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Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S)

InvitéInvité
MessageSujet: Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S) Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S) Icon_minitimeVen 8 Avr 2011 - 15:15

L’homme de par sa nature est tellement faible… Il n’y a vraiment rien de plus faible et ignare que l’espèce humaine sur ce monde même, des êtres dotés d’un corps qui d’une simple bourrasque de vent, d’un simple grognement de la terre, d’une stupide colère des mondes marins, de la furie du ciel ou des morsures du feu, un être qui face à ces simples choses s’en voit être complètement démunis et n’être condamné qu’à subir et encaisser ce que la nature lui réserve. Depuis toujours cette créature qui ne vit que par son orgueil des plus démesurés et son assurance en l’avenir ne fait que braver les interdits les plus singuliers et pourtant les plus communes des lois de l’univers elles mêmes, bravant toujours plus les interdits afin d’affirmer son existence et de prouver au ciel lui-même que le mot faiblesse n’est pourtant pas signe de mort absolue. Ignare de sa propre condition, il cherche ainsi toujours plus à s’affirmer face à des êtres et des notions qui pourtant le dépassent de loin, voulant toujours prouver à des créatures chimériques pourtant si supérieur, si terrifiante même, qu’il avait sa place en ce monde. Bien étrange créature qu’est ainsi l’homme, peu importe le nombre de fois où il finira écraser par le poids du monde, par ses propres pêchés ou ses faiblesses les plus évidentes, quitte à devoir ainsi ramper dans son propre sang et toute la boue du monde, il continuera encore et toujours à se relever pour affronter de nouveau ce qui l’a ainsi mit à terre et ainsi justifier même son rôle. Apprenant parfois même ainsi de ses erreurs, il en devient capable de se mesurer à des êtres qui pourtant peu avant défiaient tout simplement sa propre imagination, incapable alors de se voir figurer la chose à laquelle il voulait pourtant se confronter encore et toujours plus afin de hisser dans les hurlements de sa souffrance et son espoir suprême les marches de l’évolution. Toujours aussi étrange, il m’arrivait parfois, voir souvent, de me questionner sur le but même d’une telle existence, pourquoi toujours ainsi se relever et accepter, désirer même, souffrir encore plus pour de simples questions d’orgueil humain qui était bien souvent très mal venu. Ils sont bien fous, bien odieux, bien stupide d’ainsi affronter le monde et les forces qui sont si supérieurs aux leurs, incapable de saisir la portée de leurs actes parfois blasphématoire et si crasse envers des choses qui pourtant les dépassent de loin … Confiant en ses propres capacités, en son avenir, en sa propre espèce, l’homme a toujours chercher à se surpasser, souffrant, bataillant, cherchant à évoluer toujours plus afin de gravir les échelons de la grandeur et prouver au monde lui-même que l’homme au final n’est pas si minuscule, pas si ridicule, et ainsi graver de sa main le parchemin d’argent du temps et de la vie et signer de son sang l’aveu de son existence. Il est parfois si ridicule de constater avec quelle folle hardiesse l’humain cherche à tromper ses propres faiblesses pour affronter le destin qui lui est incombé depuis toujours, désireux ainsi de s’afficher et de ne point sombrer dans les abysses de la faiblesse innée de sa condition naturelle. Il m’arrivait bien souvent de le penser, de ne voir ces êtres qui se pavanent dans leur corps bassement mortel que comme des insectes répugnants qui ne méritaient même pas la bénédiction de pouvoir vivre sur ce monde, car le simple fait qu’ils daignent ainsi lutter contre ce qui représente l’inconnu et le divinement supérieur à leur propre espèce était une ignominie qui m’était complètement insupportable, à moi le démon qui était ainsi issu d’une espèce nouvelle, une évolution majeure et inégalable de l’humain même. Bordel de merde, qu’est-ce que j’avais du mal à comprendre cette stupide envie qu’ils avaient de toujours vouloir se faire torcher le cul et de se relever encore et encore pour se faire mettre encore plus profond ces crétins d’humains…

Ouais, c’est stupide et grotesque de leur part de toujours lutter contre la fessée royale qu’ils méritaient ces insectes puants… Ah que je les haïssais ces connards putain ! Et bon sang de bordel à cul, y en avais bien une parmi ces merdes dégénérées que je pouvais qualifier de reine de la saleté… Saloperie de grognasse qui m’avait tant résisté… Putain la salope, je m’en souviendrais longtemps de l’odeur de ma chaire carbonisée, cette ignoble senteur de viande trop brûlée que j’avais du subir lorsque ma propre chaire avait de se retrouver aux prises avec les flammes et la lave que cette grognasse crachait… et en plus, qu’elle ponctue ces longs moment de douleurs de poses aguicheuses pour attiser encore plus ma haine avait été une épreuve des plus humiliantes et douloureuses… Putain je la détestais cette pouffiasse ! Je n’avais même pas alors réussis à ne serait-ce que la griffer ou lui trancher son lard dégoutant, le lard de ses deux horribles obus, putain, je ne rêvais que d’une chose, la retrouver, la foutre à terre, et lui arracher ses deux sales bouts de graisses pour les lui faire bouffer avant de la cramer vivante ! Il n’y avait point d’injuste sentence pour quiconque osait ainsi se moquer de ma supérieure personne, moi l’être élu pour devenir l’évolution de toute les espèces de ce monde, la prochaine étape vers la perfection elle-même, et cette sombre femme qui avait osé m’humilier moi de la sorte allait tôt ou tard subir le plus terrible des courroux… Toutefois je reconnaissais qu’elle était forte pour une femelle humaine, et que mes propres capacités n’étaient d’aucune aide face aux pouvoirs dont elle se parait, comme cette lave et cette vapeur acide qui m’avait tant fait souffrir lors de notre combat… L’eau avait un peu coulé sous les ponts depuis, et notre groupe de la lune rouge était à présent scindé en deux, et je me retrouvais pour l’instant comme l’un des seuls membres de l’akatsuki, piégé entre deux femelles à la con, un requin puant, et ce débile mental qui pourtant savait être sérieux de temps en temps et qui était notre chef… Et durant cette période, j’avais décidé de combler mes lacunes les plus pesantes… En effet si ma condition physique me permettait de m’offrir un corps capable de presque tout encaisser et de se reconstruire immédiatement, j’en restais un piètre combattant dont la seule capacité était la métamorphose, et sans réelle force, ca ne m’aidait pas vraiment en fait… Ainsi j’avais dument comblé la faiblesse de ma régénération et avait pu obtenir grâce à maintes expériences le don d’être finalement immortel, ou presque, et d’autres saloperies en rapport avec ce drôle de pouvoir… Et j’avais comblé en grande partie mes déficiences physiques, pouvant ainsi prétendre pouvoir rivaliser bestialement au corps à corps avec mes adversaires, et j’avais même pu développer un peu de ninjutsu, et ma plus grande fierté, l’élémentaire de la lave, le même que cette pute de Kiri … Et ce pouvoir ci serait la marque de l’évidence pour cette mission qui m’était à présent assignée … hihihi, j’en riais grassement d’avance.

Des jours déjà que je me faisais chier dans ce putain de désert de merde à compter les dunes les unes après les autres, des dunes qui bizarrement à présent étaient teintés d’un rouge sanglant qui n’était pas pour me déplaire… De temps à autres j’avais cru entendre divers bruits sinistres, et me félicitait d’être alors transformé en lézard des sables et de pouvoir me terrer facilement sous terre, ou plutôt sous le sable pour me déplacer plus tranquillement. Lorsque vint la 4 ème nuit d’errance dans ce putain de désert à la con, et que l’aube se levait alors, enfin je pus voir à l’horizon les grandes murailles rocheuses qui composaient les remparts naturels de ce village de plouc paumés. Il me faudrait alors encore des heures pour atteindre le village, mais il était temps de commencer l’opération… bien incapable de sourire sous cette forme de reptile, le dit sourire était intérieur, mental, car cette mission me faisais jubiler au plus haut point, c’était le genre de tâche que j’aimais le plus qui m’était ainsi confié en ce jour, foutre le bordel. Bah ouais, une mission pouvait être aussi simple que cela, et quitte à foutre le bazar, autant le faire de la meilleure façon qui soit. Je devais planter les relations diplomatiques entre divers villages, et ma victime évidente était Kiri, le village de l’aut grognasse, et la cible, Suna, village de merde choisit au hasard… Je commençais alors une métamorphose, une transformation des plus singulières, car dans un léger crépitement sanglant, d’un rouge puissant, comme si des éclairs entouraient mon propre corps, je pris peu à peu la forme de la salope qui m’en avait tant fait baver, quitte à devoir semer la merde entre ces deux villages, autant allier le plaisir à l’utile et me venger un tant sois peu… Je voulais jouer avec sa réputation, après tout, elle était connue pour être une vieille pute de 30 balais qui pouvait se comporter comme la pire des traînées, une vraie pétasse aguicheuse. Elle allait se taper une meilleure réputation encore, de salope internationale. Lorsque la transformation fut terminée, je me retrouvais alors dans le corps nu de cette pétasse, à 4 pattes… Me redressant en essayant de me gratter les baloches, je remarquais avec dégouts que c’était autre chose que j’étais en train de gratter, n’y avait plus du tout fait attention… Un de mes dons était de pouvoir prendre de façon parfaite l’apparence de quelqu’un dans les moindres détails, et ce seulement en jetant un coup d’œil à cette même personne, ainsi que ce soit complètement à poil ou fringué, j’étais le sosie parfait de la personne que je copiais… Je ne savais guère comment je pouvais y arriver, mais à vrai dire je m’en battais royalement les steaks… Une fois redressé, je commençais à me demander comment elle faisait pour ne pas souffrir celle là d’ailleurs avec de tels obus, c’est que ca tirait à fond sur le dos bordel, elle avait besoin d’avoir des bouts de gras aussi énormes ?! Puis je lançais une seconde métamorphose par-dessus cette tenue pour recréer par-dessus cette tenue osée les fringues coutumiers que cette salope portait, à savoir ceux qu’elle avait lors de cette guerre à la con, cette foutue robe bleue. La mise en scène était prête, restait plus qu’à jouer parfaitement la comédie à présent.

Après quelques heures durant lesquelles je dus m’habituer à voir mon point de gravité tomber plus en avant, je pus enfin arriver devant les portes du village, enfonçant alors le chapeau de kage sur ma tête pour bien montrer le rang qui était dès lors le mien… ou pas niark. Une sentinelle vint m’accueillir, me demandant de décliner mon identité, et c’est de cette vois tant hait que je répondais alors que j’étais Mei Terumi, l'ancienne Mizukage, envoyée ici en mission diplomatique pour le compte du village caché de Kiri, et demandant expressément d’être amené dans le village à la rencontre d’une personne de grade supérieur, ou plutôt des dirigeants du village. Passant machinalement ma main sur la garde de mon katana que j’avais du sangler à la robe dégueulasse de cette pouf, je pénétrais alors le village, escorté par cette sentinelle débile, ma mission commençait enfin.




Ryo Mizake
 ~ Nukenin de Suna ~
Ryo Mizake ~ Nukenin de Suna ~
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MessageSujet: Re: Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S) Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S) Icon_minitimeDim 10 Avr 2011 - 14:02


• Une visite surprise. •





Douce brise de printemps, effluves florales des jeunes bourgeons, éternuements successifs des allergiques, voilà ce qu'était mon quotidien en ce passage du printemps à l'hiver. Tout du moins ce n'était pas moi qui remplissait la corbeille de mouchoir, juste ma secrétaire qui se dopait en médicaments qui, malheureusement pour moi, ne faisaient qu'effet que très peu de temps. Heureusement que je passais la plupart de mon temps dans mon bureau insonorisé et climatisé, même si je n'en avais pas vraiment besoin. Tout le monde dans le village était à peu près habitué aux températures estivales, si ici l'air était aussi chaud que l'été à Konoha, je ne vous dis pas ce que c'est pendant l'été lui-même. En tout cas que de mieux pour profiter du soleil qu'être assis sur un fauteuil moelleux et de signer de la paperasse, c'était ainsi, la véritable nature d'un Kage : celle d'un bureaucrate refoulé. Bref, autant passé cela, mon village était en pleine reconstruction, les plus grosses fondations étaient terminées, il ne restait plus qu'à finaliser les habitations ainsi que les bâtiments qui avaient été détruits lors de ce que j'appelais "le détachement". Les ninjas d'Iwa qui nous avaient aider étaient repartis chez eux après avoir, bien entendu, passer une folle nuit à faire la fête comme on en avait plus fait depuis un bout de temps à Suna. La question qui se posait maintenant était : qu'est-ce que faisais les autres villages ? Du côté de notre allié Konoha, il ne semblait rien y avoir de nouveau, Fujita Kodo était toujours Hokage et semblait bien se porter, Iwa n'avait pas beaucoup bougé depuis notre voyage diplomatique, même si je sentais qu'un alliance était tout à fait possible même si Ônoki ne semblait pas friand pour cela ; je savais pertinemment que ce vieux bouc était plus gentil qu'il voulait le faire croire. L'un des villages où l'agitation était la plus palpable était sans doute celui de Kiri, la cité de la Brume avait premièrement changé de Mizukage. La coutume faisait que lorsqu'un conjoint au même poste que nous était remplacé, on lui envoie une petite lettre d'encouragement et tout le tralala qui va avec. Pour ma part, je ne l'avais pas fait, je n'avais pas rencontré Mei Terumi depuis le début de ma carrière, mais on la décrivait comme une femme noble et très droite de sens, avec une capacité de réflexion digne d'une véritable stratège de guerre. Elle avait été remplacé par son Bras-Droit, un certain Vijay Style, dont le nom me passait au-dessus de la tête je dois l'avouer. De plus, une rumeur parcourait le monde par le biais de ninjas errants : le village de Kiri semblait être sur le point de changer radicalement à l'image de Suna ou de Kumo, en parlant du village caché des Nuages, j'avais appris récemment que Killerbee avait été abattus par Akatsuki ; dur passage pour un village que de perdre son chef, toutefois je ne savais pas du tout qui avait remplacé l'Abeille Tueuse. Je présentais quand même un changement radical du monde ninja, l'atmosphère de paix ne tenait presque qu'à un fil, et même si nous avions Konoha comme allié, une guerre contre un autre village ne serait pas de tout repos, si c'était le cas, nous verrions si la nouvelle structure défensive de Suna était viable, soit dit en passant je n'en doutais pas du tout.

Alors que je pensais à tout cela, l'éternuement de ma secrétaire me ramena à la réalité, je fis un tour avec mon fauteuil et me retrouvai face à l'immense baie vitrée qui me donnait une vue imprenable sur tout le village. Après la reconstruction la Tour se trouvait maintenant tout en haut de la cité, on avait donc refaçonné mon bureau dans une forme circulaire où les murs n'était plus que des fenêtres. Je m'étais un peu inspiré de ce que j'avais vu à Iwa, même si le bureau du Tsuchikage n'était qu'à demi-circulaire. De plus, j'avais une superbe vue sur le désert, on me trouvait parfois à avoir le regard rêveur vers l'horizon, qu'est-ce que j'observais ? Moi même je ne le savais pas, j'étais juste fasciné par la présence incessante du désert, cette omniprésence colossale. Soudain, on toqua à ma porte, sans que j'ai le temps de répondre on entra dans mon bureau, ma secrétaire passa sa tête dans l'entrebâillement de la porte et m'annonça la venue surprise de Mei Terumi. Enfer et damnation ! Elle venait sûrement me demander des comptes quant à la lettre que j'aurai dû lui envoyer, vite vite ! Il fallait que j'écrive quelque chose, un texte, une poésie, n'importe quoi ! Je pris un bout de papier et me surpris à réfléchir comme un fou pour trouver l'inspiration. Mais avant que j'ai le temps de finir, on toqua à nouveau à ma porte et sans que j'ai, encore le temps de répondre, une femme habillée en robe bleu marine, et dotée d'atout plus que parlant passa le seuil de l'entrée et s'approcha de moi me fixant de ses yeux aussi bleus que l'océan. D'un geste vif je pris ce qui me passais sous la main pour cacher mon œuvre inachevé. Sans demander mon avis, l'ex-Mizukage s'assit tout en me fixant. Je me redressai sur mon siège et tentai de bégayer quelque chose d'acceptable :

" Maître Mizukage, je ne m'attendais pas à vous voir ici... Vous... Vous voulez boire quelque chose ? Un thé ? Un café ? "

Ridicule, c'est tout ce qui ma passait par la tête, l'image d'un homme ridicule face à une femme puissante, j'espérais seulement que ça n'allait pas être comme tout le long de ce rendez-vous improvisé.



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MessageSujet: Re: Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S) Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S) Icon_minitimeJeu 14 Avr 2011 - 2:03

J’avais comme objectif de retrouver une bande de Nukenin fraichement évadés. Cependant, ça ne se passa pas bien. Alors que je venais de mettre la main sur l’un de ses scélérats, une détonation retentit. L'un de ces confrère en sortit. Surpris, et infériorité numérique, j’avais fait ce que j’avais pu. Cependant, dans un moment d’inattention, un Kunai vint se planter dans ma cuisse, deux, puis une dizaine d'autres. Je les retirais dans un râle monstrueux. J’eu le réflexe d’apposer ma main sur la blessure, qui s’imprégna bien vite de sang. Vacillant, puis m’écroulant a genoux, je levais les yeux vers mes adversaires, bien trop surs d’eux pour m’achever. Pensant sans doute qu’ils avaient affaire à un lâche. A une personne qui abandonnerais une fois blessée. Mais non, je n’étais pas comme ça. Dégainant mon Katana dans les secondes qui suivirent, je leurs fonçais dessus, crachant toutes mes tripes. Effectuant un bond digne de plus grands ninjas avec une grande difficulté, un souffle de feu sortit de ma bouche en direction de l’un de mes adversaires. Atterrissant devant le suivant, je lui coupais le buste d’un geste vif et précis. Son sang fouettant mon visage jusque dans mes yeux, je secouais la tête. Ma mission était un échec, ils étaient morts.

***

Quelques heures plus tard.
Mes ongles s’enfonçaient dans mon front. La souffrance était incroyablement forte, intense. Je pensais que provoquer une douleur différente me ferais oublier la première. Mais rien ne pouvait faire disparaitre celle qui traversait ma jambe. Ce membre presque mort. Le bandage qui le recouvrait était presque totalement imbibé de sang. J’haletais, je me retournais sans cesse, sur ce qui me servait de lit. Lentement, je levais la jambe, dans une douleur incommensurable. Je tentais de la masser, mais le fait d’apposer mes mains sur la blessure me faisait trépider de douleur. Je m’y résignais. […] Repoussant tant bien que mal la douleur, je transpirais. Tout ce que je regardais me rappelait cet horrible moment. Le plafond tournoyait autour de moi, je gémissais. Mes vêtements d’origine si beaux, si soyeux, étaient à présent réduits à l’état de charpie. D’ailleurs, je ne tardai pas à les enlever, pour me retrouver dans le plus simple appareil. En tenue d’Adam, ma fièvre ne cessait pas… En sueur, je réfrénais un cri. La sensation de brulure se faisait moins intense. Me relevant péniblement, je fouillais dans ma table de chevet. Après quelques secondes d’agitation, je trouvais ce que je cherchais. Une petite pilule miracle. L’une des inventions du village de Suna. Ceci détruit totalement la douleur pendant quelques heures. Un peu semblable a la morphine si vous préférez. Enfin bref… Enfilant des vêtements neufs, je décidais de sortir. J’avais d’autres choses à faire que de rester allongé sans bouger. De grandes choses. (Ou pas)



Ouvrant la porte de ma bâtisse, je foulais un pied dehors, puis deux. Le soleil me brulait les yeux. Je me les frottais frénétiquement. Trottinant d’un premier abord, je ne tardai pas à augmenter la cadence. Mon pied me ferait surement souffrir le martyr dans quelques heures, mais je m’en fichais. Qu’importe si je devrais me bourrer la gueule de ces pilules, je ne souffrirais plus. Et de toute façon, la blessure ne tarderait pas à guérir. Quelques jours, peut être. Enfin… Toujours est-il qu’à cette heure, les passants sont plus que nombreux. Et il me fallut faire d’énormes efforts pour ne pas en percuter un. Si seulement je serais parti plus tôt… Le vent me fouettait le visage. Je frissonnais. Cinq minutes plus tard, j’entrais dans la tour du Kazekage.

Marchant péniblement en direction de mon bureau, je baillais. La fatigue commençait à avoir raison de moi. M’étirant quelques secondes, je sentais mon dos craquer. Ce qui provoqua en moi une sorte de frémissement soudain. Relevant les yeux, un magnifique paysage s’offrait à moi. Une femme, rousse, se tenait devant moi. Elle s’apprêtait à entrer dans le bureau de Ryo. Pour tout vous dire, ce n’est pas son visage que je regardais, a ce moment là… Mes yeux étaient plutôt attirés vers les deux ballons qu’elle transportait. C’était plus fort que moi, je la dévorais du regard… Obnubilé par cette si jolie paire, je décidais de la suivre, et de voir ce qu’elle venait faire ici. Pour tout vous dire, elle me disait quelque chose. Mais vous savez, moi, les gens… Je ne suis pas du genre a me souvenir d’eux. A moins qu’ils marquent mon existence. Ce qui ne fut pas son cas, apparemment. Pourtant, avec de tels atouts a sa disposition, elle aurait pu. Assurément… Laissant filer quelques secondes, je reprenais ma route. En direction du bureau de mon supérieur. Prenant mon courage a deux mains, je toquais à la porte. Oui, vous trouverez peut être ça stupide. Mais quand on a la chance de croiser des atouts aussi convaincants, on ne les laisse pas passer. Non, ça ne se fait pas.

HS: Oui, c'est nul, c'est n'importe quoi. Mais je vous avais prévenu o/.
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S) Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S) Icon_minitimeLun 23 Mai 2011 - 16:27

La stupidité est le commun de l’esprit de l’homme, une créature qui de par sa nuisible nature ne sait que réfléchir à sa propre intérêts et qui de ce fait s’en voit incapable de penser autrement que par sa propre personne, se voyant bien souvent comme le noyau du monde, et est donc particulièrement simple à manipuler. C’est l’égocentrisme qui est partie intégrante de leur cœur, de leurs mœurs qui pourrait être représenté comme le principal point faible de l’humanité, car il tend à amener cette espèce au bord de sa propre destruction, chacun vivant pour sois même, chacun s’enfermant dans son propre monde, ignorant parfois les cris de détresse de ceux qui sont censés être ses voisins, ses amis, sa propre famille parfois afin de pouvoir simplement s’isoler dans le contentement de son seul être. L’égoïsme mortel est une de ces tares qui même à mes yeux de démons est parfois bien incompréhensibles, mais pourtant je m’en fiche royalement, car j’aime me délecter de cette sottise qui est inhérente à l’homme et qui le conduit dans ses pires écarts. Mais quitte à parler de bêtise, là où l’humain fait vraiment fort, c’est dans sa manière d’être et d’appréhender les choses qu’il peut parfois désirer, ou celles qui se présentent à lui. Il est facile de distinguer dans le regard de l’homme l’étincelle du désir, de la gêne, de la culpabilité, l’ombre du démon qui s’immisce dans son esprit pour brouiller celui-ci et l’inciter parfois à une conduite ou à des pensées des plus déplorables. En effet, depuis toujours l’homme tend à se laisser dicter sa conduite par ses pulsions les plus primaires, ce qui le rend parfois d’autant plus simple à manipuler qu’il se laisse volontiers entraîner dans sa propre décadence, dans sa propre folie, tendant à tomber lui-même dans le précipice qui le sépare de la saine raison de la stupidité. De par ma nature propre, je suis une incarnation même parfois de toute cette décadence tant je prends plaisir à la voir se mettre en œuvre sous mes yeux embués de malice et de folie perverse, et surtout à quel point je jouis de la voir se réaliser sous mes actes propres et ainsi conduire mon prochain à sa propre perte. Il est inutile quand on est homme de lutter contre ses pensées, même les plus sombres, car l’homme se voit esclave de sa propre condition et est condamné à se plier aux pulsions les plus ridicules ou incongrues que son étriquée esprit viendrait lui imposer, et ce parfois dans les situations les plus honteuses ou difficiles. Cette mission qui m’avait attribuée par le big boss lui-même, avec sa tronche en biais cachée derrière un masque encore plus ridicule que la gueule de percé qu’arborait l’ex chef, Pein, me permettait de prouver encore une fois à quel point l’homme est risible et aisément manipulable par ce qu’il pense être son semblable, et à quel point parfois il peut être assez stupide pour se perdre dans des pensées ou idées qui sont parfois bien trop décalées pour être tolérées.

Depuis quelques temps l’organisation stagnait complètement, et ce depuis que tout ces salopards avaient désertés pour se tâter la nouille dans leur coin simplement à cause d’une problématique de chef, ils font chier ces putains d’humains, toujours en train de se diviser pour des merdes pareils sérieusement, il y avait de quoi en devenir fou. Mais hélas ce qui était fait était fait, et il était à présent obligatoire pour nous d’avancer et de prouver que malgré tout cela, nous pouvions encore représenter une menace plus pesante et délicate que tout démon ou monstre qui puisse exister en ce bas monde, car nos perversions humaines tendaient à nous rendre plus terrifiant que la nature divine elle-même. Comme la plupart des membres du groupe, j’avais reçu une mission qui mettait en avant mes propres capacités, et franchement c’était limite quand j’en ai appris la nature si je ne serais pas aller me secouer la nouille de joie. Je hais les humains pour ce qu’ils sont et ce qu’ils représentent, et de ce fait je remarque avec d’autant plus de puissance tout les défauts qui caractérisent l’espèce toute entière, et surtout à quel point les pêchés et les désirs qui les animent peuvent les mener aux actions les plus grotesques ou dangereuses pour eux-mêmes. C’était quelque chose que j’avais remarqué, et que j’admirais tout en haïssant chez eux, les voyant comme de simples merdes qui n’étaient pas capable de se contrôler, mais cela faisait le piment de ma vie de démon car j’étais alors capable de m’amuser pleinement, jouissant de ces défauts pour les retourner contre eux, m’amusant de leurs faiblesses et de leurs désirs, et ce afin de les manipuler de la façon la plus cruelle qui puisse être. C’est pourquoi cette mission qui m’avait été confiée me rendait plus joyeux que jamais. J’aimais foutre le bordel, et faire péter les relations entres plusieurs villages était tout simplement jouissif, ou comme disaient les hommes, c’était bandant ! La tâche pouvait paraître être des plus délicates pour un profane, mais pour un être tel que moi, il n’y avait pas de missions plus simple que celle-ci, et j’avais jeté mon dévolu sur Suna par défaut, et Kiri, pas par défaut cette fois car c’était le village de cette grognasse de vache fripée qui m’avait sérieusement botté le fion lors de la dernière bataille de Kiri. Salope de Mei Terumi, je la haïssais cette pouffiasse. Ainsi, cette mission me procurais l’immense plaisir de pouvoir foutre un borzal incroyable entre deux nations, ce qui était vraiment une mission comme je les aimais, et surtout de pouvoir me venger de la vieille pétasse de Kiri en prenant son apparence pour me faire l’ambassadeur de la guerre et de la désolation. Rien que ceci était tordant, mais quand je vus la tronche de gros niais du Kazekage, ce fut encore plus dur de se retenir de rire à pleine voix car franchement, cela allait être un vrai plaisir de tourner en bourrique un débile pareil. Je me demandais vraiment où ils allaient pêcher leurs kages dans les villages ninjas sérieusement, celui de Konoha d’après certaines rumeurs était un gros dadais impuissant, l’ancienne kage de Kiri une vieille pie qui n’avait de convaincant que ses nibards, le raikage serait un gamin débile qui n’aurait pas le moindre sous de jugeote, et le Kazekage serait apparemment juste un gros bêta qui en plus avait osé poser sur moi dès mon entrée dans la pièce des yeux dégoulinant de perversité… Et dites donc, j’avais décroché le jackpot. Mais ce regard dans lequel je pus percer cette sensation s’enivra rapidement de honte et de malaise, il semblait vouloir cacher quelque chose, et de plusieurs mouvements mal assurés tandis que je m’asseyais sans même y avoir été invité, cachait quelque chose qui se trouvait quelques secondes auparavant sur son bureau, ce qui eut pour simple effet de générer un fatras immonde sur sa table de travail… Un bien ridicule petit gamin qu’on avait là… Se relevant maladroitement pour tenter de prendre ce qui semblait être une pose plus assurée, mais qui dans l’état dans lequel il semblait être était encore plus ridicule et risible que toute autre chose, il prit alors la parole d’une voix tremblante, hésitant, au comble de l’ennui et de la faiblesse. J’eusse bien du mal à ce moment là à ne pas esquisser un ignoble sourire narquois, moqueur, railleur et insultant, ce genre de sourire qui était mien lorsque je faisais face à la honteuse stupidité de ces mortels ringards. Alors que je m’apprêtais à lancer avec joie ma première offensive sur ce faible petit homme, un bruit retentit à la porte, et un autre homme entra, un homme dont la gueule de fion de travers me disais pas grand-chose, et à vrai dire je m’en secouais les boules de façon magistrale, je n’avais pas de temps à perdre avec des insectes indésirables… Toutefois je perçu de façon bien plus visible chez lui l’œil lubrique qu’il jetait à l’imposante plantation mammaires que possédait l’ex-Mizukage dont j’avais pris la forme… J’étais tombé au parfait endroit pour jouer avec un tel personnage, un nid de pervers !

A présent qu’il semblait ne plus rien y avoir pour me déranger, ou nous déranger je devrais dire, je décidais de passer à l’attaque, m’amuser un tant sois peu avec ces deux grands dadais. Ils avaient tout les deux eus quelques pensées lubriques, et c’était aisément devinable, j’allais m’amuser un peu avec eux comme je savais si bien le faire ! Me penchant légèrement, laissant planer le tissu qui recouvrait ma poitrine, je passais une main dans mes cheveux, puis me redressais avant de planter mes yeux dans ceux du petit kage ! Posant la partie supérieure de ma main droite sous mon menton, le coude appuyé sur le côté du siège, je pris alors la parole :


-Allons Maître Kazekage, ne vous dérangez pas autant pour moi, je ne suis pas là pour vous forcer à faire le service pour ma personne. Toutefois j’avoue que je ne sais comment vous pouvez vivre sous un tel climat, il fait une chaleur incroyable dans ce village…

Puis, je tirais sur le col de la tenue que j’avais copié sur la petite vieille, soulevant avec force le décollette pour me moquer ouvertement d’eux et ainsi voir leurs réactions de gros pervers vicelards… C’était tellement jouissif de se foutre d’eux de la sorte, la luxure étant un de pêchés humains les plus grotesques et facilement exploitable, ce qui permettait ainsi de produire certaines scènes vraiment cocasses et humiliante pour ces pauvres petits hommes ! Il était facile de constater à quel point la dépravation humaine était la plus éloquente dans le domaine de la luxure, l’homme étant prêt à tout pour assouvir les pulsions sexuelles qui pouvaient animer son être, et c’est ce qui conduisait parfois celui-ci à s’auto détruire dans la marée du plaisir… Mais pour moi c’était une porte ouverte sur de grandes possibilités de manipulation, car c’est en appuyant sur ce large défaut qu’il est bien simple d’ainsi élargir les faiblesses de ces êtres et d’ainsi pouvoir obtenir quasiment tout le temps ce que l’on peut désirer. Après cela, je serrais mes bras devant moi, autour de la poitrine, la faisant ressortir d’autant plus que cette vache laitière les avait vraiment trop gros… Puis, décidant d’enfin en venir au but de ma mission, je pris la décision de ne point y aller par 4 chemins, car le chef m’avait prévenu, je devais faire cette tâche rapidement afin de pouvoir ensuite m’incruster dans Kiri même où une mission importante là aussi m’attendais :

-Bien bien… Soyons sérieux. Comme vous pouvez le deviner, du moins je pense, je ne suis pas là hélas pour une mission anodine…

Je décidais dès lors de jouer le grand jeu, de me foutre ouvertement de leur gueule, ainsi, bien que ce fut difficile, je réussis à simuler un sanglot, et à faire couler des larmes de mes yeux, de fausses larmes car elles étaient non pas de tristesse, mais de joie.

-Cela me perce le cœur d’être la messagère d’une nouvelle aussi atroce mais…

Je me redressais alors d’un coup et composais une série de mudra :

-Je suis ici pour vous annoncer que le conseil de Kiri à prit une grande décision, Kiri entre en guerre contre la nation du sable !

Un sourire pervers animait mes lèvres, et je jouissais intérieurement ! Puis, murmurant un « Yoton ! Yougan Tama ! », je lançais plusieurs petites sphères de lave sur les deux lubriques présents dans la pièce. Ne perdant pas de temps, je me ruais alors vers la fenêtre et tout en me jetant dedans, je criais d’une voix goguenarde :

-Allez mes petits chiens, suivez moi si vous l’osez, je suis l’ambassadrice de votre fin, oserez vous me combattre ?

Puis, je me laissais tomber dans le vide, me réceptionnant à une façade de la tour du Kage à l’aide de mon chakra, puis courant vers le bas de la tour, où j’attendrais l’arrivée de mon adversaire.
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Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S) Left_bar_bleue1133/2000Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S) Empty_bar_bleue  (1133/2000)
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MessageSujet: Re: Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S) Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S) Icon_minitimeMer 17 Aoû 2011 - 22:02

Sujet clos, et envoyé à la corbeille !
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MessageSujet: Re: Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S) Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S) Icon_minitime


Foutre le bordel, c'est ma passion ! (mission rang S)

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