*Toc toc* - « Bonjour je viens vous tuer... » [FINISH]
Sujet: *Toc toc* - « Bonjour je viens vous tuer... » [FINISH] Sam 4 Sep 2010 - 23:03 Mission de Natsu
• Chapitre 1 « Ouuuh la belle rouge... » Que sommes-nous dans ce monde ? Avons-nous une importance quelconque pour son bien-être ? La place que nous occupons sur cette terre ne peut être comparé qu'à un grain de poussière dans un mouton, passif que nous sommes nous attendons que tout tombe dans nos mains du jour au lendemain ; pour certain, ce peut être la mort qui arrive, pour les plus chanceux c'est le salut qui se présente. Toutefois, pour une part de personne bien définie, les choses peuvent varier entre ces deux extrêmes, j'appelle ce groupe spécial "les actifs". Ceux que je considère être ceux qui travaillent dur pour gagner le pain de leur labeur, ceux qui se choisissent une voie et la poursuivent malgré les difficultés, qu'importe les barrages, le ruisseau continue incessamment d'avancer. Pour vous dire la vérité, je pense faire partis de cette catégorie hors-norme, qu'est-ce qui me fait penser ça ? Surement parce que je suis un criminel recherché par tous les villages, mais à quoi bon me morfondre, j'ai choisis mon chemin, et puis entre nous, rien est plus magnifique que de manger à sa faim lorsque votre serveur est effrayé par votre identité, elle est pas belle la vie ? Quoi qu'il en soit, faut que j'arrête de parler de nourriture, aussi non...bah....je vous épargne la suite parce qu'elle peut être assez, comment dire, ah, je ne trouve même pas de terme exact, enfin bref. Je ne suis pas ici pour vous faire mon autobiographie se serait bien long et trop classe pour vous, oui je ne suis pas modeste et alors ? Sa vous poses un problème ? Attention je mords ! En y pensant, faut que je morde dans quelque chose là... Arg ! Mon ventre a encore parlé ! Non je ne suis pas ventriloque, c'est juste que mon estomac a la capacité de me faire dire des choses en rapport avec la nourriture. Hum, je crois que je m'égare, veuillez m'en excusez. Tiens, si pour m'échapper de cette torture je vous racontais la mission que m'a confiée le patron ? Faut bien que je me concentre sur autre chose, j'ai un régime en cours, voyez-vous, mademoiselle Haruna que je considère comme la mère que je n'ai jamais eu trouve que j'ai pris du poids, du coup elle m'a donné des restrictions : seulement trois sangliers par journée ! La torture ! Soit dit en passant, c'est une spécialiste dans ce domaine, ça ne m'étonne donc pas qu'elle ait trouvé la chose qui me fait le plus souffrir. Enfin bref, mon histoire commence alors que le soleil ne fait que pointer le bout de son nez... VIDEO Imaginez-vous dans un restaurant de plus banale, un de ceux que l’ont trouve surtout sur les chemins, ceux qui sont fréquentés le plus souvent par les voyageurs, il doit y avoir deux trois clients comme d’habitude, la serveuse est souriante et parle à l’homme à la cuisine, soudain on frappe à la porte du restaurant, une fois, deux fois, trois fois, la dame du comptoir interrompt sa discussion et va voir ce qu’il se passe, ouvrant la porte elle voit un homme aux cheveux rouges allongé par terre vêtu d’un pantalon blanc et d’un gilet noir et or. C’est alors que cette homme saisit la jambe de la femme et lève la tête, ses yeux sont humides, il a les larmes aux yeux. Dans un râle immonde il crie :~ J’ai faaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiim !!!! Vous l’aurez surement compris, cet homme affamé qui va mendier devant un restaurant, ça ne peut être que moi ! Quoi qu’il en soit, comme toutes personnes aimables la dame du comptoir m’emmena à l’intérieur de la pièce et me servit à manger, trois assiettes plus tard j’étais rassasié, ayant retrouvé mes forces je dis avec gentillesse :~ Je vous remercie pour ce repas, cela fait longtemps que je n’ai pas avalé quelque chose de consistant, deux trois jours je crois, enfin...merci encore. Ce fut l’homme dans les cuisines qui me répondit avec un ton de plaisanterie mais aussi de sérieux :~ Arf, ce n’est rien, on a tellement peu de clients qui passent par ici qu’on nourrit un peu tout le monde gratuitement, mais dis moi, d’où viens-tu pour avoir jeûné tout le long de cette période ? En plus il faut être assez tordu pour ne pas prendre quelque chose à manger quand on sait que l’on va faire un long trajet *rire* A cette réflexion assez déplacé je pris un air tellement sérieux que cela en fut presque effrayant, mes yeux se mirent à luire d’une étincelle malsaine ; fourrant alors ma main doté d’une bague à l’annulaire dans mon gilet j’en sortis une photo, dessus se trouvait une femme, un homme et deux enfants, montrant l’image aux deux gérants du restaurant e repris :~ Je cherche cette famille, vous le savez surement cette homme-là, juste à côté de la femme est Kage, un jour j’ai reçu un message disant que j’étais convié dans sa maison par sa femme qui a fait appel à mes services, je suis spécialiste en thermologie voyez-vous, ils ont un problème d’isolation ou quelque chose du genre. Le souci, c’est que le message ne disait pas comment se rendre à sa résidence, je suis allé de village en village et on m’a mené ici, dans les environs et je suis tombé sur vous, vous pourriez peut-être m’aider ? Les deux personnes se regardèrent longuement, leur complicité amoureuse semblait faire qu’ils se comprennent sans paroles, après tout un sage a dit un jour que « le poète sait jouer sur une harpe sans cordes et il sait ensuite répondre à ceux qui prétendent n'avoir pas entendu la musique. », étrangement ils sourirent puis ce fut la dame qui prit la parole :~ Il y a une résidence non loin de là au nord, les rumeurs disent que c’est effectivement le Kage qui l’a acheté, mais il ne s’y trouve jamais apparemment, il n’y a que sa famille... Aussi non, mon mari et moi savons comment vous pouvez nous remercier pour se repas. Nous avons un souci au niveau d’un tuyau de gaz juste derrière notre maison, vous pourriez y jeter un coup d’œil ? Que vouliez vous que je réponde ? Après le délicieux repas que j’avais dégusté il était certain que je doive accepter sa requête. Sortant dans le jardin la femme m’emmena à l’endroit où le problème résidait, pointant un tuyau mural rouillé rafistolé avec du papier adhésif et de l’aluminium. M’approchant j’humai l’air, il y avait effectivement une fuite de gaz, un sourire sadique se dessina alors sur mon visage laissant apparaître mes dents pointues. La femme du comptoir rentra alors de nouveau dans le restaurant disant qu’elle devait encore s’occuper des clients présent et qu’elle avait confiance en moi, les gens étaient si naïfs. Au lieu de m’occuper du stylo je m’éloignai alors du restaurant, cinq mètres, dix mètres, vingt mètres, me retournant vers la bâtisse je pris alors une grande inspiration et cracha soudainement une petite boule de feu qui se dirigea d’elle-même avec précision vers le tuyau comportant la fuite. Il y eu alors une explosion retentissante, le bâtiment explosa en millier de blocs de pierre sous le coup de la déflagration causée par le contact du feu avec le gaz. Les braises du carnage arrivèrent alors vers moi, j’ouvris la bouche et en attrapai une ou deux au vol. Hum... pas mal, il y avait un arrière goût de chair brûlée mais bon, c’était tout de même comestible. Tournant les talons vers le nord je pris alors la direction de la résidence du Kage, je n’étais pas obligé de tuer ces innocents, mais après tout, tuer, il n’y avait rien de plus fun, hormis bien sûr le fait de manger, cela va de soit !
Dernière édition par Natsu Igneel le Mer 20 Oct 2010 - 15:07, édité 1 fois
Sujet: Re: *Toc toc* - « Bonjour je viens vous tuer... » [FINISH] Dim 5 Sep 2010 - 18:52 Mission de Natsu
• Chapitre 2 « Euh, bonjour, je suis le bourreau... » VIDEO Un grand sage a dit un jour: "La vie est le chemin, la mort est le retour.", tant de fois j'ai entendu cette phrase, tant de fois je me suis dit qu'elle était totalement fausse, lorsque je tue des gens, aucuns d'entre eux ne revient à la vie, enfin...logiquement. Ouhlà, vous m'obligez à regarder sous mon lit le soir maintenant ! Allez, un peu de sérieux, si je reprenais le cours de mon histoire là où je me suis arrêté ? Elle se déroule à peu près deux heures après mon joli feu d'artifice... J'avais beaucoup marché, principalement vers le nord comme me l'avaient indiqué les deux gérants du restaurant où j'étais allé peur avant. Au bout d'un moment la route fut plus rude, la terre dure laissait peu à peu place à du roc : je gravissait un flanc de montagne. Je me demandais vraiment comment un une famille pouvait habité aussi haut, quoi qu'il en soit, les portes du domaines non loin de moi me redonnèrent goût au meurtre, il n'y avait pas de garde, juste deux immenses portes de bois qui, je pense, faisait office de défense, pour autre chose qu'un ninja soit dit en passant car je n'eus aucun mal à les franchir. J'étais maintenant à l'intérieur du domaine, et quel domaine ! Imaginez-vous une immense bâtisse aux murs de pierres gris ouvrait ses portes d’ébènes vers une large court pavée d’une mosaïque nacrée, avec en son centre, une large et imposante statue dominant une grande fontaine, les murs cernant le jardin étaient incrustés de pierres multicolores. D’immenses plantes aux envergures gargantuesques avaient été plantées devant les portes du domaine, et devant les portes blanches aux poignets d’or de la maison elle-même. Il y avait même dans le coin du jardin, caché par les plantes, un arbre fort étrange, sinistre même, son tronc se contorsionnant et formant des nœuds épais et psychédélique. Les larges racines du végétal semblaient remuer légèrement hors de la terre, en quête d’une proie invisible. Des statues de pierre noire étaient nichées dans des alcôves, c'étaient des Jizo, les divinités des voyageurs. Elles semblaient toutes récentes par le fait qu'elles n'avaient pas de mousse et qu'elles reflétaient la lumière du soleil. C'était vraiment le style et l'envergure d'une maison de Kage. La nuit commençait à tomber et le ciel à s'assombrir, le moment le plus propice pour effectuer un homicide, je m'en léchais les babines d'avances. Rien que l'idée de pratiquer des choses morbides et sadique faisait monter en moi le chaleur et l'excitation, pour moi, tuer quelqu'un d'innocent était comme manger un repas sans couverts, quelque chose de sauvage et sans limite. Les lieux étaient très silencieux, ce qui ne m'étonnait en rien car je savais que les gens de la noblesse n'étaient pas du genre à faire la fête à tout bout de champs, c'était toutefois navrant car je ne pourrais pas m'incruster et manger un bout, enfin bref. J'avais autre chose en tête pour l'instant, j'irai croquer un morceau lorsque cette mission serait finie, histoire de fêté la chose comme il se doit. Je fis rapidement le tour du domaine faisant alors bien attention de ne pas marcher dans le sable blanc au risque d'y laisser des traces, vous trouverez la chose sûrement idiote mais c'était très amusant de ne marcher que sur les dalles qui constituaient un chemin, ce n'était pas ma faute si mon esprit enfantin revenait à la charge ! Quoi qu'il en soit il fallait que je trouve une entrée pour aller dire bonjour à la famille du Kage, cherchant alors pendant deux bonnes minutes je trouvai soudainement une porte entrebâillée sur l'intérieur de la maison, étrangement un doux fumet s'échappait de cette ouverture, instinctivement je sautai vers la porte et l'ouvris d'un coup en criant :~ A TABLE ! Dès lors où je franchis le seuil de nombreuses lances furent pointés vers moi, ainsi on m'attendait. Par réflexe j'eus un mouvement de recul, d'une vrille arrière je me retrouvai dans le jardin que j'avais précédemment parcouru. Les hommes armés sortirent alors eux aussi toujours en m'ayant à proximité, j'allai les attaquer lorsque le petit groupe se fendit en laissa place à une femme ; elle était magnifique, ses cheveux reflétait incroyablement la lueur lunaire de cette nuit, elle était habillée d'un kimono blanc à motif de fleurs royale à sa ceinture se trouvait un sabre dans un fourreau noir, elle s'approcha sans crainte de moi et prit alors la parole :~ Alors c'est toi qui a été envoyé par Akatsuki pour nous tuer moi et ma famille ? Natsu Igneel alias Salamander, le lézard de feu. Je vois que l'organisation n'a pas pris de gants pour s'occuper de nous, c'est très flatteur, mais ce qu'elle ne savait pas, c'est que l'on savait qu'en venant dans cette région et en rendant publique notre venu vous nous attaqueriez. De plus, j'avais un doute sur l'identité de notre bourreau, j'aurai du m'en douter que cette explosion en bas de la montagne ne pouvait être que ton œuvre jongleur de feu... Mais tu as commis une erreur, ce qui m'a laissé le temps de me préparer et d'envoyer mes enfants à l'abri : tu as fait un stupide détours pour venir jusqu'ici. C'est bien dommage, tu as fait tout ce chemin pour mourir si bêtement. Sa voix était aussi perçante et frêle qu'un pieu de glace mais je sentais aussi une teinte de frayeur, elle essayait quand bien même de garder son calme. C'est cette peur qui attisa la flamme, mes yeux commencèrent à luire d'une lumière malsaine et je répondis alors avec le ton le plus sadique au monde :~ Je ne suis pas venu ici pour rien... Vous avez bien fait d'évacuer vos rejetons, c'était la seule chose qui me dégoûtait un peu de vous annihiler de cette planète, enfaite vous croyez vous être préparée assez suffisamment mais c'est mal connaître les membres de l'Akatsuki, quoi qu'il en soit, laissons maintenant place au bain de sang voulez-vous ? VIDEO Mes paroles dite je fonçai alors vers la femme à vitesse légère, un seul pas de fait celle-ci ordonna à ses larbins d'attaquer, je m'y attendais. Deux d'entre eux essayèrent alors de me pourfendre de lance d'un coup horizontal, je n'eus alors aucun mal à me baisser et les faucher, ceux-ci tombant à la renverse j'enchaînai alors avec un salto arrière qui eût pour but d'écraser mes deux adversaires, dans un râle immonde ils partirent rejoindre leurs ancêtres. Deux autre essayèrent alors me transpercer d'un coup en avant je pris alors un rapide appui sur le sol et sautai. Mes deux pieds se retrouvèrent alors sur les armes des deux hommes, instinctivement ils donnèrent un a coup vers le haut, je fus soudainement propulsé, je faillis basculer vers l'avant, mais par réflexe je me tint sur la tête d'un de mes deux adversaires, je fis alors un vrille et assénai un coup de pied pilon sur le deuxième. J'étais maintenant en équilibre à une main sur la tête d'un homme, belle figure, mais je n'avais pas le temps de me réjouir, car celui-ci se ressaisit et tenta de me donner un coup de lance ; cependant, avant qu'il puisse faire quoi que se soit je pris son crâne entre mes deux mains et tourna, sa tête fit alors un 360° dans un craquement sinistre. Me remettant sur mes jambes je me rendis compte qu'il ne restait que trois hommes encore sur patte ainsi que la femme. C'était ridicule, les hommes tremblaient de peur et n'arrivaient pas à tenir leurs armes droite. J'arquai un sourire et avançai petit à petit, rapidement ils se regardèrent et lancèrent un assaut à trois, l'un donnant un coup horizontal de droit à gauche, un autre donnant un coup de gauche à droite et celui du milieu lança un coup perçant, c'était quelque chose d'inesquivable, mais comme on dit, l'attaque reste la meilleure défense. D'un coup je frappai mes poings entre eux et inspira une grande bouffée d'air avant d'expirer un jet de feu brûlant :~ Karyû no Hôko ! (Rugissement du Dragon de Feu) VIDEO Les trois ennemis furent instantanément incinérer sous la chaleur de l'attaque, qui, terminée, laissa place à trois cadavres encore fumant noircis par les flammes. Il ne restait désormais plus que la femme, dès que mon regard croisa le sien elle fit un mouvement de recul et sortis alors son sabre. Dans un rugissement métallique une lame blanche immaculée fit son apparition, étrangement une fumée blanche semblait émaner de l'arme, pourquoi ? J'eus la réponse dès le moment où ma nouvelle cible lança l'assaut, ses attaques étaient rapide et j'avais presque du mal à esquiver. Cependant alors que j'allai reculer d'un bond pour prendre de la distance mon dos toucha quelque chose de rugueux et long : un tronc d'arbre, j'étais pris au piège. La femme lança alors une estoc vers mon torse, je dû me baisser instantanément pour esquiver, la lame se planta alors dans le tronc, j'eus donc le temps de me remettre sur les jambes et de prendre du recul, ce que je vis de loin ma glaça d'effroi, et ce terme s'avère être au sens propre, à l'endroit où j'étais précédemment adossé se trouvait maintenant une épaisse couche de glace qui ne cessait de s'étendre, et en son centre l'épée de mon adversaire. Il fallait en conclure que si j'étais touché par ce sabre, je serai emprisonné à jamais dans un bloc de glace dans une esquisse sordide, condamné à ne plus jamais manger. Rien qu'à cette pensée mon corps se mit à chauffer, de plus en plus intensément jusqu'à émettre de la vapeur, mon sourire sadique fit son apparition laissant alors apparaître mes dents de carnassiers. C'est alors que dans un haussement de voix soudain je criai :~ OUHLA ! JE SUIS CHAUD LA !
Sujet: Re: *Toc toc* - « Bonjour je viens vous tuer... » [FINISH] Dim 12 Sep 2010 - 15:58 Mission de Natsu
• Chapitre 3 « De feu & de glace. » Il me semble qu'à ce moment de ma mission, j'avais vraiment la tête sous la guillotine, enfin, c'était une façon de parler car pour faire plus clair, j'avais vraiment l'occasion de mourir, et de quelle façon ! Être gelé dans un bloc de glace pour l'éternité, c'est pas mignon tout plein ça dites-moi ? Vous vous dites sûrement que je devais avoir peur à ce moment précis, d'une certaine façon, c'était le cas, mais pas de la manière que vous pensez être. J'avais plus peur de salir mes habits que d'être frigorifié au moindre contact avec l'arme de mon ennemie, et pour vous dire la vérité, j'avais plus peur de la femme qui se trouvait en face de moi que de son épée ; sa coupe de cheveux laissait réellement à désiré, c'était comme le dessus d'une banane plantain vous savez, comme les poils dessous les aisselles de Ryoku, mon pote du bois, pas le bois la forêt hein ? Qu'on soit clair, quand il a un peu sniffer la mousse sur les arbres il a une de ces expression, on dirait qu'il veut me tuer et en même temps aller aux toilettes, et bien prenez cette mimique de visage et mettez la sur la tête de mon adversaire en accentuant plus l'envie d'aller aux toilettes et en rajoutant aussi des gémissements, c'est le pied non ? Enfin bref, soit dit en passant j'avais pu faire une description approfondi de son visage car j'en avais eu le temps depuis le début du combat, je n'avais pas une seule fois riposté, elle ne m'en laissait pas le temps ! Une vraie hyène, vous savez ces grosses bêtes semblables à des chiens qui attaquent ces espèces de créatures galopantes semblables à des cerfs, dont j'ai perdu le nom d'ailleurs. Donc, pour en revenir à nos bananes plantains, j'étais plus entraîné dans une gigue irlandaise que dans un combat effréné, il m'arriva quelque fois de bailler ce qui causa la colère de la femme que je devais tuer, je me demandais vraiment où elle puisait toute cette force, elle allait bien s'épuiser comme les piles d'une machine non ? En tout cas je vous parle je vous parle mais il est bien de signaler qu'au bout d'un moment, à force d'esquiver j'arrivai dos au mur et j'étais fait comme un rat et alors que ma fin arrivait et que je vis ma misérable vie défilée devant mes yeux ainsi que la lame de mon ennemie j'eus un réflexe soudain. Lorsque la pointe de l'épée arriva à deux centimètres de moi je me mis en position "chaise invisible", de ce fait la lame se planta dans le mur. Malgré tous les efforts possibles de la femme pour retirer son arme, celle-ci ne bougea pas. Mon expression la plus sadique apparut alors sur mon visage laissant entrevoir mes dents de carnassiers, un petit rire en coin je me relevai et mis mon visage à deux mètres de mon homologue et dis :~ Bon maintenant tu vas te laisser tuer docilement ? Sa ne va pas faire mal, et puis puisque tu n'as plus ton épée de Mr Freeze je pense que tu n'as plus rien pour te défendre... Signant ma phrase je fis une petite pichenette sur la lame de l'épée ce qui créa un petite tintement aigüe dans mes oreilles, aaah le bruit de la victoire, ce petit froid au bout du doigt qui monte tout le long du bras et qui... Soudainement je me rendis compte de mon erreur, étant trop vaniteux j'avais oublié qu'au moindre contact avec l'arme je me retrouverai...congelé. Et c'est ce qui m'arriva, enfin je crois, car ressentir quelque chose en étant un bloc de glace c'est un peu difficile, toutefois, je savais maintenant ce que ressentaient les pauvres mammouths emprisonnés dans la glace. La dernière image que je vis avant de sombrer dans l'inconscience du froid fut la femme qui retira son épée du mur puis me tourna le dos se disant qu'elle en avait fini avec moi, puis mes yeux se fermèrent. Dans ce silence de glace je n'entendis que mon cœur battre je m'attendais à ce qu'il s'arrête de façon régulière et graduelle, ah je savais bien que j'aurai dû acheter ce pacemaker au marché aux puces avec Haruna et Konan, tiens en pensant à ces deux-là, il me semble qu'elles m'avaient dit qu'elles me prépareraient un gros dîner si j'accomplissais ma mission... Non de non ! Penser à de la nourriture me réchauffa un petit peu, un bon gibier cuit à la broche, un délicieux cerf délicatement grillé au feu de bois, du bois fait par Ryoku... miam :* T'es sûr le point de mourir fiston et tu penses encore à la bouffe ? T'es pas prêt de me retrouver si tu continus. * ° Cause toujours Igneel un jour jte cramerai et c'est pas de la glace qui va m'arrêter ! ° VIDEO Entendre la voix d'Igneel fut alors pour moi un regain de force, je sentis la chaleur s'étendre dans tout mon corps, une chaleur de plus en plus vive, je devais me concentrer sur un objectif unique : brûler ! J'ouvris les yeux et en voyant à nouveau le visage de mon ennemie qui exprimait la stupeur je compris que ma technique marchait, je sentais peu à peu mes orteils, ma technique était fin prête, répartissant alors toute mon énergie dans tous mes membres je pus créer une sorte de bulle dans le bloc de glace où je me trouvais et ainsi je pus retrouver l'usage de mes bras, ainsi que de mes poings. Je ne sais pas si sa se vis, mais j'arquai un sourire et les cogna entre eux, voyant que j'allai agir la femme tenta dans une vaine tentative de m'asséner un coup de sabre en traversant la fine couche de glace qui me tenait encore prisonnier, trop tard, l'iceberg explosa. On vit alors filer dans le ciel obscurs un oiseau aux ailes de feu. J'étais maintenant à vingt mètres au dessus de la villa, la lune était vraiment magnifique ce soir, tendant alors ma main vers moi je pris le feu de mes ailes et le concentra en une boule de feu, je tombais maintenant en chute libre, je pris le feu et le mit dans ma bouche, concentrant alors tous le reste de mon énergie dans mon ventre j'ouvris alors mes poumons et cracha une immense boule de feu qui fonça vers la bâtisse :~ Technique des pourfendeurs de dragons ! Karyû no Kôen (Flamme Brillante du Dragon de Feu) ! Trop surprise et effrayée pour s'enfuir la femme ne put seulement contempler que la comète qui s'abattait sur elle, une explosion détonante de produisit, alors que je tombais encore en chute libre la déflagration causée me propulsa à environ 100 mètres loin de la falaise. La dernière image que je vis avant de m'endormir de fatigue ce fut les arbres en-dessous de moi : ~ Zut, Konan va encore me gronder parce que j'en ai trop fait... Que ce soit clair entre nous, certes j'aime les bananes, mais je suis pas un macaque parce que j'ai dormis dans un arbre ! En tout cas, le lendemain je ne pus contempler mon fait d'arme car mon ventre appela à l'aide, il désirait de la nourriture, de plus, on m'attendait au QG, je me surpris alors à galoper tel un jeune tigre à l'appel de sa mère, tout ce que je sentis en partant ce fut une odeur de brûler et de cadavres calcinés
Hunk Moroshi ~ Chef Anbu de Kumo ~ ▌Sanction : Aucune
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Inconnu. Sujet: Re: *Toc toc* - « Bonjour je viens vous tuer... » [FINISH] Dim 25 Sep 2011 - 13:26 Bonjour/Bonsoir. |- Direction corbeille. Hunk.
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*Toc toc* - « Bonjour je viens vous tuer... » [FINISH]
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