Et voila une nouvelle journée ternes qui va devenir un véritable chef d’œuvre grâce a ma formidable présence. Qui pourrait bien être toujours triste ou désespérer ou encore maussade en gros dans une mauvaise passe quand une merveille du monde comme moi se laisse regarder, et que tout cela soit gratuit et illimité. J’étais le soleil de leurs vie, que dis-je j’étais bien plus que cela j’étais le soleil du monde et maintenant que je me levais la véritable journée pouvait bien commencer. Il était déjà onze heures du matin, je savais bien que tout le monde dans la maison était debout mais j’allais quand même les faire profiter de mon corps divin alors sortit de mon lit tel un roi et mis sur moi mon habits favoris mais bien sur encore une fois je pris bien soin d’omettre la veste que ma mère demandait toujours de mettre. Je mis des sandales et alla toquer a toutes les portes de la maison. Tout le monde sortit la tête a mon passage avec un air surpris ou encore horripilé, mais moi j’avais un immense sourire éclatant, comme tout les jours. J’avais déjà accompli au moins une bonne action au réveil, en illuminant quatre journées d’un coup même si le radieux soleil que j’étais n’arrivais pas a percer le plafond de nuage qui recouvrais Kumo Gakure no Sato. Il faisait gris et apparemment c’était comme sa depuis ce matin.

Comment cela ce pouvait-il ? Comment le ciel pouvait rester insensible a mon charisme et affiché son plus mauvais visage ? Aurais-je fait quelque chose d’offensant. Même si la véritable offense était de cacher mes muscles splendides. Je n’y étais surement pour rien et même si j’avais été responsable qui pourrait en vouloir a ce magnifique visage qui était le mien et que même un certains Adonis aurais jalousé. Mais bon essayons de passé outre ma beauté et continuons sur notre lancée dans le récit de cette journée qui aurait marqué les esprits. Donc j’avais mis tout le monde d’humeur a passé un excellente mâtiné même si la météo nous avait posé un lapin, je savais que mon aura aurait égayé le monde et ce ciel terne. Le seul souci c’était qu’il faisait tellement moche que ma bonne humeur en prenait un immense coup et que finalement je courus prendre mon petit déjeuner et je fis quelque pompes avant de finalement prendre une douche pour pouvoir aller me recoucher. C’était d’autant plus gênant que je n’avais aucunement envie de dormir et donc je restais allongé dans mon lit comme un idiot sans aucune vie sociale, un splendide idiot soit dis en passant. Durant exactement cinq heures je ne bougeai pas de mon lit et je voyais tout le monde se succédé dans ma chambre au mur d’un blanc plus qu’immaculé en me posant des questions comme : Est-ce que j’avais vu tel ou tel chose ? Mais je n’avais qu’une seul et même réponse pour tout les membres de ma famille et c’était «Désoler mais non » mais bizarrement ce qui aurait sur du les agacer ne leurs fit aucun effet.

Mais surtout ce qui me fit bouger pour la première fois c’était quand Sheena avait passé la porte de ma chambre et qu’elle s’était allongé a mes cotés. Ne vous inquiétez pas nous ne nous sommes pas laissez allez a des choses obscènes même si l’envie était plus que présente. Maintenant c’était clair que nos projets intimes seraient a revoir étant donner qu’elle était partie avec ma mère et qu’elles n’avaient pas d’heure pour rentrer a la maison. Alors quitte a être seul autant que je reste allongé dans mon lit a regardé le plafond et les murs recouverts de miroir. C’est alors que ma tranquillité fut troublée par une immense explosion. Décidément ce n’était vraiment pas un bon jour au village de Kumo aujourd’hui. Il faisait moche et en plus des trucs explosaient. Mais des trucs qui explose ce n’est pas normal sa. Il devait se passer quelque chose de grave car généralement les explosions je ne suis jamais loin quand elle se déclenche. Je me mis debout et alla voir par la fenêtre. J’ouvris des yeux rond. Il y avait un énorme trou a l’entrée du village . L’explosion avait été si forte que sa ? Mais une autre question me trottait dans la tête. Ou pouvait bien être maman et Sheena. Mon père arriva tant bien que mal dans ma chambre et me dit que je devais partir maintenant et que je devrais faire en sorte de revenir en un seul morceau et en vie. J’eu un sourire comme si j’allais laisser ce magnifique corps être abimé. Je pris mon arme et en partant mon père me tendit quelque chose.

On aurait dis des vêtements. Ah ben en fait c’était exactement sa. Ils avaient tous le sigle des Michitaka. Le haut était un débardeur de couleur vert émeraude et avait au centre le sceau du clan en dorer et deux soleil de la même couleur sur les cotés. Il y avait aussi les protections sur les poignets et les mains qui était une plaque de métal articulé recouvert de cuir. Le bas quand a lui était tout aussi beau, d’un bleu assez clair et enfin un équipement qui était aussi pas mal dans son genre du fait de son histoire. C’était l’un des tous premiers bandeaux frontal qui avait vu le jour. Il était d’une couleur semblable a celle du bas. Il me dit qu’il s’agissait d’un vêtement de combats du clan. On en avait tous un qui nous étaient destiné et celui c’était le mien. Il était plus que superbe. Je fis un clin d’œil a mon père et en environ cinq minutes j’étais prêt. Il me donna aussi un foulard bleu. Je le mis rapidement autour de mon sublime cou et partit par la fenêtre. J’aurais pu trouver plus glorieux comme sortit mais je n’avais pas vraiment le temps de soigner toute la mise en scène étant donner que le temps me pressait. Je sautais de toit en toit aussi vite mes jambes pouvait me le permettre. Je me demandais bien ce qui avait pu faire autant de dégâts en un coup. Je devais tirer sa au clair et au plus vite. Le temps semblait passer au ralenti, je sentais chaque battement de mon vigoureux cœur, mais la fumée elle continuait de monter dans le ciel.

Durant de longues minutes je voyageai en sautant d’immeuble en immeuble. Je voyais de nombreux civils se dirigés vers la partie la plus impénétrable de Kumo, les grottes. Elles étaient très difficiles d’accès pour ceux qui ne connaissait pas un minimum le chemin alors une fois la population n’avait plus grand-chose a faire a part attendre que nous venions les chercher pour leurs dire qu’ils étaient de nouveau en sécurité dans les rues. Mais que les genin et les civils soit évacuer voulais dire que cet évènement n'était pas quelque chose de normal. Je ne voulu pas m'arrêter demander ce qui pouvait bien se passer, j'étais déjà bien assez en retard comme sa. Au bout de cinq longues minutes je finis par voir un champ de ruine. Je ne voyais pas trop comment j'aurais pu appelé un tel outrage a la beauté. Qui avais bien pu faire un truc pareil ? La réponse ne prit pas longtemps a arrivé car juste en dessous de moi se trouvais quelque personne. Certaines semblait être des habitants du village, en face il y en avait deux autre en face. C'était quoi ce bordel ? A deux ils avaient déjà autant de ravages. Comment était-ce possible. Je ne pensais pas être le bien venu dans ce combat qui allait surement démarrer sous peu. Soudain quelque chose me vint a l'esprit. Dans toute ma hâte, il me semblait avoir quelqu'un qui était un peu trop calme a mon gout pour être innocent. Je devais retourner sur mes pas.

C'était repartie pour un tour mais cette fois en sens inverse. Je me demandait bien ou pouvait être ce mec. Alors j'arpentai toutes les rues du village. Il ne pouvait pas être bien loin. Je l'avais aperçu il y a moins de cinq minutes. Et soudain je le vis de nouveau. En fait deux bâtiment derrière celui ou je m'étais arrêté la première fois. Il était blond .. euh non elle était blonde. En fait je ne savais pas vraiment si c'était un garçon ou une fille de loin mais en me rapprochant un peu plus je fini par voir qu'il manquait quelque chose pour que ce soit une fille. Quel chance. Moi qui avais horreur de me battre contre les filles, c'étais pour moi une chose répugnante que de frapper une femme et de risquer d'abimer la magnifique fleur qu'elle représente. Mais revenons a nos mouton et dans notre cas a ce petit blondinet. Il avait pas l'air terrible comme sa mais bon sait-on jamais, il pourrait me réserver des surprises. Mais bon on n'attaque pas les gens sans raison alors bien que dans ma tête il était coupable:

C'est toi qui a osé défigurer le village ??! Impressionnant, mais hélas ce n'étais la meilleur façon de mettre un le pays a sac. Maintenant la place est devenue hideuse et je déteste qu'on détériore quelque chose de beau.