tous égoïstes, nous sommes tous pourtant dans le même bateau, sous les ordres d’une sorte de réincarnation de Rikodu Sennin, car oui, le chef de l’Akastuki possède une chose que nous ne possédons pas, et que nous ne possèderons certainement jamais, à moins d’user de moyens terribles, non pas moins intéressant, mais ne voyant pas les choses de cette manière, nous dirons simplement, que Pein, possède le Dojutsu le plus puissant à ce jour, mesdames et messieurs, j’ai nommé le célèbre et non moins craint : Rinnegan. On applaudit bien fort, on acclame et on se tait. Sous le jet d’eau qui me sort de l’état de sommeil, je réfléchit, je pense trop, à croire que je prend un malin plaisir à empirer mes maux de tête. Il est temps de partir, je n’aime pas être en retard. J’enfilais alors un kimono de soie blanche par dessus le premier qui se devait plus léger, il ne portait pas d’ornements particuliers, quelques broderies sur les manches, coupé court, il laissait apparaître mes longues jambes. Je laissais glisser le longs de mes jambes de longues chaussettes faîtes de laines, nous sommes en hiver, et je suppose qu’il ne fait pas bien chaud dans ce village si humide et bientôt teinté du rouge de leur sang. Alors que je tournais la tête vers mon très large plan de travail, je me souvins alors très vite que chacune des marionnettes que je possédais était toute habillées de la même façon que chacun des membres de l’Akastuki, me procurer les manteaux avait été le plus compliqué, les chapeau de paille bien moins. J’enfilais moi même mon propre manteau, vissait sur le haut de ma tête le fameux chapeau de paille, après avoir natter lâchement mes cheveux sur le côté et placé une fleur rouge sang dans le creux de mon oreille. Je pus enfin partir. Le katana dans le dos, les rouleaux sous la main, que la fête commence. Nous ne serons pas trop des membres de l’Akastuki prévu par Pein, pour mettre à feu et à sang le village, faisons fondre toute cette neige immonde. Après avoir marchez quelques secondes sur l’eau qui entourait le repaire de l’Akastuk, pour ensuite suivre tous les membres qui s’étaient réunis. Allons y, nous n’avons que peu de temps à perdre.
Après quelques temps de chemin, à s’amuser à sauter de branche en branche, pirouette cacahuètes, nous sommes enfin devant cette porte massive, où on pouvait lire : Kiri. J’imagine que nous ne sommes pas les bienvenue par ici, quel dommage, moi qui me faisait une véritable joie à l’idée de me retrouver entourée de mes camarades autour d’un Sake. Une prochaine fois peut être. Un signe un regard. Pein a bougé, nous devons nous disperser et tuer le plus massivement possible, du moins c’est bien ce que je compte faire, je vais bien m’amuser. Toujours cachée sous mon chapeau et ma silhouette féminine cachée par le large manteau, je pouvais facilement passer pour ce que je n’étais pas. Les ninjas accouraient, il y avait les Chunins, la chair à canons, ceux qui foncent dans le tas sans bien savoir et qui se font tuer. Après le geste de Pein, je quittais les lieux afin de passer ce qui restait de leur ancienne porte. Let’s go . je vais jouer aux marionnettes, Je déroulais mon premier rouleaux, où l’on pouvait lire « » . Et si nous amusions à la lâcheté, des cris, des pleurs, des supplications. Donnez m’en plus, je sens que tout ceci va me galvaniser, me plaire, m’enivrer comme le plus doux des alcools, vous n’êtes rien entre nos mains. Un large écran de fumée et ma première création devant mes yeux, je tirais des fils de chakra de mes longs doigts fins pour qu’ils s’accroche à chacune des parties du corps de mon joyeux pantins, qui fait un bruits fluide mais reste fait de bois. J’avais totalement habillé qu’Itami semblait presque humain sous ce manteau et ce chapeau de paille. Activons le, il me mâchera le travail, je l’attirais à moi, je mordais mon pouce traçais un trait le long du sceau que j’avais tatoué dans la nuque et sur celui d’Itami. Les fils de chakra le quittèrent. Je lui laissais une partie de mon chakara pour que je puisse le bouger tranquillement, il ouvrit la bouche, une tuyau de moyen calibre aparut. Laissez moi vous faire souffrir et vous achevez la plus douce des mort n’est elle pas celle qui soulage d’une souffrance ? D’un coup, un épais nuage de couleur jaunâtre dont je connaissais l’odeur acre s’engouffrait dans les rues, dans les maisons, quiconque le respirait n’aurait pas la chance de voir, demain, le soleil briller. Les muscles se tétanisent, puis stoppent de fonctionner, malgré votre détermination, vos muscles ne répondent plus de rien, il n’y a plus rien que vous pouvez faire, vous tombez. Vous souffrez physiquement, mais aussi psychologiquement, vous ne pouvez faire que pleurer. Et vous voyez mon ombre, cette terrible ombre qui vous apparaît comme la mort, le bras monte dans le dos et vous voyez une lame, que vous savez tranchante, et vous savez pertinemment, qu’elle va bientôt se planter entre les deux yeux, et la personne qui vous délivrera de votre frustration pendra un plaisir sadique à vous affligez la pire des sentences : votre mort. Cette personne c’est moi. Et voilà bien vingt minutes que je m’amuse à cela. Ne me trouvez vous pas simplement amusante ?
Et puis la pluie. La neige font, mon chapeau est fait de paille, et les gouttes tombent sur mon visage, la pluie. Je souris. La neige fond, l’air se réchauffe un peu, la langoureuse fumée qui sortait de nos lèvres n’apparaît plus. Il semble que Pein est décidé d’utiliser la pluie durant un combat qu’il mène contre qui. Alors que je tuais un Chunin, qui semblait pleurer de honte, Pein envoya un Kunai en direction d’Itami, qui possédait une partie de mon chakra, je n’étais pas sous la pluie, j’étais à l’intérieur d’une demeure où le Chunin en question voulait « protéger les habitants de mon village car est ma mission », je t’en prie, laisse moi tranquille, dans quelques secondes tu va t’effondrer comme tout le monde parce que toi aussi tu as inhalé mon poison, et je vais devoir t’achever. Non, je ne fais pas de prisonnier. Ah si, pour tester mes poisons, mais là je n’ai pas le temps. Je fis en sorte qu’Itami me rejoigne de l’extérieur alors qu’il gazait tout ce qu’il pouvait y avoir autour. Je ressortis par la fenêtre. Le jet de fumée s’arrêta. Mais le nuage de fumée ne se dissiperait qu’un peu plus tard. Je sautais Je remis en place mon chapeau de paille avec mon index et mon majeur vernis de violet, j’avais le visage trempé de d’eau de pluie, j’aimais cette sensation. Je vis de loin une autre silhouette, sûrement la raison pour laquelle ce foutu kunai m’avait été envoyé. Trop de pouvoir attire beaucoup trop l’intention, c’est ce que j’ai toujours dis. Il est vrai que notre attaque est injuste, que nous sommes injustes, impardonnable, mais vous, qui vous dites meilleur que nous en tout surtout sur la morale, vous savez le toupet de faire un deux contre un, puis un troisième adversaire. Votre morale me fait largement sourire. Je restais sous mon chapeau, cachant mon visage. Itami habillé de la même façon que moi, se mouvant grâce au sceau. Je me postais sur une branche. Attention ! GAZ TOXIQUE. Itami laissa échapper de sa bouche le même gaz que dans les rues de Kiri, sur cette silhouette, où je ne voyais de là où j’étais que des mèches noires. Cette silhouette je ne la connaissais pas, où alors je l’ai connu. ( HRP : Sasuke quoi ) Dis donc, Pein, il serait temps de finir avec tout ceci non. Itami relança le Kunai au pied du Chef de la Lune Rouge, oui c'est MOI. Alors ? Heureux ?
HRP : Dans le cadre d'un Pari puéril, nous vous serions gré de ne pas intervenir dans ce combat. En vous remerciant. ♥ Vous pouvez toujours poster mais pas d'intervention, pas d'aide ou autre.
Dernière édition par Rain Madokâ le Sam 26 Fév 2011 - 10:53, édité 1 fois |
Sujet: Re: On se connaît non ... ? | Rain & Prinny | Mar 1 Fév 2011 - 22:28 | |
| Je laisse ce combat en suspens quelques temps, le temps de réfléchir à certains choses. Libre à toi de m'attendre ou de me déclarer perdant, à toi de voir .. |
Sujet: Re: On se connaît non ... ? | Rain & Prinny | Dim 13 Fév 2011 - 12:02 | |
| BOUHAHAHAHA!! J'étais venu, j'avais vu et j'avais... Vaincu! C'est ce qui me semblait en tout cas. Après être passé comme un ouragan aux sources chaudes, j'avais repoussé l'envahisseur bleu virant au vert! Et maintenant que j'avais atterri je ne sais où à cause de la conclusion du combat mené où j'avais dût utiliser une bombe, pour finir l'ennemi, qui m'avait envoyé je ne sais où. Je voulu donc retourner aux sources chaudes maintenant, juste histoire de me détendre un peu... et au passage, voir le cadavre de mon ancien adversaire afin de vérifier s'il était bien mort ou pas. Mais voilà, il y avait un hic. Non pas que je m'étais perdu, mais il s'avérait que durant le chemin du retour, je m'étais un peu égaré de ma route, et me voilà, errant sans but, enfin si, l'objectif de retrouver ces sources chaudes, mais bon, « errant sans but », ça fait plus classe, donc on va dire ça comme ça. De plus, sous cette pluie battante, l'ambiance s'y tenait bien pour errer sans aucun but quelconque. J'espérai rencontrer quelqu'un sur mon chemin, mais rien... Enfin par « rien », j'entends aucune personne qui ne s'arrêta pour me parler, après tout, si on ne me parlait pas le premier, ce n'est pas moi qui le ferai, je suis un grand timide après tout! (Faux, juste que personne ne réagissait à mes appels à l'aide.)
Qui plus est, ça allait être dur de leur parler, après tout, ils couraient tous partout, fuyant je ne sais quel truc. Après tout, je venais de faire tomber l'extraterrestre, ils devaient maintenant se détendre et m'acclamer après que je les avais libéré du joug de l'oppresseur. Enfin. Peut être n'étaient-ils pas au courant, fuyant partout pour faire comme les autres, comme des moutons en faite. Heureusement, aucun d'eux ne me bousculait ou autre, et heureusement! Après tout, j'étais le libérateur, le héros! J'avais fait ce qu'aucun autre Prinny n'avait fait avant moi : libérer un village entier! Un petit pas pour moi, un grand pas pour les Prinny. Et maintenant que je m'étais un peu égaré disons, qu'allais-je faire ? Continuer à errer ? Il était vrai que c'était cool et même drôle à un moment, mais je commençais à en être las. Que pouvais-je faire pour attirer les foules ? Faire une annonce publique ? Ça allait être dur vu qu'ils détalaient à chaque fois que j'essayais de leur parler... Il n'y avait finalement peut être rien à faire à par attendre sous la pluie. J'étais d'ailleurs un peu fatigué à cause du précédent combat, je devais bien me reposer et faire une petite sieste....
MAIS VOILA!! Cette foutue pluie de merde allait m'enrhumer si je dormais, parce que oui, bibi, il n'avait pas de maison ici! Enfin, oui, je pouvais peut être prendre mes dispositions dans une maison abandonnée, mais bien sûr, ces maisons étaient détruites. Sûrement à cause du grand bretteur. Ah~~ si seulement je pouvais le revoir, qu'est-ce que je lui ferais... je sais exactement ce que je lui ferais! Je lui referai le portrait histoire qu'il comprenne ma douleur de marcher sous cette pluie glaciale parce qu'il avait semé le chaos dans ce fuckin'village people! Mais bon, s'il y avait bien un gars dont je referai le portrait, ce serait sûrement celui qui avait causé la pluie, s'il y en avait un du moins. Bon! Rien à faire à par attendre ici... tout en observant la zizanie causée par l'oppresseur... déjà dead. J'en avais marre. Je tombai sur mon cul et me contentai d'attendre, pépère, la fin de cette anarchie. Regardant le sol, je déprimai... on me félicitait même pas de ce que j'avais fait. Une larme à l'œil, je plongeai mon regard et mon esprit dans cette flaque devant moi, ressentant de la solitude car seul, pendant que tous ceux qui m'entouraient, détalaient sans me dire un mot.
Soudain, grâce à la Providence, le calme revint... enfin vint. Après tout, j'avais jamais vu ce village aussi calme que ça. Pas un bruit. Ah si, peut être un gamin qui chialait... Mais chuut, tu casses l'ambiance morveux! Puis rebelote! Les pleurs se tuent. Avec une délicate brume se dirigeant vers moi... Avec ce calme nouveau, un grand sourire se dessina sur moi malgré la pluie, enfin tout s'était calmé, le chaos était terminé, j'étais le plus heureux des Prinny en ce moment même. Mais tiens. La brume au faite. Pourquoi n'est-elle pas blanche ? Et pourquoi se dirige-t-elle vers moi ? Il n'y a pas de vent après tout, juste de la pluie. Après tout, s'il y avait du vent, j'allais le sentir car cette fuckin'Rain s'abattrait par millier sur ma gueule d'ange. D'ailleurs, cette brume n'était certes pas blanche, mais elle n'était pas transparente pour autant, juste jaune... jaune œuf peut être ? Hmm... non! Jaune crotte de yeux, d'oreille ou de nez ? Non plus! Ouf! J'ai eu chaud! Après tout, peut être jaune urine, qui sait! En faite, non, c'était bien jaune urine. Alors tout va bien dans ce cas! Rien à craindre! Juste une brume jaune pipi qui se dirige vers moi... JAUNE PIPI?!! Putain, faut pas rester comme ça à attendre tranquillement l'urine! Fuite! C'est tout ce qui importait! Je détalai comme les villageois vers la direction où j'allais aussi vite que je le pouvais.
Prenant la ruelle à gauche, j'essayai de fuir tant bien que mal cette urine sous forme de nuage, sûrement toxique. Rectification, pas de sûrement, c'est toxique, cette couleur jaune pipi le prouve bien! Une fois l'autre chemin, me croyant en sûreté, je m'arrêtai quelques secondes histoire de prendre une pause. Après tout, en détalant, j'avais acquis une vitesse maximum, soutenu par mon courage de fuir. Cependant, je sentis sa présence dans mon dos. Comment ? L'instinct de survie, le « sauve ta peau », à coup sûr. Me retournant vivement, je vis cette saleté. J'étais dans le caca et c'était l'urine... j'allais fondre en morceaux si elle me touchait! Reprenant ma vitesse initiale, enfin, par « initiale », je veux dire le maximum comme je fuyais. Sans regarder derrière moi, ni devant moi d'ailleurs, les paupières fermées, soumises par la peur. Je ne savais pas où j'allais, tout ce qui comptait, c'était ma survie. Et uniquement celle-ci. Puis, ce qui arriva... bha... arriva en faite. Je me cognai à quelque chose, une chose moue. C'en était donc fini de moi ? J'allais être tué par... de l'urine ?! Oui, je sais ce que ça allait me faire quand ça me toucherait... Une fois le nuage inhalé, j'allais sûrement devoir à faire à... une VESSIE PLEINE tout le long de ma vie!!!
Ouvrant donc les yeux, sûrement pour la dernière fois de ma vie, je matais derrière moi et... j'avais réussi... j'avais réussi à fuir le nuage toxique!! Sautant alors de joie, cette joie n'allait sûrement être que brève. Matant derrière moi, je vis une personne couverte du même manteau que mon ancien adversaire. La peur revint.
|
Sujet: Re: On se connaît non ... ? | Rain & Prinny | Mar 15 Fév 2011 - 12:32 | |
| Un pingouin ... ? «Le pingouin contre la psychopathe . » La silhouette se dissipa. Et sous cette pluie je restais, muette, ne sachant pas véritablement comment prendre la disparition de mon adversaire. Je regardais les gouttes de pluie tomber intensément sur mon Katana tâché du sang innocent. Je restais muette, regardant ce spectacle qui me semblait passionnant, pourtant il n'en était rien. Le sang se faisait plus liquide et coulait comme de l'eau le long de la lame brillante. Plus de silhouette plus d'adversaire. J'étais déçue, c'était évident. Après m'être joyeusement attaquée aux villageois, je comptais bien m'amuser un peu avec un adversaire autrement supérieur aux quelques chuunins que j'avais réduit au silence. Je restais de marbre, la silhouette avait disparu, et Itami arrêta de cracher le gaz jaunâtre qui s'échappait de sa bouche de bois. Il se redressa dans une bruit mécanique discret, et je restais sur ma branche à observer à une certaine distance la suite des évènements. Il faut avouer que l'idée d'habiller toutes les marionnettes de façon à ce que l'on ne distingue pas de l'humanité de l'inanimé. Je restais assise sur ma branche, croisant les jambes et relevant son chapeau pour profiter de la pluie qui coulait des feuilles sur mon pâle visage. Chaque goutte éclatait au contact de ma peau, ce n'était pas douloureux, au contraire, s'en était assez agréable. Je restais septique à laisser mon petit Itami seul sur le terrain, mais je ne voulais pas prendre le risque d'abîmer une de mes belles autres marionnettes avant d'avoir un adversaire qui en valait véritablement la peine.
Je vais tout de même vous rappeler une petite chose à propos du sceau. Itami peut accomplir n'importe quelle tâche, n'importe quelle chose que je suis capable de faire, passant par faire du Ninjutsu, ou même contrôler une autre marionnette. Le sceau n'a que pour seul limite celui de n'être activé que par le sang ce qui pendant un moment peut me porter préjudice mais au fur et à mesure des années, j'ai appris à le faire de manière extrêmement rapide, enchaînement sauts et vrilles afin d'attirer mes marionnettes et de le faire le plus simplement et rapidement possible. Peut être une faille, mais je doute de cela. Mais rien n'est jamais véritablement parfait. Et avoir cette ambition relève de l'impossible. Mais nous nous complaisons à désirer l'impossible, je n'empêcherais personne de désirer la perfection. Mais faisons court, je suis très impatiente et je commence à véritablement m'ennuyer. Mais étant sous la pluie, si je quittais les lieux, j'allais passer un sale quart d'heure à la rentrée de Pein qui me ferait sûrement extrêmement mal. Je ne suis pas du genre à fuir, mais j'ai tendance à m'éclipser lorsque je m'ennuie, je glissais une main dans ma poche et en tirait une pomme que je croquais à pleine dent, j'étais en ce moment même, le cliché de l'ennemi glandeur qui s'ennuie parce que ses adversaires ne sont pas à sa mesure. Que de prétention, que de prétention ma petite Rain, il faut savoir être modeste parfois. Je ne conçois pas le concept de modestie, en réalité je le trouve un peu ridicule, sous prétexte de modestie nous sommes supérieurs psychologiquement, non véritablement, ceux qui se disent "sains d'esprit' devraient se poser de sérieuses questions. Mais bref. Après avoir fini ma pomme, le nuage jaunâtre ne s'était pas décidé à quitter les lieux, en même temps c'était un poison que j'avais fait plus lourd que l'air ambiant donc moins volatile. Je jetais le trognon de paume dans une flaque d'eau. Je remis en place mon chapeau de paille que j'avais volontairement redressé pour manger proprement et pour aussi dans un premier lieu profiter de la pluie que faisais tomber Pein. Pas étonnant qu'une personne portant le nom de Rain, aime la pluie, du moins j'imagine.
Alors que je m'apprête à me relever, et à partir avec Itami du lieu, une chose bleu s'amusait à jouer à bouboule la boule qui roule. Et sortir du nuage, arrivant presque aux pieds d'Itami. De là où j'étais, je supposais qu'il s'agissait d'un volatile, ou une sorte de pingouin, ce n'était pas forcément très grand et je trouvais ça assez drôle. Les ninjas du village de Kiri ne savaient plus quoi inventer, j'avais entendu parler de beaucoup d'animaux capables de se battre, mais un pingouin ? Je quittais ma branche, pour voir ça de mes propres yeux. Itami restait immobile, d'un autre côté il ne bougeait pas si je ne le souhaitait pas. Il tenait dans sa main, la large épée et attendait. Je sautais de la branche pour atterrir derrière Itami qui était un peu plus grand que moi. Je n'avais pas rêvé c'était bien un pingouin tout bleu, que je trouvais presque minon. Maintenant deux silhouettes vêtues d'un long manteau noir brodés de rouges nuages. Je le trouvais très mignon avec son petit air apeuré, j'aurais aimé dire quelques choses mais je ne voulais pas me trahir et je ne suis pas du genre à sous estimer mes adversaires, mais je dois avouer que je ne pouvais m'empêcher de trouver la situation ridicule et me voilà à me battre contre un pingouin. J'avais presque envie de pleurer, pourquoi fallait il que ce genre de situation tombe sur moi. C'est ridicule. Complètement ridicule. Je suis membre de l'Akatsuki, c'est que j'ai donc un minimum de niveau, et je me vois confronter à un pingouin. La silhouette de tout à l'heure me semblait pourtant si appétissante. Quel dommage. Je m'approchais, marchant dans l'eau, faisant des petits clapotis dans les flaques à chacun de mes pas. C'était fort apaisant, les clapotis de l'eau. Alors que j'avançais vers mon très cher et très mécanique acolyte, je regardais le Prinny, il semblait presque transpiré. Autour le nuage se dissipa laissant l'atmosphère encore un peu lourde.
Je restais muette, puis je ne pu m'en empêcher. Je commençais à rire. Je ne pouvais pas empêcher ce fou-rire, c'était nerveux, et je trouvais la situation bien trop ridicule. Il serait temps pourtant de se présenter. Je levais la main, pinçait de l'index et du pouce mon chapeau et le retirait, dégageant la tresse qui était dans mes cheveux et toisais le pingouin. Je haussais les épaules, soupirais. Ce n'était donc pas une vaste blague ? Finissons en vite. J'ai d'autre chats à fouetter.
- Voici, Itami, je suis Rain. Commençons, je préfère vite finir toute cette blague. HRP : Désolée, si ça peut paraître un peu court. Mais WordPad ne me dis pas combien le nombre de pages. |
Sujet: Re: On se connaît non ... ? | Rain & Prinny | Mar 15 Fév 2011 - 20:22 | |
| Le rire du méchant, n'est-il pas censé être machiavélique ? Pourtant, quand j'entendais rire ce méchant-là, celui-ci ne semblait pas posséder ce rire diabolique qui fait qu'un méchant soit... un méchant! Celui-ci semblait plutôt être celui d'une tsundere, vous savez, le type de femme qui a l'air sérieuse aux premiers abords, mais qui au final, semble être délicate derrière sa carapace.
Malgré le délicat rire de l'envahisseur russe, parce qu'il est habillé en rouge et noir, je ne me sentais pas si bien que ça. Il me semblait que l'on se moquait de moi, et c'était une impression forte désagréable. Non, mais je voudrais bien vous y voir à ma place, vous avez face à vous une personne qui est victime d'un fou-rire, qu'est-ce que vous ferez ? A par lui foutre un pain dans la gueule, je vois pas d'autre réaction possible. Mais heureusement, moi, j'étais une personne calme et civilisée qui ne riait pas à la tête des gens. Et de toute façon, j'étais un peu trop petit pour atteindre la face de cette personne, et je ne savais pas si c'était une femme ou un homme même si son rire indiquait la première option, et même si c'était une femme, je ne savais pas non plus si elle était divinement belle ou affreusement laide.
Puis, soudain, elle dévoila son visage de femme en retirant son chapeau de la tête, libérant par la même occasion de beaux et longs cheveux bleus qu'elle recoiffa d'un geste de la main au cuir chevelu. Elle ne me montra pas le sourire qu'elle avait caché lors de son fou-rire par son couvre-chef et soupira après avoir dévoilé son identité. Finalement, malgré sa beauté, elle s'avérait méprisante. Mais... comment pouvais-je en tenir compte avec son faux air de femme fatale ?! Muhahaha! Me faire l'honneur d'affronter une si belle femme, jeune qui plus est, ça allait être une partie de plaisir! Hélas! Au damnation! Sa poitrine était dissimulée sous son long manteau noir, il me fallait viser le torse pour essayer de libérer ses seins, en espérant qu'ils soient gros. Enfin. Pas non plus que je sois un fan des gros seins. Après tout, j'aimais toutes les tailles, que ce soit des cerises ou des pastèques en passant par des melons...
« Voici, Itami, je suis Rain. Commençons, je préfère vite finir toute cette blague. »
Elle s'appelait donc Rain... Rain. Comme la pluie ? Ah, si c'était ça, je l'avais déjà maudite avant même de la rencontrer et de connaître son nom. Enfin, c'était dût à cette foutue pluie après tout. Quant à Itami, qui était-ce ? Pour la première fois au début d'un combat, j'avais eu « l'ingénieuse idée » d'observer tout le champs de bataille afin de confirmer l'absence d'aucun soutien possible pour l'ennemi ou moi, ainsi que celle de citoyens à écarter du combat au risque de devoir les protéger durant le combat. Les protéger ? Oui, bon, par contre, c'était pas mon boulot ça, j'étais pas le gardien du village après tout, juste un héros en devenir qui allait sauver cette communauté de ninjas. En parlant du titre de héros que je m'étais acquis, il était peut être temps de me présenter... qui sait ?
« Moi, je suis Prinny! Et je suis un Prinny! Mais sachez que je ne suis pas un ennemi! Au contraire, je suis un de vos plus fervents admirateurs, et je voudrais vous offrir ces quelques roses en gage de confiance. »
Plan N°1 : Se faire passer pour un allié et frapper en traître. C'était certes pas joli joli, mais c'est elle qui a commencé à attaquer en guise d'excuse! Après l'avoir convaincu, j'allais sûrement lui demander de convaincre cet Itami pour moi et l'attaquer lui en traître. Mais avant tout, je devais sortir ces roses qui la séduirait de ma besace. Mettant donc mes mains dans celle-ci, je fouillais dedans et après quelques instants, j'en sortis ces fameuses roses! … ou pas. Les couteaux à la place des roses! Mais bien sûr, passons donc au plan B comme je me suis trompé.
« GECKO! Je ne sais pas comment tu as découvert ma vraie nature cachée, mais tant pis! Aux armes! »
Le signal était lancé, équipé de mes épées, je pris l'initiative. Même si je commençais par quelques pas en arrière, c'était pour mieux commencer le combat avec mon ninjutsu fétiche. Et le seul que je possédais par la même occasion en faite... Au bout de quelques pas pour prendre mon élan, je fis un saut en avant pour frapper dans le vide avec mes couteaux de cuisine, cette manœuvre était destinée à balancer plusieurs lames toutes faites de chakra sur cette belle femme. Bien sûr, comme je me l'étais dit, je visais en particulier le buste de celle-ci : c'était la quête pour découvrir le bonnet de la belle!
|
Sujet: Re: On se connaît non ... ? | Rain & Prinny | Dim 20 Fév 2011 - 16:33 | |
| Episode I . «Le pingouin dans la tourmente . » Si je suis ici, c’est pour me battre, et sous cette pluie battante, je sens que je vais prendre un plaisir extraordinaire à faire un barbecue en rentrant au repère. Je suis un peu déçue de devoir me battre face à une sorte de petit poulet tout bleu, plutôt sympathique, mais qui semblait prendre notre futur combat très au sérieux, selon mon humble analyse il devait se prendre pour une sorte de héros auquel personne ne pouvait s’attendre, le poulet qui devient un héros au village de Kiri. Je trouvais ça extrêmement drôle, un peu pathétique mais très ambitieux de sa part. Seulement je compte bien couper court à toutes ses stupides ambitions, je n’aime pas perdre mon temps avec les choses insignifiantes, les choses allaient vite se terminer, je n’ai pas de temps à faire avec cet animal au bec jaune et ventre tout blanc. Je n’aime pas le blanc, alors je souillerais le torse que tu possèdes blanc petite chose insignifiante. Ta mort ne sera une perte pour personne, qui s’attend à ce que tu puisse battre un membre de l’Akatsuki, au pire, à titre posthume, on te donnera une médaille du courage, ou de l’irresponsabilité. Tout dépend du point de vue que l’on adopte. Je suis certaine que tu comprendras que je ne compte pas t’épargner simplement parce que tu es un petit poulet. Pauvre petite chose. Je regardais la chose dans les yeux, et m’adossais contre Itami qui ne bougea pas d’un pouce. Il faut vraiment que j’en finisse, j’ai envie de rentrer à la maison. J’ai envie d’amuser avec mes poisons, je recommence à rire. Puis il semble un peu surpris face au fait que je suis une femme, et qu’en plus de ça, je ne suis ni laide, ni même vieille, et sous mes faux airs de femme fatale, je suis une folle sociopathe complètement imbue de ma propre personne, méprisante vis-à-vis des autres, mais tout ceci personne ne peut s’y intéresser parce que je n’autorise personne à pouvoir me connaître. Alors d’un coup, la petite chose bleue et blanche pris la parole, articulant deux trois petites choses, et de manière à être poli, se présenta à son tour. Il commença à tenter de ma baratiner sur sa ferveur à mon propos, je n’ai jamais rencontré de poulet ou même de Prinny comme il disait s’appeler. Et je ne suis pas du genre à tomber dans un panneau aussi énorme. Je ne suis pas idiote, et je prends tout ceci comme une insulte, une insulte à ma propre intelligence. Je suis déçue de ta part petit Prinny. Tu pensais réellement qu’un petit discours comme celui-ci allait m’amadouer et me laisser de faire des câlins, pauvre petite chose. Tu as le cerveau aussi petit que ta propre taille, c’est pitoyable. Puis il se reprit, comme si deux personnes vivaient en lui. Beaucoup disent que je suis une étrange personne, il faudrait voir ce Prinny, qui se prenait pour le héros du village. Je ne doute pas de ta valeur. Il recula de quelques pas, alors ça allait commencer ? Il fit quelques pas en arrière. Puis frappa dans le vide. On ne frappe pas dans le vide sans raison, et à en juger par la rapidité des projectiles, j’hésitais à me prononcer sur le fait que cette petite chose était véritablement sans défense. Dis donc, petite chose, tu voudrais vraiment ma mort ? Itami glissa son épée sous mes pieds et me projeta au dessus des couteux, qui semblait fait de chakra. Ce n’est pas bien jeune animal, je suis du genre rancunière. Je contrôle Itami, et je suis en l’air penses-tu réellement pouvoir me battre avec tes pauvres petits couteaux ? Itami cracha le gaz vers le poulet, un, deux, trois. Je sortis le même rouleau que celui d’Itami, faisant ça très vite. Ma cher marionette Haishin, sorti du rouleau, sous un nuage de fumée, mordre son pouce, tatouer de son propre sang le sceau sur le bout de bois entièrement vêtu comme un membre de l’Akatsuki, activer le sceau tatoué sur sa propre peau, et balancer la marionnette derrière le pingouin. Un devant le nuage, un autre derrière le nuage, et moi, au dessus de celui-ci. Un, deux, trois. Trois contre un, c’est mal c’est très mal. Haishin atterrit et moi de même en plein milieu du nuage de poison, je ne suis pas immunisée contre le poison, mais Haishin lui me sortir de là. Un, deux trois.
Je joignais mes mains, et contrôla de la même manière Itami qui enchaîna les même signes que moi. Itami cracha une gerbe de feu, vers le nuage où je me trouvais et où le petit poulet devait aussi se trouver. Seulement je n’allais pas rester très longtemps dans le nuage, Haishin lança cette lame enchainée qui se planta dans mon chapeau de paille que qui trouvais dans mon dos. Et m’attira à l’extérieur du nuage. A mon tour, je crachais la même gerbe de feu face à celle qui venait d’Itami qui se trouvait à l’opposé. Je suis certaine que ça allait bientôt sentir le poulet grillé. Pourtant, je doute du fait que les pingouins soient véritablement comestibles. J’étais la marionnette de ma création, je fus très vite à l’extérieur du nuage et recommençais à respirer de manière tout à fait normale. Véritablement cette purée de pois est une sacrée merde. En plus, je sais que ça pue. Horrible. Petit résumé de la situation pour ceux qui nous rejoigne en cours de programme. Le Prinny est coincé dans un nuage de poison neurotoxique qui paralyse l’ensemble des petits muscles du Prinny s’il respire le gaz. De plus, le personnage de Rain Madokâ a craché une gerbe de feu d’une force impressionnante ainsi qu’Itami, dans qui lui faisait face et qui avait lui-même crée le nuage de couleur jaunâtre, le personnage secondaire et non pas moins primordiale. Le personnage d’Haishin est entré en scène, sortant Rain du nuage après qu’elle y est atterrie. Le Prinny va-t-il sortir du nuage et échapper aux deux techniques Katon de la très vilaine Rain Madokâ ? Si jamais il venait à s’en sortir, je lancerais la faux enchaînée à Haishin pour attraper ce sale poulet. En attendant, je me postais sur l’épaule de mon cher Haishin. Je l’aime beaucoup. Je croisais les jambes et posais mon coude sur le côté du chapeau. La chaîne n’attendait qu’une proie, au cas où la proie se déciderait à sortir. Ou si elle avait les possibilités. Qu’il est difficile d’être cynique. J’imagine. Je soupire. Oui j’imagine.
- Eh bien, eh bien ... - Spoiler:
Haishin .配信 - Haishin, utilisé en dernier Haishin est une marionnette crée pour tuer sans aucune vergogne. Il est armé d’un manche ou est attaché un longue chaîne qui elle même possède à son bout une faucille à double tranchant de taille moyenne, cet arme est directement attaché au bras de la marionnette. La faucille est empoisonnée du poison neurotoxique qui paralyse les membres, ainsi le marionnettiste est capable d’achever son adversaire. Dans la bouche de la marionnette jailli des senbons empoisonnés d’un poison mortel qui empêche les contractions musculaires, les muscles perdent peu à peu leurs fonctions. Katon - Nami no Hi [ Rang C ]
Description : L'utilisateur doit concentrer du chakra dans sa gorge et dans ses mains, en quantité extrême. Les dégâts de cette techniques sont incommensurable, non seulement la vague balayent tout sur son passage dans une large zone mais elle cause également des dégâts impressionnant.
|
Sujet: Re: On se connaît non ... ? | Rain & Prinny | Lun 21 Fév 2011 - 15:12 | |
| En me voyant sauter et frapper avec mes couteaux dans le vide, la réaction fut rapide : la jeune femme fit un petit saut, esquivant l'arme de son compagnon sur laquelle elle reposa ses pieds, et au moment où son poids pesa sur l'épée, le bretteur balança avec force sa lame vers le haut faisant sauter haut la femme grâce à ça. En l'air, elle ne risquait rien contre ma technique qui était orientée vers le bas. Je me devais de faire attention à celle-ci car elle pouvait me frapper en l'air. Malheureusement, je n'avais pas le pouvoir de m'occuper des deux en même temps, surtout que l'un était en l'air et l'autre au sol, je devais me arrêté ma technique qui n'avait aucune utilité vu que le gros bourrin d'en bas parait tous mes « air slash » comme j'appelais ces lames faites de chakra du vent. Je m'arrêtais donc de gesticuler dans le vide en reprenant une position initiale pour redescendre tandis que la belle femme que j'affrontais s'était recouverte d'un nuage de fumée après avoir sortit un parchemin, je ne pouvais donc voir ce qu'elle faisait. Je me concentrais donc sur l'ennemi du bas et...
Le voilà de retour ce maudit nuage d'urine, et sortant de la gueule de ce mec! Je ne devais pas être en contact avec cette brume jaune couleur urine, donc une fois le pied posé à terre, je me précipitais pour fuir l'urine à pleine vitesse. Mais sur le chemin, un nouvel ennemi se présenta à moi, lui aussi vêtu du même manteau noir aux bordures rouges et aux nuages eux aussi rouges au contour blanc. Je frottais mes pieds au sol dans le but d'arrêter ma course et essayai de repartir en arrière, mais voilà, derrière moi, il y avait ce nuage couleur urine.
Faire face, voilà ce que devait faire un héros, et ça tombait bien, j'en étais un! Je fis donc une grimace effrayante à celui qui me bloquait le chemin tout en arborant mes lames dans le but d'effrayer mon adversaire, mais peut être n'allait-ce pas suffire, je donnai donc un coup de couteau, essayait du moins, car c'était trop tard, je sentais derrière moi cette terrible brume d'urine, sûrement par instinct de Prinny qui tient à sa peau. Espérons que ce poison n'entrait pas par les pores de la peau, parce que j'étais fichu autrement. Tout en retenant ma respiration, j'envoyai donc mes coups de couteaux à l'individu mystère qui semblait plus agile que l'autre bourrin, mais moins puissant au niveau force évidemment. Il paraît mes coups à la faux, faux qu'il envoyait, après avoir au préalable reculer pour m'éviter bien sûr, à l'arrière, soupçonnant donc une attaque par derrière, je me retournais et aperçu là, et sentis même, une chaleur intense, comme si c'était ma première fois au niveau sexuelle : c'était chaud et ça allait me brûler le cul!
Sentant mon cul s'enflammer(heureusement que c'était pas l'heure des gaz pour moi), je sautais haut dans le ciel : propulsé par mes jambes qui avaient fait ce mouvement en réaction aux brûlures sur les fesses. Je sortis ainsi du nuage, mais fut brûlé et remplit de cette suie qui caractérisait les petits brûlés. Mais la torture n'était pas finie pour autant, en effet, comme j'avais réussi à sortir du nuage empoisonné, l'adversaire qui était arrivé à la fin me jeta sa faucille qui me toucha de plein fouet au ventre, heureusement la faucille ne me coupa pas en deux, mais m'ouvra quand même l'estomac, ce qui n'était pas rien à vrai dire. Non seulement elle coupa mon ventre mince et d'une blancheur immaculée(qu'elle souillait d'ailleurs avec mon sang), mais en plus elle me ramenait au sol violemment comme si j'étais plaqué, je m'étais cassé quelque chose à cause de ça d'ailleurs. Pas qu'un os d'ailleurs.
Pour autant, je ne m'étais pas évanoui, par chance ? Non. Par malchance oui. Je n'avais surtout pas réussi à m'évanouir. Et maintenant, je souffrais sur le trottoir, comme un faible animal écrasé par je ne sais quel véhicule. Je souffrais le martyr. Effectivement. Je ne bougeais plus, comme si je ne pouvais bouger. Ça n'aurait pas été plus mal d'ailleurs. J'aurai pu feindre la mort. Mais à ce moment précis, je n'y pensais pas, tout ce à quoi je pensais, c'était de me relever pour continuer à combattre. D'ailleurs, un héros ne feint pas la mort, il se bat jusqu'à la mort. Mais j'étais pas encore un héros moi!Alala... pourquoi fallait-il que je me lève à ce moment. En plus, c'était supra-dur de me lever, je souffrais rien qu'en bougeant un pouce... ce qui est un peu ironique vu que je n'ai pas de pouce. Enfin bref. Je réussis finalement à me lever après avoir endurer multiples souffrances. Donc, comme j'avais presque perdu conscience, je pointais ma nageoire sur mes trois adversaires en la levant avec difficultés tout en tremblant. Je leur dis alors :
« N'empêche, c'est de la triche à trois... mais bon, comme je suis un héros en devenir, je vais vous vaincre, même à trois contre... Ah... je crois que je peux plus bouger, dood. »
En effet, après avoir eu mes fesses flambés au contact des flammes, j'avais inspirer une petite quantité du nuage d'urine sans m'en rendre compte, et maintenant, le poison faisait effet. Je ne pouvais plus bouger, j'étais à la merci de l'ennemi. Merde alors dood. Enfin, au moins, je n'avais pas eu la vessie infiniment remplie comme je le pensais, c'était déjà ça non ? Et j'étais mort en héros, pas comme d'autres Prinny qui étaient morts anonymement à cause d'un surplus de travail... ou pas. |
Sujet: Re: On se connaît non ... ? | Rain & Prinny | Jeu 24 Fév 2011 - 16:51 | |
| Episode II «Le pingouin au sol la psychopathe s'en va » Quand je dis que les choses se font rapidement, c’est que c’est le cas. Je sais juger les situations. Et tout ceci ne pouvait pas durer plus de cinq minutes. J’aurais été insultée, oui, je me serais sentie insultée, je ne suis pas recherchée par bons nombres de villages simplement pour mes beaux yeux, quoique ce pourrait être aussi le cas. La pluie tombait toujours à grosses gouttes, mon visage trempé et mon manteau noir brodé de nuages rouges dégoulinaient d’eau. Assise sur l’épaule d’Haishin qui se tenait droit comme un « i » j’attendais et le dénouement de la scène me fit le plus grand plaisir. Et tout ce passa comme prévu, dans les temps à la seconde près, c’était du grand art. De la précision comme on en fait plus de nos jours. La rencontre des deux flammes constitua une explosion assez intéressante, et une légère odeur de poulet commençait à emplir l’air malgré la distance à la laquelle je me trouvais. Cette masse vaporeuse jaunâtre à l’odeur âcre resta intacte, peut être devrais-je en faire un gaz inflammable, ce qui serait une grande idée en soit. Une idée plus qu’ingénieuse, mais je ne pourrais me trouver dans le nuage comme ce fut le cas, je tiens bien trop à ma vie pour prendre le risque. Mais revenons au pingouin, ou Prinny, tout dépend le nom que vous souhaiter lui donner. Recommençons, recommençons, car dans peu de temps je vais quitter les lieux avec mes deux acolytes, Itami et Haishin doivent être heureux d’être de sortie, voilà bien longtemps qu’ils n’avaient pas vu la lumière du jour, j’ai dernièrement utilisé bien plus souvent les huit marionnettes dans le but de détruire plus rapidement des édifices, des villages, massacrer des gens, en capturer d’autres. C’était amusant. Mais recommençons, j’ai étonnement tendance à me perdre dans mes pensées en moment.
Alors que j’avais le droit à un sublime feu de camps, le petit Prinny se dégagea comme prévu du nuage par le haut n’ayant pas d’autre alternative, c’est alors que le petit volatile se trouva entièrement à la merci de cette faux qui se dirigeait vers lui, habilement lancé par Haishin via mes propres soins, je suis une artiste. Très vite, le torse tout blanc et duveteux de la petite créature se tinta de rouge, touché. Un, deux, trois. Le poison ne fait pas effet immédiatement. Donc, nous allons surement nous amuser encore. Alors que je levais le point vers le haut pour manifester mon contentement, Haishin ne bougea pas. C’est une marionnette robuste, pas un truc de tapette. Le pingouin se fracassa au sol, bim. Je fus animée d’une seconde secousse influencée par le plaisir de cette chute violente, décidemment quel bonheur de torturer les gens, les choses n’importe quoi, pourvu que ça puisse avoir une réaction, comme un œil vitreux, suppliant, un sentiment de peur, de douleur, de souffrance intense, n’importe quoi, pourvu que je trouve dans les yeux quelque chose qu’il y avait avant mais qu’il n’y a plus maintenant. La chute fut sévère, mais je ne compte pas m’en excuser. Certainement pas. Il n’y a rien que je puisse faire et qu’il puisse faire. Car je ne ressens qu’un très grand plaisir à faire ce que je suis en train de faire. Quel bonheur, quel bonheur. Itami s’avança sur autre de son maître c'est-à-dire moi, traversa sans mal le nuage de poison, c’est une marionnette, par conséquent, il ne respire pas et ne craint pas la paralysie. Il se posta à côté d’Haishin, et arrêta de bouger. Le petit bout de chair se traîna, et tenta de se relever, je pense que ça commence, il y a encore cette petite once d’espoir dans ses yeux, comme s’il pouvait encore lutter contre moi. Je souriais, cette nageoire, j’imagine que c’est le nom que l’on peut lui donner, c’est étonnant, comme quoi un pingouin peut être douée de conscience et de parole. Ce qu’il faut savoir c’est que nous les hommes sommes des hommes car nous sommes doués de conscience, et nous savons que nous allons mourir à un moment ou à un autre, alors que les animaux ne le savent pas, et lorsqu’ils s’en rendent compte c’est seulement lorsqu’ils sont blessés ou malades. Ici, je doute, que ce Prinny ne soit pas conscient depuis le début que sa chute est imminente. Seulement, et à risque de passer pour sentimentale, je ne compte pas le tuer. Je haussais les épaules, et fit une moue hésitante, le tuer serait pourtant lui rendre un très grand service, en effet le poison agit pendant près de trois jours, ce qui veut dire incapacité de bouger et de vaquer à des occupations quotidiennes, voire même les plus anodines, vous n’êtes pas capable de bouger à moins d’en trouver l’antidote, bonne chance. Il parla de justice, comme quoi, voilà une affaire bien injuste que celle de se battre contre trois adversaires ? Trois ? Je suis seule. Je suis Marionnettiste, je restais muette, puis, le voyant s’écrouler à nouveau, je me mis à rire, qu’il était amusant. Ils sont très drôle ces animaux.
Je sautais de l’épaule d’Hashin, c’était comme descendre d’une branche d’arbre, mes pieds touchèrent le sol, les flammes très vite furent éteintes. Et nuage de poison se dissipa petit à petit, je dégrafais le haut de mon manteau et passait une main nonchalante dans mes cheveux trempés, et soupirais. Je regardais le Prinny, peut être voudrais t-il quelques explications. Je recroisais les pans de mon Kimono court que je portais sous mon manteau. Il faut vraiment que je sois si gentille. Le Prinny baignait dans une mare de sang, c’était assez joli, assez dramatique, très … dans le genre que j’aime. Le blanc souillé de rouge. D’un sang qui n’est pas le mien. Mais du sang quand même. Je pris à la parole, il était temps que je cherche à lui faire comprendre que tout le monde ne cherche pas à lancer des couteaux dans l’air. Le ninjustu n’est pas la seule manière de ce battre, mais bon. Que dire, ce n’est pas drôle. Je continuais de rire. Et posais mes mains de chaque côté de mes hanches.
- - Aurais-je omis de dire qu’ils ne sont pas humains ? Autant pour moi. Je pratique le Kengutsu.
Je soulevais les chapeaux de pailles, et dévoilait le pot aux roses. Ils sont faits de bois. Certes, ils ressemblent beaucoup à des hommes, j’ai pris beaucoup de temps à les mettre au point. Ils sont beaux, on dirait des vrais. Mais, malheureusement, ils ne bougent pas. J’effaçais le sceau sur leurs nuques et pouf, ils s’écroulèrent. Beaucoup moins impressionnant d’un coup n’est ce pas ? Je tirais de ma manche un rouleau, et les voilà de retour là où ils sont toujours quand ils ne sont pas de sortie.
- - Ah, j’ai oublié une petite chose, les effets du poison durent 72 heures. Il te sera donc impossible de faire le moindre mouvement pendant environ trois jours. Rien, absolument rien. De plus, c’est assez douloureux de retrouver ces facultés. A très vite Prinny.
J’avais gardé le chapeau que j’avais retiré à Itami et le posait sur ma tête. Il est temps de partir maintenant. Oui, j’ai très envie de thé. Je m'enfonçais dans la forêt, quittant Kiri, laissant le Prinny sous la pluie. Comme c'est amusant. |
Sujet: Re: On se connaît non ... ? | Rain & Prinny | | |
| |
| On se connaît non ... ? | Rain & Prinny | | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |